Sarkozy rencontre le Pape aujourd'hui vendredi 8 octobre!

Sarkozy rencontre le Pape aujourd'hui vendredi 8 octobre!

Ce vendredi, Nicolas Sarkozy rencontre pour la troisième fois en trois ans le pape. Retour sur la relation du chef de l'Etat -presque- sans nuage avec le catholicisme.

Le chef de l'Etat sait qu'il doit en partie son élection aux catholiques qui ont plus voté pour lui que la moyenne des Français. 45% des pratiquants réguliers auraient voté pour Nicolas Sarkozy au premier tour de la présidentielle de 2007, selon un sondage sortie des urnes fait par le CSA, et 77% au second tour selon le Cevipof. Depuis plusieurs années, celui qui fut ministre des Cultes multiplie les appels du pied en direction de l'Eglise, qu'il considère comme une alliée naturelle. Florilège.

La république dit ce qui est autorisé ou ce qui est interdit, elle ne dit pas ce qui est bien ou ce qui est mal
"Je suis de culture catholique, de tradition catholique, de confession catholique. Même si ma pratique religieuse est épisodique, je me reconnais comme membre de l'Eglise catholique", écrit Nicolas Sarkozy dans un livre publié en octobre 2004, La République, les religions, l'espérance. "On ne peut éduquer les jeunes en s'appuyant exclusivement sur des valeurs temporelles, matérielles, voire républicaines" ajoute-t-il. "La république dit ce qui est autorisé ou ce qui est interdit, elle ne dit pas ce qui est bien ou ce qui est mal."

Pour une révision de la loi sur la séparation des Eglises et de l'État

Dans cet ouvrage, il se prononce pour une révision de la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églises et de l'État, afin de revenir à "une laïcité active, et non passive ou honteuse".

"Les hommes et les femmes de foi, en donnant sens à la vie, aident la République à se stabiliser. En ce sens, les religions sont un 'plus' pour la République" clame le ministre de l'Intérieur, en charge des cultes, en juin 2005, invité à une conférence "Dieu peut-il se passer de la République?" par l'association La Bible à Neuilly.

Le curé et l'instituteur

"A la fin du XIXe siècle et jusqu'à la fin des années 1950, la France est d'abord rurale, et l'intégration se fait par l'instituteur, qui enseigne la République, mais aussi par le curé, qui essaie de donner une morale. Ils s'ignorent, parfois ils se font la guerre, mais, vaille que vaille, c'est bien ainsi que la France avance. Aujourd'hui, la France profonde, c'est la France des banlieues. Il y a toujours les instituteurs, qui font un travail difficile (...) Mais il y a moins de curés, de pasteurs, de rabbins. On ne peut nier ce changement-là! Où parle-t-on de la vie, de son sens, de respect, de paix?"

En novembre 2005, s'exprimant devant des journalistes religieux, Nicolas Sarkozy explique qu'il prend plaisir à discuter avec le nonce apostolique, Mgr Fortunato Baldelli, ou avec le cardinal Philippe Barbarin. Il s'était d'ailleurs rendu à l'installation de ce dernier comme archevêque de Lyon.

Sans-papiers

En avril 2006, les représentants des Églises chrétiennes expriment leur inquiétude à propos du projet de loi sur l'immigration et l'intégration. Les évêques déplorent que ne soit pas assez prise en compte la "question du codéveloppement", s'inquiètent de la "précarisation des familles et des enfants" de sans papiers ainsi que du "resserrement des conditions d'accueil des réfugiés" que pourrait entraîner la nouvelle loi.

Election présidentielle et vote catholique

En janvier 2007, Nicolas Sarkozy effectue son premier déplacement de candidat à la présidentielle au Mont-Saint-Michel, "lieu symbolique de l'identité de la France". "Je pense qu'ici, la morale laïque et la morale spirituelle se sont rencontrées. La France est le produit de cette rencontre." prêche le candidat.

