ENTRE LA TRISTESSE DE LA CROIX ET LA JOIE DE PÂQUES...
ENTRE LA TRISTESSE DE LA CROIX ET LA JOIE DE PÂQUES...
Entre la tristesse de la Croix et la joie de Pâques…
Réflexions bibliques pour le Samedi saint
par le père Thomas Rosica, CSB
11 avril 2009
Le Samedi saint est un jour de chagrin et de deuil, d’attente patiente et d’espoir. Avec Marie et ses disciples, nous pleurons la mort de l’un des plus importants membres de notre communauté chrétienne. La foi de Marie et des disciples fut fortement ébranlée lors de ce premier Samedi saint alors qu’ils attendaient la résurrection.
Quand le plein impact de la mort d’amis ou de proches nous atteint, cela a le potentiel d’étourdir, d’assombrir et d’écraser le cœur de l’homme. Cela peut nous immobiliser de l’action et de la réflexion. Si nous sommes des gens sans foi ni espoir, l’expérience de la confusion, du chagrin et de la perte a le potentiel de nous tuer.
Aujourd’hui, nous réfléchissons sur cette période de confusion et de silence, entre la tristesse de la croix et la joie de Pâques. De l’ahurissement des disciples de Jésus à la grande foi de Marie, nous examinons nos propres vies à la lumière du grand « Sabbat du Temps » et prenons courage grâce à l’exemple de Marie pour faire face au futur avec une profonde espérance, patience, amour et paix intérieure.
À la fin de ce long jour d’attente, nous célébrons « la mère de toutes les liturgies », une véritable fête pour les sens. L’Église se rassemble dans la pénombre et la lumière avec une grande chandelle qui illuminera cette nuit pour nous. Nous écoutons nos Écritures anciennes, Abraham et Isaac, Moïse et Myriam et la traversée de la mer, poèmes et promesses de réjouissance et l’histoire du tombeau vide. Nous voyons, entendons, goûtons, sentons la nouveauté de Dieu en Jésus-Christ, relevé d’entre les morts.
Dans « la mère de toutes les liturgies », le passé et le présent se rencontrent, la mort et la vie se confrontent et la vie est triomphante; nous rejetons le mal et renouvelons nos promesses baptismales à Dieu.
Durant le Samedi saint, plusieurs d’entre nous sont beaucoup trop occupés avec les préparations de Pâques pour réfléchir à l’importance de ce jour. Nous ne prenons pas nécessairement le temps de pleurer, réfléchir et entrer dans l’esprit et le cœur de Marie et des disciples lors de ce premier Samedi saint.
Je suis très reconnaissant à l’un de mes bons amis et confrères basiliens, le père Robert Crooker, csb, qui m’a enseigné il y a plusieurs années à propos du mystère et de la signification du Samedi saint. Le père Crooker est un professeur retraité de droit canon de l’une de nos universités basilienne à Houston au Texas. Même s’il est maintenant octogénaire, ce prêtre est un bel exemple de quelqu’un qui est resté « toujours jeune » dans sa foi, spiritualité, ouverture et amour pour l’Église. Il est l’une de ces personnes uniques avec qui l’on peut discuter des plus profondes questions spirituelles et religieuses dans des termes simples, profonds, sages et toujours plein d’espérance. Le père Crooker m’envoya en 1990 le texte suivant, texte que je lis depuis lors, tous les Samedis saints. Ses mots peuvent nous aider à apprécier plus profondément la signification de ce grand jour d’observance et d’attente.
