l ordre des skulls and bones
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Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Les menaces à la liberté et à la Vie :: LES ILLUMINATIS, LES SOCIÉTES SECRÈTES
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l ordre des skulls and bones
Cauchemar américain
Skull and Bones, l’élite de l’Empire
Au sein de la très élitiste et puritaine université de Yale sont co-optés chaque année quinze fils de très bonne famille. Ils forment une société secrète aux rituels morbides : les Skull and Bones (Crâne et os). Tout au long de leur vie, ils se soutiennent et s’entraident face aux velléités démocratiques d’une plèbe qu’ils abhorrent. Le prochain président des États-Unis sera l’un de ses huit cents initiés : George W. Bush et John Kerry en sont membres depuis trente-six ans.
L’association des Skull & Bones nourrit une importante littérature conspirationniste, qui rend responsable ses membres du scandale du Watergate, de l’invasion de la Baie des Cochons ou encore de l’assassinat de John F. Kennedy. Par ses connexions avec le milieu des affaires, notamment le secteur bancaire, ces anciens potaches de l’université de Yale contrôleraient la finance mondiale, voire l’avenir de la planète. Les Skull & Bones auraient d’ailleurs noyauté le Council on Foreign Relations, la Commission Trilatérale, la CIA, etc.
Il n’est pas question de discuter dans Voltaire, une publication laïque, de l’ésotérisme pratiqué au sein de cette organisation au cours des rites d’initiation, ou des cérémonies annuelles, mais d’analyser sa fonction sociale et son éventuel rôle politique. Les Skull & Bones illustrent surtout comment, aux États-Unis, s’est perfectionné un système de reproduction des élites par le biais d’une sélection qui, contrairement au mythe du self-made man, ne doit rien au hasard ou aux qualités individuelles. En effet, comme le souligne Anthony Sutton, les membres les plus actifs de l’organisation viennent d’un « noyau d’environ 20 à 30 familles », attachées à la défense de leur héritage et de leur lignée. Il existe ainsi de nombreux mariages entre des représentants des familles membres des Skull & Bones, bien que seuls les étudiants mâles aient pu, jusqu’à une date récente, adhérer à l’organisation.
Yale, une université puritaine et élitiste
Les Skull & Bones sont nés sur le campus de l’université de Yale. Un choix qui, selon la remarquable enquête de la journaliste de l’ Atlantic Monthly, Alexandra Robbins, ne doit rien au hasard
Au début du XVIIIe siècle, l’ensemble des universités états-uniennes, qu’il s’agisse d’Harvard, Dartmouth, Williams, Bowdoin, Middlebury ou encore Amherst, ont été fondées par des Congrégationnalistes. Mais ils subissent alors la concurrence des Presbytériens, ce qui incite le président d’Harvard, Increase Mather, à agir. En 1701, il quitte son poste et créée une nouvelle université, « afin que l’Intérêt de la Religion soit préservé, et que la Vérité soit transmise aux générations futures ». Avec l’aide de dix pasteurs, dont neuf viennent d’Harvard, il parvient ainsi à fonder le Collegiate School of Connecticut. En 1711, Isaac Newton, Richard Steel et Elihu Yale sont approchés pour transmettre des livres de leur collection personnelle à la jeune institution. Les contacts avec Yale, devenu extrêmement riche grâce à ses activités au sein de la Compagnie des Indes orientales et en tant que gouverneur de la colonie de Madras, sont particulièrement fructueux. Non content de fournir des livres, il finance également largement l’université, qui lui rend hommage en prenant son nom, à partir de 1720, Yale University.
Les liens avec le congrégationnalisme garantissent le puritanisme de l’enseignement et du mode de fonctionnement de Yale. Les étudiants et professeurs doivent prononcer une profession de foi à leur entrée dans l’établissement, et peuvent être renvoyés si leur sincérité est sérieusement mise en doute. À ce puritanisme s’ajoute un élitisme forcené : les étudiants sont classés, dès leur arrivée à Yale, non pas en fonction de leurs capacités, mais de la position sociale de leurs parents. En tête de classe, les fils ou petit-fils de gouverneurs, de vice-gouverneurs. Puis viennent les membres des familles de juges de la Cour suprême. Un plus bas dans le classement, on trouve les fils de pasteurs et d’anciens élèves. En queue de peloton, les fils de fermiers, de marchands et d’artisans. Ce classement décide de la place attribuée à chaque élève dans les salles de classe, à la chapelle et à la cantine. Le plus étonnant, note Alexandra Robbins, n’est pas que ce classement d’entrée dépende du statut social de la famille de l’élève, chose courante dans beaucoup d’universités au XVIIIe siècle, mais plutôt qu’il n’évolue pas avec la scolarité. Ainsi Yale devient l’exemple idéal-typique d’une institution reproduisant les élites et leur hiérarchie interne. Le déclassement est en général occasionné par un manquement disciplinaire, et sanctionne le fait que l’élève a ainsi entaché l’honneur de sa famille.
Il faut ajouter à ce mode de fonctionnement peu banal la licence explicitement donnée aux élèves plus âgés de bizuter, voire de brimer et d’humilier les étudiants des classes inférieures. Le règlement prévoit une série de mesures visant à assurer le respect de la hiérarchie la plus arbitraire, fondée uniquement sur l’âge. Lyman Bagg a raconté dans un ouvrage, Quatre ans à Yale, paru anonymement en 1871, comment il analysait les mécanismes mis en place par l’institution. Ces pratiques autorisées reflètent selon lui le « pouvoir énorme des "coutumes" de l’école dans la création d’une folie temporaire qui fait des hommes faibles des êtres cruels et des hommes bons des êtres sans pitié ».
Cette propension à l’élitisme, à la hiérarchie brutale et au puritanisme incite les élèves, à la fin du XVIIIe siècle, à monter plusieurs sociétés parallèles à l’université. Il s’agit au départ d’associations littéraires, telles que Linonia et Brothers in Unity. L’ensemble des élèves est appelé à adhérer à l’une ou l’autre des organisations. Ce qui n’est pas assez élitiste pour ceux qui souhaitent une stricte reproduction de la nouvelle « aristocratie » états-unienne. En 1780 la branche Alpha de l’organisation Phi Betta Kappa est fondée à Yale. Plusieurs autres sociétés fleurissent à l’époque : la Beethoven Society, l’Hexahedron Club... Petit à petit, les salons littéraires perdent de leur importance, remplacés par des sociétés secrètes, plus élitistes et plus fermées. Au milieu du XIXe siècle, on en dénombre trois principales : les Skull and Bones (Crâne et os), les Scroll and Key (Parchemin et clé) et Wolf’s Head (Tête de loup).
Parallèlement, le corps enseignant de Yale décide de suivre le mouvement. Six ans après la création de Skull & Bones, six membres de l’élite enseignante de l’université se réunissent au sein du « Club », bientôt appelé le « Old Man’s Club ». Parmi ses six membres fondateurs, on trouve les professeurs Josiah Willard Gibbs et Theodore Dwight Woolsey. Bientôt, l’organisation comptera dans ses rangs William Howard Taft, le futur chief justice du Connecticut Simeon E. Baldwin, l’universitaire Thomas Bergin, le neurochirurgien Harvey Cushing, et le fondateur des Skull & Bones, William H. Russell. Seuls Thomas Bergin et Harvey Cushing ne deviendront pas, par ailleurs membre des Skull & Bones.
La guerre de l’opium
L’université de Yale était un terreau particulièrement fertile pour qu’y prospère une société secrète aussi élitiste et influente que les Skull & Bones. Mais le succès de cette organisation secrète doit aussi beaucoup à la personnalité de son fondateur, William H. Russell. Celui-ci appartient à la grande famille Russell, dont l’un des membres, le révérend Noadah Russell, membre éminent de l’Église congrétionnaliste, a participé à la création de Yale. La famille Russell s’est également impliquée dans la grande guerre de l’opium qui oppose le Royaume-Uni à la Chine dans la première moitié du XIXe siècle.En 1856, les Skull and Bones sont officiellement incorporés au sein du Russell Trust, propriété de William H. Russell, grâce à Daniel Coit Gilman (Bones 1852), président fondateur de l’Université John Hopkins. Le 13 mars de la même année, l’organisation déménage son quartier général au sein d’un bâtiment impressionnant sur le campus de Yale, pompeusement baptisé « la Tombe ». L’endroit est rapidement submergé de reliques guerrières et morbides : on y trouve, d’après les témoignages de membres recueillis par Alexandra Robbins, une accumulation de drapeaux, de tentures noires, d’armes recueillies sur les champs de bataille. Pour ne pas oublier qu’il s’agit d’une confrérie d’étudiants, une série de balles de baseball provenant des rencontres mythiques remportées par Yale est exposée dans une pièce. Le logo de la tête de mort est apposée quasiment sur tous les endroits vierges, tandis que des ossements de carcasses animales sont accrochées à divers murs. Quelques squelettes et ossements humains sont également exposés. La plupart des tableaux présents dans l’enceinte représentent la Mort rencontrant tel ou tel personnage célèbre. Une atmosphère proche de l’univers de la famille Adams selon Marina Moscovici, conservateur d’art du Connecticut qui a travaillé à la restauration d’une quinzaine de tableaux en 1999.
Une polémique a éclaté au début des années 1980 autour du crâne de Géronimo, que les Skull & Bones prétendaient détenir. Ils le montrèrent même à un chef de tribu apache d’Arizona, Ned Anderson. Alors qu’on leur en demandait la restitution, les membres de l’organisation présentèrent un crâne différent de celui montré précédemment, et dont l’analyse révéla qu’il s’agissait de celui d’un enfant de dix ans, et non de celui du chef indien. L’authenticité de la relique, qui a depuis regagné « la Tombe », reste donc discutable.
Quartier général des Skull & Bones, situé sur le campus de l’université de Yale et baptisé « la Tombe ».
Le fonctionnement de l’organisation est aujourd’hui mieux connu. Quinze membres sont recrutés chaque année, ce qui permet d’estimer à environ 800 le nombre de membres vivants de l’organisation à n’importe quelle date donnée. Encadrés par des membres plus anciens, les quinze nouveaux impétrants se réunissent deux fois par semaine pendant un an, pour discuter à la fois de leur vie, de leurs études ou de leurs projets professionnels. Des débats sur des questions politiques et sociales ont également lieu. Une fois par an, la société organise une retraite à Deer Iland, une vaste île située dans le fleuve Saint-Laurent, près de New York, où a été construit un club cossu à l’anglaise. Il s’agit bien de Deer Iland et non de Deer Island, conformément à la volonté de George D. Miller, membre des Skull & Bones et généreux donateur de la résidence
Le rituel d’initiation a fait l’objet des interprétations les plus folles de la part des détracteurs de l’organisation. Pourtant, comme le rituel maçonnique, c’est essentiellement le secret qui l’entoure qui en est l’élément le plus déterminant. Et s’il est possible que les cérémonies se déroulant au sein de « la Tombe » aient eu, un temps, des conotations paganistes, voire satanistes, il faut également rappeler que le bizutage des nouveaux élèves de Yale était, par le passé, particulièrement cruel. Cependant, il est improbable qu’on demande aujourd’hui aux étudiants sélectionnés pour entrer dans l’organisation de se prêter à des jeux sexuels morbides devant l’ensemble des autres initiés.
