Horreur ! Un jeu semblable à la planche Ouïja se répand dans le monde
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Horreur ! Un jeu semblable à la planche Ouïja se répand dans le monde
mardi 26 mai 2015
Deux crayons pour invoquer un démon
On le constate souvent, les technologies modernes peuvent servir à raviver les peurs et les croyances les plus ancestrales. Voici une nouvelle démonstration de cet apparent paradoxe avec un inquiétant rituel qui fait sensation sur Twitter et sur Facebook. Des milliers d’usagers dans le monde font circuler et expérimentent une méthode pour convoquer un démon curieusement nommé Charlie avec une version bricolée du ouija, la fameuse tablette permettant de dialoguer avec l’au-delà…
«Charlie, Charlie es-tu là ?»
Le dispositif du «Charlie Charlie challenge», inspiré paraît-il d’une vieille tradition mexicaine, est rudimentaire : deux crayons entrecroisés sur une feuille de papier où sont inscrits «oui» et «non» disposés en carré. Il suffit d’invoquer le nom du démon en prononçant la phrase : «Charlie, Charlie es-tu là ?». Si tout se passe «normalement», Charlie répond aux questions posées en orientant les crayons sur les réponses positives ou négatives. Ce rituel est en réalité une nouvelle variante d’un jeu identique qui a connu un bref succès sur le Web en 2014 et dont la seule différence notable portait sur l’utilisation de 6 crayons au lieu de 4.
Youtube, Facebook, Reedit, Vine sont désormais saturés de courtes vidéos censées montrer une intervention bien réelle du démon : les crayons tournent d’eux-mêmes, un miroir se brise, un cadre tombe et les adolescents hurlent, ravis de se faire peur à si bon compte. Des conseils circulent sur les réseaux sociaux pour enjoindre les adeptes du «Charlie Charlie challenge» a ne jamais oublier de dire au-revoir à l'entité pour mettre un terme à la séance sous peine qu'elle ne prenne pension.
Le tabloïd anglais, The Mirror, a même demandé à ses lecteurs d’envoyer à la rédaction leurs propres expériences avec Charlie. Le journal a reçu de nombreuses réponses dont celle d’un certain Zody qui avec ses amis aurait vu «apparaître en haut des escaliers une silhouette masculine avec des yeux rouges et noirs».
Un démon baptisé… ZoZo
Ce n’est pas la première fois que ce genre de pratique dérivée du spiritisme créé une légende urbaine sur le Web mettant en scène un être surnaturel bien identifié. Ainsi, des milliers de personnes ont relaté sur des forums leur rencontre avec un démon baptisé… Zozo. Un site entier lui a même été consacré, «The Zozo ouija phenomena» où l’on trouve de dizaines de témoignages, des recherches historiques ainsi que des photos et des vidéos de prétendues apparitions du démon.
Le phénomène a touché la France et l’on peut lire sur des forums dédiés au paranormal les méfaits de cet affreux zozo comme celui de RipperJack sur « Paranormal-Info » :
«On a commencé la séance avec une tablette de ouija que j'ai fabriquée moi-même, et tout s'est bien passé...Nous sommes entrés en contact avec un esprit qui disait s’appeler Arnal et être là pour du bien... Nous allions terminer la séance lorsque nous avons commencé à parler du démon ZOZO soi-disant responsable de possessions en rapport avec le ouija. On a essayé de l'invoquer juste pour rire (personne n'y croyait) quand soudain la porte de mon salon s'est arrachée de ses gonds et s'est explosée par terre dans une rafale d'éclats de verre...
Lorsque nous nous sommes remis, le verre a commencé à bouger tout seul et à pointer comme ça:
ZOZOZOZOZOZOZOZ OZOZ »
On s'est tous sentis très mal, le lendemain j'avais une griffure sur la jambe. »
La première occurrence de Zozo -ou du moins d'un esprit homonyme- figure dans le célèbre « Dictionnaire infernal » publié en 1918 de Collin de Plancy (1793-1887). L’auteur français y décrit un cas de possession en Picardie d’une jeune fille qui se disait harcelée par trois esprits maléfiques, Mimi, Crapoulet et… ZoZo. On peut aussi songer à la divinité infernale mésopotamienne Pazuzu qui s’en prend à Linda Blair dans l’Exorciste et ses suites.
