Jeudi 4 Aôut : Fête de Saint Jean-Marie Vianney, (le Saint Curé d'Ars)
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Aujourd'hui Saint Jean-Marie Vianney curé d'Ars
Le " patron " de tous les prêtres d'hier ,d'aujourd'hui et demain
Saint Jean -Marie Vianney curé d'Ars
" Qu'il est beau, qu'il est grand de connaître, d'aimer et de servir Dieu, nous n'avons que cela à faire en ce monde. Tout ce que nous faisons en dehors de cela est du temps perdu ".
"On a dit de plus d'un personnage, de plus d'un Saint, qu'ils furent les prodiges de leur siècle. Ceci n'est peut-être vrai de personne autant que du curé d'Ars (Ain). Cet homme si humble vit, pendant une trentaine d'années, tout l'univers, pour ainsi dire, attentif à ses vertus et à sa gloire, et tout le monde chrétien à ses pieds; il est assurément l'une des merveilles de la sainteté et de l'apostolat.
Né à Dardilly, non loin de Lyon, trois ans avant la Révolution française, de simples cultivateurs profondément chrétiens, il fut d'abord berger et occupé aux travaux des champs. Dès ses premières années, il se distingua par sa candeur, sa piété, son amour pour la Sainte Vierge, et sa charité pour les pauvres.
Il parvint au sacerdoce grâce à sa piété plus qu'à ses talents. Mais que d’obstacles à sa vocation sacerdotale ! Son père d’abord, qui avait trop besoin de bras pour la ferme familiale, la conscription dans les armées napoléoniennes, et jusqu’à l’examen final d’admission au sacerdoce : Jean-Marie Vianney ne parvenait pas à comprendre les questions, posées en latin. Mais la divine Marie veillait. Monsieur Courbon, premier grand vicaire du diocèse de Lyon à qui revenait la décision demanda simplement : « L’abbé Vianney est-il pieux ? A-t-il de la dévotion à la Sainte Vierge ? Sait-il dire son chapelet ?
– Oui, c’est un modèle de piété !
– Un modèle de piété ! Eh bien, je l’appelle ! La grâce de Dieu fera le reste ! »
Ainsi fut ordonné prêtre, en 1815, celui qui quelques années après, sera connu dans toute la France sous le nom de Curé d’Ars et qui fut l’apôtre ardent de l’Immaculée Conception dont il cachait jalousement les apparitions. Mais le saint Curé d’Ars voyait aussi Notre-Seigneur. Sous quels traits ? Il ne le révéla jamais, ni aucune des grâces extraordinaires dont il a bénéficié.
Après quelques années de vicariat, il fut appelé à la cure d'Ars, et, en apercevant le clocher de sa paroisse, il se mit à genoux pour prier Dieu et lui recommander son ministère. Son premier soin fut de visiter ses paroissiens; il les eut vite conquis par sa vertu, et l'on vit succéder aux abus de toutes sortes et à l'indifférence, grâce à son zèle, un esprit profondément chrétien, une parfaite observance du dimanche: la paroisse, sous l'impulsion d'un Saint, était devenue une communauté religieuse.
Bientôt, des pays voisins, on accourut pour l'entendre, pour se confesser à lui et obtenir des miracles, qu'il attribuait à sainte Philomène, dont le culte tout nouveau croissait chaque jour en popularité; aussi l'appelait-il sa "chère petite Sainte".
Dix ans plus tard, la réputation du saint curé s'était étendue au-delà de la France, et l'on ne tarda pas à venir de plus loin; la paroisse d'Ars, jadis inconnue et solitaire, était devenue un centre d'attraction universelle; aux personnes pieuses se joignaient des impies, des incrédules, des débauchés; les conversions se multipliaient par milliers. Il passait régulièrement jusqu'à seize et dix-huit heures par jour au confessionnal, et le reste du temps en prédications, catéchisme et prières.
La nuit le démon lançait des assauts contre lui. Quand son lit prit feu, une nuit : "Le démon n'a pas pu brûler l'oiseau, il n'a brûlé que la cage" dit-il.
Un jour une personne corpulente lui dit : "Quand vous irez au Ciel, je tâcherai de m'accrocher à votre soutane", et le Curé d'Ars, qui n'avait que la peau sur les os à force de toujours tout donner et de refuser la nourriture un peu reconstituante que ses paroissiennes essayaient de lui prodiguer, de répondre : "Gardez-vous-en bien ! L'entrée du Ciel est étroite, et nous resterions tous deux à la porte".
