Le pape dénonce la violence de l'islam
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Le pape dénonce la violence de l'islam
Le pape dénonce la violence de l'islam
Benoît XVI monte encore d'un cran à l'égard de la religion de Mahomet, n'hésitant pas à condamner ouvertement ses dogmes jihadistes et hégémoniques.
On se souvient de l'attitude dhimmie du précédent pape Jean-Paul II, embrassant l'horrible Coran en Syrie, ou écoutant le président syrien cracher sa haine contre les Juifs dans l'église transformée en mosquée où repose Saint Jean le Baptiste.
Si Jean-Paul II fut le pape qui a combattu le totalitarisme communiste aux 100 millions de morts, Benoît XVI est celui qui s'attaque au fascislamisme.
En effet, le pape actuel est partisan du dialogue avec les populations musulmanes, mais reste ferme sur les principes chrétiens et occidentaux, refuse toute concession à l'islam et rappelle aux musulmans leurs devoirs humains.
Mardi, dans une messe rassemblant 230.000 fidèles puis à l'université de Ratisbonne, en Bavière, où il était enseignant, Benoît XVI a lancé clairement la confrontation avec la religion de Mahomet. Il a rappelé que celle-ci comporte de nombreux aspects inacceptables au nom des valeurs chrétiennes, de l'héritage des philosophes grecs et des Lumières, et de la conception occidentale de Dieu.
Reprochant à l'islam « les destructions de l'image de Dieu provoquées par la haine et le fanatisme », le pape a usé de la parabole en rappelant l'opposition, au XIVème siècle, entre les empereurs chrétiens de Constantinople et les partisans de la charia. Benoît XVI affirme en citant Manuel II : « Montrez-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau. Vous ne trouverez que des choses mauvaises et inhumaines, comme le droit de défendre par l'épée la foi qu'il prêchait. »
Le pape a également condamné les conversions forcées, faisant encore allusion à l'idéologique islamique qui ordonne la soumission ou la conversion des non-musulmans.
Le discours tenu dans un amphithéâtre comble fit mouche et le pape fut longuement applaudi par les professeurs, les élèves et les intellectuels présents.
Ainsi, peu à peu et avec diplomatie mais fermeté, Benoît XVI rappelle de plus en plus expressément aux musulmans que le dialogue n'est pas à ses yeux la soumission et l'acceptation, mais tout au contraire la plus intransigeante fermeté sur les horreurs du dogme islamique. En résumé, le pape dit aux musulmans : tu veux discuter ? OK mais à condition que tu condamnes les saloperies de ta religion, saloperies que tu dois condamner. Point.
La presse allemande interprète d'ailleurs généralement le discours papal comme la marque d'une rupture entre le christianisme et l'islam au nom de certaines valeurs antagonistes, et même une adhésion voilée de crainte quant au « choc des civilisations ». Des intellectuels chrétiens islamophiles craignent une réaction d'hostilité voire de représailles de la part de certains adeptes de la religion de Mahomet, comme lors de l'affaire des caricatures. A Rome, les diplomates les plus dhimmis essaient de calmer le jeu.
Les déclarations papales n'ont pourtant fait réagir que très timidement quelques organisations musulmanes, en particulier aux Etats-Unis et en Italie. Elles réaffirment, continuant à mentir effrontément tel des Dalil Boubakeur, que « l'islam est une religion de paix » ou que « Mahomet n'a jamais prôné la violence ». Au lendemain de l'anniversaire du 11 septembre, ces difficiles exercices de takia allient l'ignominie au ridicule.
L'autre argument utilisé par les musulmans contre les déclarations papales est que « toutes les religions » ont connu des heures sombres, comme par exemple les Croisades pour les chrétiens. Argument doublement fallacieux, d'une part parce que les Croisades furent une réponse défensive au jihad musulman, et d'autre part parce la violence est prônée par le Coran et Mahomet et elle est par conséquent intrinsèque à l'islam, tandis que le christianisme condamne toute violence. Les violences des chrétiens furent commises en opposition aux dogmes chrétiens alors que les violences islamiques sont ordonnées aux musulmans par leur divinité Allah dans leur Coran.
C'est exactement ce que le pape a expliqué en opposant implicitement le Dieu des chrétiens et les dogmes jihadistes et totalitaires de l'islam, en dénonçant « une doctrine » pour laquelle « la volonté de Dieu n'est liée à aucune de nos catégories, même pas celle de la raison ».
Devant cette nouvelle étape dans la condamnation papale de l'islam, on attend avec impatience les mea culpa des évêques et curés dhimmis de France, comme par exemple Monseigneur Blondel qui a bradé un terrain de l'Eglise à Tournon-sur-Rhône pour que les musulmans puissent y édifier une mosquée, ou encore le père Lelong, habitué des congrès des Frères Musulmans de l'UOIF, que l'on vit défiler sous les drapeaux du Hezbollah à Paris en compagnie de slogans antisémites, de mollahs hezbollati et de Mouloud Aounit.
