Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
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Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Action réaction : diffusez cette lettre d'appel et la petition qui appelle à la fois à la conscience des parents, des citoyens , des elus et des professionnels de l'éducation et de la Santé des enfants
La lettre d'appel de Maurice BERGER
LES RISQUES MAJEURS DU PROGRAMME D’« EDUCATION A LA SEXUALITE »
Texte introductif - le 25-05-2017
En mars 2017, le gouvernement de l’époque a présenté son programme d’« éducation à la sexualité », déjà appliqué dans certains endroits, et en a annoncé la généralisation en octobre 2017 sous l’égide des ministères de la Santé et de l’Education nationale. Ce programme comprend deux volets, l’un consacré à la prévention, a attiré l’attention des médias qui, du coup, n’ont pas prêté attention au volet « éducation » qui présente des risques importants pour les enfants et adolescents concernés, risques décrits dans les documents qui suivent.
J’ai estimé nécessaire de rédiger un texte introductif à ces documents, car sans cette précaution, il est probable que le lecteur y réagira avec incrédulité, comme je l’ai fait moi-même. Car j’ai longtemps refusé de prendre ces informations au sérieux, il m’était impossible d’y croire. Et puis je suis allé vérifier les références indiquées, et j’ai constaté la validité de l’énorme travail de recherche effectué par mes collègues, groupe de professionnels psychologues et pédopsychiatres vigilants, « lanceurs d’alertes » dont je me fais le porte-parole ici.
Le volet prévention est d’une importance majeure. Il porte sur la prévention des maladies sexuellement transmissibles en particulier lors des premières expériences sexuelles, la contraception afin d’éviter des grossesses précoces, la possibilité de prendre une contraception et d’avoir recours à l’IVG sans accord parental, la possibilité de dire « non » face à des sollicitations sexuelles, l’interdiction d’avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 15 ans ou entre mineurs s’il existe une grande différence d’âge, l’interdiction de mariage forcé, l’interdit de l’inceste avec des références à la dimension pénale, les violences sexuelles, l’égalité homme-femme, le fait qu’aucune forme de sexualité (pédophilie exceptée) ne doit faire l’objet de discrimination, etc.
Le volet éducatif soulève, lui, des questions inquiétantes. Pourtant de sages précautions sont préconisées pour aborder cette thématique, telles que le respect de l’intimité des mineurs, la nécessité de ne pas couper l’information du domaine affectif, la mise en place de groupes non mixtes (filles et garçons séparés) pour débattre de sujets délicats, un refus de tout prosélytisme de la part des intervenants qui doivent être en binôme. Mais à de nombreux endroits, il existe un écart énorme entre les intentions officielles et la réalité des pratiques, ce qui est déjà à l’origine de tensions entre les formateurs et les parents, les formateurs et les mineurs, les formateurs entre eux. Les recherches menées par notre groupe de travail montrent que ces dérives ne sont dues à des intervenants « atypiques », mais qu’elles sont liées à l’origine même de la notion d’ « éducation à la sexualité ». Sous l’influence de lobbies particuliers, ce terme est inscrit dans le programme de l’OMS, organisme appartenant à l’ONU, dans un programme intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe ». Nous y reviendrons.
Voici quelques exemples parmi les situations ou actions qui paraissent être à risque.
Le premier risque est que les adultes prennent une place de séducteurs, initiateurs de la sexualité. Sur le site « onsexprime.fr » sous tutelle du ministère de la Santé, destiné aux mineurs à partir de la classe de cinquième, donc âgés de 12 ans, quel est l’intérêt de décrire les six positions de pénétration vaginale, dessins ludiques à l’appui, et comment se pratique la sodomie, et pourquoi les acteurs des films pornographiques éjaculent hors du vagin de leur partenaire ? On peut aussi s’étonner de l’absence d’intervention ou de limite posée par les adultes supposés réguler ce site et qui laissent tels quels certains messages: «Lacochonne : « ma premiere fois j’ai baiser pendant 3 heures sans arreter et mon copain a spermer 2 fois je me sentais tellement bien quand il etait en moi et sa fait tellement du bien j’avais de son sperme partout sur moi ». Ou encore : fredo64 : « J aime bander J aime jouir J’aime embrasser J’aime concretiser ». Et lorsqu’un adolescent écrit « quel est le meilleur site porno pour nous donner du plaisir ? », la réponse de l’adulte manager est : « Ca dépend des goûts » : éducation, prévention, ou plutôt complicité ? Il est aussi répondu à un mineur : « La loi ne fixe pas d’âge à partir duquel on a le droit d’avoir des relations sexuelles. C’est quand on se sent prêt et qu’on a envie », réponse ambigüe[size=11]1. La seule remarque « régulatrice » est effectuée par un adulte sous la forme du commentaire suivant : « Rassurez-moi. Ce site n’est pas payé par nos impôts ? Parce qu’avec 2000 milliards de dette, il y avait peut-être d’autres urgences… ». Ce site est cité en référence dans les manuels Hatier du collège à partir de la 5ème. Et est-il vraiment nécessaire de faire imprimer aux élèves un clitoris en 3D comme c’est décrit sur le site Matilda, considéré comme site partenaire par les ministères concernés ?
Plus encore, sur le site Canopé de la plateforme de l’Education nationale, il est recommandé d’appliquer les Standards européens qui impliquent une éducation à la sexualité débutant de 0 à 4 ans. Dans le programme dédié à cette tranche d’âge, les formateurs doivent expliquer aux enfants ce qu’est « la masturbation infantile précoce ». Et leur proposer de « jouer au docteur ». Et pour les 6-9 ans, leur expliquer ce qu’est l’éjaculation. Et effectivement, dans certaines classes de primaire en France (cf. le document joint « L’histoire d’une dangereuse imposture »), on explique à des élèves ce qu’est la puberté, l’apparition des poils, l’érection, le sperme, l’éjaculation.
On mesure ici le deuxième risque : faire intrusion de manière traumatique dans le rythme de croissance affective des enfants.
Ceci n’est guère étonnant quand on lit dans les Standards qu’il faut donner à l’enfant une explication sur la sexualité avant qu’il soit en âge de poser des questions à ce propos. On peut se demander ce qui pousse des adultes à intervenir ainsi. Tout d’abord, en quoi les idées que les enfants petits peuvent avoir sur la manière dont on fait les bébés (dans l’estomac, par le nombril, etc.) doivent-elles être empêchées ? D’autant qu’on sait que lorsqu’on lui donne une réponse rationnelle quand il pose une question à ce propos-et pas avant, l’enfant continue à garder ses théories qui disparaîtront à leur rythme. Et souvent, la première question que pose un enfant de trois ans est simplement, après avoir croisé une femme enceinte : « maman, est-ce que moi aussi j’étais dans ton ventre ? ». Une réponse positive lui suffit. Pourquoi donc ne pas faire confiance dans les capacités de l’enfant d’évoluer et de modifier progressivement sa manière de penser ?
Surtout, l’ensemble des psychologues cliniciens et pédopsychiatres considèrent que la période qui précède l’adolescence est une période dite « de latence » pendant laquelle, au sortir de sa cinquième ou sixième année, l’enfant a besoin de mettre de côté ses questions concernant ses désirs oedipiens, il éprouve de la pudeur, voire même du dégoût à l’égard de la sexualité, et de tourner sa curiosité vers d’autres champs de connaissance, en particulier la science, la culture. Or c’est exactement l’inverse que proposent les programmes sus-cités.
On ne peut que regretter ici que ces plans aient été manifestement élaborés sans qu’ait été sollicité l’avis de la communauté pédopsychiatrique alors qu’ils se déroulent sous l’égide du ministère de la Santé, ni l’avis de psychologues professeurs de psychopathologie.
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Dernière édition par azais le Lun 5 Juin 2017 - 18:48, édité 1 fois
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Un autre risque est que malgré les intentions affichées, ce programme attaque la limite entre ce qui est intime et public.
Un exemple : une intervenante déclare être maladroite pour montrer comment on met un préservatif sur une prothèse et sollicite toute la classe pour le faire à sa place car, dit-elle, les élèves doivent être plus doués qu’elle pour cela. L’élève de 14 ans qui raconte cette scène explique que tout le monde a eu très peur d’être sollicité et a été très gêné par cette intervention. On est devant une effraction majeure dans la vie psychique des enfants. Nous recueillons actuellement les témoignages de nombreux adolescents qui expriment leur malaise face à certaines modalités de cet «enseignement ».
Ainsi au sortir d’un cours d‘éducation à la sexualité, une jeune fille de 15 ans témoigne de son ras le bol concernant l’aspect intrusif de cet enseignement: « On en a tous les ans, ça suffit là ! C’est bon !
La plupart des jeunes ça les gêne, on n’a pas besoin de ça, ça sert à rien, on pourrait avoir des brochures, ça suffirait. Surtout certains font des commentaires déplacés très gênants pour les autres et de revenir sur ce sujet tout le temps comme ça, c’est gavant. C’est intime tout ça ! Et le pire du pire, c’est que c’est obligatoire d’y assister et ça n’est absolument pas normal ! Remarque, si ce n’était pas obligatoire personne n’irait ».
En 4 ème, on a vu ça en sciences naturelles, c’était de la biologie donc un cours normal ça allait, car on ne parlait pas de nous.
En 3 ème, ça a commencé à être beaucoup plus gênant. Une intervenante extérieure est venue exprès pour ça. Elle avait fait des schémas… elle a expliqué les sentiments, ce qui se passe quand on est amoureux, les papillons dans le ventre, le coeur qui bat.
Franchement, ça, on le sait déjà depuis longtemps. Mais parler de tout ça devant tout le monde, c’est intrusif je trouve, c’est intime, les sentiments qu’on ressent aussi, c’était vraiment gênant.
Et en seconde, alors là c’était le pire, en fait c’est de pire en pire. On nous a demandé d’écrire sur un papier anonyme nos rêves et nos peurs autour des relations sexuelles, après on a mélangé et l’intervenante a lu tous les papiers à voix haute. C’était terrible parce qu’elle se permettait d’interpréter ce qu’on avait écrit, et en plus pour mon cas elle n’avait rien compris et était complètement à côté de la plaque. Ensuite il fallait se présenter, dire notre nom, notre caractère et notre humeur du jour, mais c’est intrusif ça aussi !
Devant la moitié de la classe en plus. On nous oblige à en parler et ça, ce n’est pas normal. Ce ne sont pas des sujets dont a envie de parler avec tout le monde, juste avec des gens qu’on a choisi et en qui on a confiance. Là les redoublants ont même tous demandé une dérogation pour pas y assister à nouveau, c’est dire ! Non mais personne n’a aimé, c’est trop dérangeant, intrusif. Personne n’a jamais envie d’y aller et personne ne trouve ça bien et ne veut y retourner…
Je connais des personnes pour qui c’est de la torture d’aller à ces cours et qui ne sont vraiment pas capables d’assister à ça, je ne comprends pas que ce soit obligatoire. En 6 ème et 5 ème, j'allais voir l‘infirmière si j’avais des questions, on en parlait c’était bien, je choisissais quand, avec qui, et c’était en privé».
Ou encore une enseignante souligne sa gêne devant le fait que des intervenants extérieurs n’aient pas respecté la nécessité absolue de rester dans la sphère publique en évoquant des éléments de leur sexualité personnelle.
Un exemple : une intervenante déclare être maladroite pour montrer comment on met un préservatif sur une prothèse et sollicite toute la classe pour le faire à sa place car, dit-elle, les élèves doivent être plus doués qu’elle pour cela. L’élève de 14 ans qui raconte cette scène explique que tout le monde a eu très peur d’être sollicité et a été très gêné par cette intervention. On est devant une effraction majeure dans la vie psychique des enfants. Nous recueillons actuellement les témoignages de nombreux adolescents qui expriment leur malaise face à certaines modalités de cet «enseignement ».
Ainsi au sortir d’un cours d‘éducation à la sexualité, une jeune fille de 15 ans témoigne de son ras le bol concernant l’aspect intrusif de cet enseignement: « On en a tous les ans, ça suffit là ! C’est bon !
La plupart des jeunes ça les gêne, on n’a pas besoin de ça, ça sert à rien, on pourrait avoir des brochures, ça suffirait. Surtout certains font des commentaires déplacés très gênants pour les autres et de revenir sur ce sujet tout le temps comme ça, c’est gavant. C’est intime tout ça ! Et le pire du pire, c’est que c’est obligatoire d’y assister et ça n’est absolument pas normal ! Remarque, si ce n’était pas obligatoire personne n’irait ».
En 4 ème, on a vu ça en sciences naturelles, c’était de la biologie donc un cours normal ça allait, car on ne parlait pas de nous.
En 3 ème, ça a commencé à être beaucoup plus gênant. Une intervenante extérieure est venue exprès pour ça. Elle avait fait des schémas… elle a expliqué les sentiments, ce qui se passe quand on est amoureux, les papillons dans le ventre, le coeur qui bat.