Pendant la campagne, il multiplie les références à Jean-Paul II. En avril, sur TF1, il affirme que les deux personnages qui l'inspirent le plus sont le général De Gaulle et le pape Jean-Paul II. "Les valeurs chrétiennes" sont devenues un élément structurant de son projet politique et "idéologique", rapporte Le Figaro. Le christianisme "participe de manière essentielle à l'identité nationale" renchérit-il dans un entretien à l'hebdomadaire Famille chrétienne.

Au lendemain de son élection, en mai 2007, le cardinal Jean-Louis Tauran, responsable de la diplomatie vaticane, se réjouit, dans le quotidien catholique Avvenire, de la "position extraordinairement ouverte de Nicolas Sarkozy sur le thème des religions".

En août 2007, il interrompt ses vacances dans le New Hampshire pour assister aux funérailles du cardinal Lustiger à Notre-Dame.

"Le long manteau d'églises et de cathédrales qui recouvre notre pays"

Le 13 décembre 2007, le chef de l'Etat se rend à l'Archevêché de Paris pour une réception en l'honneur d'André Vingt-Trois, nouveau président de la Conférence des évêques de France. A cette occasion, il évoque le "long manteau d'églises et de cathédrales qui recouvre notre pays". "La France est majoritairement catholique, chrétienne" insiste-t-il. Il s'oppose ainsi à Jacques Chirac qui s'était montré réservé à propos des "racines chrétiennes de l'Europe", mention que l'Union européenne avait envisagé de faire figurer dans le préambule de la future constitution.

Le 19 décembre 2007, en visite au Vatican - sept mois après le début de son mandat, alors que Jacques Chirac avait mis trois ans avant de s'y rendre-, il rappelle que "Les racines de la France sont essentiellement chrétiennes". Il entend "assumer pleinement le passé de la France et ce lien particulier qui a si longtemps uni notre nation à l'Église". Il reprend aussi son antienne sur l'opposition entre l'instituteur et le curé: "Dans la transmission des valeurs, (...) l'instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur" professe-t-il dans son discours à la basilique Saint-Jean-de-Latran.


Et un petit extrait à voir...


En janvier 2008, à l'occasion des voeux aux principales autorités religieuses du pays, Mgr André Vingt-Trois, se réjouit d'une "nouvelle manière d'aborder le fait religieux, plus paisible et moins conflictuelle, qui correspond à une nouvelle génération politique".

Brouille passagère

Pourtant, entre décembre 2007 et fin janvier 2008, la cote de popularité du président de la République fléchit de 15% chez les catholiques pratiquants, selon une analyse IFOP pour La Vie. Le quotidien chrétien trouve quelques raisons à ce désamour: la surexposition de sa vie privée (son divorce puis sa liaison avec Carla Bruni), les critiques des évêques sur la politique d'immigration et l'incapacité à s'engager sur le pouvoir d'achat qui apparaît comme une désertion du terrain social.

En février 2008, Nicolas Sarkozy, chanoine honoraire de la basilique Saint-Jean-de-Latran à Rome - comme tous les présidents français - fait parvenir un message de "voeux" à quatre diacres catholiques traditionalistes qui viennent d'y être ordonnés.

En septembre 2008, recevant en grande pompe, le pape à l'Elysée, le chef de l'Etat relance son concept de "laïcité positive".

Malaise sur la question des Roms

Après les expulsions de Roms en août 2010, le pape exprime sa désapprobation devant des pèlerins français. "Les textes liturgiques de ce jour nous redisent que tous les hommes sont appelés au salut. C'est aussi une invitation à savoir accueillir les légitimes diversités humaines, à la suite de Jésus venu rassembler les hommes de toute nation et de toute langue", déclare-t-il lors de la prière de l'Angelus, le 22 août.

L'Église n'apprécie pas les méthodes musclées et s'inquiète de la stigmatisation d'un groupe ethnique.