Notre-Dame du sabbat
par le père Robert Crooker, csb
J’ai maintenant lu votre livre Luc, et même si vous m’avez demandé de corriger ou d’amplifier ces parties des jours avant que mon fils commence à enseigner et prêcher en Galilée, aucune ligne je ne voudrais changer. Mais que de souvenirs cela a soulevé! Je ne me suis jamais lassée de repenser à tout ce qu’il a fait et dit afin de le revivre de nouveau en mon cœur. Même les choses que tu as apprises de moi m’ont touchée d’une nouvelle force. Un exemple: Je t’ai raconté quand nous l’avons trouvé dans le Temple, nous n’avons pas compris, Joseph et moi, ce qu’il nous dit, comment il doit être aux affaires de son Père, mais maintenant il me semble que tout ce qu’il a dit était plein de significations profondes que nous n’avons pas saisies, et seulement aujourd’hui le Dernier jour devons nous connaître tout ce qu’il voulait dire.
Tu sais qu’Élisabeth me dit lors de notre visite « Bénie est celle qui a cru. » Plus je pense à cela, plus il devient clair que ma foi est a plus de valeur que ma maternité elle-même. (Tu as aussi écrit comment Jésus dit à cette femme, celle qui qualifia les entrailles qui l’ont porté d’heureuses et que les plus heureux sont ceux qui entendent la Parole de Dieu et la gardent). Il est vrai ce jour où Dieu Tout-puissant fit de grandes choses pour moi, mais plus grandes encore sont celles que Dieu accomplit depuis, de façon si cachée et sublime qu’aucun mot d’homme puisse décrire, même à quelqu’un de si docile à l’Esprit de Dieu comme toi!
Et il fut ainsi, mes pensées se tournèrent alors sur quelque chose que tu n’as qu’effleuré: le sabbat quand mon fils reposait dans la tombe (à propos de laquelle tu ne dis rien d’autre que nous avons gardé le reste selon la prescription de la loi). Cela était le jour où l’Esprit descendit sur moi avec tant de trésors de foi et d’espérance pour surpasser, si cela peut être, celles que l’Esprit donna à la Pentecôte sous la forme de langues de feu. Quand nous avons enseveli le corps de Jésus, Jean insista pour que je ne retourne pas à la maison, mais que je passe le repos du sabbat en sa compagnie. Nous n’avons dit que peu de choses l’un à l’autre. Si nous tentions de parler, nos voix ne pouvaient s’exprimer. Cependant, pour tout le chagrin et la douleur qui perça mon cœur cette nuit, il y avait une certitude et une paix au-delà de toute expression que je pourrais partager avec lui, si décimée il semblait, si j’avais seulement trouvé les mots. (Mon fils lui-même était à beaucoup d’égards de cette façon le jour où Joseph mourut: nous nous sommes assis, il a pris ma main, nous avons pleuré ensemble, mais il n’a trouvé presque rien à dire. Je me suis demandée, plus tard, pourquoi il a choisi de parler tant à Marthe à la tombe de son frère, plus qu’à moi à la mort de Joseph—mais alors, mon Joseph avait à attendre le Dernier Jour pour se lever, la situation n’était pas la même).
Marie et Marthe m’avaient bien sûr raconté les paroles qu’il prononça alors qu’il se préparait à appeler leur frère de sa tombe, spécialement cette phrase si profondément inscrite dans leur esprit: « Je suis la Résurrection et la Vie. » Ces mots me sont venus l’après-midi où je l’ai vu mourir: J’ai demandé, comme à Gabriel il y a longtemps, « Comment se peut-il? » La réponse était la même: avec Dieu, toute chose est possible. Donc, alors que j’étais assise le jour suivant et que j’analysai ces mots dans mon cœur, même au milieu des ténèbres et de la douleur, ils me semblèrent plus vrais et mon âme magnifia le Dieu Sauveur encore plus.
Comprenez bien: je ne savais pas à l’époque ce qui arriverait par la suite /comment tout se déroulerait le lendemain. Mais quand elles sont allées avec des aromates au tombeau, j’ai senti qu’il ne serait pas bien pour moi d’aller le chercher à cet endroit. Dans toute cette confusion, je suis restée chez Jean et quand ils accoururent nous racontant des choses à peine croyables qu’il était vivant, il est venu lui-même pour partager avec moi cette joie et me permettre d’apercevoir la lumière bienheureuse et glorieuse qui irradiait de ces précieuses plaies.
