Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX

les enfants esclaves d'afrique Bannie10

Bienvenue sur le Forum catholique Le Peuple de la Paix!
Les sujets de ce forum sont: La Foi, la vie spirituelle, la théologie, la prière, les pèlerinages, la Fin des temps, le Nouvel ordre mondial, la puce électronique (implants sur l`homme), les sociétés secrètes, et bien d'autres thèmes...

Pour pouvoir écrire sur le forum, vous devez:
1- Être un membre enregistré
2- Posséder le droit d`écriture

Pour vous connecter ou vous enregistrer, cliquez sur «Connexion» ou «S`enregistrer» ci-dessous.

Pour obtenir le droit d`écriture, présentez-vous en cliquant sur un des liens "droit d`écriture" apparaissant sur le portail, sur l'index du forum ou encore sur la barre de navigation visible au haut du forum. Notre mail : moderateurlepeupledelapaix@yahoo.com

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX

les enfants esclaves d'afrique Bannie10

Bienvenue sur le Forum catholique Le Peuple de la Paix!
Les sujets de ce forum sont: La Foi, la vie spirituelle, la théologie, la prière, les pèlerinages, la Fin des temps, le Nouvel ordre mondial, la puce électronique (implants sur l`homme), les sociétés secrètes, et bien d'autres thèmes...

Pour pouvoir écrire sur le forum, vous devez:
1- Être un membre enregistré
2- Posséder le droit d`écriture

Pour vous connecter ou vous enregistrer, cliquez sur «Connexion» ou «S`enregistrer» ci-dessous.

Pour obtenir le droit d`écriture, présentez-vous en cliquant sur un des liens "droit d`écriture" apparaissant sur le portail, sur l'index du forum ou encore sur la barre de navigation visible au haut du forum. Notre mail : moderateurlepeupledelapaix@yahoo.com
Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

les enfants esclaves d'afrique

Aller en bas

les enfants esclaves d'afrique Empty les enfants esclaves d'afrique

Message par Elysé Mer 20 Mai 2015 - 15:48




Souvent on pense que l’esclavage était détruit dans les siècles passés.  Mais, non !  La réalité dure est qu’il y a aujourd’hui des esclaves PLUS QUE tous les siècles passés !  Il habite aujourd’hui 37 milliards des esclaves mondiale.  Ces esclaves restent sur presque tous les continents, mais la plupart restent ou commencent en Afrique.

On peut facilement identifier ces genres d’esclavage en Afrique :

   Le travail non libère, souvent utilisant des enfants
   Service militaire non libère, souvent utilisant des enfants
   Service sexuel non libère
   Service dans les couvents non-libère


On peut identifier ces méthodes par lesquelles les victimes sont prises en siège:

Des chaines d'esclavage sont souvent spirituel.!!   Certains sont vendus par leurs familles à cause de leur pauvreté, souvent avec les fausses promesses des grandes opportunités comme le travail ou l’éducation.
!!    Certains sont pris par les voleurs des humains par force.
!!    Certains sont pris par le militaire ou des rebelles militaires par force.
!!    Certains sont victimes des idées religieuses de leurs familles, qui forcent la famille, à cause de la peur extrême de leur voduns, de donner leurs enfants comme sacrifices perpétuels dans les couvents traditionnels.

Ce site existe à documenter et à expliquer le problème immense du dernier groupe des esclaves :  Les esclaves qui sont obligé à servir, sans leur consent, dans les couvents traditionnels des voduns ou des idoles.  Cette catégorie des esclaves se chevaucher deux autres, parce que les esclaves dans les couvents travaillent non librement pour les prêtres et les prêtresses, et ils sont utilisées aussi pour les services sexuelles sans leur consent.

Quelques questions importantes et réponses sur l’esclavage dans les couvents traditionnelles :

Esclavage est un système ancien et primitif.  Pourquoi restent l’esclavage aujourd’hui dans ce temps modern?
Le mal et le péché est inébranable. Malheureusement, l'esclavage existe partout, même aujourd'hui.  Une des places la plus active du monde pour l'esclavage des enfants est L'Afrique de l'ouest.

