cardinal Sarah Comme nos frères Vendéens d’autrefois, nous sommes auj
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cardinal Sarah Comme nos frères Vendéens d’autrefois, nous sommes auj
Le cardinal
Robert Sarah a célébré, à l'invitation de Mgr Castet, les cérémonies organisées pour fêter
les 700 ans du diocèse de Luçon. Voici le texte de sa vibrante homélie
Mes Frères,
Nous offrons ce soir le sacrifice de la messe pour le repos de l’âme de tous les bénévoles du
Puy du Fou décédés depuis le début de cette belle œuvre, il y a quarante ans. Par votre travail,
vous tous qui êtes ici rassemblés, vous réveillez chaque soir la mémoire de ce lieu. Le château du Puy du Fou, une ruine douloureuse, abandonnée des hommes, s’élève comme un cri vers le Ciel. Entrailles ouvertes, il rappelle au monde que, face
à la haine de la foi, un peuple s’est levé : le peuple de Vendée !
Mes chers amis, en donnant vie à cette ruine tous les soirs, vous rendez vie aux morts ! Vous
rendez la vie à tous ces Vendéens, morts pour leur foi, pour leurs églises et pour leurs prêtres.
Votre œuvre s’élève sur cette terre comme un chant portant le souvenir des martyrs de la Vendée ! Vous faites vivre ces trois cent mille hommes, femmes et enfants, victimes de la Terreur ! Vous donnez une voix à tous ceux que l’on a voulu faire
taire, parce qu’ils refusaient
le mensonge et l’idéologie athée ! Vous rendez honneur à ceux que l’on a voulu
noyer dans l’oubli, parce qu’ils refusaient de se laisser arracher la liberté de croire et de célébrer la messe ! Je vous le dis solennellement : votre œuvre est juste et nécessaire !
Par votre art, par vos chants, par vos prouesses techniques, vous offrez enfin une digne
sépulture à tous ces martyrs que la haine révolutionnaire avait voulu laisser sans tombeau,
abandonnés aux chiens et aux corbeaux ! Votre œuvre est donc bien plus qu’une
œuvre simplement humaine. Elle est comme une œuvre d’Église. Votre
œuvre est nécessaire ! Car nos
temps semblent assoupis. Face à la dictature du relativisme, face au terrorisme de la pensée
qui, à nouveau, veut arracher Dieu du coeur des enfants, nous avons besoin de retrouver la fraîcheur de l’esprit, la simplicité joyeuse et
ardente de ces saintes et de ces martyrs.
Quand la Révolution voulut priver les Vendéens et leurs prêtres, tout un peuple s’est levé. Face
aux canons,
ces pauvres n’avaient que leurs bâtons ! Face à la haine des colonnes terroristes,
ils n’avaient que leur chapelet,
leur prière et le Sacré-Cœur cousu sur leur poitrine !
Mes frères, les Vendéens ont tout simplement mis en pratique ce que nous enseignent les
lectures de ce jour.
Dieu n’est pas dans le tonnerre et les éclairs, il n’est pas dans la
puissance et le bruit des armes. Il se cache
dans la brise légère. Face au déferlement planifié et
méthodique de la Terreur, les Vendéens savaient bien
qu’ils seraient écrasés. Ils ont pourtant
offert leur sacrifice au Seigneur en chantant. Ils ont été cette brise légère, brise en apparence
balayée par la puissante tempête des Colonnes infernales. Mais Dieu était là.
Sa puissance s’est révélée dans leur faiblesse !
Par leur sacrifice, ils ont empêché que le mensonge de l’idéologie ne règne en maître. Grâce
aux Vendéens, la Révolution a dû jeter son masque et révéler son visage de haine de Dieu et
de la foi. Grâce aux Vendéens, les
prêtres ne sont pas devenus les esclaves serviles d’un État
totalitaire, ils ont pu demeurer les libres serviteurs du Christ et de l’Église.
