sound of freedom pedocriminalité à l'écran en France

Enfant du Père a écrit:@azais
Permettez moi cette remarque :
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t47571-actes-de-barbarie-en-france#504638

 Pourquoi se répéter ?  @tlig77 répondait à juste titre 

Lumen Gentium : "[...]des éléments nombreux de sanctification et de vérité se trouvent hors de sa sphère (sphère de l'église), éléments qui, appartenant proprement par le don de Dieu à l’Église du Christ, portent par eux-mêmes à l’unité catholique."[...]... ainsi même ceux qui sont hostiles au concile vatican IIsont "sauvés" par cette vérité elle même contenue dans le concile vatican II.

en 5 ans, le réseau pédophile a grossi de 5000% ! il est en passe de détrôner si l'on peut dire, celui du trafic de drogue et du trafic d'armes !

 

azais a écrit:Noter que même Famille chrétienne p  18 et p 44 n°2392  a "collaboré " à cette campagne mal odorante contre ce film , ses acteurs , producteurs et leurs intentions " conspirationnistes et complotistes , voire sédévacantistes : les réactions des lecteurs ont du être nombreuses et a obligé la rédaction  de s'expliquer (très mal et invitant à attendre de voir plus tard dans quel sens l'opinion évoluait)

      https://www.famillechretienne.fr/41656/article/sound-freedom-pourquoi-cette-polemique-autour-du-film    
 
Après avoir provoqué la surprise au box-office américain, ce thriller réalisé par Alejandro Monteverde tentera de rééditer son succès en France. Une chose est sûre : il n’évitera pas les polémiques. Tiré de faits réels, il raconte l’histoire de Tim Ballard, agent fédéral américain qui, après avoir sauvé un jeune Mexicain d’un réseau de traite d’enfants, quitte ses fonctions pour tenter de retrouver et délivrer la sœur de ce dernier.
L’accusation de « complotisme » ne concerne pas le fond du film qui, selon l’avis général, ne relaie aucune théorie conspirationniste. C’est l’engouement qui l’a entouré qui a suscité la controverse. Aux États-Unis, la pédocriminalité est un sujet qui passionne les milieux complotistes, notamment les partisans de QAnon, une mouvance conspirationniste qui y est implantée. Selon eux, les réseaux pédophiles sont entretenus par « l’élite » de la société. En outre, Jim Caviezel, tête d’affiche, connu pour son rôle dans La Passion du Christ de Mel Gibson, est lui-même accusé d’être proche de ce mouvement. La droite conservatrice américaine et ces milieux complotistes se sont donc particulièrement mobilisés pour faire de ce film un succès. De quoi décrédibiliser Sound of Freedom aux yeux d’une partie de la société.
Son arrivée dans les salles obscures françaises est donc précédée de sa réputation sulfureuse. 
« J’aurais aimé que les polémiques ne touchent pas la France, mais le film semble voyager avec des « étiquettes » qu’on lui a collées aux États-Unis, confie à FC Alejandro Monteverde. J’espère vraiment que les Français iront voir le film et se feront leur propre opinion ! » Le réalisateur regrette surtout l’accusation de « complotisme » alors qu’il s’est justement efforcé de dépeindre au maximum la réalité. « Les discussions avec mon équipe sur les éléments de fiction ont été très longues. Nous voulions absolument être très précis et fidèles aux faits ! », 
 Selon les équipes du film, près de trente millions de personnes l’auraient déjà vu aux États-Unis cet été. Un calcul contesté puisqu’une rumeur accuse de riches Américains d’avoir acheté des billets en très grand nombre pour gonfler artificiellement les chiffres. Sound of Freedom n’a pas fini de faire parler de lui.
Le distributeur de Sound of Freedom en France, Saje Distribution, a aussi défendu le thriller : « Nous avons été sidérés de découvrir la polémique qui a entouré sa sortie aux États-Unis, en juillet, tant l’écart avec son contenu était grand ! » Le distributeur espère qu’il pourra permettre « d’éveiller les consciences » et susciter « un débat fécond » loin des critiques. Le buzz n’a pourtant pas desservi cette production. 


Ce qui n'empêche pas famille chrétienne de donner un avis négatif sur le film :   1 cœur, Adultes  autant dire , pire qu'un film médiocre :  Spécialisé dans les crimes pédophiles, un policier fédéral américain tente de remonter une filière de trafic d’enfants entre l’Amérique centrale et la Colombie. Pour sauver des petites victimes, il n’hésite pas à s’infiltrer dans ces milieux. Loin de la polémique qui l’a entouré aux États-Unis, le principal mérite de ce film est d’ouvrir les yeux sur une réalité sordide et massive : l’esclavage sexuel des enfants à travers le monde. Mais il ne suffit pas d’une cause juste pour faire un bon film : Sound of Freedom ne manque pas de moyens ni de rythme, mais pèche par l’usage intensif de l’émotion, appuyé par une musique omniprésente, qui finit par mettre mal à l’aise. Plus de finesse et de sobriété auraient servi ce sujet trop peu médiatisé.

Sur l'ignominie de l'omerta médiatique à propos du sujet du film qui est quand même l'esclavagisme sexuel chez les enfants !
Or ce que craignent ces médias plus que le fait que des enfants soient kidnappés, violés, exploités, c'est l'opinion selon laquelle ces faits pourraient bien mettre en cause des gens riches et influents, opinion qualifiée de complotiste    le mot qui fait frémir d'horreur la bien-pensance !  car tant que les coupables de ces faits ne sont que de petits malfrats, des moins que rien, alors l'histoire de ces enfants peut intéresser à titre de fait divers (cela les journaux en regorgent). Mais qu'elle puisse en quoi que ce soit, ne serait-ce que suggérer, faire penser, rendre plausible, l'idée de réseaux organisés mettant en cause des gens de pouvoir, voire nos institutions, alors non ! Tant pis pour le sort de ces enfants, mais ils ne doivent pas déranger l'ordre établi !

Tous ceux qui ont vu Sound of Freedom savent que le film lui-même n'est pas le moins du monde politique. Il est basé sur l'histoire d'une personne réelle, Tim Ballard, qui a quitté son emploi à la Sécurité intérieure pour sauver des enfants victimes de la traite .... les opinions personnelles politiques ne devraient avoir aucune importance lorsqu'il s'agit de sauver des enfants de la traite d’êtres humains. En tant que coscénaristes et réalisateur du film Sound of Freedom, il a été difficile de voir la controverse partisane nous détourner de l'intention profonde de notre travail : utiliser le pouvoir du cinéma pour sensibiliser à la réalité de la traite des enfants.
En 2015, lorsque nous avons commencé à faire des recherches et à écrire ce projet, nous nous sommes dit à plusieurs reprises : "S'il y a un sujet qui peut unir tout le monde, c'est celui de mettre fin à la traite des enfants." ... Il s'agit d'une question fondamentale de droits de l'homme, qui nous touche au plus profond de nous-mêmes en tant qu'êtres humains.
Il s'agit également d'un sujet très difficile, et il est profondément réconfortant que des millions de personnes soient allées dans les salles de cinéma pour voir un film sur ce sujet.

Pourquoi cela serait-il "surprenant" ? Le film, qui met en vedette Jim Caviezel et Mira Sorvino ...a été conçu pour les êtres humains, car la traite des enfants est un problème dont l'impératif moral est évident pour le cœur humain. 


Et c'est au problème lui-même que nous devons faire face.


Nous devons faire face au fait que, selon le ministère de la justice, l'Amérique est l'un des plus grands consommateurs de vidéos et matériels relatifs aux abus sexuels commis sur des enfants (CSAM – Child Sexual Abuse Material) et que l'argent américain contribue à alimenter ce trafic national et international. Nous devons lutter contre l'exploitation sexuelle des enfants et l'éradiquer. 


Nous devons nous attaquer problèmes sociétaux sous-jacents et aux entreprises criminelles qui rendent les enfants susceptibles d'être victimes de la traite.

Pour diverses raisons, Sound of Freedom est qualifié de "faith-based" (basé sur la foi) ou de "thriller chrétien". Selon votre point de vue, le terme "faith-based" est soit un insigne d'honneur, soit une permission de rejeter l'œuvre d'emblée. Mais pourquoi ce besoin d'étiqueter un film ? 
Nous avons réalisé Sound of Freedom pour les croyants, les non- croyants et tous ceux qui se situent entre les deux, car la traite des êtres humains est un problème qui concerne tout le monde.
Le film a également été injustement associé à certaines théories conspirationnistes extrêmes. Nous avons écrit le film en 2015 et l'avons tourné en 2018, bien avant que quiconque ait entendu parler de ces théories. Il est donc littéralement impossible que le film fasse référence à ces théories, et tous ceux qui ont vu le film savent que ce n'est pas le cas. En réalité, National Public Radio (NPR), Rolling Stone et à peu près tous les autres médias qui ont écrit sur le film, que ce soit de manière positive ou négative, ont clairement indiqué dans leurs articles que Sound of Freedom lui-même ne contient aucune référence aux théories du complot. Nous nous sommes inspirés d'événements réels, dont beaucoup ont été rapportés par les principaux médias de l'époque.... Il n’a jamais été question d’en faire un documentaire. Comme l’a écrit le Los Angeles Times : «Comme pour tout film ‘basé sur une histoire vraie’, des questions ont été soulevées quant à l’exactitude de la représentation du vrai Ballard, dont l’organisation Operation Underground Railroad affirme avoir sauvé des centaines de victimes à ce jour. 


Il n’en reste pas moins que Sound of Freedom, réalisé et coécrit par Alejandro Monteverde, avec Mira Sorvino et Bill Camp, aborde un sujet brutal mais peu controversé : tout le monde s’accorde à dire que l’exploitation des enfants est un crime horrible auquel il faut mettre un terme».
Pour nous, c’est l’essentiel. [...]
Nous comprenons bien que chacun, y compris ceux qui ont participé à la création du film, puisse avoir des points de vue différents sur de nombreux sujets. Nous avons réalisé Sound of Freedom dans un effort sincère pour unir les gens autour d’une question fondamentale de droits de l’homme.
La question de la traite des êtres humains n’est l’apanage d’aucun groupe d’intérêt. Elle nous concerne tous, parce qu’elle se produit dans ce monde que nous partageons tous. La question est de savoir ce que nous allons faire à ce sujet – chacun d’entre nous.


 
Les faits du film vous troubleront. Si vous êtes émus par ce sujet, cherchez des moyens concrets de soutenir le réseau vaste et croissant d'organisations - tant privées que gouvernementales - qui se consacrent à la lutte contre la traite des êtres humains dans le monde entier.
Ces problèmes sont énormes et leurs solutions nécessiteront un engagement politique - avec toute la complexité et la discorde que cela implique aujourd'hui. Mais nous ne pouvons pas laisser nos divisions politiques nous empêcher de faire le travail nécessaire pour mettre fin à la traite des enfants.

Le vrai Tim Ballard est interrogé sur son parcours qui l'a amené à se confronter à l'Horreur, et à sauver des milliers d'enfants. Cela n'aurait pas été possible sans la foi très profonde qui l'anime. Le film est proche de la réalité qu'il a vécue, il y a d'ailleurs personnellement veillé.

c'est en anglais, mais la traduction française, en allant dans les paramètres, permet de comprendre à peu près


Ce que confirme le réalisateur : Tim Ballard a directement participé à l'élaboration du film. Même l'expression : "les enfants de Dieu ne sont pas à vendre" est authentiquement la sienne.