Projet de loi bioéthique : neuvaine au Cœur Immaculé de Marie

9 jours de prière et de jeûne pour confier au Cœur Immaculé de Marie toutes les personnes concernées par le projet de loi bioéthique


Au cours de ce mois de juin reprennent les lectures par l'Assemblée Nationale et le Sénat du projet de loi bioéthique. Ce projet de loi aborde de graves questions au sujet de la recherche sur l'embryon, de l'assistance médicale à la procréation et de la filiation. Inquiets pour le sort réservé dans notre pays à l'être humain au tout début de sa vie, nous nous tournons vers Marie. En cette période cruciale nous remettons à son Cœur Immaculé, que nous fêterons le 14 juin, toutes les personnes concernées par le projet de loi. Demandons à la Mère des vivants son intercession, afin que les acteurs de ce projet de loi choisissent le bien de l'homme, que les plus petits d'entre nous soient protégés, et que nous-même nous convertissions chaque jour davantage à l'Evangile de la vie.

Associer le jeûne à notre prière

A la suite de la retraite « Que nos yeux s'ouvrent ! » – Jeûnons et prions pour sortir d'une bioéthique aveuglée proposée par la Conférence des Évêques de France au début de l'année, nous vous proposons de jeûner plus spécialement au cours des deux vendredi de la neuvaine.

Le Seigneur nous demande de jeûner et prier. Il est bon d'y associer un témoignage accompli « avec douceur et respect », selon la Première Lettre de saint Pierre. Que notre prière passe par les mains de Marie, la toute sainte, l'Immaculée Conception, la Mère de Jésus et notre Mère. Là où il y a la Mère, il y a l'amour de la vie et l'émerveillement devant la beauté de toute vie humaine, aussi fragile soit-elle.   -   Mgr Pierre d'Ornellas, archevêque de Rennes, responsable du Groupe bioéthique de la Conférence des évêques de France

Concrètement

Vous recevrez chaque jour une intention de prière, que nous confierons ensemble à Marie en récitant une dizaine (un Notre Père et dix Je vous salue Marie). Et en bonus, une proposition d'action pour donner corps à notre engagement !


Programme de la neuvaine

Nous remettrons au Cœur Immaculé de Marie :

Jour 1 : les plus petits d'entre nous

Jour 2 : les enfants à naître

Jour 3 : les couples, les hommes et les femmes en désir d'enfant

Jour 4 : les Députés (1er jour de l'examen du texte en séance)

Jour 5 : le corps médical

Jour 6 : les chercheurs

Jour 7 : les Sénateurs

Jour 8 : les membres du gouvernement

Jour 9 : nous tous priants

" Et puis, encore et toujours, il faut prier. Prier et jeûner. Avec foi, entrons dans le combat de Dieu. Nous ne combattons pas en vue d'une victoire, mais à partir de la victoire déjà acquise par Jésus. C'est la vie et l'amour qui l'emporteront ! "   Mgr Olivier de Germay

   
   

. Merci


Jour 1 : remettrons au Cœur Immaculé de Marie  les plus petits d'entre nous


 

A l’issue de la nouvelle lecture en commission spéciale hier 3 juin , le texte demeure quasi identique à celui voté en seconde lecture par l’Assemblée, sans prendre aucunement en compte les apports éthiques du Sénat.
depuis le début de son examen, cette loi remet gravement en cause les droits des plus fragiles et engage les générations futures par l’orientation de la recherche. la majorité présidentielle fait prévaloir l’intérêt d’adultes au détriment des droits de l’enfant  privé délibérément de parents , intensifie la manipulation du vivant, sans aucun principe de précaution:  lignes rouges franchies mettant en danger l’intégrité même de l’espèce humaine avec la création de chimères animal/homme et d’embryons humains génétiquement modifiés.
prenons  toutefois acte du rejet des amendements qui tentaient à nouveau de faire exploser l’encadrement de l’avortement en France en ajoutant un critère invérifiable de « détresse psychosociale » pour avoir recours à l’interruption médicale de grossesse, permettant d’avorter jusqu’au dernier jour de grossesse ce qui s’apparente à l’infanticide. 