Les Vendéens ont entendu l’appel que le Christ nous lance dans l’Évangile de ce jour :
« Confiance ! C’est moi, n’ayez pas peur ! » Alors que grondait la tempête, alors que la barque
prenait l’eau de toute part, ils n’ont pas eu peur, tant ils étaient certains que, par-
delà la mort,le Coeur de Jésus serait leur unique patrie !
Mes frères, nous chrétiens, nous avons besoin de cet esprit des Vendéens ! Nous avons besoin
de cet exemple
! Comme eux, il nous faut quitter nos semailles et nos moissons, laisser là nos
sillons, pour combattre, non pour des intérêts humains, mais pour Dieu !
Qui donc se lèvera aujourd’hui pour Dieu ?
Qui osera affronter les persécuteurs modernes de l’Église ?
Qui aura le courage de se lever sans autres armes que le chapelet
et le Sacré-Cœur,pour affronter les colonnes
de la mort de notre temps que sont le relativisme, l’indifférentisme
et le mépris de Dieu ? Qui dira au monde que la seule liberté qui vaille la peine qu’on meure
pour elle est la liberté de croire ?
Mes frères, comme nos frères Vendéens d’autrefois, nous sommes aujourd’hui appelés au
témoignage, c’est-à-dire au martyre ! Aujourd’hui en Orient, au Pakistan, en Afrique, nos frères
chrétiens meurent pour leur foi, écrasés par les colonnes de l’islamisme persécuteur.
Et toi, Peuple de France, toi, Peuple de Vendée, quand donc te lèveras
-tu avec les armes pacifiques de la prière
et de la charité pour défendre la foi ? Mes amis, le sang des martyrs
coule dans vos veines, soyez-y fidèles !
Nous sommes tous spirituellement des fils de la Vendée martyre !
Même nous, Africains, qui avons reçu tant de missionnaires vendéens venus
mourir chez nous pour annoncer le Christ ! Nous vous devons d’être fidèles à leur héritage !
L’âme de ces martyrs nous entoure en ce lieu. Que nous disent-ils ? Que veulent-ils nous
transmettre ?
D’abord leur courage ! Quand il s’agit de Dieu, aucune compromission n’est possible !
L’honneur de Dieu ne se discute pas ! Et cela doit commencer par notre vie personnelle, de
prière et d’adoration.
Il est temps, mes frères, de nous révolter contre l’athéisme pratique qui
asphyxie nos vies ! Prions en famille,
laissons à Dieu la première place ! Une famille qui prie est une famille qui vit ! Un chrétien qui ne prie pas, qui ne sait pas laisser de place à Dieu par le silence et l’adoration, finit par mourir !
De l’exemple des Vendéens, nous devons aussi apprendre l’amour du sacerdoce. C’est parce
que leurs « bons prêtres » étaient menacés qu’ils se sont révoltés. Vous, les plus jeunes, si vous voulez être fidèles à l’exemple de nos aînés, aimez vos prêtres, aimez le sacerdoce !
Vous devez vous poser la question : et moi, suis-je appelé aussi à être prêtre à la suite de tous
ces bons prêtres martyrisés par la Révolution ? Aurai-je moi aussi le courage de donner toute
ma vie pour le Christ et mes frères ?
Les martyrs de Vendée nous apprennent encore le sens du pardon et de la miséricorde. Face à
la persécution,
face à la haine, ils ont gardé au coeur le souci de la paix et du pardon. Souvenez-
vous comment le chef
Bonchamps fit relâcher cinq mille prisonniers quelques minutes avant de
mourir. Sachons affronter la haine sans ressentiment et sans aigreur. Nous sommes l’armée
du Coeur de Jésus, comme lui nous voulons être plein de douceur.
Enfin, des martyrs vendéens, il nous faut apprendre le sens de la générosité et du don gratuit.
Vos ancêtres ne se sont pas battus pour leurs intérêts. Ils n’avaient rien à gagner. Ils nous
donnent aujourd’hui une leçon d’humanité.
Nous vivons dans un monde marqué par la dictature de l’argent, de l’intérêt, de la richesse.