Cependant, même à ce moment-là je ne pouvais vraiment tout saisir: il me parla à travers un voile mystique, tendu entre les mortels et le Vivant. (C’était la même chose, que j’entendis par après, avec Marie-Madeleine, qui le rencontra dans le jardin à côté du tombeau.) Quand ensuite ils racontèrent comment il montra au pauvre Thomas ses mains et ses côtés pour les toucher, je me suis demandée pourquoi moi, qui le porta dans mes entrailles et que mon sein nourrit, n’avait pas eu la permission de le toucher alors que d’autres le pouvaient. J’ai réfléchi, et maintenant j’ai trouvé une raison: les apôtres sont envoyés pour dire au monde ce qu’ils ont entendu, vu et touché, mais on m’appelait le disciple parfait, à la foi inébranlable, même le jour où celui que l’on prénomme « Pierre » était ébranlé et avait à être rétabli avant qu’il puisse confirmer la foi de ses frères. Donc même dans sa résurrection, il a laissé sa mère ici pour marcher grâce à ce qu’elle crut, pas à ce qu’elle vit, jusqu’à ce qu’il la ramène à la maison. Cela ne sera plus très long, je crois, avant que je partage sa gloire dans sa plénitude et que je boive avec grand délice aux joies qu’il m’a préparées.
Le sabbat n’est pas observé, en ces jours, comme au temps de ma jeunesse; mon fils lui-même n’était pas strict de cette manière, comme mes parents pouvaient l’être. Maintenant bien sûr, ses disciples préfèrent célébrer le premier jour de la semaine, pour marquer le jour où il se leva, triomphant de la mort. Je sais que cela est bien; néanmoins j’aime garder ce saint repos chaque semaine, pour me souvenir avec émerveillement et gratitude des grâces de jour béni mais terrible quand j’ai, inébranlable et seule, tenu en mon cœur la foi du nouvel Israël de Dieu.
Source: www.seletlumieretv.org
Gilles. Ville de Québec - Canada
Réflexions bibliques pour le Samedi saint
par le père Thomas Rosica, CSB
11 avril 2009
Le Samedi saint est un jour de chagrin et de deuil, d’attente patiente et d’espoir. Avec Marie et ses disciples, nous pleurons la mort de l’un des plus importants membres de notre communauté chrétienne. La foi de Marie et des disciples fut fortement ébranlée lors de ce premier Samedi saint alors qu’ils attendaient la résurrection.
Quand le plein impact de la mort d’amis ou de proches nous atteint, cela a le potentiel d’étourdir, d’assombrir et d’écraser le cœur de l’homme. Cela peut nous immobiliser de l’action et de la réflexion. Si nous sommes des gens sans foi ni espoir, l’expérience de la confusion, du chagrin et de la perte a le potentiel de nous tuer.
Aujourd’hui, nous réfléchissons sur cette période de confusion et de silence, entre la tristesse de la croix et la joie de Pâques. De l’ahurissement des disciples de Jésus à la grande foi de Marie, nous examinons nos propres vies à la lumière du grand « Sabbat du Temps » et prenons courage grâce à l’exemple de Marie pour faire face au futur avec une profonde espérance, patience, amour et paix intérieure.
À la fin de ce long jour d’attente, nous célébrons « la mère de toutes les liturgies », une véritable fête pour les sens. L’Église se rassemble dans la pénombre et la lumière avec une grande chandelle qui illuminera cette nuit pour nous. Nous écoutons nos Écritures anciennes, Abraham et Isaac, Moïse et Myriam et la traversée de la mer, poèmes et promesses de réjouissance et l’histoire du tombeau vide. Nous voyons, entendons, goûtons, sentons la nouveauté de Dieu en Jésus-Christ, relevé d’entre les morts.
