ALINE BAXLEY - J'AI MARCHE EN ENFER - TEMOIGNAGE

TEMOIGNAGE D’ALINE BAXLEY



J’AI MARCHE EN ENFER





« J’ai accepté le Seigneur dans ma vie à l’âge de 11 ans. A 17 ans je me suis mariée. Après avoir quitté l’église, j’ai plongé la tête la première dans le péché.



Le seul enfer que je craignais, était d’être séparée de Dieu.



A l’âge de 40 ans, j’en étais à mon deuxième mariage, j’étais une alcoolique invétérée, esclave de la drogue, de l’alcool, des cigarettes et je fuyais l’appel de Dieu qui était sur ma vie. La semaine qui précéda mon accident, alors que je me rendais au travail, je me suis arrêtée chez ma mère. A ma vue, elle se mit à pleurer et me dit : « Aline, quand vas-tu retourner vers Dieu ? Tu as l’air si vieille. »



Maman savait qu’il ne m’importait peu de vivre ou de mourir. J’avais tenté plusieurs fois de me suicider. Les drogues et l’alcool avaient une telle emprise sur moi que je ne pouvais plus croire que Dieu pouvait ou même voulait me libérer à nouveau.



En effet, je m’étais détournée de Dieu tant de fois que je n’avais même pas le droit de lui demander de me pardonner une fois de plus. Je dis : « Maman cela m’est égal d’aller en enfer. Trouve-moi un exemple de ce que le diable pourrait m’infliger en matière de souffrance ou de chagrin que je n’aie connu sur cette terre. Toute ma vie n’a été qu’un enfer, les flammes et le diable ne pourraient me toucher. Je regardais maman et ajoutais : « S’il y a le Ciel, le Purgatoire et l’Enfer, mon enfer serait d’être séparée de mon Dieu que j’ai aimé toute ma vie ».



Je sortis en courant et pleurais tout le long de la route. Maman se mit à genoux comme à son habitude. Elle fit cette prière :

« Mon Dieu, tu as entendu ce qu’elle a dit, elle n’a pas peur ni de la mort ni de l’enfer. D’une façon ou l’autre, fais-lui voir en partie ce qui l’attend en enfer, fais-la rentrer en elle-même, fais-la retourner en arrière et donne-lui à nouveau la crainte de toi ».



L’ACCIDENT QUI M’ENVOYA EN ENFER



La semaine suivante, je m’endormis au volant de ma voiture. Je quittai la route et je fus projetée hors de l’habitacle.



J’eus la nuque brisée, quatre vertèbres dorsales brisées, neuf côtes cassées, le poumon gauche et les reins écrasés. On fit venir ma mère à l’hôpital. Deux docteurs vinrent à sa rencontre à la porte pour lui dire que mon seul espoir était Dieu. Il fallait un miracle de la part du Tout-Puissant.



Pendant ce temps-là je marchais dans la vallée de la mort. Cette vallée sombre et large ! Ma crainte était si grande que je n’osais bouger d’un centimètre.



Je criai à Dieu d’arrêter ma marche et de ne pas me laisser avancer. Je me retrouvai dans un endroit plein d’épaisses ténèbres. Je ne pouvais même pas voir mes mains devant moi.



J’avais toujours aimé particulièrement le psaume 23.

Je commençais à le citer. « Quand je marche dans la vallée de l’ombre et de la mort »… Mais je ne puis continuer. Je ne pouvais pas dire que sa houlette et son bâton me réconfortaient. Je me trouvais là, avec le péché dans ma vie, complètement anéantie pour rencontrer ce Dieu Tout-Puissant là haut.

La seule chose vivante en moi était la Parole et la Parole était devenue Jésus-Christ. Il a commencé à intercéder en ma faveur auprès de Dieu le Père, en tant que mon sacrificateur. Il lui demanda de ne pas permettre à mon âme de continuer sur le chemin de la Vallée de la mort. Puis, sur la droite, apparut le puissant ange de la mort. Je me mis à pleurer, « Pourquoi l’ange de la mort est-il là ? pensai-je, Il était là pour me séparer d’avec mon Seigneur, sur l’ordre du Père. L’ange de la mort me porta toujours plus loin dans les ténèbres du dehors.



Je me retrouvai en Enfer, criant, hurlant, grinçant des dents, suppliant l’ange de la Mort, de ne pas me laisser en Enfer. Des âmes, par centaines et par milliers m’entouraient, criant, grinçant des dents dans l’espoir vain de mourir.