La tenue mauve n'autorise pas les dérapages
L'archevêque Agostino Marchetto, secrétaire du Conseil pontifical pour les migrants dénonce, lui, une violation des règles de l'UE qui "interdisent les expulsions collectives et qui précisent qu'il ne peut y avoir d'expulsion sans grave danger pour la sécurité". "Les rapatriements sont illégitimes", renchérit Mgr Giancarlo Perego pour le compte de la Conférence épiscopale italienne.

Le 8 septembre, à l'Élysée, le président de la république aurait confié aux députés UMP, selon La Croix, qu'il aurait l'occasion d'évoquer avec le pape les réactions de certains ecclésiastiques critiques sur la politique menée à l'endroit des Roms: "La tenue mauve n'autorise pas les dérapages".

Je souhaite me désinscrir est ce que c'est possible.

Ce serait dommage,Chère Marie Jésus.
Pouvez-vous dire ce qui vous contrarie?

Alors,Sarko va à Rome pour parler des Roms!

Il en parlera probablement mais il n'y va pas que pour cela, je suppose.

Le fait religieux abordé dès sa source par Notre Président de la République, ajoutant sa conviction personnelle positive sur son importance dans l'Histoire de la France et du Monde est une grande responsabilité et une nécessité mondiale.

La fuite du sujet , le rejet de l'homme Sarko et l'abandon de la Miséricorde de Dieu qui passe entre chacun nous est un grave péché, dont on ne peut pas se désinscrire.
Mary Saraf

Bonjour,

Mon grand-père maternel qui portait le prénom de Joseph et qui était un grand dévot à sainte Anne, disait souvent :

"En France,

- Liberté, POINT !

- Egalité, POINT !

- Fraternité, POINT !"

C'est comme dirait Pax & Bonum, une devise qui porte la signature du diable, c'est-à-dire celle des frères 3 points.

Meilleures pensées
Hercule

Bonjour,

En ce qui concerne son discours de 2007 qui a beaucoup étonné les cardinaux, je crois me souvenir que c'est une femme (catholique) qui n'est plus aujourd'hui conseillère au gouvernement qui lui a écrit ce beau texte...

Mais comme vous le savez, entre ce qui sort de la bouche de notre Président et ce qu'il a dans le coeur, il y a un abîme !...

Chacun connait certainement ce que Saint Michel a prophétisé à Marie-Julie Jahenny à son sujet :

////////////////////////////////////////////

"Ne rien attendre du poteau de boue

Première crise Internationale

- L’heure de Dieu n’est pas loin, dit Saint Michel, cette terreur profonde fera ressortir le triomphe de la nouvelle France. Mais ce triomphe ne peut venir avant que la Justice ne se soit appesantie sur cette terre gâtée.
- N’attendez rien de celui qui règne comme roi et qui, aujourd’hui, est assis dans le même fauteuil que les autres - fauteuil qui ne porte aucune marque d’un pouvoir spécial et plus grand.
- Sa pensée est accordée à la pensée des autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté. Sa puissance et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier. N’attendez rien de ce côté : il ne mérite pas plus de respect que tout le reste.
- Dans la tempête, sa voix criera aussi fort que les autres, contre tout ce que Dieu a établi. Il n’y a pas de fermeté en lui : ils l’ont mené ; ils l’ont dirigé. Voilà le portrait de cet homme : c’est un poteau de boue. Plaignons-le, mais n’y pensons guère.
- Je n’y pense point, bon Saint Michel.
- Pour ramener le Roi choisi et destiné par Dieu, il faut que tous ceux qui sont à présent soient balayés ".

////////////////////////////////////////////

Meilleures pensées
Hercule

Je suis ECOEURE de toute politique de droite comme de gauche et en même temps assoiffé de justice.
Sarkosy me fait vomir mais je sais que ne dois avoir de haine envers quiconque, alors je supplie le Seigneur que tout ce qui m'écoeure ne ressorte pas en haine mais en courage.

