Prier pour moi svp : endometriose
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Prier pour moi svp : endometriose
Bonsoir, mes Frères et Sœurs, j'ai besoins de vos prières.
Je vie des moment pas facile dans ma santé, je suis atteinte de la maladie de l'endométriose. On ma diagnostiquée une adonemyose suivi d'une endométriose profonde !je le vie super mal a cause des douleur horrible qui me force a m'arrêter de travailler chaque mois pendant 2 a 3 jours. Celas est très handicapant dans ma vie.
Mes symptome son : saignement abondant hémorragique.
Douleur horrible bas ventre.
Mal de dos. Impossible de faire quoi que ce soi !
Mon gynécologue, ma prescrit un traitement pour l'endométriose, ce médicament s'appelle Sawis Gé.
Je dois le prendre pendant 3 mois sans arret,
Mais ce médicament me procure encore plus de douleurs , encore plus de saignements abondant, des magraine, des mots de tête, des douleur niveau du dos, une grosse fatigue !
J'ai rendez vous que le 9 Juin a l'hôpital pour voir si il y'a besoin d'une opération ou pas.
L'endométriose est complex puisque personne ne sais dou vient cette malade qui touche une femme sur 10 pendant longtemps celas est rester tabout ! Les femmes ne voulais pas parler de leurs douleur de règles, et puis un jours une femme puis ainsi de suite on commencer a parler des douleurs. Je ne sais pas encore si j'arrête ce traitement surtout que c'est un nouveau traitement il est pas encore vraiment au point sur la notice!
Je suis tomber que un témoignage qui me parle beaucoup par ce que je le vie en ce moment et déjà depuis de longue année peu etre sur ce forum d'autres femme vive les meme choses le voici. Merci à vous tous pour vos prières! Soyez benie.
Découvrez le parcours de Louise une jeune femme de 30 ans, atteinte d'endométriose depuis dix-neuf ans.
Vous souvenez-vous du jour de votre diagnostic ?
J’avais 20 ans et cela faisait déjà neuf ans que je me plaignais de douleurs intenses pendant mes règles. J’avais même fait une overdose médicamenteuse à force de prendre de l’ibuprofène pendant mon bac. Je suis allée voir la gynéco qui avait diagnostiqué ma grande sœur et tout est allé très vite. J’ai passé une IRM et le diagnostic a été posé. J’étais à la fois soulagée et en colère.
De quelle façon l’endométriose a-t-elle altéré votre qualité de vie ?
J’ai passé seize ans à mettre ma vie sur pause au moins quatre jours par mois. Allongée sur un lit, à prendre de la morphine en buvant du thé avec une bouillotte sur le ventre. Quatre jours sans dormir, sans manger, sans pouvoir lire ou parler, juste à serrer les dents en attendant que ça passe. Ce n’est pas une vie.

Sans compter que l’endométriose a complètement détruit l’image que j’avais de la femme. J’ai fait de l’anorexie à 18 ans parce que je ne voulais plus devenir une femme. Tout ce qui rapporte à la femme : la sexualité, les règles, le corps, la maternité est détruit par l’endométriose.
A-t-elle eu un impact sur vos relations avec vos proches ?
Evidemment. Cela a d’ailleurs fait le tri parmi mes amis. Il y a ceux qui étaient capables de comprendre, qui faisaient preuve d’empathie et qui étaient là pour moi et ceux qui pensaient que j’en faisais trop… Ceux-là ont disparu assez rapidement de ma vie.
Et avec les hommes, c’est encore un autre problème. Déjà, il faut accepter de voir sa compagne souffrir tous les mois, accepter que, peut-être, elle ne pourra pas avoir d’enfants mais en plus, les relations sexuelles peuvent faire mal. Ça fait beaucoup pour les épaules d'un garçon. Certains n’ont pas compris, d’autres ont essayé sans vraiment y arriver. De toute façon, de manière générale, les gens préfèrent aimer quelqu’un qui n’est pas malade.
A-t-elle eu un impact sur votre environnement professionnel ?
Oui, j’ai dû organiser mes jours de repos en fonction de mes deux premiers jours de règles pour ne pas avoir à poser tous les mois deux jours de congés ou deux jours d’arrêt qui n’auraient pas été remboursés. Pour les deux jours suivants, j’ai appris à serrer les dents pour travailler. J’ai eu la chance d’avoir des équipes très compréhensives autour de moi. Et paradoxalement, j’ai reçu plus de compassion de la part de mes collègues hommes que femmes…
Avez-vous souffert de violences gynécologiques ?
Il y a quelque chose d’extrêmement violent et impudique à se retrouver nue sur une table en fer devant un inconnu. Aujourd’hui, j’ai connu tellement de situations difficiles que cela m’importe moins. Mais je me souviens de ce gynéco à l’hôpital que j’avais vu parce que j’avais des règles en continu depuis cinq mois. J’avais 18 ans, j’étais terrifiée, anémiée, épuisée. Il a refusé de m’ausculter parce que j’étais « sale » et il m’a fait une injection de ménopause artificielle sans me préciser tous les effets secondaires qui allaient me tomber dessus (bouffées de chaleur, nausées, vertiges, sécheresse…). Si je pouvais le recroiser aujourd’hui…
Quels sont vos projets à court et long termes ?
A court terme, parler encore et toujours plus de l’endométriose pour que tout le monde connaisse cette maladie. C’est aberrant qu’une maladie qui touche plus d’une femme sur dix soit à ce point tabou. Et à long terme, j’espère qu’une jeune fille qui se plaint de douleurs pendant ses règles ne s’entendra plus dire : « C’est normal ! »
Personnellement, j’espère juste avoir un traitement qui arrête les règles et empêche les douleurs jusqu’à ma ménopause, j’espère que je n’aurai pas à passer par la case « opération » et j’espère que si un jour, je souhaite avoir des enfants, ce sera possible.
Quel message souhaitez-vous transmettre aux personnes dans la même situation que vous ?
Si vous avez mal, battez-vous pour que l’on vous prenne en charge et refusez d’être infantilisée. Exigez des réponses et réclamez des comptes aux médecins. Personne ne sait mieux que vous ce que vous ressentez. Si vous dites que vous avez mal alors vous avez mal et ce n’est pas normal.
Merci à Louise d'avoir partagé son histoire. Et vous, quelles répercussions l'endométriose a-t-elle eu sur votre quotidien ? Comment vous organisez-vous ?
Pour ma pars je resend vraiment ce témoignage! Je le vie à chaque foi dans mes periode de cycle menstruel.
Mon patron a moi comprend très bien cette maladie mais la je suis pas en contrat CDI que ce que sa sera avec un vrais contrat la honte ! Il diront cette nana n'est pas sérieuse elle s'arrête tout le temp on ne peu pas avoir confiance en elle elle n'est pas fiable .......j'en n'est vraiment mare j'ai besoin de vos prières. Mille merci à tous.
Soyez benie! ⚘
Je vie des moment pas facile dans ma santé, je suis atteinte de la maladie de l'endométriose. On ma diagnostiquée une adonemyose suivi d'une endométriose profonde !je le vie super mal a cause des douleur horrible qui me force a m'arrêter de travailler chaque mois pendant 2 a 3 jours. Celas est très handicapant dans ma vie.
Mes symptome son : saignement abondant hémorragique.
Douleur horrible bas ventre.
Mal de dos. Impossible de faire quoi que ce soi !
Mon gynécologue, ma prescrit un traitement pour l'endométriose, ce médicament s'appelle Sawis Gé.
Je dois le prendre pendant 3 mois sans arret,
Mais ce médicament me procure encore plus de douleurs , encore plus de saignements abondant, des magraine, des mots de tête, des douleur niveau du dos, une grosse fatigue !