IL Y A DEUX MORTS



Nous croyons que tout est terminé à notre mort, mais il ne s’agit que de la mort de la chair. Mais après la première mort, il y a la deuxième mort qui commence quand le jugement de Dieu est prononcé sur l’âme. Soit Dieu nous accorde la vie soit nous recevons une sentence de mort, mais nous ne mourrons pas.



Nous ne cessons pas d’exister. Nous sommes encore plus conscients de notre existence après la première mort, l’âme vit à jamais. L’âme de l’homme riche (Luc 16 v 19) est toujours dans les ténèbres du dehors, en train de crier, de hurler, de grincer des dents, dans l’attente du jour du jugement où elle sera jetée dans l’étang de feu.

A cet endroit où je me trouvais, je vis un énorme abîme et toutes ces âmes essayaient de grimper jusqu’à Dieu le Père, mais le seul chemin pour franchir cet abîme profond était le sang précieux de Jésus-Christ, ce sang que j’avais tellement pris à la légère.



Ensuite Dieu me montra l’étang de feu où le 1/3 des anges déchus étaient enchaînés dans les ténèbres.



Il y avait des flammes rouges, brûlantes, qui traversaient le ciel et la terre. Cependant elles ne donnaient pas de lumière, l’étang du feu était plongé dans de totales ténèbres. L’enfer s’agrandissait. A ce niveau là se fit entendre cette puissante voix de Dieu qui fait trembler la terre.

Il commença à pénétrer l’atmosphère alors qu’il me parlait. Il dit : « Tu avais raison de ne pas avoir peur du diable bien que je l’ai laissé te tuer à ta première mort. Tu me crains. Je suis le seul qui puisse détruire et ton corps et ton âme. L’Enfer m’appartient. Il m’a fallu jeter ces âmes ici dans les ténèbres du dehors. Dieu a ajouté qu’il n’a pas créé l’enfer pour l’âme de l’homme mais que l’Enfer s’agrandissait parce que « spacieux est le chemin qui mène à la perdition et resserré le chemin qui mène à la vie, et il y en a peu qui le trouve. (Mat 7 v 13.14).

Beaucoup sont sur le chemin de la perdition mais refusent de revenir en arrière.



DIEU M’A PARLE EN ENFER



Lors de mon coma, j’ai attendu dans cette sombre vallée pendant ce qui me sembla être une éternité. En fait, il ne s’agissait que de quelques jours sur la terre. A ce moment-là, ma sœur intercédait puissamment pour ma vie. Enfin, après ce qui me paru des siècles, une lumière éclatante se mit à briller. Elle était si sainte, si pleine de justice que je n’étais pas en mesure de lever les yeux vers cette lumière toute puissante. Je mis ma main sur les yeux et tombai face contre terre, dans cette vallée sombre et alors pour la deuxième fois cette voix toute puissante de Dieu me parla encore.



Tout ce que Dieu accepta de me dire était Romains 11 v 29 : « Car Dieu ne se repent pas de ses dons et de son appel ».



Je m’écriai : « Dieu pardonne-moi ! ». Je pensais à présent que j’allais mourir ; en effet mon poumon gauche commença à enfler et mon poumon droit se vida et pendant 4 minutes je ne pus respirer. On s’efforça de m’insuffler une grande quantité d’oxygène dans mes poumons mais il n’y eut aucune amélioration.



Au bout de 4 minutes, ils firent des contrôles et il n’y avait aucun signe de vie. Une minute de plus et j’aurais été déclarée morte et on aurait débranché tout appareillage.



MON PECHE



Je ne savais pas ce que l’on faisait pour sauver ma vie mais je savais que j’allais mourir. Alors apparût dans les cieux un magnifique rouleau. Une main parut et commença à le dérouler. Puis en quelques secondes, je vis ma vie entière devant moi. Tout ce que j’avais fait. Ce même Jésus qui m’aimait et ne voulait pas m’abandonner dans la vallée dut, à l’aide de son doigt, écrire mon jugement en travers de ma vie (sur le rouleau). Je le vis écrire le nom de mon péché qui allait me séparer de mon Dieu à jamais. Je n’arrivais pas à croire la Parole que la puissante main de Dieu commença à écrire en travers de ma vie : « Convoitise de la chair ». Ce que je croyais être de l’amour à l’égard de mes maris, Dieu l’appelait : « Convoitise (luxure).



