Trafic de capsules complémentaires à base de chair humaine
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Trafic de capsules complémentaires à base de chair humaine
Trafic de capsules complémentaires à base de chair humaine
Il s'agit des capsules contenant de la chair humaine venant de bébé mort née (ou avorté?) saisies par la douane sud-coréenne en provenance de la Chine continentale. Les premières capsules contenant de la chair humaine ont été découvertes par des agents des douanes sud-coréennes en août dernier.
Depuis, la contrebande en provenance de la Chine continentale n'a fait qu'augmenter.
Il s'agit des capsules contenant de la chair humaine venant de bébé mort née (ou avorté?) saisies par la douane sud-coréenne en provenance de la Chine continentale. Les premières capsules contenant de la chair humaine ont été découvertes par des agents des douanes sud-coréennes en août dernier.
Depuis, la contrebande en provenance de la Chine continentale n'a fait qu'augmenter.
bach88- Combat avec Sainte Marie
- Messages : 1556
Localisation : israel
Inscription : 18/04/2009
Re: Trafic de capsules complémentaires à base de chair humaine
Voilà ce que j'ai reçu un jour sur ma boîte mél : ce n'est pas des capsules mais des produits cosmétiques.
"Une société cosmétique chinoise utilise la peau prélevée sur les corps des condamnés à mort exécutés pour fabriquer des produits de beauté vendus en Europe."
The Guardian livre une enquête stupéfiante en matière d'industrie cosmétique, qui lève le voile sur des pratiques qualifiées de "traditionnelles" par des employés de la compagnie chinoise qu'il a interrogés. Il s'agit de récupérer du collagène, une protéine fibreuse que l'on trouve en abondance dans la peau, les os et les tendons, couramment utilisée en chirurgie esthétique pour gonfler les lèvres et réduire les rides. Toujours de même source, le journal note qu'en Chine, il est d'usage de récolter "la peau des condamnés exécutés et les fœtus avortés, rachetés par des sociétés de 'biotechnologie' situées dans la province septentrionnale de Heilongjiang". Les produits sont exportés vers l'Europe via Hong Kong.
En Europe, le marché de l'industrie cosmétique et de la chirurgie plastique, toutes deux consommatrices de collagène, n'est pas ou peu réglementé. Le fait est que ces produits se trouvent dans une sorte de "zone grise" légale : ils ne sont soumis ni aux réglementations concernant les médicaments, ni à ceux concernant les produits de beauté, c'est-à-dire uniquement des substances appliquées à la surface de la peau et non en injections.
Au Royaume-Uni, les autorités sont préoccupées par les questions éthiques comme par les risques d'infection et de transmission de virus. Une enquête commandée par le ministère de la Santé britannique a souligné le besoin d'instaurer de nouvelles réglementations. "Mais le ministère de la Santé veut néanmoins s'en remettre à la Commission européenne, et cela pourrait prendre plusieurs années avant qu'une législation entre en vigueur", note The Guardian.
Les autorités chinoises réfutent pour leur part qu'il soit possible de prélever la peau ou tout autre partie du corps de condamnés à mort sans que ceux-ci donnent leur consentement. Mais il y a de sérieux doutes, d'après The Guardian, qui rappelle les révélations faites en juin 2001 devant le Congrès américain par un ancien médecin
militaire chinois, Wang Guoqi. Ce dernier a assuré "avoir participé aux prélèvements d'organes de plus de 100 prisonniers exécutés. Les chirurgiens disséquaient les corps dans des camions garés sur les lieux d'exécution." Wang a avoué avoir procédé au prélèvement de la peau d'un condamné exécuté mais dont le cœur battait encore...
"Une société cosmétique chinoise utilise la peau prélevée sur les corps des condamnés à mort exécutés pour fabriquer des produits de beauté vendus en Europe."