J'ai rendez vous que le 9 Juin a l'hôpital pour voir si il y'a besoin d'une opération ou pas.
L'endométriose est complex puisque personne ne sais dou vient cette malade qui touche une femme sur 10 pendant longtemps celas est rester tabout ! Les femmes ne voulais pas parler de leurs douleur de règles, et puis un jours une femme puis ainsi de suite on commencer a parler des douleurs. Je ne sais pas encore si j'arrête ce traitement surtout que c'est un nouveau traitement il est pas encore vraiment au point sur la notice!
Je suis tomber que un témoignage qui me parle beaucoup par ce que je le vie en ce moment et déjà depuis de longue année peu etre sur ce forum d'autres femme vive les meme choses le voici. Merci à vous tous pour vos prières! Soyez benie.
Découvrez le parcours de Louise une jeune femme de 30 ans, atteinte d'endométriose depuis dix-neuf ans.
Vous souvenez-vous du jour de votre diagnostic ?
J’avais 20 ans et cela faisait déjà neuf ans que je me plaignais de douleurs intenses pendant mes règles. J’avais même fait une overdose médicamenteuse à force de prendre de l’ibuprofène pendant mon bac. Je suis allée voir la gynéco qui avait diagnostiqué ma grande sœur et tout est allé très vite. J’ai passé une IRM et le diagnostic a été posé. J’étais à la fois soulagée et en colère.
De quelle façon l’endométriose a-t-elle altéré votre qualité de vie ?
J’ai passé seize ans à mettre ma vie sur pause au moins quatre jours par mois. Allongée sur un lit, à prendre de la morphine en buvant du thé avec une bouillotte sur le ventre. Quatre jours sans dormir, sans manger, sans pouvoir lire ou parler, juste à serrer les dents en attendant que ça passe. Ce n’est pas une vie.

Sans compter que l’endométriose a complètement détruit l’image que j’avais de la femme. J’ai fait de l’anorexie à 18 ans parce que je ne voulais plus devenir une femme. Tout ce qui rapporte à la femme : la sexualité, les règles, le corps, la maternité est détruit par l’endométriose.
A-t-elle eu un impact sur vos relations avec vos proches ?
Evidemment. Cela a d’ailleurs fait le tri parmi mes amis. Il y a ceux qui étaient capables de comprendre, qui faisaient preuve d’empathie et qui étaient là pour moi et ceux qui pensaient que j’en faisais trop… Ceux-là ont disparu assez rapidement de ma vie.
Et avec les hommes, c’est encore un autre problème. Déjà, il faut accepter de voir sa compagne souffrir tous les mois, accepter que, peut-être, elle ne pourra pas avoir d’enfants mais en plus, les relations sexuelles peuvent faire mal. Ça fait beaucoup pour les épaules d'un garçon. Certains n’ont pas compris, d’autres ont essayé sans vraiment y arriver. De toute façon, de manière générale, les gens préfèrent aimer quelqu’un qui n’est pas malade.
A-t-elle eu un impact sur votre environnement professionnel ?
Oui, j’ai dû organiser mes jours de repos en fonction de mes deux premiers jours de règles pour ne pas avoir à poser tous les mois deux jours de congés ou deux jours d’arrêt qui n’auraient pas été remboursés. Pour les deux jours suivants, j’ai appris à serrer les dents pour travailler. J’ai eu la chance d’avoir des équipes très compréhensives autour de moi. Et paradoxalement, j’ai reçu plus de compassion de la part de mes collègues hommes que femmes…
Avez-vous souffert de violences gynécologiques ?
Il y a quelque chose d’extrêmement violent et impudique à se retrouver nue sur une table en fer devant un inconnu. Aujourd’hui, j’ai connu tellement de situations difficiles que cela m’importe moins. Mais je me souviens de ce gynéco à l’hôpital que j’avais vu parce que j’avais des règles en continu depuis cinq mois. J’avais 18 ans, j’étais terrifiée, anémiée, épuisée. Il a refusé de m’ausculter parce que j’étais « sale » et il m’a fait une injection de ménopause artificielle sans me préciser tous les effets secondaires qui allaient me tomber dessus (bouffées de chaleur, nausées, vertiges, sécheresse…). Si je pouvais le recroiser aujourd’hui…
Quels sont vos projets à court et long termes ?
A court terme, parler encore et toujours plus de l’endométriose pour que tout le monde connaisse cette maladie. C’est aberrant qu’une maladie qui touche plus d’une femme sur dix soit à ce point tabou. Et à long terme, j’espère qu’une jeune fille qui se plaint de douleurs pendant ses règles ne s’entendra plus dire : « C’est normal ! »
Personnellement, j’espère juste avoir un traitement qui arrête les règles et empêche les douleurs jusqu’à ma ménopause, j’espère que je n’aurai pas à passer par la case « opération » et j’espère que si un jour, je souhaite avoir des enfants, ce sera possible.
Quel message souhaitez-vous transmettre aux personnes dans la même situation que vous ?
Si vous avez mal, battez-vous pour que l’on vous prenne en charge et refusez d’être infantilisée. Exigez des réponses et réclamez des comptes aux médecins. Personne ne sait mieux que vous ce que vous ressentez. Si vous dites que vous avez mal alors vous avez mal et ce n’est pas normal.
Merci à Louise d'avoir partagé son histoire. Et vous, quelles répercussions l'endométriose a-t-elle eu sur votre quotidien ? Comment vous organisez-vous ?
Pour ma pars je resend vraiment ce témoignage! Je le vie à chaque foi dans mes periode de cycle menstruel.
Mon patron a moi comprend très bien cette maladie mais la je suis pas en contrat CDI que ce que sa sera avec un vrais contrat la honte ! Il diront cette nana n'est pas sérieuse elle s'arrête tout le temp on ne peu pas avoir confiance en elle elle n'est pas fiable .......j'en n'est vraiment mare j'ai besoin de vos prières. Mille merci à tous.
Soyez benie! ⚘
PMAJ- Aime la Bible
- Messages : 19
Age : 28
Localisation : Yvelines
Inscription : 11/03/2021
Re: Prier pour moi svp : endometriose
C'est vraiment un calvaire épouvantable : je vous porte tout de suite dans ma prière .... Jésus est le meilleur medecin , et Marie sa Mère son onguent
Elle vous consolera de toute évidence
Elle vous consolera de toute évidence
O Mère Bien-aimée , Souveraine Maitresse des Anges vous qui dès le commencement avez reçu le pouvoir et la mission d'écraser la tête de Satan nous vous le demandons humblement, envoyez vos légions célestes pour que sous vos ordres et par votre puissance selles poursuivent les démons , les pourchassent partout , répriment leur audace et les refoulent en enfer
QUI est comme Dieu ?
O Divine Mère Vous serez toujours notre amour et notre espérance !
O Mère Bien Aimée Envoyez vous Saints anges pour me défendre et repousser loin de moi le cruel ennemi
Saints anges et Archanges , Défendez nous , gardez nous !
azais- MEDIATEUR
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Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: Prier pour moi svp : endometriose
PROCUREZ VOUS LE LIVRE DU DR JEAN PIERRE WILLEM 102 maladies 102 prescriptions
un des 102 chapitres concerne l'endometriose sur 10 pages
je n'arrive pas à scanner les pages (je suis sur que vous trouverez de quoi soulager vos peines et peut être la maladie )
voici que je trouve une de ses lettres sur internet :
Santé29 juillet 201727 Comment
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Avant de parler de cette maladie qui apporte beaucoup de souffrance à de nombreuses femmes, je vais peut-être vous arracher un petit sourire.