Franchement, ça, on le sait déjà depuis longtemps. Mais parler de tout ça devant tout le monde, c’est intrusif je trouve, c’est intime, les sentiments qu’on ressent aussi, c’était vraiment gênant.
Et en seconde, alors là c’était le pire, en fait c’est de pire en pire. On nous a demandé d’écrire sur un papier anonyme nos rêves et nos peurs autour des relations sexuelles, après on a mélangé et l’intervenante a lu tous les papiers à voix haute. C’était terrible parce qu’elle se permettait d’interpréter ce qu’on avait écrit, et en plus pour mon cas elle n’avait rien compris et était complètement à côté de la plaque. Ensuite il fallait se présenter, dire notre nom, notre caractère et notre humeur du jour, mais c’est intrusif ça aussi !
Devant la moitié de la classe en plus. On nous oblige à en parler et ça, ce n’est pas normal. Ce ne sont pas des sujets dont a envie de parler avec tout le monde, juste avec des gens qu’on a choisi et en qui on a confiance. Là les redoublants ont même tous demandé une dérogation pour pas y assister à nouveau, c’est dire ! Non mais personne n’a aimé, c’est trop dérangeant, intrusif. Personne n’a jamais envie d’y aller et personne ne trouve ça bien et ne veut y retourner…
Je connais des personnes pour qui c’est de la torture d’aller à ces cours et qui ne sont vraiment pas capables d’assister à ça, je ne comprends pas que ce soit obligatoire. En 6 ème et 5 ème, j'allais voir l‘infirmière si j’avais des questions, on en parlait c’était bien, je choisissais quand, avec qui, et c’était en privé».
Ou encore une enseignante souligne sa gêne devant le fait que des intervenants extérieurs n’aient pas respecté la nécessité absolue de rester dans la sphère publique en évoquant des éléments de leur sexualité personnelle.
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Risque aussi que malgré les préconisations, le soit-disant pédagogique sépare la sexualité du reste de la vie psychique et notamment affective de l’enfant, alors qu’il s’agit d’un domaine qui touche fortement les émotions. On peut d’ailleurs se demander en quoi certains sexologues qui se félicitent de ce programme ont-ils des connaissances et des compétences concernant le développement affectif de l’enfant ? Quelle pratique clinique ont-ils avec les enfants ?
Retour sur une vidéo du site Matilda à destination des élèves: « Savoir comment l’autre jouit, comment ça marche tout simplement. Il y a une sorte de mythologie, c’est l’idée que la sexualité est forcément liée aux sentiments (…). La sexualité, c’est quelque chose de technique. Pour faire jouir un homme, c’est assez facile, il faut un certain nombre de caresses, de mouvements, etc., et il va y avoir éjaculation et plaisir. Pour la femme, c’est plus caché (le clitoris, etc.). Il ne s’agit pas simplement d’une question d’intimité, c’est pour ça que l’école et la famille ont un rôle à jouer à ce niveau. La jouissance est politique, sa possibilité va changer la place des hommes et des femmes (…) ».
Pourtant, les adultes considèrent que la sexualité est le domaine de l'intime par excellence. Demande-t-on à ses amis ou aux membres de sa famille comment ils jouissent et quelles sont leurs pratiques sexuelles ? Non. Alors de quel droit vouloir expliquer aux enfants comment jouir avec moult détails ?
Risque important d’introduire du sexuel dans l’espace familial. C’est un des rôles des parents de ne pas laisser se sexualiser les relations intrafamiliales, entre enfants, entre parents et enfants ; et c’est pour cela que devant leurs enfants, les parents évitent d’avoir entre eux des gestes à connotation érotique. L’éducation consiste ici à transformer les pulsions sexuelles de l’enfant en échange tendre. Au contraire, on imagine aisément que l’enfant aura envie d’importer « l’éducation à la sexualité » dans l’espace familial, de jouer au « jeu du docteur » avec ses frères et soeurs sans comprendre pourquoi il est autorisé à l’école et pas à la maison, de faire des travaux pratiques en comparant de visu les termes anatomiques récemment acquis, etc. Ceci réaliserait une immixtion dans un fonctionnement familial qui cherche à désexualiser les relations, accompagnée d’un discrédit des interdits parentaux. J’ajoute que je ne suis pas naïf, les enfants se livrent souvent à des jeux de « touche pipi », mais ils le font le plus souvent avec des pairs extérieurs à la famille, et en cachette car l’enfant en perçoit l’aspect transgressif par rapport aux interdits parentaux.
Exemple : un enfant de 9 ans qui vient d’avoir un cours d’« éducation à la sexualité » raconte à sa mère qu’une dame qu’il nomme « une maman » est venue expliquer à la classe qu’il y avait du plaisir dans la sexualité. Il en parle ensuite à trois reprises à sa mère, comme si ce mot « plaisir » l’interrogeait sans qu’il puisse encore en comprendre le sens. Mais dans son esprit, l’image de ses parents ne change-t-elle pas forcément, son père et sa mère n’étant plus seulement un couple parental tendre, mais des personnes qui éprouvent un plaisir sexuel ? Ceci sans qu’on sache s’il était prêt à ce changement de représentation, et alors qu’il vivait tranquillement sans avoir l’esprit envahi par des images pulsionnelles.
Retour sur une vidéo du site Matilda à destination des élèves: « Savoir comment l’autre jouit, comment ça marche tout simplement. Il y a une sorte de mythologie, c’est l’idée que la sexualité est forcément liée aux sentiments (…). La sexualité, c’est quelque chose de technique. Pour faire jouir un homme, c’est assez facile, il faut un certain nombre de caresses, de mouvements, etc., et il va y avoir éjaculation et plaisir. Pour la femme, c’est plus caché (le clitoris, etc.). Il ne s’agit pas simplement d’une question d’intimité, c’est pour ça que l’école et la famille ont un rôle à jouer à ce niveau. La jouissance est politique, sa possibilité va changer la place des hommes et des femmes (…) ».
Pourtant, les adultes considèrent que la sexualité est le domaine de l'intime par excellence. Demande-t-on à ses amis ou aux membres de sa famille comment ils jouissent et quelles sont leurs pratiques sexuelles ? Non. Alors de quel droit vouloir expliquer aux enfants comment jouir avec moult détails ?
Risque important d’introduire du sexuel dans l’espace familial. C’est un des rôles des parents de ne pas laisser se sexualiser les relations intrafamiliales, entre enfants, entre parents et enfants ; et c’est pour cela que devant leurs enfants, les parents évitent d’avoir entre eux des gestes à connotation érotique. L’éducation consiste ici à transformer les pulsions sexuelles de l’enfant en échange tendre. Au contraire, on imagine aisément que l’enfant aura envie d’importer « l’éducation à la sexualité » dans l’espace familial, de jouer au « jeu du docteur » avec ses frères et soeurs sans comprendre pourquoi il est autorisé à l’école et pas à la maison, de faire des travaux pratiques en comparant de visu les termes anatomiques récemment acquis, etc. Ceci réaliserait une immixtion dans un fonctionnement familial qui cherche à désexualiser les relations, accompagnée d’un discrédit des interdits parentaux. J’ajoute que je ne suis pas naïf, les enfants se livrent souvent à des jeux de « touche pipi », mais ils le font le plus souvent avec des pairs extérieurs à la famille, et en cachette car l’enfant en perçoit l’aspect transgressif par rapport aux interdits parentaux.
Exemple : un enfant de 9 ans qui vient d’avoir un cours d’« éducation à la sexualité » raconte à sa mère qu’une dame qu’il nomme « une maman » est venue expliquer à la classe qu’il y avait du plaisir dans la sexualité. Il en parle ensuite à trois reprises à sa mère, comme si ce mot « plaisir » l’interrogeait sans qu’il puisse encore en comprendre le sens. Mais dans son esprit, l’image de ses parents ne change-t-elle pas forcément, son père et sa mère n’étant plus seulement un couple parental tendre, mais des personnes qui éprouvent un plaisir sexuel ? Ceci sans qu’on sache s’il était prêt à ce changement de représentation, et alors qu’il vivait tranquillement sans avoir l’esprit envahi par des images pulsionnelles.
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Risque encore d’introduire un trouble dans la construction de l’identité sexuelle de l’enfant, sous prétexte de diminuer les inégalités homme-femme. On reconnait ici le prosélytisme qui règne autour de la « théorie du genre », largement présente dans les programmes ministériels, selon laquelle notre identité sexuelle est une construction sociale. J’ai eu une discussion publique avec Françoise Héritier, la célèbre anthropologue enseignante au Collège de France, qui affirmait que nos modèles de filiation et de construction des rôles homme/femme étaient relatifs. Pour cela, elle prenait l’exemple de l’ethnie Nuer où une femme stérile est considérée comme un homme et épouse une autre femme qui, après s’être fait féconder par un homme, sorte de donneur de sperme, devient mère de l’enfant dont la femme stérile est le père…
Selon elle, ceci démontrait que notre identité n’était qu’une construction sociale, et elle ajoutait qu’accepter d’autres modèles que les nôtres représentait un progrès. Une psychologue présente et moi-même lui avons alors demandé de quelle manière une anthropologue est-elle à même d’évaluer la qualité du développement affectif des enfants élevés avec des modèles d’identification masculine et féminine aussi différents des nôtres, d’affirmer que le bien-être affectif de l’enfant se situe plus dans un modèle que dans un autre? Non, les ethnologues et anthropologues ne disposent pas de savoir particulier en psychologie et en psychopathologie de l’enfant. Ajoutons que cette « théorie du genre » est très loin de faire l’unanimité dans la communauté scientifique internationale, raison pour laquelle on devrait observer un principe de précaution envers l’enfant, ce qui n’est pas le cas dans cette « éducation sexuelle ». Ainsi dans un programme de Grande section, le but est de «permettre l’expression des représentations des rôles sociaux sexués par les enfants » avec comme objectif «d’intégrer la liberté de choix de modèles d’identifications» afin de le libérer des « stéréotypes sexuels », actes ou modèles auquel un individu croit devoir se conformer.
Le risque, exposé dans le document « L’histoire d’une dangereuse imposture », est d’entraver la construction psychique de l’enfant en relativisant, et donc en déconstruisant les identifications à ses figures parentales et son inscription dans une filiation à la période même où il réalise ce mouvement psychique. D’autant plus que la théorie du genre est enseignée dès le primaire.
Encore un exemple au cours de ce programme : un enfant de 8 ans demande à une formatrice ce qu’est l’homosexualité. Réponse : « Nous sommes tous un peu homosexuels ». Remarque d’une mère présente : « Eh bien moi, pas du tout, Madame ». Silence gêné.
Revenons sur la question du désir de certains des adultes/lobbies qui ont construit ces programmes. Il n’est pas certains que les responsables ministériels qui sont intervenus à différents niveaux aient compris les enjeux cachés, puisqu’ils font souvent l’objet d’un double discours. Ainsi la ministre de l’Education nationale déclare le 29-01-2014 sur Europe 1 qu’il n’y aura aucune éducation à la sexualité ni aucune éducation à la théorie du genre en primaire, alors que les deux sont déjà inscrites pour cette tranche d’âge au Bulletin Officiel du 7 février 2014 ; et que le 02-02-2014, il est programmé dans certaines académies en Grande section de maternelle de « nommer les organes génitaux externes » et en CE1 de « nommer les organes génitaux internes », etc.
Quand il y a un mensonge de cette nature, c’est qu’il existe un enjeu idéologique, ici lutter contre toute limite, contre toute différence en particulier enfant/adulte, contre les différences sexuées, et déconstruire la notion d’identité sexuelle.
Mais un autre enjeu est plus sournois dans cet éveil précoce à la sexualité. Dans les textes définissant les droits sexuels et les Standards, qui sont cités sur les sites conseillés par les ministères, il est introduit de manière insidieuse l’idée que la sexualité des enfants peut être volontaire, de leur fait, et qu’il n’y a rien à reprocher à une activité sexuelle impliquant un enfant s’il est « consentant ». Un flou volontaire est entretenu en permanence dans ces textes grâce aux termes : « en tenant compte des capacités évolutives de l’enfant », apparemment issus d’un rapport de l’UNICEF qui n’évoque pourtant le domaine de la sexualité qu’en termes de protection. Ce terme a donc été détourné de son sens originel, et il est probable qu’en toute bonne foi, les ministères concernés n’ont pas prêté attention à ce détournement qui permet de situer comme acceptable un abus sexuel commis par un adulte sans violence, en séduisant un enfant, ce qui dans la réalité, est le cas de la majorité des abus.
Nous devons nous rappeler que cette dimension du fonctionnement pulsionnel transgresseur des adultes à l’égard des enfants est particulièrement puissante. Il suffit de lire les quotidiens pour être face à cette réalité qui peut aussi prendre une forme de réseau organisé comme on l’a constaté dans de nombreux pays. Et de manière plus insidieuse, une exposition de tableaux à Marseille en 2015 a montré des enfants dans des scènes pédophiles et zoophiles, sous prétexte d’art. Je délire ? Je laisse au lecteur la surprise la découvrir l’origine historique de « l’éducation à la sexualité » dans le document qui suit, ce qui est un véritable choc.
