Notre Dame du St Cordon
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Notre Dame du St Cordon
La dévotion à Notre-Dame du Saint-Cordon remonte au XIème siècle à suite d'un miracle de la Sainte Vierge qui délivra cette ville de la peste, en l'entourant d'un cordon qui encercla son territoire. Le Tour du St Cordon a lieu le deuxième dimanche de septembre à Valenciennes. En cette année 2009, le pèlerinage a fêté son millénaire …
Voici l’histoire :
LE MIRACLE DU SAINT-CORDON
Charlemagne fit à Valenciennes un assez long séjour et y tint même une assemblée de ses états généraux. Pour son propre usage, et pour satisfaire sa dévotion, le pieux monarque fit bâtir une chapelle qu'il dédia à la très Sainte Vierge. C'est dans ce sanctuaire, situé à l'endroit même où s'éleva deux siècles plus tard la splendide église de Notre Dame la Grande que s'est passé l'événement le plus important du culte de Notre Dame du Saint Cordon.
En l'an 1008, une terrible peste vint éprouver Valenciennes. La ville perdit en quelques jours environ 7000 à 8000 de ses enfants, sans que l'épidémie parut rien diminuer de sa fureur. Nulle famille ne trouvait grâce devant elle. L'art était impuissant à combattre le mal. Aussi l'effroi se répandit dans la cité. Le spectacle de la mort, l'avenir avec sa terrible menace, firent sur les esprits une impression profonde.
On n'espérait plus rien des hommes, on se tourna vers le ciel. Nuit et jour, les églises et l'antique chapelle dédiée à Marie par un prince chrétien, regorgeaient de suppliants qui entouraient, avec des larmes, les autels de la mère de Dieu. Ils la conjuraient, au milieu des angoisses de leur douleur, de mettre en oubli leurs offenses passées et de se souvenir que la miséricorde est le plus beau fleuron de sa couronne. Ils cherchaient à l'attendrir en lui rappelant qu'eux et leurs ancêtres avaient toujours conservé l'honneur de son culte et le respect de son nom.
Cependant, non loin de Valenciennes, au village de Pont aujourd'hui disparu, vivait en ce temps là un saint ermite à qui la tradition donne le nom de Bertholin. Il habitait une pauvre cabane bâtie près d'une fontaine qui prit, depuis le nom de Notre Dame aux pierres.
Le pieux solitaire avait voué sa vie à la méditation et aux bonnes œuvres. Il passait de longues heures aux pieds de la statue de Marie, pour laquelle il avait une dévotion toute filiale. Sa sainteté lui attirait souvent de nombreux visiteurs qui cherchaient au près de lui des encouragements et des consolations, et qui, en retour, lui fournissaient en tout ce qui était nécessaire à sa pitance.
« Quand la peste fit son invasion à Valenciennes, et commença à sévir sans pitié, Bertholin redoubla d'austérités et de prières. Il conjura la reine du ciel de faire tomber sur lui le courroux de Dieu et d'épargner la ville coupable : « Exclurez-vous de vos faveurs ô Marie lui disait-il, cette cité dont les habitants se glorifient de vous avoir pour mère ; et n'étendrez-vous pas sur vos enfants ce bras protecteur qui porte secours au reste du monde ? »
« La Sainte Vierge est enfin touchée de ses supplications et de ses larmes ; et un jour qu'il lui ouvre son coeur avec plus d'abandon, sa cabane s'illumine soudain par l'éclat d'une lumière inconnue. Une femme toute rayonnante de gloire se présente à ses yeux. Ses traits respirent la douceur et la tendresse. La majesté de son regard et le sourire de ses lèvres découvrent en elle, une reine et une mère.
« Va trouver mon peuple de Valenciennes, lui dit-elle : annonce lui que j'ai désarmé mon fils. La nuit qui précédera la fête de ma nativité, mon peuple saura que ses vœux sont montés jusqu'à moi et que j'ai écouté le cri de sa détresse. Que mes serviteurs se rendent alors sur les murailles de la ville, là ils y verront des merveilles
« C'était le dernier jour du mois d'août de l'an 1008. Le saint ermite se lève en toute hâte pour remplir une mission si consolante et si douce. Il s'adresse au comte Herman, lui fait part de la faveur insigne dont il a été l'objet, et de la promesse de Marie. Toute la ville apprend bientôt cette heureuse nouvelle.