Quels genres d’esclavage prendre en siège les enfants d’Afrique ?
Il y a plusieurs genres de l'esclavage. Un genre exploit les enfants comme travail gratuit, pour faire des produits a bas prix et rentable. Un autre genre exploit les enfants pour les marchés du sexe and de la pornographie. Encore un genre est tiré de la tradition culturelle qui exige qu'une vierge jeune est rendue comme paiement pour des services d'un prêtre d’un lieu saint de la religion Africaine traditionnelle.

Comment sont-ils des esclaves des couvents traditionnelles appelés ?
Ces jeune filles sont appelées  « vudusi », ou, dans certains rayons, «trokosi ». (Il y a beaucoup de moyens d'écrire ces mots, selon la confusion entre français-anglais-Ewe-Fon).  Il sont appelés aussi selon le nom du vodun qu’ils sont obligés `a servir :  Yevessiwo, Sosiwo, Dasiwo, Avlesiwo, etc. (wo signfie le pluriel en la langue Ewe).

Que veut dire les termes comme vudusi?
« Vudusi » et « trokosi » sont termes de la langue tribal Ewe (prononcé Ay-vay) qui est parlé dans certain partes de Ghana et Togo.   Le terme « vudusi » est fréquemment utilisé dans le territoire de l’ouest de la tribu, dans Togo, et parmi la tribu Fon de Benin. Le terme « trokosi » est utilisé dans le territoire de l’est de la tribu, dans Ghana.  Tous les deux termes veulent dire, "les épouse d’un vodun ou idole".  Les filles sont considérées comme épouses de l'idole qui est vénéré à un couvent traditionnelle.  En effet, les jeune filles sont les concubines and les esclavages des prêtres de ces couvents.  Elles sont les esclavages du couvent, tenues aux dieux par les rites, les attentes sociales et premièrement, par la peur.  Tous les deux égalent « la servitude rituelle » ou bien «  la servitude lié aux couvents. »

Où sont situés les esclavages du vudusi?
Les esclavages du vudusi sont situés dans la partie sud de la peuplade Ewe qui habite la région Volta du Ghana et dans le Togo et le Benin, aussi un peut dans quelques parties de Nigeria de l’ouest, tous qui sont pays de l'Afrique de l'oeust.

Est-ce que c’est vrai que certains vudusi ont été libérés ?
Oui, c’est vrai que dans le Ghana, à peu près une moitié des esclavages ont été libérés graduellement depuis l'année 2000.  Malheureusement, tous les esclavages de Togo et du Benin, même de Nigeria, restent liés aux couvents.

Comment était les esclaves du Ghana libérés ?
Partie des esclaves de Ghana était libérés par un effort d’éducation et par arbitration et intervention des organismes non-gouvernementales et des quelques chrétiens courageux.  Le crédit à certains journalistes courageux qui tenaient la réalité du problème devant la conscience de la nation.  Le crédit à législateurs qui a pris en place une loi contre la pratique en 1998.  Le crédit à un pasteur baptiste très courageux, Mark Wisdom, qui parlaient contre le pratique publiquement dans un temps que beaucoup des autres restaient peur et silencieux.  Le crédit à le CHRAJ (La Commission sur la Justice Administrative et les Droits Humains).  Le crédit à plusieurs ONG (Organisations Non-Gouvernementales) de trois genres :  ceux qui s’occupent des droits humains, ceux qui s’occupent des droits des femmes, et les organismes chrétiens.  Parmi ces ONG sont (en ordre alphabetique), FESLIM (Mouvement de libération pour les esclaves fetish), IN (Besoins Internationals), et MCE (Ministères pour Chaque Enfant), un organisme chrétien qui s’occupe d’élever et d’aider les enfants d’Afrique.

Pourquoi est-ce que les ONG n’avait pas libérés les esclaves de Togo, Benin et Nigeria jusqu’à le moment présent ?
En réalité, quelques ONG sont près avec aide pour les projets de libération dans ces pays.  Mais d’abord, il faut la compréhension de la population.