Comment une minorité d’individus a-t-elle réussi à faire admettre de tels programmes ? Comme souvent, des lobbies sont passés en catimini par l’Europe pour imposer des directives aux Etats européens et mettre des citoyens devant le fait accompli.
J’imagine dès maintenant les critiques qui vont suivre :
- Les personnes qui s’opposent aux droits sexuels sont des catholiques et/ou des réactionnaires ou des fascistes d’extrême droite. Désolé, je suis athée, et entre 1971 et 1973 j’ai fait partie des médecins - ils n’étaient pas si nombreux - qui ont pratiqué des avortements bénévolement à « Choisir-Lyon » afin de créer un état de fait avant le débat parlementaire sur la légalisation de l’IVG. Il n’est pas question ici de religion mais de protection du développement affectif de l’enfant.
- Ces personnes s’opposent à un texte qui vise l’égalité homme-femme. Désolé, mais je suis un de ceux qui ont souligné depuis longtemps la nécessité de protéger les femmes des violences conjugales, en particulier parce qu’elles ont un fort impact sur leur enfant et sur leurs capacités maternelles.
- On nous rétorquera : « il vaut mieux que des adultes formateurs parlent de la sexualité au lieu que les enfants en soient informés sans filtre sur internet ». Faux, car lorsque l’enfant voit un film pornographique sur internet, il sait qu’il transgresse un interdit. De plus, c’est lui qui décide de regarder ou pas, et s’il est choqué ou dégoûté, il peut arrêter à tout moment ce visionnage.
- On dira : « Vous êtes homophobe ». Encore raté : j’ai écrit dans plusieurs articles que je ne voyais pas d’objection au mariage homosexuel, tout en précisant mes réticences, en tant que pédopsychiatre, à l’adoption homoparentale dans l’attente de recherches de meilleure qualité méthodologique que celles existantes à l’époque du débat sur la loi Taubira.
Selon elle, ceci démontrait que notre identité n’était qu’une construction sociale, et elle ajoutait qu’accepter d’autres modèles que les nôtres représentait un progrès. Une psychologue présente et moi-même lui avons alors demandé de quelle manière une anthropologue est-elle à même d’évaluer la qualité du développement affectif des enfants élevés avec des modèles d’identification masculine et féminine aussi différents des nôtres, d’affirmer que le bien-être affectif de l’enfant se situe plus dans un modèle que dans un autre? Non, les ethnologues et anthropologues ne disposent pas de savoir particulier en psychologie et en psychopathologie de l’enfant. Ajoutons que cette « théorie du genre » est très loin de faire l’unanimité dans la communauté scientifique internationale, raison pour laquelle on devrait observer un principe de précaution envers l’enfant, ce qui n’est pas le cas dans cette « éducation sexuelle ». Ainsi dans un programme de Grande section, le but est de «permettre l’expression des représentations des rôles sociaux sexués par les enfants » avec comme objectif «d’intégrer la liberté de choix de modèles d’identifications» afin de le libérer des « stéréotypes sexuels », actes ou modèles auquel un individu croit devoir se conformer.
Le risque, exposé dans le document « L’histoire d’une dangereuse imposture », est d’entraver la construction psychique de l’enfant en relativisant, et donc en déconstruisant les identifications à ses figures parentales et son inscription dans une filiation à la période même où il réalise ce mouvement psychique. D’autant plus que la théorie du genre est enseignée dès le primaire.
Encore un exemple au cours de ce programme : un enfant de 8 ans demande à une formatrice ce qu’est l’homosexualité. Réponse : « Nous sommes tous un peu homosexuels ». Remarque d’une mère présente : « Eh bien moi, pas du tout, Madame ». Silence gêné.
Revenons sur la question du désir de certains des adultes/lobbies qui ont construit ces programmes. Il n’est pas certains que les responsables ministériels qui sont intervenus à différents niveaux aient compris les enjeux cachés, puisqu’ils font souvent l’objet d’un double discours. Ainsi la ministre de l’Education nationale déclare le 29-01-2014 sur Europe 1 qu’il n’y aura aucune éducation à la sexualité ni aucune éducation à la théorie du genre en primaire, alors que les deux sont déjà inscrites pour cette tranche d’âge au Bulletin Officiel du 7 février 2014 ; et que le 02-02-2014, il est programmé dans certaines académies en Grande section de maternelle de « nommer les organes génitaux externes » et en CE1 de « nommer les organes génitaux internes », etc.
Quand il y a un mensonge de cette nature, c’est qu’il existe un enjeu idéologique, ici lutter contre toute limite, contre toute différence en particulier enfant/adulte, contre les différences sexuées, et déconstruire la notion d’identité sexuelle.
Mais un autre enjeu est plus sournois dans cet éveil précoce à la sexualité. Dans les textes définissant les droits sexuels et les Standards, qui sont cités sur les sites conseillés par les ministères, il est introduit de manière insidieuse l’idée que la sexualité des enfants peut être volontaire, de leur fait, et qu’il n’y a rien à reprocher à une activité sexuelle impliquant un enfant s’il est « consentant ». Un flou volontaire est entretenu en permanence dans ces textes grâce aux termes : « en tenant compte des capacités évolutives de l’enfant », apparemment issus d’un rapport de l’UNICEF qui n’évoque pourtant le domaine de la sexualité qu’en termes de protection. Ce terme a donc été détourné de son sens originel, et il est probable qu’en toute bonne foi, les ministères concernés n’ont pas prêté attention à ce détournement qui permet de situer comme acceptable un abus sexuel commis par un adulte sans violence, en séduisant un enfant, ce qui dans la réalité, est le cas de la majorité des abus.
Nous devons nous rappeler que cette dimension du fonctionnement pulsionnel transgresseur des adultes à l’égard des enfants est particulièrement puissante. Il suffit de lire les quotidiens pour être face à cette réalité qui peut aussi prendre une forme de réseau organisé comme on l’a constaté dans de nombreux pays. Et de manière plus insidieuse, une exposition de tableaux à Marseille en 2015 a montré des enfants dans des scènes pédophiles et zoophiles, sous prétexte d’art. Je délire ? Je laisse au lecteur la surprise la découvrir l’origine historique de « l’éducation à la sexualité » dans le document qui suit, ce qui est un véritable choc.
Comment une minorité d’individus a-t-elle réussi à faire admettre de tels programmes ? Comme souvent, des lobbies sont passés en catimini par l’Europe pour imposer des directives aux Etats européens et mettre des citoyens devant le fait accompli.
J’imagine dès maintenant les critiques qui vont suivre :
- Les personnes qui s’opposent aux droits sexuels sont des catholiques et/ou des réactionnaires ou des fascistes d’extrême droite. Désolé, je suis athée, et entre 1971 et 1973 j’ai fait partie des médecins - ils n’étaient pas si nombreux - qui ont pratiqué des avortements bénévolement à « Choisir-Lyon » afin de créer un état de fait avant le débat parlementaire sur la légalisation de l’IVG. Il n’est pas question ici de religion mais de protection du développement affectif de l’enfant.
- Ces personnes s’opposent à un texte qui vise l’égalité homme-femme. Désolé, mais je suis un de ceux qui ont souligné depuis longtemps la nécessité de protéger les femmes des violences conjugales, en particulier parce qu’elles ont un fort impact sur leur enfant et sur leurs capacités maternelles.
- On nous rétorquera : « il vaut mieux que des adultes formateurs parlent de la sexualité au lieu que les enfants en soient informés sans filtre sur internet ». Faux, car lorsque l’enfant voit un film pornographique sur internet, il sait qu’il transgresse un interdit. De plus, c’est lui qui décide de regarder ou pas, et s’il est choqué ou dégoûté, il peut arrêter à tout moment ce visionnage.
- On dira : « Vous êtes homophobe ». Encore raté : j’ai écrit dans plusieurs articles que je ne voyais pas d’objection au mariage homosexuel, tout en précisant mes réticences, en tant que pédopsychiatre, à l’adoption homoparentale dans l’attente de recherches de meilleure qualité méthodologique que celles existantes à l’époque du débat sur la loi Taubira.
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
En conclusion, tel qu’il est imposé actuellement, le programme d’éducation à la sexualité ne peut que provoquer un clivage profond dans notre société française qui souffre déjà d’une multiplicité de clivages sources de tension et de violence. Il est inévitable qu’une telle immixtion dans la vie privée, une telle intrusion dans l’éducation familiale dont il faut rappeler qu’elle est un des attributs de l’autorité parentale selon la Déclaration des Droits de l’Homme (article 26, alinea 3) et le Code civil français (article 371-1), se termine devant des tribunaux qui devront décider si ces attributs fondamentaux peuvent être remis en question par des « Droits sexuels » ou « Standards pour l’éducation sexuelle ». Les parents auraient en tous cas légitimité à mener de telles actions en justice.
C’est pourquoi notre groupe fait cinq propositions (cf. texte de la pétition « droits sexuels » et « éducation à la sexualité» : la dangereuse imposture). Rien ne sera jamais parfait, mais ces cinq garde fous permettraient des améliorations certaines, éviteraient des traumatismes psychiques, et préviendraient d’éventuelles procédures judiciaires.
On objectera que ceci a un coût. Pas plus, à mon avis, que certaines formations du programme d’éducation à la sexualité dont le budget est probablement conséquent.
C’est pourquoi notre groupe fait cinq propositions (cf. texte de la pétition « droits sexuels » et « éducation à la sexualité» : la dangereuse imposture). Rien ne sera jamais parfait, mais ces cinq garde fous permettraient des améliorations certaines, éviteraient des traumatismes psychiques, et préviendraient d’éventuelles procédures judiciaires.
On objectera que ceci a un coût. Pas plus, à mon avis, que certaines formations du programme d’éducation à la sexualité dont le budget est probablement conséquent.
Maurice BERGER, pédopsychiatre,
ex-professeur associé de
psychopathologie de l’enfant
à l’Université Lyon 2
Le 21-05-2017
CV sur mauriceberger.net
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Action réaction :
diffusons cette lettre d'appel
et partageons, signons , la petition qui appelle à la fois à la conscience des parents, des citoyens , des elus et des professionnels de l'éducation et de la Santé des enfants :
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t40092-petition-education-et-droits-sexuels-danger-pour-les-enfants#407985
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
y a t il corrélation avec le sujet ? bien probablement , à mon avis :
L'Etat vérifie l'assimilation du politiquement correct dans les écoles libres
Voici le sujet de rédaction française sur lequel des élèves de collège hors contrat de région parisienne ont dû plancher (test d'Etat) pour permettre à l'Education nationale de juger de leur niveau dans le contexte de leur demande d'admission dans un lycée public. Pas mal comme moyen de vérification idéologique de l'assimilation du politiquement correct...
A savoir également qu'"une personne chargée de lutte contre les dérives sexistes" (fonction mentionnée explicitement sur sa carte de visite) semble faire (désormais!) partie des membres composant les commissions d'inspection des écoles hors contrat (tandis qu'on attend toujours que des experts de la radicalisation islamiste du ministère de l'intérieur renforcent ladite commission!).
Les écoles non mixtes catholiques attirent particulièrement leurs suspicions. Elles ont ainsi demandé récemment à des religieuses "ce qu'elles faisaient pour l'égalité homme-femme dans leur école" et attendent manifestement que les écoles aient une politique active et consciente de promotion de ladite égalité (avec des traces contrôlables).
(source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/06/letat-vérifie-lassimilation-du-politiquement-correct-dans-les-écoles-libres.html)
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
s'il est vrai qu'à travail égal salaire égal, mais jamais l'homme et la femme seront égaux;
On ne peut pas parler de supériorité de l'un ou de l'autre, alors évidemment on préfère dire qu'ils sont égaux.
Il faudrait vanter les différences de l'un et de l'autre qui font que la vie est riche de ces différences.
On ne peut pas parler de supériorité de l'un ou de l'autre, alors évidemment on préfère dire qu'ils sont égaux.