Aujourd'hui un seul leitmotiv m'habite " dire ma foi bien fort , quoiqu'il m'en coûte ! "
Les hommes doivent être amenés à ce choix : ou bien ils acueuillent la foi ou bien ils la rejetent.

Je suis bouleversé à la lecture du livre " le prix à payer " à tel point que ce forum ne compte plus comme avant si ce n'est l'attachement que je ressens vis à vis de bien belles âmes ou de celles qui souffrent.

Je suis bouleversé par ce Joseph Fadelle et je sais que ma foi s'en trouve renforcée.
Je vous encourage à vous laisser saisir aux tripes par ce livre " le prix à payer " pour 18 €.

Notre société française laïque voudrait museler les Chrétiens ; il ne doit pas en être ainsi.

Il faut reconquérir ce pays pour Dieu trine.

Nous risquons des moqueries, des dérisions, des insultes, du mépris...nous aurons la Joie, la Paix, l'Amour,la Force qui viennent de Dieu.

Nous serons sur un chemin d'Eternité...

Nicolas Sarkozy au Vatican pour reconquérir les catholiques

Un titre de presse parmi d'autres mais sachons inverser cette boutade en reconquérant la France au Catholicisme.

Je ne vois pas l'intérêt de Sarkozy de se rendre au Vatican. Je trouves que ça ne sert à rien, juste à montrer aux catholiques comme quoi il a rendu visite au Pape trois fois en trois ans. De la publicité pour les élections de 2012. Quelle hypocrisie!

Après tout pourquoi ne pas rester, on m'a dit que les hommes de science allait m'avoir pour folle si je regardais toujours le christ

Charles-Edouard a écrit:Sarkozy rencontre le Pape aujourd'hui vendredi 8 octobre!

Ce vendredi, Nicolas Sarkozy rencontre pour la troisième fois en trois ans le pape. Retour sur la relation du chef de l'Etat -presque- sans nuage avec le catholicisme.

Le chef de l'Etat sait qu'il doit en partie son élection aux catholiques qui ont plus voté pour lui que la moyenne des Français. 45% des pratiquants réguliers auraient voté pour Nicolas Sarkozy au premier tour de la présidentielle de 2007, selon un sondage sortie des urnes fait par le CSA, et 77% au second tour selon le Cevipof. Depuis plusieurs années, celui qui fut ministre des Cultes multiplie les appels du pied en direction de l'Eglise, qu'il considère comme une alliée naturelle. Florilège.

La république dit ce qui est autorisé ou ce qui est interdit, elle ne dit pas ce qui est bien ou ce qui est mal
"Je suis de culture catholique, de tradition catholique, de confession catholique. Même si ma pratique religieuse est épisodique, je me reconnais comme membre de l'Eglise catholique", écrit Nicolas Sarkozy dans un livre publié en octobre 2004, La République, les religions, l'espérance. "On ne peut éduquer les jeunes en s'appuyant exclusivement sur des valeurs temporelles, matérielles, voire républicaines" ajoute-t-il. "La république dit ce qui est autorisé ou ce qui est interdit, elle ne dit pas ce qui est bien ou ce qui est mal."

Pour une révision de la loi sur la séparation des Eglises et de l'État

Dans cet ouvrage, il se prononce pour une révision de la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églises et de l'État, afin de revenir à "une laïcité active, et non passive ou honteuse".

"Les hommes et les femmes de foi, en donnant sens à la vie, aident la République à se stabiliser. En ce sens, les religions sont un 'plus' pour la République" clame le ministre de l'Intérieur, en charge des cultes, en juin 2005, invité à une conférence "Dieu peut-il se passer de la République?" par l'association La Bible à Neuilly.