LE PRÉSIDENT GEORGE W. BUSH DU TEXAS EST AUSSI UN MEMBRE DE LA SOCIÉTÉ SECRÈTE ILLUMINATI SATANIQUE, LES SKULL & BONES !
Les conservateurs et les chrétiens voient la campagne présidentielle du républicain George W. Bush du Texas comme pouvant sauver ce pays des ravages du président du nouvel ordre mondial, Clinton. Ils ne réalisent pas que ce George W. Bush est autant Illuministe et autant impliqué pour un nouvel ordre mondial!
Le nouvel ordre mondial s'en vient! Êtes-vous prêt? Une fois que vous comprendrez ce qu'est vraiment ce nouvel ordre mondial, et comment il est graduellement mis en application, vous pourrez le voir progresser dans vos nouvelles quotidiennes!!
"Selon Robert Goldsborough de Washington Dateline , le gouverneur George Bush a un ingrédient secret qui l'aidera dans sa gagure d'être le prochain président de l'Amérique -- adhésion dans une société qui est bien plus secrète que la francmaçonnerie. La société a les noms, non officiels des Skull and Bones et/ou The Order, et ses membres sont désignés habituellement sous le nom de 'Bonesmen'."
"The Order a été fondé à Yale en 1833 et l'adhésion y est une tradition chez la famille Bush. Le Gouverneur Bush a été introduit aux Skull and Bones en 1968; son père, [ président ] George Herbert Walker Bush, a été introduit en 1948; et son grand-père, Prescott S. Bush, qui a servi comme sénateur aux ETATS-UNIS, a été introduit en 1917."
Quelles nouvelles terribles! Être un membre des Skull and Bones signifie que vous êtes purement Illuministe , puisque cet ordre se trace directement au groupe d'Iluminati de la Bavière d'Adam Weishaupt. Si vous êtes insatisfait des politiques antichrétiennes et des attitudes du président Clinton, vous n'obtiendrez aucun soulagement d'un président George W. Bush; il ne retournera pas en arrière sur aucune de ces avancées pour le nouvel ordre mondial qui s'est produit sous la direction du président Clinton, et nous verrions probablement beaucoup plus d'avancement dans d'autres secteurs. Généralement, quand les Illuminatis veulent un avancement dans la société américaine interne, ils essayent de placer un démocrate en pouvoir; mais quand ils veulent un avancement dans les affaires étrangères, ils essayent de placer un républicain au pouvoir. Si George W. Bush a été sélectionné pour succéder au président Clinton, cela doit signifier que des avancements significatifs dans la politique internationale sont projetés.
SOCIÉTÉ SECRÈTE DES SKULL AND BONES
Dans des articles passés, nous avons déclaré que le nouvel ordre mondial ne pourrait pas avoir été réalisé sans les activités intenses de diverses sociétés secrètes à travers le monde entier. Nous avons mentionné une société secrète mondiale, la confrérie de la société de la mort (Brotherhood Of Death Society) , dont le symbole est le crâne avec deux os croisés.
La confrérie allemande de la société de la mort est la société de Thule (Thule Society) . Adolf Hitler a joint cette société en 1919, devenant un adepte sous la conduite de Dietrich Eckhart.
LA SOCIÉTÉ DE THULE DE HITLER
Les membres de Thule pratiquaient une forme de magie sexuelle dérivée d'une loge de laquelle Aleister Crowley était un membre. Crowley était identifié comme le plus grand adorateur de Satan au 19ème siècle. "L'origine de cette... magie médiévale... peut être tracée à un francmaçon, Robert Little, qui a fondé la Societas Rosicruciana en 1865... C'est la société de Thule.
PLUS DE PARALLÈLES SKULL AND BONES AVEC LA SOCIÉTÉ DE THULE DE HITLER
"La cérémonie de renaissance a lieu dans un grand cerceuil..Ceci est semblable au symbolisme du cercueil qui... est trouvé dans la plupart des rituels de loge."
Ne soyez pas trompé : Le nouvel ordre mondial de Bush et de Clinton est identique à celui de Hitler !
Depuis 1776, le président des Etats-Unis est la position politique la plus importante dans le monde des maîtres de l'Illuminati. La pyramide non terminée occulte sur le dos de notre billet d'un dollar officiel, avec l'oeil de Horus [ Lucifer ] sur le dessus, vous indique la vérité à ce sujet. Si quelqu'un réussissait à prendre cette position, de président, et essayait de se retourner contre les Illuminati, il serait assassiné. (kennedy)
Skull and Bones, l’élite de l’Empire
Au sein de la très élitiste et puritaine université de Yale sont co-optés chaque année quinze fils de très bonne famille. Ils forment une société secrète aux rituels morbides : les Skull and Bones (Crâne et os). Tout au long de leur vie, ils se soutiennent et s’entraident face aux velléités démocratiques d’une plèbe qu’ils abhorrent. Le prochain président des États-Unis sera l’un de ses huit cents initiés : George W. Bush et John Kerry en sont membres depuis trente-six ans.
L’association des Skull & Bones nourrit une importante littérature conspirationniste, qui rend responsable ses membres du scandale du Watergate, de l’invasion de la Baie des Cochons ou encore de l’assassinat de John F. Kennedy. Par ses connexions avec le milieu des affaires, notamment le secteur bancaire, ces anciens potaches de l’université de Yale contrôleraient la finance mondiale, voire l’avenir de la planète. Les Skull & Bones auraient d’ailleurs noyauté le Council on Foreign Relations, la Commission Trilatérale, la CIA, etc.
Il n’est pas question de discuter dans Voltaire, une publication laïque, de l’ésotérisme pratiqué au sein de cette organisation au cours des rites d’initiation, ou des cérémonies annuelles, mais d’analyser sa fonction sociale et son éventuel rôle politique. Les Skull & Bones illustrent surtout comment, aux États-Unis, s’est perfectionné un système de reproduction des élites par le biais d’une sélection qui, contrairement au mythe du self-made man, ne doit rien au hasard ou aux qualités individuelles. En effet, comme le souligne Anthony Sutton, les membres les plus actifs de l’organisation viennent d’un « noyau d’environ 20 à 30 familles », attachées à la défense de leur héritage et de leur lignée. Il existe ainsi de nombreux mariages entre des représentants des familles membres des Skull & Bones, bien que seuls les étudiants mâles aient pu, jusqu’à une date récente, adhérer à l’organisation.
Yale, une université puritaine et élitiste
Les Skull & Bones sont nés sur le campus de l’université de Yale. Un choix qui, selon la remarquable enquête de la journaliste de l’ Atlantic Monthly, Alexandra Robbins, ne doit rien au hasard
Au début du XVIIIe siècle, l’ensemble des universités états-uniennes, qu’il s’agisse d’Harvard, Dartmouth, Williams, Bowdoin, Middlebury ou encore Amherst, ont été fondées par des Congrégationnalistes. Mais ils subissent alors la concurrence des Presbytériens, ce qui incite le président d’Harvard, Increase Mather, à agir. En 1701, il quitte son poste et créée une nouvelle université, « afin que l’Intérêt de la Religion soit préservé, et que la Vérité soit transmise aux générations futures ». Avec l’aide de dix pasteurs, dont neuf viennent d’Harvard, il parvient ainsi à fonder le Collegiate School of Connecticut. En 1711, Isaac Newton, Richard Steel et Elihu Yale sont approchés pour transmettre des livres de leur collection personnelle à la jeune institution. Les contacts avec Yale, devenu extrêmement riche grâce à ses activités au sein de la Compagnie des Indes orientales et en tant que gouverneur de la colonie de Madras, sont particulièrement fructueux. Non content de fournir des livres, il finance également largement l’université, qui lui rend hommage en prenant son nom, à partir de 1720, Yale University.
Les liens avec le congrégationnalisme garantissent le puritanisme de l’enseignement et du mode de fonctionnement de Yale. Les étudiants et professeurs doivent prononcer une profession de foi à leur entrée dans l’établissement, et peuvent être renvoyés si leur sincérité est sérieusement mise en doute. À ce puritanisme s’ajoute un élitisme forcené : les étudiants sont classés, dès leur arrivée à Yale, non pas en fonction de leurs capacités, mais de la position sociale de leurs parents. En tête de classe, les fils ou petit-fils de gouverneurs, de vice-gouverneurs. Puis viennent les membres des familles de juges de la Cour suprême. Un plus bas dans le classement, on trouve les fils de pasteurs et d’anciens élèves. En queue de peloton, les fils de fermiers, de marchands et d’artisans. Ce classement décide de la place attribuée à chaque élève dans les salles de classe, à la chapelle et à la cantine. Le plus étonnant, note Alexandra Robbins, n’est pas que ce classement d’entrée dépende du statut social de la famille de l’élève, chose courante dans beaucoup d’universités au XVIIIe siècle, mais plutôt qu’il n’évolue pas avec la scolarité. Ainsi Yale devient l’exemple idéal-typique d’une institution reproduisant les élites et leur hiérarchie interne. Le déclassement est en général occasionné par un manquement disciplinaire, et sanctionne le fait que l’élève a ainsi entaché l’honneur de sa famille.
Il faut ajouter à ce mode de fonctionnement peu banal la licence explicitement donnée aux élèves plus âgés de bizuter, voire de brimer et d’humilier les étudiants des classes inférieures. Le règlement prévoit une série de mesures visant à assurer le respect de la hiérarchie la plus arbitraire, fondée uniquement sur l’âge. Lyman Bagg a raconté dans un ouvrage, Quatre ans à Yale, paru anonymement en 1871, comment il analysait les mécanismes mis en place par l’institution. Ces pratiques autorisées reflètent selon lui le « pouvoir énorme des "coutumes" de l’école dans la création d’une folie temporaire qui fait des hommes faibles des êtres cruels et des hommes bons des êtres sans pitié ».
Cette propension à l’élitisme, à la hiérarchie brutale et au puritanisme incite les élèves, à la fin du XVIIIe siècle, à monter plusieurs sociétés parallèles à l’université. Il s’agit au départ d’associations littéraires, telles que Linonia et Brothers in Unity. L’ensemble des élèves est appelé à adhérer à l’une ou l’autre des organisations. Ce qui n’est pas assez élitiste pour ceux qui souhaitent une stricte reproduction de la nouvelle « aristocratie » états-unienne. En 1780 la branche Alpha de l’organisation Phi Betta Kappa est fondée à Yale. Plusieurs autres sociétés fleurissent à l’époque : la Beethoven Society, l’Hexahedron Club... Petit à petit, les salons littéraires perdent de leur importance, remplacés par des sociétés secrètes, plus élitistes et plus fermées. Au milieu du XIXe siècle, on en dénombre trois principales : les Skull and Bones (Crâne et os), les Scroll and Key (Parchemin et clé) et Wolf’s Head (Tête de loup).
Parallèlement, le corps enseignant de Yale décide de suivre le mouvement. Six ans après la création de Skull & Bones, six membres de l’élite enseignante de l’université se réunissent au sein du « Club », bientôt appelé le « Old Man’s Club ». Parmi ses six membres fondateurs, on trouve les professeurs Josiah Willard Gibbs et Theodore Dwight Woolsey. Bientôt, l’organisation comptera dans ses rangs William Howard Taft, le futur chief justice du Connecticut Simeon E. Baldwin, l’universitaire Thomas Bergin, le neurochirurgien Harvey Cushing, et le fondateur des Skull & Bones, William H. Russell. Seuls Thomas Bergin et Harvey Cushing ne deviendront pas, par ailleurs membre des Skull & Bones.