Dans « la mère de toutes les liturgies », le passé et le présent se rencontrent, la mort et la vie se confrontent et la vie est triomphante; nous rejetons le mal et renouvelons nos promesses baptismales à Dieu.
Durant le Samedi saint, plusieurs d’entre nous sont beaucoup trop occupés avec les préparations de Pâques pour réfléchir à l’importance de ce jour. Nous ne prenons pas nécessairement le temps de pleurer, réfléchir et entrer dans l’esprit et le cœur de Marie et des disciples lors de ce premier Samedi saint.
Je suis très reconnaissant à l’un de mes bons amis et confrères basiliens, le père Robert Crooker, csb, qui m’a enseigné il y a plusieurs années à propos du mystère et de la signification du Samedi saint. Le père Crooker est un professeur retraité de droit canon de l’une de nos universités basilienne à Houston au Texas. Même s’il est maintenant octogénaire, ce prêtre est un bel exemple de quelqu’un qui est resté « toujours jeune » dans sa foi, spiritualité, ouverture et amour pour l’Église. Il est l’une de ces personnes uniques avec qui l’on peut discuter des plus profondes questions spirituelles et religieuses dans des termes simples, profonds, sages et toujours plein d’espérance. Le père Crooker m’envoya en 1990 le texte suivant, texte que je lis depuis lors, tous les Samedis saints. Ses mots peuvent nous aider à apprécier plus profondément la signification de ce grand jour d’observance et d’attente.
Notre-Dame du sabbat
par le père Robert Crooker, csb
J’ai maintenant lu votre livre Luc, et même si vous m’avez demandé de corriger ou d’amplifier ces parties des jours avant que mon fils commence à enseigner et prêcher en Galilée, aucune ligne je ne voudrais changer. Mais que de souvenirs cela a soulevé! Je ne me suis jamais lassée de repenser à tout ce qu’il a fait et dit afin de le revivre de nouveau en mon cœur. Même les choses que tu as apprises de moi m’ont touchée d’une nouvelle force. Un exemple: Je t’ai raconté quand nous l’avons trouvé dans le Temple, nous n’avons pas compris, Joseph et moi, ce qu’il nous dit, comment il doit être aux affaires de son Père, mais maintenant il me semble que tout ce qu’il a dit était plein de significations profondes que nous n’avons pas saisies, et seulement aujourd’hui le Dernier jour devons nous connaître tout ce qu’il voulait dire.
Tu sais qu’Élisabeth me dit lors de notre visite « Bénie est celle qui a cru. » Plus je pense à cela, plus il devient clair que ma foi est a plus de valeur que ma maternité elle-même. (Tu as aussi écrit comment Jésus dit à cette femme, celle qui qualifia les entrailles qui l’ont porté d’heureuses et que les plus heureux sont ceux qui entendent la Parole de Dieu et la gardent). Il est vrai ce jour où Dieu Tout-puissant fit de grandes choses pour moi, mais plus grandes encore sont celles que Dieu accomplit depuis, de façon si cachée et sublime qu’aucun mot d’homme puisse décrire, même à quelqu’un de si docile à l’Esprit de Dieu comme toi!
Et il fut ainsi, mes pensées se tournèrent alors sur quelque chose que tu n’as qu’effleuré: le sabbat quand mon fils reposait dans la tombe (à propos de laquelle tu ne dis rien d’autre que nous avons gardé le reste selon la prescription de la loi). Cela était le jour où l’Esprit descendit sur moi avec tant de trésors de foi et d’espérance pour surpasser, si cela peut être, celles que l’Esprit donna à la Pentecôte sous la forme de langues de feu. Quand nous avons enseveli le corps de Jésus, Jean insista pour que je ne retourne pas à la maison, mais que je passe le repos du sabbat en sa compagnie. Nous n’avons dit que peu de choses l’un à l’autre. Si nous tentions de parler, nos voix ne pouvaient s’exprimer. Cependant, pour tout le chagrin et la douleur qui perça mon cœur cette nuit, il y avait une certitude et une paix au-delà de toute expression que je pourrais partager avec lui, si décimée il semblait, si j’avais seulement trouvé les mots. (Mon fils lui-même était à beaucoup d’égards de cette façon le jour où Joseph mourut: nous nous sommes assis, il a pris ma main, nous avons pleuré ensemble, mais il n’a trouvé presque rien à dire. Je me suis demandée, plus tard, pourquoi il a choisi de parler tant à Marthe à la tombe de son frère, plus qu’à moi à la mort de Joseph—mais alors, mon Joseph avait à attendre le Dernier Jour pour se lever, la situation n’était pas la même).