Il reçut la visite de Lacordaire : "La plus célèbre visite qu'ait reçue le curé d'Ars est sans doute celle du père Lacordaire. Venant à Lyon en simple pèlerin, l'illustre dominicain arrive incognito dans une modeste voiture. Or, sous les plis de son manteau noir, quelqu'un aperçoit une robe blanche, et très vite les pèlerins d'Ars apprennent qui est le visiteur. Remous profond. Le lendemain, on voit le père Lacordaire écouter dans un humble recueillement le sermon du curé(...) Il ne le quitte qu'avec déchirement et va même, s'agenouillant devant lui, jusqu'à lui demander sa bénédiction. Après quoi, J.M.Vianney le prie de le bénir à son tour : et c'est bien une scène étrange et pathétique, éclairée d'un jour du Moyen-Âge, digne de saint François d'Assise et de saint Dominique". (Michel de Saint-Pierre, La vie prodigieuse du curé d'Ars).
On rapporte plusieurs faits extraordinaires. Par exemple son intuition des faits psychologiques ou des pensées d'autrui, ses moments de lévitation etc.
En 1929, il a été déclaré "patron de tous les curés de l'univers" par Pie XI.
Le 8 décembre 2008, Benoît XVI ouvrit une année jubilaire 2009 pour le 150e anniversaire de saint Jean-Marie Vianney", "année sacerdotale", "pour favoriser cette tension des prêtres vers la perfection spirituelle dont dépend surtout l'efficacité de leur ministère.
Avec ce thème : "Fidélité du Christ, fidélité du prêtre". Durant toute l'Année sacerdotale, les reliques du saint-curé furent exposées dans la Basilique vaticane, amenées par Mgr. Guy Bagnard, Evêque Belley- Ars.
Saint Jean -Marie Vianney curé d'Ars
" Qu'il est beau, qu'il est grand de connaître, d'aimer et de servir Dieu, nous n'avons que cela à faire en ce monde. Tout ce que nous faisons en dehors de cela est du temps perdu ".
"On a dit de plus d'un personnage, de plus d'un Saint, qu'ils furent les prodiges de leur siècle. Ceci n'est peut-être vrai de personne autant que du curé d'Ars (Ain). Cet homme si humble vit, pendant une trentaine d'années, tout l'univers, pour ainsi dire, attentif à ses vertus et à sa gloire, et tout le monde chrétien à ses pieds; il est assurément l'une des merveilles de la sainteté et de l'apostolat.
Né à Dardilly, non loin de Lyon, trois ans avant la Révolution française, de simples cultivateurs profondément chrétiens, il fut d'abord berger et occupé aux travaux des champs. Dès ses premières années, il se distingua par sa candeur, sa piété, son amour pour la Sainte Vierge, et sa charité pour les pauvres.
Il parvint au sacerdoce grâce à sa piété plus qu'à ses talents. Mais que d’obstacles à sa vocation sacerdotale ! Son père d’abord, qui avait trop besoin de bras pour la ferme familiale, la conscription dans les armées napoléoniennes, et jusqu’à l’examen final d’admission au sacerdoce : Jean-Marie Vianney ne parvenait pas à comprendre les questions, posées en latin. Mais la divine Marie veillait. Monsieur Courbon, premier grand vicaire du diocèse de Lyon à qui revenait la décision demanda simplement : « L’abbé Vianney est-il pieux ? A-t-il de la dévotion à la Sainte Vierge ? Sait-il dire son chapelet ?
– Oui, c’est un modèle de piété !
– Un modèle de piété ! Eh bien, je l’appelle ! La grâce de Dieu fera le reste ! »
Ainsi fut ordonné prêtre, en 1815, celui qui quelques années après, sera connu dans toute la France sous le nom de Curé d’Ars et qui fut l’apôtre ardent de l’Immaculée Conception dont il cachait jalousement les apparitions. Mais le saint Curé d’Ars voyait aussi Notre-Seigneur. Sous quels traits ? Il ne le révéla jamais, ni aucune des grâces extraordinaires dont il a bénéficié.