Je me mis à crier : «Mon Dieu, mon Dieu ce n’est pas moi, ce n’est pas moi ». Je ne m’étais jamais considérée comme une femme remplie de luxure. Je savais que j’allais mourir quand j’ai vu mon jugement, alors que je me sentais mourir j’hurlais : « Dieu pardonne-moi. Aies pitié de moi ! ».

APPELEE DES LE SEIN DE MA MERE



Je me retrouvais dans le ventre « spirituel » de ma mère. Dieu me laissa voir combien ma mère et ma sœur, par la prière, étaient dans les douleurs de l’enfantement spirituel, pour que je naisse à nouveau dans le royaume de Dieu. Dans la vision que Dieu me donna alors, je vis ma sœur changée, en squelette tellement elle faisait d’efforts dans la prière pour me faire renaître. Toute sa chair fut consumée. Un docteur vous dira qu’il s’en faut de très peu pour qu’un enfant passe de la vie à la mort au moment de la naissance.



Je me vis comme j’étais autrefois redevenue une « masse informe » dans le ventre de ma mère.



Pour la troisième fois, la voix du Dieu Tout Puissant parla à nouveau : « Avant que tu sois dans ce ventre, je te connaissais, je t’ai appelée et je t’ai établie depuis la fondation du monde.



De même que je ne pouvais pas me repentir de l’appel sur la vie de mon fils unique, de même je ne me repentirai pas de l’appel que j’ai placé sur la vie des hommes et une fois de plus Dieu a répété : Je ne me repentirai pas.



Ma mère commença à avoir les douleurs de l’enfantement, chaque douleur redonnait, peu à peu la vie à cette masse informe indéfinie que j’étais et la vie me fut rendue.



Je pouvais à nouveau sentir la présence de Jésus et du Saint Esprit sur ma vie, comme l’enfant ressent la présence de sa mère durant la gestation ».



Je me tournais dans le sein de ma mère et ma tête se plaça à l’entrée de l’utérus lors de la dernière contraction, alors que ma mère commençait à m’expulser et que je sortais de l’utérus Dieu me disait : « Prèche ma Parole, tu seras toujours tenue pour responsable de tout ce que tu auras prononcé le jour du jugement.

(Quand nous sommes nés de l’Esprit nous ressentons la douleur, d’une manière de plus en plus forte, comme une mère sur le point d’accoucher).



IL Y A UN CIEL, UN PURGATOIRE ET UN ENFER



Bien-aimés, j’ai réellement découvert qu’il y a un ciel.

J’ai vu les lumières du Paradis mais il y a aussi un Enfer. J’ai marché en Enfer. Dieu a répondu à la prière de ma mère en me faisant connaître l’Enfer que j’ai décrit. Mon Enfer serait la séparation d’avec mon Dieu que j’aimais tant et que j’avais accepté comme mon sauveur à l’âge de 11 ans.

Quand l’âme se rend compte qu’elle va être séparée de son Dieu pour toute l’éternité, elle plonge dans un feu spirituel terrible, comme on ne peut en allumer sur terre. Il s’agit de la torture spirituelle d’une âme qui a connu Dieu autrefois et qui maintenant est jetée dans ces ténèbres du dehors, séparée de Dieu son Créateur, à jamais.



Mon ami, j’ai réellement découvert qu’il y a un Enfer. J’ai marché dans les profondeurs de l’Enfer et tu dois choisir tant que tu es dans cette vie où tu veux passer ton éternité, au Ciel ou en Enfer.



Nous ne faisons que commencer à vivre quand nous passons par la première mort et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois après quoi vient le jugement (Hébreux 9 verset 27).



Tu as un rendez-vous avec Dieu et il ne te faut pas le manquer. La Bible décrit l’Enfer (je me suis rendue compte que c’était vrai) comme un endroit de châtiment futur pour les pécheurs et les incrédules.



L’Enfer est un étang de feu, de tourment, lieu où les âmes perdues ne meurent jamais et où le feu ne s’éteint pas jamais, un lieu de pleurs et de gémissements, de grincements de dents, de feu, où les pécheurs boivent le vin de la colère de Dieu, lieu où la fumée de leur tourment s’élève à jamais. L’âme de l’homme riche crie encore dans ses efforts pour mourir. Mais il n’y a pas de mort pour l’âme, elle vit à jamais.