La guerre de l’opium
L’université de Yale était un terreau particulièrement fertile pour qu’y prospère une société secrète aussi élitiste et influente que les Skull & Bones. Mais le succès de cette organisation secrète doit aussi beaucoup à la personnalité de son fondateur, William H. Russell. Celui-ci appartient à la grande famille Russell, dont l’un des membres, le révérend Noadah Russell, membre éminent de l’Église congrétionnaliste, a participé à la création de Yale. La famille Russell s’est également impliquée dans la grande guerre de l’opium qui oppose le Royaume-Uni à la Chine dans la première moitié du XIXe siècle.En 1856, les Skull and Bones sont officiellement incorporés au sein du Russell Trust, propriété de William H. Russell, grâce à Daniel Coit Gilman (Bones 1852), président fondateur de l’Université John Hopkins. Le 13 mars de la même année, l’organisation déménage son quartier général au sein d’un bâtiment impressionnant sur le campus de Yale, pompeusement baptisé « la Tombe ». L’endroit est rapidement submergé de reliques guerrières et morbides : on y trouve, d’après les témoignages de membres recueillis par Alexandra Robbins, une accumulation de drapeaux, de tentures noires, d’armes recueillies sur les champs de bataille. Pour ne pas oublier qu’il s’agit d’une confrérie d’étudiants, une série de balles de baseball provenant des rencontres mythiques remportées par Yale est exposée dans une pièce. Le logo de la tête de mort est apposée quasiment sur tous les endroits vierges, tandis que des ossements de carcasses animales sont accrochées à divers murs. Quelques squelettes et ossements humains sont également exposés. La plupart des tableaux présents dans l’enceinte représentent la Mort rencontrant tel ou tel personnage célèbre. Une atmosphère proche de l’univers de la famille Adams selon Marina Moscovici, conservateur d’art du Connecticut qui a travaillé à la restauration d’une quinzaine de tableaux en 1999.
Une polémique a éclaté au début des années 1980 autour du crâne de Géronimo, que les Skull & Bones prétendaient détenir. Ils le montrèrent même à un chef de tribu apache d’Arizona, Ned Anderson. Alors qu’on leur en demandait la restitution, les membres de l’organisation présentèrent un crâne différent de celui montré précédemment, et dont l’analyse révéla qu’il s’agissait de celui d’un enfant de dix ans, et non de celui du chef indien. L’authenticité de la relique, qui a depuis regagné « la Tombe », reste donc discutable.
Quartier général des Skull & Bones, situé sur le campus de l’université de Yale et baptisé « la Tombe ».
Le fonctionnement de l’organisation est aujourd’hui mieux connu. Quinze membres sont recrutés chaque année, ce qui permet d’estimer à environ 800 le nombre de membres vivants de l’organisation à n’importe quelle date donnée. Encadrés par des membres plus anciens, les quinze nouveaux impétrants se réunissent deux fois par semaine pendant un an, pour discuter à la fois de leur vie, de leurs études ou de leurs projets professionnels. Des débats sur des questions politiques et sociales ont également lieu. Une fois par an, la société organise une retraite à Deer Iland, une vaste île située dans le fleuve Saint-Laurent, près de New York, où a été construit un club cossu à l’anglaise. Il s’agit bien de Deer Iland et non de Deer Island, conformément à la volonté de George D. Miller, membre des Skull & Bones et généreux donateur de la résidence
Le rituel d’initiation a fait l’objet des interprétations les plus folles de la part des détracteurs de l’organisation. Pourtant, comme le rituel maçonnique, c’est essentiellement le secret qui l’entoure qui en est l’élément le plus déterminant. Et s’il est possible que les cérémonies se déroulant au sein de « la Tombe » aient eu, un temps, des conotations paganistes, voire satanistes, il faut également rappeler que le bizutage des nouveaux élèves de Yale était, par le passé, particulièrement cruel. Cependant, il est improbable qu’on demande aujourd’hui aux étudiants sélectionnés pour entrer dans l’organisation de se prêter à des jeux sexuels morbides devant l’ensemble des autres initiés.
LE PRÉSIDENT GEORGE W. BUSH DU TEXAS EST AUSSI UN MEMBRE DE LA SOCIÉTÉ SECRÈTE ILLUMINATI SATANIQUE, LES SKULL & BONES !
Les conservateurs et les chrétiens voient la campagne présidentielle du républicain George W. Bush du Texas comme pouvant sauver ce pays des ravages du président du nouvel ordre mondial, Clinton. Ils ne réalisent pas que ce George W. Bush est autant Illuministe et autant impliqué pour un nouvel ordre mondial!
Le nouvel ordre mondial s'en vient! Êtes-vous prêt? Une fois que vous comprendrez ce qu'est vraiment ce nouvel ordre mondial, et comment il est graduellement mis en application, vous pourrez le voir progresser dans vos nouvelles quotidiennes!!
"Selon Robert Goldsborough de Washington Dateline , le gouverneur George Bush a un ingrédient secret qui l'aidera dans sa gagure d'être le prochain président de l'Amérique -- adhésion dans une société qui est bien plus secrète que la francmaçonnerie. La société a les noms, non officiels des Skull and Bones et/ou The Order, et ses membres sont désignés habituellement sous le nom de 'Bonesmen'."
"The Order a été fondé à Yale en 1833 et l'adhésion y est une tradition chez la famille Bush. Le Gouverneur Bush a été introduit aux Skull and Bones en 1968; son père, [ président ] George Herbert Walker Bush, a été introduit en 1948; et son grand-père, Prescott S. Bush, qui a servi comme sénateur aux ETATS-UNIS, a été introduit en 1917."
Quelles nouvelles terribles! Être un membre des Skull and Bones signifie que vous êtes purement Illuministe , puisque cet ordre se trace directement au groupe d'Iluminati de la Bavière d'Adam Weishaupt. Si vous êtes insatisfait des politiques antichrétiennes et des attitudes du président Clinton, vous n'obtiendrez aucun soulagement d'un président George W. Bush; il ne retournera pas en arrière sur aucune de ces avancées pour le nouvel ordre mondial qui s'est produit sous la direction du président Clinton, et nous verrions probablement beaucoup plus d'avancement dans d'autres secteurs. Généralement, quand les Illuminatis veulent un avancement dans la société américaine interne, ils essayent de placer un démocrate en pouvoir; mais quand ils veulent un avancement dans les affaires étrangères, ils essayent de placer un républicain au pouvoir. Si George W. Bush a été sélectionné pour succéder au président Clinton, cela doit signifier que des avancements significatifs dans la politique internationale sont projetés.
SOCIÉTÉ SECRÈTE DES SKULL AND BONES
Dans des articles passés, nous avons déclaré que le nouvel ordre mondial ne pourrait pas avoir été réalisé sans les activités intenses de diverses sociétés secrètes à travers le monde entier. Nous avons mentionné une société secrète mondiale, la confrérie de la société de la mort (Brotherhood Of Death Society) , dont le symbole est le crâne avec deux os croisés.
La confrérie allemande de la société de la mort est la société de Thule (Thule Society) . Adolf Hitler a joint cette société en 1919, devenant un adepte sous la conduite de Dietrich Eckhart.
LA SOCIÉTÉ DE THULE DE HITLER
Les membres de Thule pratiquaient une forme de magie sexuelle dérivée d'une loge de laquelle Aleister Crowley était un membre. Crowley était identifié comme le plus grand adorateur de Satan au 19ème siècle. "L'origine de cette... magie médiévale... peut être tracée à un francmaçon, Robert Little, qui a fondé la Societas Rosicruciana en 1865... C'est la société de Thule.
PLUS DE PARALLÈLES SKULL AND BONES AVEC LA SOCIÉTÉ DE THULE DE HITLER
"La cérémonie de renaissance a lieu dans un grand cerceuil..Ceci est semblable au symbolisme du cercueil qui... est trouvé dans la plupart des rituels de loge."
Ne soyez pas trompé : Le nouvel ordre mondial de Bush et de Clinton est identique à celui de Hitler !
Depuis 1776, le président des Etats-Unis est la position politique la plus importante dans le monde des maîtres de l'Illuminati. La pyramide non terminée occulte sur le dos de notre billet d'un dollar officiel, avec l'oeil de Horus [ Lucifer ] sur le dessus, vous indique la vérité à ce sujet. Si quelqu'un réussissait à prendre cette position, de président, et essayait de se retourner contre les Illuminati, il serait assassiné. (kennedy)
nico- Invité
Re: l ordre des skulls and bones
Dite moi si je me trompe mais il y a un film enfin 3 qui s'appellent "The Skulls" film americain concernant des gamins qui rentrent dans cette societé "secrete" (elle n'est plus secréte d'ailleur !)
Vous en pensez quoi ?
Vous en pensez quoi ?
PatrioteFR- Aime la Bible
- Messages : 10
Inscription : 04/07/2005
Re: l ordre des skulls and bones
a mon sens, les scrulls sont une société d'intérét... rien de plus...
AZERTY- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
- Messages : 152
Inscription : 31/05/2005
SKULL
c'est une société secrète très puissante et G.W.BUSH e nfait parite tout comme john kerry !
LAWAKER
LAWAKER
LAWAKER- Invité
rite dinitiation
Le rituel d'initiation de l'ordre
"La dernière année (de ses études à Yale), je suis devenu membre du Skull and Bones, une société secrète, si secrète en vérité que je ne peux en dire davantage. Je m’y suis fait 14 nouveaux amis 2 ".
George W Bush est à ce jour la seule personne à avoir osé briser le secret de l'appartenance à la société secrète du Skull and Bones. Ce chapître vous montrera qui peut être réellement l'une des personnes les plus puissantes du monde. Il aura fallu attendre pas moins de 170 ans pour avoir des images d'un rituel qui ne concerne qu'environ 800 personnes par génération. Cette société secrète est au coeur de l'appareil d'Etat américain et de sa puissance. Grâce au travail et surtout à l'audace inouïe d'un journaliste travaillant pour le New-York Observer et de quelques étudiants de Yale, nous allons essayer de comprendre de quoi il retourne.
Rappellons que la famille Bush fait partie de cette société secrète depuis maintenant trois générations.
Ron Rosenbaum et son équipe ont réussi à être les premiers à décrire ce qui se passe chaque année lors de l'initiation des 15 nouveaux membres du Skull and Bones. L'opération qui le leur a permis s'est déroulée durant la nuit du samedi 14 avril 2002 et a nécessité l'utilisation d'un webcam à vision nocturne, pointé vers l'intérieur du tombeau sanctuaire grâce à une petite ouverture en son sein.
Un bonesman vétu d'une robe de cérémonie se trouvait près de George W. qui haranguait les néophytes avec sa voix traînante et typique du Texas : "je vais vous aléser comme j'ai alésé Al Gore" et "je vais vous tuer comme j’ai tué Al Gore". Ensuite, les autres bonesmen présents ont commencé à se moquer, de manière méprisante, de ce qui était arrivé à Abner Louima3 tout en criant à plusieurs reprises : "Enlève ce piston hors de mon cul!" Cela vous donne déjà une idée du haut degré de civisme, d'éducation et surtout du caractère raciste de cette bande de riches WASP prétentieux.
