les clandestins en masse, l'état débordé

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Les sourires goguenards de certains clandestins en disent long sur leur état d’esprit… et celui des pays qu’ils colonisent. Arriver d’autorité dans un pays, réputé “de Cocagne” – et qui l’est en effet au regard des États de misère endémique qui produisent les “migrants” à la chaine – se trouver face à des policiers mentalement menottés, des populations impuissantes, anesthésiées, des bobos béats en mal d’exotisme et d’universalité, et être confrontés à des États qui pleurent à longueur de media sur le sort des débarqués, leur fournissent de la nourriture, des logements, des allocations, des soins gratuits et leur accordent une totale impunité par crainte d’être taxés de racistes et de xénophobes, ne peut en effet, lorsqu’on en bénéficie, que susciter de larges sourires.

■ Calais (62) : Des familles d’immigrés clandestins avec des enfants font leur apparition 3 août 2015

On peut tirer à l’arme lourde sur un ennemi lui-même armé, mais comment agir de même face à des pleurs d’enfants et des individus n’ayant d’autres armes que leur misère ? Les larmes sont plus puissantes que les canons, sous réserve que les larmes répondent aux larmes. Ce sentimentalisme digne d’une téléréalité est d’une terrible efficacité, mais s’accomplit au mépris de la prudence, de la raison et du plus élémentaire sens de la préservation. C’est un suicide par media interposés.
L’information politiquement orientée et l’émotion étant la raison d’exister desdits media, toute solution rationnelle devient impossible. La crainte d’être désigné à la vindicte populaire et de tomber sous le coup des lois de terreur antiraciste, fait le reste. C’est aussi pour cela que Marie-Julie disait “qu’on ne pourrait les renvoyer”. On admirera, à 135 ans d’écart, la justesse de cette prophétie… même si celle-ci n’est pas entièrement accomplie:

Tandis que certains gouvernements, non européens, ne s’embarrassent pas des clandestins, l’Europe doit faire face à une intrusion létale, car constante, toxique et qu’elle s’interdit d’interrompre. C’est ainsi que le sentiment de grandeur et la crainte qu’inspiraient jadis la France se sont évanouis et que la décomposition du corps mystique de la Fille Ainée de l’Eglise se poursuit.
A en croire les prophéties, l’édification de cette nouvelle Tour de Babel doit s’amplifier jusqu’au point de rupture; qui est celui de la convergence entre apparition d’Al-Mahdi, début de la guerre avec la Russie et faillites économiques. Ainsi doit survenir l’explosion initiale, celle des conflits intérieurs et extérieurs, liés au troisième conflit mondial.

Pour l’heure, violences, mépris et misère accompagnent la venue des clandestins. Après tout, pourquoi montreraient-ils du respect à un Occident qui a perdu toute dignité et encourage l’avortement, la sodomie et a renié son Dieu ? L’Europe est devenue, à leur yeux, un continent faible, corrompu, prêt à être conquis, et rien ni personne n’est désormais en mesure d’interrompre ce processus. Les États s’affairent à l’organiser en répartissant, régularisant à tour de bras, dissimulant la vérité, et en faisant croire qu’ils exercent encore un quelconque contrôle sur ce chaos délétère.

Nostradamus décrit l’Islam, tirant profit de la discorde française pour s’inviter en France: I.18 Par la discorde negligence Gauloyse Sera passaige a Mahommet ouvert:… Mais qui s’intéresse encore à ces avertissements brûlant dans notre époque de consommation et de consumation ?

Les clandestins, très majoritairement musulmans, s’assemblent pour former les futures troupes d’Al-Mahdi en Europe, mais personne ne semble anticiper cet événement.

Le péché et l’apostasie entraînent mécaniquement ce subtile châtiment divin qu’est l’aveuglement. Sachant cela, il n’y a rien d’étonnant qu’ils soient désormais à l’origine de conversions de Chrétiens à l’Islam et permettent à ce dernier  de conquérir, sans coup férir, les nations qui furent chrétiennes. Il n’est pas davantage surprenant que l’humanité hédoniste préfère le mensonge à la vérité, plutôt que de s’occuper de son salut. L’apostasie est une malédiction dont l’homme se rend rarement compte de son vivant, mais dont tous les peuples chrétiens sont appelés à rendre compte.
Marie-Julie nous décrit la suite, celle de temps de ténèbres provoqués par le refus de Dieu dans le gouvernement des Hommes, celle où la France personnifiée regrette, mais trop tard, son aveuglement:

L’Homme est en dette vis-à-vis de Dieu, et cet Himalaya formé par les péchés ne cesse de s‘élever de plus en plus vite. Nous vivons depuis 2000 ans à crédit et, si les guerres et les maux ont été des “soupapes de sûreté” au fil des millénaires, arrive un moment où, tout comme pour la dette grecque, il devient de plus en plus difficile de reculer les échéances. Tout doit se payer et rien ne peut rester impuni. Plus le règlement intervient tard et plus le prix à payer est élevé.