Le curé et l'instituteur

"A la fin du XIXe siècle et jusqu'à la fin des années 1950, la France est d'abord rurale, et l'intégration se fait par l'instituteur, qui enseigne la République, mais aussi par le curé, qui essaie de donner une morale. Ils s'ignorent, parfois ils se font la guerre, mais, vaille que vaille, c'est bien ainsi que la France avance. Aujourd'hui, la France profonde, c'est la France des banlieues. Il y a toujours les instituteurs, qui font un travail difficile (...) Mais il y a moins de curés, de pasteurs, de rabbins. On ne peut nier ce changement-là! Où parle-t-on de la vie, de son sens, de respect, de paix?"

En novembre 2005, s'exprimant devant des journalistes religieux, Nicolas Sarkozy explique qu'il prend plaisir à discuter avec le nonce apostolique, Mgr Fortunato Baldelli, ou avec le cardinal Philippe Barbarin. Il s'était d'ailleurs rendu à l'installation de ce dernier comme archevêque de Lyon.

Sans-papiers

En avril 2006, les représentants des Églises chrétiennes expriment leur inquiétude à propos du projet de loi sur l'immigration et l'intégration. Les évêques déplorent que ne soit pas assez prise en compte la "question du codéveloppement", s'inquiètent de la "précarisation des familles et des enfants" de sans papiers ainsi que du "resserrement des conditions d'accueil des réfugiés" que pourrait entraîner la nouvelle loi.

Election présidentielle et vote catholique

En janvier 2007, Nicolas Sarkozy effectue son premier déplacement de candidat à la présidentielle au Mont-Saint-Michel, "lieu symbolique de l'identité de la France". "Je pense qu'ici, la morale laïque et la morale spirituelle se sont rencontrées. La France est le produit de cette rencontre." prêche le candidat.

Pendant la campagne, il multiplie les références à Jean-Paul II. En avril, sur TF1, il affirme que les deux personnages qui l'inspirent le plus sont le général De Gaulle et le pape Jean-Paul II. "Les valeurs chrétiennes" sont devenues un élément structurant de son projet politique et "idéologique", rapporte Le Figaro. Le christianisme "participe de manière essentielle à l'identité nationale" renchérit-il dans un entretien à l'hebdomadaire Famille chrétienne.

Au lendemain de son élection, en mai 2007, le cardinal Jean-Louis Tauran, responsable de la diplomatie vaticane, se réjouit, dans le quotidien catholique Avvenire, de la "position extraordinairement ouverte de Nicolas Sarkozy sur le thème des religions".

En août 2007, il interrompt ses vacances dans le New Hampshire pour assister aux funérailles du cardinal Lustiger à Notre-Dame.

"Le long manteau d'églises et de cathédrales qui recouvre notre pays"

Le 13 décembre 2007, le chef de l'Etat se rend à l'Archevêché de Paris pour une réception en l'honneur d'André Vingt-Trois, nouveau président de la Conférence des évêques de France. A cette occasion, il évoque le "long manteau d'églises et de cathédrales qui recouvre notre pays". "La France est majoritairement catholique, chrétienne" insiste-t-il. Il s'oppose ainsi à Jacques Chirac qui s'était montré réservé à propos des "racines chrétiennes de l'Europe", mention que l'Union européenne avait envisagé de faire figurer dans le préambule de la future constitution.

Le 19 décembre 2007, en visite au Vatican - sept mois après le début de son mandat, alors que Jacques Chirac avait mis trois ans avant de s'y rendre-, il rappelle que "Les racines de la France sont essentiellement chrétiennes". Il entend "assumer pleinement le passé de la France et ce lien particulier qui a si longtemps uni notre nation à l'Église". Il reprend aussi son antienne sur l'opposition entre l'instituteur et le curé: "Dans la transmission des valeurs, (...) l'instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur" professe-t-il dans son discours à la basilique Saint-Jean-de-Latran.


Et un petit extrait à voir...


En janvier 2008, à l'occasion des voeux aux principales autorités religieuses du pays, Mgr André Vingt-Trois, se réjouit d'une "nouvelle manière d'aborder le fait religieux, plus paisible et moins conflictuelle, qui correspond à une nouvelle génération politique".