Il est important de se rappeler qu'il ne s'agit pas du rituel d’initiation d’une fraternité quelconque. Nous avons affaire au rituel d'initiation de ce qui est probablement, en terme de puissance réelle, la plus puissante société secrète du monde (n'oublions pas que nous parlons des membres des familles les plus hauts placés de l'establishment du pays le plus puissant du monde, les USA). C'est autre chose que la Cosa Nostra, par exemple, qui n'est déjà pas n'importe quelle organisation, mais ici, il s'agit de gens qui vont contrôler une énorme partie de l'appareil d'Etat américain! Ainsi, on pourrait dire, ce sont les mots du spécialiste Maureen Dowd, que les Bush sont les WASP Corleones! C'est une cérémonie d’initiation qui a forgé des diplomates, des nababs des médias, des banquiers et des espions dans un esprit de perpétuelle camaraderie multi-générationnelle bien plus influente que dans n'importe quelle autre fraternité et/ou groupe social. C'était et cela reste toujours depuis plus de 150 ans, le coeur du coeur de l'establishmlent américain.
Cet article fournit aussi d'autres révélations obtenues par l'opération des membres de l'équipe de the observer et par la découverte de documents officiels. Elles incluent:
• les mots secrets du SandB appelés "mantra de la mort."
• les copies des déclarations d'impôt du SandB obtenues par des requêtes rendues possibles par le Freedom of Information Act, qui posent la question de la légitimité de la réclamation de remboursement de la société secrète. Celle-ci possède, en effet, un statut légal particulier l’exemptant d'impôts via des allégations de dons à caractère charitable.
Le Diable Égale La Mort :
L'expédition de Ron a commencé plusieurs mois auparavant, avec un appel téléphonique de Peggy Adler, l'associée de recherche de Rosenbaum dans son précédent article concernant le SandB et qui a été publié dans the observer le 17 juillet 2000. Cette investigatrice diabolique (qui entre autres coups a été de l'équipe qui a découvert le pot au rose des contrats iraniens(l'Irangate)) a réussi a établir que le SandB a réussi a s'en sortir fiscalement en changeant son nom en RTA inc. (Russel Trust Association), et cela en réussissant à briser les codes du RTA. Le SandB a ainsi été protégé. Mme Adler a dit qu'elle avait été approchée par un membre de la communauté de Yale qui voulait partager avec elle et Ron un coup remarquable. Cet étudiant avait réussi, en avril 2000, à enregistrer sur une bande magnétique sonore la cérémonie d’initiation du SandB. Et il a voulu savoir si ils étaient intéressés par une opération consistant, cette fois,à essayer de l'enregistrer en vidéo.
Il était important pour Ron d'entendre réellement les enregistrements du rituel d'initiation du SandB. Mais l'écoute de cette bande l'a mené à un mélange de perpexlité et d'embarras et même à une une curiosité plus profonde encore. Cette curiosité exacerbée est évidement due au fait que le rituel avait été entendu mais pas vu. L'étudiant de Yale lui avait tendu une perche jamais exploitée auparavant en enregistrant les sons de la cérémonie, mais celle-ci apparaissait de manière évidement incomplète. L'étudiant lui également a rapporté avoir vu un type habillée comme le diable, un autre portant un costume de squelette et d'autres dans des robes longues. En écoutant l'enregistrement, la chose que Ron s'est représenté était qu'il s'agissait du "mantra de la mort." Oui, le mantra de la mort est ce thème de trois lignes qui déclenche le rituel du SandB et lie les membres à jamais :
LE PENDU ÉGALE LA MORT! LE DIABLE ÉGALE LA MORT! LA MORT ÉGALE LA MORT!'
La majorité des croyances spéculatives au sujet du rituel du SandB étaient toujours centrées sur la mort. L'histoire la plus persistante voulait que les initiés passent leur dernière année dans la crypte de sous-sol du sanctuaire (The Tomb), où chacun à leur tour ils se placent dans un cercueil et, se lancent dans de longues et intenses sessions de discussions psycho-dramatiques autobiographiques, racontant leur histoire personnelle et sexuelle aux 14 autres élus choisis. Cette méthode s'avère être la meilleure manière de les lier à vie et cela les prépare à leur destin d'administrateurs du pays en tant que membres de l'establishment WASP. L'imagerie centrée sur la mort, l'injonction faite aux initiés qu'ils doivent "mourir au monde barbare" et renaître à la "compagnie élyséenne" des élus de l'ordre, comme ils l'appellent, est ce qui fait que le SandB est radicalement différent d'une fraternité universitaire normale. Inlassablement le mantra est répeté : Le pendu égale la mort. Le diable égale la mort. La mort égale la mort....
"La dernière année (de ses études à Yale), je suis devenu membre du Skull and Bones, une société secrète, si secrète en vérité que je ne peux en dire davantage. Je m’y suis fait 14 nouveaux amis 2 ".
George W Bush est à ce jour la seule personne à avoir osé briser le secret de l'appartenance à la société secrète du Skull and Bones. Ce chapître vous montrera qui peut être réellement l'une des personnes les plus puissantes du monde. Il aura fallu attendre pas moins de 170 ans pour avoir des images d'un rituel qui ne concerne qu'environ 800 personnes par génération. Cette société secrète est au coeur de l'appareil d'Etat américain et de sa puissance. Grâce au travail et surtout à l'audace inouïe d'un journaliste travaillant pour le New-York Observer et de quelques étudiants de Yale, nous allons essayer de comprendre de quoi il retourne.
Rappellons que la famille Bush fait partie de cette société secrète depuis maintenant trois générations.
Ron Rosenbaum et son équipe ont réussi à être les premiers à décrire ce qui se passe chaque année lors de l'initiation des 15 nouveaux membres du Skull and Bones. L'opération qui le leur a permis s'est déroulée durant la nuit du samedi 14 avril 2002 et a nécessité l'utilisation d'un webcam à vision nocturne, pointé vers l'intérieur du tombeau sanctuaire grâce à une petite ouverture en son sein.
Un bonesman vétu d'une robe de cérémonie se trouvait près de George W. qui haranguait les néophytes avec sa voix traînante et typique du Texas : "je vais vous aléser comme j'ai alésé Al Gore" et "je vais vous tuer comme j’ai tué Al Gore". Ensuite, les autres bonesmen présents ont commencé à se moquer, de manière méprisante, de ce qui était arrivé à Abner Louima3 tout en criant à plusieurs reprises : "Enlève ce piston hors de mon cul!" Cela vous donne déjà une idée du haut degré de civisme, d'éducation et surtout du caractère raciste de cette bande de riches WASP prétentieux.
Il est important de se rappeler qu'il ne s'agit pas du rituel d’initiation d’une fraternité quelconque. Nous avons affaire au rituel d'initiation de ce qui est probablement, en terme de puissance réelle, la plus puissante société secrète du monde (n'oublions pas que nous parlons des membres des familles les plus hauts placés de l'establishment du pays le plus puissant du monde, les USA). C'est autre chose que la Cosa Nostra, par exemple, qui n'est déjà pas n'importe quelle organisation, mais ici, il s'agit de gens qui vont contrôler une énorme partie de l'appareil d'Etat américain! Ainsi, on pourrait dire, ce sont les mots du spécialiste Maureen Dowd, que les Bush sont les WASP Corleones! C'est une cérémonie d’initiation qui a forgé des diplomates, des nababs des médias, des banquiers et des espions dans un esprit de perpétuelle camaraderie multi-générationnelle bien plus influente que dans n'importe quelle autre fraternité et/ou groupe social. C'était et cela reste toujours depuis plus de 150 ans, le coeur du coeur de l'establishmlent américain.
Cet article fournit aussi d'autres révélations obtenues par l'opération des membres de l'équipe de the observer et par la découverte de documents officiels. Elles incluent:
• les mots secrets du SandB appelés "mantra de la mort."
• les copies des déclarations d'impôt du SandB obtenues par des requêtes rendues possibles par le Freedom of Information Act, qui posent la question de la légitimité de la réclamation de remboursement de la société secrète. Celle-ci possède, en effet, un statut légal particulier l’exemptant d'impôts via des allégations de dons à caractère charitable.
Le Diable Égale La Mort :
L'expédition de Ron a commencé plusieurs mois auparavant, avec un appel téléphonique de Peggy Adler, l'associée de recherche de Rosenbaum dans son précédent article concernant le SandB et qui a été publié dans the observer le 17 juillet 2000. Cette investigatrice diabolique (qui entre autres coups a été de l'équipe qui a découvert le pot au rose des contrats iraniens(l'Irangate)) a réussi a établir que le SandB a réussi a s'en sortir fiscalement en changeant son nom en RTA inc. (Russel Trust Association), et cela en réussissant à briser les codes du RTA. Le SandB a ainsi été protégé. Mme Adler a dit qu'elle avait été approchée par un membre de la communauté de Yale qui voulait partager avec elle et Ron un coup remarquable. Cet étudiant avait réussi, en avril 2000, à enregistrer sur une bande magnétique sonore la cérémonie d’initiation du SandB. Et il a voulu savoir si ils étaient intéressés par une opération consistant, cette fois,à essayer de l'enregistrer en vidéo.
Il était important pour Ron d'entendre réellement les enregistrements du rituel d'initiation du SandB. Mais l'écoute de cette bande l'a mené à un mélange de perpexlité et d'embarras et même à une une curiosité plus profonde encore. Cette curiosité exacerbée est évidement due au fait que le rituel avait été entendu mais pas vu. L'étudiant de Yale lui avait tendu une perche jamais exploitée auparavant en enregistrant les sons de la cérémonie, mais celle-ci apparaissait de manière évidement incomplète. L'étudiant lui également a rapporté avoir vu un type habillée comme le diable, un autre portant un costume de squelette et d'autres dans des robes longues. En écoutant l'enregistrement, la chose que Ron s'est représenté était qu'il s'agissait du "mantra de la mort." Oui, le mantra de la mort est ce thème de trois lignes qui déclenche le rituel du SandB et lie les membres à jamais :
LE PENDU ÉGALE LA MORT! LE DIABLE ÉGALE LA MORT! LA MORT ÉGALE LA MORT!'
La majorité des croyances spéculatives au sujet du rituel du SandB étaient toujours centrées sur la mort. L'histoire la plus persistante voulait que les initiés passent leur dernière année dans la crypte de sous-sol du sanctuaire (The Tomb), où chacun à leur tour ils se placent dans un cercueil et, se lancent dans de longues et intenses sessions de discussions psycho-dramatiques autobiographiques, racontant leur histoire personnelle et sexuelle aux 14 autres élus choisis. Cette méthode s'avère être la meilleure manière de les lier à vie et cela les prépare à leur destin d'administrateurs du pays en tant que membres de l'establishment WASP. L'imagerie centrée sur la mort, l'injonction faite aux initiés qu'ils doivent "mourir au monde barbare" et renaître à la "compagnie élyséenne" des élus de l'ordre, comme ils l'appellent, est ce qui fait que le SandB est radicalement différent d'une fraternité universitaire normale. Inlassablement le mantra est répeté : Le pendu égale la mort. Le diable égale la mort. La mort égale la mort....