Après quelques années de vicariat, il fut appelé à la cure d'Ars, et, en apercevant le clocher de sa paroisse, il se mit à genoux pour prier Dieu et lui recommander son ministère. Son premier soin fut de visiter ses paroissiens; il les eut vite conquis par sa vertu, et l'on vit succéder aux abus de toutes sortes et à l'indifférence, grâce à son zèle, un esprit profondément chrétien, une parfaite observance du dimanche: la paroisse, sous l'impulsion d'un Saint, était devenue une communauté religieuse.
Bientôt, des pays voisins, on accourut pour l'entendre, pour se confesser à lui et obtenir des miracles, qu'il attribuait à sainte Philomène, dont le culte tout nouveau croissait chaque jour en popularité; aussi l'appelait-il sa "chère petite Sainte".
Dix ans plus tard, la réputation du saint curé s'était étendue au-delà de la France, et l'on ne tarda pas à venir de plus loin; la paroisse d'Ars, jadis inconnue et solitaire, était devenue un centre d'attraction universelle; aux personnes pieuses se joignaient des impies, des incrédules, des débauchés; les conversions se multipliaient par milliers. Il passait régulièrement jusqu'à seize et dix-huit heures par jour au confessionnal, et le reste du temps en prédications, catéchisme et prières.
La nuit le démon lançait des assauts contre lui. Quand son lit prit feu, une nuit : "Le démon n'a pas pu brûler l'oiseau, il n'a brûlé que la cage" dit-il.
Un jour une personne corpulente lui dit : "Quand vous irez au Ciel, je tâcherai de m'accrocher à votre soutane", et le Curé d'Ars, qui n'avait que la peau sur les os à force de toujours tout donner et de refuser la nourriture un peu reconstituante que ses paroissiennes essayaient de lui prodiguer, de répondre : "Gardez-vous-en bien ! L'entrée du Ciel est étroite, et nous resterions tous deux à la porte".
Il reçut la visite de Lacordaire : "La plus célèbre visite qu'ait reçue le curé d'Ars est sans doute celle du père Lacordaire. Venant à Lyon en simple pèlerin, l'illustre dominicain arrive incognito dans une modeste voiture. Or, sous les plis de son manteau noir, quelqu'un aperçoit une robe blanche, et très vite les pèlerins d'Ars apprennent qui est le visiteur. Remous profond. Le lendemain, on voit le père Lacordaire écouter dans un humble recueillement le sermon du curé(...) Il ne le quitte qu'avec déchirement et va même, s'agenouillant devant lui, jusqu'à lui demander sa bénédiction. Après quoi, J.M.Vianney le prie de le bénir à son tour : et c'est bien une scène étrange et pathétique, éclairée d'un jour du Moyen-Âge, digne de saint François d'Assise et de saint Dominique". (Michel de Saint-Pierre, La vie prodigieuse du curé d'Ars).
On rapporte plusieurs faits extraordinaires. Par exemple son intuition des faits psychologiques ou des pensées d'autrui, ses moments de lévitation etc.
En 1929, il a été déclaré "patron de tous les curés de l'univers" par Pie XI.
Le 8 décembre 2008, Benoît XVI ouvrit une année jubilaire 2009 pour le 150e anniversaire de saint Jean-Marie Vianney", "année sacerdotale", "pour favoriser cette tension des prêtres vers la perfection spirituelle dont dépend surtout l'efficacité de leur ministère.
Avec ce thème : "Fidélité du Christ, fidélité du prêtre". Durant toute l'Année sacerdotale, les reliques du saint-curé furent exposées dans la Basilique vaticane, amenées par Mgr. Guy Bagnard, Evêque Belley- Ars.
Zamie- Enfant de Dieu
- Messages : 3233
Localisation : Sud -Ouest France
Inscription : 19/05/2016
Jeudi 4 Aôut : Fête de Saint Jean-Marie Vianney, (le Saint Curé d'Ars)
Chers frères et soeurs , aujourd'hui c'est la fête de Saint Jean-Marie Vianney, un Saint que j’apprécie tout particulièrement
Souhaitons-lui une bonne fête
https://myriamir.wordpress.com/2016/08/04/saint-jean-marie-vianneycure-dars-patron-des-cures-du-monde-fete-le-4-aoutil-a-souvent-fait-lexperience-de-la-rencontre-avec-satan-voici-quelques-anecdotes/
Saint Jean-Marie Vianney,(Curé D’Ars) patron des curés du monde, fête le 4 août*Il a souvent fait l’expérience de la rencontre avec Satan..voici quelques anecdotes..*
On le dit victime de diableries et on lui attribue des miracles. Un nuit, alors que son lit prit feu, il s’exclama « le démon n’a pas pu brûler l’oiseau ! Il n’a brûlé que la cage ! ».