Le feu de l’Enfer consume la chair mais il ne peut consumer l’âme et je témoigne que l’Enfer est réel.



L’Enfer s’agrandit parce que les gens refusent d’y croire. Tu dois prendre la plus grande décision que tu aies jamais eue à prendre : Où vas-tu passer l’éternité ? Au Ciel ou en Enfer ?



Peut-être dis-tu, je ne crois pas à l’enfer, mais mon ami, deux minutes en enfer parmi les pleurs , les gémissements, les grincements des dents te feraient changer d’avis, alors tu réaliseras comme tous ceux qui sont en Enfer aujourd’hui que la Bible est la Parole de Dieu, que tu es pécheur et que Jésus est mort pour toi, que tu aurais été sauvé si tu avais cru et si tu l’avais accepté comme ton Sauveur personnel. Alors que tu pleureras, gémiras, tu crieras plein d’angoisse : « Que j’ai été insensé, trop tard, trop tard, trop tard, trop tard ». Il n’y a pas d’incrédules en Enfer mais ils ont cru trop tard.

Toutes les âmes qui sont en Enfer donneraient tout au monde pour être toi ou moi ». Si nous arrivons dans cette vallée sombre de la mort avec des péchés non confessés à un prêtre dans notre vie, cela sera trop tard. Peut-être n’as-tu pas une mère et une sœur en prière qui prient pour ton âme jusqu’à leur mort.



JE T’AI APPELEE MAIS TU AS REFUSE



Tant de fois alors que j’étais assise sur des tabourets de bar, Dieu a parlé à mon cœur au travers des Proverbes 1, v. 24 ». Je t’ai appelée, mais tu as refusé. »

J’étais attristée de voir qu’à 40 ans je m’échappais toujours loin de Dieu, liée aux drogues et à l’alcool. Dieu a dû me rompre le cou, me laisser mourir pendant 4 minutes, m’envoyer en Enfer et me faire revenir sur terre avant que je me soumette totalement à lui.



ARRETE DE FUIR LOIN DE DIEU



Arrête de t’éloigner de Dieu. Peut-être crois-tu comme moi que tu le connais comme ton Sauveur et ton Seigneur. Mais si tu continues à fuir loin de sa volonté, tu vas t’enfoncer dans la colère de Dieu, dans cette sombre vallée de la Mort, et Il sera ton Juge ; Dieu est aussi un Dieu de grande colère et c’est ce Dieu que tu rencontreras un jour, le jour du jugement.



Tu seras en face de la réalité que tu as craint et tu sauras qu’il y a un Enfer avec un étang de feu et de souffre.



Ne vas pas en Enfer, Dieu ne t’a pas créé pour y aller. Il a créé le Ciel pour toi et l’Enfer pour le diable et ses anges. Tu peux dire que ces histoires d’Enfer sont des histoires passées, que les gens intelligents ne croient plus à ses sornettes, mais mon ami, tu ne peux pas échapper à la mort, la mort te revendiquera et tu ne peux rien faire contre cela. Mais alors il sera trop tard. Malheur, malheur, malheur à toi si tu écartes de toi, le plan de salut de Dieu. Dieu est un Dieu de colère aussi bien qu’un Dieu d’amour. Et malheur à la personne sur qui tombe sa colère.



OU PASSERAS-TU L’ETERNITE ?



Où passeras-tu l’éternité ? Soit au Ciel, soit en Enfer avec son étang de feu et de souffre, à moins que tu ne te repentes de tes péchés et que tu ne crois au Seigneur Jésus en tant que ton Sauveur, ce sera l’Enfer.



Si tu vas en enfer ce sera à cause de ton choix. Jésus a frayé un chemin pour toi et moi en versant son précieux sang.



Tu peux être délivré de tous tes péchés et faire du Ciel ta demeure éternelle. Accepte Jésus dans ta vie, il guérira ton coeur brisé, te délivrera des drogues, de l’alcool, de la maladie et du péché. Si le Seigneur a pu me délivrer, il peut te délivrer aussi.



Bien-aimés, je suis un témoin vivant, il y a un Enfer, j’y ai été et j’y ai marché. J’ai crié, hurlé, gémi, grincé des dents, suppliant Dieu de ne pas ordonner à l’ange de la mort de me laisser en Enfer.



« Spacieux est le chemin qui mène à la perdition, mais resserré est le chemin qui mène à la vie éternelle ». Mat 7, v. 13.