Dernière édition par le Lun 5 Déc 2005 - 2:19, édité 1 fois
nico- Invité
skull skull
meme cet abruti de bush a avoue en faire parti ainsi que john kerry
et dire que ceratine personne croit toujour que les skull and bone n est qu une invention
tous contre ses pourris
et dire que ceratine personne croit toujour que les skull and bone n est qu une invention
tous contre ses pourris
Re: l ordre des skulls and bones
Le rituel d'initiation de l'ordre
"La dernière année (de ses études à Yale), je suis devenu membre du Skull and Bones, une société secrète, si secrète en vérité que je ne peux en dire davantage. Je m’y suis fait 14 nouveaux amis 2 ".
George W Bush est à ce jour la seule personne à avoir osé briser le secret de l'appartenance à la société secrète du Skull and Bones. Ce chapître vous montrera qui peut être réellement l'une des personnes les plus puissantes du monde. Il aura fallu attendre pas moins de 170 ans pour avoir des images d'un rituel qui ne concerne qu'environ 800 personnes par génération. Cette société secrète est au coeur de l'appareil d'Etat américain et de sa puissance. Grâce au travail et surtout à l'audace inouïe d'un journaliste travaillant pour le New-York Observer et de quelques étudiants de Yale, nous allons essayer de comprendre de quoi il retourne.
Rappellons que la famille Bush fait partie de cette société secrète depuis maintenant trois générations.
Ron Rosenbaum et son équipe ont réussi à être les premiers à décrire ce qui se passe chaque année lors de l'initiation des 15 nouveaux membres du Skull and Bones. L'opération qui le leur a permis s'est déroulée durant la nuit du samedi 14 avril 2002 et a nécessité l'utilisation d'un webcam à vision nocturne, pointé vers l'intérieur du tombeau sanctuaire grâce à une petite ouverture en son sein.
Un bonesman vétu d'une robe de cérémonie se trouvait près de George W. qui haranguait les néophytes avec sa voix traînante et typique du Texas : "je vais vous aléser comme j'ai alésé Al Gore" et "je vais vous tuer comme j’ai tué Al Gore". Ensuite, les autres bonesmen présents ont commencé à se moquer, de manière méprisante, de ce qui était arrivé à Abner Louima3 tout en criant à plusieurs reprises : "Enlève ce piston hors de mon cul!" Cela vous donne déjà une idée du haut degré de civisme, d'éducation et surtout du caractère raciste de cette bande de riches WASP prétentieux.
Il est important de se rappeler qu'il ne s'agit pas du rituel d’initiation d’une fraternité quelconque. Nous avons affaire au rituel d'initiation de ce qui est probablement, en terme de puissance réelle, la plus puissante société secrète du monde (n'oublions pas que nous parlons des membres des familles les plus hauts placés de l'establishment du pays le plus puissant du monde, les USA). C'est autre chose que la Cosa Nostra, par exemple, qui n'est déjà pas n'importe quelle organisation, mais ici, il s'agit de gens qui vont contrôler une énorme partie de l'appareil d'Etat américain! Ainsi, on pourrait dire, ce sont les mots du spécialiste Maureen Dowd, que les Bush sont les WASP Corleones! C'est une cérémonie d’initiation qui a forgé des diplomates, des nababs des médias, des banquiers et des espions dans un esprit de perpétuelle camaraderie multi-générationnelle bien plus influente que dans n'importe quelle autre fraternité et/ou groupe social. C'était et cela reste toujours depuis plus de 150 ans, le coeur du coeur de l'establishmlent américain.
Cet article fournit aussi d'autres révélations obtenues par l'opération des membres de l'équipe de the observer et par la découverte de documents officiels. Elles incluent:
• les mots secrets du SandB appelés "mantra de la mort."
• les copies des déclarations d'impôt du SandB obtenues par des requêtes rendues possibles par le Freedom of Information Act, qui posent la question de la légitimité de la réclamation de remboursement de la société secrète. Celle-ci possède, en effet, un statut légal particulier l’exemptant d'impôts via des allégations de dons à caractère charitable.
Le Diable Égale La Mort :
L'expédition de Ron a commencé plusieurs mois auparavant, avec un appel téléphonique de Peggy Adler, l'associée de recherche de Rosenbaum dans son précédent article concernant le SandB et qui a été publié dans the observer le 17 juillet 2000. Cette investigatrice diabolique (qui entre autres coups a été de l'équipe qui a découvert le pot au rose des contrats iraniens(l'Irangate)) a réussi a établir que le SandB a réussi a s'en sortir fiscalement en changeant son nom en RTA inc. (Russel Trust Association), et cela en réussissant à briser les codes du RTA. Le SandB a ainsi été protégé. Mme Adler a dit qu'elle avait été approchée par un membre de la communauté de Yale qui voulait partager avec elle et Ron un coup remarquable. Cet étudiant avait réussi, en avril 2000, à enregistrer sur une bande magnétique sonore la cérémonie d’initiation du SandB. Et il a voulu savoir si ils étaient intéressés par une opération consistant, cette fois,à essayer de l'enregistrer en vidéo.
C'est ainsi qu'un après-midi de décembre 2000, peu de temps après que la victoire électorale de Bush ait été certifiée, Rosenbaum a rencontré cet intrépide bonhomme ; il a branché son appareil et lui a fait écouter les bruits d'une cérémonie ayant été un des sujets de spéculations enfiévrées depuis maintenant presque deux siècles. Naturellement, il y a plus au SandB que le kitsh énorme et mystique de ses rituels qui sont moins importants que les liens-rapports de puissance et d’influence qui se développent entre les bonesmen et ce, après avoir reçu leur diplôme. Mais les rapports sont d'abord forgés par les rituels et les Tafts, les Bundys, le Buckleys, les Harrimans, les Lovetts, les Bush, tous ont participé à ce rituel et tous font partie de ce cercle très fermé de gens ayant un vrai pouvoir dans ce monde ; à savoir être les fondateurs de Time Inc., de la C.I.A, aussi bien qu'avoir eu dans leurs rangs plusieurs secrétaires d'état ou encore des conseillers de la sécurité nationale (qui ont pris, entre autre, la décision de larguer la bombe sur Hiroshima, d’envahir la baie des cochons ou encore de plonger les USA dans la guerre du Vietnam) . Les liens qu’ils ont ainsi tissés leurs permettent : un niveau de confort incroyable avec le secret, une sorte de compréhension non verbale entre-eux (comme des signes d'assentiment et des clins d'oeil) avec lesquels leur puissance est exercée.
"La dernière année (de ses études à Yale), je suis devenu membre du Skull and Bones, une société secrète, si secrète en vérité que je ne peux en dire davantage. Je m’y suis fait 14 nouveaux amis 2 ".
George W Bush est à ce jour la seule personne à avoir osé briser le secret de l'appartenance à la société secrète du Skull and Bones. Ce chapître vous montrera qui peut être réellement l'une des personnes les plus puissantes du monde. Il aura fallu attendre pas moins de 170 ans pour avoir des images d'un rituel qui ne concerne qu'environ 800 personnes par génération. Cette société secrète est au coeur de l'appareil d'Etat américain et de sa puissance. Grâce au travail et surtout à l'audace inouïe d'un journaliste travaillant pour le New-York Observer et de quelques étudiants de Yale, nous allons essayer de comprendre de quoi il retourne.
Rappellons que la famille Bush fait partie de cette société secrète depuis maintenant trois générations.
Ron Rosenbaum et son équipe ont réussi à être les premiers à décrire ce qui se passe chaque année lors de l'initiation des 15 nouveaux membres du Skull and Bones. L'opération qui le leur a permis s'est déroulée durant la nuit du samedi 14 avril 2002 et a nécessité l'utilisation d'un webcam à vision nocturne, pointé vers l'intérieur du tombeau sanctuaire grâce à une petite ouverture en son sein.
Un bonesman vétu d'une robe de cérémonie se trouvait près de George W. qui haranguait les néophytes avec sa voix traînante et typique du Texas : "je vais vous aléser comme j'ai alésé Al Gore" et "je vais vous tuer comme j’ai tué Al Gore". Ensuite, les autres bonesmen présents ont commencé à se moquer, de manière méprisante, de ce qui était arrivé à Abner Louima3 tout en criant à plusieurs reprises : "Enlève ce piston hors de mon cul!" Cela vous donne déjà une idée du haut degré de civisme, d'éducation et surtout du caractère raciste de cette bande de riches WASP prétentieux.
Il est important de se rappeler qu'il ne s'agit pas du rituel d’initiation d’une fraternité quelconque. Nous avons affaire au rituel d'initiation de ce qui est probablement, en terme de puissance réelle, la plus puissante société secrète du monde (n'oublions pas que nous parlons des membres des familles les plus hauts placés de l'establishment du pays le plus puissant du monde, les USA). C'est autre chose que la Cosa Nostra, par exemple, qui n'est déjà pas n'importe quelle organisation, mais ici, il s'agit de gens qui vont contrôler une énorme partie de l'appareil d'Etat américain! Ainsi, on pourrait dire, ce sont les mots du spécialiste Maureen Dowd, que les Bush sont les WASP Corleones! C'est une cérémonie d’initiation qui a forgé des diplomates, des nababs des médias, des banquiers et des espions dans un esprit de perpétuelle camaraderie multi-générationnelle bien plus influente que dans n'importe quelle autre fraternité et/ou groupe social. C'était et cela reste toujours depuis plus de 150 ans, le coeur du coeur de l'establishmlent américain.
Cet article fournit aussi d'autres révélations obtenues par l'opération des membres de l'équipe de the observer et par la découverte de documents officiels. Elles incluent:
• les mots secrets du SandB appelés "mantra de la mort."
• les copies des déclarations d'impôt du SandB obtenues par des requêtes rendues possibles par le Freedom of Information Act, qui posent la question de la légitimité de la réclamation de remboursement de la société secrète. Celle-ci possède, en effet, un statut légal particulier l’exemptant d'impôts via des allégations de dons à caractère charitable.
Le Diable Égale La Mort :
L'expédition de Ron a commencé plusieurs mois auparavant, avec un appel téléphonique de Peggy Adler, l'associée de recherche de Rosenbaum dans son précédent article concernant le SandB et qui a été publié dans the observer le 17 juillet 2000. Cette investigatrice diabolique (qui entre autres coups a été de l'équipe qui a découvert le pot au rose des contrats iraniens(l'Irangate)) a réussi a établir que le SandB a réussi a s'en sortir fiscalement en changeant son nom en RTA inc. (Russel Trust Association), et cela en réussissant à briser les codes du RTA. Le SandB a ainsi été protégé. Mme Adler a dit qu'elle avait été approchée par un membre de la communauté de Yale qui voulait partager avec elle et Ron un coup remarquable. Cet étudiant avait réussi, en avril 2000, à enregistrer sur une bande magnétique sonore la cérémonie d’initiation du SandB. Et il a voulu savoir si ils étaient intéressés par une opération consistant, cette fois,à essayer de l'enregistrer en vidéo.