Marie et Marthe m’avaient bien sûr raconté les paroles qu’il prononça alors qu’il se préparait à appeler leur frère de sa tombe, spécialement cette phrase si profondément inscrite dans leur esprit: « Je suis la Résurrection et la Vie. » Ces mots me sont venus l’après-midi où je l’ai vu mourir: J’ai demandé, comme à Gabriel il y a longtemps, « Comment se peut-il? » La réponse était la même: avec Dieu, toute chose est possible. Donc, alors que j’étais assise le jour suivant et que j’analysai ces mots dans mon cœur, même au milieu des ténèbres et de la douleur, ils me semblèrent plus vrais et mon âme magnifia le Dieu Sauveur encore plus.
Comprenez bien: je ne savais pas à l’époque ce qui arriverait par la suite /comment tout se déroulerait le lendemain. Mais quand elles sont allées avec des aromates au tombeau, j’ai senti qu’il ne serait pas bien pour moi d’aller le chercher à cet endroit. Dans toute cette confusion, je suis restée chez Jean et quand ils accoururent nous racontant des choses à peine croyables qu’il était vivant, il est venu lui-même pour partager avec moi cette joie et me permettre d’apercevoir la lumière bienheureuse et glorieuse qui irradiait de ces précieuses plaies.
Cependant, même à ce moment-là je ne pouvais vraiment tout saisir: il me parla à travers un voile mystique, tendu entre les mortels et le Vivant. (C’était la même chose, que j’entendis par après, avec Marie-Madeleine, qui le rencontra dans le jardin à côté du tombeau.) Quand ensuite ils racontèrent comment il montra au pauvre Thomas ses mains et ses côtés pour les toucher, je me suis demandée pourquoi moi, qui le porta dans mes entrailles et que mon sein nourrit, n’avait pas eu la permission de le toucher alors que d’autres le pouvaient. J’ai réfléchi, et maintenant j’ai trouvé une raison: les apôtres sont envoyés pour dire au monde ce qu’ils ont entendu, vu et touché, mais on m’appelait le disciple parfait, à la foi inébranlable, même le jour où celui que l’on prénomme « Pierre » était ébranlé et avait à être rétabli avant qu’il puisse confirmer la foi de ses frères. Donc même dans sa résurrection, il a laissé sa mère ici pour marcher grâce à ce qu’elle crut, pas à ce qu’elle vit, jusqu’à ce qu’il la ramène à la maison. Cela ne sera plus très long, je crois, avant que je partage sa gloire dans sa plénitude et que je boive avec grand délice aux joies qu’il m’a préparées.
Le sabbat n’est pas observé, en ces jours, comme au temps de ma jeunesse; mon fils lui-même n’était pas strict de cette manière, comme mes parents pouvaient l’être. Maintenant bien sûr, ses disciples préfèrent célébrer le premier jour de la semaine, pour marquer le jour où il se leva, triomphant de la mort. Je sais que cela est bien; néanmoins j’aime garder ce saint repos chaque semaine, pour me souvenir avec émerveillement et gratitude des grâces de jour béni mais terrible quand j’ai, inébranlable et seule, tenu en mon cœur la foi du nouvel Israël de Dieu.
Source: www.seletlumieretv.org
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