Il faudrait vanter les différences de l'un et de l'autre qui font que la vie est riche de ces différences.
granny- Contemplatif
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Pour se faire une idée très précise de ce qui est enseigné à l'école, ce site est à connaître :
http://ecoleetsexe.fr/
http://ecoleetsexe.fr/
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Ce programme est destiné à qui, en priorité?azais a écrit:Action réaction : diffusez cette lettre d'appel et la petition qui appelle à la fois à la conscience des parents, des citoyens , des elus et des professionnels de l'éducation et de la Santé des enfantsLa lettre d'appel de Maurice BERGER
LES RISQUES MAJEURS DU PROGRAMME D’« EDUCATION A LA SEXUALITE »Texte introductif - le 25-05-2017
En mars 2017, le gouvernement de l’époque a présenté son programme d’« éducation à la sexualité », déjà appliqué dans certains endroits, et en a annoncé la généralisation en octobre 2017 sous l’égide des ministères de la Santé et de l’Education nationale. Ce programme comprend deux volets, l’un consacré à la prévention, a attiré l’attention des médias qui, du coup, n’ont pas prêté attention au volet « éducation » qui présente des risques importants pour les enfants et adolescents concernés, risques décrits dans les documents qui suivent.J’ai estimé nécessaire de rédiger un texte introductif à ces documents, car sans cette précaution, il est probable que le lecteur y réagira avec incrédulité, comme je l’ai fait moi-même. Car j’ai longtemps refusé de prendre ces informations au sérieux, il m’était impossible d’y croire. Et puis je suis allé vérifier les références indiquées, et j’ai constaté la validité de l’énorme travail de recherche effectué par mes collègues, groupe de professionnels psychologues et pédopsychiatres vigilants, « lanceurs d’alertes » dont je me fais le porte-parole ici.Le volet prévention est d’une importance majeure. Il porte sur la prévention des maladies sexuellement transmissibles en particulier lors des premières expériences sexuelles, la contraception afin d’éviter des grossesses précoces, la possibilité de prendre une contraception et d’avoir recours à l’IVG sans accord parental, la possibilité de dire « non » face à des sollicitations sexuelles, l’interdiction d’avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 15 ans ou entre mineurs s’il existe une grande différence d’âge, l’interdiction de mariage forcé, l’interdit de l’inceste avec des références à la dimension pénale, les violences sexuelles, l’égalité homme-femme, le fait qu’aucune forme de sexualité (pédophilie exceptée) ne doit faire l’objet de discrimination, etc.Le volet éducatif soulève, lui, des questions inquiétantes. Pourtant de sages précautions sont préconisées pour aborder cette thématique, telles que le respect de l’intimité des mineurs, la nécessité de ne pas couper l’information du domaine affectif, la mise en place de groupes non mixtes (filles et garçons séparés) pour débattre de sujets délicats, un refus de tout prosélytisme de la part des intervenants qui doivent être en binôme. Mais à de nombreux endroits, il existe un écart énorme entre les intentions officielles et la réalité des pratiques, ce qui est déjà à l’origine de tensions entre les formateurs et les parents, les formateurs et les mineurs, les formateurs entre eux. Les recherches menées par notre groupe de travail montrent que ces dérives ne sont dues à des intervenants « atypiques », mais qu’elles sont liées à l’origine même de la notion d’ « éducation à la sexualité ». Sous l’influence de lobbies particuliers, ce terme est inscrit dans le programme de l’OMS, organisme appartenant à l’ONU, dans un programme intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe ». Nous y reviendrons.Voici quelques exemples parmi les situations ou actions qui paraissent être à risque.
Le premier risque est que les adultes prennent une place de séducteurs, initiateurs de la sexualité. Sur le site « onsexprime.fr » sous tutelle du ministère de la Santé, destiné aux mineurs à partir de la classe de cinquième, donc âgés de 12 ans, quel est l’intérêt de décrire les six positions de pénétration vaginale, dessins ludiques à l’appui, et comment se pratique la sodomie, et pourquoi les acteurs des films pornographiques éjaculent hors du vagin de leur partenaire ? On peut aussi s’étonner de l’absence d’intervention ou de limite posée par les adultes supposés réguler ce site et qui laissent tels quels certains messages: «Lacochonne : « ma premiere fois j’ai baiser pendant 3 heures sans arreter et mon copain a spermer 2 fois je me sentais tellement bien quand il etait en moi et sa fait tellement du bien j’avais de son sperme partout sur moi ». Ou encore : fredo64 : « J aime bander J aime jouir J’aime embrasser J’aime concretiser ». Et lorsqu’un adolescent écrit « quel est le meilleur site porno pour nous donner du plaisir ? », la réponse de l’adulte manager est : « Ca dépend des goûts » : éducation, prévention, ou plutôt complicité ? Il est aussi répondu à un mineur : « La loi ne fixe pas d’âge à partir duquel on a le droit d’avoir des relations sexuelles. C’est quand on se sent prêt et qu’on a envie », réponse ambigüe[size=11]1. La seule remarque « régulatrice » est effectuée par un adulte sous la forme du commentaire suivant : « Rassurez-moi. Ce site n’est pas payé par nos impôts ? Parce qu’avec 2000 milliards de dette, il y avait peut-être d’autres urgences… ». Ce site est cité en référence dans les manuels Hatier du collège à partir de la 5ème. Et est-il vraiment nécessaire de faire imprimer aux élèves un clitoris en 3D comme c’est décrit sur le site Matilda, considéré comme site partenaire par les ministères concernés ?
Plus encore, sur le site Canopé de la plateforme de l’Education nationale, il est recommandé d’appliquer les Standards européens qui impliquent une éducation à la sexualité débutant de 0 à 4 ans. Dans le programme dédié à cette tranche d’âge, les formateurs doivent expliquer aux enfants ce qu’est « la masturbation infantile précoce ». Et leur proposer de « jouer au docteur ». Et pour les 6-9 ans, leur expliquer ce qu’est l’éjaculation. Et effectivement, dans certaines classes de primaire en France (cf. le document joint « L’histoire d’une dangereuse imposture »), on explique à des élèves ce qu’est la puberté, l’apparition des poils, l’érection, le sperme, l’éjaculation.
On mesure ici le deuxième risque : faire intrusion de manière traumatique dans le rythme de croissance affective des enfants.
Ceci n’est guère étonnant quand on lit dans les Standards qu’il faut donner à l’enfant une explication sur la sexualité avant qu’il soit en âge de poser des questions à ce propos. On peut se demander ce qui pousse des adultes à intervenir ainsi. Tout d’abord, en quoi les idées que les enfants petits peuvent avoir sur la manière dont on fait les bébés (dans l’estomac, par le nombril, etc.) doivent-elles être empêchées ? D’autant qu’on sait que lorsqu’on lui donne une réponse rationnelle quand il pose une question à ce propos-et pas avant, l’enfant continue à garder ses théories qui disparaîtront à leur rythme. Et souvent, la première question que pose un enfant de trois ans est simplement, après avoir croisé une femme enceinte : « maman, est-ce que moi aussi j’étais dans ton ventre ? ». Une réponse positive lui suffit. Pourquoi donc ne pas faire confiance dans les capacités de l’enfant d’évoluer et de modifier progressivement sa manière de penser ?
Surtout, l’ensemble des psychologues cliniciens et pédopsychiatres considèrent que la période qui précède l’adolescence est une période dite « de latence » pendant laquelle, au sortir de sa cinquième ou sixième année, l’enfant a besoin de mettre de côté ses questions concernant ses désirs oedipiens, il éprouve de la pudeur, voire même du dégoût à l’égard de la sexualité, et de tourner sa curiosité vers d’autres champs de connaissance, en particulier la science, la culture. Or c’est exactement l’inverse que proposent les programmes sus-cités.
On ne peut que regretter ici que ces plans aient été manifestement élaborés sans qu’ait été sollicité l’avis de la communauté pédopsychiatrique alors qu’ils se déroulent sous l’égide du ministère de la Santé, ni l’avis de psychologues professeurs de psychopathologie.
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jacques58fan- Combat l'antechrist
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
à tous : c'est imposé par l'Education Nationale de 0 à 19 ans
Mais ce qui m'inquiète c'est le programme du gamin marchonnette dans les quartiers 12 eleves par classe : c'est une configuration tres curieuse mais qui montre qu'ils s'interessent surtout aux enfants délaissés par les parents . C'est justement dans ces milieux que les enfants sont pris pour les rituels pedophiles . Et dire que ce sont eux qui vont voter majoritairement pour la "republique " en marche .
Des observateurs candidats de type manif pour tous notent avec étonnement l'ampleur des moyens gigantesques dont disposent les militants en marche pour conquérir les voix dans ces communautés .
Qui les met en garde ?
Mais ce qui m'inquiète c'est le programme du gamin marchonnette dans les quartiers 12 eleves par classe : c'est une configuration tres curieuse mais qui montre qu'ils s'interessent surtout aux enfants délaissés par les parents . C'est justement dans ces milieux que les enfants sont pris pour les rituels pedophiles . Et dire que ce sont eux qui vont voter majoritairement pour la "republique " en marche .
Des observateurs candidats de type manif pour tous notent avec étonnement l'ampleur des moyens gigantesques dont disposent les militants en marche pour conquérir les voix dans ces communautés .
Qui les met en garde ?
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Merci azaïs pour cette information de haute importance, en date du 17 Juillet voici ce que nous pouvons lire
Source: Lire icihttps://www.infochretienne.com/adultes-nont-a-initier-enfants-a-sexualite-plaisir-sexuel/?mc_cid=f8d247bcbc&mc_eid=ddb1adf7e5
« Les adultes n’ont pas à initier les enfants à la sexualité et au plaisir sexuel »
Après la mise en garde d’Ariane Bilheran sur les dérives pédophiles possibles de la Déclaration des Droits Sexuels, des professionnels de l’enfance s’unissent et se mobilisent pour dire « Stop à la dangereuse imposture des ‘droits sexuels’ et de ‘l’Éducation à la sexualité’ ».
Un collectif de psychologues et pédopsychiatres, mené par le Dr Maurice Berger, lance un cri d’alerte pour stopper l’engrenage dans lequel entre en ce moment même les ministères de l’Education Nationale et de la Santé en France.
Car dès la rentrée 2017, devraient entrer en application dans les écoles, collèges et lycées les nouveaux enseignements liés à « l’éducation à la sexualité ».
« Nous, professionnels de la psychologie et de la psychiatrie, du psychotraumatisme et de l’enfance, dénonçons les risques de « l’éducation sexuelle » et des « droits sexuels » mettant en danger les enfants, sous couvert d’idéaux de « prévention » et « d’égalité ».
De fait, les plans gouvernementaux français sur « l’éducation à la sexualité », prenant source dans des textes internationaux portés par l’OMS, le planning familial et l’ONU, dont nous critiquons la dangerosité pour les enfants, sont en cours d’application dès la maternelle en France. »
A Souligner:
La démarche est celle de professionnels athées. Leurs arguments ne sont aucunement liés à la foi. Ils estiment que « l’éducation à la sexualité » et au « plaisir sexuel », constitue un réel danger pour le développement de l’enfant.
Dans la vidéo publiée sur Facebook, l’ancien chef de service dénonce et se fait l’écho des autres signataires.
Pour le collectif, toute la première partie des mesures officielles qui entreront en vigueur en octobre 2017 sont les bienvenues. Elles existent d’ailleurs depuis longtemps, principalement dès la classe de 4ème : Prévention contre les MST, les grossesses précoces, éducation à la contraception, rejet de toute discrimination, à l’exception de la pédophilie.
Mais pour les professionnels, la deuxième partie mettrait gravement en danger le développement affectif des enfants.
« Nous réfutons formellement le postulat selon lequel les enfants ont une sexualité à laquelle ils doivent être éveillés physiquement ou psychiquement au travers d’une éducation quelconque effectuée par des adultes. »
Imposé par les instances européennes, cet enseignement serait pourtant devenu obligatoire dans les établissements français :
Il débuterait entre 0 et 4 ans, par la masturbation infantile précoce, se poursuivra entre 6 et 9 ans, par un enseignement sur l’éjaculation.
L’objectif est de donner des explications aux enfants, avant même qu’il soit en âge de poser ces questions.
« Nous déclarons être fermement opposés à ces enseignements d’« éducation à la sexualité » auprès des mineurs de moins de 15 ans dont il est prévu le déploiement sur toute la France en 2017 au travers de formation intensives de personnel au contact des enfants et qui ont déjà commencé. »
L’objectif de l’Europe est de changer de paradigme. Parler de sexualité aux enfants dès le plus jeune âge.
De nombreux témoignages d’enfants et d’adolescents ont déjà été relevés dans les classes où cela a déjà commencé, principalement au travers de la littérature jeunesse. Les enfants et adolescents raconte leurs gênes et leurs dégoûts.
Certains racontent avoir été choqués par les longues scènes de fellation décrites, dans des livres étudiés en classe.
Pour le médecin, le risque est l’intrusion de manière traumatique dans le rythme de croissance affectif de l’enfant.
« Nous dénonçons ce changement de paradigme que nous jugeons gravissime, car les adultes n’ont pas à « éduquer » les enfants et tous les mineurs sexuels (âgés de moins de 15 ans) à la « sexualité » et au « plaisir sexuel ». Cette attitude intrusive ne prend pas en compte la notion d’immaturité sexuelle de l’enfant, qui inscrit une différence de nature entre le statut de mineur sexuel et celui de majeur sexuel. »
L’adulte se fait séducteur-initiateur.
Pourquoi ne pas attendre que les enfants posent des questions sur la sexualité au moment ou ils en ressentent le besoin ?