C'est ainsi qu'un après-midi de décembre 2000, peu de temps après que la victoire électorale de Bush ait été certifiée, Rosenbaum a rencontré cet intrépide bonhomme ; il a branché son appareil et lui a fait écouter les bruits d'une cérémonie ayant été un des sujets de spéculations enfiévrées depuis maintenant presque deux siècles. Naturellement, il y a plus au SandB que le kitsh énorme et mystique de ses rituels qui sont moins importants que les liens-rapports de puissance et d’influence qui se développent entre les bonesmen et ce, après avoir reçu leur diplôme. Mais les rapports sont d'abord forgés par les rituels et les Tafts, les Bundys, le Buckleys, les Harrimans, les Lovetts, les Bush, tous ont participé à ce rituel et tous font partie de ce cercle très fermé de gens ayant un vrai pouvoir dans ce monde ; à savoir être les fondateurs de Time Inc., de la C.I.A, aussi bien qu'avoir eu dans leurs rangs plusieurs secrétaires d'état ou encore des conseillers de la sécurité nationale (qui ont pris, entre autre, la décision de larguer la bombe sur Hiroshima, d’envahir la baie des cochons ou encore de plonger les USA dans la guerre du Vietnam) . Les liens qu’ils ont ainsi tissés leurs permettent : un niveau de confort incroyable avec le secret, une sorte de compréhension non verbale entre-eux (comme des signes d'assentiment et des clins d'oeil) avec lesquels leur puissance est exercée.
Dernière édition par le Lun 5 Déc 2005 - 2:15, édité 1 fois
nico- Invité
Re: l ordre des skulls and bones
La cérémonie d’initiation commence avec le processus consistant à inculquer aux élus de la future élite (juste 15 étudiants sur 1.300 dans chaque classe de Yale sont choisis pour devenir membre du SandB) le même sens mystique d'une mission qu'ils auraient à remplir. Le phénomène entier est rarement examiné au delà des piéges rituels de l'exotisme des sociétés secrètes (bien qu'Evan Thomas et Walter Isaacson parlent de l'influence de ce réseau mondial des mandarins du Skull and Bones sur la politique étrangère dans The wise man (les hommes sages). Rosenbaum étudie le phénomène du SandB depuis un quart de siècle maintanant. Tout en préparant une licence à Yale il vivait à côté de "The tomb" (l'endroit secret où se réunissent les bonesmen à Yale) et en 1977, il édita un premier livre sur ses rituels et son influence sur la culture politique américaine : The Secret Parts of Fortune (une version a été mise à jour, révisée pour inclure sa récente interview avec George et Barbara Bush dans Air Force Two.
Il était important pour Ron d'entendre réellement les enregistrements du rituel d'initiation du SandB. Mais l'écoute de cette bande l'a mené à un mélange de perpexlité et d'embarras et même à une une curiosité plus profonde encore. Cette curiosité exacerbée est évidement due au fait que le rituel avait été entendu mais pas vu. L'étudiant de Yale lui avait tendu une perche jamais exploitée auparavant en enregistrant les sons de la cérémonie, mais celle-ci apparaissait de manière évidement incomplète. L'étudiant lui également a rapporté avoir vu un type habillée comme le diable, un autre portant un costume de squelette et d'autres dans des robes longues. En écoutant l'enregistrement, la chose que Ron s'est représenté était qu'il s'agissait du "mantra de la mort." Oui, le mantra de la mort est ce thème de trois lignes qui déclenche le rituel du SandB et lie les membres à jamais :LE PENDU ÉGALE LA MORT! LE DIABLE ÉGALE LA MORT! LA MORT ÉGALE LA MORT!'
La majorité des croyances spéculatives au sujet du rituel du SandB étaient toujours centrées sur la mort. L'histoire la plus persistante voulait que les initiés passent leur dernière année dans la crypte de sous-sol du sanctuaire (The Tomb), où chacun à leur tour ils se placent dans un cercueil et, se lancent dans de longues et intenses sessions de discussions psycho-dramatiques autobiographiques, racontant leur histoire personnelle et sexuelle aux 14 autres élus choisis. Cette méthode s'avère être la meilleure manière de les lier à vie et cela les prépare à leur destin d'administrateurs du pays en tant que membres de l'establishment WASP. L'imagerie centrée sur la mort, l'injonction faite aux initiés qu'ils doivent "mourir au monde barbare" et renaître à la "compagnie élyséenne" des élus de l'ordre, comme ils l'appellent, est ce qui fait que le SandB est radicalement différent d'une fraternité universitaire normale. Inlassablement le mantra est répeté : Le pendu égale la mort. Le diable égale la mort. La mort égale la mort....
Que diable va-t-il donc sortir de ce bourrage de crâne? S'agit-il d'un dénouement sylogistique tiré de la logique aristotélicienne comme "tous les hommes sont mortels. Socrate est mortel... "? La solution (conclusion) est-elle : "le pendu égale le diable?" Peut-on y détecter un thème de la punition capitale, le pendu présageant ici le taux prolifique d'exécutions de George w. quand il était gouverneur du Texas? "George W. égale la mort," pourrait-on dire.
Et que diriez-vous du diable? (le type habillée en diable). Est ce le secret qu'ils ont réussi à dissimuler depuis que la société a été fondée en 1832, à savoir la ramification d'une société secrète allemande qui vouerait un culte au diable? Serait-ce la réalisation des imaginations paranoïaquess de la droite fondamentaliste, qui croient en l'établissement d'un NWO et d'une conspiration satanique?
Probablement pas, mais en tout cas cette bande sonore a rendu Ron plus emballé que jamais à tenter de prendre sur le vif et à capturer sur une bande vidéo le rite d'initiation de la société du SandB. Son intention est de définir un rite de passage de la classe régnante américaine dans un but éducatif, historique, anthropologique et journalistique.
Sur l'enregistrement sonore on pouvait entendre les néophytes pousser des cris comme ceux que poussent les indigènes dans les films de tarzan : "ooga booga". Cette partie était assez embarrassante car elle ne se retrouve pas sur le film que tournèrent RosenBaum et sa bande. Le plus probable est qu'il s'agisse d'une sorte d'improvisation comme quand G W Bush dit aux néophytes :" je vais vous aléser comme j'ai alésé Al Gore, ...". En outre il est difficile de prendre au sérieux cette partie de la cérémonie car ne l'oublions pas, il s'agit quand même de la future élite des USA. Cela mis RosenBaum dans une certaine perpexlité. Mais soit.
Le rituel se déroule durant la nuit du samedi 12 avril 2002. Il y a en fait deux étapes : une le jeudi et une le samedi qui est la véritable nuit d'initiation. Toujours est-il que ce samedi 12 avril, à la tombée de la nuit, arrivent silemencieusement des limousines transportant des initiés d'autres sociétés secrètes à travers les rues du campus de Yale. Les néophytes du Skull and Bones arrivent à pieds, frappent sur la massive porte en bois triplement verrouillée du tombeau et sont transportés vers la première étape du rituel. La première chose que firent les membres de l'équipe d'investigation, fut un examen rapide des classements des impôts du Skull and Bones en fonction des revenus de l'ordre. Un conseiller extérieur à l'équipe avaient obtenu, grâce au "freedom of information act" un formulaire 990 (Return of Organization Exempt from Income Tax) qui contenait des affirmations douteuses. En effet, Peggy Adler et cet étudiant ont ainsi précisé que l'organisation était exemptée de l'impôt sur le revenu en raison de dons de charités imaginaires. En particulier, l'affirmation dans le document RTA inc. de 1997 (partie VI, ligne 80b) selon laquelle l'organisation n'est reliée à aucune fraternité commune, trust, organisation gouvernemantale, ni à n'importe quelle autre organisation exemptée ou non-exemptée d'impôt. La contradiction de cette affirmation est démontrée par le formlaire concernant la Deer Island Club Corporation. L'île de Deer Island est en effet l'île privée du Skull and Bones et est située sur la St-Lawrence River qui est l'endroit où les membres du Skull and Bones passent leurs vacances d'été ensembles et avec leurs familles. Cette île est entièrement possédé par des membres du Skull and Bones ce qui contredit les affirmations des bonesmen selon lesquels il n'existerait aucun rapport avec une autre organisation exemptée d'impôt. Ainsi le but du point 80b du formulaire réclamant une déduction pour le Skull and Bones est de masquer, sous couvert d'activités charitables exemptes d'impôts, des activités qui ne le sont pas en les faisant passer pour une autre société. C'est précisément ce que RTA Inc. accomplit à travers la Deer Island Club Corporation. Ainsi, afin de cacher cet arrangement, RTA Inc. nie sa connection avec la Deer Island Club Corporation. En fait RTA inc. et DIIC sont tellement liés que c'est à des fins pratiques que RTA inc. possède l'île de Deer Island., et ce, en dépit du fait qu'ils affirment le contraire. Les membres du SandB ont certainement de bonnes raisons de clamer qu'ils n'ont aucun liens avec l'île de Deer Island. Mais étant donné les exemptions d'impôts accordés par l'administration Bush aux privilégiés et donc à certaines sociétés (secrètes entre autres), on est en droit d'exiger du président une transparence totale quant aux comptes et aux activités réelles de ces organisations. Le formulaire déclare que le SandB est une organisation charitable qui existe au profit de Yale. Or quel peut être l'avantage apporté à cette université qui fête ses trois siècles d'enseignement lumineux par une société secrète qui se moque du matraquage fait par la police sur la personne d'Abner Louima? Quoi qu'il en soit, pendant que la nuit venait à tomber Ron a estimé à juste titre qu'ils perpétuaient une tradition américaine de longue date, à savoir la réaction démocratique normale qui vise à dénoncer les privilèges dont jouissent l'establishment sous couvert d'une société secrète comme celle du SandB. Pour notre journaliste, il s'agissait du point culminant de ses recherches commencés il y a 25 ans et qui en fait maintenant une affaire personnelle.
Cours néophyte, cours !
Enfin, l'heure 0 approchait. Pendant près de deux siècles, le monde extérieur avait phantasmé au sujet de ce rituel d'initiation. Ils allaient enfin connaître la vérité. Il existe une longue tradition des sociétés secrètes de Yale (SandB y compris) : celle qui consiste à voler d'autres sociétés secrètes pour leur dérober leurs objets rituels. Dans les années 70, une équipe de femme avait réussi a filmer l'intérieur du sanctuiaire (the tomb,) mais ce soir, pour la première fois, une équipe allait filmer le rituel d'initiation du SandB. Leur équipement comprenait trois appareils photos numériques à vision nocturne, un magnétophone, une échelle et deux talkies-walkies. Perchés dangereusement en haut du sanctuaire, par une petite fenêtre, les membres de l'équipe filmèrent avec le vidéo-cam ce qui se passait à l'intérieur.
Premièrement des gémissements ont commencé à émaner de l'intérieur du tombeau et les maîtres de cérémonie ont commencé à désigner les différents postes entre les personnes chargées d'exécuter le psycho-drame occulte de l'initiation. D'abord, comme pourait l'être un gosse à qui on aurait refusé un caprice, George W. Bush semblait contrarié par le rôle qu'on lui avait assigné. Il l'exprima à un autre "patriarche" en ces termes : "j'ai le pouvoir de bombarder et d'exterminer la Chine et ils me donnent ce poste." Alors quelqu'un -un des initiés?- appela "oncle Toby" (beaucoup des surnoms des bonesmen sont tirés du livre de Laurence Sterne, Tristram Shandy. On répéta l'appel en criant "Oncle Toby!" ; puis : "ferme ta gueule, néophyte." ; ensuite : "enlève ce piston de mon cul, oncle Toby." Vraisemblablement, cette référence à la mésaventure de Louima était un stratagème pour effrayer les néophytes, leur faisant croire qu'oncle Toby allait leur réserver le même sort. Ce thème rectal homosexuel fut suivi de : "Je vais vous vous aléser comme j'ai alésé Al Gore!" (crié par une personne imitant George W. Bush ). Après cela : "Aidez-moi, c'est le diable". Et puis George W Bush, aussi incroyable que cela puisse paraître, déguisé en diable : "Je vais vous tuer comme j'ai tué Al Gore". Puis un silence suivi d'une porte qui s'ouvre, et des voix-dont la moitié semblait être des voix de femmes- crièrent : "cours! néophyte! Courez, néophytes!", "trouvez le fémur!"; et encore : "enlève ce piston de mon cul, oncle Toby". Puis ce fut encore le silence pendant un court instant. Les néophytes semblaient être revenus à l'intérieur du tombeau, après quoi un des patriarches a commencé à se plaindre en ces termes : "nous devons obtenir un meilleur sang que ce fucking sirop, man.". Mais d'abord il y avait d'autres genres d'injonctions comme : "léche mon cul, néophyte!" , "aimes-tu mon trou du cul, néophyte?" (en dépit de ces exigences homosexuelles de la part des initiateurs qui semblaient sincères, les membres de the observer n'ont pas pu voir si ces actes homosexuels ont réellement été exécutés par les néophytes).Puis George W Bush se mit à crier : "Je suis le président de ce pays de fils de pute" apparemment juste pour le plaisir de le dire.