Comme le trokosi a été déclaré illégal en Ghana en 1998, pourquoi est-il pratiqué dans quelques couvents jusqu’au présent?
Par les efforts et influence des chrétiens et des autres hommes de bonne volonté, le trokosi a été déclaré illégale dans le Ghana depuis 1998, c’est vraie. Pourtant, il continue parce qu'on ne pas mettre en vigueur l'interdiction. D'abord, à cause de la  réticence naturel du gouvernement de se mêler dans les affaires traditionnelles. Une autre raison, et la plus puissant, c'est la conviction répandu que celui qui oppose les prêtres des couvents sera maudit. Les idoles des couvents traditionnelles souvent sont des dieux de guerre obtenu dans une époque quand les tribus Fon et Ewe a cherché de l'aide dans les guerres tribales au sujet du  terrain. Une fonction essentielle des idoles est de tué et le peuple vit avec la peur abject des couvents et les prêtres qui les servent.

Le problème de la peur est illustré dans une interview que Wisdom Mensah a eu il y a quelques ans avec la première femme du Ghana. "Madame Rawlings," il a dit, "Vous parlez tout le temps des droits des femmes and des enfants. Pourquoi vous ne parlez pas des droits des esclavages trokosi?" "Comment?" elle a répondu, effaré. "Voulez-vous qu'on me tue?"

Expliquez encore comment les esclaves de la couvent a été libéré dans le Ghana?
Elles a été libérées premièrement par l'intervention de Chrétiens qui sont prêt à payées pour leur libération and à aider les filles de commencer une nouvelle vie après leur libération. La première organisme qui travaille pour la libération des esclaves de la couvant c'était le ONG « Le Mouvement de la Libération des Esclave du Fétiche » (FESLIM) dans le Ghana. Puis le ONG « Besoins Internationales du Ghana » et  le ONG international MCE  « Ministère pour Chaque Enfant » se sont aussi liés au projet.

Il y a combien des esclaves rituels dans les couvents?
En Ghana :  Il est estimé qu'il y avait à peu près 5,000 esclaves rituels gardées en otage dans le Ghana quand les Chrétiens a commencé à s'y concerner dans les années 1980. En moyenne, chaque trokosi dans le Ghana arrive à avoir quatre enfants à la suite d'avoir été violé par le prêtre, les anciens et autres liés au couvent.  Bien que ces enfants ne sont pas théoriquement trokosi, il sert chaque caprice du prêtre sans être payé; enfin, ils sont aussi des esclaves. En effet, le système entraine à peu près 25000 vies dans le Ghana.

En Togo et Benin :  On n'a jamais compté le nombre des esclaves rituels de la couvent dans le Togo et le Benin mais il est évidement beaucoup plus grande qu'en le Ghana, probablement centaines de mille.
Quel desastre monstreux!  Que Dieu Puissant nous aide !

Comment les esclaves sont-elles traitées ?
Horriblement, le plus souvent. Elles travaillent dur, elles ne mangent pas à leur faim, et sont fouettées si elles ne font pas leur quota de travail. Généralement il faut cultiver les champs du prêtre toute la journée avec une houe. On fait croire aux filles qu'elles seront maudites et mourront si elles mangent ne serait-ce qu'un grain des récoltes des champs. La nuit certaines d'entre elles restent debout à côté du prêtre, lui faisant du vent pour éloigner les mouches. La nuit tombée ou dès qu'il en a envie, il les appelle pour son plaisir sexuel. Si elles refusent ou si elles ne lui donnent pas satisfaction, ou quelques fois sans raison apparente, il les prive de nourriture, il les fouette, ou il les oblige à s'agenouiller sur des tessons de verres pendant des heures. Elles ne reçoivent aucune affection, même quand le prêtre à une relation sexuelle avec elles. Beaucoup de filles nous ont confié qu'elles se sentaient absolument inutiles quand elles étaient dans le système trokosi.

Pourquoi beaucoup d'esclaves sont des enfants ?
Bien que beaucoup de filles aient été prises comme esclaves juste avant ou pendant la puberté, certaines d'entre elles ont également été mises en esclavage très jeunes, parfois dès quatre ans. Nous en avons rencontré une qui était si jeune que des arrangements avaient dû être pris avec sa mère pour qu'elle continue à lui donner le sein. Bien sûr, elles grandissent, et lors des libérations les trokosi sont de tous les âges. De plus, les filles ont en moyenne quatre enfants, conséquence des viols réguliers par les prêtres et quelques fois par la famille de ce-dernier. Ces enfants sont nés en esclavage. Nous avons parlé à de nombreux jeunes adultes pour qui la vie déshumanisée des sanctuaires constitue leurs premiers souvenirs.