Car, du haut de mon grand âge, j’ai eu à traiter un certain nombre de femmes atteintes d’endométriose. Et certaines, quand elles ont enfin eu le bonheur de mettre au monde un enfant inespéré, ont choisi de donner le prénom… « Jean-Pierre » à leur garçon !
Quelle belle récompense !
Mais avant ces petits « miracles », que de souffrance, de douleurs et bien souvent… de phases de désespoir.
On estime aujourd’hui que 180 millions de femmes sont touchées dans le monde, surtout des femmes jeunes.
On parle d’endométriose quand on observe la présence d’endomètre, la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l’utérus, dans un autre endroit que la cavité utérine : le plus souvent, dans le bassin (cul-de-sac de Douglas, ovaires, rectum), mais d’autres organes comme la peau, les poumons, le cerveau, peuvent être le siège de localisations endométriosiques.
La particularité de ce tissu est sa capacité à diffuser, à se reproduire selon un mode qui ressemble beaucoup à celui de la diffusion des cellules métastatiques du cancer.
A chaque règles, cette muqueuse se nécrose et saigne pour être régénérée pendant tout le cycle suivant. Mais les saignements qui vont se produire en dehors de l’endomètre provoquent des hémorragies internes douloureuses, qui sont résorbées par le péritoine (membrane tapissant tous les organes), ou transformées en tissus cicatriciels ou en kystes.
Voici les symptômes les plus courants :
L’endométriose peut aussi être asymptomatique : dans 20 % des cas, les endométrioses sont indolores.
On en parle beaucoup ces derniers temps grâce à quelques célébrités et stars qui ont essayé d’attirer l’attention du public sur cette question [1], mais ça reste une maladie mal connue et encore assez mystérieuse pour la science.
Son origine aussi reste assez incertaine.
La prise en charge allopathique est chirurgicale ou médicale : ces traitements visent à traiter les lésions et à éviter la propagation de la maladie. Malheureusement, si ces traitements stabilisent ou cachent la maladie, ils ne la guérissent généralement pas et les poussées peuvent reprendre à l’arrêt du traitement.
Les jeunes femmes malades se sentent souvent démunies car les traitements conventionnels proposés sont généralement agressifs ; d’où l’intérêt d’une prise en charge globale pour les accompagner.
La médecine de terrain associe, elle, toutes les méthodes thérapeutiques contribuant à guérir ou prévenir les pathologies.
L’impact de l’alimentation sur les maladies inflammatoires chroniques est bien connu. Il est utile de conseiller aux patientes porteuses d’endométriose d’éviter la consommation d’aliments pro-inflammatoires comme :
Il faut privilégier les aliments anti-inflammatoires (myrtilles, mûres, framboises), les légumineuses (lentilles, pois chiches), les noix et graines, les poissons gras, les légumes frais, les fibres contenues dans les céréales complètes, les fruits, les haricots, le riz brun, les crucifères, les oméga-3 (noix, huile d’onagre, poisson gras). La complémentation par la vitamine D est conseillée.
L’arrêt du tabac est aussi fondamental.
La prise en charge homéopathique est intéressante car individualisée, permettant d’adapter le traitement au type de symptômes et au terrain de la patiente. Le traitement homéopathique peut être prescrit seul après la chirurgie, lorsque les lésions ne nécessitent pas un traitement allopathique médical ou dans l’attente d’une grossesse. Il peut aussi accompagner des traitements d’endométriose sévère pour tenter de stabiliser la maladie.
Folliculinum 15 CH, pour freiner l’excès de folliculine. 1 dose le 7e et 13e jour du cycle + progestérone les derniers jours du cycle pour faciliter les menstruations.
Ordonnance-type :
Actaea racemosa 5 CH 2 tubes
Colocynthis 5 CH 2 tubes
Trois granules de chaque en alternance trois fois par jour jusqu’à amélioration.
L’essentiel pour la prescription courante (remède à choisir selon ses symptômes) :
Dès lors que l’endométriose est due à l’excès d’œstrogènes prendre :
Par voie cutanée
1 application (1 noix du gel ou 10 gouttes) sur le bas ventre matin et soir pendant 20 jours.
Par voie vaginale (demander ovule à votre médecin) :
1 ovule le soir pendant 20 jours
Utiliser la voie cutanée préférentiellement. Réserver la voie vaginale aux cas plus importants.
Mais il est aussi intéressant d’assurer ses apports en vitamines E, B6, B10, C, en oligo-éléments (zinc, chrome, manganèse, sélénium), en acide gras poly-insaturés (huile d’olive, de colza, de lin, de noix).
Je souhaite à toutes les femmes qui souffrent de cette maladie, le même « miracle » que ceux évoqués au début de cette lettre.
Pour moi, c’est une simple guérison opérée par une médecine naturelle holistique.
Mais rassurez-les, elles ne seront pas obligées d’appeler leur fils « Jean-Pierre » !
un des 102 chapitres concerne l'endometriose sur 10 pages
je n'arrive pas à scanner les pages (je suis sur que vous trouverez de quoi soulager vos peines et peut être la maladie )
voici que je trouve une de ses lettres sur internet :
- Endométriose : le « miracle » est possible
Santé29 juillet 201727 Comment
Endométriose : le « miracle » est possible
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Avant de parler de cette maladie qui apporte beaucoup de souffrance à de nombreuses femmes, je vais peut-être vous arracher un petit sourire.
Car, du haut de mon grand âge, j’ai eu à traiter un certain nombre de femmes atteintes d’endométriose. Et certaines, quand elles ont enfin eu le bonheur de mettre au monde un enfant inespéré, ont choisi de donner le prénom… « Jean-Pierre » à leur garçon !
Quelle belle récompense !
Mais avant ces petits « miracles », que de souffrance, de douleurs et bien souvent… de phases de désespoir.
On estime aujourd’hui que 180 millions de femmes sont touchées dans le monde, surtout des femmes jeunes.
On parle d’endométriose quand on observe la présence d’endomètre, la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l’utérus, dans un autre endroit que la cavité utérine : le plus souvent, dans le bassin (cul-de-sac de Douglas, ovaires, rectum), mais d’autres organes comme la peau, les poumons, le cerveau, peuvent être le siège de localisations endométriosiques.
Elle se diffuse comme les métastases
A chaque règles, cette muqueuse se nécrose et saigne pour être régénérée pendant tout le cycle suivant. Mais les saignements qui vont se produire en dehors de l’endomètre provoquent des hémorragies internes douloureuses, qui sont résorbées par le péritoine (membrane tapissant tous les organes), ou transformées en tissus cicatriciels ou en kystes.
Voici les symptômes les plus courants :
- Le syndrome prémenstruel est fréquent : seins gonflés et douloureux, ventre gonflé et tendu, changement d’humeur ;
- Les douleurs : dysménorrhée (règles douloureuses), dyspareunie (douleurs pendant les rapports sexuels). Les douleurs sont rythmées par les règles ;
- La stérilité dans 30 à 40 % des cas ;
- Une position anormale de l’utérus appelée rétroversion (fond de l’utérus projeté en arrière et col remonté vers le pubis). Ce qui peut donner lieu à une absence de nidation de l’ovule fécondé ;
- Une masse dont le volume et le caractère douloureux évoluent en fonction du cycle ;
- Règles de plus en plus courtes (dues aux taux de folliculines qui ne chutent pas assez), puis absentes ou remplacées par des hémorragies (métrorragies) qui surviennent tous les 3 ou 4 mois.
L’endométriose peut aussi être asymptomatique : dans 20 % des cas, les endométrioses sont indolores.