La statue de Pazuzu dans l'Exorciste DR
De Pazuzu à ZoZo, il n’y a que quelques pas mais bien malin sera celui qui parviendra à retracer à coup sûr le cheminement tortueux de Zozo à travers les siècles…
De même, il est difficile de trouver les sources du succès de Charlie chez les teenagers accros au paranormal.
La campagne «Je suis Charlie», répercutée dans le monde entier, n’est peut-être pas étrangère à son regain de popularité après sa première apparition en 2014, de même que la sortie du film d’épouvante «Ouij » en partie inspiré des mauvaises expériences avec la tablette.
Philip ou comment créer un fantôme
Mais l’engouement massif pour Charlie et son prédécesseur ZoZo rappelle par bien des aspects l’une des plus étonnantes expériences de psychologie tentée pour expliquer un phénomène paranormal. En 1972, à Toronto, des psychologues de la Société de Recherche Psychique ont décidé de créer un fantôme de toutes pièces en imaginant son nom, son caractère, les détails de sa vie, la façon dont il est mort… Autrement dit un revenant entièrement façonné en laboratoire. Le spectre baptisé Philip était censé être un Anglais décédé au 17e siècle. Puis, après une longue période à tenter de convoquer sans succès leur personnage pendant des séances de spiritisme, Philip a fini par se manifester. Plus incroyable encore, les poltergeist et les incidents étranges se sont multipliés au cours des séances suivantes : la table se déplaçait au point que plusieurs personnes unissant leur force ne parvenaient pas à la maintenir en place, des coups puissants étaient frappés et Philip répondait aux questions en fournissant de nombreux éléments sur sa vie –imaginaire- d’aristocrate au temps de Cromwell. Plusieurs de ces séances agitées ont même été filmées. La réputation de Philip ne cessant de s’accroître, d’autres groupes sont parvenus avec le même succès à invoquer ce fantôme imaginaire.
YouTube Deux crayons pour invoquer un démon
La popularité de Charlie et Zozo serait-elle la conséquence d’une expérience du même type menée de façon involontaire par des milliers d’ados à travers le monde ? Un coup pour « oui », deux coups pour « non »…
Deux crayons pour invoquer un démon
On le constate souvent, les technologies modernes peuvent servir à raviver les peurs et les croyances les plus ancestrales. Voici une nouvelle démonstration de cet apparent paradoxe avec un inquiétant rituel qui fait sensation sur Twitter et sur Facebook. Des milliers d’usagers dans le monde font circuler et expérimentent une méthode pour convoquer un démon curieusement nommé Charlie avec une version bricolée du ouija, la fameuse tablette permettant de dialoguer avec l’au-delà…
«Charlie, Charlie es-tu là ?»
Le dispositif du «Charlie Charlie challenge», inspiré paraît-il d’une vieille tradition mexicaine, est rudimentaire : deux crayons entrecroisés sur une feuille de papier où sont inscrits «oui» et «non» disposés en carré. Il suffit d’invoquer le nom du démon en prononçant la phrase : «Charlie, Charlie es-tu là ?». Si tout se passe «normalement», Charlie répond aux questions posées en orientant les crayons sur les réponses positives ou négatives. Ce rituel est en réalité une nouvelle variante d’un jeu identique qui a connu un bref succès sur le Web en 2014 et dont la seule différence notable portait sur l’utilisation de 6 crayons au lieu de 4.
Youtube, Facebook, Reedit, Vine sont désormais saturés de courtes vidéos censées montrer une intervention bien réelle du démon : les crayons tournent d’eux-mêmes, un miroir se brise, un cadre tombe et les adolescents hurlent, ravis de se faire peur à si bon compte. Des conseils circulent sur les réseaux sociaux pour enjoindre les adeptes du «Charlie Charlie challenge» a ne jamais oublier de dire au-revoir à l'entité pour mettre un terme à la séance sous peine qu'elle ne prenne pension.
Le tabloïd anglais, The Mirror, a même demandé à ses lecteurs d’envoyer à la rédaction leurs propres expériences avec Charlie. Le journal a reçu de nombreuses réponses dont celle d’un certain Zody qui avec ses amis aurait vu «apparaître en haut des escaliers une silhouette masculine avec des yeux rouges et noirs».
