Complainte libératrice sur la France
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Complainte libératrice sur la France
Très beau
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
- Messages : 8750
Localisation : France
Inscription : 15/07/2016
Re: Complainte libératrice sur la France
En complément de cette complainte...
Paroles et Musique : Audrey Gravier
Arrangements et enregistrement : Julien Gravier
Voix et Piano : Audrey Gravier
Guitares : Julien Gravier
2020 Loire en Gloire
Toi qui ne sommeilles ni ne dors, envoie ton Esprit
Souffle vent du nord, viens vent du midi,
Sur tout ce qui est mort, insuffle la vie.
Viens parcourir notre terre, Esprit du Dieu vivant,
Fais fleurir le désert, souffle du couchant,
Comme une brise légère ou comme un ouragan.
Oh souffle, Esprit de vie,
Réveille ta Belle endormie.
Que l’amour de ton baiser ardent,
Restaure le pays maintenant.
Etends ton manteau de gloire, Esprit des quatre vents,
Au coeur de notre histoire, souffle du levant.
Ravive en nos mémoires, les promesses d’antan.
Oh souffle, Esprit de vie,
Réveille ta Belle endormie.
Que l’amour de ton baiser ardent,
Restaure le pays maintenant.
Fille ainée, sors de ton sommeil,
pour proclamer ses merveilles !
Souviens-toi de ton élection
Et rayonne sur les nations !
Paroles et Musique : Audrey Gravier
Arrangements et enregistrement : Julien Gravier
Voix et Piano : Audrey Gravier
Guitares : Julien Gravier
2020 Loire en Gloire
Toi qui ne sommeilles ni ne dors, envoie ton Esprit
Souffle vent du nord, viens vent du midi,
Sur tout ce qui est mort, insuffle la vie.
Viens parcourir notre terre, Esprit du Dieu vivant,
Fais fleurir le désert, souffle du couchant,
Comme une brise légère ou comme un ouragan.
Oh souffle, Esprit de vie,
Réveille ta Belle endormie.
Que l’amour de ton baiser ardent,
Restaure le pays maintenant.
Etends ton manteau de gloire, Esprit des quatre vents,
Au coeur de notre histoire, souffle du levant.
Ravive en nos mémoires, les promesses d’antan.
Oh souffle, Esprit de vie,
Réveille ta Belle endormie.
Que l’amour de ton baiser ardent,
Restaure le pays maintenant.
Fille ainée, sors de ton sommeil,
pour proclamer ses merveilles !
Souviens-toi de ton élection
Et rayonne sur les nations !
Marzina- J'adore l'Eucharistie
- Messages : 272
Inscription : 06/11/2008
Re: Complainte libératrice sur la France
France aujourd’hui tu vas réagir contre tous tes assaillants,
faussaires se disant défenseurs de ta gloire…
Choisie par DIEU, Martyr des dictateurs t'ayant traînée au milieu de l’arène,
sous les cris de ceux optant ta mort publique
comme spectateurs de ta triple défaite…
DIEU sur Toi, Ressemblance de Son Propre FILS Jésus-Christ, Victime expiatoire, Fille de DIEU choisie au milieu des multitudes.
Ta bannière Blanche pour le Père, Bleue pour le Fils, est Rouge pour l’Esprit Saint.
Ton bourreau va mourir avec ses partisans, Ton Roi faisant claquer son étendard déployé sur le monde entier, plus rien pour eux, tout se fera sous cette couverture royale
La « Bête » montant de la mer pour te saisir? La voici avec eux devant la Mère Immaculée portant dans Ses mains Ta couronne de Gloire, sertie de diamants bleus et blancs : Ton palais s'en construit, Terre propriété de DIEU.
Telle Ta Bannière où DIEU le Père marque les deux Cœurs qui n’ont jamais cessé de battre pour Toi,
Rouge du sang pur, France en tes vrais enfants, sujets qui Te vénèrent comme Perle aux Saints Cœurs Unis de Jésus et de Marie.
Nul n'efface Ta Mémoire, ni Ta VRAIE Naissance Te couronnant de Ton Baptême en Rémi et Ton ROI CLOVIS.
FRANCE chrétienne et française, nous sommes à genoux devant Toi, Mère Patrie dont DIEU ne permet pas dêtre vue à genoux devant l’Ennemi.
faussaires se disant défenseurs de ta gloire…
Choisie par DIEU, Martyr des dictateurs t'ayant traînée au milieu de l’arène,
sous les cris de ceux optant ta mort publique
comme spectateurs de ta triple défaite…
DIEU sur Toi, Ressemblance de Son Propre FILS Jésus-Christ, Victime expiatoire, Fille de DIEU choisie au milieu des multitudes.