Une maladie encore obscure pour la science
Son origine aussi reste assez incertaine.
- Des facteurs génétiques ont été relevés : un antécédent d’endométriose sévère chez une parente de premier degré multiplie par 6 le risque d’être atteinte et certains gènes sont en cours d’étude ;
- Les facteurs environnementaux incriminés : exposition au distilbène, à la dioxine. D’autres facteurs, comme l’exposition aux UV et l’exposition au soja en grande quantité in utero et dans l’enfance ont été évoqués ;
- Les facteurs hormonaux sont aussi impliqués ;
- Les facteurs psychologiques semblent aussi interférer : fréquence accrue de dépression, anxiété chez les patientes porteuses d’endométriose sans que l’on sache si c’est la cause ou la conséquence.
La prise en charge allopathique est chirurgicale ou médicale : ces traitements visent à traiter les lésions et à éviter la propagation de la maladie. Malheureusement, si ces traitements stabilisent ou cachent la maladie, ils ne la guérissent généralement pas et les poussées peuvent reprendre à l’arrêt du traitement.
Les espoirs de la médecine holistique
La médecine de terrain associe, elle, toutes les méthodes thérapeutiques contribuant à guérir ou prévenir les pathologies.
L’impact de l’alimentation sur les maladies inflammatoires chroniques est bien connu. Il est utile de conseiller aux patientes porteuses d’endométriose d’éviter la consommation d’aliments pro-inflammatoires comme :
- les laitages, les produits gras saturés, les céréales contenant du gluten, les céréales raffinées, les sucres rapides, l’alcool, les fruits citrins (pamplemousse, orange) ;
- mais aussi les éléments frits, la caféine, les oméga-6 (huile de tournesol, maïs) ;
- et tous les agents conservateurs, additifs, colorants, édulcorants. Le soja doit être consommé avec modération en raison de son pouvoir œstrogénique.
Il faut privilégier les aliments anti-inflammatoires (myrtilles, mûres, framboises), les légumineuses (lentilles, pois chiches), les noix et graines, les poissons gras, les légumes frais, les fibres contenues dans les céréales complètes, les fruits, les haricots, le riz brun, les crucifères, les oméga-3 (noix, huile d’onagre, poisson gras). La complémentation par la vitamine D est conseillée.
L’arrêt du tabac est aussi fondamental.
Traiter la douleur grâce à l’homéopathie
Folliculinum 15 CH, pour freiner l’excès de folliculine. 1 dose le 7e et 13e jour du cycle + progestérone les derniers jours du cycle pour faciliter les menstruations.
Ordonnance-type :
Actaea racemosa 5 CH 2 tubes
Colocynthis 5 CH 2 tubes
Trois granules de chaque en alternance trois fois par jour jusqu’à amélioration.
L’essentiel pour la prescription courante (remède à choisir selon ses symptômes) :
- Actaea racemosa: douleurs proportionnelles à l’abondance des règles, plus l’écoulement est abondant, plus la douleur est forte ; alternance des douleurs avec des troubles mentaux (humeurs changeantes, loquacité avec passage du coq-à-l’âne, sensation de devenir folle).
- Colocynthis : principal médicament, à prescrire presque systématiquement ; la douleur crampoïde plie la patiente en deux, la pousse à appuyer sur son abdomen, irritabilité due à la douleur, amélioration par les applications chaudes.
- Magnesia phosphorica: la douleur plie la patiente en deux et la pousse à appuyer sur la région douloureuse, améliorée par la chaleur. Crampes des mains (écrivain) ou des mollets.
- Pulsatilla 9 CH, règles peu abondantes, courtes, qui s’arrêtent un jour et reprennent, très douloureuses, irradiant dans les cuisses, le dos, mauvaise circulation (mains et pieds violacés), symptômes changeant de place, femme pleurant facilement. Convient pour une endométriose qui débute.
- Sepia 9 CH, poids dans l’utérus avec besoin de croiser les jambes, règles en retard, peu abondantes, malaises, avant, pendant et après les règles. Femme triste, désirant rester seule, digérant mal, irritable. Endométriose plus ancienne.
- Sabina 7 CH, règles abondantes, en avance et traînant en longueur, accompagnées de douleurs violentes, (intermittentes comme pour l’accouchement), lombosacrées, irradiant au pubis, au vagin et aux cuisses.
- Thuya occidentalis 7 CH, terrain engorgé après des maladies chroniques, la prise d’hormones (pilule) des vaccinations et des traitements toxiques (antibiotiques, cortisone, remèdes chimiques, chimiothérapies), tendance aux kystes, aux fibromes, aux verrues. 2 fois 3 granules par jour + une dose en 15 CH 2 fois par mois.
- Caulophyllum: règles en avance, peu abondantes mais prolongées de sang noir. Dysménorrhée avec spasmes du col utérin, crampes. Les douleurs apparaissent dès la puberté.
- Chamomilla: Douleurs intolérables, colique, névralgie, chez une malade hypersensible. Dysménorrhée avec sang noir, caillots, ballonnement abdominal douloureux.
- Iodum: règles abondantes. Kystes ovariens droits. Endométriose. Hyperthyroïdie et adénopathie, agitation anxieuse constante.
Ces plantes pourraient vous aider
- Le gattilier (Vitex agnus castus) est indiqué comme anti-œstrogène : à prendre en teinture mère (50 gouttes) en nebulisat ou poudre micronisée ou encore en extrait fluide ;
- Actée à grappes noires (Cimicifuga) ; complexe N° 21 (Labo Lehning) : améliore les règles en modifiant le flux menstruel et en réduisant ainsi les douleurs internes et spasmodiques. 3 fois 20 gouttes en dehors des repas ;
- La vigne (vitis vinifera) intervient au niveau circulatoire dans les hyperménorrhées douloureuses (règles abondantes). C’est aussi un remède du fibrome. En gemmothérapie (Bg Mac Glyc 1 D) 2 fois 40 gouttes. 1 flacon de 125 ml ;
- Igname sauvage (dioscorea) 100 gouttes une fois par jour.
Voici quelques huiles essentielles indispensables
- HE cistus ladaniferus 3 ml
- HE cupressus sempervirens 3 ml
- HE mentha piperita 3 ml
- HE eucalyptus citriodora 5 ml
- Gel neutre ou huile végétale qsp 50 ml
1 application (1 noix du gel ou 10 gouttes) sur le bas ventre matin et soir pendant 20 jours.
Par voie vaginale (demander ovule à votre médecin) :
- HE cistus ladaniferus 100 mg
- HE cupressus sempervirens 50 mg
- HE melaleuca quinquenervia et CT cinéole 50 mg
- HE eucalyptus citriodora 50 mg
- HE Mentha piperita 25 mg
- Whitepsol QS pour faire 1 ovule (4 gr) dt 20
1 ovule le soir pendant 20 jours
Utiliser la voie cutanée préférentiellement. Réserver la voie vaginale aux cas plus importants.
Le renfort des compléments alimentaires
- Bioline (oméga 3) 2 fois 2 gélules 1 boite
- Radicolyse (anti oxydant) 2 fois 2 gélules 1 boite
- Afalg (algues aphanizoménon) 2 fois 2 gélules 1 boite
- Topagil (douleur) 2 fois 2 gélules
- Vitamine C cynorrhodon 2 fois 2 gélules,
- Onguent apaisant : en massage sur le bas de l’abdomen et les zones douloureuses. [2]
Mais il est aussi intéressant d’assurer ses apports en vitamines E, B6, B10, C, en oligo-éléments (zinc, chrome, manganèse, sélénium), en acide gras poly-insaturés (huile d’olive, de colza, de lin, de noix).