The Guardian livre une enquête stupéfiante en matière d'industrie cosmétique, qui lève le voile sur des pratiques qualifiées de "traditionnelles" par des employés de la compagnie chinoise qu'il a interrogés. Il s'agit de récupérer du collagène, une protéine fibreuse que l'on trouve en abondance dans la peau, les os et les tendons, couramment utilisée en chirurgie esthétique pour gonfler les lèvres et réduire les rides. Toujours de même source, le journal note qu'en Chine, il est d'usage de récolter "la peau des condamnés exécutés et les fœtus avortés, rachetés par des sociétés de 'biotechnologie' situées dans la province septentrionnale de Heilongjiang". Les produits sont exportés vers l'Europe via Hong Kong.
En Europe, le marché de l'industrie cosmétique et de la chirurgie plastique, toutes deux consommatrices de collagène, n'est pas ou peu réglementé. Le fait est que ces produits se trouvent dans une sorte de "zone grise" légale : ils ne sont soumis ni aux réglementations concernant les médicaments, ni à ceux concernant les produits de beauté, c'est-à-dire uniquement des substances appliquées à la surface de la peau et non en injections.
Au Royaume-Uni, les autorités sont préoccupées par les questions éthiques comme par les risques d'infection et de transmission de virus. Une enquête commandée par le ministère de la Santé britannique a souligné le besoin d'instaurer de nouvelles réglementations. "Mais le ministère de la Santé veut néanmoins s'en remettre à la Commission européenne, et cela pourrait prendre plusieurs années avant qu'une législation entre en vigueur", note The Guardian.
Les autorités chinoises réfutent pour leur part qu'il soit possible de prélever la peau ou tout autre partie du corps de condamnés à mort sans que ceux-ci donnent leur consentement. Mais il y a de sérieux doutes, d'après The Guardian, qui rappelle les révélations faites en juin 2001 devant le Congrès américain par un ancien médecin
militaire chinois, Wang Guoqi. Ce dernier a assuré "avoir participé aux prélèvements d'organes de plus de 100 prisonniers exécutés. Les chirurgiens disséquaient les corps dans des camions garés sur les lieux d'exécution." Wang a avoué avoir procédé au prélèvement de la peau d'un condamné exécuté mais dont le cœur battait encore...
Liza2028- Avec Saint Joseph
- Messages : 1366
Inscription : 26/09/2013
Re: Trafic de capsules complémentaires à base de chair humaine
Mais où va t-on ? Chaque jour l'humanité s'enfonce un peu plus dans l'horreur et la masse ne trouve rien a redire.
L'ingurgitation de chair humaine me fait penser à un rituel, peu importe comment elle est consommée (quelle horreur), je pense que c'est encore et toujours le même (satan) qui insuffle à l'homme de faire c'est chose horrible.
Plus je vois de chose comme celle ci, plus j'ai du mal à vivre dans ce monde. Je me dis que c'est une épreuve de plus que nous devons surmonter, mais comment faire pour l'éradiquer puisque chaque jour les gens deviennent de plus en plus aveugle.
Et tout ça, selon la vidéo, pour le sexe. C'est bien là un subterfuge de cet en..... de f... de p.... de satan. Je vous demande pardon pour cette vulgarité, mais je suis dans une telle rage et mon vocabulaire est si limité, mais comment cela est-il possible ?
L'ingurgitation de chair humaine me fait penser à un rituel, peu importe comment elle est consommée (quelle horreur), je pense que c'est encore et toujours le même (satan) qui insuffle à l'homme de faire c'est chose horrible.
Plus je vois de chose comme celle ci, plus j'ai du mal à vivre dans ce monde. Je me dis que c'est une épreuve de plus que nous devons surmonter, mais comment faire pour l'éradiquer puisque chaque jour les gens deviennent de plus en plus aveugle.
Et tout ça, selon la vidéo, pour le sexe. C'est bien là un subterfuge de cet en..... de f... de p.... de satan. Je vous demande pardon pour cette vulgarité, mais je suis dans une telle rage et mon vocabulaire est si limité, mais comment cela est-il possible ?
milochka- Avec Saint Maximilien Kolbe
- Messages : 86
Inscription : 10/01/2014
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