Brouille passagère

Pourtant, entre décembre 2007 et fin janvier 2008, la cote de popularité du président de la République fléchit de 15% chez les catholiques pratiquants, selon une analyse IFOP pour La Vie. Le quotidien chrétien trouve quelques raisons à ce désamour: la surexposition de sa vie privée (son divorce puis sa liaison avec Carla Bruni), les critiques des évêques sur la politique d'immigration et l'incapacité à s'engager sur le pouvoir d'achat qui apparaît comme une désertion du terrain social.

En février 2008, Nicolas Sarkozy, chanoine honoraire de la basilique Saint-Jean-de-Latran à Rome - comme tous les présidents français - fait parvenir un message de "voeux" à quatre diacres catholiques traditionalistes qui viennent d'y être ordonnés.

En septembre 2008, recevant en grande pompe, le pape à l'Elysée, le chef de l'Etat relance son concept de "laïcité positive".

Malaise sur la question des Roms

Après les expulsions de Roms en août 2010, le pape exprime sa désapprobation devant des pèlerins français. "Les textes liturgiques de ce jour nous redisent que tous les hommes sont appelés au salut. C'est aussi une invitation à savoir accueillir les légitimes diversités humaines, à la suite de Jésus venu rassembler les hommes de toute nation et de toute langue", déclare-t-il lors de la prière de l'Angelus, le 22 août.

L'Église n'apprécie pas les méthodes musclées et s'inquiète de la stigmatisation d'un groupe ethnique.

La tenue mauve n'autorise pas les dérapages
L'archevêque Agostino Marchetto, secrétaire du Conseil pontifical pour les migrants dénonce, lui, une violation des règles de l'UE qui "interdisent les expulsions collectives et qui précisent qu'il ne peut y avoir d'expulsion sans grave danger pour la sécurité". "Les rapatriements sont illégitimes", renchérit Mgr Giancarlo Perego pour le compte de la Conférence épiscopale italienne.

Le 8 septembre, à l'Élysée, le président de la république aurait confié aux députés UMP, selon La Croix, qu'il aurait l'occasion d'évoquer avec le pape les réactions de certains ecclésiastiques critiques sur la politique menée à l'endroit des Roms: "La tenue mauve n'autorise pas les dérapages".

Sarkosy n'a de chrétien que le fait d'être un marrane, ou disons de façon plus moderne, un crypto juif-maçonnnique.
Son discours n'était destiné qu'à mettre de la poudre aux yeux des catholiques naïfs, afin de leurs arracher leurs vote.

Vous savez bien, tout comme moi que Sarkozy n'as rien de catholique.
Son seul intérêt se porte sur les vaines mondanités du Réprouvé.

Bonjour à tous,

On nous a piégés pour les élections du Président en nous montrons une famille unie et solidaire.
La suite tout le peuple de France la connait.
L'affaire était bien montée et aujourd'hui la casse continue président après président.
ON ne gouverne pas sans DIEU.
Notre vie doit être un exemple. IL faut arrêter avec le massacre des innocents en France maintenant et toutes les lois contre nature qui défigurent notre belle France.
Les racines de la France sont CHRÉTIENNES.
Servir Dieu avant tout et ne pas dire qu'on est chrétien occasionnel, quand cela nous arrange ou faire monter notre côte de popularité...
Que Dieu nous bénisse tous et que le ménage se fasse selon la volonté de Dieu.

Il doit le faire pour les élection de 2012!
Mais je ne pense pas que cela changera quelque chose pour lui!
A moins d'un sacré coup d'état!

ne soyons pas dupes, je ne crois pas un seul mot de notre Président, son voyage à Rome est simplement un voyage pour redorer son blason avec tous les catholiques.

N'oublions pas un franc-macon ne fait rien pour rien, et là notre sarko va pour surtout pour lui et sa gloriole.