Le Curé d’Ars a souvent fait l’expérience de la rencontre avec Satan. Une nuit, son lit a commencé à bouger. Il a levé les yeux et il a vu une image terrifiante de Satan. Au lieu de pousser un cri d’effroi, il a dit simplement, « Ah, c’est vous », puis s’est retourné et s’est endormi.
Une telle force, une telle assurance dans le fait que Jésus-Christ a vaincu Satan et que sa mort a gagné notre salut est signe de sainteté.
Il avait aussi la réputation de ne pas dormir « On apercevait sa fenêtre presque constamment éclairée » raconte un témoin.
En 1823, le curé d’Ars commença à entendre des bruits anormaux dans le presbytère. Vers une heure du matin, on secouait avec violence la poignée de la porte, et on entendait des coups de massue frappés sur cette même porte. Un témoin, André Verchère, vint dormir une nuit au presbytère pour monter la garde. Effrayé, il ne reviendra plus. Cela durera 25 ans.
Des enfants venaient par curiosité rôder autour du presbytère la nuit. Ils entendirent à plusieurs reprises crier ‘’Vianney ! Vianney !’’
Et cela que le curé soit au presbytère ou non.
lucifer
En 1826, lors d’une mission, le curé d’Ars logea dans un presbytère avec plusieurs autres ecclésiastes. Une nuit, on entendit un grand bruit, la cure trembla, on accourut à la chambre du curé. On le retrouva dans son lit, au milieu de la chambre.
Le curé d’Ars déclara que c’était le diable qui avait déplacé le lit.
Le curé d’Ars était persuadé que ces phénomènes venaient du diable, qu’il surnommait ‘’Le grappin’’.
En 1828 et 1830, à deux reprises, le même miracle au lieu. Le meunier mettait cent boisseaux de son blé au grenier du presbytère, comme chaque mois, qui devait servir pour ‘’La Providence’’.
Le père Mandy gardait les clés du grenier, il alla voir le curé d’Ars pour lui dire qu’il n’y avait plus rien.
Le curé ne lui répondit rien, et quand le père retourna au grenier, il le trouva plein. Les directrices de la Providence attestent avoir réalisées de grandes fournées de pain avec une quantité de farine tout à fait insuffisante.
Le curé d’Ars ne parlait de ses visions que très rarement et à demi mot.
Toutefois il racontera à l’abbé Tailhades : « le bon Dieu me faisait des grâces extraordinaires. Au Saint Autel, j’avais les consolations les plus singulières. Je voyais le Bon Dieu, je ne vous dirai pas que ce fût d’une manière sensible, mais le Bon Dieu me faisait bien des grâces. »
Une dame avait perdu son mari, homme irréligieux, qui avait fini sa vie par le suicide. Inconsolable sur son sort, qu’elle croyait être la damnation éternelle, elle fut amenée par hasard à Ars et chercha à rencontrer le saint Curé pour l’interroger sur le malheureux défunt.
Elle réussit à l’approcher et, avant même qu’elle eût pu lui dire un mot, le saint lui murmura à l’oreille : « Il est sauvé… Oui, il est sauvé », insista-t-il. La pauvre femme fit un geste de la tête qui voulait dire : Oh ! Ce n’est pas possible.
Alors, d’un ton affirmatif encore :
« Je vous dis qu’il est sauvé, qu’il est en purgatoire et qu’il faut prier pour lui… Entre le parapet du pont et l’eau il a eu le temps de faire un acte de repentir. C’est la très Sainte Vierge qui a obtenu sa grâce. Rappelez-vous le mois de Marie élevé dans votre chambre. Votre époux irréligieux ne s’y est point opposé ; il s’est même parfois uni à votre prière… Cela lui a mérité un suprême pardon. »
De nombreux pèlerins attestent de son don de clairvoyance. Un pénitent pouvait être tellement persuadé de ce don qu’il se fiait à l’intuition du curé d’Ars plutôt qu’à ses propres souvenirs : « et voilà que tout à coup il se mit à me questionner sur tel ou tel point, toujours sur des fautes ignorées de moi ou oubliées ; si bien qu’à la fin, lors même que le souvenir ne m’en revenait pas aussitôt, je n’osais pas nier, assurée qu’il ne s’était pas trompé. »
Très rapidement, sa réputation de confesseur lui attira de nombreux pèlerins venant chercher auprès de lui le pardon de Dieu et la paix du cœur.