LA PRIERE DU PECHEUR



Demain, il sera peut-être trop tard, choisis la vie avec Lui, reçois-le dans ton cœur et répète cette prière avec moi :



« Seigneur Jésus, pardonne-moi mes péchés. Lave moi dans ton sang précieux maintenant. Je vivrai pour toi le restant de ma vie. J’obéirai à l’appel de Dieu et je choisirai ta volonté, Jésus, pour ma vie. Merci Jésus de m’aimer et de me pardonner tous mes péchés. Amen. »



Je t’aime et Jésus t’aime.

ALINE BAXLEY



CONCLUSION

Chers amis, seule l’entrée avec le Baptême dans l’église Catholique de Rome et la confession des péchés à un prêtre peuvent vous aider à aller au Paradis pour l’éternité.
Surtout, n’oubliez jamais la messe du dimanche. Ne vous confessez jamais directement tout seul à Dieu. Vos péchés ne seraient pas pardonnés, ni effacés et vous n’entreriez pas dans le royaume des cieux.

EXTRAORDINAIRE!


C'est Extraordinaire, ce témoignage! Après ça, si on ne croit pas à L'Enfer ben.... il y aura de quoi s'inquiéter.
Par contre, je voudrais dire une chose:

"Chers amis, seule l’entrée avec le Baptême dans l’église Catholique de Rome et la confession des péchés à un prêtre peuvent vous aider à aller au Paradis pour l’éternité.
Surtout, n’oubliez jamais la messe du dimanche. Ne vous confessez jamais directement tout seul à Dieu. Vos péchés ne seraient pas pardonnés, ni effacés et vous n’entreriez pas dans le royaume des cieux"

Les lignes que j'ai souligné seront très gravement en contradiction avec toutes les religions protestantes. Tout les protestants qui verront ce résumé seront très en colère.

Mais j'ai lu quelques part que le Purgatoire est divisé par deux et qu'il ya une partie pour les catholiques et une autres pour les protestants. Donc, cela dit, si un protestant veut se joindre à Dieu alors il rentrera au Royaume mais doit irrémédiablement passer au Purgatoire en terme de réparation.

J'ai lu aussi que le Purgatoire des protestants est moins douleureux mais beaucoup plus long que ceux des catholiques.
Bref quoi qu'il en soit il faut bien se purifié au rentrer à la Maison (^_^)

Bonjour "esperance"!

Je ne sais pas si c'est pareil chez vous, mais ici au Québec, il manque de prêtres...
Quand on veut se confesser, c'est presque gênant! Je m'explique... Le curé ou le vicaire reste à l'arrière de l'église pour accueillir les fidèles et il n'y a personne au confessionnal!
Alors, juste avant la communion, je demande au Seigneur de me pardonner les péchés que j'ai commis par action ou par omission.
Je dis alors: "Seigneur, que cette communion à ton Corps, n'entraîne sur moi ni jugement ni condamnation, mais qu'elle soutienne mon âme, mon esprit et mon corps".

Que voulez-vous chère "espérance", lorsqu'il n'y a pas de prêtres de disponible, je crois sincèrement que Jésus nous pardonne nos péchés, car il voit au fond de notre âme.

Gilles. Ville de Québec - Canada

Je ne sais pas comment cela fonctionne chez vous... Vous demeurez en Europe?
Ici au Québec, le prêtre (ou) le curé officiant, a l'habitude d'accueillir les gens à l'arrière de l'église avant la messe... Donc, c'est pour cette raison qu'il n'y a personne pour confesser. Pourtant, ce n'est pas si difficile à comprendre chère esperance!
Bien voyons chère amie! Vous savez ce qu'est un curé ou un vicaire... Ce n'est sûrement pas le gardien de l'église ni le concierge!
C'est moi qui ne comprend pas votre interrogation?

Gilles. Ville de Québec - Canada

De toute façon, il n'y a pas d'excuse pour ne pas se confesser dans nos pays riches... Un voyage en bus ou en voiture sinon en vélo peut nous amener vers une église où il y a un prêtre ! Nous avons même le téléphone sinon un courrier pour un rendez-vous privé... Le journal annonce aussi les messes à venir...

Ce n'est pas la question "Alsace"...

esperance ne semblait comprendre ce qu'était un curé ou un vicaire... Au Canada, ce sont des prêtres!