Je souhaite à toutes les femmes qui souffrent de cette maladie, le même « miracle » que ceux évoqués au début de cette lettre.
Pour moi, c’est une simple guérison opérée par une médecine naturelle holistique.
Mais rassurez-les, elles ne seront pas obligées d’appeler leur fils « Jean-Pierre » !
azais- MEDIATEUR
- Messages : 9459
Age : 73
Inscription : 10/02/2016
Re: Prier pour moi svp : endometriose
Je compatis à votre douleur, je prierai pour vous.
L'Endométriose se soigne, ou en tout cas on peut la limiter, rassurez-vous.
Mais je ne vous dirait pas que cela sera une partie de plaisir.
Ma Femme en a souffert pendant 3 décennies, elle a été opérée, cela allait mieux puis cela a recommencé...
Jusqu’à notre premier enfant qui a complètement stabilisé son état et ses douleurs. (on ne sait pas si c'est grâce à la venue du bébé, la baisse ou l'explosion des hormones, le changement de rythme de vie, une meilleure alimentation etc.)
Personne ne sait vraiment quoi faire, à part ouvrir et nettoyer de temps en temps pour éviter que le développement de la maladie atteigne les organes voisins et augmentent les douleurs.
L'opération sous cœlioscopie a été très utile, 3 petits trous et c’était tout propre. Mais cela n'a été que passager.
Choisissez surtout un bon chirurgien. Allez en voir plusieurs pour vous faire un vrai avis, avant de vous décider.
Puisque c'est une maladie hormono-dépendante, une vie saine et une bonne santé physique est primordiale.
Faites un peu de sport pour stabiliser votre production hormonale et faites attention à tout ce qui contient des œstrogènes... Certaines nourritures, certains parfums, la pillule etc.
Limitez tous les médicaments hormonaux.
Nous sommes de tout cœur avec vous.
Et comme vous avez déjà une relation particulière avec Marie et qu'elle est près de vous :
Marie, chère Marie, je vous prie d'accueillir Aurélie en votre prière.
L'Endométriose se soigne, ou en tout cas on peut la limiter, rassurez-vous.
Mais je ne vous dirait pas que cela sera une partie de plaisir.
Ma Femme en a souffert pendant 3 décennies, elle a été opérée, cela allait mieux puis cela a recommencé...
Jusqu’à notre premier enfant qui a complètement stabilisé son état et ses douleurs. (on ne sait pas si c'est grâce à la venue du bébé, la baisse ou l'explosion des hormones, le changement de rythme de vie, une meilleure alimentation etc.)
Personne ne sait vraiment quoi faire, à part ouvrir et nettoyer de temps en temps pour éviter que le développement de la maladie atteigne les organes voisins et augmentent les douleurs.
L'opération sous cœlioscopie a été très utile, 3 petits trous et c’était tout propre. Mais cela n'a été que passager.
Choisissez surtout un bon chirurgien. Allez en voir plusieurs pour vous faire un vrai avis, avant de vous décider.
Puisque c'est une maladie hormono-dépendante, une vie saine et une bonne santé physique est primordiale.
Faites un peu de sport pour stabiliser votre production hormonale et faites attention à tout ce qui contient des œstrogènes... Certaines nourritures, certains parfums, la pillule etc.
Limitez tous les médicaments hormonaux.
Nous sommes de tout cœur avec vous.
Et comme vous avez déjà une relation particulière avec Marie et qu'elle est près de vous :
Marie, chère Marie, je vous prie d'accueillir Aurélie en votre prière.
Re: Prier pour moi svp : endometriose
@PMAJ
le 9 juin approche
connaissiez vous les conseils du Dr Willem rapportés ci dessus . Vous ont ils donné des idées pour adoucir voir améliorer votre état ?
nous continuons à prier pour vous ; je vous suggère de consacrer votre corps douloureux à l Immaculée conception ....
( je viens de recevoir sa lettre - la voici à nouveau donc - ce qui m'a rappelé votre intention de prière )
Endométriose : le « miracle » est possible
Chère amie, cher ami,
Avant de parler de cette maladie qui apporte beaucoup de souffrance à de nombreuses femmes, je vais peut-être vous arracher un petit sourire.
Car, du haut de mon grand âge, j’ai eu à traiter un certain nombre de femmes atteintes d’endométriose. Et certaines, quand elles ont enfin eu le bonheur de mettre au monde un enfant inespéré, ont choisi de donner le prénom… « Jean-Pierre » à leur garçon !
Quelle belle récompense !
Mais avant ces petits « miracles », que de souffrance, de douleurs et bien souvent… de phases de désespoir.
On estime aujourd’hui que 180 millions de femmes sont touchées dans le monde, surtout des femmes jeunes.
On parle d’endométriose quand on observe la présence d’endomètre, la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l’utérus, dans un autre endroit que la cavité utérine : le plus souvent, dans le bassin (cul-de-sac de Douglas, ovaires, rectum), mais d’autres organes comme la peau, les poumons, le cerveau, peuvent être le siège de localisations endométriosiques.
A chaque règles, cette muqueuse se nécrose et saigne pour être régénérée pendant tout le cycle suivant. Mais les saignements qui vont se produire en dehors de l’endomètre provoquent des hémorragies internes douloureuses, qui sont résorbées par le péritoine (membrane tapissant tous les organes), ou transformées en tissus cicatriciels ou en kystes.
Voici les symptômes les plus courants :
L’endométriose peut aussi être asymptomatique : dans 20 % des cas, les endométrioses sont indolores.
Son origine aussi reste assez incertaine.
La prise en charge allopathique est chirurgicale ou médicale : ces traitements visent à traiter les lésions et à éviter la propagation de la maladie.
Malheureusement, si ces traitements stabilisent ou cachent la maladie, ils ne la guérissent généralement pas et les poussées peuvent reprendre à l’arrêt du traitement.
La médecine de terrain associe, elle, toutes les méthodes thérapeutiques contribuant à guérir ou prévenir les pathologies.
L’impact de l’alimentation sur les maladies inflammatoires chroniques est bien connu. Il est utile de conseiller aux patientes porteuses d’endométriose d’éviter la consommation d’aliments pro-inflammatoires comme :
Il faut privilégier les aliments anti-inflammatoires (myrtilles, mûres, framboises), les légumineuses (lentilles, pois chiches), les noix et graines, les poissons gras, les légumes frais, les fibres contenues dans les céréales complètes, les fruits, les haricots, le riz brun, les crucifères, les oméga-3 (noix, huile d’onagre, poisson gras). La complémentation par la vitamine D est conseillée.
L’arrêt du tabac est aussi fondamental.
Folliculinum 15 CH, pour freiner l’excès de folliculine. 1 dose le 7e et 13e jour du cycle + progestérone les derniers jours du cycle pour faciliter les menstruations.
Ordonnance-type :
Actaea racemosa 5 CH 2 tubes
Colocynthis 5 CH 2 tubes
Trois granules de chaque en alternance trois fois par jour jusqu’à amélioration.
L’essentiel pour la prescription courante (remède à choisir selon ses symptômes) :
Ces plantes pourraient vous aider
Dès lors que l’endométriose est due à l’excès d’œstrogènes prendre :
1 application (1 noix du gel ou 10 gouttes) sur le bas ventre matin et soir pendant 20 jours.
Par voie vaginale (demander ovule à votre médecin) :
1 ovule le soir pendant 20 jours
Utiliser la voie cutanée préférentiellement.
Réserver la voie vaginale aux cas plus importants.
Mais il est aussi intéressant d’assurer ses apports en vitamines E, B6, B10, C, en oligo-éléments (zinc, chrome, manganèse, sélénium), en acide gras poly-insaturés (huile d’olive, de colza, de lin, de noix).
