LA RECONNAISANCE ENVERS NOTRE CRÉATEUR...
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LA RECONNAISANCE ENVERS NOTRE CRÉATEUR...
PAROLES D'ENCOURAGEMENT |
Compter les bienfaits de Dieu dans notre vie : Un moyen efficace pour sortir de notre déprime ! Ne prétendons-nous pas, nous chrétiens, louer le Seigneur avec joie et enthousiasme ? C’est là certainement notre désir. Mais pour être vraiment sincères, il nous faut cependant bien admettre que c’est souvent seulement au prix de grands efforts que nous y parvenons. En fait, admettons-le, bien souvent nous n’avons même pas envie de le faire ! Alors comment y parvenir ? David nous en montre le chemin dans le psaume 143 où il exprime tout d’abord sa détresse, son découragement puis, il prend le temps de se souvenir de son passé, de méditer sur les œuvres du Seigneur dans sa vie. Il se souvient alors de la manifestation de sa bonté jour après jour à son égard, de sa fidélité, de la conduite de son esprit, de sa protection, de sa justice et de sa miséricorde. Au fil de la lecture de ce psaume nous voyons tout d’abord David dans l’abattement, le découragement et, au fur et à mesure qu’il se met à compter les bienfaits du Seigneur dans sa vie, son âme se fortifie, sa confiance retrouve ses racines, et David est puissamment renouvelé dans son esprit. Il en est de même pour nous à partir du moment où nous commençons à compter et à repasser dans notre cœur tous les bienfaits que le Seigneur, dans sa grâce, nous a accordés durant les années écoulées. Notre âme et notre esprit retrouvent alors force et courage pour continuer d’aller de l’avant. Un jour, je lisais le récit d’un chrétien qui, a un moment donné de sa vie, avait commencé à consigner les prières exaucées et les bénédictions spéciales dans un journal personnel qu’il s’était efforcé de tenir à jour, au fil des années. Par la suite, il avait malheureusement égaré son agenda mais l’avait retrouvé, plusieurs années après, à un moment où sa foi chancelait et où il se trouvait dans la déprime. Quelle ne fut pas sa surprise en constatant qu’il avait oublié la plupart des événements qu’il y avait inscrits ! Alors qu’il s’était remis à lire son précieux journal intime, il se produisit la chose suivante, selon ses propres termes : « Mon souvenir de la fidélité de Dieu s’est alors ranimé, ma foi chancelante a commencé à se fortifier, et ma confiance en Dieu a retrouvé ses racines. Le fait de me rappeler toutes les bénédictions que le Seigneur, dans sa grâce, m’avait accordées, a produit en moi quelque chose de merveilleux : ma confiance en Lui a été complètement rétablie. » Depuis plusieurs années, le Seigneur m’a conduite à tenir à jour un livre de souvenirs, une sorte d’agenda des interventions et de la fidélité de Dieu au travers de ma vie et j’encourage chaque chrétien à le faire car, comme je l’ai déjà expérimenté à plusieurs reprises, est arrivé le jour où cela a fait la différence entre la victoire et la défaite dans ma propre vie. Asaph, dans le Psaume 77, nous dépeint également une foi chancelante. Il dresse devant nous la liste des sérieux doutes qui sont les siens, lorsqu’il dit : « Dieu a-t-il oublié d’avoir compassion ? A-t-il, dans sa colère, retiré sa miséricorde ? » Et tout à coup il s’arrête, dans l’énumération de ses plaintes, en déclarant : « Je rappellerai les œuvres de l’Eternel, car je me souviens de tes merveilles d’autrefois…. » De toute évidence, ce passage nous montre que le fait de se rappeler les bienfaits et les merveilles que le Seigneur a accomplis dans notre vie, ravive notre foi. Et Asaph continue maintenant en disant : « Je parlerai de toutes tes œuvres, je raconterai tes bienfaits. Tu es le Dieu qui fait des prodiges… et par ton bras, tu as délivré ton peuple. » Il cite ensuite les grandes interventions du Seigneur dans la vie de son peuple et termine en disant : « Tu as conduit ton peuple comme un troupeau … » Nous aussi, ne ferions-nous pas de même ? Pourquoi ne créerions nous pas notre propre livre de souvenirs en y consignant les interventions miraculeuses que le Seigneur a accomplies au fil de notre vie ? En relisant ces choses par la suite, combien notre foi et notre confiance en Dieu en seraient fortifiées. Notre cœur ne pourrait alors qu’éclater de louanges et d’adoration ! En résumé, rien n’est plus efficace pour sortir de notre déprime que de laisser le Seigneur remplir notre cœur de reconnaissance envers les nombreuses actions de sa main puissante au travers de notre existence. Notre esprit en sera renouvelé et notre amour pour Lui en sera comme tout à nouveau embrasé. Oui, compter les bienfaits de Dieu et louer le Seigneur pour son infinie patience et sa grande fidélité à notre égard est certes le meilleur médicament contre la déprime pour tout chrétien ! Ne nous lassons pas de louer le Seigneur et de témoigner à la génération future de notre reconnaissance envers notre Dieu ! Parlons-leur de sa puissance et des prodiges que nous l’avons vu opérer en nous et au travers de nous. Notre déprime s’envolera alors bien vite ; notre âme et notre esprit retrouveront certainement leur équilibre, la force et le courage de poursuivre notre route. N’hésitons pas à blottir notre faible main dans Sa Forte main. Sa présence à nos côtés est et restera pour nous un sûr abri dans les circonstances les plus défavorables, et cela tout au long de notre pèlerinage terrestre. La cité céleste où Jésus nous a préparé une place, nous attend. Levons nos yeux, notre rédemption approche et notre espérance est si glorieuse. Dorothée Hatzakortzian SOURCE: www.compassion-france.com Gilles. Ville de Québec - Canada |
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Inscription : 25/03/2008
Re: LA RECONNAISANCE ENVERS NOTRE CRÉATEUR...
Transformé par la reconnaissance
par Stacy Wiebe
"Si Dieu veut que tu aie une maison, il te la donnera." Ma meilleure amie tentait de me réconforter avec ces paroles. Mais je dois avouer qu'elles m'ont d'abord fait questionner la bonté de Dieu. Nous étions mariés depuis dix ans et je voulais acheter une maison dès cet automne. Notre appartement de trois pièces a eu l'air de se rétrécir avec l’arrivée de notre deuxième enfant en avril dernier. Et puis le premier avait deux ans et son niveau n'activité nécessitait plus de place.