Un démon baptisé… ZoZo
Ce n’est pas la première fois que ce genre de pratique dérivée du spiritisme créé une légende urbaine sur le Web mettant en scène un être surnaturel bien identifié. Ainsi, des milliers de personnes ont relaté sur des forums leur rencontre avec un démon baptisé… Zozo. Un site entier lui a même été consacré, «The Zozo ouija phenomena» où l’on trouve de dizaines de témoignages, des recherches historiques ainsi que des photos et des vidéos de prétendues apparitions du démon.
Le phénomène a touché la France et l’on peut lire sur des forums dédiés au paranormal les méfaits de cet affreux zozo comme celui de RipperJack sur « Paranormal-Info » :
«On a commencé la séance avec une tablette de ouija que j'ai fabriquée moi-même, et tout s'est bien passé...Nous sommes entrés en contact avec un esprit qui disait s’appeler Arnal et être là pour du bien... Nous allions terminer la séance lorsque nous avons commencé à parler du démon ZOZO soi-disant responsable de possessions en rapport avec le ouija. On a essayé de l'invoquer juste pour rire (personne n'y croyait) quand soudain la porte de mon salon s'est arrachée de ses gonds et s'est explosée par terre dans une rafale d'éclats de verre...
Lorsque nous nous sommes remis, le verre a commencé à bouger tout seul et à pointer comme ça:
ZOZOZOZOZOZOZOZ OZOZ »
On s'est tous sentis très mal, le lendemain j'avais une griffure sur la jambe. »
La première occurrence de Zozo -ou du moins d'un esprit homonyme- figure dans le célèbre « Dictionnaire infernal » publié en 1918 de Collin de Plancy (1793-1887). L’auteur français y décrit un cas de possession en Picardie d’une jeune fille qui se disait harcelée par trois esprits maléfiques, Mimi, Crapoulet et… ZoZo. On peut aussi songer à la divinité infernale mésopotamienne Pazuzu qui s’en prend à Linda Blair dans l’Exorciste et ses suites.
La statue de Pazuzu dans l'Exorciste DR
De Pazuzu à ZoZo, il n’y a que quelques pas mais bien malin sera celui qui parviendra à retracer à coup sûr le cheminement tortueux de Zozo à travers les siècles…
De même, il est difficile de trouver les sources du succès de Charlie chez les teenagers accros au paranormal.
La campagne «Je suis Charlie», répercutée dans le monde entier, n’est peut-être pas étrangère à son regain de popularité après sa première apparition en 2014, de même que la sortie du film d’épouvante «Ouij » en partie inspiré des mauvaises expériences avec la tablette.
Philip ou comment créer un fantôme
Mais l’engouement massif pour Charlie et son prédécesseur ZoZo rappelle par bien des aspects l’une des plus étonnantes expériences de psychologie tentée pour expliquer un phénomène paranormal. En 1972, à Toronto, des psychologues de la Société de Recherche Psychique ont décidé de créer un fantôme de toutes pièces en imaginant son nom, son caractère, les détails de sa vie, la façon dont il est mort… Autrement dit un revenant entièrement façonné en laboratoire. Le spectre baptisé Philip était censé être un Anglais décédé au 17e siècle. Puis, après une longue période à tenter de convoquer sans succès leur personnage pendant des séances de spiritisme, Philip a fini par se manifester. Plus incroyable encore, les poltergeist et les incidents étranges se sont multipliés au cours des séances suivantes : la table se déplaçait au point que plusieurs personnes unissant leur force ne parvenaient pas à la maintenir en place, des coups puissants étaient frappés et Philip répondait aux questions en fournissant de nombreux éléments sur sa vie –imaginaire- d’aristocrate au temps de Cromwell. Plusieurs de ces séances agitées ont même été filmées. La réputation de Philip ne cessant de s’accroître, d’autres groupes sont parvenus avec le même succès à invoquer ce fantôme imaginaire.
YouTube Deux crayons pour invoquer un démon
La popularité de Charlie et Zozo serait-elle la conséquence d’une expérience du même type menée de façon involontaire par des milliers d’ados à travers le monde ? Un coup pour « oui », deux coups pour « non »…
Dernière édition par Gilles le Jeu 28 Mai 2015 - 16:38, édité 1 fois
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Inscription : 25/03/2008
Re: Horreur ! Un jeu semblable à la planche Ouïja se répand dans le monde
VIDEO. Le «Charlie Charlie Challenge» des ados en mal de ouija
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25748
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Horreur ! Un jeu semblable à la planche Ouïja se répand dans le monde
Délivrée d'une possession démoniaque et libérée de ma dépendance aux drogues
Bonjour à tous,
Voici le témoignage que j’aimerais partager avec vous, sur le salut et la puissance souveraine de Dieu.