Je souhaite à toutes les femmes qui souffrent de cette maladie, le même « miracle » que ceux évoqués au début de cette lettre.
le 9 juin approche
connaissiez vous les conseils du Dr Willem rapportés ci dessus . Vous ont ils donné des idées pour adoucir voir améliorer votre état ?
nous continuons à prier pour vous ; je vous suggère de consacrer votre corps douloureux à l Immaculée conception ....
"Je consacre [ ], Seigneur, à votre Sacré-Cœur" (3 fois),
"Je consacre [ ], Vierge Marie, à votre Cœur Immaculé",
"Je consacre [ ], saint Joseph, à votre paternité",
"Je vous consacre [ ], saint Michel, protégez-la de vos ailes". Amen †
"Je consacre [ ], Vierge Marie, à votre Cœur Immaculé",
"Je consacre [ ], saint Joseph, à votre paternité",
"Je vous consacre [ ], saint Michel, protégez-la de vos ailes". Amen †
( je viens de recevoir sa lettre - la voici à nouveau donc - ce qui m'a rappelé votre intention de prière )
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Chère amie, cher ami,
Avant de parler de cette maladie qui apporte beaucoup de souffrance à de nombreuses femmes, je vais peut-être vous arracher un petit sourire.
Car, du haut de mon grand âge, j’ai eu à traiter un certain nombre de femmes atteintes d’endométriose. Et certaines, quand elles ont enfin eu le bonheur de mettre au monde un enfant inespéré, ont choisi de donner le prénom… « Jean-Pierre » à leur garçon !
Quelle belle récompense !
Mais avant ces petits « miracles », que de souffrance, de douleurs et bien souvent… de phases de désespoir.
On estime aujourd’hui que 180 millions de femmes sont touchées dans le monde, surtout des femmes jeunes.
On parle d’endométriose quand on observe la présence d’endomètre, la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l’utérus, dans un autre endroit que la cavité utérine : le plus souvent, dans le bassin (cul-de-sac de Douglas, ovaires, rectum), mais d’autres organes comme la peau, les poumons, le cerveau, peuvent être le siège de localisations endométriosiques.
Elle se diffuse comme les métastases
La particularité de ce tissu est sa capacité à diffuser, à se reproduire selon un mode qui ressemble beaucoup à celui de la diffusion des cellules métastatiques du cancer.A chaque règles, cette muqueuse se nécrose et saigne pour être régénérée pendant tout le cycle suivant. Mais les saignements qui vont se produire en dehors de l’endomètre provoquent des hémorragies internes douloureuses, qui sont résorbées par le péritoine (membrane tapissant tous les organes), ou transformées en tissus cicatriciels ou en kystes.
Voici les symptômes les plus courants :
- Le syndrome prémenstruel est fréquent : seins gonflés et douloureux, ventre gonflé et tendu, changement d’humeur ;
- Les douleurs : dysménorrhée (règles douloureuses), dyspareunie (douleurs pendant les rapports sexuels). Les douleurs sont rythmées par les règles ;
- La stérilité dans 30 à 40 % des cas ;
- Une position anormale de l’utérus appelée rétroversion (fond de l’utérus projeté en arrière et col remonté vers le pubis). Ce qui peut donner lieu à une absence de nidation de l’ovule fécondé ;
- Une masse dont le volume et le caractère douloureux évoluent en fonction du cycle ;
- Règles de plus en plus courtes (dues aux taux de folliculines qui ne chutent pas assez), puis absentes ou remplacées par des hémorragies (métrorragies) qui surviennent tous les 3 ou 4 mois.
L’endométriose peut aussi être asymptomatique : dans 20 % des cas, les endométrioses sont indolores.
Une maladie encore obscure pour la science
On en parle beaucoup ces derniers temps grâce à quelques célébrités et stars qui ont essayé d’attirer l’attention du public sur cette question [1], mais ça reste une maladie mal connue et encore assez mystérieuse pour la science.Son origine aussi reste assez incertaine.
- Des facteurs génétiques ont été relevés : un antécédent d’endométriose sévère chez une parente de premier degré multiplie par 6 le risque d’être atteinte et certains gènes sont en cours d’étude ;
- Les facteurs environnementaux incriminés : exposition au distilbène, à la dioxine. D’autres facteurs, comme l’exposition aux UV et l’exposition au soja en grande quantité in utero et dans l’enfance ont été évoqués ;
- Les facteurs hormonaux sont aussi impliqués ;
- Les facteurs psychologiques semblent aussi interférer : fréquence accrue de dépression, anxiété chez les patientes porteuses d’endométriose sans que l’on sache si c’est la cause ou la conséquence.
La prise en charge allopathique est chirurgicale ou médicale : ces traitements visent à traiter les lésions et à éviter la propagation de la maladie.
Malheureusement, si ces traitements stabilisent ou cachent la maladie, ils ne la guérissent généralement pas et les poussées peuvent reprendre à l’arrêt du traitement.
Les espoirs de la médecine holistique
Les jeunes femmes malades se sentent souvent démunies car les traitements conventionnels proposés sont généralement agressifs ; d’où l’intérêt d’une prise en charge globale pour les accompagner.La médecine de terrain associe, elle, toutes les méthodes thérapeutiques contribuant à guérir ou prévenir les pathologies.
L’impact de l’alimentation sur les maladies inflammatoires chroniques est bien connu. Il est utile de conseiller aux patientes porteuses d’endométriose d’éviter la consommation d’aliments pro-inflammatoires comme :
- Les laitages, les produits gras saturés, les céréales contenant du gluten, les céréales raffinées, les sucres rapides, l’alcool, les fruits citrins (pamplemousse, orange) ;
- Mais aussi les éléments frits, la caféine, les oméga-6 (huile de tournesol, maïs) ;
- Et tous les agents conservateurs, additifs, colorants, édulcorants. Le soja doit être consommé avec modération en raison de son pouvoir œstrogénique.
Il faut privilégier les aliments anti-inflammatoires (myrtilles, mûres, framboises), les légumineuses (lentilles, pois chiches), les noix et graines, les poissons gras, les légumes frais, les fibres contenues dans les céréales complètes, les fruits, les haricots, le riz brun, les crucifères, les oméga-3 (noix, huile d’onagre, poisson gras). La complémentation par la vitamine D est conseillée.
L’arrêt du tabac est aussi fondamental.
Traiter la douleur grâce à l’homéopathie
La prise en charge homéopathique est intéressante car individualisée, permettant d’adapter le traitement au type de symptômes et au terrain de la patiente. Le traitement homéopathique peut être prescrit seul après la chirurgie, lorsque les lésions ne nécessitent pas un traitement allopathique médical ou dans l’attente d’une grossesse. Il peut aussi accompagner des traitements d’endométriose sévère pour tenter de stabiliser la maladie.Folliculinum 15 CH, pour freiner l’excès de folliculine. 1 dose le 7e et 13e jour du cycle + progestérone les derniers jours du cycle pour faciliter les menstruations.
Ordonnance-type :
Actaea racemosa 5 CH 2 tubes
Colocynthis 5 CH 2 tubes
Trois granules de chaque en alternance trois fois par jour jusqu’à amélioration.
L’essentiel pour la prescription courante (remède à choisir selon ses symptômes) :
- Actaea racemosa : douleurs proportionnelles à l’abondance des règles, plus l’écoulement est abondant, plus la douleur est forte ; alternance des douleurs avec des troubles mentaux (humeurs changeantes, loquacité avec passage du coq-à-l’âne, sensation de devenir folle).