Ce mouvement de pèlerinage s’intensifia.
Le Saint Curé D’Ars disait pour parler
de la Miséricorde de Dieu dans la Confession…Ceci:
« Notre-Seigneur est comme une mère qui porte son enfant sur ses bras.
Ce petit est méchant; il donne des coups de pied à sa mère, il l’égratigne; mais elle n’y fait seulement pas attention ; elle sait que, si elle le lâche, il tombera.
Ainsi Notre-Seigneur endure tout ; il supporte toutes nos arrogances; il pardonne toutes nos sottises; il a pitié de nous malgré nous… Et il aura plutôt pardonné au pécheur repentant qu’une mère n’aura retiré son enfant du feu. »
« Il y en a qui disent ‘’J’ai trop fait de mal, le Bon Dieu ne peut pas me pardonner’’. C’est un gros blasphème. C’est mettre une borne à la miséricorde de Dieu, et elle n’en a point : elle est infinie. »
« Quand le prêtre donne l’absolution, il ne faut penser qu’à une chose ; c’est que le sang du Bon Dieu coule sur notre âme pour la laver, la purifier et la rendre aussi belle qu’elle était après le baptême. »
« Ne dites pas que vous n’en êtes pas digne. C’est vrai : vous n’en êtes pas digne, mais vous en avez besoin. »
«La prière n’est pas autre chose qu’une union avec Dieu. La prière est une douce amitié, une familiarité étonnante… C’est un doux entretien d’un enfant avec son Père. Plus on prie, plus on veut prier. » .
«Le Père se plaît à regarder le cœur de la très Sainte Vierge Marie comme le chef-d’œuvre de ses mains. »
« Jésus Christ , après nous avoir donné tout ce qu’il pouvait nous donner, veut encore nous faire hériter de ce qu’il a de plus précieux, c’est-à-dire sa Sainte Mère. »
«La Sainte Vierge nous a engendré deux fois, dans l’Incarnation et au pied de la Croix : elle est donc deux fois notre Mère. Je pense qu’à la fin du monde, la Sainte Vierge sera bien tranquille, mais tant que le monde dure, on la tire de tous côtés…»
PRIONS POUR TOUS LES PRÊTRES DU MONDE ENTIER
Souhaitons-lui une bonne fête
https://myriamir.wordpress.com/2016/08/04/saint-jean-marie-vianneycure-dars-patron-des-cures-du-monde-fete-le-4-aoutil-a-souvent-fait-lexperience-de-la-rencontre-avec-satan-voici-quelques-anecdotes/
Saint Jean-Marie Vianney,(Curé D’Ars) patron des curés du monde, fête le 4 août*Il a souvent fait l’expérience de la rencontre avec Satan..voici quelques anecdotes..*
On le dit victime de diableries et on lui attribue des miracles. Un nuit, alors que son lit prit feu, il s’exclama « le démon n’a pas pu brûler l’oiseau ! Il n’a brûlé que la cage ! ».
Le Curé d’Ars a souvent fait l’expérience de la rencontre avec Satan. Une nuit, son lit a commencé à bouger. Il a levé les yeux et il a vu une image terrifiante de Satan. Au lieu de pousser un cri d’effroi, il a dit simplement, « Ah, c’est vous », puis s’est retourné et s’est endormi.
Une telle force, une telle assurance dans le fait que Jésus-Christ a vaincu Satan et que sa mort a gagné notre salut est signe de sainteté.
Il avait aussi la réputation de ne pas dormir « On apercevait sa fenêtre presque constamment éclairée » raconte un témoin.
En 1823, le curé d’Ars commença à entendre des bruits anormaux dans le presbytère. Vers une heure du matin, on secouait avec violence la poignée de la porte, et on entendait des coups de massue frappés sur cette même porte. Un témoin, André Verchère, vint dormir une nuit au presbytère pour monter la garde. Effrayé, il ne reviendra plus. Cela durera 25 ans.
Des enfants venaient par curiosité rôder autour du presbytère la nuit. Ils entendirent à plusieurs reprises crier ‘’Vianney ! Vianney !’’