« Bertholin, animé du zèle de Dieu, parcourt, la croix à la main, les rues où se traînent, au milieu des morts, les malades chancelants et livides, il prêche la pénitence, et ramène dans tous les coeurs l'espoir avec le repentir. Tous, riches ou pauvres, grands ou petits, accourent en gémissant à l'autel de Marie : les rangs sont confondus par une commune infortune : on n'entend plus que des sanglots et les accents émus d'une immense douleur et d'une invocation fervente. « Ils jettent au ciel les yeux baignés de larmes, les sanglots au coeur, les soupirs à la bouche, se plombant la poitrine de coups et prosternés aux pieds des prêtres, confessant leurs fautes et en demandant très humblement pardon. »
Le 7 du mois de septembre, à la tombée de la nuit, le comte, le magistrat et une foule considérable se pressent sur les remparts, au sommet des tours, dans les lieux les plus élevés impatients de voir l'effet des promesses célestes. Les yeux sont fixés vers le ciel d'où doit venir l'assistance, et tous les cœurs palpitent comme dans l'attente d'une grande chose. Soudain les ténèbres s'écoulent pour faire place à un jour resplendissant ; et au milieu de cet éclat, à la vue de plus de quinze mille témoins, apparaît se tenant immobile au-dessus de l'antique oratoire bâti par Charlemagne, une Reine entourée d'une auréole étincelante, mais si douce qu'elle fortifie le regard sans l'éblouir. Une troupe d'anges et de bienheureux formaient son cortège. Elle tenait à la main un immense cordon écarlate. Un ange en prit une extrémité, et d'un vol rapide en fit le tour de la ville dans la circonférence de deux lieues, en laissant tomber sur son passage le précieux cordon qui bientôt environna la cité comme une ceinture protectrice. Le céleste messager rejoignit alors le cortège de la mère de Dieu, et la vision s'évanouit.
« Qui nous expliquera, dit un ancien historien du miracle, le sentiment de toute l'assistance, la joie de leurs cœurs, l'extase de leurs esprits, les douces larmes de dévotion qui roulaient sur leurs joues, les soupirs et les sanglots qui sortaient de leurs bouches ! C'est en vain que nous nous efforcerions de les décrire, puisque eux-mêmes n'ont pas trouvé de paroles pour s'entretenir pendant ce mystère, mais l'ont révéré d'un chaste silence. Aussi de vrai fût-ce une faveur qui est sans exemple. Car où lirait-vous qu'un peuple tout entier ait joui de l'apparition et de la contemplation de la mère de Dieu ? »
De sa cellule, où il suppliait le ciel de jeter sur tant d'infortunés un regard favorable, le bon ermite fut témoin du miracle et de la ravissante vision. Mais ce qui mit le comble à sa joie fut d'être honoré d'une seconde visite de Notre Dame. Elle le chargea de dire aux habitants de Valenciennes que, chaque année, au jour de sa Nativité, ils devaient faire une procession solennelle, en suivant la trace du filet descendu des cieux, qu'il fallait commencer dès le lendemain, et qu'au retour la peste cesserait de sévir.
Bertholin rendit compte au peuple de son heureuse missive. Tous s'empressèrent d'accomplir la volonté de Marie. On sortit de la ville en chantant les louanges de la Vierge Mère. Aussitôt que l'on eut achevé la procession et renfermé le Saint Cordon dans la petite chapelle du Neuf Bourg, la contagion disparut, les malades recouvrèrent instantanément la santé et l'allégresse la plus vive remplaça la consternation et le deuil.
Le magistrat au nom de la cité, et en reconnaissance de ce grand bienfait, s'engagea par voeu à faire, chaque année, le 8 septembre, une procession autour de la ville, sur la route marquée par le cordon protecteur.
http://www.saint-cordon.com/page-1000.html
Merci à Marie, qui ne déçoit pas...
Voici l’histoire :
LE MIRACLE DU SAINT-CORDON
Charlemagne fit à Valenciennes un assez long séjour et y tint même une assemblée de ses états généraux. Pour son propre usage, et pour satisfaire sa dévotion, le pieux monarque fit bâtir une chapelle qu'il dédia à la très Sainte Vierge. C'est dans ce sanctuaire, situé à l'endroit même où s'éleva deux siècles plus tard la splendide église de Notre Dame la Grande que s'est passé l'événement le plus important du culte de Notre Dame du Saint Cordon.
En l'an 1008, une terrible peste vint éprouver Valenciennes. La ville perdit en quelques jours environ 7000 à 8000 de ses enfants, sans que l'épidémie parut rien diminuer de sa fureur. Nulle famille ne trouvait grâce devant elle. L'art était impuissant à combattre le mal. Aussi l'effroi se répandit dans la cité. Le spectacle de la mort, l'avenir avec sa terrible menace, firent sur les esprits une impression profonde.