Pourquoi ne pas respecter leur intimité ?
Leur pudeur ?
Le collectif dénonce également l’enseignement de la théorie du genre, qui n’a, pour lui, aucun fondement scientifique.
Selon la théorie du genre, Masculin et Féminin sont des constructions sociales. Il faudrait sortir de ces modèles et laisser la liberté de choix aux enfants.
Dr Berger n’hésite pas à parler de « formatage de l’Etat, ce qui est la marque des gouvernements totalitaires ». Le nouveau programme d’Éducation à la sexualité est une intrusion dans l’autorité parentale, car il sera impossible aux parents d’y soustraire leurs enfants.
Pire, les textes n’indiquent jamais d’âge interdit, opérant ainsi un dangereux glissement vers la pratique pédophile.
« L’activité sexuelle dépend des capacités évolutives de l’enfant. »
Le collectif lance une pétition sur leur site, dans laquelle ils exigent 5 mesures.http://pros-contre-educsex.strikingly.com/#petition
Arrêter toute « éducation à la sexualité » en classe maternelle et primaire.
Arrêter totalement de parler de la théorie du genre.
A partir de 14 ans, limiter l’information sur la sexualité à la prévention des risques, sur la base de données scientifiques.
Créer au niveau national et régional des comités (ou « conseils ») de régulation (ou de vigilance).
Touche pas à Mon Gosse"
https://www.facebook.com/touchepasamongosse/videos/449854322044666/
Après la mise en garde d’Ariane Bilheran sur les dérives pédophiles possibles de la Déclaration des Droits Sexuels, des professionnels de l’enfance s’unissent et se mobilisent pour dire « Stop à la dangereuse imposture des ‘droits sexuels’ et de ‘l’Éducation à la sexualité’ ».
Un collectif de psychologues et pédopsychiatres, mené par le Dr Maurice Berger, lance un cri d’alerte pour stopper l’engrenage dans lequel entre en ce moment même les ministères de l’Education Nationale et de la Santé en France.
Car dès la rentrée 2017, devraient entrer en application dans les écoles, collèges et lycées les nouveaux enseignements liés à « l’éducation à la sexualité ».
« Nous, professionnels de la psychologie et de la psychiatrie, du psychotraumatisme et de l’enfance, dénonçons les risques de « l’éducation sexuelle » et des « droits sexuels » mettant en danger les enfants, sous couvert d’idéaux de « prévention » et « d’égalité ».
De fait, les plans gouvernementaux français sur « l’éducation à la sexualité », prenant source dans des textes internationaux portés par l’OMS, le planning familial et l’ONU, dont nous critiquons la dangerosité pour les enfants, sont en cours d’application dès la maternelle en France. »
A Souligner:
La démarche est celle de professionnels athées. Leurs arguments ne sont aucunement liés à la foi. Ils estiment que « l’éducation à la sexualité » et au « plaisir sexuel », constitue un réel danger pour le développement de l’enfant.
Dans la vidéo publiée sur Facebook, l’ancien chef de service dénonce et se fait l’écho des autres signataires.
Pour le collectif, toute la première partie des mesures officielles qui entreront en vigueur en octobre 2017 sont les bienvenues. Elles existent d’ailleurs depuis longtemps, principalement dès la classe de 4ème : Prévention contre les MST, les grossesses précoces, éducation à la contraception, rejet de toute discrimination, à l’exception de la pédophilie.
Mais pour les professionnels, la deuxième partie mettrait gravement en danger le développement affectif des enfants.
« Nous réfutons formellement le postulat selon lequel les enfants ont une sexualité à laquelle ils doivent être éveillés physiquement ou psychiquement au travers d’une éducation quelconque effectuée par des adultes. »
Imposé par les instances européennes, cet enseignement serait pourtant devenu obligatoire dans les établissements français :
Il débuterait entre 0 et 4 ans, par la masturbation infantile précoce, se poursuivra entre 6 et 9 ans, par un enseignement sur l’éjaculation.
L’objectif est de donner des explications aux enfants, avant même qu’il soit en âge de poser ces questions.
« Nous déclarons être fermement opposés à ces enseignements d’« éducation à la sexualité » auprès des mineurs de moins de 15 ans dont il est prévu le déploiement sur toute la France en 2017 au travers de formation intensives de personnel au contact des enfants et qui ont déjà commencé. »
L’objectif de l’Europe est de changer de paradigme. Parler de sexualité aux enfants dès le plus jeune âge.
De nombreux témoignages d’enfants et d’adolescents ont déjà été relevés dans les classes où cela a déjà commencé, principalement au travers de la littérature jeunesse. Les enfants et adolescents raconte leurs gênes et leurs dégoûts.
Certains racontent avoir été choqués par les longues scènes de fellation décrites, dans des livres étudiés en classe.
Pour le médecin, le risque est l’intrusion de manière traumatique dans le rythme de croissance affectif de l’enfant.
« Nous dénonçons ce changement de paradigme que nous jugeons gravissime, car les adultes n’ont pas à « éduquer » les enfants et tous les mineurs sexuels (âgés de moins de 15 ans) à la « sexualité » et au « plaisir sexuel ». Cette attitude intrusive ne prend pas en compte la notion d’immaturité sexuelle de l’enfant, qui inscrit une différence de nature entre le statut de mineur sexuel et celui de majeur sexuel. »
L’adulte se fait séducteur-initiateur.
Pourquoi ne pas attendre que les enfants posent des questions sur la sexualité au moment ou ils en ressentent le besoin ?
Pourquoi ne pas respecter leur intimité ?
Leur pudeur ?
Le collectif dénonce également l’enseignement de la théorie du genre, qui n’a, pour lui, aucun fondement scientifique.
Selon la théorie du genre, Masculin et Féminin sont des constructions sociales. Il faudrait sortir de ces modèles et laisser la liberté de choix aux enfants.
Dr Berger n’hésite pas à parler de « formatage de l’Etat, ce qui est la marque des gouvernements totalitaires ». Le nouveau programme d’Éducation à la sexualité est une intrusion dans l’autorité parentale, car il sera impossible aux parents d’y soustraire leurs enfants.
Pire, les textes n’indiquent jamais d’âge interdit, opérant ainsi un dangereux glissement vers la pratique pédophile.
« L’activité sexuelle dépend des capacités évolutives de l’enfant. »
Le collectif lance une pétition sur leur site, dans laquelle ils exigent 5 mesures.http://pros-contre-educsex.strikingly.com/#petition
Arrêter toute « éducation à la sexualité » en classe maternelle et primaire.
Arrêter totalement de parler de la théorie du genre.
A partir de 14 ans, limiter l’information sur la sexualité à la prévention des risques, sur la base de données scientifiques.
Créer au niveau national et régional des comités (ou « conseils ») de régulation (ou de vigilance).
Touche pas à Mon Gosse"
https://www.facebook.com/touchepasamongosse/videos/449854322044666/
Source: Lire icihttps://www.infochretienne.com/adultes-nont-a-initier-enfants-a-sexualite-plaisir-sexuel/?mc_cid=f8d247bcbc&mc_eid=ddb1adf7e5
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
La Route de la Fidélité : du 20 au 30 août 2017 nouvelle action nationale pour sauver les enfants
La Route de la Fidélité est une action symbolique pour sauver les enfants de la culture de mort.
Le 20 août 2017, à 14 heures, Farida Belghoul et Jean-Pierre Aussant quitteront l’esplanade de la pyramide du Louvres à Paris pour se rendre en dix jours au hameau des Sept Saints, dans les Côtes d’Armor, en Bretagne.
Ce hameau témoigne, de nos jours encore, de l’histoire emblématique des Sept dormants d’Ephèse, miracle commun aux chrétiens et aux musulmans.
A cause d’un empereur romain particulièrement cruel, 7 jeunes chrétiens décidèrent en l’an 249 de quitter la ville et ils allèrent se cacher dans une caverne située sur une montagne voisine. Ils fuyaient ainsi une société oppressive et corrompue. Plongés involontairement dans un profond sommeil, ils se réveillèrent environ trois siècles plus tard dans une société où la vertu était rétablie.
CETTE ACTION A BESOIN DE VOUS !
https://www.gofundme.com/la-route-de-la-fidelite
Commentaires sur “La Route de la Fidélité :
[list=comment-list]
[*] mirabdelkader dit :
bravo farida! un phénix renait de ces cendres?
[*]Rene jn dit : La connection tant redoutée par le pouvoir aura t’elle lieu pour l’amour de l’innocence ? Bravo aux deux initiateurs.
[*]Sainte Blandine dit : Je suis une musulmane convertie à la seule vraie religion catholique dont la fondation est divine, fondée par Jésus Christ, la deuxième personne de la trinité. Toutes les autres religions ont été fondées par des hommes : Martin Luther, Mahomet, Bouda… Seul Jésus est sans péché comme la Sainte Vierge, l’homme est entachée par le péché originel.....
Certes les personnes doivent s’unir pour défendre des idées communes face à la décadence maconnique-lgbt.. Mais un catholique doit rappeler que la seule vraie religion est catholique. Quand un catholique récite le credo, il refuse en principe l’œcuménisme. La France doit restaurer la royauté sociale de Jésus Christ.
[*]Maria Poumier dit : Le clip est magnifique, l’idée est géniale, rejoignons-les!
[/list]
La Route de la Fidélité est une action symbolique pour sauver les enfants de la culture de mort.
Le 20 août 2017, à 14 heures, Farida Belghoul et Jean-Pierre Aussant quitteront l’esplanade de la pyramide du Louvres à Paris pour se rendre en dix jours au hameau des Sept Saints, dans les Côtes d’Armor, en Bretagne.
Ce hameau témoigne, de nos jours encore, de l’histoire emblématique des Sept dormants d’Ephèse, miracle commun aux chrétiens et aux musulmans.
A cause d’un empereur romain particulièrement cruel, 7 jeunes chrétiens décidèrent en l’an 249 de quitter la ville et ils allèrent se cacher dans une caverne située sur une montagne voisine. Ils fuyaient ainsi une société oppressive et corrompue. Plongés involontairement dans un profond sommeil, ils se réveillèrent environ trois siècles plus tard dans une société où la vertu était rétablie.
CETTE ACTION A BESOIN DE VOUS !
https://www.gofundme.com/la-route-de-la-fidelite
Commentaires sur “La Route de la Fidélité :
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[*] mirabdelkader dit :
bravo farida! un phénix renait de ces cendres?
[*]Rene jn dit : La connection tant redoutée par le pouvoir aura t’elle lieu pour l’amour de l’innocence ? Bravo aux deux initiateurs.
[*]Sainte Blandine dit : Je suis une musulmane convertie à la seule vraie religion catholique dont la fondation est divine, fondée par Jésus Christ, la deuxième personne de la trinité. Toutes les autres religions ont été fondées par des hommes : Martin Luther, Mahomet, Bouda… Seul Jésus est sans péché comme la Sainte Vierge, l’homme est entachée par le péché originel.....
Certes les personnes doivent s’unir pour défendre des idées communes face à la décadence maconnique-lgbt.. Mais un catholique doit rappeler que la seule vraie religion est catholique. Quand un catholique récite le credo, il refuse en principe l’œcuménisme. La France doit restaurer la royauté sociale de Jésus Christ.
[*]Maria Poumier dit : Le clip est magnifique, l’idée est géniale, rejoignons-les!