Le pape Benoit XVI doit effectuer son premier voyage dans un pays musulman en novembre, en Turquie, alors qu'il a toujours clairement exprimé son opposition à l'entrée dans l'Union Européenne de ce pays dirigé actuellement par un gouvernement islamiste. Ca va être chaud…
http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=10182
Benoît XVI monte encore d'un cran à l'égard de la religion de Mahomet, n'hésitant pas à condamner ouvertement ses dogmes jihadistes et hégémoniques.
On se souvient de l'attitude dhimmie du précédent pape Jean-Paul II, embrassant l'horrible Coran en Syrie, ou écoutant le président syrien cracher sa haine contre les Juifs dans l'église transformée en mosquée où repose Saint Jean le Baptiste.
Si Jean-Paul II fut le pape qui a combattu le totalitarisme communiste aux 100 millions de morts, Benoît XVI est celui qui s'attaque au fascislamisme.
En effet, le pape actuel est partisan du dialogue avec les populations musulmanes, mais reste ferme sur les principes chrétiens et occidentaux, refuse toute concession à l'islam et rappelle aux musulmans leurs devoirs humains.
Mardi, dans une messe rassemblant 230.000 fidèles puis à l'université de Ratisbonne, en Bavière, où il était enseignant, Benoît XVI a lancé clairement la confrontation avec la religion de Mahomet. Il a rappelé que celle-ci comporte de nombreux aspects inacceptables au nom des valeurs chrétiennes, de l'héritage des philosophes grecs et des Lumières, et de la conception occidentale de Dieu.
Reprochant à l'islam « les destructions de l'image de Dieu provoquées par la haine et le fanatisme », le pape a usé de la parabole en rappelant l'opposition, au XIVème siècle, entre les empereurs chrétiens de Constantinople et les partisans de la charia. Benoît XVI affirme en citant Manuel II : « Montrez-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau. Vous ne trouverez que des choses mauvaises et inhumaines, comme le droit de défendre par l'épée la foi qu'il prêchait. »
Le pape a également condamné les conversions forcées, faisant encore allusion à l'idéologique islamique qui ordonne la soumission ou la conversion des non-musulmans.
Le discours tenu dans un amphithéâtre comble fit mouche et le pape fut longuement applaudi par les professeurs, les élèves et les intellectuels présents.
Ainsi, peu à peu et avec diplomatie mais fermeté, Benoît XVI rappelle de plus en plus expressément aux musulmans que le dialogue n'est pas à ses yeux la soumission et l'acceptation, mais tout au contraire la plus intransigeante fermeté sur les horreurs du dogme islamique. En résumé, le pape dit aux musulmans : tu veux discuter ? OK mais à condition que tu condamnes les saloperies de ta religion, saloperies que tu dois condamner. Point.
La presse allemande interprète d'ailleurs généralement le discours papal comme la marque d'une rupture entre le christianisme et l'islam au nom de certaines valeurs antagonistes, et même une adhésion voilée de crainte quant au « choc des civilisations ». Des intellectuels chrétiens islamophiles craignent une réaction d'hostilité voire de représailles de la part de certains adeptes de la religion de Mahomet, comme lors de l'affaire des caricatures. A Rome, les diplomates les plus dhimmis essaient de calmer le jeu.
Les déclarations papales n'ont pourtant fait réagir que très timidement quelques organisations musulmanes, en particulier aux Etats-Unis et en Italie. Elles réaffirment, continuant à mentir effrontément tel des Dalil Boubakeur, que « l'islam est une religion de paix » ou que « Mahomet n'a jamais prôné la violence ». Au lendemain de l'anniversaire du 11 septembre, ces difficiles exercices de takia allient l'ignominie au ridicule.
L'autre argument utilisé par les musulmans contre les déclarations papales est que « toutes les religions » ont connu des heures sombres, comme par exemple les Croisades pour les chrétiens. Argument doublement fallacieux, d'une part parce que les Croisades furent une réponse défensive au jihad musulman, et d'autre part parce la violence est prônée par le Coran et Mahomet et elle est par conséquent intrinsèque à l'islam, tandis que le christianisme condamne toute violence. Les violences des chrétiens furent commises en opposition aux dogmes chrétiens alors que les violences islamiques sont ordonnées aux musulmans par leur divinité Allah dans leur Coran.
C'est exactement ce que le pape a expliqué en opposant implicitement le Dieu des chrétiens et les dogmes jihadistes et totalitaires de l'islam, en dénonçant « une doctrine » pour laquelle « la volonté de Dieu n'est liée à aucune de nos catégories, même pas celle de la raison ».
Devant cette nouvelle étape dans la condamnation papale de l'islam, on attend avec impatience les mea culpa des évêques et curés dhimmis de France, comme par exemple Monseigneur Blondel qui a bradé un terrain de l'Eglise à Tournon-sur-Rhône pour que les musulmans puissent y édifier une mosquée, ou encore le père Lelong, habitué des congrès des Frères Musulmans de l'UOIF, que l'on vit défiler sous les drapeaux du Hezbollah à Paris en compagnie de slogans antisémites, de mollahs hezbollati et de Mouloud Aounit.
Le pape Benoit XVI doit effectuer son premier voyage dans un pays musulman en novembre, en Turquie, alors qu'il a toujours clairement exprimé son opposition à l'entrée dans l'Union Européenne de ce pays dirigé actuellement par un gouvernement islamiste. Ca va être chaud…
http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=10182
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