On n'espérait plus rien des hommes, on se tourna vers le ciel. Nuit et jour, les églises et l'antique chapelle dédiée à Marie par un prince chrétien, regorgeaient de suppliants qui entouraient, avec des larmes, les autels de la mère de Dieu. Ils la conjuraient, au milieu des angoisses de leur douleur, de mettre en oubli leurs offenses passées et de se souvenir que la miséricorde est le plus beau fleuron de sa couronne. Ils cherchaient à l'attendrir en lui rappelant qu'eux et leurs ancêtres avaient toujours conservé l'honneur de son culte et le respect de son nom.
Cependant, non loin de Valenciennes, au village de Pont aujourd'hui disparu, vivait en ce temps là un saint ermite à qui la tradition donne le nom de Bertholin. Il habitait une pauvre cabane bâtie près d'une fontaine qui prit, depuis le nom de Notre Dame aux pierres.
Le pieux solitaire avait voué sa vie à la méditation et aux bonnes œuvres. Il passait de longues heures aux pieds de la statue de Marie, pour laquelle il avait une dévotion toute filiale. Sa sainteté lui attirait souvent de nombreux visiteurs qui cherchaient au près de lui des encouragements et des consolations, et qui, en retour, lui fournissaient en tout ce qui était nécessaire à sa pitance.
« Quand la peste fit son invasion à Valenciennes, et commença à sévir sans pitié, Bertholin redoubla d'austérités et de prières. Il conjura la reine du ciel de faire tomber sur lui le courroux de Dieu et d'épargner la ville coupable : « Exclurez-vous de vos faveurs ô Marie lui disait-il, cette cité dont les habitants se glorifient de vous avoir pour mère ; et n'étendrez-vous pas sur vos enfants ce bras protecteur qui porte secours au reste du monde ? »
« La Sainte Vierge est enfin touchée de ses supplications et de ses larmes ; et un jour qu'il lui ouvre son coeur avec plus d'abandon, sa cabane s'illumine soudain par l'éclat d'une lumière inconnue. Une femme toute rayonnante de gloire se présente à ses yeux. Ses traits respirent la douceur et la tendresse. La majesté de son regard et le sourire de ses lèvres découvrent en elle, une reine et une mère.
« Va trouver mon peuple de Valenciennes, lui dit-elle : annonce lui que j'ai désarmé mon fils. La nuit qui précédera la fête de ma nativité, mon peuple saura que ses vœux sont montés jusqu'à moi et que j'ai écouté le cri de sa détresse. Que mes serviteurs se rendent alors sur les murailles de la ville, là ils y verront des merveilles
« C'était le dernier jour du mois d'août de l'an 1008. Le saint ermite se lève en toute hâte pour remplir une mission si consolante et si douce. Il s'adresse au comte Herman, lui fait part de la faveur insigne dont il a été l'objet, et de la promesse de Marie. Toute la ville apprend bientôt cette heureuse nouvelle.
« Bertholin, animé du zèle de Dieu, parcourt, la croix à la main, les rues où se traînent, au milieu des morts, les malades chancelants et livides, il prêche la pénitence, et ramène dans tous les coeurs l'espoir avec le repentir. Tous, riches ou pauvres, grands ou petits, accourent en gémissant à l'autel de Marie : les rangs sont confondus par une commune infortune : on n'entend plus que des sanglots et les accents émus d'une immense douleur et d'une invocation fervente. « Ils jettent au ciel les yeux baignés de larmes, les sanglots au coeur, les soupirs à la bouche, se plombant la poitrine de coups et prosternés aux pieds des prêtres, confessant leurs fautes et en demandant très humblement pardon. »
Le 7 du mois de septembre, à la tombée de la nuit, le comte, le magistrat et une foule considérable se pressent sur les remparts, au sommet des tours, dans les lieux les plus élevés impatients de voir l'effet des promesses célestes. Les yeux sont fixés vers le ciel d'où doit venir l'assistance, et tous les cœurs palpitent comme dans l'attente d'une grande chose. Soudain les ténèbres s'écoulent pour faire place à un jour resplendissant ; et au milieu de cet éclat, à la vue de plus de quinze mille témoins, apparaît se tenant immobile au-dessus de l'antique oratoire bâti par Charlemagne, une Reine entourée d'une auréole étincelante, mais si douce qu'elle fortifie le regard sans l'éblouir. Une troupe d'anges et de bienheureux formaient son cortège. Elle tenait à la main un immense cordon écarlate. Un ange en prit une extrémité, et d'un vol rapide en fit le tour de la ville dans la circonférence de deux lieues, en laissant tomber sur son passage le précieux cordon qui bientôt environna la cité comme une ceinture protectrice. Le céleste messager rejoignit alors le cortège de la mère de Dieu, et la vision s'évanouit.