La joie du don gratuit
est partout méprisée et bafouée. Or, seul l’amour généreux, le don désintéressé de sa vie peut vaincre la haine de Dieu et des hommes, qui est la matrice de toute révolution.
Les Vendéens nous ont appris à résister à toutes ces révolutions.
Ils nous ont montré que face aux Colonnes infernales,
comme face aux camps de concentration nazis, face aux goulags
communistes, comme face à la barbarie islamiste, il n’est qu’une réponse : le don de soi, de
toute sa vie. Seul l’amour est vainqueur des puissances de mort !
Aujourd’hui encore, plus que jamais peut-être, les idéologues de la révolution veulent anéantir
le lieu naturel du don de soi, de la générosité joyeuse et de l’amour.
Je veux parler de la famille ! L’idéologie du genre, le mépris de la fécondité et de la fidélité sont les nouveaux slogans de cette révolution.
Les familles sont devenues comme autant de Vendée à exterminer.
On planifie méthodiquement leur disparition, comme autrefois celle de la Vendée. Ces nouveaux révolutionnaires s’inquiètent devant la générosité des familles nombreuses. Ils raillent les familles chrétiennes,
car elles incarnent tout ce qu’ils haïssent. Ils sont prêts à lancer
sur l’Afrique de nouvelles Colonnes infernales pour faire pression sur les familles et imposer
stérilisation, avortement et contraception. L’Afrique, comme la Vendée, résistera ! Partout les
familles chrétiennes doivent être les joyeux fers de lance d’une révolte contre cette nouvelle
dictature de l’égoïsme !
C’est désormais dans le coeur de chaque famille, de chaque chrétien, de tout homme de bonne
volonté, que doit se lever une Vendée intérieure !Tout chrétien est spirituellement un Vendéen !
Ne laissons pas étouffer en nous le don généreux et gratuit. Sachons comme les martyrs de
Vendée puiser ce don à sa source : dans le Coeur de Jésus.
Prions pour qu’une puissante et joyeuse Vendée intérieure se lève dans l’Église et dans le Monde !
Amen !
Robert Sarah a célébré, à l'invitation de Mgr Castet, les cérémonies organisées pour fêter
les 700 ans du diocèse de Luçon. Voici le texte de sa vibrante homélie
Mes Frères,
Nous offrons ce soir le sacrifice de la messe pour le repos de l’âme de tous les bénévoles du
Puy du Fou décédés depuis le début de cette belle œuvre, il y a quarante ans. Par votre travail,
vous tous qui êtes ici rassemblés, vous réveillez chaque soir la mémoire de ce lieu. Le château du Puy du Fou, une ruine douloureuse, abandonnée des hommes, s’élève comme un cri vers le Ciel. Entrailles ouvertes, il rappelle au monde que, face
à la haine de la foi, un peuple s’est levé : le peuple de Vendée !
Mes chers amis, en donnant vie à cette ruine tous les soirs, vous rendez vie aux morts ! Vous
rendez la vie à tous ces Vendéens, morts pour leur foi, pour leurs églises et pour leurs prêtres.
Votre œuvre s’élève sur cette terre comme un chant portant le souvenir des martyrs de la Vendée ! Vous faites vivre ces trois cent mille hommes, femmes et enfants, victimes de la Terreur ! Vous donnez une voix à tous ceux que l’on a voulu faire
taire, parce qu’ils refusaient
le mensonge et l’idéologie athée ! Vous rendez honneur à ceux que l’on a voulu
noyer dans l’oubli, parce qu’ils refusaient de se laisser arracher la liberté de croire et de célébrer la messe ! Je vous le dis solennellement : votre œuvre est juste et nécessaire !
Par votre art, par vos chants, par vos prouesses techniques, vous offrez enfin une digne
sépulture à tous ces martyrs que la haine révolutionnaire avait voulu laisser sans tombeau,
abandonnés aux chiens et aux corbeaux ! Votre œuvre est donc bien plus qu’une
œuvre simplement humaine. Elle est comme une œuvre d’Église. Votre
œuvre est nécessaire ! Car nos
temps semblent assoupis. Face à la dictature du relativisme, face au terrorisme de la pensée
qui, à nouveau, veut arracher Dieu du coeur des enfants, nous avons besoin de retrouver la fraîcheur de l’esprit, la simplicité joyeuse et
ardente de ces saintes et de ces martyrs.