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marie-victoire- Veut-etre un saint/e
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
bonjour marie-victoire
MERCI à l'ESPRIT-SAINT et à vous de ce que vous nous partager!!!
c'est vraiment formidable
et surtout pour Ste BLANDINE , je L'apprends que c'était une musulmane avant sa conversion,nous devons lui demander d'interceder
En effet j'ai la conviction que c'est :
LE CHEMIN
LA VERITE
LA VIE
gloire à DIEU et union de prière
MERCI à l'ESPRIT-SAINT et à vous de ce que vous nous partager!!!
c'est vraiment formidable
et surtout pour Ste BLANDINE , je L'apprends que c'était une musulmane avant sa conversion,nous devons lui demander d'interceder
En effet j'ai la conviction que c'est :
LE CHEMIN
LA VERITE
LA VIE
gloire à DIEU et union de prière
Jacques-2- Aime le Rosaire
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
azais a écrit:Action réaction : diffusez cette lettre d'appel et la petition qui appelle à la fois à la conscience des parents, des citoyens , des elus et des professionnels de l'éducation et de la Santé des enfantsLa lettre d'appel de Maurice BERGER
LES RISQUES MAJEURS DU PROGRAMME D’« EDUCATION A LA SEXUALITE »Texte introductif - le 25-05-2017
En mars 2017, le gouvernement de l’époque a présenté son programme d’« éducation à la sexualité », déjà appliqué dans certains endroits, et en a annoncé la généralisation en octobre 2017 sous l’égide des ministères de la Santé et de l’Education nationale. Ce programme comprend deux volets, l’un consacré à la prévention, a attiré l’attention des médias qui, du coup, n’ont pas prêté attention au volet « éducation » qui présente des risques importants pour les enfants et adolescents concernés, risques décrits dans les documents qui suivent.J’ai estimé nécessaire de rédiger un texte introductif à ces documents, car sans cette précaution, il est probable que le lecteur y réagira avec incrédulité, comme je l’ai fait moi-même. Car j’ai longtemps refusé de prendre ces informations au sérieux, il m’était impossible d’y croire. Et puis je suis allé vérifier les références indiquées, et j’ai constaté la validité de l’énorme travail de recherche effectué par mes collègues, groupe de professionnels psychologues et pédopsychiatres vigilants, « lanceurs d’alertes » dont je me fais le porte-parole ici.Le volet prévention est d’une importance majeure. Il porte sur la prévention des maladies sexuellement transmissibles en particulier lors des premières expériences sexuelles, la contraception afin d’éviter des grossesses précoces, la possibilité de prendre une contraception et d’avoir recours à l’IVG sans accord parental, la possibilité de dire « non » face à des sollicitations sexuelles, l’interdiction d’avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 15 ans ou entre mineurs s’il existe une grande différence d’âge, l’interdiction de mariage forcé, l’interdit de l’inceste avec des références à la dimension pénale, les violences sexuelles, l’égalité homme-femme, le fait qu’aucune forme de sexualité (pédophilie exceptée) ne doit faire l’objet de discrimination, etc.Le volet éducatif soulève, lui, des questions inquiétantes. Pourtant de sages précautions sont préconisées pour aborder cette thématique, telles que le respect de l’intimité des mineurs, la nécessité de ne pas couper l’information du domaine affectif, la mise en place de groupes non mixtes (filles et garçons séparés) pour débattre de sujets délicats, un refus de tout prosélytisme de la part des intervenants qui doivent être en binôme. Mais à de nombreux endroits, il existe un écart énorme entre les intentions officielles et la réalité des pratiques, ce qui est déjà à l’origine de tensions entre les formateurs et les parents, les formateurs et les mineurs, les formateurs entre eux. Les recherches menées par notre groupe de travail montrent que ces dérives ne sont dues à des intervenants « atypiques », mais qu’elles sont liées à l’origine même de la notion d’ « éducation à la sexualité ». Sous l’influence de lobbies particuliers, ce terme est inscrit dans le programme de l’OMS, organisme appartenant à l’ONU, dans un programme intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe ». Nous y reviendrons.Voici quelques exemples parmi les situations ou actions qui paraissent être à risque.
Le premier risque est que les adultes prennent une place de séducteurs, initiateurs de la sexualité. Sur le site « onsexprime.fr » sous tutelle du ministère de la Santé, destiné aux mineurs à partir de la classe de cinquième, donc âgés de 12 ans, quel est l’intérêt de décrire les six positions de pénétration vaginale, dessins ludiques à l’appui, et comment se pratique la sodomie, et pourquoi les acteurs des films pornographiques éjaculent hors du vagin de leur partenaire ? On peut aussi s’étonner de l’absence d’intervention ou de limite posée par les adultes supposés réguler ce site et qui laissent tels quels certains messages: «Lacochonne : « ma premiere fois j’ai baiser pendant 3 heures sans arreter et mon copain a spermer 2 fois je me sentais tellement bien quand il etait en moi et sa fait tellement du bien j’avais de son sperme partout sur moi ». Ou encore : fredo64 : « J aime bander J aime jouir J’aime embrasser J’aime concretiser ». Et lorsqu’un adolescent écrit « quel est le meilleur site porno pour nous donner du plaisir ? », la réponse de l’adulte manager est : « Ca dépend des goûts » : éducation, prévention, ou plutôt complicité ? Il est aussi répondu à un mineur : « La loi ne fixe pas d’âge à partir duquel on a le droit d’avoir des relations sexuelles. C’est quand on se sent prêt et qu’on a envie », réponse ambigüe1. La seule remarque « régulatrice » est effectuée par un adulte sous la forme du commentaire suivant : « Rassurez-moi. Ce site n’est pas payé par nos impôts ? Parce qu’avec 2000 milliards de dette, il y avait peut-être d’autres urgences… ». Ce site est cité en référence dans les manuels Hatier du collège à partir de la 5ème. Et est-il vraiment nécessaire de faire imprimer aux élèves un clitoris en 3D comme c’est décrit sur le site Matilda, considéré comme site partenaire par les ministères concernés ?
Plus encore, sur le site Canopé de la plateforme de l’Education nationale, il est recommandé d’appliquer les Standards européens qui impliquent une éducation à la sexualité débutant de 0 à 4 ans. Dans le programme dédié à cette tranche d’âge, les formateurs doivent expliquer aux enfants ce qu’est « la masturbation infantile précoce ». Et leur proposer de « jouer au docteur ». Et pour les 6-9 ans, leur expliquer ce qu’est l’éjaculation. Et effectivement, dans certaines classes de primaire en France (cf. le document joint « L’histoire d’une dangereuse imposture »), on explique à des élèves ce qu’est la puberté, l’apparition des poils, l’érection, le sperme, l’éjaculation.
On mesure ici le deuxième risque : faire intrusion de manière traumatique dans le rythme de croissance affective des enfants.
Ceci n’est guère étonnant quand on lit dans les Standards qu’il faut donner à l’enfant une explication sur la sexualité avant qu’il soit en âge de poser des questions à ce propos. On peut se demander ce qui pousse des adultes à intervenir ainsi. Tout d’abord, en quoi les idées que les enfants petits peuvent avoir sur la manière dont on fait les bébés (dans l’estomac, par le nombril, etc.) doivent-elles être empêchées ? D’autant qu’on sait que lorsqu’on lui donne une réponse rationnelle quand il pose une question à ce propos-et pas avant, l’enfant continue à garder ses théories qui disparaîtront à leur rythme. Et souvent, la première question que pose un enfant de trois ans est simplement, après avoir croisé une femme enceinte : « maman, est-ce que moi aussi j’étais dans ton ventre ? ». Une réponse positive lui suffit. Pourquoi donc ne pas faire confiance dans les capacités de l’enfant d’évoluer et de modifier progressivement sa manière de penser ?
Surtout, l’ensemble des psychologues cliniciens et pédopsychiatres considèrent que la période qui précède l’adolescence est une période dite « de latence » pendant laquelle, au sortir de sa cinquième ou sixième année, l’enfant a besoin de mettre de côté ses questions concernant ses désirs oedipiens, il éprouve de la pudeur, voire même du dégoût à l’égard de la sexualité, et de tourner sa curiosité vers d’autres champs de connaissance, en particulier la science, la culture. Or c’est exactement l’inverse que proposent les programmes sus-cités.
On ne peut que regretter ici que ces plans aient été manifestement élaborés sans qu’ait été sollicité l’avis de la communauté pédopsychiatrique alors qu’ils se déroulent sous l’égide du ministère de la Santé, ni l’avis de psychologues professeurs de psychopathologie.
A ceux qui ont la flemme de lire voici la vidéo de maurice berger :
et encore celle d'Arian Bilheran.... :
Invité- Invité
Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Merci @tlig pour cet ajout de vidéos!!
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
La sexualité selon l’Education Nationale : un plaisir solitaire ou à plusieurs
[Source : www.infocatho.fr]
L’Education nationale pose de drôles de questions aux enfants et ce, dès la maternelle :
« Au fait la sexualité c’est quoi ? »
Mais à la réflexion, c’est surtout la réponse qui est tout à fait incroyable. Lisez plutôt :
« Un plaisir seul, ou à plusieurs personnes. »
Pour l’Education nationale, le sexe c’est d’abord (et uniquement) du plaisir. Aucune mention n’est faite que la sexualité pourrait (éventuellement ?) être l’expression de l’amour.
Non, c’est un droit. Un droit réduisant de facto le corps de l’homme et de la femme à un objet de consommation. Et ce corps, on peut le consommer tout seul, à deux, à trois ou à cinquante….
Vous me direz que j’exagère. Qu’il n’est pas possible que les enfants se trouvent ainsi en buttes aux idéologies les plus dangereuses, au sein même de l’école. Hélas ! Ceci n’est que la vérité. Et je vous invite à vous rendre sur le site ecoleetsexe.fr pour vous en rendre compte.
Les fondements de cette folie idéologique sont les « standards pour l’éducation sexuelle en Europe » de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), largement repris par le rapport relatif à l’éducation à la sexualité du Haut Conseil de l’Education en juin 2016. Le rapport de l’OMS est le document officiel de référence pour l’éducation sexuelle à l’école sur le site CANOPE (Le réseau de création et d’accompagnement pédagogiques). Il préconise notamment d’informer les enfants dès 4 ans sur la masturbation…
A l’école, du sexe toujours, jamais d’amour…
Les établissements scolaires ont reçu la “stratégie nationale de santé sexuelle 2017-2030” des ministères de la santé et de l’Education Nationale, à l’initiative de Marisol Touraine et Najat Vallaud-Belkacem. Ils comptent déployer cette “stratégie” à la rentrée 2017, de la maternelle au lycée.
Les infirmières scolaires sont en train de réfléchir à sa mise en œuvre. Certaines ont fait part de leur écœurement devant ce déferlement d’éducation au sexe imposé aux élèves. Mais leurs voix sont étouffées par toutes celles qui ne voient pas le problème puisque c’est pour la santé…
La santé physique. Ne pas tomber malade. Ne pas attraper de maladies vénériennes. Pouvoir avorter confortablement. Il n’est jamais question de santé mentale, psychique ou affective.
Un bus CitizenGO pour protéger l’enfance…
CitizenGO a décidé, en collaboration étroite avec d’autres organisations, de sensibiliser les parents aux dangers qu’encourent leurs enfants à la rentrée. Du mardi 19 au dimanche 24 septembre prochain, nous parcourrons, en bus, les routes d’Ile de France pour dire non à l’idéologie à l’école. Pour protéger les enfants.
Nous avons un mois et demi pour faire connaitre cette action dont l’objectif est de demander au nouveau Ministre de l’Education nationale de tirer un trait définitif sur l’idéologie à l’école.
Merci à vous,
Stéphane Duté et toute l’équipe de CitizenGO
Source : http://www.libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/La-sexualite-selon-l-Education-Nationale-un-plaisir-solitaire-ou-a-plusieurs
[Source : www.infocatho.fr]
L’Education nationale pose de drôles de questions aux enfants et ce, dès la maternelle :
« Au fait la sexualité c’est quoi ? »
Mais à la réflexion, c’est surtout la réponse qui est tout à fait incroyable. Lisez plutôt :
« Un plaisir seul, ou à plusieurs personnes. »
Pour l’Education nationale, le sexe c’est d’abord (et uniquement) du plaisir. Aucune mention n’est faite que la sexualité pourrait (éventuellement ?) être l’expression de l’amour.
Non, c’est un droit. Un droit réduisant de facto le corps de l’homme et de la femme à un objet de consommation. Et ce corps, on peut le consommer tout seul, à deux, à trois ou à cinquante….
Vous me direz que j’exagère. Qu’il n’est pas possible que les enfants se trouvent ainsi en buttes aux idéologies les plus dangereuses, au sein même de l’école. Hélas ! Ceci n’est que la vérité. Et je vous invite à vous rendre sur le site ecoleetsexe.fr pour vous en rendre compte.
Les fondements de cette folie idéologique sont les « standards pour l’éducation sexuelle en Europe » de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), largement repris par le rapport relatif à l’éducation à la sexualité du Haut Conseil de l’Education en juin 2016. Le rapport de l’OMS est le document officiel de référence pour l’éducation sexuelle à l’école sur le site CANOPE (Le réseau de création et d’accompagnement pédagogiques). Il préconise notamment d’informer les enfants dès 4 ans sur la masturbation…
A l’école, du sexe toujours, jamais d’amour…
Les établissements scolaires ont reçu la “stratégie nationale de santé sexuelle 2017-2030” des ministères de la santé et de l’Education Nationale, à l’initiative de Marisol Touraine et Najat Vallaud-Belkacem. Ils comptent déployer cette “stratégie” à la rentrée 2017, de la maternelle au lycée.
Les infirmières scolaires sont en train de réfléchir à sa mise en œuvre. Certaines ont fait part de leur écœurement devant ce déferlement d’éducation au sexe imposé aux élèves. Mais leurs voix sont étouffées par toutes celles qui ne voient pas le problème puisque c’est pour la santé…
La santé physique. Ne pas tomber malade. Ne pas attraper de maladies vénériennes. Pouvoir avorter confortablement. Il n’est jamais question de santé mentale, psychique ou affective.
Un bus CitizenGO pour protéger l’enfance…
CitizenGO a décidé, en collaboration étroite avec d’autres organisations, de sensibiliser les parents aux dangers qu’encourent leurs enfants à la rentrée. Du mardi 19 au dimanche 24 septembre prochain, nous parcourrons, en bus, les routes d’Ile de France pour dire non à l’idéologie à l’école. Pour protéger les enfants.