« Qui nous expliquera, dit un ancien historien du miracle, le sentiment de toute l'assistance, la joie de leurs cœurs, l'extase de leurs esprits, les douces larmes de dévotion qui roulaient sur leurs joues, les soupirs et les sanglots qui sortaient de leurs bouches ! C'est en vain que nous nous efforcerions de les décrire, puisque eux-mêmes n'ont pas trouvé de paroles pour s'entretenir pendant ce mystère, mais l'ont révéré d'un chaste silence. Aussi de vrai fût-ce une faveur qui est sans exemple. Car où lirait-vous qu'un peuple tout entier ait joui de l'apparition et de la contemplation de la mère de Dieu ? »
De sa cellule, où il suppliait le ciel de jeter sur tant d'infortunés un regard favorable, le bon ermite fut témoin du miracle et de la ravissante vision. Mais ce qui mit le comble à sa joie fut d'être honoré d'une seconde visite de Notre Dame. Elle le chargea de dire aux habitants de Valenciennes que, chaque année, au jour de sa Nativité, ils devaient faire une procession solennelle, en suivant la trace du filet descendu des cieux, qu'il fallait commencer dès le lendemain, et qu'au retour la peste cesserait de sévir.
Bertholin rendit compte au peuple de son heureuse missive. Tous s'empressèrent d'accomplir la volonté de Marie. On sortit de la ville en chantant les louanges de la Vierge Mère. Aussitôt que l'on eut achevé la procession et renfermé le Saint Cordon dans la petite chapelle du Neuf Bourg, la contagion disparut, les malades recouvrèrent instantanément la santé et l'allégresse la plus vive remplaça la consternation et le deuil.
Le magistrat au nom de la cité, et en reconnaissance de ce grand bienfait, s'engagea par voeu à faire, chaque année, le 8 septembre, une procession autour de la ville, sur la route marquée par le cordon protecteur.
http://www.saint-cordon.com/page-1000.html
Merci à Marie, qui ne déçoit pas...
blanche- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1091
Inscription : 08/02/2007
Re: Notre Dame du St Cordon
Je viens encore une fois vous exhorter, dans l'Amour de Jesus et de Marie, a venir participer a la recitation du Saint-Rosaire, sur ce site meme (il y a deux fils).
Je sais que nombreux d'entre vous prient en prive.
Mais il ne faut pas mepriser la PUISSANCE de la Priere communautaire.
Meme si vous n'y participez qu'une fois par jour.
Meme si vous ne le faites que pendant ce mois d'Octobre qui vient.
Je radote encore.
La Vierge Marie a demande incessamment la Recitation du Saint-Rosaire.
C'est la Volonte de DIEU.
Nous devons - enfin ! - OBEIR.
Merci a tous ceux qui viendront rejoindre le Saint-Rosaire, sur ce site.
Nous prierons pour les autres. Et nous acceptons toutes vos intentions de Prieres.
Sachez que je reviendrai inonder des fils pour vous adresser ce Message, jusqu'a ce que vous entendiez les paroles de Notre Maman du Ciel
Je sais que nombreux d'entre vous prient en prive.
Mais il ne faut pas mepriser la PUISSANCE de la Priere communautaire.
Meme si vous n'y participez qu'une fois par jour.
Meme si vous ne le faites que pendant ce mois d'Octobre qui vient.
Je radote encore.
La Vierge Marie a demande incessamment la Recitation du Saint-Rosaire.
C'est la Volonte de DIEU.
Nous devons - enfin ! - OBEIR.
Merci a tous ceux qui viendront rejoindre le Saint-Rosaire, sur ce site.
Nous prierons pour les autres. Et nous acceptons toutes vos intentions de Prieres.
Sachez que je reviendrai inonder des fils pour vous adresser ce Message, jusqu'a ce que vous entendiez les paroles de Notre Maman du Ciel
beatnik- Avec les anges
- Messages : 7853
Inscription : 31/08/2009
Re: Notre Dame du St Cordon
Prier, se tourner vers le Ciel peut donner des miracles ...comme celui qui a eu lieu à Valenciennes en 1008, d'où ce pèlerinage millénaire du St Cordon :
http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/documentaire-chez-nous,-soyez-reine/00046573
___________________
des raisons d'Espérer et la force d'y croire...en priant
http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/nouveautes/documentaire-chez-nous,-soyez-reine/00046573
___________________
des raisons d'Espérer et la force d'y croire...en priant
blanche- Combat avec l'Archange Michel
- Messages : 1091
Inscription : 08/02/2007
Re: Notre Dame du St Cordon
blanche, c'est absolument incroyable, cette foule, mille ans apres...
les Miracles ne peuvent intervenir qu'au travers de la Priere...
la Priere est le souffle qui monte vers DIEU
les Miracles ne peuvent intervenir qu'au travers de la Priere...
la Priere est le souffle qui monte vers DIEU
beatnik- Avec les anges
- Messages : 7853
Inscription : 31/08/2009
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