J’ai grandi à la campagne au sein d’une famille heureuse, en apparence. Quand j’ai eu 13 ans nous avons déménagé en ville, et c’est à partir de ce moment-là que ma vie a dégénéré. Je me suis trouvée un nouveau cercle d’amis, et, ensemble, nous faisions l’expérience de tout ce qui nous faisait plaisir. Au début, on a commencé à voler les bières de nos pères et à se saouler dans le jardin public, puis ensuite, on a commencé à faire des séances de spiritisme pendant les fêtes d’anniversaire (c’est-à-dire à parler aux esprits par le biais d’une planche de Oui jà). D’abord on croyait que l’un d’entre nous faisait des blagues aux autres, mais on a vite réalisé que non, il y avait vraiment un monde spirituel! En même temps, on commençait à fumer de la marijuana et à traîner avec des garçons bien plus âgés que nous.
Ce monde spirituel m’attirait, alors je m’y suis intéressée de plus près; je regardais des films démoniaques sur des gens qui étaient possédés. Je voulais faire du spiritisme toute seule, et je savais que tout ce que j’avais à faire, était d’inviter un esprit. Je savais que c’était dangereux, et pourtant je l’ai fait. A partir de là, je me soûlais régulièrement et je commençais à fumer, passant de plus en plus de temps à sortir dans les fêtes et à boire, plutôt que d’aller au collège. Les amis avec qui je traînais fumaient des joints au collège. Bien entendu, mes notes ont vite chuté, passant de 15-20/20 à 0-5/20 : j’étais devenue le cauchemar des professeurs. J’étais une vraie marginale au collège. En classe de 3ème, je n’arrivais plus à apprendre mes leçons à cause de cette vie de débauche. On m’a changée d’école mais sans résultat, j’échouais dans cette nouvelle école aussi. La vie à la maison était un désastre. Mes parents m’entouraient tellement de leur amour…et moi, j’abusais d’eux. Je me disputais beaucoup avec ma sœur, et toutes les deux avec nos parents ; à l’âge de 15 ans, ma plus jeune sœur était partie de la maison, suivie de moi, à l’âge de 16 ans.
J’emménageais chez mon petit copain. A ce moment-là, je ne m’étais pas encore aperçue que la maison était habitée par des drogués, puis en l’espace de quelques mois, j’avais déjà essayé les amphétamines ; en voyant mon copain se piquer, je me suis dis que rien ne m’était impossible, alors, je le fis aussi. Je n’ai pas dormi trois jours durant. La vie me semblait merveilleuse, alors que vu de l’extérieur, nous étions dans une grande misère.
A l’âge de 17 ans, je suis partie voyager dans toute l’Australie. Pendant trois ans, j’ai continué à me droguer, à boire, à multiplier les aventures avec des hommes louches, à faire la fête. J’étais dans un état de dépression permanent, et c’est dans ces temps-là que je me suis faite une nouvelle amie avec qui j’ai voyagé un certain temps. On se droguait et on faisait la fête ensemble. Après être revenue de vacances, elle m’a dit qu’elle avait été baptisée en devenant chrétienne. Je n’y fis pas attention et je continuais ma vie sordide.
Au mois de février 2007, j’étais à Melbourne et je passais mes week-ends dans les discothèques en me droguant. Un matin, on a rencontré des gars qui nous ont donné de la drogue gratuitement. Je n’en voulais pas, mais j’a fini par me laisser tenter. On n’a pas dormi de la nuit. Au petit matin, j’étais devenue gravement paranoïaque. Pour moi, c’était normal quand j’étais shootée aux “speed”, mais jamais autant. J’ai dit à ma copine que j’avais vraiment peur, mais je ne pouvais pas dire de quoi. Je suis allée à la salle-de-bains. En me regardant dans le miroir, je ne me reconnaissais plus. Je me suis dit que j’avais besoin d’aide, mais je ne savais ni ce qui m’arrivait, ni à qui demander de l’aide.