ET comme dit Hercule n'oublions pas les paroles de Marie Julie à son sujet
c'est vraiment un poteau de boue

Violaine

bonjour à tous
beaucoup s'acharnent sur Sarkozy.Je m'interdis de juger quiconque car je fais mienne la maxime de Jésus " tu ne jugeras point".Par contre, j'ai également l'autre commandement de Jésus pour faire contre-poids, si je puis dire, "tu les reconnaîtras à leurs fruits".Et là, je me permets de constater que leurs fruits sont très amers.Sarkozy, comme tout homme sur cette Terre sera un jour mis devant ses responsabilités (si ce n'est devant les hommes, ce le sera devant Dieu)...Sarkozy n'en est qu'un parmi des milliers d'autres qui selon moi, servent Satan et ses oeuvres.Le seul moyen de salut est de se tourner vers Jésus qui est le Chemin, la Vérité et la Vie.C'est lui seul qui est mon guide.Je lui parle comme s'il était en face de moi car je sais qu'il entend mon appel.Je n'ai ni "maire, ni député, ni sénateur, ni président, ni chef" même s'ils peuvent éventuellement me faire face dans la vie de tous les jours.Je les respecte en tant qu'homme ou femme (ils sont mes frères en Jésus-Christ) mais je ne respecte pas ce qu'ils font ou commandent.
Et je dois dire que je suis très heureuse avec cet état d'esprit.
J'essaie de faire de mon mieux chaque jour en me recommandant à Dieu et en m'excusant de ce qui lui déplaira car je ne suis qu'une humble humaine mais je sais que je peux compter sur son pardon.Je suis les 10 commandements et franchement, je dois dire que Jésus aplanit bien mon chemin.Je le remercie lui et la Vierge Marie tous les jours et recommandant également l'âme de tous les humains.
Bonne journée à tous

merci pour tous ces messages que je partage profondément, c'est le même Esprit qui est à l'oeuvre, il existe ce petit reste guidé par le même Esprit. Comme dit notre Maman Marie : Priez, Priez, Priez, le Père se laisse toucher par nos prières. Prions notre bon père St Joseph lui qui a vécu toute sa vie en présence de la Présence Trinitaire, qui a été rempli jour après jour comme Marie, et en qui l'Image du Père s'est incrusté en lui, fait à la ressemblance de notre Seigneur et Dieu le Père, il a quelque chose à voir avec le retour héroîque de son vénérable Fils, Fils de l'Homme en Joseph et Marie Fils de Dieu, JESUS SEIGNEUR DES SEIGNEURS ROIS DES ROIS VRAI DIEU ET VRAI ET VRAIMENT HOMME. QU IL SOIT BENI CELUI QUI VIENT AU NOM DU SEIGNEUR.
SOYEZ TOUS BENIS DE LA BENEDICTION TRINITAIRE EN MARIE ET JOSEPH
bueno

Quand je lis ces commentaires débiles qui vantent le catholicisme de ce triste personnage, PITIE SEIGNEUR !!!

Il n'a qu'une ambition en allant à ROME, récupérer son électorat de droite catho qui commence à se déchirer avec l'affaire des ROM, sa réforme pourrie sur les retraites et son idée d'identité nationale. Mais qu'est ce que vous avez dans les yeux ?

Ce mec met en place une dictature dans précédant depuis son arrivée au pouvoir, il trahit toutes es valeurs chrétiennes et républicaine. Le général et François doivent se retourner dans leur tombe.

Il est "maqué" grave avec les illuminatis, il trempe dans ce complot diabolique pour installer l'Antichrist. Toutes les prophéties mariales le disent.
Que ça fait du mal de voir des chrétiens complètement à côté de leur pompe, des "beni oui oui" qui font le jeu de l'énemi de la Foi :
Lucifer.

http://video.thehobbyguy.tv/video/Crise-Organise-pour-un-Nouvel-O

Revoyez le discours du nouvel an en 2009 au corps diplomatique sur le nouvel ordre mondial.