Qu'arrive-t-il aux filles après leur libération ?
Après la libération, les filles qui sont adultes ont l'opportunité de participer à une formation professionnelle . Il existe plusieurs centres de formation proposant de tels stages. On s’efforce de donner aux filles une présentation de différentes activités avec lesquelles elles peuvent gagner leur vie, et se perfectionner ensuite dans l'une d'entre elles. Elles peuvent apprendre la couture, à fabriquer du savon, la teinture, la boulangerie, l'élevage, la coiffure, ou la technique traditionnelle du tissage du kente. Elles apprennent également à cuisiner des plats traditionnels africains afin de se préparer à une vie normale. Dans ces centres, les filles commencent aussi à apprendre à lire, reçoivent des conseils, prient, et ont l'occasion d'écouter la parole de Jésus Christ. Beaucoup d'entre elles choisissent de devenir chrétiennes. Après leur formation, un certain nombre d'entre elles montent leur propre affaire.

           Des tentatives de réconciliation avec les familles sont faites, et quelques fois elles réussissent. Quelques unes peuvent retourner dans leur village d'origine. Certaines fois les familles ne les acceptent pas. Quand les familles les refusent et que les filles sont trop jeunes pour participer aux formations professionnelles, on s'efforce de les placer dans des familles chrétiennes. Les jeunes filles qui ont besoin d'un logement et qui ne sont pas placées dans des familles, sont les bienvenues au Refuge de l'Espoir (Haven of Hope) de Every Child Ministries au Ghana. Là, elles peuvent aussi terminer leurs études au niveau le plus élevé possible pour chacune d'elle.

Comment est utilisé mon "argent pour la libération" ?
Un petit versement est fait au prêtre pour chaque fille. Bien qu'ils soient libres d'utiliser l'argent comme bon leur semble, certains ont déclaré qu'ils achèteraient des meules à maïs qui leur permettraient de faire de l'argent, puiqu'en libérant les esclaves le prêtre perd une façon d’avoir de l’argent. Une partie de l'argent est utilisé pour faciliter les négociations qui aboutissent en fin de compte à la libération des esclaves et à l'abolition de l'esclavage dans une région donnée. Une autre partie sert à la cérémonie de libération au cours de laquelle les filles retrouvent la liberté. C'est une cérémonie publique qui facilite le retour des filles à la vie dans le village. Enfin, une dernière partie de l'argent est utilisée pour aider les filles à commencer une nouvelle vie après la libération.

Est-ce qu'acheter la liberté pour certaines esclaves ne va pas continuer le cycle ?
C'est un véritable problème, mais il n'y a pas lieu de s'inquiéter. Au Ghana, pas un seul couvent n'a repris de nouvelles ou d'anciennes esclaves après les avoir libérées. Ceci s'explique en partie parce que la loi de 1998 criminalise le trokosi, et aussi par la façon dont sont libérés les esclaves. Au lieu de travailler pour des libérations individuelles, nous travaillons pour trouver un arrangement avec le village tout entier pour libérer tous les esclaves dans certains couvents et mettre définitivement fin à l'esclavage dans une province. Votre "argent pour la libération" ne perpétue pas l'esclavage, au contraire il aide à y mettre un terme.

En quelle mesure ce projet est-il important pour la diffusion de la Parole divine ?
Pendant des milliers d'années les personnes dans les régions touchées étaient liées à l'idolâtrie. Maintenant, Dieu a préparé un groupe de personnes qui sait vraiment ce qu'est l'idolâtrie. Elles l'ont vu au plus près. Elles ont vécu jour après jour avec les prêtres. Après que ces filles aient été libérées, pensez-vous qu'elles veulent encore avoir des contacts avec l'idolâtrie ? Pas le moins du monde !

Chaque fille est libre de choisir son appartenance religieuse bien sûr, mais beaucoup d'entre elles se tournent vers Jésus Christ et deviennent d'ardentes et dévouées croyantes. Les souffrances que ces filles ont endurées sont terribles, mais Dieu s'en sert pour ouvrir un nouveau et un meilleur chemin. Cela fait partie de la stratégie du projet pour aider les individus et au-delà, pour diffuser Sa Parole dans une zone qui s'étend sur trois pays.