Ta bannière Blanche pour le Père, Bleue pour le Fils, est Rouge pour l’Esprit Saint.
Ton bourreau va mourir avec ses partisans, Ton Roi faisant claquer son étendard déployé sur le monde entier, plus rien pour eux, tout se fera sous cette couverture royale
La « Bête » montant de la mer pour te saisir? La voici avec eux devant la Mère Immaculée portant dans Ses mains Ta couronne de Gloire, sertie de diamants bleus et blancs : Ton palais s'en construit, Terre propriété de DIEU.
Telle Ta Bannière où DIEU le Père marque les deux Cœurs qui n’ont jamais cessé de battre pour Toi,
Rouge du sang pur, France en tes vrais enfants, sujets qui Te vénèrent comme Perle aux Saints Cœurs Unis de Jésus et de Marie.
Nul n'efface Ta Mémoire, ni Ta VRAIE Naissance Te couronnant de Ton Baptême en Rémi et Ton ROI CLOVIS.
FRANCE chrétienne et française, nous sommes à genoux devant Toi, Mère Patrie dont DIEU ne permet pas dêtre vue à genoux devant l’Ennemi.
Re: Complainte libératrice sur la France
Le Royaume de France est dans les mains de la TSV Marie.
Lui revient ce qui lui appartient car elle est Reine au ciel comme sur la terre du Royaume de France et par la France du monde...
C'est Marie Reine de France qui gouverne nos ames et veille sur la France. C'est Elle, Notre Dame de l'Assomption; Notre Dame du Sacre Coeur qui prepapre le regne de son Fils qui a deja vaincu. C'est donc Elle, l immaculee conception qui decide de tout, meme de l heure et du timing !
Faisons donc une confiance totale à La TSV Marie, Notre Dame de l'Assomption, Notre Dame du Sacre Coeur, Mere de nos ames et Reine de de nos coeurs.
Lui revient ce qui lui appartient car elle est Reine au ciel comme sur la terre du Royaume de France et par la France du monde...
C'est Marie Reine de France qui gouverne nos ames et veille sur la France. C'est Elle, Notre Dame de l'Assomption; Notre Dame du Sacre Coeur qui prepapre le regne de son Fils qui a deja vaincu. C'est donc Elle, l immaculee conception qui decide de tout, meme de l heure et du timing !
Faisons donc une confiance totale à La TSV Marie, Notre Dame de l'Assomption, Notre Dame du Sacre Coeur, Mere de nos ames et Reine de de nos coeurs.
Eleric- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
- Messages : 170
Inscription : 28/06/2016
Re: Complainte libératrice sur la France
Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de la remise au père Hébert, supérieur général des Eudistes et confesseur du Roi, le 21 juillet 1792, du vœu de consécration de sa personne, sa famille et tout son Royaume au Sacré-Cœur de Jésus, écrit secrètement aux Tuileries le 17 juin 1792 par notre bon roi Louis XVI.
"Vous voyez, ô mon Dieu, toutes les plaies qui déchirent mon cœur, et la profondeur de l’abîme dans lequel je suis tombé. Des maux sans nombre m’environnent de toutes parts. A mes malheurs personnels et à ceux de ma famille, qui sont affreux, se joignent, pour accabler mon âme, ceux qui couvrent la face du royaume. Les cris de tous les infortunés, les gémissements de la religion opprimée retentissent à mes oreilles, et une voix intérieure m’avertit encore que peut-être votre justice me reproche toutes ces calamités, parce que, dans les jours de ma puissance, je n’ai pas réprimé la licence du peuple et l’irréligion, qui en sont les principales sources ; parce que j’ai fourni moi-même des armes à l’hérésie qui triomphe, en la favorisant par des lois qui ont doublé ses forces et lui ont donné l’audace de tout oser.
Je n’aurai pas la témérité, ô mon Dieu, de me justifier devant vous ; mais vous savez que mon cœur a toujours été soumis à la foi et aux règles des mœurs ; mes fautes sont le fruit de ma faiblesse et semblent dignes de votre grande miséricorde. Vous avez pardonné au roi David, qui avait été cause que vos ennemis avaient blasphémé contre vous ; au roi Manassès, qui avait entraîné son peuple dans l’idolâtrie. Désarmé par leur pénitence, vous les avez rétablis l’un et l’autre sur le trône de Juda ; vous les avez fait régner avec paix et gloire. Seriez-vous inexorable aujourd’hui pour un fils de saint Louis, qui prend ces rois pénitents pour modèles, et qui, à leur exemple, désire réparer ses fautes et devenir un roi selon votre Cœur ? Ô Jésus-Christ, divin Rédempteur de toutes nos iniquités, c’est dans votre Cœur adorable que je veux déposer les effusions de mon âme affligée. J’appelle à mon secours le tendre Cœur de Marie, mon auguste protectrice et ma mère, et l’assistance de saint Louis, mon patron et le plus illustre de mes aïeux.
