Du scandale de la mise sous tutelle de Mme Madeleine Aumont

Association « Pour Votre Liberté et pour la Nôtre ! »
Adresse courrier : 6, avenue du Président Delcourt - 64600 ANGLET

Extraits de nos statuts :
C’est une Association de Défense des Victimes - ayant pour objet - la Lutte contre - la culture de mort - ; le Respect des - Libertés fondamentales contre toute forme d’abus de la société civile et de l’Etat ; et la Lutte contre - le bannissement et toute forme de mort civile. La Défense des personnes - atteintes par les désordres publics et par les infractions de corruption, concussion, malversation, trafic d’influence et tous les autres actes délictueux liés ou connexes à ces violations, de quelque nature que ce soit et dans tous domaines ayant entraîné un préjudice à l’une des personnes citées en titre et en objet. Victimes notamment de : déni de justice, rumeur médiatisée, viol de vie privée, crimes sur enfants - Le Président ou son représentant ont capacité à rétablir la Vérité, à représenter les intérêts des personnes auprès des Institutions, à intervenir contre tout dysfonctionnement judiciaire et à ester en justice devant les tribunaux.


LR + AR n° RA 988 952 9 FR
Madame ROBIN
Juge des Tutelles au Tribunal d’Instance
Rue Eugène Pian - BP 49
14130 PONT-L’EVEQUE

Objet : Procédure de protection
Madeleine MARGUERITTE épouse AUMONT.





Bayonne, le 16 novembre 2006
Madame le Juge,


Notre association de défense est saisie du cas de Mme Madeleine AUMONT convoquée le 20 novembre 2006, à une audience tenue sous votre présidence pour des raisons que nous ignorons.

Selon les divers éléments d’information en notre possession, il apparaît que Mme AUMONT a été mise sous tutelle et placée, contre sa volonté, dans une maison de retraite de Livarot, à 40 km de son domicile.
Toutefois, Mr Philippe BELLOIR, Juge des Tutelles au Tribunal de PONT-L’EVEQUE semblait favorable au retour de Mme AUMONT à Dozulé, ville qui lui est chère, mais la maison de retraite des Mâtines, bien que disposant de chambres libres, s’y serait opposé.

Nous comprenons l’épreuve douloureuse que ces tergiversations peuvent représenter pour une personne de cet âge cahotée de droite à gauche et enjeu de toutes sortes de pressions ou récupérations plus ou moins bien intentionnées dont Mme AUMONT est nullement responsable.

En ce sens, nous nous adressons à vous pour que vous puissiez aider à démêler au mieux cette affaire dans l’intérêt de Mme AUMONT, la seule victime réelle, en faisant abstraction de toutes manipulations dont elle peut-être l’objet de part et d’autre, afin de préserver au mieux ses intérêts matériels, et enfin de préserver surtout la fin de ses jours dans une paix bien méritée, d’autant qu’il existe des raisons bien réelles et importantes à nos yeux pour justifier son retour à Dozulé.

Or, quelles que soient les raisons qui pourraient être invoquées aujourd’hui pour discréditer Mme AUMONT, dans le respect de vos propres convictions, il nous paraît toutefois utile et même indispensable en cette matière délicate et nécessairement controversée, de vous informer que le Père René LAURENTIN, membre de l’Académie Pontificale de Théologie et spécialiste international des phénomènes mystiques auquel il est régulièrement fait appel pour discerner entre les vrais mystiques et les affabulateurs, invité à témoigner sur Mme AUMONT dans une émission télévisée de grande écoute, après avoir enquêté sur elle, a bien voulu livrer le fond de sa pensée en reconnaissant en elle « une personne équilibrée, simple, droite et intègre. »

C’est pourquoi, Madame le Juge, nous plaçons en vous notre confiance pour l’aider à retourner dans cette ville qu’elle n’aurait jamais dû quitter, persuadé que la Providence vous récompensera pour cet acte juste, dont nous nous permettons par avance de vous remercier bien vivement.


Je vous prie d’agréer, Madame le Juge, l’expression de mon profond respect.


Le Président
Raymond SAGARZAZU

Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 13,16-20.

Amen, amen, je vous le dis : le serviteur n'est pas plus grand que son maître, le messager n'est pas plus grand que celui qui l'envoie. Si vous savez cela, heureux êtes-vous, pourvu que vous le mettiez en pratique. Je ne parle pas pour vous tous. Moi, je sais quels sont ceux que j'ai choisis, mais il faut que s'accomplisse la parole de l'Écriture : Celui qui partageait mon pain a voulu me faire tomber. Je vous dis ces choses dès maintenant, avant qu'elles n'arrivent ; ainsi, lorsqu'elles arriveront, vous croirez que moi, JE SUIS. Amen, amen, je vous le dis : recevoir celui que j'envoie, c'est me recevoir moi-même ; et me recevoir, c'est recevoir celui qui m'envoie. »

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus (1873-1897), carmélite, docteur de l'Église. Manuscrit autobiographique B, 2v°-3v°

« Recevoir celui que j’envoie, c’est me recevoir moi-même ;
et me recevoir, c’est recevoir celui qui m’a envoyé »


Être ton épouse, ô Jésus, être carmélite, être par mon union avec toi la mère des âmes, cela devrait me suffire. Il n’en est pas ainsi. Sans doute, ces trois privilèges sont bien ma vocation -- carmélite, épouse et mère -- cependant je sens en moi d’autres vocations… Je sens le besoin, le désir d'accomplir pour toi, Jésus, toutes les oeuvres les plus héroïques... Malgré ma petitesse, je voudrais éclairer les âmes comme les prophètes, les docteurs ; j’ai la vocation d’être apôtre. Je voudrais parcourir la terre, prêcher ton nom et planter sur le sol infidèle ta Croix glorieuse, mais, ô mon Bien-Aimé, une seule mission ne me suffirait pas, je voudrais en même temps annoncer l'Évangile dans les cinq parties du monde et jusque dans les îles les plus reculées. Je voudrais être missionnaire non seulement pendant quelques années, mais je voudrais l'avoir été depuis la création du monde et l'être jusqu'à la consommation des siècles...

Ô mon Jésus ! à toutes mes folies que vas-tu répondre ? Y a-t-il une âme plus petite, plus impuissante que la mienne ? Cependant à cause même de ma faiblesse tu t'es plu, Seigneur, à combler mes petits désirs enfantins, et tu veux aujourd'hui combler d'autres désirs plus grands que l'univers… J’ai compris que l’amour renfermait toutes les vocations, que l’amour était tout, qu’il embrassait tous les temps et tous les lieux ; en un mot qu’il était éternel… Ma vocation, enfin je l’ai trouvée, ma vocation, c’est l’amour.

Témoignage

Je suis écrivain et journaliste inscrite à la Société des Gens de Lettres de France.

J'exprime mon indignation en faveur de Serge Blancher, de l'homme droit, noble et honnête, de l'homme qui mérite le "Prix Nobel" de la Paix, de l'Amour et du désintéressement.

Il a porté les Croix dans le monde entier, dans les bombardements, chaque fois risquant sa vie, il a soutenu des personnes par centaines, il les a aidées, il les a sauvées de la misère

Où est la faute ? dans ce pays de liberté, fraternité et égalité. Monsieur, vous êtes libre de jouer aux échecs, comme moi je suis libre d'être catholique. Je suis libre de porter ma Croix avec Serge Blancher.

Pour qu'il n'y ait plus de banditisme sur la Terre, laissez "en Paix la Paix", laissez l'Amour s'épanouir.

16-juin 2006
Catherine Margaret