La Foi c'est d'être un minimum clairvoyant et intelligent !!!

Union de Prière

Demis

Merci Demis.

Cependant j'ajoute une demande : cautionnez-vous la France républicaine ?

Cautionnez, le terme est fort. Je pense qu'il y eu de bonne chose avec l'application de valeurs républicaine, dont un grand paquet repose sur les valeurs chrétiennes. Le Pape Jean Paul II a dit devant la Tour Effeil aux JMJ : Vive la République, Vive la France comme le Général De Gaulle, donc il y a du bon. Certes il y a eu du mauvais car n'oublions pas qu'à l'origine, surtout pendant la terreur, c'était un projet illuminati avec Robespierre qui persécuter les chrétiens de Vendée (sermon obligatoire, etc...). De toute façon Jésus a dit dans un champ il y a le blé et de l’ivraie, ne coupons pas tout pour ne pas couper le blé. L’ivraie sera coupé et brûlé à la fin des temps. Il faut aussi espérer en tout nos frères même ceux qui trahissent le Christ dans ces projets sataniques. Jésus a pardonné jusqu'à la mort...je crois qu'aucun système est meilleur qu'un autre...ce qui compte c'est son rapport avec Dieu, s'il le combat, alors il est mauvais, comme actuellement le système libéral, communiste (chinois) ou autre...Le meilleur pape qui a expliqué tout cela c'est Léon XIII le meileur des meilleur "rerum novarum".

Biz à Christine.

Demis

Je lirai "rerum novarum".

Vous avez écrit : "Jésus a pardonné jusqu'à la mort...je crois qu'aucun système est meilleur qu'un autre...ce qui compte c'est son rapport avec Dieu, "

Peu de personnes réalisent que Jésus a demandé à son Père de pardonner... même s'il fait un avec Lui. Mystère de la Trinité.

En tous cas la France a une vocation très spéciale.

Je suis d'accord, la France est Eternelle, elle sera un des trois pays à combattre l'antechrist avec la Pologne et l'Angleterre ou l'Irlande (prophétie de Maria Valtorta). En tout cas, je souffre beaucoup de voir le visage actuel de mon, pays qui va dans le mauvais sens et qui attirera la colère du Père. Comme beaucoup le disent, il n'y a que la prière surtout le Rosaire pour compenser tout cela.

Bonne nuit Christine.

Demis

à DEMIS

FRANCOIS n'était pas un saint , et il a trompé beaucoup de monde .............

Attention Christine à ce que tu dis, je n'ai jamais dit que c'était un saint comme le général d'ailleurs. En politique, tous trompent, sinon ce n'est pas de la politique. Après, il y a les degrés divers et la volonté de faire du mal.

Dans la Vème, il n'y en a que deux qui ont essayé, même avec leur tromperie, de faire avancer et servir la France : le Général et François. Les autres se sont servis, ont pillé et ont trahi la France.

Tout est relatif ma chère Christine. Le coeur de l'homme est ni blanc ni noir, il est ce qu'il est dans le péché originel, c'est Jésus seul qui restaure le coeur de l'homme !

Après il y a ceux qui servent volontairement le mal dans toute sa splendeur, ceux là sont plus que trompeurs, ce sont des judas, des traites. Ni François, ni le Général faisaient parti de cette race d'homme.

Si c'est pour s'affronter sur une interprétation ou un mot, ce ne m'intéresse pas de parler. Bon dimanche, fait que j'aille à la messe.

Bonne journée Christine.

Ouh la la...

Comment se fait-il qu'on attribue à Christine tous les péchés du monde sans lire qui écrit quoi ? Si ça continue les quiproquos deviendront dangereux.

Demis, vous attribuez à Christine ce qu'a écrit salome, tout en lui (à Christine) souhaitant une bonne journée.

N'ECRIVONS PAS TROP VITE dans l'enthousiasme de fournir une réponse.

Biz à Demis.