Quand la Révolution voulut priver les Vendéens et leurs prêtres, tout un peuple s’est levé. Face
aux canons,
ces pauvres n’avaient que leurs bâtons ! Face à la haine des colonnes terroristes,
ils n’avaient que leur chapelet,
leur prière et le Sacré-Cœur cousu sur leur poitrine !
Mes frères, les Vendéens ont tout simplement mis en pratique ce que nous enseignent les
lectures de ce jour.
Dieu n’est pas dans le tonnerre et les éclairs, il n’est pas dans la
puissance et le bruit des armes. Il se cache
dans la brise légère. Face au déferlement planifié et
méthodique de la Terreur, les Vendéens savaient bien
qu’ils seraient écrasés. Ils ont pourtant
offert leur sacrifice au Seigneur en chantant. Ils ont été cette brise légère, brise en apparence
balayée par la puissante tempête des Colonnes infernales. Mais Dieu était là.
Sa puissance s’est révélée dans leur faiblesse !
Par leur sacrifice, ils ont empêché que le mensonge de l’idéologie ne règne en maître. Grâce
aux Vendéens, la Révolution a dû jeter son masque et révéler son visage de haine de Dieu et
de la foi. Grâce aux Vendéens, les
prêtres ne sont pas devenus les esclaves serviles d’un État
totalitaire, ils ont pu demeurer les libres serviteurs du Christ et de l’Église.
Les Vendéens ont entendu l’appel que le Christ nous lance dans l’Évangile de ce jour :
« Confiance ! C’est moi, n’ayez pas peur ! » Alors que grondait la tempête, alors que la barque
prenait l’eau de toute part, ils n’ont pas eu peur, tant ils étaient certains que, par-
delà la mort,le Coeur de Jésus serait leur unique patrie !
Mes frères, nous chrétiens, nous avons besoin de cet esprit des Vendéens ! Nous avons besoin
de cet exemple
! Comme eux, il nous faut quitter nos semailles et nos moissons, laisser là nos
sillons, pour combattre, non pour des intérêts humains, mais pour Dieu !
Qui donc se lèvera aujourd’hui pour Dieu ?
Qui osera affronter les persécuteurs modernes de l’Église ?
Qui aura le courage de se lever sans autres armes que le chapelet
et le Sacré-Cœur,pour affronter les colonnes
de la mort de notre temps que sont le relativisme, l’indifférentisme
et le mépris de Dieu ? Qui dira au monde que la seule liberté qui vaille la peine qu’on meure
pour elle est la liberté de croire ?
Mes frères, comme nos frères Vendéens d’autrefois, nous sommes aujourd’hui appelés au
témoignage, c’est-à-dire au martyre ! Aujourd’hui en Orient, au Pakistan, en Afrique, nos frères
chrétiens meurent pour leur foi, écrasés par les colonnes de l’islamisme persécuteur.
Et toi, Peuple de France, toi, Peuple de Vendée, quand donc te lèveras
-tu avec les armes pacifiques de la prière
et de la charité pour défendre la foi ? Mes amis, le sang des martyrs
coule dans vos veines, soyez-y fidèles !
Nous sommes tous spirituellement des fils de la Vendée martyre !
Même nous, Africains, qui avons reçu tant de missionnaires vendéens venus
mourir chez nous pour annoncer le Christ ! Nous vous devons d’être fidèles à leur héritage !
L’âme de ces martyrs nous entoure en ce lieu. Que nous disent-ils ? Que veulent-ils nous
transmettre ?
D’abord leur courage ! Quand il s’agit de Dieu, aucune compromission n’est possible !
L’honneur de Dieu ne se discute pas ! Et cela doit commencer par notre vie personnelle, de
prière et d’adoration.