Nous avons un mois et demi pour faire connaitre cette action dont l’objectif est de demander au nouveau Ministre de l’Education nationale de tirer un trait définitif sur l’idéologie à l’école.
Merci à vous,
Stéphane Duté et toute l’équipe de CitizenGO
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Pour se faire une idée du contenu des livres et des enseignements que recommande l'Éducation Nationale, à la sexualité, voyez ces extraits d'une vidéo commentée par Farida Belghoul, de 3:57 (présentation) ou 6:30 (début de la vidéo) à 16:00 ; tout y est, sans oublier la transgression faite à la paternité, que l'on inflige à ces pauvres enfants, toujours sous couvert de pédagogie :
Ci-joint la vidéo complète, cela se passe dans le petit village de Périgueux :
Ci-joint la vidéo complète, cela se passe dans le petit village de Périgueux :
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Ca fait peur d'avoir des enfants avec tout ça ... Il y a 4 ans en arrière quand j'étais encore au Lycée ce n'était pas encore comme ça . Ca se limité a deux intervenants qui parler de savoir comment se protéger lors de rapports sexuels . Comme si ont avaient besoin d'êtres averties . Déjà que des distributeurs de préservatifs étaient présents dans les toilettes pour hommes ...
Mais déjà il était jamais question d'amour , de sentiments amoureux , ni d'attendre de rencontrer la bonne personne . Je me souviens , que quand j'étais au collège je participé à un programme qui était sensé m'aider à remonter mes notes . Ma mère le croyait aussi d'ailleurs , la DP6 : au final on nous faisait faire de la lecture comme a des gamins de CP , déjà que je n'en avais pas besoin ... et même du découpage !!! C'était très rare de travaillé sur une matière , c'était d'ailleurs , moi , le garçon timide qui ne disais jamais rien , qui me suis levé de ma chaise pour demander de travailler sur des matières où j'étais paumé quoi .. La prof m'a répondue ; on vous ferez bien travailler sur des matières , mais vous ne révisez jamais vos cours ! Donc , si on a de mauvaises notes à l'école c'est forcément parce qu'on ne révises pas nos cours ?
Pourquoi je parle de ça ? Parce que durant ces sessions de DP6 ; on nous a fait lire tout un tas de livre inutiles , mais surtout ont c'est attardaient sur le très petit livre : Ni pute ni soumise . Ca parler de témoignages de femmes qui racontaient leurs expériences sexuelles ... La morale là-dedans ? Les femmes sont libres de faire ce qu'elles veulent de leurs corps . Certes , oui . Le problème c'est le sous-entendu . Où est l'éthique dans le libertinage ?
Mais , c'est vrai que quand j'étais encore scolarisé ce n'était pas encore ça . Au collège , les cours d'éducations sexuelles , n'existés pas a proprement parlé . Ca se limiter a un cours de science de la vie et de la terre . Et , c'était très bien comme ça . On parlait seulement du fonctionnement du corps humain . C'était un cours normal , et c'était amplement suffisant . L'éducation sexuelle devrait être initié exclusivement dans le cadre familiale , histoire de ne pas être éduqué ou influencé par n'importe qui !
L'enfant , en grandissant finira de toute manière par comprendre de lui-même . Comme disait ma grand-mère : même l'idiot du village c'est comment on fait ! (sexe) .
Mais déjà il était jamais question d'amour , de sentiments amoureux , ni d'attendre de rencontrer la bonne personne . Je me souviens , que quand j'étais au collège je participé à un programme qui était sensé m'aider à remonter mes notes . Ma mère le croyait aussi d'ailleurs , la DP6 : au final on nous faisait faire de la lecture comme a des gamins de CP , déjà que je n'en avais pas besoin ... et même du découpage !!! C'était très rare de travaillé sur une matière , c'était d'ailleurs , moi , le garçon timide qui ne disais jamais rien , qui me suis levé de ma chaise pour demander de travailler sur des matières où j'étais paumé quoi .. La prof m'a répondue ; on vous ferez bien travailler sur des matières , mais vous ne révisez jamais vos cours ! Donc , si on a de mauvaises notes à l'école c'est forcément parce qu'on ne révises pas nos cours ?
Pourquoi je parle de ça ? Parce que durant ces sessions de DP6 ; on nous a fait lire tout un tas de livre inutiles , mais surtout ont c'est attardaient sur le très petit livre : Ni pute ni soumise . Ca parler de témoignages de femmes qui racontaient leurs expériences sexuelles ... La morale là-dedans ? Les femmes sont libres de faire ce qu'elles veulent de leurs corps . Certes , oui . Le problème c'est le sous-entendu . Où est l'éthique dans le libertinage ?
Mais , c'est vrai que quand j'étais encore scolarisé ce n'était pas encore ça . Au collège , les cours d'éducations sexuelles , n'existés pas a proprement parlé . Ca se limiter a un cours de science de la vie et de la terre . Et , c'était très bien comme ça . On parlait seulement du fonctionnement du corps humain . C'était un cours normal , et c'était amplement suffisant . L'éducation sexuelle devrait être initié exclusivement dans le cadre familiale , histoire de ne pas être éduqué ou influencé par n'importe qui !
L'enfant , en grandissant finira de toute manière par comprendre de lui-même . Comme disait ma grand-mère : même l'idiot du village c'est comment on fait ! (sexe) .
bryanmarkiewicz- J'adore l'Eucharistie
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
LA ROUTE DE LA FIDELITE MARCHE
DE PARIS à LA CHAPELLE DES 7 DORMANTS EN BRETAGNE
A ) Farida Belghoul a reçu Jean-Pierre Aussant sur sa chaîne, dimanche 30 juillet en direct à 21h30.
Ils ont présenté une nouvelle action pour sauver les enfants confrontés au matraquage scolaire des la maternelle sur le plan des droits sexuels et à la sexualité : La Route de la Fidélité.
Pour accéder à la chaîne vidéo de Farida Belghoul --->( ci-dessous )
https://www.youtube.com/channel/UCY9O4wYJYvgFoeWmfhtn-XA
1 ) Départ de la pyramide du Louvre
https://www.youtube.com/watch?v=GOW8U3_kmaI
Diffusé en direct le 4 août 2017
DE PARIS à LA CHAPELLE DES 7 DORMANTS EN BRETAGNE
A ) Farida Belghoul a reçu Jean-Pierre Aussant sur sa chaîne, dimanche 30 juillet en direct à 21h30.
Ils ont présenté une nouvelle action pour sauver les enfants confrontés au matraquage scolaire des la maternelle sur le plan des droits sexuels et à la sexualité : La Route de la Fidélité.
Pour accéder à la chaîne vidéo de Farida Belghoul --->( ci-dessous )
https://www.youtube.com/channel/UCY9O4wYJYvgFoeWmfhtn-XA
1 ) Départ de la pyramide du Louvre
https://www.youtube.com/watch?v=GOW8U3_kmaI
Diffusé en direct le 4 août 2017
Pour participer à la cagnotte, cliquer sur le lien ci-dessous :
https://www.gofundme.com/la-route-de-...
Farida Belghoul et Guillaume Helye quittent la pyramide du Louvre en direction des Sept Dormants de Bretagne.
La Route de la Fidélité démarre.
2 ) La Route de la Fidélité
https://www.youtube.com/watch?v=XiawAprrxv8
Ajoutée le 5 août 2017
Procès politique contre Farida Belghoul, soutenez-la en cliquant sur le lien ci-dessous :
https://www.leetchi.com/c/solidarite-...
La Route de la Fidélité est une action symbolique pour sauver les enfants. Du 4 août au 12 août 2017, Farida Belghoul et Guillaume Helye, un chrétien et une musulmane, partis de la pyramide du Louvre à Paris, ont cheminé sur les routes de France, et se sont rendus au hameau des Sept Saints, situé dans les Côtes d'Armor, en Bretagne.
3 ) Une des Dernières vidéos de la Route de la Fidélité, comme suit :
https://www.youtube.com/watch?v=lblwAaVUFso
Diffusé en direct le 10 août 2017
Procès politique contre Farida Belghoul,
soutenez-la en cliquant sur le lien ci-dessous :
https://www.leetchi.com/c/solidarite-...
le soir du jeudi 10 août 2017 à 21h00, La Route de la Fidélité reçevait Ariane Bilheran, docteur en psychopathologie, auteur de plusieurs ouvrages dont "L'imposture des droits sexuels".
Dernière édition par azais le Sam 19 Aoû 2017 - 12:05, édité 2 fois
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Re-bonjour
Voici, pour faire suite à l'annonce ci dessus de la Marche ( la Route de la Fidelité) ,
Vidéos concernant La Route de La Fidélité ....dite ( où redite, La Route de la Gloire ??!! ), diffusée sur Rutube, et ayant eu, à ce jour une audience oscillant de 3 à 10 vues ....
https://rutube.ru/video/9390fd325f36341bff81966c969204ea/
#2 LA ROUTE DE LA GLOIRE
https://rutube.ru/video/193ffab2553e9c0c3d33c7328a6ac8e9/
#3 LA ROUTE DE LA GLOIRE
https://rutube.ru/video/40609acbc9e2bab015b5b9d805b01703/
#4 LA ROUTE DE LA GLOIRE
https://rutube.ru/video/9de0863e6bf943bb766befecd50db460/
#5 LA ROUTE DE LA GLOIRE
https://rutube.ru/video/445bc2e4b18b2645ae80f7d9f4861573/
#6 LA ROUTE DE LA GLOIRE
https://rutube.ru/video/92db39204619a03940ffd2c8775daebc/
( suite d'échanges entre farida et jp aussan)
Voici, pour faire suite à l'annonce ci dessus de la Marche ( la Route de la Fidelité) ,
une série de 6 Vidéos d'une durée chacunes d'env. 15'.
Vidéos concernant La Route de La Fidélité ....dite ( où redite, La Route de la Gloire ??!! ), diffusée sur Rutube, et ayant eu, à ce jour une audience oscillant de 3 à 10 vues ....
Bonne réception et éventuel visionnage.
(Farida Belghoul et GUILLAUME HELYE)
#1 LA ROUTE DE LA GLOIREhttps://rutube.ru/video/9390fd325f36341bff81966c969204ea/
#2 LA ROUTE DE LA GLOIRE
https://rutube.ru/video/193ffab2553e9c0c3d33c7328a6ac8e9/
#3 LA ROUTE DE LA GLOIRE
https://rutube.ru/video/40609acbc9e2bab015b5b9d805b01703/
#4 LA ROUTE DE LA GLOIRE
https://rutube.ru/video/9de0863e6bf943bb766befecd50db460/
#5 LA ROUTE DE LA GLOIRE
https://rutube.ru/video/445bc2e4b18b2645ae80f7d9f4861573/
#6 LA ROUTE DE LA GLOIRE
https://rutube.ru/video/92db39204619a03940ffd2c8775daebc/
( suite d'échanges entre farida et jp aussan)
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Le jouet éducatif transgenre, qui permet à l'enfant de "questionner son identité de genre" et, par empathie, de s'identifier à un enfant transgenre. Dans quel but affiché ? Cesser la "transphobie" (encore un nouveau mot !) avant qu'elle ne commence.
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
réagissons et faisons porter la vigilance maximum par les parents sur ce qui peut arriver a leurs petits enfants : et l'occasion de dialoguer a ce sujet avec leurs puber et adolescents ( les ainés peuvent aussi aider ! )
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Tout ça est bien dit, le problème est que les églises sont vides et ce forum aussi. Ça ne sert donc à rien et ça passera sans problème, les médias n'informant que trop peu.
Marmhonie- Avec Saint Benoit
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Marmhonie a écrit:Tout ça est bien dit, le problème est que les églises sont vides et ce forum aussi. Ça ne sert donc à rien et ça passera sans problème, les médias n'informant que trop peu.
Bon, Marmhonie je ne vais pas être tendre cela fait plusieurs fois que vous venez ici pour critiquer ce forum,(et problèmes avec vous sur d'autres sujets, vous avez été à deux doigts d'être banni) ce que je vous conseille vivement c'est de rester sur " votre" forum qui à l'inverse de celui ci est très creux et sans intérêt(143 membres), d'autre part, sachez que nous sommes en vacances et que les membres et médiateurs sont en vacances également!!
A savoir aussi que vous êtes fiché à la médiation!!
J'espère que pour la énième fois vous m'aurez compris
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
vous n'allez pas souvent à l'Eglise me semble t ilMarmhonie a écrit:Tout ça est bien dit, le problème est que les églises sont vides et ce forum aussi. Ça ne sert donc à rien et ça passera sans problème, les médias n'informant que trop peu.
dans ma ville en semaine une quarantaine de messes par jour en semaine et les eglises sont presque à quart ou moitié pleines ..... le dimanche une centaine et là c'est bondé de bondé
Où habitez vous ? Vous n'avez probablement pas la même chance que moi ...
et je suis passé à Lourdes deux fois cette année : rrooo c'était pas Le Mecque mais la Bonne m7re et les confessionnals étaient bourrés : pas de chomage je vous le promets
Et vous depuis combien de temps vous ne vous êtes pas confessé ( reçu le sacrement de l'absolution ) ? Parce que c'est un drolement super sacrement celui là on en ressort completement transformé par Jésus , si si je vous promets !