Je suis sortie de la maison, je voulais m’échapper, mais en réfléchissant aux événements qui venaient de m’arriver, je savais que j’étais possédée par des esprits démoniaques.
Quelque temps plus tard, j’ai téléphoné à mon amie qui était devenue chrétienne. Je lui ai parlé de ces manifestations, ne sachant trop si elle allait me croire.
Elle appela un ami chrétien pour obtenir de l’aide, et elle a été conseillée à ce sujet. Elle m’a ensuite lu des écritures de la Bible. MATTHIEU 4:23-24 “Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple. Sa renommée se répandit dans toute la Syrie, et on lui amenait tous ceux qui souffraient de maladies et de douleurs de divers genres, des démoniaques, des lunatiques, des paralytiques; et Il les guérissait.”
A ce moment-là, je réalisai que si le diable existait, alors Dieu devait exister aussi. J’en tirais la conclusion que seul Jésus pouvait me libérer de cet esprit impur, et que j’avais besoin de Son aide.
Le lendemain, un lundi, j’avais l’intention d’aller en ville pour chercher une église qui pourrait m’aider. Mon amie voulait venir avec moi pour être sûre que tout aille bien, mais moi, je ne voulais pas qu’elle me voie dans cet état-là. Alors je suis partie seule, pensant que je pourrais contrôler l’esprit. J’étais horrifiée de ne pas le pouvoir, et en marchant dans la rue, j’ai commencé à grogner et à crier. J’essayais de me cacher le visage, mais les passants voyaient bien une jeune fille qui sillonnait la rue à la hâte, en hurlant. Je trouvai une église, mais elle était fermée, ce qui me fit hurler encore plus fort. J’en trouvais une autre, fermée elle aussi. Je me rendis à la petite maison adjacente à l’église et je demandai à voir le pasteur. Chaque fois que mon regard croisait la croix, je hurlais. Je m’assis près de l’homme, lui racontai mon histoire, et j’essayai de lire la Bible. J’avais du mal à me concentrer parce que l’esprit ne voulait pas me lâcher si facilement.
Je hurlais et je poussais des cris si violents que les gens dans la rue pouvaient m’entendre. Deux assistants sociaux qui passaient par là m’ont entendu et ont essayé de m’aider. Ils ont vite vu qu’ils étaient impuissants, alors ils ont appelé des infirmiers, qui ont appelé une ambulance. Il était hors de question que j’aille à l’hôpital ! Ils ont aussi appelé la police mais je ne voulais rien savoir. Je m’étais agrippée à une barrière et pour rien au monde je ne l’aurais lâchée. Je leur ai dit d’appeler ma copine, et elle est venue. On est montés ensemble dans l’ambulance, qui a démarré sirènes hurlantes. Je savais de quelle assistance j’avais besoin, et je savais aussi que ce n’était pas eux qui allaient me l’apporter.
On m’a emmené à l’hôpital psychiatrique et on m’a enfermée dans une chambre. Les infirmières et les médecins me regardaient à travers une vitre. Il a fallu 6 infirmières pour m’injecter un sédatif, tellement je me débattais pour ne pas l’avoir. Je les suppliais de ne pas me donner de médicament, mais au final, je me suis écroulée de fatigue. J’ai été enfermée pendant quatre jours à l’hôpital. Ma copine venait me voir tous les jours. Elle me dit que la seule façon de sortir de là, serait de faire comme si tout allait bien. J’ai réussi à inhiber l’esprit un moment, alors les médecins m’ont collé l’étiquette de psychotique chimio-induite, mais moi je savais que j’étais possédée.
Alors je suis sortie de l’hôpital, et pendant les deux mois suivants, je pris un travail. J’espérais que l’esprit me quitterait. Je me suis rendue dans une église catholique pour qu’on m’exorcise, mais la seule chose qu’ils ont faite, c’était de me verser un peu d’huile sur la tête et de réciter une prière. Je savais que j’étais toujours possédée, et que le prêtre n’était pas dans le coup. Une après-midi, ma copine et moi, on s’est disputées, alors elle a quitté le travail en avance, et j’ai dû rentrer à pied, ce qui me prit quelques heures. Ça me restait en travers de la gorge. J’ai rejeté ma tête en arrière et j’ai descendu la grand’ rue en hurlant. Je suis rentrée à la maison, me suis jetée dans l’herbe, je hurlais de douleur. Je savais qu’il fallait que je me débarrasse de ça, alors on a fait nos bagages peu de temps après et on est parties. On a traversé le pays, en direction de Coffs Harbour, et on est arrivées quelques jours après.