Il apparaissait clairement que ce qui allait se passer à l'extérieur, dans la cour, allait être l'apogée de la cérémonie d'initiation ayant commencé à l'intérieur du tombeau. Là, les initiés doivent d'abord entrer dans un cercueil et "mourir au monde de barbares", au monde des "sauvages" (tous les 15 élus), afin de renaître en tant que membres "de l'ordre." . Viennent alors les rituels des baisers sur le crâne et du tranchement de la gorge d'une victime innocente. Deux heures plus tard, chacun des 15 néophytes a été expulsé au dehors afin d'être harangué et effrayé. Durant l'opération personne de l'équipe n'avait tout vu, étant donné qu'ils filmaient dans des positions ne leur permettant pas de voir et de filmer en même temps. C'était le moment de la vérité : l'équipe ne savait pas vraiment ce que leurs digicams avaient pris. Leurs propres yeux avaient aperçu des éléments évocateurs, mais les images prises par les vidéos étaient les premières que des étrangers avaient de ce rituel légendaire que pratiquèrent : trois présidents des USA, quelques membres de la cour suprême, peut-être une douzaine de sénateurs, plusieurs secrétaires d'état, d'éminents écrivains comme John Hersey et William F. Buckley. La qualité des images n'était pas très bonne mais elle permettait à Ron et à son équipe de faire un récit réaliste de ce qui s'était passé après que les les néophytes aient émergé un par un des préliminaires ayant été accomplis à l'intérieur du tombeau. Tout d'abord ils ont été conduits par un type portant un costume de diable. Pas vraiment un sinistre et horrible diable mais plutôt un sympathique "diable aidant/charitable". Leur apparition était accompagnée de cris aigus, perçants et menaçants. Suivirent ces imprécations :"hâte toi, néophyte", cours, néophyte", trouve le fémur, néophyte", et toujours ce : " lèche mon trou du cul" et "enleve le piston (de mon cul)". Le type habillé en diable les a ensuite ammené dans une tente blanche se trouvant dans la cour où, pense l'équipe, ils ont trouvé leurs femurs et ont ensuite émergé avec ce qui ressemblait à un os de cuisse, bien qu'il soit impossible à dire si il s'agissait d'un fémur humain ou non.
Quand ils sont resortis de la tente, ils ont été menés vers le moment le plus important de la cérémonie rituelle : Là, les néophytes ont été forcés de se retrouver en tête à tête avec un tableau choquant : un type tenant un couteau de boucher, habillé d'une sorte de peau d'animal et au regard barbare, se tenait au-dessus de ce qui semblait être une femme couverte de sang (faux bien entendu). Un des néophytes s'est alors approché d'un crâne placé à quelques mètres du type au couteau et de la victime. Le néophyte s'est mis à genoux et a embrassé le crâne, puis le boucher s'est mis à genoux et a tranché la gorge de la victime (bien entendu ce n'est qu'une scène factice rappellons le).
Quelle peut bien être la signification symbolique et mystique de tout ceci? Évidemment, il y a quelque chose à voir avec la soumission. On peut également penser à la symbolique de l'embrassade du crâne de la puissance. Les néophytes se sont aussi prosternés devant l'autorité de l'ordre. Mais que penser du rituel barbare du tranchement de la gorge de la victime innocente? Signifie-t-il que le néophyte meurt au monde "barbare" ou "mort aux barbares"? Est-ce que le néophyte approuve désormais la tactique du tranchage de gorge? Est-ce une sorte d'épée de Damoclès qui pèse désormais sur le nouveau membre de l'ordre; à savoir le risque en cas de trahison de se voir tué de la sorte? Est-ce comme cela que les bonesmen imposent le silence et le secret à leurs adeptes? Tout ce langage symbolique lié à la mort est peut-être là pour confronter le néophyte avec la mortalité rituelle et symbolique , avec le crâne comme memento mori. On peut aussi penser que le souvenir de ce rituel instillera au néophyte les sens de la gravité et de l'importance de sa mission future...
Il était important pour Ron d'entendre réellement les enregistrements du rituel d'initiation du SandB. Mais l'écoute de cette bande l'a mené à un mélange de perpexlité et d'embarras et même à une une curiosité plus profonde encore. Cette curiosité exacerbée est évidement due au fait que le rituel avait été entendu mais pas vu. L'étudiant de Yale lui avait tendu une perche jamais exploitée auparavant en enregistrant les sons de la cérémonie, mais celle-ci apparaissait de manière évidement incomplète. L'étudiant lui également a rapporté avoir vu un type habillée comme le diable, un autre portant un costume de squelette et d'autres dans des robes longues. En écoutant l'enregistrement, la chose que Ron s'est représenté était qu'il s'agissait du "mantra de la mort." Oui, le mantra de la mort est ce thème de trois lignes qui déclenche le rituel du SandB et lie les membres à jamais :LE PENDU ÉGALE LA MORT! LE DIABLE ÉGALE LA MORT! LA MORT ÉGALE LA MORT!'
La majorité des croyances spéculatives au sujet du rituel du SandB étaient toujours centrées sur la mort. L'histoire la plus persistante voulait que les initiés passent leur dernière année dans la crypte de sous-sol du sanctuaire (The Tomb), où chacun à leur tour ils se placent dans un cercueil et, se lancent dans de longues et intenses sessions de discussions psycho-dramatiques autobiographiques, racontant leur histoire personnelle et sexuelle aux 14 autres élus choisis. Cette méthode s'avère être la meilleure manière de les lier à vie et cela les prépare à leur destin d'administrateurs du pays en tant que membres de l'establishment WASP. L'imagerie centrée sur la mort, l'injonction faite aux initiés qu'ils doivent "mourir au monde barbare" et renaître à la "compagnie élyséenne" des élus de l'ordre, comme ils l'appellent, est ce qui fait que le SandB est radicalement différent d'une fraternité universitaire normale. Inlassablement le mantra est répeté : Le pendu égale la mort. Le diable égale la mort. La mort égale la mort....
Que diable va-t-il donc sortir de ce bourrage de crâne? S'agit-il d'un dénouement sylogistique tiré de la logique aristotélicienne comme "tous les hommes sont mortels. Socrate est mortel... "? La solution (conclusion) est-elle : "le pendu égale le diable?" Peut-on y détecter un thème de la punition capitale, le pendu présageant ici le taux prolifique d'exécutions de George w. quand il était gouverneur du Texas? "George W. égale la mort," pourrait-on dire.
Et que diriez-vous du diable? (le type habillée en diable). Est ce le secret qu'ils ont réussi à dissimuler depuis que la société a été fondée en 1832, à savoir la ramification d'une société secrète allemande qui vouerait un culte au diable? Serait-ce la réalisation des imaginations paranoïaquess de la droite fondamentaliste, qui croient en l'établissement d'un NWO et d'une conspiration satanique?
Probablement pas, mais en tout cas cette bande sonore a rendu Ron plus emballé que jamais à tenter de prendre sur le vif et à capturer sur une bande vidéo le rite d'initiation de la société du SandB. Son intention est de définir un rite de passage de la classe régnante américaine dans un but éducatif, historique, anthropologique et journalistique.
Sur l'enregistrement sonore on pouvait entendre les néophytes pousser des cris comme ceux que poussent les indigènes dans les films de tarzan : "ooga booga". Cette partie était assez embarrassante car elle ne se retrouve pas sur le film que tournèrent RosenBaum et sa bande. Le plus probable est qu'il s'agisse d'une sorte d'improvisation comme quand G W Bush dit aux néophytes :" je vais vous aléser comme j'ai alésé Al Gore, ...". En outre il est difficile de prendre au sérieux cette partie de la cérémonie car ne l'oublions pas, il s'agit quand même de la future élite des USA. Cela mis RosenBaum dans une certaine perpexlité. Mais soit.
Le rituel se déroule durant la nuit du samedi 12 avril 2002. Il y a en fait deux étapes : une le jeudi et une le samedi qui est la véritable nuit d'initiation. Toujours est-il que ce samedi 12 avril, à la tombée de la nuit, arrivent silemencieusement des limousines transportant des initiés d'autres sociétés secrètes à travers les rues du campus de Yale. Les néophytes du Skull and Bones arrivent à pieds, frappent sur la massive porte en bois triplement verrouillée du tombeau et sont transportés vers la première étape du rituel. La première chose que firent les membres de l'équipe d'investigation, fut un examen rapide des classements des impôts du Skull and Bones en fonction des revenus de l'ordre. Un conseiller extérieur à l'équipe avaient obtenu, grâce au "freedom of information act" un formulaire 990 (Return of Organization Exempt from Income Tax) qui contenait des affirmations douteuses. En effet, Peggy Adler et cet étudiant ont ainsi précisé que l'organisation était exemptée de l'impôt sur le revenu en raison de dons de charités imaginaires. En particulier, l'affirmation dans le document RTA inc. de 1997 (partie VI, ligne 80b) selon laquelle l'organisation n'est reliée à aucune fraternité commune, trust, organisation gouvernemantale, ni à n'importe quelle autre organisation exemptée ou non-exemptée d'impôt. La contradiction de cette affirmation est démontrée par le formlaire concernant la Deer Island Club Corporation. L'île de Deer Island est en effet l'île privée du Skull and Bones et est située sur la St-Lawrence River qui est l'endroit où les membres du Skull and Bones passent leurs vacances d'été ensembles et avec leurs familles. Cette île est entièrement possédé par des membres du Skull and Bones ce qui contredit les affirmations des bonesmen selon lesquels il n'existerait aucun rapport avec une autre organisation exemptée d'impôt. Ainsi le but du point 80b du formulaire réclamant une déduction pour le Skull and Bones est de masquer, sous couvert d'activités charitables exemptes d'impôts, des activités qui ne le sont pas en les faisant passer pour une autre société. C'est précisément ce que RTA Inc. accomplit à travers la Deer Island Club Corporation. Ainsi, afin de cacher cet arrangement, RTA Inc. nie sa connection avec la Deer Island Club Corporation. En fait RTA inc. et DIIC sont tellement liés que c'est à des fins pratiques que RTA inc. possède l'île de Deer Island., et ce, en dépit du fait qu'ils affirment le contraire. Les membres du SandB ont certainement de bonnes raisons de clamer qu'ils n'ont aucun liens avec l'île de Deer Island. Mais étant donné les exemptions d'impôts accordés par l'administration Bush aux privilégiés et donc à certaines sociétés (secrètes entre autres), on est en droit d'exiger du président une transparence totale quant aux comptes et aux activités réelles de ces organisations. Le formulaire déclare que le SandB est une organisation charitable qui existe au profit de Yale. Or quel peut être l'avantage apporté à cette université qui fête ses trois siècles d'enseignement lumineux par une société secrète qui se moque du matraquage fait par la police sur la personne d'Abner Louima? Quoi qu'il en soit, pendant que la nuit venait à tomber Ron a estimé à juste titre qu'ils perpétuaient une tradition américaine de longue date, à savoir la réaction démocratique normale qui vise à dénoncer les privilèges dont jouissent l'establishment sous couvert d'une société secrète comme celle du SandB. Pour notre journaliste, il s'agissait du point culminant de ses recherches commencés il y a 25 ans et qui en fait maintenant une affaire personnelle.
