La réalité de l'Education Nationale les élèves et les profs..
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Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Les Grands Péchés :: A T-ON LE DROIT D'ABUSER DE SON AUTORITE ?
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La réalité de l'Education Nationale les élèves et les profs..
La réalité de ce que vivent les jeunes et professeurs dans les écoles entre eux
Pourquoi cette article? Car beaucoup de drames, beaucoup d'exclusion, de violences, de haines, etc..
L'école est je pense l'image même de notre lendemain; voyez l'exemple par des témoignages ci dessous,
Si vous aussi vous avez des témoignages n'hésitez pas, même les plus anodins sont les bienvenus, n'attendons pas les drames!
Il est temps que cela se sache, et que sa s'achève!
Traitée de "pute", de "boloss" : Marion, 13 ans, s'est suicidée
Source et lire la suite:
http://tempsreel.nouvelobs.com/l-enquete-de-l-obs/20131114.OBS5469/traitee-de-pute-de-boloss-marion-13-ans-s-est-suicidee.html
Pourquoi cette article? Car beaucoup de drames, beaucoup d'exclusion, de violences, de haines, etc..
L'école est je pense l'image même de notre lendemain; voyez l'exemple par des témoignages ci dessous,
Si vous aussi vous avez des témoignages n'hésitez pas, même les plus anodins sont les bienvenus, n'attendons pas les drames!
Il est temps que cela se sache, et que sa s'achève!
Traitée de "pute", de "boloss" : Marion, 13 ans, s'est suicidée
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http://tempsreel.nouvelobs.com/l-enquete-de-l-obs/20131114.OBS5469/traitee-de-pute-de-boloss-marion-13-ans-s-est-suicidee.html
Dernière édition par Charles-Edouard le Ven 30 Jan 2015 - 11:07, édité 2 fois
Re: La réalité de l'Education Nationale les élèves et les profs..
1 ado sur 3 a déjà pensé au suicide : de l'école à Facebook, 4 motifs de souffrance
L’enquête réalisée par Unicef France a de quoi inquiéter : un jeune sur trois (36,3%) serait en souffrance psychologique. Plus alarmant encore, 28% des adolescents disent avoir déjà pensé au suicide et 11% seraient déjà passés à l’acte. La jeunesse française va-t-elle si mal ? Thérèse Hannier, présidente de l’association Phare Enfants-Parents, détaille les raisons d’un mal-être adolescent.
Source et lire la suite:
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1243397-un-tiers-des-ados-francais-a-deja-pense-au-suicide-les-4-raisons-d-un-mal-etre.html
L’enquête réalisée par Unicef France a de quoi inquiéter : un jeune sur trois (36,3%) serait en souffrance psychologique. Plus alarmant encore, 28% des adolescents disent avoir déjà pensé au suicide et 11% seraient déjà passés à l’acte. La jeunesse française va-t-elle si mal ? Thérèse Hannier, présidente de l’association Phare Enfants-Parents, détaille les raisons d’un mal-être adolescent.
Source et lire la suite:
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1243397-un-tiers-des-ados-francais-a-deja-pense-au-suicide-les-4-raisons-d-un-mal-etre.html
Re: La réalité de l'Education Nationale les élèves et les profs..
Les conséquence du harcèlement
Un numéro d'appel national pour les victimes: 0808 807 010
La lutte contre le harcèlement à l’École est une priorité du Ministère de l’éducation nationale pour garantir un cadre de vie favorable à la réussite de chaque élève.
La lutte contre le harcèlement à l’École est une priorité du Ministère de l’éducation nationale pour garantir un cadre de vie favorable à la réussite de chaque élève.
Sensibiliser et responsabiliser les parents, les élèves, les enseignants et tous les professionnels de l’éducation est primordial : c’est dans cet engagement collectif que réside une des clés majeures pour lutter contre le harcèlement à l’École.
Pour en savoir plus le site du ministère de l'éducation national:
http://www.agircontreleharcelementalecole.gouv.fr/quest-ce-que-le-harcelement/les-consequences-du-harcelement/
Un numéro d'appel national pour les victimes: 0808 807 010
La lutte contre le harcèlement à l’École est une priorité du Ministère de l’éducation nationale pour garantir un cadre de vie favorable à la réussite de chaque élève.