C’est là que je rencontrais les chrétiens qui avaient aidé mon amie, et ils m’ont présenté la Parole de Dieu. Je savais que seul Jésus pourrait me guérir et je le désirais sincèrement. S’Il me libérait de ce mauvais esprit, j’étais prête à Lui donner ma vie. Pendant qu’ils me prêchaient encore, ma tête fut de nouveau jetée en arrière et j’eus une nouvelle crise. Après de nombreuses écritures et questions, la douleur devint insupportable, je voulais juste qu’on me baptise et que je reçoive le Saint-Esprit, tout comme la Bible le dit en ACTES 2:38 “…Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit.”
On est allés à la plage pour que je puisse être baptisée par immersion totale, sous l’eau. Je me voyais remplie de lumière pendant que les autres priaient pour moi, et j’ai reçu le Saint-Esprit instantanément pendant que j’étais encore sous l’eau. C’est alors que j’ai compris que je n’étais désormais plus possédée par le mauvais esprit, mais remplie du merveilleux Esprit de Dieu. J’ai été instantanément libérée de la servitude et de la douleur. Tout ce qui me restait à faire : sourire et louer Dieu pour ce don du salut.
Je Le remercie toujours et je Le loue pour Sa victoire sur Satan, ce pouvoir qui m’a libérée.
Je n’ai ressenti aucun des symptômes de sevrage par rapport à la drogue, et je suis désormais une nouvelle créature en Christ. “Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.” (2 CORINTHIENS 5:17). Depuis que j’ai choisi de suivre Dieu, Il m’a enseigné comment vivre une vie saine. Il m’a complètement pardonné ma vie dans le péché, et c’est la raison pour laquelle Jésus est mort. “Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.” (ROMAINS 5)
J’ai appris à mettre ma confiance en Dieu de tout mon cœur ; je sais que je suis sauvée par la foi en Lui.
Dans l’amour de Christ,
Alica
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Charlie charlie challenge
ATTENTION le charlie charlie challenge fait des ravages chez les ados plus d'info sur:
http://www.aleteia.org/fr/religion/article/charlie-charlie-challenge-jouer-innocemment-avec-le-demon-ca-nexiste-pas-5782723268444160?utm_campaign=NL_fr&utm_source=topnews_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr-31/05/2015
merci Gilles d'avoir réagit vite. prévenez un maximum de personnes et surtout les ados autour de vous!
http://www.aleteia.org/fr/religion/article/charlie-charlie-challenge-jouer-innocemment-avec-le-demon-ca-nexiste-pas-5782723268444160?utm_campaign=NL_fr&utm_source=topnews_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr-31/05/2015
merci Gilles d'avoir réagit vite. prévenez un maximum de personnes et surtout les ados autour de vous!
max 30- Avec Saint Maximilien Kolbe
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Re: Horreur ! Un jeu semblable à la planche Ouïja se répand dans le monde
max 30 a écrit:ATTENTION le charlie charlie challenge fait des ravages chez les ados plus d'info sur:
http://www.aleteia.org/fr/religion/article/charlie-charlie-challenge-jouer-innocemment-avec-le-demon-ca-nexiste-pas-5782723268444160?utm_campaign=NL_fr&utm_source=topnews_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr-31/05/2015
merci Gilles d'avoir réagit vite. prévenez un maximum de personnes et surtout les ados autour de vous!
Charlie Charlie Challenge : jouer innocemment avec le démon, ça n'existe pas !
Un prêtre avertit les ados à propos du jeu qui invoque les esprits et fait fureur sur les réseaux sociaux : c'est jouer avec le feu, prévient-il.
