Documentaire effrayant de la guerre nucléaire proche et très probable?

RumuliHa a écrit:Bonjour Gilles,
oui en 1996.
J'avais présenté cela sur ce blog en 2012, j'y ai ajouté quelques précisions.

Bonjour RumuliHa !

Croyez-vous que ces événements peuvent être évités ?   Sinon, restera-t-il encore quelques survivants sur cette planète après cette destruction nucléaire ?

R123 a écrit:1996, le 22 septembre, j’écoutais à la radio une partie de ce que proclamait à Reims Jean Paul II le Pape, je résidais à vol d’oiseau à une quarantaine de kilomètres, j’étais attentif et ému en l’écoutant.

Le même soir, situé dans une pièce de la même maison  je me couche, mais aussitôt je me retrouve « soulevé comme une plume et positionné debout » dans un paysage. La réalité de la pièce où j’avais prévu de m’assoupir m’était moins visible et réelle que le paysage dans lequel j’étais situé simultanément. Alors arrivent un homme solide, barbe et cheveux bouclés blancs, vêtu d’un tissu blanc lui aussi ; un enfant est assis sur son avant-bras gauche ; ils avançaient vers moi, de face. Le gros bâton tel un gourdin d’1m60  (à peu près), que maintenait l’homme (comme un homme de la Terre), tranche l’eau du petit fleuve, l’eau coulait pourtant avec force ; ils venaient de l’autre rive sablée...
J’étais surpris, stupéfait et curieux ; je comprenais : c’est l’enfant (comme un fils d’homme de trois à cinq ans) qui portait en fait l’homme par sa puissance céleste, pour la traversée. La sensation d’être rassuré m'était présente.

Après avoir parcourus trois à cinq mètres sur le sol en ma direction, ils s’arrêtent face à moi à distance d’un bras à peu près ; là mon regard se dirige vers celui de l’enfant qui me fixe…je vois (il m’est donné de pénétrer) qu’il a un savoir de « tout ce qui est », un regard de paix et d’un Ancien. Je ne connais pas leurs noms et pourtant je connais l’Enfant au plus profond de moi, c’est inexplicable avec des mots d’ici-bas. Il me transmettait par l’Esprit quelque chose…que je ne peux expliquer avec des mots d’ici.
Puis l’homme avec l’enfant sur son bras gauche s’éloignent ; mais au loin l’homme se retourne, (l’enfant a disparu)  l’homme est « différent », comme un autre homme, plus jeune, toujours barbu mais proche du brun, il porte comme une fourrure autour de la taille attaché avec une bretelle de peau à l’épaule, il est fort et je l’aperçois comme un Géant ; je l’aperçois de face.

Puis telle une roue translucide apparait sur sa gauche, elle est comme maintenue par son bras gauche, dedans il y a un triangle translucide (base en bas) avec en partie du sable dedans ; au dessus du sable il y a une écriture hébraïque qui apparait, il me l’indique avec sa main droite qui passe devant lui vers sa gauche : c’est une phrase qui ne se nomme pas mais qui veut dire que c’est « de la part de Dieu ». Puis le géant tourne la roue et le triangle tourne un peu, dirigeant ainsi le sommet suivant vers le bas mais pas tout à fait, en même temps comme un curseur apparait sur la droite de l’homme (tel un homme), le curseur fait à peu près sa hauteur, de ses pieds à la tête, le curseur progresse, les évènements sur la planète se succèdent ; Simultanément, en même temps que la roue tourne doucement, le sable s’écoule, se vidant du triangle, et en même temps qu’il s’écoule m’est montré :
«  Je vois la Construction d’une immense ville, quasi paisible, une ville immense qui est au Nord du Nord de l’Afrique.  Puis la vue s’élargit, panoramique d’une grande partie de la planète. D’un coup, les « évènements de destruction ! » ; une sorte de missile très puissant quitte le sol (Syrie ou près de la Syrie, je ne dis pas des syriens) et parvient sur les bâtis de la ville du Nord de l’Afrique ; Aussitôt a lieu une réplique (tout était prêt) par des lancements de missiles, bombes, dans tous les sens de la part d’une majorité des pays de la planète envers plusieurs autres pays ; réponse sur réponse, explosions sur explosions se sont accélérées et amplifiées jusqu’à la quasi destruction finale de l’Humanité ; mais à cet ultime instant il y a tout d’un coup un Silence, « le Silence », celui qui dure une partie de temps dans les temps (comme de six heures moins le quart à moins dix) - ce n’est pas une mesure comme l’homme d’ici la mesure -) ; le Silence que Dieu ordonne... Je ne puis en dire plus « de cet instant »…
Puis, je vois une plage sablée, un vieillard barbu (j’avais une sensation que je ne décrirai pas ici), patient, est assis face à la mer sur un rocher, presque adossé à la paroi verticale également rocheuse sur la gauche ; Puis, de l’écume des vagues qui se terminent au sable de la plage, sortent des hommes et femmes jeunes (d’à peine vingt ans), ils sortent seul à seul puis de plus en plus nombreux et se dirigent vers le vieillard qui les attendait ; comme pour s’instruire de lui (de la part de Dieu), car c’est comme s’ils n’avaient « aucune mémoire » de ce qui c‘était passé avant sur la planète, tout comme une « nouvelle génération » qui n’a plus la mémoire de la l’Humanité précédente disparue.

Puis la roue s’arrête,  le triangle est proche d’avoir la pointe au bas, mais cela s’arrête quelques instants « avant », pour cette Humanité jeune et nouvelle.
Pour ce qui est (arrive)  après que la pointe du triangle soit totalement en bas, il ne m’appartient pas de le savoir ni de le transmettre.

Fraternellement en Christ