L'heure du bilan !
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L'heure du bilan !
"Je vous regarde un peu comme le miroir de Dorian Gray. Vos visages n'ont pas trop vieilli, rassurez-vous. Mais vos âmes, qu'avez-vous fait de vos âmes quand vous avancez depuis un an par mensonges successifs ?"
Même ceux qui ne sont pas croyants commencent à s'apercevoir de l'existence de l'âme . La réaction outrée des participants fait espérer que la leur n'est pas complètement morte. Merci à François Ruffin.
Même ceux qui ne sont pas croyants commencent à s'apercevoir de l'existence de l'âme . La réaction outrée des participants fait espérer que la leur n'est pas complètement morte. Merci à François Ruffin.
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
- Messages : 8737
Localisation : France
Inscription : 15/07/2016
Malou aime ce message
Re: L'heure du bilan !
L’heure des comptes également pour Pfizer et son insolent président ?
"De Pierre-Antoine Pontoizeau pour le Salon beige:
Le professeur Delfraissy vient de livrer le pot aux roses dans une intervention sur France Info. Ce n’est pas un vaccin, c’est un médicament qui protège. Voilà un aveu. On a donc inoculé à leur insu à des milliards de personnes bien portantes un « vaccin-médicament » pour quelques dizaines de milliards d’euros, en pensant protéger une infime minorité des populations des risques de formes graves.
Delfraissy avoue que c’est un « vaccin-médicament »
L’aveu du professeur Delfraissy est glaçant. Comment peut-on continuer à soutenir une stratégie vaccinale pour un produit qui n’est pas un vaccin ? Comment peut-on dénommer un passe vaccinale quand on sait que le produit n’en est pas un ? Comment peut-on soutenir d’obliger à une thérapeutique des millions de français qui ont donc été abusés, alors qu’ils n’avaient rien ? Et maintenant, le réemballage marketing des thérapeutiques déjà connues va donc satisfaire encore la cupidité de quelques laboratoires.
On touche au summum du cynisme. En effet, après avoir dit qu’il n’existait pas de médicament, après avoir imposé des pseudo-vaccins pour des milliards d’€uros, les mêmes experts, sans remord ni impression d’être décrédibilisés, soutiennent que des médicaments des mêmes laboratoires vont pouvoir soigner les malades. Incroyable.
Farage demande des comptes aux escrocs
Dans le même temps, le leader politique Nigel Farage, inspirateur du Brexit, vient d’annoncer que les enquêtes sur la réalité des décès liés au Covid aboutissaient à 17.371 décès et non les 153.000 recensés avec excès. Cela donne moins de 9.000 décès Covid par an dans un pays où environ 600.000 personnes meurent chaque année pour 67 millions d’habitants. Nigel Farage interroge donc la folie des 400 milliards de livres dépensées en indemnités économiques liées aux confinements absurdes et aux conséquences destructrices des décisions sanitaires sur la santé, les souffrances, les retards éducatifs et les restrictions insensées des libertés. Il appelle au débat public et à l’examen critique de ces folles décisions : destructrices et ruineuses.
Les « complotistes » avaient raison car désintéressés
Tout ce que nous avons écrit depuis des mois sur les faits connus dès l’origine s’avère fondé. Ce n’est pas un vaccin, c’est à peine un médicament qui pose alors des problèmes juridiques en matière de responsabilité et de médecines illégales des États en violation de tous les droits et conventions. Ce sera demain un autre fait. Il est interdit d’inoculer un médicament à un bien portant sans diagnostic ni ordonnance. Cela a été fait sur des milliards de « victimes » de cette escroquerie. Les professeurs sans aucun conflit d’intérêt avaient bien évidemment raison. Tout se dévoile et Delfraissy ne peut plus dire autre chose tant les faits sont là. En effet, des dizaines de millions de Français contractent les derniers virus, vaccinés ou non-vaccinés. C’est la déroute.
Le président de Pfizer Albert Bourla perd ses nerfs
Et dans le même temps, ces jours derniers, le président de Pfizer, en voyage en Israël, se croit en position d’accuser ses détracteurs d’être des criminels. Le laboratoire le plus condamné par la justice américaine pour des milliards de dollars pour publicités mensongères, corruptions, etc. serait autorisé à nous traiter de criminels ; lui qui a peut-être plusieurs dizaines de milliers de morts sur la conscience, et qui a soigneusement préparé les clauses de ses contrats, le dédouanant, pense-t-il, de toute responsabilité. Fascinant d’audace. Les réactions sur les réseaux sociaux montrent que la cupidité choque quand elle devient à ce point violente et amorale.
[...]
Nous sommes en train de découvrir qu’il n’y avait pas de raison à ruiner nos pays par des confinements inutiles. Nous apprenons que le vaccin n’en était pas un mais qu’il aura permis de piquer des milliards de personnes pour des milliards de revenus. Je suis tenté d’adopter la méthode de Stiglitz. A qui profite cette gigantesque escroquerie ? A des acteurs économiques qui veulent absolument contraindre les démocraties d’adopter des systèmes informatiques de contrôle des populations qui représentent des revenus considérables avec des laboratoires enrichis à coup de milliards, eux aussi.
Les États peuvent ruiner leur système de protection sociale, s’endetter et affaiblir le système immunitaire de milliards de personnes. C’est une aubaine, il faudra prêter, encadrer, soigner encore. Stiglitz a raison de dire que le capitalisme est devenu fou. C’est la lèpre qui dévore l’Occident et ses États jusqu’à consumer les populations. Ces entreprises vendent toutes de l’addiction : addiction aux jeux, addiction aux réseaux sociaux, addiction aux médicaments, etc. Le consommateur addict est un esclave de ces mafias capitalistes."
[...]
https://www.lesalonbeige.fr/lheure-des-comptes-pour-pfizer-et-son-insolent-president/
"De Pierre-Antoine Pontoizeau pour le Salon beige:
Le professeur Delfraissy vient de livrer le pot aux roses dans une intervention sur France Info. Ce n’est pas un vaccin, c’est un médicament qui protège. Voilà un aveu. On a donc inoculé à leur insu à des milliards de personnes bien portantes un « vaccin-médicament » pour quelques dizaines de milliards d’euros, en pensant protéger une infime minorité des populations des risques de formes graves.
Delfraissy avoue que c’est un « vaccin-médicament »
L’aveu du professeur Delfraissy est glaçant. Comment peut-on continuer à soutenir une stratégie vaccinale pour un produit qui n’est pas un vaccin ? Comment peut-on dénommer un passe vaccinale quand on sait que le produit n’en est pas un ? Comment peut-on soutenir d’obliger à une thérapeutique des millions de français qui ont donc été abusés, alors qu’ils n’avaient rien ? Et maintenant, le réemballage marketing des thérapeutiques déjà connues va donc satisfaire encore la cupidité de quelques laboratoires.
On touche au summum du cynisme. En effet, après avoir dit qu’il n’existait pas de médicament, après avoir imposé des pseudo-vaccins pour des milliards d’€uros, les mêmes experts, sans remord ni impression d’être décrédibilisés, soutiennent que des médicaments des mêmes laboratoires vont pouvoir soigner les malades. Incroyable.
Farage demande des comptes aux escrocs
Dans le même temps, le leader politique Nigel Farage, inspirateur du Brexit, vient d’annoncer que les enquêtes sur la réalité des décès liés au Covid aboutissaient à 17.371 décès et non les 153.000 recensés avec excès. Cela donne moins de 9.000 décès Covid par an dans un pays où environ 600.000 personnes meurent chaque année pour 67 millions d’habitants. Nigel Farage interroge donc la folie des 400 milliards de livres dépensées en indemnités économiques liées aux confinements absurdes et aux conséquences destructrices des décisions sanitaires sur la santé, les souffrances, les retards éducatifs et les restrictions insensées des libertés. Il appelle au débat public et à l’examen critique de ces folles décisions : destructrices et ruineuses.
Les « complotistes » avaient raison car désintéressés
Tout ce que nous avons écrit depuis des mois sur les faits connus dès l’origine s’avère fondé. Ce n’est pas un vaccin, c’est à peine un médicament qui pose alors des problèmes juridiques en matière de responsabilité et de médecines illégales des États en violation de tous les droits et conventions. Ce sera demain un autre fait. Il est interdit d’inoculer un médicament à un bien portant sans diagnostic ni ordonnance. Cela a été fait sur des milliards de « victimes » de cette escroquerie. Les professeurs sans aucun conflit d’intérêt avaient bien évidemment raison. Tout se dévoile et Delfraissy ne peut plus dire autre chose tant les faits sont là. En effet, des dizaines de millions de Français contractent les derniers virus, vaccinés ou non-vaccinés. C’est la déroute.
Le président de Pfizer Albert Bourla perd ses nerfs
Et dans le même temps, ces jours derniers, le président de Pfizer, en voyage en Israël, se croit en position d’accuser ses détracteurs d’être des criminels. Le laboratoire le plus condamné par la justice américaine pour des milliards de dollars pour publicités mensongères, corruptions, etc. serait autorisé à nous traiter de criminels ; lui qui a peut-être plusieurs dizaines de milliers de morts sur la conscience, et qui a soigneusement préparé les clauses de ses contrats, le dédouanant, pense-t-il, de toute responsabilité. Fascinant d’audace. Les réactions sur les réseaux sociaux montrent que la cupidité choque quand elle devient à ce point violente et amorale.
[...]
Nous sommes en train de découvrir qu’il n’y avait pas de raison à ruiner nos pays par des confinements inutiles. Nous apprenons que le vaccin n’en était pas un mais qu’il aura permis de piquer des milliards de personnes pour des milliards de revenus. Je suis tenté d’adopter la méthode de Stiglitz. A qui profite cette gigantesque escroquerie ? A des acteurs économiques qui veulent absolument contraindre les démocraties d’adopter des systèmes informatiques de contrôle des populations qui représentent des revenus considérables avec des laboratoires enrichis à coup de milliards, eux aussi.
Les États peuvent ruiner leur système de protection sociale, s’endetter et affaiblir le système immunitaire de milliards de personnes. C’est une aubaine, il faudra prêter, encadrer, soigner encore. Stiglitz a raison de dire que le capitalisme est devenu fou. C’est la lèpre qui dévore l’Occident et ses États jusqu’à consumer les populations. Ces entreprises vendent toutes de l’addiction : addiction aux jeux, addiction aux réseaux sociaux, addiction aux médicaments, etc. Le consommateur addict est un esclave de ces mafias capitalistes."
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