Dans une lettre ouverte aux élèves de l'école préparatoire Saints John Neumann and Maria Goretti Catholic High School à Philadelphie (États Unis), le père Stephen McCarthy alerte les jeunes sur le réel danger de participer au jeu du Charlie Charlie Challenge, au succès planétaire, en particulier auprès des ados. Depuis quelques jours, Internet s'emballe en effet autour de ce nouveau phénomène. Impossible d'y échapper ! En quelques heures, les réseaux sociaux et YouTube ont vu une avalanche de vidéos être publiées dans lesquelles des jeunes du monde entier relèvent ce "défi". Le principe du Charlie Charlie Challenge est simple : deux crayons sont disposés en forme de croix sur une feuille de papier, où sont inscrits les mots "oui" ou "non" dans chaque carré, et on "convoque" Charlie, un mystérieux esprit mexicain.
Un jeu loin d'être innocent...
Les médias profanes décrivent ce "jeu" comme inoffensif. Mais, dans sa lettre, le père McCarthy récuse ce jugement : "Le Charly Charly Challenge est décrit comme un jeu innocent, mais là où nous serions tentés de voir de l'innocence, le Démon, quant à lui, y voit une occasion d'agir". Et, dans sa lettre aux jeunes, il s'explique : "Sur les réseaux sociaux, se répand un jeu dangereux qui incite ouvertement les jeunes, qui sont impressionnables, à convoquer le Démon. Je tiens à vous rappeler à tous que jouer innocemment avec le Démon, ça n'existe pas". Il insiste : "Je vous en prie, ne participez pas à ce jeu et exhortez les autres à éviter d'y participer aussi". Et d'expliquer : "Le problème de s'ouvrir à l'activité démoniaque, c'est que l'on ouvre une fenêtre de possibilités qui ne se ferme pas facilement après".Interrogé sur le fait que le Démon puisse entrer dans la vie d'une personne par Internet, le prêtre répond : "Comment le Démon peut-il passer par Internet ? Quand j'ai examiné la question, j'ai immédiatement songé à l'anneau (du pouvoir) du Seigneur des anneaux. Le Démon peut tout tourner à son avantage". Pourquoi d'autres dans l'Église n'alertent-ils pas les jeunes et le public ? À cette question, le père McCarthy suggère que si de nombreux prêtres et parents demeurent silencieux, c'est que parler de l'existence du Démon est devenu sujet à controverse. Mais, dit-il, la nature controversée du sujet souligne justement l'influence de Satan. Et le prêtre invite tous ceux qui cherchent des expériences avec le surnaturel à assister à une messe catholique.
Voici le texte intégral de la lettre du père McCarthy
Mes chers amis,
J'ai appris qu'un jeu dangereux se répand sur les réseaux sociaux, incitant les jeunes ados, qui sont impressionnables, à convoquer les démons. Je tiens à vous rappeler à tous que "jouer innocemment avec les démons", ça n'existe pas. Si ce jeu parvient à vos oreilles, prenez garde et, je vous en prie, N'Y PARTICIPEZ PAS et incitez les autres à ne pas y participer. Je sais combien la curiosité est là, tentante ; mais le problème de s'ouvrir à l'activité démoniaque, c'est que l'on ouvre une fenêtre de possibilités qui ne se ferme pas facilement après. Si vous tenez à faire l'expérience de convoquer des entités spirituelles, puis-je vous recommander la messe ? Le chapelet ? Vous les jugerez, je pense, comme des alternatives de loin plus sûres et enrichissantes, à la longue. Je vous remercie d'avance pour votre coopération à cette question, des plus importantes.
Avec l'aide de vos anges gardiens, puisse Dieu nous bénir et nous protéger,
En Christ.
Adapté de l'anglais par Élisabeth de Lavigne
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Horreur ! Un jeu semblable à la planche Ouïja se répand dans le monde
Maintenant on commercialise tout et n'importe quoi. Je préférerais plus encore être un animal que de participer à ce sordide business. Il faut mettre en garde les esprits les moins affermis par le seul fait que l'on joue avec des choses qui ne jouent pas.
Albatros50- Près de Jésus Christ
- Messages : 24
Inscription : 16/11/2014
Re: Horreur ! Un jeu semblable à la planche Ouïja se répand dans le monde
Quelle inconscience ! (ou naïveté) de jouer à ça !