Il est temps, mes frères, de nous révolter contre l’athéisme pratique qui
asphyxie nos vies ! Prions en famille,
laissons à Dieu la première place ! Une famille qui prie est une famille qui vit ! Un chrétien qui ne prie pas, qui ne sait pas laisser de place à Dieu par le silence et l’adoration, finit par mourir !
De l’exemple des Vendéens, nous devons aussi apprendre l’amour du sacerdoce. C’est parce
que leurs « bons prêtres » étaient menacés qu’ils se sont révoltés. Vous, les plus jeunes, si vous voulez être fidèles à l’exemple de nos aînés, aimez vos prêtres, aimez le sacerdoce !
Vous devez vous poser la question : et moi, suis-je appelé aussi à être prêtre à la suite de tous
ces bons prêtres martyrisés par la Révolution ? Aurai-je moi aussi le courage de donner toute
ma vie pour le Christ et mes frères ?
Les martyrs de Vendée nous apprennent encore le sens du pardon et de la miséricorde. Face à
la persécution,
face à la haine, ils ont gardé au coeur le souci de la paix et du pardon. Souvenez-
vous comment le chef
Bonchamps fit relâcher cinq mille prisonniers quelques minutes avant de
mourir. Sachons affronter la haine sans ressentiment et sans aigreur. Nous sommes l’armée
du Coeur de Jésus, comme lui nous voulons être plein de douceur.
Enfin, des martyrs vendéens, il nous faut apprendre le sens de la générosité et du don gratuit.
Vos ancêtres ne se sont pas battus pour leurs intérêts. Ils n’avaient rien à gagner. Ils nous
donnent aujourd’hui une leçon d’humanité.
Nous vivons dans un monde marqué par la dictature de l’argent, de l’intérêt, de la richesse.
La joie du don gratuit
est partout méprisée et bafouée. Or, seul l’amour généreux, le don désintéressé de sa vie peut vaincre la haine de Dieu et des hommes, qui est la matrice de toute révolution.
Les Vendéens nous ont appris à résister à toutes ces révolutions.
Ils nous ont montré que face aux Colonnes infernales,
comme face aux camps de concentration nazis, face aux goulags
communistes, comme face à la barbarie islamiste, il n’est qu’une réponse : le don de soi, de
toute sa vie. Seul l’amour est vainqueur des puissances de mort !
Aujourd’hui encore, plus que jamais peut-être, les idéologues de la révolution veulent anéantir
le lieu naturel du don de soi, de la générosité joyeuse et de l’amour.
Je veux parler de la famille ! L’idéologie du genre, le mépris de la fécondité et de la fidélité sont les nouveaux slogans de cette révolution.
Les familles sont devenues comme autant de Vendée à exterminer.
On planifie méthodiquement leur disparition, comme autrefois celle de la Vendée. Ces nouveaux révolutionnaires s’inquiètent devant la générosité des familles nombreuses. Ils raillent les familles chrétiennes,
car elles incarnent tout ce qu’ils haïssent. Ils sont prêts à lancer
sur l’Afrique de nouvelles Colonnes infernales pour faire pression sur les familles et imposer
stérilisation, avortement et contraception. L’Afrique, comme la Vendée, résistera ! Partout les
familles chrétiennes doivent être les joyeux fers de lance d’une révolte contre cette nouvelle
dictature de l’égoïsme !
C’est désormais dans le coeur de chaque famille, de chaque chrétien, de tout homme de bonne
volonté, que doit se lever une Vendée intérieure !Tout chrétien est spirituellement un Vendéen !
Ne laissons pas étouffer en nous le don généreux et gratuit. Sachons comme les martyrs de
Vendée puiser ce don à sa source : dans le Coeur de Jésus.
Prions pour qu’une puissante et joyeuse Vendée intérieure se lève dans l’Église et dans le Monde !
Amen !
scapulaire- J'adore l'Eucharistie
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Localisation : mulhouse
Inscription : 02/01/2017
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