Concernant notre temps, tous les partis politiques se valent et toute tentative de changement du modèle actuel se solderait par des heurts violents, dégénérant en émeutes puis en guerres civiles. Les peuples redoutent, à juste titre, ces crises qui sont devenues inévitables mais, entre indifférence et sentiment d’impuissance, personne ne bouge, ni ne bougera, tant que cela n’affectera pas la vie quotidienne. On dit parfois que les révolutions sont une question de “calories”, sous-entendant  que, tant que l’assiette est pleine, le peuple reste passif, mais gardons à l’esprit que les famines ne seront qu’un des aspects de ce qui commence.

I.67
La grande famine que je sens approcher,
Souvent tourner,puis estre universele,
Si grande & longue qu’on viendra arracher
Du bois racine,& l’enfant de mammelle.

Le Châtiment, élément central de la Révélation, concentre une accumulations de maux; comme l’ont été les dix plaies d’Égypte, mais à l’échelle mondiale et sur une durée de plus de dix ans. Là encore, les textes sont très explicites sur les plaies de cette époque.

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Pour en revenir aux invasions, pour l’heure pacifiques, de l’Europe, l’agitation en paroles et l’immobilisme dans les faits sont devenus la norme. Qui peut encore croire que ces flux migratoires grandissants vont se résorber d’eux-mêmes, à coups de clôtures, d’accords et de décrets ? Lorsqu’un pays en pleine décadence refuse de se défendre et se livre aux pires abominations, on peut légitimement s’interroger sur la pertinence de sa survie.

La dizaine d’années  de guerres s’avancent à grand pas. Pendant ces événements, les Hommes se chercheront plus que jamais un sauveur humain, maudiront le Ciel et persécuteront les Chrétiens, qu’ils chargeront de tous les maux. La haine de Dieu ne nait pas dans le coeur des Hommes de manière fortuite. Il faut d’abord que le vide intérieur soit fait et que l’apostasie soit actée, pour que Satan vienne s’y loger.

Aucune paix ne devrait survenir avant les années “30”… 2030. Il faudra que l’esprit rebelle et ingrat que nous connaissons à présent ait pris fin, que le mal soit détruit et que ceux qui doivent revenir au Christ aient effectué leur conversion. La Révélation marque aussi la fin des tergiversations et annonce l’heure du choix: avec ou contre le Christ. Le XXIe siècle, celui du Saint-Esprit et de l’Ere du Verseau, doit être, par essence, mystique et balayer les scories du matérialisme.

Les prophéties sont explicites: tant que le Roi promis par Dieu ne sera pas révélé, le monde continuera à s’auto-anéantir. Le prix du Châtiment annoncé ? Plus de cinq milliards de morts; dont la plupart n’auront même pas le temps de se repentir de leurs péchés.

Pour l’heure, souvenons-nous, encore et encore, de ces extases de Marie-Julie Jahenny:

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États-Unis, Europe, État Islamique, Chine. Les protagonistes du troisième conflit mondial achèvent de gagner leur place pour le début du “spectacle”. Aujourd’hui, les théâtres d’opérations au Moyen-Orient sont en perpétuels mouvements, ce qui implique une grande complexité d’analyse. Celle-ci n’est toutefois qu’apparente si l’on considère les lignes directrices tracées par les prophéties. Soudain, tout s’éclaire et on ne se laisse plus distraire par des évènements secondaires; même si avoir un ministre nommé “Le Foll” (le fou en ancien français = nomen est omen), ne peut que signifier notre époque. Les discours d’État relayés par des media aux ordres, auront beau se multiplier,l’orientation prise sera de plus en plus difficile à dissimuler.

S’adressant au Père Yannik Bonnet, Marthe Robin avertissait en 1973  :

“Mais ce n’est rien par rapport à ce que ce sera. Vous n’imaginez pas jusqu’où on descendra. Mais vous verrez, le renouveau sera extraordinaire”.