le projet de loi "revu" par la commission spéciale  sera voté à l'assemblée nationale la semaine prochaine  
Poursuivons notre neuvaine  que le Ciel et les anges s'inspirent ceux qui peuvent influer en faveur d'un débat qui respecte l'intégrité de l'espèce humaine et exclue toute conception en dehors de parents biologiques

J'insère cette lettre envoyée a nos deputés que je depose devant l4Immaculée et nous tous qui la supplions dans cette neuvaine :


 Monsieur le Député, 


Vous vous êtes abstenu ou non sur ce qui touche à la modification de espèce humaine permise par la loi bioéthique ou par des amendements qui en élargissent singulièrement la gravité anthropologique AUSSI nous interpellons votre conscience, et supplions de ne pas vous rendre coupable , et a travers vous, nous rendre coupable, de ne PAS TOUT FAIRE POUR ÉVITER LE PIRE



CONTRE LA REPRODUCTION ARTIFICIELLE D’ÊTRES HUMAINS ( loi 2013 ouvrant voie à la possibilité de clonage humain d’embryons disponibles ou , loi du 26 janvier 2016 de reproduction d’êtres humain par fécondation de gamètes artificielles produites à partir de cellules souches embryonnaires depuis la loi du 26 janvier 2016 , ou humaines par la technique IPS ) … ENFIN CONTRE l’ouverture a des sociétés privées a but lucratif qui ouvrent à la mercantilisation des embryons , de leurs organes et des gamètes humaines vers des pays où ce commerce d’êtres humains de la conception et même après la naissance est avéré


LE PLUS URGENT EST DE POSER DES AMENDEMENTS MODIFIANT DE LARGES FAILLES DE LA LOI ACTUELLE


en qualifiant de la même interdiction que le clonage reproductif de personnes déjà nées, celui d’êtres humains ou d’embryons non nés en interdisant la conception et la constitution d’êtres humains et d’embryons quelles que soient leur mode de conception, et en particulier par fécondation de gamètes humaines qui ne seraient pas celles d’un homme et d’une femme (ce qui exige d'exclure excluant la fécondation de gamètes produites par culture de cellules germinales comme l’autorise la loi du 26 janvier 2016, pour des couples stériles) en qualifiant de la même interdiction que le clonage reproductif de personnes déjà nées, celui d’êtres humains ou d’embryons non nés en inscrivant les mêmes dispositions pénales correspondant à ces interdictions étendues à ces pratiques criminelles contre l’espèce humaine,en abolissant toute possibilité de dérogation et toute autorisation quelles que soient les finalités scientifiques, médicales thérapeutiques industrielles ou commerciales,


(seule la fécondation d’un ovule et d’un spermatozoïde d’un homme et d’une femme in vitro ou in utero pourront être licites en ce qu’elles ne modifient pas fondamentalement la conception et l’épigénétique de l’être humain conçu ).


L’enjeu majeur de la protection de l’intégrité de l’espèce humaine est PRIORITAIRE et PLUS fondamental que tout autre débat ou amendement.


En vous remerciant de votre attention.



signé



NB : 


Si le texte lève ou levait des interdits majeurs, comme celui de: 


=> « créer des embryons transgéniques et des embryons mélangeant homme-animal….. »
il y a de quoi, effectivement, accentuer la pression juridique  et médiatique sur l’incidence des lois sur le devenir de l’espèce humaine.


IL EST AUSSI  D'AUTANT PLUS URGENT DE NE PLUS OCCULTER NI OUBLIER DE CONDAMNER  ET DÉNONCER  ce que la loi bioéthique légalise déjà et a légalisé – clonage humain d’embryon PMA et fécondation de gamètes artificielles issues de cellules souches embryonnaires germinales – qui ne sont rien de moins que des crimes contre l’humanité, pourquoi s’en voiler encore la face et le cacher à l’opinion.


=> « La loi fait pression pour intensifier la pratique de PMA avec tiers donneur, porte ouverte au marché de la procréation pour acquérir des gamètes »


Ne faut-il pas préciser que des gamètes artificielles cultivées à partir de cellules germinales vont s’épandre désormais sur ce marché de dons d’organes propres à la reproduction humaine cette fois totalement anonyme ? POURQUOI cela n’est il pas explicitement exposé dans les débats et encadré explicitement par des amendements ?


 car Il n’est pas anodin à constater des pratiques telles que celle de sociétés privées aux USA ou, récemment au Mexique ( vente d’embryons créés par insémination artificielle et extraits de femmes contre deux mois de smig local) et ailleurs des ventes d’embryons et même d’enfants nés ( aux enchères, à l’adoption !) de FIVE et non acceptés par les parents commanditaires,


=>De nombreuses dérives ont été ajoutées au texte des députés : notamment l’allongement des délais d’expérimentation sur les embryons (21 jours) ; l’ajout de nouveaux procédés eugéniques par le tri des embryons par diagnostic préimplantatoire incluant les maladies chromosomiques et la réintroduction du procédé de double-tri dit « bébé-médicament» »


VOILA QUI alourdit l’urgence de TOUT DIRE et ne pas occulter que l'extension de ces délais d'expérimentations recouvre celle en réalité des manipulations génétiques , condamnées à juste titre à Nuremberg, qui mènent à des injustices et discriminations très graves de consequences en sus de celles du projet de loi , et pas seulement pour les enfants privés de père et pour ceux privés volontairement de toute origine avec la mesure du double don de gamètes.


Le contenu des débats du Sénat qui portaient en seconde partie pourtant sur le sens de la vie humaine que la Loi Bioéthique interroge, est donc largement insuffisant. Ces crimes contre l’humanité, la filiation , la famille, l’espèce humaine , les droits humains que la loi bioéthique autorise et semble vouloir amplifier qualitativement et quantitativement MERITENT ABSOLUMENT des amendements qui PRIORITAIREMENT en interdisent la pratique



LE PLUS URGENT EST DE POSER DES AMENDEMENTS MODIFIANT DE LARGES FAILLES DE LA LOI ACTUELLE qui ne peuvent être stoppées que par des articles revus et corrigés en conséquence. La Demande de report du debat en ces temps où d'autres mesures legislatives projetées ne manquent pas d'inquiéter la  société et les français ne peut être qu'encouragée

(le senat c'est fini depuis fevrier ). la majorité des députés a rejeté tous les amendements visant à limiter les dégâts sociétaux et bioéthiques. La version de l’assemblée en 2^èmelecture a été de nouveau votée pour cette 3^ème lecture. Pour rappel elle comporte notamment la PMA pour les femmes homosexuelles et célibataires (article 1), l’accès aux origines sans possibilité d’établir de filiation avec le géniteur (article 2), l’autoconservation des ovocytes (article 2), la filiation à l’égard de deux mères (article 4), la recherche sur l’embryon humain jusqu’à 14 jours, la libéralisation de la recherche sur les cellules souches embryonnaires humaines (CSEh), la création de gamètes artificiels, de copies d’embryons humains (articles 14 et 15), d’embryons chimères, d’embryons transgéniques (article 17), la banalisation de l’avortement tardif (article 20), etc.

Demain est une journée terrifiante


Les mêmes qui prétendent vouloir nous protéger avec leurs piqûre anti Covid, leur test PCR, leur couvre-feu, leur enfermement à domicile, le masquage des enfants et de leurs parents, montent des campagnes de propagande de terreur, mettent en place des lois ignobles appelées « loi bioéthiques »

https://www.genethique.org/wp-content/uploads/2021/06/version-2021-06-10.pdf

 
le texte est passé  une dernière fois devant le Sénat le 24 juin, fête de la Saint-Jean, le Sénat a rejeté le texte mais repasse devant l'AN, demain le 29 juin, fête des saints apôtres Pierre et Paul.

 


Cœur Immaculé de Marie

Ô Mère des hommes et des peuples, toi qui connais toutes leurs souffrances et leurs espérances, toi qui ressens d'une façon maternelle toutes les luttes entre le bien et le mal, entre la lumière et les ténèbres qui secouent le monde contemporain, reçois l'appel que nous adressons directement à ton Cœur.
Aide-nous à vaincre la menace du mal qui s'enracine si facilement dans le cœur des hommes d'aujourd'hui et qui, avec ses effets incommensurables, pèse déjà sur la vie actuelle et semble fermer les voies vers l'avenir !
Des péchés contre la vie de l'homme depuis ses premiers moments, délivre-nous !
Que se révèle encore une fois dans l'histoire du monde l'infinie puissance salvifique de la Rédemption, la puissance de l'amour miséricordieux ! Qu'il arrête le mal ! Qu'il transforme les consciences ! Que dans ton Cœur Immaculé se manifeste pour tous la lumière de l'espérance !

Sans surprise, les députés ont définitivement adopté le 29 juin le projet de loi de bioéthique, achevant une longue série de débats entamés en 2018. Ce texte ouvre la voie à la PMA à toutes les femmes, la conservation des ovocytes, l’assouplissement de la recherche embryonnaire ou encore les chimères homme-animal.



C’est l’achèvement d’un long et houleux parcours législatif. Ce mardi 29 juin, les députés ont adopté en lecture définitive le projet de loi de bioéthique à 326 voix pour et 115 voix contre. Etape ultime avant la promulgation par le président de la République, ce vote met fin à de nombreuses navettes parlementaires intervenues ces derniers mois, qui n’auront pas permis d’aboutir à un accord entre les députés et les sénateurs qui ont rejeté en bloc le texte en séance plénière le 24 juin. « Les députés ont adopté une loi d'adultes qui crée le droit à l'enfant, a vivement réagi la Manif pour tous. C'est une terrible régression qui réduit l'enfant à être l'objet d'un contrat devant notaire, un bien que l'on peut acquérir, à n'importe quel prix, et sans cadre ni limite.»

PMA pour toutes : des grossesses promises « avant la fin de l’année »

Mesure phare du texte : l’ouverture à la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes est désormais entérinée, et doit permettre à des femmes de s’inscrire en PMA « dès la fin de l’été », a félicité une députée dans l’hémicycle, afin que « que des premiers enfants puissent être conçus avant la fin de l’année 2021 », comme l’avait promis le ministre de la Santé Olivier Véran. Les décrets d’application sont déjà préparés, afin de faciliter la mise en œuvre quasi-immédiate de cette mesure. Emmanuel Macron en avait presque fait une promesse de campagne, à la condition de consulter les citoyens lors des Etats généraux de la bioéthique en 2018. Ces derniers avaient pourtant montré une large opposition à cette mesure. Celle-ci sera intégralement remboursée par la sécurité sociale, et les enfants pourront désormais avoir accès à l'identité du donneur. Les règles de la filiation changent également, avec l'adoption de la  « reconnaissance anticipée conjointe » : la femme n'ayant pas porté l'enfant sera déclarée comme mère sans procédure d'adoption.

La PMA pour toutes a encore une fois occupé l’essentiel des échanges lors de cette dernière séance plénière. Certains députés ont salué une « avancée considérable », « l’aboutissement d’un projet de reconnaissance de toutes les familles », la « fin d’une inégalité », et même un « moment d’histoire », selon le secrétaire d’Etat en charge de l’enfance et des familles Adrien Taquet. D’autres ont déploré au contraire un dangereux bouleversement sociétal privant les enfants de père et supprimant tous les garde-fous en matière de bioéthique. La députée non-inscrite Emmanuelle Ménard a tenté une dernière fois de faire tomber le texte en déposant une motion de rejet préalable, qui n’a pas été adoptée. « Quelle légitimité avez-vous avec de tels résultats électoraux pour être responsables de la venue au monde d’enfants qui n’auront jamais de père à cause de vous ? » s’est insurgée la députée Agnès Thill envers la majorité, faisant référence aux mauvais scores de LREM lors des élections régionales.