Gilles. Ville de Québec - Canada

Non, je m'explique très bien ! Vous avez un évêque dans votre diocèse... Alors n'allez pas chercher le vicaire... C'est le prêtre qu'il nous faut... Et autour de l'évêque il y a forcément des prêtres...

C'est-à-dire que dans certaines églises, il peut y avoir des confessions juste avant la sainte messe, mais pourtant les horaires de confession sont pour la plupart détachés (dans le temps) de ceux des messes.
Hélas dans certaines paroisses, le bulletin paroissial ne mentionne plus les confessions; normalement il est toujours possible, en téléphonant au prêtre d'obtenir un rendez-vous, mais je pense qu'il est à peu près évident que ce n'est pas la meilleure des solutions ...
Rappel : à Medjugorje, la Sainte Vierge a demandé la confession au moins mensuelle.
En théorie (catholique) l'âme peut être pardonnée d'un péché à la condition d'une contrition parfaite, mais attention!!! la contrition parfaite est très "difficile" et rare et le danger très grand c'est d'estimer par soi-même que l’on a fait une contrition parfaite !!! Donc, ne jamais éluder une confession en se disant cela ! ...
De toute façon, le Seigneur tient compte du fait que les fidèles d’autres religions n’ont pas le sacrement de confession et nous ne connaissons pas ses chemins qui ne sont pas nos chemins.

Mais pour des catholiques – et là je ne réponds pas spécialement à espérance, De l’Alsace à la Lorraine ou Gilles ou d'autres … - c’est absurde de vouloir se passer de la confession et il sera demandé plus grand compte à priori aux catholiques. Il est vraiment important de ne pas s’arrêter à la difficulté de n’en avoir pas envie avant et même pendant … car après une confession les grâces sont toujours là, visibles ou invisibles !!! Important : résister aussi au (mauvais) raisonnements en tous genres : je me confesse directement à Dieu, ceci n’est pas bien grave, ça peut attendre, d’autres font pire que moi, j’en fais assez par ailleurs, Dieu ne peut pas me pardonner cela – attention : c’est bafouer l’infini amour et l’infinie puissance de Dieu – point trop n’en faut, etc etc …
Enfin il importe de demander à Dieu la contrition sincère des péchés avant la confession; c’est l’une des choses les plus importantes qui soient.
Pardon d’avoir été si long (au départ je voulais juste parler des horaires …) et je ne suis pas un prêtre ! … mais il faut aller trouver les prêtres pour cela.

Très juste ce que vous dites Territoire en Héritage...

Je n'aime pas me confesser, pour que ce soit plus facile, je vais voir un prêtre qui ne me connait pas, j'ai une voiture et en ville on trouve toujours un prêtre... Je ressorts en me disant que le Seigneur sera indulgent car il doit toujours rester quelques crasses dans les recoins de mon âme !

Et je me dis ! heureusement que je ne passe pas en confession avec Padre Pio... Avec lui, c'est la très grande lessive !

Enfin, là je pense que ce que je dis va créer quelques réflexions....

Mais que oui "Alsace"... Voici la première réaction...
J'aurais été tout tremblant de me confesser au "bon Frère André" de l'Oratoire St-Joseph à Montréal !!!

On raconte que ce bon frère lisait les confessions de ceux qui le rencontraient, et si ceux-ci cachaient quelque chose, il leur disait: "Tu reviendras te confesser quand tu feras acte de contrition pour ce péché que tu ne veux pas confesser"!

Ouf... Quel homme d'église ce Bon Frère André !

Je crois que vous êtes déjà allé à l'Oratoire St-Joseph de Montréal, chère "Alsace"?

Gilles. Ville de Québec - Canada

OUF ! depuis 9 heures du matin, plus moyen d'aller sur le forum ! J'avais un panneau : REINITIALISER !

Je suis allée sur les parties techniques au risque de détraquer mon ordi ! Finalement, j'ai téléphoné à des amis qui ont rencontré le même problème ! Ils n'arrivaient pas à capter le forum !

A 13 heures 15 finalement tout est- revenu dans l'ordre !

Que s'est-il passé ?

Pour répondre, Gilles à votre question... tout à fait d'accord avec vous... Je compare facilement la grandeur de la sainteté de Padre Pio et Frère André... Qui sont des guides de très haut niveau... Après notre purification totale du péché originel... on sera comme eux...

Si cela vous interresse il y a justement un post sur la confession: https://lepeupledelapaix.forumactif.com/les-sacrements-de-l-eglise-f49/la-confession-t3300.htm