Comment Every Child Ministries prend-il part à ce projet ?
Pendant un séminaire de formation pour enseignants organisé par ECM en 1999, un adversaire du trokosi et venu nous voir et nous a parlé du problème. Quand nous avons compris que des enfants africains étaient mis en esclavage, cela nous a immédiatement intéressé. Après quelques recherches, nous nous sommes rendu compte que le problème était très sérieux. Nous avons parlé avec un des premiers groupes de missionnaires qui travaillaient déjà pour libérer ces filles. Nous avons pris à bras le corps les besoins de ces filles et avons fait une proposition à notre comité de direction. Ils on vu que Dieu était à l'oeuvre, et ils ont accepté avec plaisir.

           Il est également intéressant de voir comment International Needs s'est impliqué dans le projet. Il y a quelques années, un nouveau gouverneur avait été nommé pour la province de la Volta au Ghana. Il s'est préoccupé du faible niveau de développement dans cette région et il a voulu savoir pourquoi dans un pays assez avancé comme le Ghana, cette province était encore sous-développée. Après enquête, il s’est rendu compte que le sous-développement était étroitement lié aux croyances et aux pratiques de l'idolâtrie, et particulièrement à la pratique de l'esclavage. Arrivé à cette conclusion, il s'est adressé à International Needs pour savoir si les missionnaires chrétiens pourraient être intéressés et prêts à s’engager afin d'arrêter la pratique de l'esclavage trokosi. La perspicacité que Dieu a donné à cet homme n'est-elle pas étonnante ?

Comment quelqu'un peut-il être contre la libération des esclaves ?
Le principale opposant à la libération des trokosi est Afrikania Mission, quelque fois appelée Mission pour la Rennaissance Africaine (Afrikan Renaissance Mission), basée à Accra au Ghana. Le mot “mission” pourrait faire penser à un groupe chrétien, mais nous pensons que l'un de nos collaborateurs en a fait une évaluation assez juste. Il nous a raconté qu'ils cherchent des croyants de n'importe quelle dieu ou déesse (mais pas ceux qui suivent le dieu de la Bible), et cherchent ensuite à les renforcer dans leur foi. Le groupe a été formé par un ancien prêtre catholique déçu par l'église à cause de la force de la religion traditionnelle africaine et s'y est ensuite converti. Le groupe maintien une forte présence sur internet et est très actif au Ghana. Possédant de nombreux membres instruits dans leur équipe, ils écrivent et présentent régulièrement des conférences à la gloire de la religion traditionnelle africaine. Ils n'ont rien de bon à dire sur le christianisme.

Ils emploient plusieurs raisonnements, qui se contredisent souvent, à des moments différents. Un de leurs arguments les plus fréquemment utilisés est l'idée que le trokosi n'est pas vraiment de l'esclavage. Parfois, ils prétendent même que les filles sont traitées comme des reines ! Je les mets au défi de dire cela en face-à-face à une fille qui a été  une  esclave rituelle dans un sanctuaire.

Un autre argument est que cela n'est qu'une partie de leur pratique traditionnelle, et qui en tant que telle, devrait être préservée. Ils déclarent que les trokosi/vudusi sont des héroïnes parce qu'à elles seules elles protègent les villages des désastres en éloignant la colère des dieux.

Finalement, les membres d’Afrikania Mission donnent plus d'importance à leur mode de vie traditionnel qu'à la liberté et aux vies des filles qui sont maintenues en servitude. Ils ont choisi leurs idoles plutôt que le vrai Dieu vivant. Ils sont esclaves eux aussi, mais d'une façon différente, et ils ont aussi besoin de nos prières. Cependant, nous avons vu récemment que quelque fois quand ceux qui sont contre nous sont mieux informés, ils voient réellement les choses plus clairement. Ils viennent même aider à la libération des filles, alors qu'auparavant ils y étaient opposés. Gardez donc ces personnes dans vos prières.

Combien coûte la libération d'une esclave ?
Le montant exact varie selon de nombreux facteurs et ne peut pas être défini à l'avance. Certaines associations ont estimé que cela leur coûte au minimum 200 $ pour libérer une esclave et l'aider elle et ses enfants à commencer une nouvelle vie. Des dépenses supplémentaires sont souvent liées aux formations professionnelles, à l'accompagnement et au conseil donné après la libération.