Certains parlementaires ont exprimé leurs regrets que la PMA pour toutes ait figuré dans le texte. « Cette disposition ne devrait pas se trouver dans un projet de loi bioéthique mais dans un projet de loi sociétal et politique », a déploré Valérie Six, du groupe UDI et indépendants majoritairement opposé au texte.  C’est l’un des motifs invoqués par le Sénat pour rejeter le texte en bloc le 24 juin dernier. Elle aura occulté le débat sur d’autres mesures non moins importantes présentes dans le texte.

Embryons chimères, congélation d’ovocytes… la fin des garde-fous

« Ce texte va conduire à de nombreux franchissements de lignes rouges éthiques, s’est alarmé Patrick Hetzel, du groupe Les Républicains. Cette loi ne remplit pas son rôle de régulateur et de garant de la bioéthique. Elle est d’inspiration scientiste, rendant légal presque tout ce que va permettre la technologie ». Parmi les mesures désormais autorisées : la congélation d’ovocytes pour pallier le recul de l’âge de la maternité causant une moins grande fertilité. Mais aussi la facilitation de la recherche sur les cellules souches embryonnaires, qui ne sera désormais plus soumise à un régime d’autorisation préalable par l’Agence de biomédecine, mais par simple déclaration auprès de celle-ci. Le conseil d’orientation de l’Agence pourra dans un certain délai s’opposer au protocole de recherche si ce dernier ne respecte pas certaines conditions, elles-mêmes assouplies. La recherche embryonnaire se limitait à une finalité médicale, elle est désormais autorisée pour « améliorer la connaissance de la biologie humaine ». « Désormais, l’animal est mieux protégé que l’embryon humain », a déploré Patrick Hetzel.

Enfin, le texte autorise aussi la production de chimères animal-homme, c’est-à-dire l’implantation de cellules souches embryonnaires dans un embryon animal « dans le but de son transfert chez la femelle ». Une mesure à laquelle certains ne croyaient pas tant elle semblait farfelue, mais qui est aujourd’hui bien réelle. Désormais, il faut sans doute se préparer à de nouvelles transgressions dans les prochaines années. Dans l’hémicycle, certains ont déjà dénoncé un texte « hypocrite » qui n’allait pas assez loin, refusant notamment l’accès à la GPA. Au nom de la France Insoumise, le député Bastien Lachaud a déclaré qu’ils voteront ce texte « comme une étape qui en appelle d’autres sur le chemin de l’égalité. » Le pire est toujours à venir.

Les mesures phares en bref :

- L’ouverture de la PMA à toutes les femmes, et son remboursement par la sécurité sociale.

- La filiation via une « reconnaissance anticipée conjointe » : La mère ayant porté l’enfant est automatiquement déclarée mère, et l’autre femme pourra être reconnue mère avant même la naissance par un simple acte devant un notaire, sans procédure d’adoption.

- L’accès de l’enfant issu de PMA à ses origines : soit des données non identifiantes sur le donneur (couleur des yeux, taille…) soit son identité.

- L’assouplissement de la recherche sur les cellulles souches embryonnaires : désormais soumise à un régime de déclaration auprès de l’Agence de biomédecine, et non plus d’autorisation préalable. Les conditions de recherche sont assouplies : désormais possibles non seulement à une fin médicale, mais aussi pour faire avancer la connaissance de la biologie humaine.

- Autorisation des chimères animal-homme : l’implantation de cellules souches embryonnaires dans un embryon animal « dans le but de son transfert chez la femelle ».



Camille Lecuit