La lutte contre le harcèlement à l’École est une priorité du Ministère de l’éducation nationale pour garantir un cadre de vie favorable à la réussite de chaque élève.
Sensibiliser et responsabiliser les parents, les élèves, les enseignants et tous les professionnels de l’éducation est primordial : c’est dans cet engagement collectif que réside une des clés majeures pour lutter contre le harcèlement à l’École.
Pour en savoir plus le site du ministère de l'éducation national:
http://www.agircontreleharcelementalecole.gouv.fr/quest-ce-que-le-harcelement/les-consequences-du-harcelement/
Re: La réalité de l'Education Nationale les élèves et les profs..
Lille : au lycée Fénelon un élève tente de se suicider et chute du 3e étage devant ses camarades
Un adolescent âgé de 15 ans, élève de seconde du lycée Fénelon à Lille, a tenté de mettre fin à ses jours, ce mardi après-midi. À l’intercours, il a sauté depuis une passerelle située à une vingtaine de mètres de hauteur, tombant au milieu de nombreux camarades. Il a été hospitalisé, dans un état grave.
Source et lire la suite:
http://www.lavoixdunord.fr/region/lille-au-lycee-fenelon-un-eleve-tente-de-se-suicider-ia19b0n2408612
Un adolescent âgé de 15 ans, élève de seconde du lycée Fénelon à Lille, a tenté de mettre fin à ses jours, ce mardi après-midi. À l’intercours, il a sauté depuis une passerelle située à une vingtaine de mètres de hauteur, tombant au milieu de nombreux camarades. Il a été hospitalisé, dans un état grave.
Source et lire la suite:
http://www.lavoixdunord.fr/region/lille-au-lycee-fenelon-un-eleve-tente-de-se-suicider-ia19b0n2408612
Re: La réalité de l'Education Nationale les élèves et les profs..
Harcelé et agressé en classe, il porte plainte
Pierre Arrighi affirme avoir été frappé en cours, jeudi, par un de ses camarades après un an de harcèlement. Ses parents veulent briser la loi du silence.
Lire la suite
http://www.sudouest.fr/2014/11/19/harcele-et-agresse-en-classe-il-porte-plainte-1740628-3230.php
Pierre Arrighi affirme avoir été frappé en cours, jeudi, par un de ses camarades après un an de harcèlement. Ses parents veulent briser la loi du silence.
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http://www.sudouest.fr/2014/11/19/harcele-et-agresse-en-classe-il-porte-plainte-1740628-3230.php
Re: La réalité de l'Education Nationale les élèves et les profs..
Malaise dans l’Education nationale. Béziers, Villeneuve, Marseille... Les suicides d’enseignants continuent
Une enseignante se pend dans sa classe dans l’Aisne
VILLENEUVE-SAINT-GERMAIN - Une enseignante de 53 ans du collège Louise-Michel de Villeneuve-Saint-Germain a été retrouvée pendue dans sa classe.
Hier après-midi, des enseignants du collège Louise-Michel de Villeneuve-Saint-Germain ont découvert leur collègue Annick Martin, professeur de biotechnologie spécialisée en hygiène et alimentation, pendue dans sa salle de classe. Ils ont été alertés car elle n’est pas venue accueillir ses élèves, de section d’enseignement général et professionnel adapté, au début de l’après-midi.
Une enseignante met fin à ses jours à Béthune
Une enseignante d’un lycée professionnel de Béthune (Pas-de-Calais) est décédée dimanche des suites d’une tentative de suicide survenue six jours plus tôt, rapporte Nord-Eclair ce mardi 23 octobre 2012.
Agée de 48 ans, cette enseignante en secrétariat et bureautique aurait mis fin à ses jours en raison de ses conditions de travail, déplore son syndicat. « Nous venons de perdre une collègue qui n’a pas supporté toutes les pressions (...) L’administration l’a broyée », indique-t-il sur son site Internet.