Et cela que le curé soit au presbytère ou non.
lucifer
En 1826, lors d’une mission, le curé d’Ars logea dans un presbytère avec plusieurs autres ecclésiastes. Une nuit, on entendit un grand bruit, la cure trembla, on accourut à la chambre du curé. On le retrouva dans son lit, au milieu de la chambre.
Le curé d’Ars déclara que c’était le diable qui avait déplacé le lit.
Le curé d’Ars était persuadé que ces phénomènes venaient du diable, qu’il surnommait ‘’Le grappin’’.
En 1828 et 1830, à deux reprises, le même miracle au lieu. Le meunier mettait cent boisseaux de son blé au grenier du presbytère, comme chaque mois, qui devait servir pour ‘’La Providence’’.
Le père Mandy gardait les clés du grenier, il alla voir le curé d’Ars pour lui dire qu’il n’y avait plus rien.
Le curé ne lui répondit rien, et quand le père retourna au grenier, il le trouva plein. Les directrices de la Providence attestent avoir réalisées de grandes fournées de pain avec une quantité de farine tout à fait insuffisante.
Le curé d’Ars ne parlait de ses visions que très rarement et à demi mot.
Toutefois il racontera à l’abbé Tailhades : « le bon Dieu me faisait des grâces extraordinaires. Au Saint Autel, j’avais les consolations les plus singulières. Je voyais le Bon Dieu, je ne vous dirai pas que ce fût d’une manière sensible, mais le Bon Dieu me faisait bien des grâces. »
Une dame avait perdu son mari, homme irréligieux, qui avait fini sa vie par le suicide. Inconsolable sur son sort, qu’elle croyait être la damnation éternelle, elle fut amenée par hasard à Ars et chercha à rencontrer le saint Curé pour l’interroger sur le malheureux défunt.
Elle réussit à l’approcher et, avant même qu’elle eût pu lui dire un mot, le saint lui murmura à l’oreille : « Il est sauvé… Oui, il est sauvé », insista-t-il. La pauvre femme fit un geste de la tête qui voulait dire : Oh ! Ce n’est pas possible.
Alors, d’un ton affirmatif encore :
« Je vous dis qu’il est sauvé, qu’il est en purgatoire et qu’il faut prier pour lui… Entre le parapet du pont et l’eau il a eu le temps de faire un acte de repentir. C’est la très Sainte Vierge qui a obtenu sa grâce. Rappelez-vous le mois de Marie élevé dans votre chambre. Votre époux irréligieux ne s’y est point opposé ; il s’est même parfois uni à votre prière… Cela lui a mérité un suprême pardon. »
De nombreux pèlerins attestent de son don de clairvoyance. Un pénitent pouvait être tellement persuadé de ce don qu’il se fiait à l’intuition du curé d’Ars plutôt qu’à ses propres souvenirs : « et voilà que tout à coup il se mit à me questionner sur tel ou tel point, toujours sur des fautes ignorées de moi ou oubliées ; si bien qu’à la fin, lors même que le souvenir ne m’en revenait pas aussitôt, je n’osais pas nier, assurée qu’il ne s’était pas trompé. »
Très rapidement, sa réputation de confesseur lui attira de nombreux pèlerins venant chercher auprès de lui le pardon de Dieu et la paix du cœur.
Ce mouvement de pèlerinage s’intensifia.
Le Saint Curé D’Ars disait pour parler
de la Miséricorde de Dieu dans la Confession…Ceci:
« Notre-Seigneur est comme une mère qui porte son enfant sur ses bras.
Ce petit est méchant; il donne des coups de pied à sa mère, il l’égratigne; mais elle n’y fait seulement pas attention ; elle sait que, si elle le lâche, il tombera.
Ainsi Notre-Seigneur endure tout ; il supporte toutes nos arrogances; il pardonne toutes nos sottises; il a pitié de nous malgré nous… Et il aura plutôt pardonné au pécheur repentant qu’une mère n’aura retiré son enfant du feu. »
« Il y en a qui disent ‘’J’ai trop fait de mal, le Bon Dieu ne peut pas me pardonner’’. C’est un gros blasphème. C’est mettre une borne à la miséricorde de Dieu, et elle n’en a point : elle est infinie. »
« Quand le prêtre donne l’absolution, il ne faut penser qu’à une chose ; c’est que le sang du Bon Dieu coule sur notre âme pour la laver, la purifier et la rendre aussi belle qu’elle était après le baptême. »
« Ne dites pas que vous n’en êtes pas digne. C’est vrai : vous n’en êtes pas digne, mais vous en avez besoin. »
«La prière n’est pas autre chose qu’une union avec Dieu. La prière est une douce amitié, une familiarité étonnante… C’est un doux entretien d’un enfant avec son Père. Plus on prie, plus on veut prier. » .
«Le Père se plaît à regarder le cœur de la très Sainte Vierge Marie comme le chef-d’œuvre de ses mains. »
« Jésus Christ , après nous avoir donné tout ce qu’il pouvait nous donner, veut encore nous faire hériter de ce qu’il a de plus précieux, c’est-à-dire sa Sainte Mère. »
«La Sainte Vierge nous a engendré deux fois, dans l’Incarnation et au pied de la Croix : elle est donc deux fois notre Mère. Je pense qu’à la fin du monde, la Sainte Vierge sera bien tranquille, mais tant que le monde dure, on la tire de tous côtés…»
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Re: Jeudi 4 Aôut : Fête de Saint Jean-Marie Vianney, (le Saint Curé d'Ars)
@Jésus miséricordieux
J'ai ouvert un fil semblable
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t37303-aujourd-hui-saint-jean-marie-vianney-cure-d-ars#374671
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Zamie- Enfant de Dieu
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Re: Jeudi 4 Aôut : Fête de Saint Jean-Marie Vianney, (le Saint Curé d'Ars)
Saint Jean-Marie Vianney,(Curé D’Ars) patron des curés du monde - Fête le 4 août : Il a souvent fait l’expérience de la rencontre avec Satan Voici quelques anecdotes...
On le dit victime de diableries et on lui attribue des miracles. Un nuit, alors que son lit prit feu, il s’exclama « le démon n’a pas pu brûler l’oiseau ! Il n’a brûlé que la cage ! ».
Le Curé d’Ars a souvent fait l’expérience de la rencontre avec Satan. Une nuit, son lit a commencé à bouger. Il a levé les yeux et il a vu une image terrifiante de Satan. Au lieu de pousser un cri d’effroi, il a dit simplement, « Ah, c’est vous », puis s’est retourné et s’est endormi.
Une telle force, une telle assurance dans le fait que Jésus-Christ a vaincu Satan et que sa mort a gagné notre salut est signe de sainteté.
En 1823, le curé d’Ars commença à entendre des bruits anormaux dans le presbytère. Vers une heure du matin, on secouait avec violence la poignée de la porte, et on entendait des coups de massue frappés sur cette même porte. Un témoin, André Verchère, vint dormir une nuit au presbytère pour monter la garde. Effrayé, il ne reviendra plus. Cela durera 25 ans.
Des enfants venaient par curiosité rôder autour du presbytère la nuit. Ils entendirent à plusieurs reprises crier ‘’Vianney ! Vianney !’’
Et cela que le curé soit au presbytère ou non.
Le curé d’Ars déclara que c’était le diable qui avait déplacé le lit.
Le curé d’Ars était persuadé que ces phénomènes venaient du diable, qu’il surnommait ‘’Le grappin’’.
Le père Mandy gardait les clés du grenier, il alla voir le curé d’Ars pour lui dire qu’il n’y avait plus rien.
Le curé ne lui répondit rien, et quand le père retourna au grenier, il le trouva plein. Les directrices de la Providence attestent avoir réalisées de grandes fournées de pain avec une quantité de farine tout à fait insuffisante.
Le curé d’Ars ne parlait de ses visions que très rarement et à demi mot.
Toutefois il racontera à l’abbé Tailhades : « le bon Dieu me faisait des grâces extraordinaires. Au Saint Autel, j’avais les consolations les plus singulières. Je voyais le Bon Dieu, je ne vous dirai pas que ce fût d’une manière sensible, mais le Bon Dieu me faisait bien des grâces. »
Une dame avait perdu son mari, homme irréligieux, qui avait fini sa vie par le suicide. Inconsolable sur son sort, qu’elle croyait être la damnation éternelle, elle fut amenée par hasard à Ars et chercha à rencontrer le saint Curé pour l’interroger sur le malheureux défunt.
Elle réussit à l’approcher et, avant même qu’elle eût pu lui dire un mot, le saint lui murmura à l’oreille : « Il est sauvé… Oui, il est sauvé », insista-t-il. La pauvre femme fit un geste de la tête qui voulait dire : Oh ! Ce n’est pas possible.