- Colocynthis : principal médicament, à prescrire presque systématiquement ; la douleur crampoïde plie la patiente en deux, la pousse à appuyer sur son abdomen, irritabilité due à la douleur, amélioration par les applications chaudes.
- Magnesia phosphorica : la douleur plie la patiente en deux et la pousse à appuyer sur la région douloureuse, améliorée par la chaleur. Crampes des mains (écrivain) ou des mollets.
- Pulsatilla 9 CH, règles peu abondantes, courtes, qui s’arrêtent un jour et reprennent, très douloureuses, irradiant dans les cuisses, le dos, mauvaise circulation (mains et pieds violacés), symptômes changeant de place, femme pleurant facilement. Convient pour une endométriose qui débute.
- Sepia 9 CH, poids dans l’utérus avec besoin de croiser les jambes, règles en retard, peu abondantes, malaises, avant, pendant et après les règles. Femme triste, désirant rester seule, digérant mal, irritable. Endométriose plus ancienne.
- Sabina 7 CH, règles abondantes, en avance et traînant en longueur, accompagnées de douleurs violentes, (intermittentes comme pour l’accouchement), lombosacrées, irradiant au pubis, au vagin et aux cuisses.
- Thuya occidentalis 7 CH, terrain engorgé après des maladies chroniques, la prise d’hormones (pilule) des vaccinations et des traitements toxiques (antibiotiques, cortisone, remèdes chimiques, chimiothérapies), tendance aux kystes, aux fibromes, aux verrues. 2 fois 3 granules par jour + une dose en 15 CH 2 fois par mois.
- Caulophyllum : règles en avance, peu abondantes mais prolongées de sang noir. Dysménorrhée avec spasmes du col utérin, crampes. Les douleurs apparaissent dès la puberté.
- Chamomilla : Douleurs intolérables, colique, névralgie, chez une malade hypersensible. Dysménorrhée avec sang noir, caillots, ballonnement abdominal douloureux.
- Iodum : règles abondantes. Kystes ovariens droits. Endométriose. Hyperthyroïdie et adénopathie, agitation anxieuse constante.
Ces plantes pourraient vous aider
Dès lors que l’endométriose est due à l’excès d’œstrogènes prendre :
- Le gattilier (Vitex agnus castus) est indiqué comme anti-œstrogène : à prendre en teinture mère (50 gouttes) en nebulisat ou poudre micronisée ou encore en extrait fluide ;
- Actée à grappes noires (Cimicifuga) ; complexe N° 21 (Labo Lehning) : améliore les règles en modifiant le flux menstruel et en réduisant ainsi les douleurs internes et spasmodiques. 3 fois 20 gouttes en dehors des repas ;
- La vigne (vitis vinifera) intervient au niveau circulatoire dans les hyperménorrhées douloureuses (règles abondantes). C’est aussi un remède du fibrome. En gemmothérapie (Bg Mac Glyc 1 D) 2 fois 40 gouttes. 1 flacon de 125 ml ;
- Igname sauvage (dioscorea) 100 gouttes une fois par jour.
Voici quelques huiles essentielles indispensables
Par voie cutanée- HE cistus ladaniferus 3 ml
- HE cupressus sempervirens 3 ml
- HE mentha piperita 3 ml
- HE eucalyptus citriodora 5 ml
- Gel neutre ou huile végétale qsp 50 ml
1 application (1 noix du gel ou 10 gouttes) sur le bas ventre matin et soir pendant 20 jours.
Par voie vaginale (demander ovule à votre médecin) :
- HE cistus ladaniferus 100 mg
- HE cupressus sempervirens 50 mg
- HE melaleuca quinquenervia et CT cinéole 50 mg
- HE eucalyptus citriodora 50 mg
- HE mentha piperita 25 mg
- Whitepsol QS pour faire 1 ovule (4 gr) dt 20
1 ovule le soir pendant 20 jours
Utiliser la voie cutanée préférentiellement.
Réserver la voie vaginale aux cas plus importants.
Le renfort des compléments alimentaires
- Bioline (oméga 3) 2 fois 2 gélules 1 boite
- Radicolyse (anti oxydant) 2 fois 2 gélules 1 boite
- Afalg (algues aphanizoménon) 2 fois 2 gélules 1 boite
- Topagil (douleur) 2 fois 2 gélules
- Vitamine C cynorrhodon 2 fois 2 gélules,
- Onguent apaisant : en massage sur le bas de l’abdomen et les zones douloureuses. [2]
Mais il est aussi intéressant d’assurer ses apports en vitamines E, B6, B10, C, en oligo-éléments (zinc, chrome, manganèse, sélénium), en acide gras poly-insaturés (huile d’olive, de colza, de lin, de noix).
Je souhaite à toutes les femmes qui souffrent de cette maladie, le même « miracle » que ceux évoqués au début de cette lettre.
azais- MEDIATEUR
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Inscription : 10/02/2016
AnthonyD aime ce message
Re: Prier pour moi svp : endometriose
@PMAJ
J'ai connu ces souffrances aussi toute jeune, dès que je suis devenue pubère. C'était tellement fort et imprévisible que cela m'a handicapée pour suivre un cursus scolaire normal. mais toutes ces souffrances se sont atténuées peu à peu à savoir lorsque je me suis mariée et ont disparu lorsque j'ai eu mon premier enfant.
Mais lors de l'intervention chirurgicale pour une péritonite aiguë à l'age de 13 ans, pensant que je faisais une hémorragie le chirurgien a touché à mes ovaires. Il m'a sauvé la vie comme il était fier de me le rappeler à chaque visite, cependant mon "équilibre" hormonal a été endommagé et c'est un miracle d'avoir pu avoir des enfants car à chaque grossesse, j'ai mis ma vie en balance (crise d'éclampsie) et la vie aussi de mon deuxième enfant. Voyant ma vie en danger le gynécologue voulait que j'avorte. J'ai eu à lutter contre "le corps médical" et passé des tests psychologiques prouvant que j'avais toute ma raison.
Aujourd'hui, touchée par tous "les chocs" et "accidents de la vie", je suis atteinte d'une fibromyalgie qui me fait plus souffrir que les attaques douloureuses de l'adolescence. Je suis dans l'attente d'un fauteuil électrique et d'un appartement accessible à une personne à mobilité réduite, car mon équilibre lors de mes déplacements m'occasionne difficultés et chutes à répétition.
Mais heureusement que la foi et Dieu Trine et Saint sont là. Lorsque la souffrance devient insurmontable je cris vers Lui et Il me soulage. J'ai la certitude ancrée en moi que lorsqu'Il viendra dans nos coeurs nous "visiter" bientôt je serai totalement guérie de toutes les "blessures de la vie" qui m'entravent aussi bien dans mon esprit que dans mon corps.
Je sais que cette guérison et cette libération seront les même pour tous ceux qui tiennent bon dans la foi en l'Amour Miséricordieux. C'est pourquoi dans ma vie dès aujourd'hui, je proclame et encourage tout le monde à le faire avec moi :
DIEU est infiniment Amour Aurélie comme vous le savez bien et Il a un plan pour chacun d'entre nous.
Courage petite sœur, comme Saint Paul nous le dit si bien : Tout concoure au bien de ceux qui aiment Dieu, jamais Dieu ne nous demande plus que nous ne pouvons endurer et c'est quand nous sommes faibles que nous sommes forts car la grâce de Dieu vie en nous par notre foi....
Je prie bien sûr pour vous
Bonsoir, mes Frères et Sœurs, j'ai besoins de vos prières.