L’enseignante n’aurait pas supporté la possible suppression de son poste à la rentrée prochaine, ce qui l’aurait forcée à reprendre des remplacements engendrant de nombreux déplacements, a expliqué le syndicat à l’AFP, citée par Libération.
Lire la suite:
http://www.gauchemip.org/spip.php?article10933
Une enseignante se pend dans sa classe dans l’Aisne
VILLENEUVE-SAINT-GERMAIN - Une enseignante de 53 ans du collège Louise-Michel de Villeneuve-Saint-Germain a été retrouvée pendue dans sa classe.
Hier après-midi, des enseignants du collège Louise-Michel de Villeneuve-Saint-Germain ont découvert leur collègue Annick Martin, professeur de biotechnologie spécialisée en hygiène et alimentation, pendue dans sa salle de classe. Ils ont été alertés car elle n’est pas venue accueillir ses élèves, de section d’enseignement général et professionnel adapté, au début de l’après-midi.
Une enseignante met fin à ses jours à Béthune
Une enseignante d’un lycée professionnel de Béthune (Pas-de-Calais) est décédée dimanche des suites d’une tentative de suicide survenue six jours plus tôt, rapporte Nord-Eclair ce mardi 23 octobre 2012.
Agée de 48 ans, cette enseignante en secrétariat et bureautique aurait mis fin à ses jours en raison de ses conditions de travail, déplore son syndicat. « Nous venons de perdre une collègue qui n’a pas supporté toutes les pressions (...) L’administration l’a broyée », indique-t-il sur son site Internet.
L’enseignante n’aurait pas supporté la possible suppression de son poste à la rentrée prochaine, ce qui l’aurait forcée à reprendre des remplacements engendrant de nombreux déplacements, a expliqué le syndicat à l’AFP, citée par Libération.
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http://www.gauchemip.org/spip.php?article10933
Vive le Ministère de l’Instruction Publique !
A noter que certains se bougent pour faire changer l'école…..
Video :
http://dai.ly/x2fc7xb
Communiqué.
Farida Belghoul
Le Ministère de l’Instruction Publique est mort. Vive le Ministère de l’Instruction Publique !
Un ministère, au vrai sens du terme, est une charge que l’on doit remplir. C’est un service. L’Education Nationale se charge, comme son nom l’indique, d’éduquer les enfants, et c’est bien là le problème… Le Ministère de l’Instruction Publique se charge de les instruire.
Ce nouveau ministère est l’école de la FAPEC en ligne. Il s’agit d’un dispositif de télé-enseignement. Les formations retenues au cours des Assises de Lyon de juin 2014 sont donc prises en charge sur une plate-forme internet. Cela résout bien des dilemmes, notamment l’annulation des salles au dernier moment…
Le Ministère de l’instruction Publique apporte aux familles ce que le Ministère de l’Education Nationale leur refuse : une transmission des connaissances de qualité.
L’échec de l’école
La FAPEC, nous l’avons dit à plusieurs reprises, se donne aussi pour mission d’aider les parents dans le domaine de l’instruction.
Les difficultés scolaires, ou l’échec, rencontrés par les enfants s’expliquent la plupart du temps par l’usage de mauvaises méthodes d’enseignement. L’Education Nationale impose délibérément la méthode globale par exemple pour apprendre à lire aux enfants.
Cette méthode globale, les pouvoirs publics ne l’assument pas : ils prétendent comme à l’accoutumée qu’il s’agit d’une vue de l’esprit et qu’elle n’existe pas davantage que la théorie du genre…Or, c’est bien cette pseudo-méthode (à l’origine conçue pour les sourds et les malentendants…) qui est mise en œuvre au CP sous différentes appellations plus farfelues les unes que les autres, « semi-globale » y compris. C’est une méthode de l’à-peu près, méthode qui pousse l’enfant à deviner et non à lire, c’est une méthode de l’échec.
L’illettrisme sévit désormais dans toutes les classes sociales, à cause de ce parti pris de l’école qui consiste à imposer aux enfants des « méthodes d’apprentissage » qui mènent tout droit à la ruine intellectuelle.
Les dégâts ne s’arrêtent pas au CP. L’enseignement de toutes les matières, à tous les niveaux jusqu’au BAC, est sinistré. C’est pourquoi le Ministère de l’Instruction Publique enseigne toutes les matières fondamentales.
La transmission des connaissances – raison pour laquelle nous scolarisons nos enfants – fait place à des programmes de plus en plus ubuesques sur lesquels nous reviendrons plus tard. Nous savons par exemple que la fameuse question du respect des « orientations sexuelles » est pour l’Etat désormais quasiment une matière à part entière qu’il faut traiter en priorité.
C’est la débâcle de l’école.
Les jeunes n’ont plus le goût d’apprendre. Les explications officielles cachent la vérité : c’est l’école actuelle qui crée le dégoût et l’échec scolaire. Les démonstrations savantes autour de la démocratisation de l’école ne sont qu’enfumages et entourloupes.
L’orthographe est sinistrée parce qu’elle n’est plus enseignée rigoureusement. Les dictées se font rares. La grammaire idem. Plus de cours d’élocution ou de rédaction. L’école instruisant de moins en moins, la lecture devient un exercice inabordable et l’étude des textes une gageure. Toutes les matières, y compris les mathématiques, en pâtissent gravement. L’enseignement des bases est sabordé.
La loi d’orientation de 1989
La loi d’orientation de 1989 de Lionel Jospin (sévissant toujours) stipule qu’un élève doit « construire lui-même ses propres savoirs »…L’enfant doit se débrouiller seul pour apprendre. Plus de maîtres donc ! Ceux-ci se limitent souvent, sous la pression des instructions officielles à accompagner les élèves dans un jeu pédagogique pervers où l’objectif est de conduire l’élève à « construire » lui-même son propre cours ! Le cours magistral(1) est combattu à mort par l’institution scolaire. Il finira même par être interdit !
La disparition des cours magistraux, d’explications rigoureuses, progressives et brillantes a tué l’autorité des maîtres qui ne portent même plus le nom honorable qui leur revient. Le maintien de la discipline en classe devient la préoccupation essentielle de l’enseignant « constructiviste » convaincu lui-même par l’erreur. Les plus sensés sont paralysés par la peur et travaillent davantage dans la crainte de l’inspection que dans l’intérêt de l’élève. L’inspecteur déboulant, ils doivent prouver que leurs « progressions annuelles» sont conformes aux conceptions officielles où l’idéologie libertaire a remplacé la pédagogie traditionnelle.
Traditionnelle c’est à dire transmise de maîtres à maîtres. Traditionnelle c’est à dire expérimentée. Traditionnelle c’est à dire forte des résultats obtenus. C’est à dire efficace. Mais pour les idéologues du Ministère de l’Education Nationale, la pédagogie traditionnelle est l’ennemie ! Donc à la casse ! Ni Dieu ni maîtres… Ni orthographe ni grammaire… Ni père ni mère. Ni homme ni femme.
L’autorité des aînés décriée par l’institution scolaire elle-même est donc par voie de conséquence bafouée par les élèves en classe : le mépris des jeunes pour l’enseignant, par la même occasion, est « construit » lui aussi…
L’école n’est plus neutre – on le voit de manière criante ces derniers jours; l’école n’est plus un sanctuaire; l’école ne respecte plus la pudeur des enfants et leur désir inné d’apprendre auprès d’un maître respectable et vénéré.
Conséquence : chaque année, 250 000 jeunes sortent de l’école sans qualification c’est à dire sans savoir ni lire ni écrire correctement, ni compter.
Ceux qui poursuivent leurs études sont trompés. Tandis que le niveau baisse inexorablement, les élèves sont surnotés. Et cela ne suffit pas : on envisage même désormais de supprimer les notes ! Tous les moyens sont bons pour cacher le désastre et l’aggraver. On n’apprend plus que ce qui est utile au marché mondial et celui-ci n’a besoin que d’esclaves incultes.
Les parents ne savent rien. Comme d’habitude.
Nous combattons depuis janvier 2014 pour l’interdiction de la théorie du genre en classe. Nous avons jeté les bases d’une convergence de toutes les meilleures volontés pour protéger les enfants, au-delà de tous les clivages sociaux ou religieux. Nous avons également évoqué, à plusieurs reprises, la nécessaire restauration d’un Ministère de l’Instruction Publique mort en 1932. Le gouvernement s’y refusant, la FAPEC s’en charge.
Une plate-forme accessible dès le 31 janvier 2015.
Sur la plate-forme de notre Ministère, un enseignant à l’écran délivre un cours en direct dans une salle de classe virtuelle. Les élèves en ligne, après l’exposé du maître, peuvent poser des questions le moment venu, à l’oral ou par écrit.
Les documents et les consignes du professeur sont visibles sur un tableau virtuel.
La durée du cours est variable selon l’âge et la matière enseignée.
Le cours délivré en direct peut être revu en différé. En revanche, toutes les séances de travaux pratiques ouvertes aux questions se déroulent en direct.
Les cours magistraux en différé sont ainsi disponibles 24h sur 24, 7 jours sur 7.
Le 31 janvier 2015, le Ministère de l’Instruction Publique ouvre sa première formation tant attendue : connaissance de la méthode syllabique. Destinée aux parents, ou aux « professeurs des écoles », cette première session transmet aux parents cette technique inestimable pour apprendre eux-mêmes à lire et à écrire à leurs propres enfants d’une part mais aussi pour réparer à la maison les dégâts de la méthode globale.
L’engagement des parents dans l’instruction de leurs enfants est l’une des solutions les plus fiables, et les moins onéreuses. Vos enfants vous le rendront…
Ouverture immédiate des inscriptions.
Pour s’inscrire à notre première formation « Transmission de la méthode syllabique aux parents », et pour plus d’informations pratiques, écrire à contact@jre2014.fr en spécifiant dans l’objet de votre mail la mention MIP.
Cette formation des adultes à la méthode syllabique débute le 31 janvier 2015.
Nous publierons prochainement le calendrier, les sujets de nos prochaines leçons et le nom de nos précepteurs, tous maîtres chevronnés comme le Père Horovitz.
Vendredi 23 janvier 2015, Farida Belghoul qui assure elle-même les cours consacrés à la méthode syllabique présentera ce nouveau ministère à l’antenne de Meta TV.
Nous remercions l’Abbé Toulza, directeur des éditions Clovis qui, dans le cadre de notre ministère, nous accorde le droit d’usage de leur excellentissime méthode syllabique « La Lecture Joyeuse ».
Grâce au Ministère de l’Instruction Publique, chez vous, en toute sécurité, transmettez à vos enfants les connaissances de base qui les préparent sérieusement à toutes les études. Et découvrez une nouvelle façon de vivre en famille.
Farida Belghoul
(1) Cours de grande valeur dont le contenu et la forme dépendent entièrement du maître contrairement aux « séances » actuelles où les élèves dès le plus jeune âge (sic) participent à l’élaboration des contenus…
> Pour soutenir la création de ce ministère de l’Instruction publique, adhérez à la Fapec !
http://jre2014.fr
Video :
http://dai.ly/x2fc7xb
Communiqué.
Farida Belghoul
Le Ministère de l’Instruction Publique est mort. Vive le Ministère de l’Instruction Publique !
Un ministère, au vrai sens du terme, est une charge que l’on doit remplir. C’est un service. L’Education Nationale se charge, comme son nom l’indique, d’éduquer les enfants, et c’est bien là le problème… Le Ministère de l’Instruction Publique se charge de les instruire.
Ce nouveau ministère est l’école de la FAPEC en ligne. Il s’agit d’un dispositif de télé-enseignement. Les formations retenues au cours des Assises de Lyon de juin 2014 sont donc prises en charge sur une plate-forme internet. Cela résout bien des dilemmes, notamment l’annulation des salles au dernier moment…
Le Ministère de l’instruction Publique apporte aux familles ce que le Ministère de l’Education Nationale leur refuse : une transmission des connaissances de qualité.
L’échec de l’école
La FAPEC, nous l’avons dit à plusieurs reprises, se donne aussi pour mission d’aider les parents dans le domaine de l’instruction.
Les difficultés scolaires, ou l’échec, rencontrés par les enfants s’expliquent la plupart du temps par l’usage de mauvaises méthodes d’enseignement. L’Education Nationale impose délibérément la méthode globale par exemple pour apprendre à lire aux enfants.
Cette méthode globale, les pouvoirs publics ne l’assument pas : ils prétendent comme à l’accoutumée qu’il s’agit d’une vue de l’esprit et qu’elle n’existe pas davantage que la théorie du genre…Or, c’est bien cette pseudo-méthode (à l’origine conçue pour les sourds et les malentendants…) qui est mise en œuvre au CP sous différentes appellations plus farfelues les unes que les autres, « semi-globale » y compris. C’est une méthode de l’à-peu près, méthode qui pousse l’enfant à deviner et non à lire, c’est une méthode de l’échec.
L’illettrisme sévit désormais dans toutes les classes sociales, à cause de ce parti pris de l’école qui consiste à imposer aux enfants des « méthodes d’apprentissage » qui mènent tout droit à la ruine intellectuelle.
Les dégâts ne s’arrêtent pas au CP. L’enseignement de toutes les matières, à tous les niveaux jusqu’au BAC, est sinistré. C’est pourquoi le Ministère de l’Instruction Publique enseigne toutes les matières fondamentales.
La transmission des connaissances – raison pour laquelle nous scolarisons nos enfants – fait place à des programmes de plus en plus ubuesques sur lesquels nous reviendrons plus tard. Nous savons par exemple que la fameuse question du respect des « orientations sexuelles » est pour l’Etat désormais quasiment une matière à part entière qu’il faut traiter en priorité.
C’est la débâcle de l’école.
Les jeunes n’ont plus le goût d’apprendre. Les explications officielles cachent la vérité : c’est l’école actuelle qui crée le dégoût et l’échec scolaire. Les démonstrations savantes autour de la démocratisation de l’école ne sont qu’enfumages et entourloupes.
L’orthographe est sinistrée parce qu’elle n’est plus enseignée rigoureusement. Les dictées se font rares. La grammaire idem. Plus de cours d’élocution ou de rédaction. L’école instruisant de moins en moins, la lecture devient un exercice inabordable et l’étude des textes une gageure. Toutes les matières, y compris les mathématiques, en pâtissent gravement. L’enseignement des bases est sabordé.
La loi d’orientation de 1989
La loi d’orientation de 1989 de Lionel Jospin (sévissant toujours) stipule qu’un élève doit « construire lui-même ses propres savoirs »…L’enfant doit se débrouiller seul pour apprendre. Plus de maîtres donc ! Ceux-ci se limitent souvent, sous la pression des instructions officielles à accompagner les élèves dans un jeu pédagogique pervers où l’objectif est de conduire l’élève à « construire » lui-même son propre cours ! Le cours magistral(1) est combattu à mort par l’institution scolaire. Il finira même par être interdit !
La disparition des cours magistraux, d’explications rigoureuses, progressives et brillantes a tué l’autorité des maîtres qui ne portent même plus le nom honorable qui leur revient. Le maintien de la discipline en classe devient la préoccupation essentielle de l’enseignant « constructiviste » convaincu lui-même par l’erreur. Les plus sensés sont paralysés par la peur et travaillent davantage dans la crainte de l’inspection que dans l’intérêt de l’élève. L’inspecteur déboulant, ils doivent prouver que leurs « progressions annuelles» sont conformes aux conceptions officielles où l’idéologie libertaire a remplacé la pédagogie traditionnelle.
Traditionnelle c’est à dire transmise de maîtres à maîtres. Traditionnelle c’est à dire expérimentée. Traditionnelle c’est à dire forte des résultats obtenus. C’est à dire efficace. Mais pour les idéologues du Ministère de l’Education Nationale, la pédagogie traditionnelle est l’ennemie ! Donc à la casse ! Ni Dieu ni maîtres… Ni orthographe ni grammaire… Ni père ni mère. Ni homme ni femme.
L’autorité des aînés décriée par l’institution scolaire elle-même est donc par voie de conséquence bafouée par les élèves en classe : le mépris des jeunes pour l’enseignant, par la même occasion, est « construit » lui aussi…
L’école n’est plus neutre – on le voit de manière criante ces derniers jours; l’école n’est plus un sanctuaire; l’école ne respecte plus la pudeur des enfants et leur désir inné d’apprendre auprès d’un maître respectable et vénéré.
Conséquence : chaque année, 250 000 jeunes sortent de l’école sans qualification c’est à dire sans savoir ni lire ni écrire correctement, ni compter.
Ceux qui poursuivent leurs études sont trompés. Tandis que le niveau baisse inexorablement, les élèves sont surnotés. Et cela ne suffit pas : on envisage même désormais de supprimer les notes ! Tous les moyens sont bons pour cacher le désastre et l’aggraver. On n’apprend plus que ce qui est utile au marché mondial et celui-ci n’a besoin que d’esclaves incultes.
Les parents ne savent rien. Comme d’habitude.
Nous combattons depuis janvier 2014 pour l’interdiction de la théorie du genre en classe. Nous avons jeté les bases d’une convergence de toutes les meilleures volontés pour protéger les enfants, au-delà de tous les clivages sociaux ou religieux. Nous avons également évoqué, à plusieurs reprises, la nécessaire restauration d’un Ministère de l’Instruction Publique mort en 1932. Le gouvernement s’y refusant, la FAPEC s’en charge.
Une plate-forme accessible dès le 31 janvier 2015.
Sur la plate-forme de notre Ministère, un enseignant à l’écran délivre un cours en direct dans une salle de classe virtuelle. Les élèves en ligne, après l’exposé du maître, peuvent poser des questions le moment venu, à l’oral ou par écrit.
Les documents et les consignes du professeur sont visibles sur un tableau virtuel.
La durée du cours est variable selon l’âge et la matière enseignée.
Le cours délivré en direct peut être revu en différé. En revanche, toutes les séances de travaux pratiques ouvertes aux questions se déroulent en direct.
Les cours magistraux en différé sont ainsi disponibles 24h sur 24, 7 jours sur 7.
Le 31 janvier 2015, le Ministère de l’Instruction Publique ouvre sa première formation tant attendue : connaissance de la méthode syllabique. Destinée aux parents, ou aux « professeurs des écoles », cette première session transmet aux parents cette technique inestimable pour apprendre eux-mêmes à lire et à écrire à leurs propres enfants d’une part mais aussi pour réparer à la maison les dégâts de la méthode globale.
L’engagement des parents dans l’instruction de leurs enfants est l’une des solutions les plus fiables, et les moins onéreuses. Vos enfants vous le rendront…
Ouverture immédiate des inscriptions.
Pour s’inscrire à notre première formation « Transmission de la méthode syllabique aux parents », et pour plus d’informations pratiques, écrire à contact@jre2014.fr en spécifiant dans l’objet de votre mail la mention MIP.
Cette formation des adultes à la méthode syllabique débute le 31 janvier 2015.
Nous publierons prochainement le calendrier, les sujets de nos prochaines leçons et le nom de nos précepteurs, tous maîtres chevronnés comme le Père Horovitz.
Vendredi 23 janvier 2015, Farida Belghoul qui assure elle-même les cours consacrés à la méthode syllabique présentera ce nouveau ministère à l’antenne de Meta TV.
Nous remercions l’Abbé Toulza, directeur des éditions Clovis qui, dans le cadre de notre ministère, nous accorde le droit d’usage de leur excellentissime méthode syllabique « La Lecture Joyeuse ».
Grâce au Ministère de l’Instruction Publique, chez vous, en toute sécurité, transmettez à vos enfants les connaissances de base qui les préparent sérieusement à toutes les études. Et découvrez une nouvelle façon de vivre en famille.