Mais cela ne devait pas se passer comme cela.
L'année dernière, au début de ma grossesse, qui nécessitait une surveillance médicale, notre cotisation d'assurance médicale avait quadruplé. Nos finances en avaient été affectées de manière significative.
"Pourquoi est-ce que Dieu ne veut pas que nous ayons notre propre maison?" me demandais-je. A la même période, nous avons vu trois couples d'amis emménager dans leur nouvelles demeures. J'étais heureuse pour eux, mais une partie de moi questionnait toujours: "Et moi alors?" et le son des « moi… moi… moi… » résonnait dans les coins sombres de mon cœur.
Je sais que je ne suis pas la seule à avoir anticipé des situations qui se sont avérées différentes au moment où un évènement spécifique se présentait dans la vie. Il vous est peut-être arrivé de penser que vous seriez sûrement aujourd’hui mariée ou mère de famille ou en bien meilleure santé ou encore que vous auriez un bien meilleur travail ou que vous n'auriez plus besoin de travailler, ou encore ______________ (vous pouvez certainement remplir l'espace vide toute seule).
Bien que je continue à prier que Dieu bénisse notre famille avec une maison, je suis reconnaissante qu'il ne l'ait pas encore fait. Car je le vois se tisser dans mon cœur une vérité que je connaissais depuis le tout début de ma vie chrétienne, mais que ne je suis qu’actuellement en train d'intégrer plus profondément. Cette vérité, c'est que quand on choisit de voir la vie à travers la reconnaissance, cela change tout. Particulièrement soi-même.
Petit à petit, à force d'apprendre de plus en plus sur la force de transformation qu'apporte la reconnaissance, Dieu m'a fait remarquer les quatre principes suivants:
Nous devenons reconnaissance
Quelles sont les deux types de personnes qui nous inspirent le plus? Au niveau extérieur, ce sont les gens talentueux, les athlètes, les artistes et ceux dont les talents nous passionnent en tant que société. A un niveau plus profond, nous sommes influencés par ceux qui triomphent, ceux d'entre nous qui font preuve de courage et qui surmontent l'adversité. Mais je crois que plus profondément encore, les âmes qui nous touchent le plus sont celles qui sont reconnaissantes. Car elles sont non seulement talentueuses, mais aussi humbles. Car non seulement elles surmontent les difficultés, mais en plus elles sont pleines de reconnaissance. C'est par exemple la rescapée d'un cancer qui aborde chaque instant comme une occasion d'aimer, de servir et de célébrer. C'est la jeune mariée de 65 ans que je connais, dont le mari a eu une attaque et qui dit joyeusement: "Je suis si heureuse d'avoir à m'occuper d'un mari!"
Quand on y pense, l'esprit humain brille bien plus quand il est empreint de reconnaissance.
La reconnaissance apporte la satisfaction de l'âme.
Au-delà de la fête annuelle de Thanksgiving (fête américaine et canadienne d'actions de grâce, qui correspond à la fête des moissons en France), au-delà de la mode actuelle des "journaux de reconnaissance" et autres, la reconnaissance n'est pas réelle à moins que ce ne soit dirigé vers celui qui donne. En fait, le mot reconnaissance que l'on trouve dans le Nouveau Testament pourrait être traduit littéralement par "bonne grâce". Quand nous sommes reconnaissants, nous nous souvenons de celui qui ne nous doit rien, mais qui nous donne tout. La véritable nature de la grâce, n’est-ce pas recevoir ce que nous ne méritons pas ?
Bien que cela ne soit pas une façon de dénigrer peines et souffrances, la reconnaissance est le choix délibéré de nous souvenir de combien nous sommes bénis. Plus que de l'optimisme, c'est la proclamation de notre foi en Dieu, en sa grâce, en son amour, en ses provisions et en sa bonté. Autrement dit, quand nous sommes reconnaissants, notre "réservoir" est plein. Nous tournons nos yeux vers Dieu et cela suffit.
Attention, il est dangereux de manquer de reconnaissance!
La première femme, Eve, avait tout ce qu'on peut imaginer, un corps parfait, le mari parfait, la demeure parfaite, et même la relation parfaite avec Dieu. Et pourtant, elle a cru le mensonge du diable qui lui disait que ce n'était pas suffisant. Elle a suivi la logique perverse du diable. "Si Dieu est vraiment bon, pourquoi ne me donnerait-il pas le fruit de cet arbre-là, celui qui paraît si engageant?"
Les conséquences de l'ingratitude d'Eve envers la bonté de Dieu, ainsi que le choix qu'elle a fait ensuite, se sont avérés avoir des effets dévastateurs pour elle et pour tout le genre humain. L'ingratitude est réellement une pente glissante. Dans le premier chapitre de la Lettre aux Romains, Paul nous fait la liste, telle une litanie, des péchés que Dieu a en horreur, depuis l'immoralité sexuelle à l'adoration des idoles, en passant par le meurtre. En remontant jusqu'au début de la chute: "Car ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres." (Romains 1:21, passage mis en gras par l'auteur).
Dire merci à Dieu n'est pas une question de protocole ou de politesse. Cela va au cœur même de ce que nous pensons réellement de Dieu et cela a un impact profond sur qui nous sommes.
Nous sommes appelés et fortifiés par le souvenir
A l'âge de 19 ans, j'ai été missionnaire pendant un an au Mexique dans la ville de Mexico. Le plus grand changement de ma vie a été de vivre dans des familles mexicaines. Pendant tout un été, ma collègue missionnaire et moi avons été hébergées par une veuve et ses deux filles célibataires qui vivaient avec elles. Elles dormaient toutes les trois dans une chambre et nous dans l'autre. Et nous couchions à deux dans un lit à une place! Notre espace, guère plus grand que le lit, n'était séparé du reste de la maison que par un drap qui faisait office de rideau. La maison a été inondée pendant les pluies d'été et des graffitis noirs salissaient le mur extérieur de la maison. Nous devions laver notre linge à la main dans la cour, où il y avait aussi les toilettes et un pommeau de douche. Nous n'en revenions pas que « maman Raphaela » ait élevé dix enfants dans cette maison. Elle m'avait accueillie et adoptée comme l'un d'entre eux.
J'ai eu des expériences similaires dans le monde entier, en Inde, au Nicaragua et dans la CEI. J'ai vraiment vu la pauvreté et je sais que la façon de vivre de ma banlieue américaine n'est pas "normale" selon les standards du monde entier. Et j'ai vu à quel point les croyants en Jésus-Christ qui venaient de milieux moins favorisés que le mien étaient plein d’amour, sympathiques et joyeux, sans tenir compte de ce qu'ils possédaient.
Une maison est sans aucun doute un cadeau merveilleux de Dieu. J'ai de nombreux amis qui utilisent leur maison pour sa gloire. Et je suis en train d'apprendre que ce n'est pas une maison qui donnera de la plénitude à ma vie. Je suis en train d'abandonner ma notion de « ce à quoi j’ai droit » et la perception que j'ai de mériter ou de devoir posséder une maison pour être heureuse. C'est en remerciant Dieu pour les innombrables bénédictions de ma vie que je finis pas devenir reconnaissante.
Dès que je ne remercie plus, je deviens rapidement ingrate. Et le seule chose que je sais faire ensuite, c'est de ma plaindre. Je deviens alors comme les enfants d'Israël en m'éloignant du Seigneur et en me rebellant. Je me mets à douter de sa réelle bonté.
Dieu sait que nous oublions facilement de remercier, particulièrement quand nous sommes beaucoup bénis. Au moment où les Israélites ont reçu la Terre Promise et toute l'abondance qu'elle contenait, Dieu, à travers Moïse, les a accusé: "Lorsque tu mangeras et te rassasieras, garde-toi d'oublier l'Eternel." (Deutéronome 6:12).
Nous avons besoin de nous souvenir de Dieu et de sa bonté envers nous. Nous avons aussi besoin de quelqu'un pour nous le rappeler. Ce quelqu'un est le Saint Esprit. La force qui nous permet de "rendre continuellement grâce à Dieu le Père pour toutes choses" nécessite d'être "remplis de l'Esprit" (Ephésiens 5:18 et 20). Le rôle du Saint Esprit est de glorifier Jésus-Christ à travers nous. Il est prêt et veux nous aider à ce que la gratitude devienne notre façon de vivre. Si vous lui demandez de vous fortifier, et si vous recherchez continuellement sa force, vous allez déborder de reconnaissance. Votre âme sera satisfaite, votre vie inspirera les autres et Dieu sera glorifié.
Dieu désire être la force de changement de notre vie. Il veut nous aider à nous sentir mieux à propos de nous-même, plus excitée face au futur, plus reconnaissante pour nos êtres chers et plus enthousiaste dans notre foi.
Si vous recherchez une solution au chaos de la vie, demandez à Dieu d’être la force dont vous avez besoin pour être plus confiante en vous-même, en meilleure harmonie avec ceux qui vous sont chers et plus efficace dans votre travail.
SOURCE: chretiennes.com/
Gilles. Ville de Québec - Canada
par Stacy Wiebe
"Si Dieu veut que tu aie une maison, il te la donnera." Ma meilleure amie tentait de me réconforter avec ces paroles. Mais je dois avouer qu'elles m'ont d'abord fait questionner la bonté de Dieu. Nous étions mariés depuis dix ans et je voulais acheter une maison dès cet automne. Notre appartement de trois pièces a eu l'air de se rétrécir avec l’arrivée de notre deuxième enfant en avril dernier. Et puis le premier avait deux ans et son niveau n'activité nécessitait plus de place.
Mais cela ne devait pas se passer comme cela.
L'année dernière, au début de ma grossesse, qui nécessitait une surveillance médicale, notre cotisation d'assurance médicale avait quadruplé. Nos finances en avaient été affectées de manière significative.
"Pourquoi est-ce que Dieu ne veut pas que nous ayons notre propre maison?" me demandais-je. A la même période, nous avons vu trois couples d'amis emménager dans leur nouvelles demeures. J'étais heureuse pour eux, mais une partie de moi questionnait toujours: "Et moi alors?" et le son des « moi… moi… moi… » résonnait dans les coins sombres de mon cœur.
Je sais que je ne suis pas la seule à avoir anticipé des situations qui se sont avérées différentes au moment où un évènement spécifique se présentait dans la vie. Il vous est peut-être arrivé de penser que vous seriez sûrement aujourd’hui mariée ou mère de famille ou en bien meilleure santé ou encore que vous auriez un bien meilleur travail ou que vous n'auriez plus besoin de travailler, ou encore ______________ (vous pouvez certainement remplir l'espace vide toute seule).
Bien que je continue à prier que Dieu bénisse notre famille avec une maison, je suis reconnaissante qu'il ne l'ait pas encore fait. Car je le vois se tisser dans mon cœur une vérité que je connaissais depuis le tout début de ma vie chrétienne, mais que ne je suis qu’actuellement en train d'intégrer plus profondément. Cette vérité, c'est que quand on choisit de voir la vie à travers la reconnaissance, cela change tout. Particulièrement soi-même.
Petit à petit, à force d'apprendre de plus en plus sur la force de transformation qu'apporte la reconnaissance, Dieu m'a fait remarquer les quatre principes suivants:
Nous devenons reconnaissance
Quelles sont les deux types de personnes qui nous inspirent le plus? Au niveau extérieur, ce sont les gens talentueux, les athlètes, les artistes et ceux dont les talents nous passionnent en tant que société. A un niveau plus profond, nous sommes influencés par ceux qui triomphent, ceux d'entre nous qui font preuve de courage et qui surmontent l'adversité. Mais je crois que plus profondément encore, les âmes qui nous touchent le plus sont celles qui sont reconnaissantes. Car elles sont non seulement talentueuses, mais aussi humbles. Car non seulement elles surmontent les difficultés, mais en plus elles sont pleines de reconnaissance. C'est par exemple la rescapée d'un cancer qui aborde chaque instant comme une occasion d'aimer, de servir et de célébrer. C'est la jeune mariée de 65 ans que je connais, dont le mari a eu une attaque et qui dit joyeusement: "Je suis si heureuse d'avoir à m'occuper d'un mari!"
Quand on y pense, l'esprit humain brille bien plus quand il est empreint de reconnaissance.
La reconnaissance apporte la satisfaction de l'âme.
Au-delà de la fête annuelle de Thanksgiving (fête américaine et canadienne d'actions de grâce, qui correspond à la fête des moissons en France), au-delà de la mode actuelle des "journaux de reconnaissance" et autres, la reconnaissance n'est pas réelle à moins que ce ne soit dirigé vers celui qui donne. En fait, le mot reconnaissance que l'on trouve dans le Nouveau Testament pourrait être traduit littéralement par "bonne grâce". Quand nous sommes reconnaissants, nous nous souvenons de celui qui ne nous doit rien, mais qui nous donne tout. La véritable nature de la grâce, n’est-ce pas recevoir ce que nous ne méritons pas ?
Bien que cela ne soit pas une façon de dénigrer peines et souffrances, la reconnaissance est le choix délibéré de nous souvenir de combien nous sommes bénis. Plus que de l'optimisme, c'est la proclamation de notre foi en Dieu, en sa grâce, en son amour, en ses provisions et en sa bonté. Autrement dit, quand nous sommes reconnaissants, notre "réservoir" est plein. Nous tournons nos yeux vers Dieu et cela suffit.
Attention, il est dangereux de manquer de reconnaissance!
La première femme, Eve, avait tout ce qu'on peut imaginer, un corps parfait, le mari parfait, la demeure parfaite, et même la relation parfaite avec Dieu. Et pourtant, elle a cru le mensonge du diable qui lui disait que ce n'était pas suffisant. Elle a suivi la logique perverse du diable. "Si Dieu est vraiment bon, pourquoi ne me donnerait-il pas le fruit de cet arbre-là, celui qui paraît si engageant?"
Les conséquences de l'ingratitude d'Eve envers la bonté de Dieu, ainsi que le choix qu'elle a fait ensuite, se sont avérés avoir des effets dévastateurs pour elle et pour tout le genre humain. L'ingratitude est réellement une pente glissante. Dans le premier chapitre de la Lettre aux Romains, Paul nous fait la liste, telle une litanie, des péchés que Dieu a en horreur, depuis l'immoralité sexuelle à l'adoration des idoles, en passant par le meurtre. En remontant jusqu'au début de la chute: "Car ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres." (Romains 1:21, passage mis en gras par l'auteur).
Dire merci à Dieu n'est pas une question de protocole ou de politesse. Cela va au cœur même de ce que nous pensons réellement de Dieu et cela a un impact profond sur qui nous sommes.
Nous sommes appelés et fortifiés par le souvenir
A l'âge de 19 ans, j'ai été missionnaire pendant un an au Mexique dans la ville de Mexico. Le plus grand changement de ma vie a été de vivre dans des familles mexicaines. Pendant tout un été, ma collègue missionnaire et moi avons été hébergées par une veuve et ses deux filles célibataires qui vivaient avec elles. Elles dormaient toutes les trois dans une chambre et nous dans l'autre. Et nous couchions à deux dans un lit à une place! Notre espace, guère plus grand que le lit, n'était séparé du reste de la maison que par un drap qui faisait office de rideau. La maison a été inondée pendant les pluies d'été et des graffitis noirs salissaient le mur extérieur de la maison. Nous devions laver notre linge à la main dans la cour, où il y avait aussi les toilettes et un pommeau de douche. Nous n'en revenions pas que « maman Raphaela » ait élevé dix enfants dans cette maison. Elle m'avait accueillie et adoptée comme l'un d'entre eux.
J'ai eu des expériences similaires dans le monde entier, en Inde, au Nicaragua et dans la CEI. J'ai vraiment vu la pauvreté et je sais que la façon de vivre de ma banlieue américaine n'est pas "normale" selon les standards du monde entier. Et j'ai vu à quel point les croyants en Jésus-Christ qui venaient de milieux moins favorisés que le mien étaient plein d’amour, sympathiques et joyeux, sans tenir compte de ce qu'ils possédaient.
Une maison est sans aucun doute un cadeau merveilleux de Dieu. J'ai de nombreux amis qui utilisent leur maison pour sa gloire. Et je suis en train d'apprendre que ce n'est pas une maison qui donnera de la plénitude à ma vie. Je suis en train d'abandonner ma notion de « ce à quoi j’ai droit » et la perception que j'ai de mériter ou de devoir posséder une maison pour être heureuse. C'est en remerciant Dieu pour les innombrables bénédictions de ma vie que je finis pas devenir reconnaissante.
Dès que je ne remercie plus, je deviens rapidement ingrate. Et le seule chose que je sais faire ensuite, c'est de ma plaindre. Je deviens alors comme les enfants d'Israël en m'éloignant du Seigneur et en me rebellant. Je me mets à douter de sa réelle bonté.
Dieu sait que nous oublions facilement de remercier, particulièrement quand nous sommes beaucoup bénis. Au moment où les Israélites ont reçu la Terre Promise et toute l'abondance qu'elle contenait, Dieu, à travers Moïse, les a accusé: "Lorsque tu mangeras et te rassasieras, garde-toi d'oublier l'Eternel." (Deutéronome 6:12).
Nous avons besoin de nous souvenir de Dieu et de sa bonté envers nous. Nous avons aussi besoin de quelqu'un pour nous le rappeler. Ce quelqu'un est le Saint Esprit. La force qui nous permet de "rendre continuellement grâce à Dieu le Père pour toutes choses" nécessite d'être "remplis de l'Esprit" (Ephésiens 5:18 et 20). Le rôle du Saint Esprit est de glorifier Jésus-Christ à travers nous. Il est prêt et veux nous aider à ce que la gratitude devienne notre façon de vivre. Si vous lui demandez de vous fortifier, et si vous recherchez continuellement sa force, vous allez déborder de reconnaissance. Votre âme sera satisfaite, votre vie inspirera les autres et Dieu sera glorifié.
Dieu désire être la force de changement de notre vie. Il veut nous aider à nous sentir mieux à propos de nous-même, plus excitée face au futur, plus reconnaissante pour nos êtres chers et plus enthousiaste dans notre foi.
Si vous recherchez une solution au chaos de la vie, demandez à Dieu d’être la force dont vous avez besoin pour être plus confiante en vous-même, en meilleure harmonie avec ceux qui vous sont chers et plus efficace dans votre travail.
SOURCE: chretiennes.com/
Gilles. Ville de Québec - Canada
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Re: LA RECONNAISANCE ENVERS NOTRE CRÉATEUR...
LA PRIERE DE RECONNAISSANCE
Par Sylvain Freymond
Par Sylvain Freymond
Il n’y a aucun doute dans le fait que nous avons parfois de la peine à louer Dieu en tout temps et en toutes circonstances, car nous manquons souvent de constance dans notre foi en Dieu. Il y a deux principes que nous pouvons apprendre et qui vont nous aider : le contentement et la reconnaissance.
Le contentement.
L’apôtre Paul nous apprend, par sa vie, un principe important. Philippiens 4 :11-13 : « J’ai appris à être content de l’état où je me trouve. Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette. Je puis tout par celui qui me fortifie. » Cette maxime de Paul est bien loin de celle de nos contemporains. Je ne sais pas si, à l’époque, les gens étaient tous comme lui. Je ne le pense pas, mais ce verset biblique s’applique à nous tous et nous invite à nous contenter de ce que nous avons ! Voilà une démarche qui est bien contraire à celle de la société actuelle, laquelle nous apprend plutôt à défendre nos droits et à réclamer ce que nous n’avons pas ! Cela commence par notre propre personne. Apprenons à être contents de notre personnalité, de notre apparence, etc. Nous vivons dans un monde instantané et nous voudrions tout, immédiatement. L’Éternel éprouve souvent nos motivations et teste par cela notre patience, notre foi et notre confi ance. Il est primordial d’apprendre à lutter pour garder notre contentement et ne pas se le faire ravir par l’ennemi. Ecclésiaste 6 : 9 : « Il vaut mieux être content de ce que l’on a que de se laisser entraîner par ses désirs, car cela est aussi inutile que de poursuivre le vent. » (version en français courant).
L’apôtre Paul nous apprend, par sa vie, un principe important. Philippiens 4 :11-13 : « J’ai appris à être content de l’état où je me trouve. Je sais vivre dans l’humiliation, et je sais vivre dans l’abondance. En tout et partout j’ai appris à être rassasié et à avoir faim, à être dans l’abondance et à être dans la disette. Je puis tout par celui qui me fortifie. » Cette maxime de Paul est bien loin de celle de nos contemporains. Je ne sais pas si, à l’époque, les gens étaient tous comme lui. Je ne le pense pas, mais ce verset biblique s’applique à nous tous et nous invite à nous contenter de ce que nous avons ! Voilà une démarche qui est bien contraire à celle de la société actuelle, laquelle nous apprend plutôt à défendre nos droits et à réclamer ce que nous n’avons pas ! Cela commence par notre propre personne. Apprenons à être contents de notre personnalité, de notre apparence, etc. Nous vivons dans un monde instantané et nous voudrions tout, immédiatement. L’Éternel éprouve souvent nos motivations et teste par cela notre patience, notre foi et notre confi ance. Il est primordial d’apprendre à lutter pour garder notre contentement et ne pas se le faire ravir par l’ennemi. Ecclésiaste 6 : 9 : « Il vaut mieux être content de ce que l’on a que de se laisser entraîner par ses désirs, car cela est aussi inutile que de poursuivre le vent. » (version en français courant).
La reconnaissance
C’est un principe biblique lié directement au fait de savoir qui nous sommes et qui est Dieu. Si nous réalisons vraiment d’où nous venons et ce à quoi nous sommes appelés, alors nous allons découvrir la vraie reconnaissance. Il s’agit tout simplement de dire merci à quelqu’un pour quelque chose ! Cela se démontre par un geste, une parole, un cadeau ou au travers de notre joie. Salomon reconnaît lui-même que les choses qui nous réjouissent sont un don de Dieu. Elles peuvent être des sujets de reconnaissance constante.
C’est un principe biblique lié directement au fait de savoir qui nous sommes et qui est Dieu. Si nous réalisons vraiment d’où nous venons et ce à quoi nous sommes appelés, alors nous allons découvrir la vraie reconnaissance. Il s’agit tout simplement de dire merci à quelqu’un pour quelque chose ! Cela se démontre par un geste, une parole, un cadeau ou au travers de notre joie. Salomon reconnaît lui-même que les choses qui nous réjouissent sont un don de Dieu. Elles peuvent être des sujets de reconnaissance constante.
Ecclésiaste 3 : 13 : « Si un homme mange et boit et jouit du bien-être au milieu de tout son travail, c’est là un don de Dieu. »
Pourquoi être reconnaissant ?
Pour pouvoir être reconnaissants, il faut savoir ce que nous avons reçu ! Nous avons tous en nous un potentiel extraordinaire : la vie ! Merci pour la personne que je suis ; je suis extraordinaire, unique, créé par Dieu.
Pour pouvoir être reconnaissants, il faut savoir ce que nous avons reçu ! Nous avons tous en nous un potentiel extraordinaire : la vie ! Merci pour la personne que je suis ; je suis extraordinaire, unique, créé par Dieu.
Psaume 139 : 13-14 : « C’est toi qui as formé mes reins, qui m’as tissé dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes oeuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien. » Dieu nous fait cadeau de la vie et nous en donne le mode d’emploi au travers de sa Parole.
Être reconnaissant et dire merci à Dieu
Apocalypse 11 : 17 « Nous te rendons grâces, Seigneur Dieu Tout-Puissant, qui es, et qui étais, de ce que tu as saisi ta grande puissance et pris possession de ton règne. » La reconnaissance est une qualité qui se perd, car nous ne sommes pas enseignés à considérer à sa juste valeur ce que nous avons reçu. Plus on en a, plus on en veut ! Ainsi, la publicité est censée créer un besoin et très souvent, elle y parvient ! Bien qu’elle puisse nous proposer de bonnes choses, son message consiste souvent à nous dire « tu n’as pas encore assez, tu peux avoir plus et encore plus… ». À force d’entendre cela nous commençons à ressentir un manque et le désir de posséder l’objet qu’elle nous vante. Si nous achetons cet objet, le sentiment de satisfaction sera vite oublié et nous commençons à rechercher une autre chose.
Apocalypse 11 : 17 « Nous te rendons grâces, Seigneur Dieu Tout-Puissant, qui es, et qui étais, de ce que tu as saisi ta grande puissance et pris possession de ton règne. » La reconnaissance est une qualité qui se perd, car nous ne sommes pas enseignés à considérer à sa juste valeur ce que nous avons reçu. Plus on en a, plus on en veut ! Ainsi, la publicité est censée créer un besoin et très souvent, elle y parvient ! Bien qu’elle puisse nous proposer de bonnes choses, son message consiste souvent à nous dire « tu n’as pas encore assez, tu peux avoir plus et encore plus… ». À force d’entendre cela nous commençons à ressentir un manque et le désir de posséder l’objet qu’elle nous vante. Si nous achetons cet objet, le sentiment de satisfaction sera vite oublié et nous commençons à rechercher une autre chose.
Ce vide ne sera jamais comblé, car il est uniquement basé sur la spirale de la consommation. C’est un réel danger que d’être pris dans ce système. Il nous conduit à perdre notre reconnaissance et à nous plaindre lorsque la moindre chose nous fait défaut. Cette attitude nous conduira aussi à revendiquer nos droits, faire la grève ou déposer une plainte pour toute entrave à notre confort. Les gens qui ont le moins savent souvent donner et être reconnaissants pour ce qu’ils ont. En Afrique par exemple, de nombreuses personnes remercient Dieu pour l’eau et la nourriture, et elles le font sincèrement car elles en connaissent bien la valeur. Dans les pays occidentaux, il suffit que l’électricité ou l’eau s’arrêtent pendant une heure pour que de nombreuses plaintes soient formulées envers les autorités.
• Être reconnaissant pour Jésus.
1Timothée 1 : 12-13 « Je rends grâces à celui qui m’a fortifié, à Jésus-Christ notre Seigneur, de ce qu’il m’a jugé fidèle, en m’établissant dans le ministère. » Christ est notre Sauveur, il est mort pour nous, il nous aime, nous pardonne, etc. Comment oublier de le remercier ?
1Timothée 1 : 12-13 « Je rends grâces à celui qui m’a fortifié, à Jésus-Christ notre Seigneur, de ce qu’il m’a jugé fidèle, en m’établissant dans le ministère. » Christ est notre Sauveur, il est mort pour nous, il nous aime, nous pardonne, etc. Comment oublier de le remercier ?
• Être reconnaissant pour nos proches
1 Timothée 1 : 2 « Nous rendons continuellement grâces à Dieu pour vous tous, faisant mention de vous dans nos prières. » Dieu a placé à nos côtés nos semblables pour que nous Le découvrions, Lui, aussi à travers eux. Ceux qui nous entourent nous présentent tous une facette de Dieu. Nous pouvons donc lui dire merci pour les gens qu’il a placé à nos côtés dans notre famille, notre église ou notre travail. Ce n’est pas de l’hypocrisie ; il y a sans aucun doute certaines choses qui nous gênent chez les autres, mais cela ne doit pas nous empêcher de louer Dieu pour eux !
1 Timothée 1 : 2 « Nous rendons continuellement grâces à Dieu pour vous tous, faisant mention de vous dans nos prières. » Dieu a placé à nos côtés nos semblables pour que nous Le découvrions, Lui, aussi à travers eux. Ceux qui nous entourent nous présentent tous une facette de Dieu. Nous pouvons donc lui dire merci pour les gens qu’il a placé à nos côtés dans notre famille, notre église ou notre travail. Ce n’est pas de l’hypocrisie ; il y a sans aucun doute certaines choses qui nous gênent chez les autres, mais cela ne doit pas nous empêcher de louer Dieu pour eux !
• Connaître celui qui donne !
Imaginons un instant que votre père terrestre soit riche, puissant, fort, gentil… Avec toutes ces qualités, il ne va faire que de bonnes choses pour vous : de bons choix, les bonnes décisions, les bons cadeaux, les bons voyages, etc. Si vous le connaissez, vous allez lui faire confiance et lui dire merci même sans savoir ce qu’il vous donne, car vous avez confiance qu’il veut le meilleur ! Dieu est comme cela, et même si nous ne le connaissons encore qu’imparfaitement, nous pouvons déjà recevoir la certitude de sa plénitude d’amour et de sa complète fidélité dans l’adversité et l’épreuve. Ainsi, plus nous connaîtrons Dieu, notre Père, plus nous apprendrons à être reconnaissants et à le louer.
Imaginons un instant que votre père terrestre soit riche, puissant, fort, gentil… Avec toutes ces qualités, il ne va faire que de bonnes choses pour vous : de bons choix, les bonnes décisions, les bons cadeaux, les bons voyages, etc. Si vous le connaissez, vous allez lui faire confiance et lui dire merci même sans savoir ce qu’il vous donne, car vous avez confiance qu’il veut le meilleur ! Dieu est comme cela, et même si nous ne le connaissons encore qu’imparfaitement, nous pouvons déjà recevoir la certitude de sa plénitude d’amour et de sa complète fidélité dans l’adversité et l’épreuve. Ainsi, plus nous connaîtrons Dieu, notre Père, plus nous apprendrons à être reconnaissants et à le louer.
Romains 8 : 28 : « Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. »
Comment être reconnaissant
Nos prières, nos louanges et l’adoration sont de précieux moyens de remercier Dieu pour tout ce qu’il a fait et pour ce qu’il est.
Notre reconnaissance peut aussi s’exprimer par des comportements de gratitude. Aider, obéir et servir avec joie sont aussi des actes de reconnaissance. Ceux-ci ne doivent pas être des moyens de « payer » notre salut, mais d’offrir une réponse de gratitude à l’amour de Dieu.
Nos prières, nos louanges et l’adoration sont de précieux moyens de remercier Dieu pour tout ce qu’il a fait et pour ce qu’il est.
Notre reconnaissance peut aussi s’exprimer par des comportements de gratitude. Aider, obéir et servir avec joie sont aussi des actes de reconnaissance. Ceux-ci ne doivent pas être des moyens de « payer » notre salut, mais d’offrir une réponse de gratitude à l’amour de Dieu.
Dans ce sens, il est aussi important de communiquer notre reconnaissance à nos amis, nos proches, nos parents, nos frères et soeurs dans la foi.
Comment développer notre reconnaissance.
Notre reconnaissance va se développer selon la profondeur de notre relation avec Dieu. Ouvrir les yeux sur tout ce qu’il fait dans notre vie et dans ce monde sous l’emprise du mal est un bon moyen de découvrir sa bonté. Le Saint-Esprit est aussi une aide précieuse qui nous apprend à prier et à développer une attitude de reconnaissance envers les bienfaits de Dieu et cela non seulement dans les temps de culte, mais dans notre vécu. Car chaque instant est propice à la louange ! La reconnaissance est un thermomètre dans notre vie spirituelle ; elle montre souvent la température de notre foi. Si nous n’avons pas de gratitude sur nos lèvres, nous risquons bien d’être en dessous de zéro et de commencer à geler… « Afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra. » 1 Pierre 1 : 7.
Notre reconnaissance va se développer selon la profondeur de notre relation avec Dieu. Ouvrir les yeux sur tout ce qu’il fait dans notre vie et dans ce monde sous l’emprise du mal est un bon moyen de découvrir sa bonté. Le Saint-Esprit est aussi une aide précieuse qui nous apprend à prier et à développer une attitude de reconnaissance envers les bienfaits de Dieu et cela non seulement dans les temps de culte, mais dans notre vécu. Car chaque instant est propice à la louange ! La reconnaissance est un thermomètre dans notre vie spirituelle ; elle montre souvent la température de notre foi. Si nous n’avons pas de gratitude sur nos lèvres, nous risquons bien d’être en dessous de zéro et de commencer à geler… « Afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra. » 1 Pierre 1 : 7.
L’épreuve doit amener à la louange et non à l’amertume ! Par exemple, Job a eu plus d’épreuves qu’aucun autre homme sur la terre, mais, malgré ses souffrances, il a su garder une attitude de respect et de louange envers son Dieu. « Je suis sorti nu du sein de ma mère, et nu je retournerai dans le sein de la terre. L’Éternel a donné, et l’Éternel a ôté ; que le nom de l’Éternel soit béni ! En tout cela, Job ne pécha point et n’attribua rien d’injuste à Dieu. » Job 1 : 21-22.
Cet exemple de Job au sein du malheur et de l’adversité est une belle invitation à garder une attitude de reconnaissance et d’espérance en toute occasion. Car un jour, le Dieu vivant et généreux paraîtra pleinement et nous verrons alors comme nous étions aimés par lui.
Article tiré du livre « Aimer Dieu » de Sylvain Freymond, Éd. de Jeunesse en Mission
SOURCE: www.shekina.com
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Re: LA RECONNAISANCE ENVERS NOTRE CRÉATEUR...
Rendre grâce à Dieu pour ses bienfaits est un « devoir », déclare Benoît XVI
ROME, Dimanche 1er janvier 2006 (ZENIT.org) - Rendre grâce à Dieu pour ses bienfaits n’est pas seulement un « besoin du cœur », mais c’est aussi un « devoir », a affirmé Benoît XVI, samedi 31 décembre alors qu’il présidait les vêpres de la solennité de Marie Mère de Dieu, et le « Te Deum » d’action de grâce pour l’année écoulée.
« Louer et remercier Celui qui nous accompagne dans le temps sans jamais nous abandonner et qui veille toujours sur l’humanité avec la fidélité de son amour miséricordieux » a-t-il déclaré, n’est pas seulement un « besoin du cœur », mais c’est aussi un « devoir ».
Benoît XVI a également évoqué la famille à laquelle Jean-Paul II « a consacré de multiples interventions », persuadé que « la crise de la famille constitue un grave préjudice » pour notre civilisation.
Tout en insistant sur l’importance de rendre grâce de façon « intense », le pape a tenu à rappeler « de façon spéciale, ceux qui sont en difficulté : les personnes plus pauvres et abandonnées, ceux qui ont perdu l’espérance dans un sens fondé de leur propre vie, ou qui sont des victimes involontaires d’intérêts égoïstes ».
« Faisant nôtres leurs souffrances, a déclaré Benoît XVI, nous les confions tous à Dieu, qui sait tout faire concourir au bien ; nous Lui remettons notre aspiration à ce que chaque personne voie sa propre dignité de fils de Dieu accueillie. Nous demandons au Seigneur de la vie de soulager par sa grâce les peines provoquées par le mal ».
Pour terminer le pape a invité les fidèles à se tourner vers Marie, « celle qui donne la vie, mais aussi qui aide et enseigne à vivre ».
« Marie est Mère, Mère de Jésus à qui elle a donné son sang, son corps. Et c’est Elle qui nous présente le Verbe éternel du Père, venu habiter au milieu de nous », a conclu le pape.
A l’issue de la célébration, le pape a fait une brève visite à la crèche, place Saint Pierre.
SOURCE: www.catholique.org
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ROME, Dimanche 1er janvier 2006 (ZENIT.org) - Rendre grâce à Dieu pour ses bienfaits n’est pas seulement un « besoin du cœur », mais c’est aussi un « devoir », a affirmé Benoît XVI, samedi 31 décembre alors qu’il présidait les vêpres de la solennité de Marie Mère de Dieu, et le « Te Deum » d’action de grâce pour l’année écoulée.
« Louer et remercier Celui qui nous accompagne dans le temps sans jamais nous abandonner et qui veille toujours sur l’humanité avec la fidélité de son amour miséricordieux » a-t-il déclaré, n’est pas seulement un « besoin du cœur », mais c’est aussi un « devoir ».
Benoît XVI a également évoqué la famille à laquelle Jean-Paul II « a consacré de multiples interventions », persuadé que « la crise de la famille constitue un grave préjudice » pour notre civilisation.
Tout en insistant sur l’importance de rendre grâce de façon « intense », le pape a tenu à rappeler « de façon spéciale, ceux qui sont en difficulté : les personnes plus pauvres et abandonnées, ceux qui ont perdu l’espérance dans un sens fondé de leur propre vie, ou qui sont des victimes involontaires d’intérêts égoïstes ».
« Faisant nôtres leurs souffrances, a déclaré Benoît XVI, nous les confions tous à Dieu, qui sait tout faire concourir au bien ; nous Lui remettons notre aspiration à ce que chaque personne voie sa propre dignité de fils de Dieu accueillie. Nous demandons au Seigneur de la vie de soulager par sa grâce les peines provoquées par le mal ».
Pour terminer le pape a invité les fidèles à se tourner vers Marie, « celle qui donne la vie, mais aussi qui aide et enseigne à vivre ».
« Marie est Mère, Mère de Jésus à qui elle a donné son sang, son corps. Et c’est Elle qui nous présente le Verbe éternel du Père, venu habiter au milieu de nous », a conclu le pape.
A l’issue de la célébration, le pape a fait une brève visite à la crèche, place Saint Pierre.
SOURCE: www.catholique.org
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Re: LA RECONNAISANCE ENVERS NOTRE CRÉATEUR...
PAROLES D'ENCOURAGEMENT |
Non, les bontés de Dieu pour toi ne sont pas épuisées ! « Voici ce que je veux repasser en mon cœur, ce qui me donnera de l’espérance : les bontés de l’Eternel ne sont pas épuisées, ses compassions ne sont pas à leur terme ; elles se renouvellent chaque matin ! Oh ! Que sa fidélité est grande ! … C’est pourquoi je veux espérer en lui ; L’Eternel a de la bonté pour qui espère en lui…Il est bon d’attendre en silence le secours de l’Eternel. » (Lamentations 3 : 21-26) Plusieurs d’entre nous sommes parfois menacés par différentes craintes de la vie, en particulier celles de notre avenir. Elles peuvent venir troubler notre cœur ; certaines d’entre elles sont peut-être tout à fait personnelles, comme celles concernant notre propre existence, notre entreprise, notre santé, notre couple, notre famille, nos enfants (dont l’éducation donnée ne semble pas avoir laissé beaucoup d’impact)… et tant et tant d’autres choses. Nous avons souvent tant de raisons de ressasser nos malheurs à longueur de journée. Combien il est alors urgent et utile de détourner notre regard du sombre tableau de notre situation pour le porter vers notre Dieu et de repasser dans notre cœur les promesses de la Parole de Dieu comme celle que je viens de citer ! Refusons de méditer sur nos échecs, nos malheurs et efforçons-nous de penser à ce qui peut nous donner de l’espérance. Et quelle autre certitude le pourrait mieux que la fidélité de notre Seigneur ? Effectivement, même si les jours à venir semblent mauvais et sombres, voir sans espoir pour vous, si votre monde semble s’écrouler, souvenez-vous que les bontés de votre Dieu ne sont pas épuisées, qu’elles se renouvellent chaque matin pour chacun de nous. Ses compassions ne sont pas à leur terme, et elles ne le seront jamais, car elles sont inépuisables. Quand l’épreuve se prolonge, quand vous souffrez de l’ingratitude ou de l’hypocrisie ambiante, quand un drame se produit et vous pèse au point de sembler insupportable, le moment est alors plus que jamais venu de vous souvenir de l’essentiel : la bonté de Dieu qui prépare une solution et qui fait concourir toutes choses pour le bien de ceux qui L’aiment ; cette bonté n’est pas épuisée. Gloire au Seigneur ! Ses bontés se renouvellent chaque matin Ne vivons-nous pas chaque jour de Ses bontés ? C’est bien grâce à la fidélité de notre Seigneur que nous subsistons jour après jour, instant après instant. Avec le prophète Samuel, puissions-nous dire : « Jusqu’ici l’Eternel m’a secouru ». (1 Samuel 7 : 12). Indépendamment de mes erreurs, de mes infidélités, de mon incapacité d’être vraiment fidèle envers les autres, de mes manquements à l’égard de Dieu, Lui demeure fidèle à mon égard. Chacun d’entre nous l’a sans aucun doute expérimenté à plusieurs reprises dans sa propre vie : le Seigneur renouvelle ses bontés, sa compassion comme tout à nouveau chaque matin, et cela malgré les déceptions ou les moments difficiles de la veille. Que ces promesses de la Parole de Dieu vous rassurent : vous êtes portés sur les bras de votre Seigneur compatissant à travers toute votre existence, et ce jusqu’à la fin. « Voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. » (Matthieu 28 : 20). Ces paroles sont libératrices. Elles vous décrisperont, vous libèreront des craintes vaines que vous vous êtes peut-être infligé vous-même. Toutes pensées de frayeur ou d’angoisse pâliront face à la fidélité et la compassion infinies de notre Seigneur. Votre avenir est entre les mains de Dieu, et c’est également de Sa Main que vous viennent vos circonstances d’aujourd’hui, comme aussi celles de demain. Tout n’est pas perdu ! Non, tout n’est pas perdu pour vous : votre cause est et demeure dans la Main de Celui qui est Tout-Puissant, infiniment fidèle et qui vous aime. Puissiez-vous dire, avec le psalmiste : « C’est en toi, Seigneur, que j’espère » et je sais que « Ceux qui espèrent en Toi ne seront pas confus. Apprenez à vous exhorter vous-même, dites à votre âme : « Mon âme, espère en ton Dieu, confie-toi en Lui ». Il est invariablement bon. Heureux seront tous ceux qui se confient en Lui. Le prophète Jérémie pouvait dire lui aussi : « L’Eternel a de la bonté pour qui espère en Lui » (Lamentations 3 : 25). Celui qui dépose son avenir entre les mains infaillibles de son Dieu, conscient que la fidélité de son Seigneur à Ses promesses et à Sa Parole est plus grande que la sienne à son égard, verra son avenir s’éclairer. Car Dieu témoigne Sa fidélité et accorde Sa compassion à ceux qui ont confiance en Lui. En tant que chrétien, nous avons sûrement pris connaissance de ce principe divin. Confions-nous en Lui ! Puisse notre confiance en Dieu ne jamais faiblir, même lorsque les circonstances de notre vie ne semblent pas nous convenir ou qu’elles restent inchangées, que notre cœur est rempli de questions ou encore que notre chemin est obstrué ! Puissions-nous alors nous ressaisir, et repasser dans notre cœur les nombreuses bénédictions, les multiples interventions que le Seigneur, dans Sa grande compassion, nous a permis de vivre. Puissions-nous ne pas nous lasser de nous tourner vers Lui et, d’un cœur reconnaissant et du plus profond de notre être lui dire : « Seigneur, je veux encore et toujours compter sur Toi ; car je sais que Ta fidélité et Ta bonté à mon égard sont sans limites. Jusqu’ici Tu m’as secouru ! Je veux continuer d’aller de l’avant avec Toi, comptant sur Ta grâce et Ton amour infini démontré à la croix où Tu es mort à Ma place, et que Tu ne cesses de manifester jour après jour à mon égard ». Y a-t-il un amour plus grand que celui de notre merveilleux Sauveur et Seigneur ? Comment oserais-je douter un seul instant de sa bonté à mon égard, lui qui m’a tant aimé jusqu’à mourir pour moi ! Dorothée Hatzakortzian |
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Re: LA RECONNAISANCE ENVERS NOTRE CRÉATEUR...
Paul de Limoges a écrit:
donc la premier urgence de nos vie s'est de l'a lui demandé dans la priere si nous avons un peu de foi.Surtout si nous voulons etre de frere de foi en Jésus adulte et reconnaissent en vers notre créateur.
amitiés
paul de LIMOGES
Le ministère des portes Catholiques
(Catholic Doors Ministry)
vous présente
UN TRÉSOIR
DE 324 PRIÈRES CATHOLIQUES
UN TRÈS BEAU SITE CATHOLIQUE DU CANADA...
CLIQUER SUR LES PRIÈRES EN FRANÇAIS.
www.catholicdoors.com
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donc la premier urgence de nos vie s'est de l'a lui demandé dans la priere si nous avons un peu de foi.Surtout si nous voulons etre de frere de foi en Jésus adulte et reconnaissent en vers notre créateur.
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