Ouvrez-vous, Cœur adorable, et par les mains si pures de mes puissants intercesseurs, recevez avec bonté le vœu satisfactoire que la confiance m’inspire et que je vous offre comme l’expression naïve des sentiments de mon cœur.
Si, par un effet de la bonté infinie de Dieu, je recouvre ma liberté, ma couronne et ma puissance royale, je promets solennellement :
De révoquer le plus tôt possible toutes les lois qui me seront indiquées, soit par le pape, soit par quatre évêques choisis parmi les plus vertueux de mon royaume, comme contraires à la pureté et à l’intégrité de la foi, à la discipline et à la juridiction spirituelle de la sainte Eglise catholique, apostolique, romaine, et notamment la constitution civile du clergé ;
De rétablir sans délai tous les pasteurs légitimes et tous les bénéficiés institués par l’Eglise, dans les bénéfices dont ils ont été injustement dépouillés par les décrets d’une puissance incompétente, sauf à prendre les moyens canoniques pour supprimer les titres de bénéfices qui sont moins nécessaires, et pour en appliquer les biens et revenus aux besoins de l’Etat ;
De prendre, dans l’intervalle d’une année, tant auprès du pape qu’auprès des évêques de mon royaume, toutes les mesures nécessaires pour établir, suivant les formes canoniques, une fête solennelle en l’honneur du Sacré Cœur de Jésus, laquelle sera célébrée à perpétuité dans toute la France, le premier vendredi après l’octave du Saint-Sacrement, et toujours suivie d’une procession générale, en réparation des outrages et des profanations commis dans nos saints temples, pendant le temps des troubles, par les schismatiques, les hérétiques et les mauvais chrétiens ;
D’aller moi-même en personne, sous trois mois à compter du jour de ma délivrance, dans l’église Notre-Dame de Paris, ou dans toute autre église principale du lieu où je me trouverai, et de prononcer, un jour de dimanche ou de fête, au pied du maître-autel, après l’offertoire de la messe, et entre les mains du célébrant, un acte solennel de consécration de ma personne, de ma famille et de mon royaume au Sacré Cœur de Jésus, avec promesse de donner à tous mes sujets l’exemple du culte et de la dévotion qui sont dus à ce Cœur adorable ;
D’ériger et de décorer à mes frais, dans l’église que je choisirai pour cela, dans le cours d’une année à compter du jour de ma délivrance, une chapelle ou un autel qui sera dédié au Sacré Cœur de Jésus, et qui servira de monument éternel de ma reconnaissance et de ma confiance sans bornes dans les mérites infinis et dans les trésors inépuisables de grâces qui sont renfermés dans ce Cœur sacré ;
Enfin, de renouveler tous les ans, au lieu où je me trouverai, le jour qu’on célébrera la fête du Sacré-Cœur, l’acte de consécration exprimé dans l’article quatrième, et d’assister à la procession générale qui suivra la messe de ce jour.
Je ne puis aujourd’hui prononcer qu’en secret cet engagement, mais je le signerais de mon sang s’il le fallait, et le plus beau jour de ma vie sera celui où je pourrai le publier à haute voix dans le temple.
Ô Cœur adorable de mon Sauveur ! Que j’oublie ma main droite et que je m’oublie moi-même, si jamais j’oublie vos bienfaits et mes promesses, et cesse de vous aimer et de mettre en vous ma confiance et toute ma consolation. Ainsi soit-il."
"Vous voyez, ô mon Dieu, toutes les plaies qui déchirent mon cœur, et la profondeur de l’abîme dans lequel je suis tombé. Des maux sans nombre m’environnent de toutes parts. A mes malheurs personnels et à ceux de ma famille, qui sont affreux, se joignent, pour accabler mon âme, ceux qui couvrent la face du royaume. Les cris de tous les infortunés, les gémissements de la religion opprimée retentissent à mes oreilles, et une voix intérieure m’avertit encore que peut-être votre justice me reproche toutes ces calamités, parce que, dans les jours de ma puissance, je n’ai pas réprimé la licence du peuple et l’irréligion, qui en sont les principales sources ; parce que j’ai fourni moi-même des armes à l’hérésie qui triomphe, en la favorisant par des lois qui ont doublé ses forces et lui ont donné l’audace de tout oser.
Je n’aurai pas la témérité, ô mon Dieu, de me justifier devant vous ; mais vous savez que mon cœur a toujours été soumis à la foi et aux règles des mœurs ; mes fautes sont le fruit de ma faiblesse et semblent dignes de votre grande miséricorde. Vous avez pardonné au roi David, qui avait été cause que vos ennemis avaient blasphémé contre vous ; au roi Manassès, qui avait entraîné son peuple dans l’idolâtrie. Désarmé par leur pénitence, vous les avez rétablis l’un et l’autre sur le trône de Juda ; vous les avez fait régner avec paix et gloire. Seriez-vous inexorable aujourd’hui pour un fils de saint Louis, qui prend ces rois pénitents pour modèles, et qui, à leur exemple, désire réparer ses fautes et devenir un roi selon votre Cœur ? Ô Jésus-Christ, divin Rédempteur de toutes nos iniquités, c’est dans votre Cœur adorable que je veux déposer les effusions de mon âme affligée. J’appelle à mon secours le tendre Cœur de Marie, mon auguste protectrice et ma mère, et l’assistance de saint Louis, mon patron et le plus illustre de mes aïeux.
Ouvrez-vous, Cœur adorable, et par les mains si pures de mes puissants intercesseurs, recevez avec bonté le vœu satisfactoire que la confiance m’inspire et que je vous offre comme l’expression naïve des sentiments de mon cœur.
Si, par un effet de la bonté infinie de Dieu, je recouvre ma liberté, ma couronne et ma puissance royale, je promets solennellement :
De révoquer le plus tôt possible toutes les lois qui me seront indiquées, soit par le pape, soit par quatre évêques choisis parmi les plus vertueux de mon royaume, comme contraires à la pureté et à l’intégrité de la foi, à la discipline et à la juridiction spirituelle de la sainte Eglise catholique, apostolique, romaine, et notamment la constitution civile du clergé ;
De rétablir sans délai tous les pasteurs légitimes et tous les bénéficiés institués par l’Eglise, dans les bénéfices dont ils ont été injustement dépouillés par les décrets d’une puissance incompétente, sauf à prendre les moyens canoniques pour supprimer les titres de bénéfices qui sont moins nécessaires, et pour en appliquer les biens et revenus aux besoins de l’Etat ;
De prendre, dans l’intervalle d’une année, tant auprès du pape qu’auprès des évêques de mon royaume, toutes les mesures nécessaires pour établir, suivant les formes canoniques, une fête solennelle en l’honneur du Sacré Cœur de Jésus, laquelle sera célébrée à perpétuité dans toute la France, le premier vendredi après l’octave du Saint-Sacrement, et toujours suivie d’une procession générale, en réparation des outrages et des profanations commis dans nos saints temples, pendant le temps des troubles, par les schismatiques, les hérétiques et les mauvais chrétiens ;
D’aller moi-même en personne, sous trois mois à compter du jour de ma délivrance, dans l’église Notre-Dame de Paris, ou dans toute autre église principale du lieu où je me trouverai, et de prononcer, un jour de dimanche ou de fête, au pied du maître-autel, après l’offertoire de la messe, et entre les mains du célébrant, un acte solennel de consécration de ma personne, de ma famille et de mon royaume au Sacré Cœur de Jésus, avec promesse de donner à tous mes sujets l’exemple du culte et de la dévotion qui sont dus à ce Cœur adorable ;
D’ériger et de décorer à mes frais, dans l’église que je choisirai pour cela, dans le cours d’une année à compter du jour de ma délivrance, une chapelle ou un autel qui sera dédié au Sacré Cœur de Jésus, et qui servira de monument éternel de ma reconnaissance et de ma confiance sans bornes dans les mérites infinis et dans les trésors inépuisables de grâces qui sont renfermés dans ce Cœur sacré ;
Enfin, de renouveler tous les ans, au lieu où je me trouverai, le jour qu’on célébrera la fête du Sacré-Cœur, l’acte de consécration exprimé dans l’article quatrième, et d’assister à la procession générale qui suivra la messe de ce jour.
Je ne puis aujourd’hui prononcer qu’en secret cet engagement, mais je le signerais de mon sang s’il le fallait, et le plus beau jour de ma vie sera celui où je pourrai le publier à haute voix dans le temple.
Ô Cœur adorable de mon Sauveur ! Que j’oublie ma main droite et que je m’oublie moi-même, si jamais j’oublie vos bienfaits et mes promesses, et cesse de vous aimer et de mettre en vous ma confiance et toute ma consolation. Ainsi soit-il."
Eleric- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
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