Farida Belghoul
(1) Cours de grande valeur dont le contenu et la forme dépendent entièrement du maître contrairement aux « séances » actuelles où les élèves dès le plus jeune âge (sic) participent à l’élaboration des contenus…
> Pour soutenir la création de ce ministère de l’Instruction publique, adhérez à la Fapec !
http://jre2014.fr
Benoit- Aime le Rosaire
- Messages : 706
Inscription : 07/10/2008
Re: La réalité de l'Education Nationale les élèves et les profs..
Farida a là une idée génial qui si elle marche pourrait beaucoup aider au redressement de l'enseignement.
Neb- Pour le roi
- Messages : 696
Age : 35
Localisation : Paris
Inscription : 12/01/2015
Re: La réalité de l'Education Nationale les élèves et les profs..
La ruine intellectuelle, c'est exactement ça. Le niveau des programmes va s'aligner sur les bases du socle commun, les élèves n'auront plus que le minimum syndical à apprendre et ils n'apprendront surtout plus à réfléchir, à approfondir ce qu'ils savent.
J'ai demandé à mon mari de comparer l'épreuve de maths au bac Scientifique d'il y a 10 ans et celle passée par les lycéens en 2014, il a été choqué de voir la baisse du niveau de difficulté entre les deux épreuves.
L'école a visiblement une mission "d'insertion dans le monde professionnel", donc elle ne s'intéresse plus qu'à ce que les élèves doivent savoir faire, en gros pour qu'ils puissent dire dans leur CV plus tard : "je sais faire ça, ou ça". Sous prétexte qu'il n'y a que ça qui intéresse le futur employeur. Et dans tout cela, la culture générale ne servira bientôt plus à rien.
L'histoire de l'enfant qui "construit" ses savoirs par lui-même vient de notre bon vieux Jean-Jacques Rousseau et son Emile (ou De l'éducation) pour lequel il préconisait justement cette méthode d'apprentissage. Résultat, l'éducation nationale pense que c'est ce qu'il faut faire pour donner aux élèves l'envie d'apprendre. Il ne faut pas donner l'impression à l'élève qu'il y a l'adulte qui en sait plus que lui. D'ailleurs avoir l'impression qu'il découvre tout par lui-même peut lui faire cultiver une certaine forme d'illusion, ce qui ne participe pas à l'humilité... L'apprentissage en vient à pervertir les valeurs sous prétexte d'égalité entre enfants et adultes à l'école, preuve en est que les estrades sont quasiment toutes bannies des salles de classe. Oui, parce que l'autorité, c'est mal. Parce que les adultes en abuseront, forcément. Vive mai 68.
J'ai demandé à mon mari de comparer l'épreuve de maths au bac Scientifique d'il y a 10 ans et celle passée par les lycéens en 2014, il a été choqué de voir la baisse du niveau de difficulté entre les deux épreuves.
L'école a visiblement une mission "d'insertion dans le monde professionnel", donc elle ne s'intéresse plus qu'à ce que les élèves doivent savoir faire, en gros pour qu'ils puissent dire dans leur CV plus tard : "je sais faire ça, ou ça". Sous prétexte qu'il n'y a que ça qui intéresse le futur employeur. Et dans tout cela, la culture générale ne servira bientôt plus à rien.
L'histoire de l'enfant qui "construit" ses savoirs par lui-même vient de notre bon vieux Jean-Jacques Rousseau et son Emile (ou De l'éducation) pour lequel il préconisait justement cette méthode d'apprentissage. Résultat, l'éducation nationale pense que c'est ce qu'il faut faire pour donner aux élèves l'envie d'apprendre. Il ne faut pas donner l'impression à l'élève qu'il y a l'adulte qui en sait plus que lui. D'ailleurs avoir l'impression qu'il découvre tout par lui-même peut lui faire cultiver une certaine forme d'illusion, ce qui ne participe pas à l'humilité... L'apprentissage en vient à pervertir les valeurs sous prétexte d'égalité entre enfants et adultes à l'école, preuve en est que les estrades sont quasiment toutes bannies des salles de classe. Oui, parce que l'autorité, c'est mal. Parce que les adultes en abuseront, forcément. Vive mai 68.
Scala-Coeli- MEDIATRICE
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