Alors, d’un ton affirmatif encore :
« Je vous dis qu’il est sauvé, qu’il est en purgatoire et qu’il faut prier pour lui… Entre le parapet du pont et l’eau il a eu le temps de faire un acte de repentir. C’est la très Sainte Vierge qui a obtenu sa grâce. Rappelez-vous le mois de Marie élevé dans votre chambre. Votre époux irréligieux ne s’y est point opposé ; il s’est même parfois uni à votre prière… Cela lui a mérité un suprême pardon. »
De nombreux pèlerins attestent de son don de clairvoyance. Un pénitent pouvait être tellement persuadé de ce don qu’il se fiait à l’intuition du curé d’Ars plutôt qu’à ses propres souvenirs : « et voilà que tout à coup il se mit à me questionner sur tel ou tel point, toujours sur des fautes ignorées de moi ou oubliées ; si bien qu’à la fin, lors même que le souvenir ne m’en revenait pas aussitôt, je n’osais pas nier, assurée qu’il ne s’était pas trompé. »
Ce mouvement de pèlerinage s’intensifia.
Le Saint Curé D’Ars disait pour parler
de la Miséricorde de Dieu dans la Confession…Ceci:
Ce petit est méchant; il donne des coups de pied à sa mère, il l’égratigne; mais elle n’y fait seulement pas attention ; elle sait que, si elle le lâche, il tombera.
Ainsi Notre-Seigneur endure tout ; il supporte toutes nos arrogances; il pardonne toutes nos sottises; il a pitié de nous malgré nous… Et il aura plutôt pardonné au pécheur repentant qu’une mère n’aura retiré son enfant du feu. »
« Il y en a qui disent ‘’J’ai trop fait de mal, le Bon Dieu ne peut pas me pardonner’’. C’est un gros blasphème. C’est mettre une borne à la miséricorde de Dieu, et elle n’en a point : elle est infinie. »
« Quand le prêtre donne l’absolution, il ne faut penser qu’à une chose ; c’est que le sang du Bon Dieu coule sur notre âme pour la laver, la purifier et la rendre aussi belle qu’elle était après le baptême. »
« Ne dites pas que vous n’en êtes pas digne. C’est vrai : vous n’en êtes pas digne, mais vous en avez besoin. »
«La prière n’est pas autre chose qu’une union avec Dieu. La prière est une douce amitié, une familiarité étonnante… C’est un doux entretien d’un enfant avec son Père. Plus on prie, plus on veut prier. » .
«Le Père se plaît à regarder le cœur de la très Sainte Vierge Marie comme le chef-d’œuvre de ses mains. »
« Jésus Christ , après nous avoir donné tout ce qu’il pouvait nous donner, veut encore nous faire hériter de ce qu’il a de plus précieux, c’est-à-dire sa Sainte Mère. »
«La Sainte Vierge nous a engendré deux fois, dans l’Incarnation et au pied de la Croix : elle est donc deux fois notre Mère. Je pense qu’à la fin du monde, la Sainte Vierge sera bien tranquille, mais tant que le monde dure, on la tire de tous côtés…»
PRIONS POUR TOUS LES PRÊTRES DU MONDE ENTIER
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Aussi : http://wp.me/p1aACN-ipC
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Jeudi 4 Aôut : Fête de Saint Jean-Marie Vianney, (le Saint Curé d'Ars)
Chèr Gilles, c'est le meme article que j'ai posté ici plus haut, décidement
Invité- Invité
Re: Jeudi 4 Aôut : Fête de Saint Jean-Marie Vianney, (le Saint Curé d'Ars)
Vous pourrez également trouver la vie de Saint Jean-Marie Vianney le Curé d'Ars ici en plusieurs épisodes
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t36723-saint-jean-marie-vianney-le-cure-d-ars?highlight=le+cure+d+ars+Marie+du+65
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t36723-saint-jean-marie-vianney-le-cure-d-ars?highlight=le+cure+d+ars+Marie+du+65
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Re: Jeudi 4 Aôut : Fête de Saint Jean-Marie Vianney, (le Saint Curé d'Ars)
Oui... Mais avec de belles images !Jésus_miséricordieux a écrit:Cher Gilles, c'est le meme article que j'ai posté ici plus haut, décidément
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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