Liza2028- Avec Saint Joseph
- Messages : 1366
Inscription : 26/09/2013
Re: Horreur ! Un jeu semblable à la planche Ouïja se répand dans le monde
4 juin 2015
C'était le démon du marketing
C’est ce que l’on appelle un coup de pub réussi : le CharlieCharlieChallenge# , expérience de spiritisme minimaliste consistant à invoquer un prétendu démon mexicain avec deux crayons entrecroisés sur une feuille de papier n’était qu’une vaste opération de marketing destiné à promouvoir la sortie d’un film d’horreur, «The Gallows». Le pot aux roses a été dévoilé par plusieurs sites spécialisés dont Uproxx qui a mis en ligne cet extrait du film où l’on retrouve la scène reproduite des milliers de fois par des ados en mal de sensation fortes.
Il n’y a pas encore eu de reconnaissance officielle de la part des producteurs que le CharlieCharlieChallenge# a été monté de toute pièce mais les similitudes entre la scène du film dont la sortie est prévue le 22 juillet en France et les vidéos partagées sur les réseaux sociaux ne laissent guère de place au doute.
Mais le bilan de l’opération est spectaculaire: des centaines d’articles, deux millions de tweets avec le hashtag CharlieCharlieChallenge# . Même l’église s’est retrouvée involontairement complice de la campagne: un prêtre de Philadelphie, le père Stephen McCarthy, a écrit une lettre ouverte à ses jeunes ouailles pour les enjoindre à «ne pas jouer avec le démon car l’on risque d’ouvrir des portes qui seront bien difficiles à refermer.»
Toutefois, l'origine très terre à terre du phénomène n'enlève rien à son ampleur bien réelle. Peu à près son lancement, CharlieCharlie a sans doute vécu sa propre vie virale et l'immense majorité des vidéos partagées sur les réseaux sociaux sont sinon paranormales, du moins, sincères.
Si la promotion de « The Gallows », réalisé par Travis Cluff et Chris Lofing est originale, on ne peut pas en dire autant de son scénario: vingt ans après une terrible tragédie survenue lors d’une fête de fin d’années, des lycéens tentent d’invoquer les esprits des victimes. Mais, ils s’aperçoivent très vite de leur terrible erreur… Peut-être serait-il préférable de confier les scripts des films d'épouvante aux publicitaires.
C'était le démon du marketing
C’est ce que l’on appelle un coup de pub réussi : le CharlieCharlieChallenge# , expérience de spiritisme minimaliste consistant à invoquer un prétendu démon mexicain avec deux crayons entrecroisés sur une feuille de papier n’était qu’une vaste opération de marketing destiné à promouvoir la sortie d’un film d’horreur, «The Gallows». Le pot aux roses a été dévoilé par plusieurs sites spécialisés dont Uproxx qui a mis en ligne cet extrait du film où l’on retrouve la scène reproduite des milliers de fois par des ados en mal de sensation fortes.
Il n’y a pas encore eu de reconnaissance officielle de la part des producteurs que le CharlieCharlieChallenge# a été monté de toute pièce mais les similitudes entre la scène du film dont la sortie est prévue le 22 juillet en France et les vidéos partagées sur les réseaux sociaux ne laissent guère de place au doute.
Mais le bilan de l’opération est spectaculaire: des centaines d’articles, deux millions de tweets avec le hashtag CharlieCharlieChallenge# . Même l’église s’est retrouvée involontairement complice de la campagne: un prêtre de Philadelphie, le père Stephen McCarthy, a écrit une lettre ouverte à ses jeunes ouailles pour les enjoindre à «ne pas jouer avec le démon car l’on risque d’ouvrir des portes qui seront bien difficiles à refermer.»
Toutefois, l'origine très terre à terre du phénomène n'enlève rien à son ampleur bien réelle. Peu à près son lancement, CharlieCharlie a sans doute vécu sa propre vie virale et l'immense majorité des vidéos partagées sur les réseaux sociaux sont sinon paranormales, du moins, sincères.
Si la promotion de « The Gallows », réalisé par Travis Cluff et Chris Lofing est originale, on ne peut pas en dire autant de son scénario: vingt ans après une terrible tragédie survenue lors d’une fête de fin d’années, des lycéens tentent d’invoquer les esprits des victimes. Mais, ils s’aperçoivent très vite de leur terrible erreur… Peut-être serait-il préférable de confier les scripts des films d'épouvante aux publicitaires.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Horreur ! Un jeu semblable à la planche Ouïja se répand dans le monde
merci Gilles,j'ai déjà posté afin d'avertir sur facebook, mais cette image et ce texte est bien plus interpellant
je re poste!
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Marie Rose- En adoration
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