Cours néophyte, cours !
Enfin, l'heure 0 approchait. Pendant près de deux siècles, le monde extérieur avait phantasmé au sujet de ce rituel d'initiation. Ils allaient enfin connaître la vérité. Il existe une longue tradition des sociétés secrètes de Yale (SandB y compris) : celle qui consiste à voler d'autres sociétés secrètes pour leur dérober leurs objets rituels. Dans les années 70, une équipe de femme avait réussi a filmer l'intérieur du sanctuiaire (the tomb,) mais ce soir, pour la première fois, une équipe allait filmer le rituel d'initiation du SandB. Leur équipement comprenait trois appareils photos numériques à vision nocturne, un magnétophone, une échelle et deux talkies-walkies. Perchés dangereusement en haut du sanctuaire, par une petite fenêtre, les membres de l'équipe filmèrent avec le vidéo-cam ce qui se passait à l'intérieur.
Premièrement des gémissements ont commencé à émaner de l'intérieur du tombeau et les maîtres de cérémonie ont commencé à désigner les différents postes entre les personnes chargées d'exécuter le psycho-drame occulte de l'initiation. D'abord, comme pourait l'être un gosse à qui on aurait refusé un caprice, George W. Bush semblait contrarié par le rôle qu'on lui avait assigné. Il l'exprima à un autre "patriarche" en ces termes : "j'ai le pouvoir de bombarder et d'exterminer la Chine et ils me donnent ce poste." Alors quelqu'un -un des initiés?- appela "oncle Toby" (beaucoup des surnoms des bonesmen sont tirés du livre de Laurence Sterne, Tristram Shandy. On répéta l'appel en criant "Oncle Toby!" ; puis : "ferme ta gueule, néophyte." ; ensuite : "enlève ce piston de mon cul, oncle Toby." Vraisemblablement, cette référence à la mésaventure de Louima était un stratagème pour effrayer les néophytes, leur faisant croire qu'oncle Toby allait leur réserver le même sort. Ce thème rectal homosexuel fut suivi de : "Je vais vous vous aléser comme j'ai alésé Al Gore!" (crié par une personne imitant George W. Bush ). Après cela : "Aidez-moi, c'est le diable". Et puis George W Bush, aussi incroyable que cela puisse paraître, déguisé en diable : "Je vais vous tuer comme j'ai tué Al Gore". Puis un silence suivi d'une porte qui s'ouvre, et des voix-dont la moitié semblait être des voix de femmes- crièrent : "cours! néophyte! Courez, néophytes!", "trouvez le fémur!"; et encore : "enlève ce piston de mon cul, oncle Toby". Puis ce fut encore le silence pendant un court instant. Les néophytes semblaient être revenus à l'intérieur du tombeau, après quoi un des patriarches a commencé à se plaindre en ces termes : "nous devons obtenir un meilleur sang que ce fucking sirop, man.". Mais d'abord il y avait d'autres genres d'injonctions comme : "léche mon cul, néophyte!" , "aimes-tu mon trou du cul, néophyte?" (en dépit de ces exigences homosexuelles de la part des initiateurs qui semblaient sincères, les membres de the observer n'ont pas pu voir si ces actes homosexuels ont réellement été exécutés par les néophytes).Puis George W Bush se mit à crier : "Je suis le président de ce pays de fils de pute" apparemment juste pour le plaisir de le dire.
Il apparaissait clairement que ce qui allait se passer à l'extérieur, dans la cour, allait être l'apogée de la cérémonie d'initiation ayant commencé à l'intérieur du tombeau. Là, les initiés doivent d'abord entrer dans un cercueil et "mourir au monde de barbares", au monde des "sauvages" (tous les 15 élus), afin de renaître en tant que membres "de l'ordre." . Viennent alors les rituels des baisers sur le crâne et du tranchement de la gorge d'une victime innocente. Deux heures plus tard, chacun des 15 néophytes a été expulsé au dehors afin d'être harangué et effrayé. Durant l'opération personne de l'équipe n'avait tout vu, étant donné qu'ils filmaient dans des positions ne leur permettant pas de voir et de filmer en même temps. C'était le moment de la vérité : l'équipe ne savait pas vraiment ce que leurs digicams avaient pris. Leurs propres yeux avaient aperçu des éléments évocateurs, mais les images prises par les vidéos étaient les premières que des étrangers avaient de ce rituel légendaire que pratiquèrent : trois présidents des USA, quelques membres de la cour suprême, peut-être une douzaine de sénateurs, plusieurs secrétaires d'état, d'éminents écrivains comme John Hersey et William F. Buckley. La qualité des images n'était pas très bonne mais elle permettait à Ron et à son équipe de faire un récit réaliste de ce qui s'était passé après que les les néophytes aient émergé un par un des préliminaires ayant été accomplis à l'intérieur du tombeau. Tout d'abord ils ont été conduits par un type portant un costume de diable. Pas vraiment un sinistre et horrible diable mais plutôt un sympathique "diable aidant/charitable". Leur apparition était accompagnée de cris aigus, perçants et menaçants. Suivirent ces imprécations :"hâte toi, néophyte", cours, néophyte", trouve le fémur, néophyte", et toujours ce : " lèche mon trou du cul" et "enleve le piston (de mon cul)". Le type habillé en diable les a ensuite ammené dans une tente blanche se trouvant dans la cour où, pense l'équipe, ils ont trouvé leurs femurs et ont ensuite émergé avec ce qui ressemblait à un os de cuisse, bien qu'il soit impossible à dire si il s'agissait d'un fémur humain ou non.
Quand ils sont resortis de la tente, ils ont été menés vers le moment le plus important de la cérémonie rituelle : Là, les néophytes ont été forcés de se retrouver en tête à tête avec un tableau choquant : un type tenant un couteau de boucher, habillé d'une sorte de peau d'animal et au regard barbare, se tenait au-dessus de ce qui semblait être une femme couverte de sang (faux bien entendu). Un des néophytes s'est alors approché d'un crâne placé à quelques mètres du type au couteau et de la victime. Le néophyte s'est mis à genoux et a embrassé le crâne, puis le boucher s'est mis à genoux et a tranché la gorge de la victime (bien entendu ce n'est qu'une scène factice rappellons le).
Quelle peut bien être la signification symbolique et mystique de tout ceci? Évidemment, il y a quelque chose à voir avec la soumission. On peut également penser à la symbolique de l'embrassade du crâne de la puissance. Les néophytes se sont aussi prosternés devant l'autorité de l'ordre. Mais que penser du rituel barbare du tranchement de la gorge de la victime innocente? Signifie-t-il que le néophyte meurt au monde "barbare" ou "mort aux barbares"? Est-ce que le néophyte approuve désormais la tactique du tranchage de gorge? Est-ce une sorte d'épée de Damoclès qui pèse désormais sur le nouveau membre de l'ordre; à savoir le risque en cas de trahison de se voir tué de la sorte? Est-ce comme cela que les bonesmen imposent le silence et le secret à leurs adeptes? Tout ce langage symbolique lié à la mort est peut-être là pour confronter le néophyte avec la mortalité rituelle et symbolique , avec le crâne comme memento mori. On peut aussi penser que le souvenir de ce rituel instillera au néophyte les sens de la gravité et de l'importance de sa mission future...
nico- Invité
suite
1. Tiré de :http://www.nyobserver.com/pages/story.asp?ID=4136:
2. Tiré de : G W BUSH, Avec l’aide de Dieu, Paris, éditions Odile Jacob, 2000, p. 76.
3. Il s'agit d'un haïtien qui a été victime de violences commises par des policiers de New York. L'affaire a été très médiatisée aux USA et après le procès qu'il intenta contre les dits policiers qui l'avaient agressé, il reçut un dédommagement de 8.7 millions de dollars. Grâce à cet argent Abner Louima vient désormais au secours des pauvres de son pays natal. Lors de visites effectuées récemment en Haïti, Abner Louima, âgé de 36 ans, a créé une fondation et pris sous sa responsabilité la scolarisation de 14 enfants défavorisés de Thomassin, le quartier où il a grandi. A partir de cette fondation qui porte son nom, M. Louima espère procurer les fonds nécessaires à la construction d’un foyer communal et d’un hôpital. Considéré comme le symbole de la brutalité policière new-yorkaise, Abner Louima apporte notamment une aide légale et financière à des Haïtiens et à d’autres immigrants en difficulté, à Miami, dans le Sud de la Floride. Il contribue à de nombreux programmes au sein de la communauté. Lors de son dernier passage en Haïti, Abner Louima a rencontré le président Jean Bertrand Aristide. Son geste en direction du quartier de Thomassin, dans la commune de Pétion-Ville, Haïti, a déjà reçu des témoignages de satisfaction de plusieurs riverains. Avec 8,7 millions de dollars, résultat de son procès contre la police de New York, il reste convaincu qu’il peut aider son pays appauvri
2. Tiré de : G W BUSH, Avec l’aide de Dieu, Paris, éditions Odile Jacob, 2000, p. 76.
3. Il s'agit d'un haïtien qui a été victime de violences commises par des policiers de New York. L'affaire a été très médiatisée aux USA et après le procès qu'il intenta contre les dits policiers qui l'avaient agressé, il reçut un dédommagement de 8.7 millions de dollars. Grâce à cet argent Abner Louima vient désormais au secours des pauvres de son pays natal. Lors de visites effectuées récemment en Haïti, Abner Louima, âgé de 36 ans, a créé une fondation et pris sous sa responsabilité la scolarisation de 14 enfants défavorisés de Thomassin, le quartier où il a grandi. A partir de cette fondation qui porte son nom, M. Louima espère procurer les fonds nécessaires à la construction d’un foyer communal et d’un hôpital. Considéré comme le symbole de la brutalité policière new-yorkaise, Abner Louima apporte notamment une aide légale et financière à des Haïtiens et à d’autres immigrants en difficulté, à Miami, dans le Sud de la Floride. Il contribue à de nombreux programmes au sein de la communauté. Lors de son dernier passage en Haïti, Abner Louima a rencontré le président Jean Bertrand Aristide. Son geste en direction du quartier de Thomassin, dans la commune de Pétion-Ville, Haïti, a déjà reçu des témoignages de satisfaction de plusieurs riverains. Avec 8,7 millions de dollars, résultat de son procès contre la police de New York, il reste convaincu qu’il peut aider son pays appauvri
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