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Conférence récente (juin 2017) de François Billot Lochner et Marion Sigaut.
L'incitation à la débauche, partout promue (sites internet, publicités, films, médias..) jusque dans l'Éducation nationale ; François de Lochner analyse les formes et conséquences "au-delà du dramatique" de cet endoctrinement. Et quelques actions de résistance, dont celle remarquable de Vladimir Poutine, un des seuls dirigeants, sinon le seul, à se donner pour objectif de retrouver les racines chrétiennes de son pays.
Marion Sigaut (partie 2) rappelle qui est Kinsey, et parle de l'appel du pédopsychiatre Maurice Berger (relayé sur ce Fil, avec une pétition contre le projet de généralisation du programme d'éducation à la sexualité, dès cette rentrée 2017, donc maintenant !!)
Bonne nouvelle : elle affirme que les jeunes eux-mêmes sont écœurés par ce matraquage obscène que leur impose l'école : "si c'était pas obligatoire, personne n'irait" dit une jeune fille.
Quelles sont les portes qui restent aux parents pour protéger leurs enfants ? Elles sont étroites mais Marion Sigaut montre que nous avons des outils, et notamment l'importante action et pétition (ci-dessous) de Maurice Berger et des courageux signataires avec lui, et qu'il faut se battre !!
"Nous, professionnels de la psychologie et de la psychiatrie, du psychotraumatisme et de l’enfance, dénonçons les risques de « l’éducation sexuelle » et des « droits sexuels » mettant en danger les enfants, sous couvert d’idéaux de « prévention » et « d’égalité ».
De fait, les plans gouvernementaux français sur « l’éducation à la sexualité », prenant source dans des textes internationaux portés par l’OMS, le planning familial et l’ONU, dont nous critiquons la dangerosité pour les enfants, sont en cours d’application dès la maternelle en France.
Ce site internet a été développé pour alerter, informer, donner un lieu d’expression et d’échange aux professionnels et être facteur de ressources documentaires.
Nous revendiquons, au regard des risques inhérents à de tels programmes, que soit entendu et pris en compte l’avis des professionnels spécialisés dans la psychologie, tout particulièrement de l’enfant et du psychotraumatisme.
Une pétition intitulée « Stop à la dangereuse imposture des « droits sexuels » et de « l’éducation sexuelle » a été créée. (1)
Dr Berger, pédopsychiatre, ex-professeur associé de psychopathologie de l’enfant à l’Université Lyon 2"
Source : https://aphadolie.com/2017/07/02/le-dr-maurice-berger-lanceur-dalerte-pedopsychiatre-tire-la-sonnette-dalarme-concernant-leducation-sexuelle-a-lecole/
L'incitation à la débauche, partout promue (sites internet, publicités, films, médias..) jusque dans l'Éducation nationale ; François de Lochner analyse les formes et conséquences "au-delà du dramatique" de cet endoctrinement. Et quelques actions de résistance, dont celle remarquable de Vladimir Poutine, un des seuls dirigeants, sinon le seul, à se donner pour objectif de retrouver les racines chrétiennes de son pays.
Marion Sigaut (partie 2) rappelle qui est Kinsey, et parle de l'appel du pédopsychiatre Maurice Berger (relayé sur ce Fil, avec une pétition contre le projet de généralisation du programme d'éducation à la sexualité, dès cette rentrée 2017, donc maintenant !!)
Bonne nouvelle : elle affirme que les jeunes eux-mêmes sont écœurés par ce matraquage obscène que leur impose l'école : "si c'était pas obligatoire, personne n'irait" dit une jeune fille.
Quelles sont les portes qui restent aux parents pour protéger leurs enfants ? Elles sont étroites mais Marion Sigaut montre que nous avons des outils, et notamment l'importante action et pétition (ci-dessous) de Maurice Berger et des courageux signataires avec lui, et qu'il faut se battre !!
"Nous, professionnels de la psychologie et de la psychiatrie, du psychotraumatisme et de l’enfance, dénonçons les risques de « l’éducation sexuelle » et des « droits sexuels » mettant en danger les enfants, sous couvert d’idéaux de « prévention » et « d’égalité ».
De fait, les plans gouvernementaux français sur « l’éducation à la sexualité », prenant source dans des textes internationaux portés par l’OMS, le planning familial et l’ONU, dont nous critiquons la dangerosité pour les enfants, sont en cours d’application dès la maternelle en France.
Ce site internet a été développé pour alerter, informer, donner un lieu d’expression et d’échange aux professionnels et être facteur de ressources documentaires.
Nous revendiquons, au regard des risques inhérents à de tels programmes, que soit entendu et pris en compte l’avis des professionnels spécialisés dans la psychologie, tout particulièrement de l’enfant et du psychotraumatisme.
Une pétition intitulée « Stop à la dangereuse imposture des « droits sexuels » et de « l’éducation sexuelle » a été créée. (1)
Dr Berger, pédopsychiatre, ex-professeur associé de psychopathologie de l’enfant à l’Université Lyon 2"
Source : https://aphadolie.com/2017/07/02/le-dr-maurice-berger-lanceur-dalerte-pedopsychiatre-tire-la-sonnette-dalarme-concernant-leducation-sexuelle-a-lecole/
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
Merci pour ce rappelIsabelle-Marie a écrit:Conférence récente (juin 2017) de François Billot Lochner et Marion Sigaut.
L'incitation à la débauche, partout promue (sites internet, publicités, films, médias..) jusque dans l'Éducation nationale ; François de Lochner analyse les formes et conséquences "au-delà du dramatique" de cet endoctrinement. Et quelques actions de résistance, dont celle remarquable de Vladimir Poutine, un des seuls dirigeants, sinon le seul, à se donner pour objectif de retrouver les racines chrétiennes de son pays.
Marion Sigaut (partie 2) rappelle qui est Kinsey, et parle de l'appel du pédopsychiatre Maurice Berger (relayé sur ce Fil, avec une pétition contre le projet de généralisation du programme d'éducation à la sexualité, dès cette rentrée 2017, donc maintenant !!)
Bonne nouvelle : elle affirme que les jeunes eux-mêmes sont écœurés par ce matraquage obscène que leur impose l'école : "si c'était pas obligatoire, personne n'irait" dit une jeune fille.
Quelles sont les portes qui restent aux parents pour protéger leurs enfants ? Elles sont étroites mais Marion Sigaut montre que nous avons des outils, et notamment l'importante action et pétition (ci-dessous) de Maurice Berger et des courageux signataires avec lui, et qu'il faut se battre !!
"Nous, professionnels de la psychologie et de la psychiatrie, du psychotraumatisme et de l’enfance, dénonçons les risques de « l’éducation sexuelle » et des « droits sexuels » mettant en danger les enfants, sous couvert d’idéaux de « prévention » et « d’égalité ».
De fait, les plans gouvernementaux français sur « l’éducation à la sexualité », prenant source dans des textes internationaux portés par l’OMS, le planning familial et l’ONU, dont nous critiquons la dangerosité pour les enfants, sont en cours d’application dès la maternelle en France.
Ce site internet a été développé pour alerter, informer, donner un lieu d’expression et d’échange aux professionnels et être facteur de ressources documentaires.
Nous revendiquons, au regard des risques inhérents à de tels programmes, que soit entendu et pris en compte l’avis des professionnels spécialisés dans la psychologie, tout particulièrement de l’enfant et du psychotraumatisme.
Une pétition intitulée « Stop à la dangereuse imposture des « droits sexuels » et de « l’éducation sexuelle » a été créée. (1)
Dr Berger, pédopsychiatre, ex-professeur associé de psychopathologie de l’enfant à l’Université Lyon 2"
Source : https://aphadolie.com/2017/07/02/le-dr-maurice-berger-lanceur-dalerte-pedopsychiatre-tire-la-sonnette-dalarme-concernant-leducation-sexuelle-a-lecole/
voici le lien de la petition signalée dans ce post : soyons nombreux à la signer et à le diffuser à nos carnets d'adresses !
c'est une veritable guerre qui est engagée :
prière OUI
et action/ reaction OUI
(1) Pétition : http://petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx?pi=P2017N49527
azais- MEDIATEUR
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
La laïcité un espace neutre ?
Farida Belghoul explique très bien qu'avec un ministre comme Vincent Peillon, en 2014, il est devenu clair qu'elle est bel et bien une religion, plutôt une contre-religion qui prétend prendre le contre-pied systématique (au nom de la fameuse triade liberté, égalité, fraternité) de tout ce qui l'a précédée, c'est à dire la culture et tradition judéo-chrétienne tant abhorrée.
Cela s'appelle déconstruction des mythes, et dans l'ordre de la sexualité, des stéréotypes de genre : voilà le lien avec la théorie du gender qui soi-disant n'existe pas et n'est pas enseignée dans les écoles.
Donc la croyance en l'existence de Dieu, en un ordre naturel, une loi naturelle morale seraient autant de mythes à déconstruire, inventés par certains hommes, macho, blancs, dominateurs, etc selon la doxa marxiste-féministe, pour entraver la liberté toute-puissante des individus.
Cette histoire est vieille comme la Genèse (Gn 3 "devenir comme Dieu") : un certain serpent suggérait déjà la même chose.
Il est assez remarquable que ce soit une femme musulmane qui le dénonce avec force et un immense courage !
Farida Belghoul explique très bien qu'avec un ministre comme Vincent Peillon, en 2014, il est devenu clair qu'elle est bel et bien une religion, plutôt une contre-religion qui prétend prendre le contre-pied systématique (au nom de la fameuse triade liberté, égalité, fraternité) de tout ce qui l'a précédée, c'est à dire la culture et tradition judéo-chrétienne tant abhorrée.
Cela s'appelle déconstruction des mythes, et dans l'ordre de la sexualité, des stéréotypes de genre : voilà le lien avec la théorie du gender qui soi-disant n'existe pas et n'est pas enseignée dans les écoles.
Donc la croyance en l'existence de Dieu, en un ordre naturel, une loi naturelle morale seraient autant de mythes à déconstruire, inventés par certains hommes, macho, blancs, dominateurs, etc selon la doxa marxiste-féministe, pour entraver la liberté toute-puissante des individus.
Cette histoire est vieille comme la Genèse (Gn 3 "devenir comme Dieu") : un certain serpent suggérait déjà la même chose.
Il est assez remarquable que ce soit une femme musulmane qui le dénonce avec force et un immense courage !
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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Re: Alerte Programme D'éducation à la Sexualité!!
L'enfant sexualisé dès la naissance : le rêve de Kinsley devenu réalité.
De nouveau, Ariane Bilheran nous parle de "l'ampleur de ce qui est mis en place à notre insu" par les idéologues du Planning familial, et qui maintenant s'impose aux Etats et aux familles ; et au nom du tout-puissant droit sexuel, dénie à l'enfant son statut d'enfant (la notion de "mineur" disparue purement et simplement), aux parents leur statut de parents libres de choisir le genre d'éducation, de principes moraux, religieux, qu'ils veulent donner à leurs enfants.
L'éducation à la sexualité obligatoire, dès la naissance ! comprise comme un volet seulement d'un système qui comprend aussi tout ce qui concerne les droits reproductifs : le trafic, la vente et l'achat de bébés, etc. Est-ce cela la société que nous voulons ?
Un appel très fort à la responsabilité et au réveil des français.
Saluons l'immense travail, de lecture et de décryptage de ces textes, qu'elle a fourni pour nous permettre de prendre la mesure du danger. Nous sommes maintenant à un point de non retour. A nous de choisir.
De nouveau, Ariane Bilheran nous parle de "l'ampleur de ce qui est mis en place à notre insu" par les idéologues du Planning familial, et qui maintenant s'impose aux Etats et aux familles ; et au nom du tout-puissant droit sexuel, dénie à l'enfant son statut d'enfant (la notion de "mineur" disparue purement et simplement), aux parents leur statut de parents libres de choisir le genre d'éducation, de principes moraux, religieux, qu'ils veulent donner à leurs enfants.
L'éducation à la sexualité obligatoire, dès la naissance ! comprise comme un volet seulement d'un système qui comprend aussi tout ce qui concerne les droits reproductifs : le trafic, la vente et l'achat de bébés, etc. Est-ce cela la société que nous voulons ?
Un appel très fort à la responsabilité et au réveil des français.
Saluons l'immense travail, de lecture et de décryptage de ces textes, qu'elle a fourni pour nous permettre de prendre la mesure du danger. Nous sommes maintenant à un point de non retour. A nous de choisir.
Isabelle-Marie- CONSEILLER DU PEUPLE DE LA PAIX
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