Je vie des moment pas facile dans ma santé, je suis atteinte de la maladie de l'endométriose. On ma diagnostiquée une adonemyose suivi d'une endométriose profonde !je le vie super mal a cause des douleur horrible qui me force a m'arrêter de travailler chaque mois pendant 2 a 3 jours. Celas est très handicapant dans ma vie.
Mes symptome son : saignement abondant hémorragique.
Douleur horrible bas ventre.
Mal de dos. Impossible de faire quoi que ce soi !
Mon gynécologue, ma prescrit un traitement pour l'endométriose, ce médicament s'appelle Sawis Gé.
Je dois le prendre pendant 3 mois sans arret,
Mais ce médicament me procure encore plus de douleurs , encore plus de saignements abondant, des magraine, des mots de tête, des douleur niveau du dos, une grosse fatigue !
J'ai rendez vous que le 9 Juin a l'hôpital pour voir si il y'a besoin d'une opération ou pas.
L'endométriose est complex puisque personne ne sais dou vient cette malade qui touche une femme sur 10 pendant longtemps celas est rester tabout ! Les femmes ne voulais pas parler de leurs douleur de règles, et puis un jours une femme puis ainsi de suite on commencer a parler des douleurs. Je ne sais pas encore si j'arrête ce traitement surtout que c'est un nouveau traitement il est pas encore vraiment au point sur la notice!
Je suis tomber que un témoignage qui me parle beaucoup par ce que je le vie en ce moment et déjà depuis de longue année peu etre sur ce forum d'autres femme vive les meme choses le voici. Merci à vous tous pour vos prières! Soyez benie.
J'ai connu ces souffrances aussi toute jeune, dès que je suis devenue pubère. C'était tellement fort et imprévisible que cela m'a handicapée pour suivre un cursus scolaire normal. mais toutes ces souffrances se sont atténuées peu à peu à savoir lorsque je me suis mariée et ont disparu lorsque j'ai eu mon premier enfant.
Mais lors de l'intervention chirurgicale pour une péritonite aiguë à l'age de 13 ans, pensant que je faisais une hémorragie le chirurgien a touché à mes ovaires. Il m'a sauvé la vie comme il était fier de me le rappeler à chaque visite, cependant mon "équilibre" hormonal a été endommagé et c'est un miracle d'avoir pu avoir des enfants car à chaque grossesse, j'ai mis ma vie en balance (crise d'éclampsie) et la vie aussi de mon deuxième enfant. Voyant ma vie en danger le gynécologue voulait que j'avorte. J'ai eu à lutter contre "le corps médical" et passé des tests psychologiques prouvant que j'avais toute ma raison.
Aujourd'hui, touchée par tous "les chocs" et "accidents de la vie", je suis atteinte d'une fibromyalgie qui me fait plus souffrir que les attaques douloureuses de l'adolescence. Je suis dans l'attente d'un fauteuil électrique et d'un appartement accessible à une personne à mobilité réduite, car mon équilibre lors de mes déplacements m'occasionne difficultés et chutes à répétition.
Mais heureusement que la foi et Dieu Trine et Saint sont là. Lorsque la souffrance devient insurmontable je cris vers Lui et Il me soulage. J'ai la certitude ancrée en moi que lorsqu'Il viendra dans nos coeurs nous "visiter" bientôt je serai totalement guérie de toutes les "blessures de la vie" qui m'entravent aussi bien dans mon esprit que dans mon corps.
Je sais que cette guérison et cette libération seront les même pour tous ceux qui tiennent bon dans la foi en l'Amour Miséricordieux. C'est pourquoi dans ma vie dès aujourd'hui, je proclame et encourage tout le monde à le faire avec moi :
CHRIST EST MON ROI, DIEU EST MA JOIE !
DIEU est infiniment Amour Aurélie comme vous le savez bien et Il a un plan pour chacun d'entre nous.
Courage petite sœur, comme Saint Paul nous le dit si bien : Tout concoure au bien de ceux qui aiment Dieu, jamais Dieu ne nous demande plus que nous ne pouvons endurer et c'est quand nous sommes faibles que nous sommes forts car la grâce de Dieu vie en nous par notre foi....
Je prie bien sûr pour vous
Le pape François a dit après l’angélus du 17 novembre 2013 : « Je voudrais maintenant vous conseiller à tous un médicament. Certains vont penser: « Le pape se fait le pharmacien maintenant? » C’est un médicament spécial pour concrétiser les fruits de l’Année de la foi qui s’achève. C’est un médicament de 59 grains, « entre-coeurs ». Il s’agit d’un médicament « spirituel » appelé « Misericordina ». Une petite boîte de 59 grains « entre-coeurs ». Cette petite boîte renferme le médicament et des bénévoles vont vous la distribuer pendant que vous quittez la place. Prenez-la! C’est un chapelet avec lequel on peut aussi prier le « chapelet de la miséricorde »: une aide spirituelle pour notre âme et pour répandre partout l’amour, le pardon et la fraternité. N’oubliez pas de la prendre ! Parce qu’elle fait du bien au cœur, à l’âme et à toute la vie ! »
CHAPELET DE LA MISÉRICORDE
Ma fille, incite les âmes à dire ce chapelet que je t’ai indiqué. Il me plaît de leur accorder tout ce qu’elles me demanderont par cette prière. (1541) Puis Jésus a ajouté : Si cela est conforme à ma volonté. (1732)
Oh ! Quelles grandes grâces j’accorderai aux âmes qui diront ce chapelet, les entrailles de ma miséricorde sont émues pour ceux qui disent ce chapelet. (848)
Dis constamment ce chapelet que je t’ai enseigné. (687)
Que tous les enfants récitent le chapelet que je t’ai enseigné. (714)
Ce chapelet, à réciter sur un chapelet habituel consiste à offrir le « Corps et le Sang, l’âme et la Divinité de Jésus en réparation de nos péchés et de ceux du monde entier ». En nous unissant au sacrifice de Jésus, nous invoquons cet amour que Dieu le Père a pour son Fils et, par lui, pour tous les hommes. En demandant miséricorde pour nous et pour le monde entier nous accomplissons un acte de miséricorde.
Sainte Faustine constate la puissance de cette prière : « Je dois ajouter que ce petit chapelet est efficace pour la conversion des âmes. Si vous connaissez une âme qui résiste à la grâce divine, tâchez de la persuader de dire ce petit chapelet et priez vous-mêmes pour elle, alors la grâce divine vaincra. »
Les âmes qui réciteront ce chapelet seront enveloppées par ma miséricorde pendant leur vie et surtout à l’heure de la mort. (754)
A l’heure de la mort, je défends comme ma propre gloire chaque âme qui récite ce chapelet, elle-même, ou bien, si d’autres le récitent près de l’agonisant, l’indulgence est la même. Quand on récite ce chapelet auprès de l’agonisant, la colère divine s’apaise, la miséricorde insondable s’empare de son âme. (811)
Sainte Faustine, elle-même expérimente la puissance de cette prière alors qu’elle est auprès de mourants ou qu’elle intercède pur les âmes du purgatoire.
Les prêtres le donneront aux pécheurs comme ultime planche de salut ; même le pécheur le plus endurci, s’il récite ce chapelet une seule fois obtiendra la grâce de mon infinie miséricorde. (687)
Forts de ces recommandations du Christ concernant le chapelet de la miséricorde, les Serviteurs de la Miséricorde ont lancé deux chaînes de prière :
pour les personnes en fin de vie
pour les hommes politiques
Par la prière du chapelet, nous intercédons pour les pécheurs, pour les agonisants, pour les âmes du purgatoire, nous implorons la miséricorde pour notre monde, nous contribuons également à réparer tous les outrages, sacrilèges et indifférences dont le Seigneur est offensé et nous consolons son Cœur.
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