Les adversaires de la libération accusent souvent les ONG d'utiliser le projet pour faire de l'argent pour leurs organisations. C'est tout le contraire qui se passe. Les ONG dépensent de grandes sommes d'argent pour aboutir aux libérations et pour assister les anciennes esclaves rituelles à reconstruire leurs vies brisées.

                        --Merci à Christophe Kodjo pour la traduction en français.

FAITS SUR L’ESCLAVAGE VUDUSI (L’esclavage rituel)

~~Appelé trokosi ou fiashidi au Ghana, ou servitude rituelle

~~Dans la tribu Ewe au Ghana, au Togo et au Benin, en Afrique de l’Ouest.

~~Nom signifiant “les femmes des dieux,” mais celles qui ont été libérées disent que les trokosi ne sont rien d’autre que des esclaves.

~~Les prêtres les retiennent comme esclaves dans les lieux de culte.

~~Elles travaillent toute la journée dans les champs sans être payées ou nourries.

~~Le prêtre les viole régulièrement.

~~Forcées d’adorer l’idole, on leur refuse même le droit d’écouter les Gospels

~~On leur refuse le droit à l’éducation.

~~La plupart d’entre elles sont traitées de façon épouvantable.

~~Les filles sont emmenées dès l’âge de 4 ans, mais elles grandissent dans l’esclavage, donc on trouve des vudusi de tous âges.

~~D’après la coutume, si une trokosi meurt ou parvient à s’échapper, elle doit être remplacée par une autre fille de la même famille, donc c’est un cercle vicieux sans fins à moins qu’une libération n’ait lieu.

~~En 1997, la première étude en a dénombré environ 5 000 rien qu’au Ghana.

~~Les vudusi ont en moyenne 4 enfants chacune, et qui sont généralement issus du viol des prêtres ou de leurs aînés, donc en 1997 cela comprenait 25 000 personnes rien qu’au Ghana.  Bien que ces enfants ne soient pas techniquement des trokosi, ils appartiennent également au prêtre et ils doivent le servir.

~~Grâce à l’intervention des groupes chrétiens, environ 3 000 vudusi sur 5 000 ont été libérées et environ 2 000 restent asservies (donc avec les enfants) environ 10 000 personnes sont affectées au Ghana.

~~Aucune vudusi du Togo ou du Bénin n’a encore été libérée et aucune étude n’a été faite pour déterminer leur nombre.

~~Cette pratique est devenue illégale en 1998 au Ghana, mais parce que les gens ont peur du pouvoir de leurs idoles, cette loi n’a pas été mise en vigueur.

~~La peur d’un monde occulte est le facteur de motivation le plus fort et c’est lui qui permet malheureusement à cette pratique de perdurer.

~~Cette pratique s’appelle également trokosi ou fiashidi, et vodousi dans les pays francophones.  

FAITS SUR LE PROJET DE L'ONG 'MINISTERES POUR CHAQUE ENFANT' POUR LIBERER LES ESCLAVES        

~~Ministères pour Chaque Enfant travaille en réseau avec les organisations chrétiennes ghanéennes sur ce projet.

~~Travailler sur un accord accepté par toute la communauté pour relâcher les esclaves et pour éradiquer l’esclavage dans cette région.

~~Dans les endroits où de tels accords ont déjà été signés, aucune esclave n’a été reprise et aucune nouvelle n’a été prise, donc il n’y a plus de cercle vicieux.

~~Cela coûte environ 200 $ pour libérer une trokosi ainsi que tous ses enfants et pour l’aider à commencer une nouvelle vie.

~~L’argent de la libération est utilisé pour:

   §   Faciliter le rapprochement des aînés de la communauté (qui peuvent être éparpillés dans tout le pays) afin de  discuter du problème et négocier une mise à terme de cette pratique.

   §   Motiver les prêtres en leur donnant une légère compensation.

   §   Organiser une cérémonie publique à laquelle seront invités les dirigeants du gouvernement et de la communauté.

                         --Merci à Véronique Derdos pour la traduction en français.
http://www.esclavagemodern.com/
itch to accessible version
Elysé
Elysé
Combat avec l'Archange Michel

Masculin Messages : 1147
Age : 51
Localisation : FRANCE
Inscription : 24/04/2015

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum