Grâces Eucharistiques
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Grâces Eucharistiques
La Multiplication des pains (Jean 6, 1-15)
Qu'est-ce qu'un miracle ou un prodige eucharistique?
C'est un signe visible que
Jésus donne pour conduire les fidèles vers
le mystère de sa présence réelle dans
l'Eucharistie au-delà des apparences du
pain et du vin. Par ces signes, Jésus soutient
et affermit la foi de ceux à qui le signe
est donné.
Jésus accomplit le miracle de la multiplication
des pains pour préparer ses disciples à
accueillir son grand discours sur le pain vivant
descendu du ciel qu'il donnera le lendemain
à Capharnaüm.
La multiplication des pains, présentée par
saint Jean au chapitre 6, est un signe visible
qui préfigure l'Eucharistie, pain de la vie
qui sera donné en abondance pour la vie de
tous les hommes. C'est ainsi que la multiplication
des pains est le premier miracle eucharistique.
"Après cela, Jésus s'en alla de l'autre côté
de la mer de Galilée ou de Tibériade. Une
grande foule le suivait, à la vue des signes
qu'il opérait sur les malades. Jésus gravit la
montagne et là, il s'assit avec ses disciples.
Or la Pâque, la fête des Juifs, était proche.
Levant alors les yeux et voyant qu'une
grande foule venait à lui, Jésus dit à
Philippe: "Où achèterons-nous des pains
pour que mangent ces gens?" Il disait cela
pour le mettre à l'épreuve, car lui-même
savait ce qu'il allait faire. Philippe lui répondit:
"Deux deniers de pain ne suffisent pas
pour que chacun en reçoive un petit
morceau." Un de ses disciples, André, le
frère de Simon-Pierre, lui dit: "Il y a ici un enfant
qui a cinq pains d'orge et deux poissons;
mais qu'est-ce que cela pour tant de
monde?" Jésus leur dit: "Faites s'étendre les
gens." Il y avait beaucoup d'herbe en ce lieu.
Ils s'étendirent donc, au nombre d'environ
5.000 hommes. Alors, Jésus prit les pains
et, ayant rendu grâces, il les distribua aux
convives, de même aussi pour les poissons,
autant qu'ils en voulaient. Quand ils furent
repus, il dit à ses disciples: "Rassemblez les
morceaux en surplus, afin que rien ne soit
perdu." Ils les rassemblèrent donc et remplirent
douze couffins avec les morceaux
qui, des cinq pains d'orge, se trouvaient en
surplus à ceux qui avaient mangé. A la vue
des signes qu'il venait de faire, les gens disaient:
"C'est vraiment lui le prophète qui
doit venir dans le monde." Alors Jésus, se
rendant compte qu'ils allaient venir s'emparer
de lui pour le faire roi, s'enfuit à nouveau
dans la montagne, tout seul."
(Jn 6, 1-15)
Partout Jésus est là !
Avant de devenir prêtre j’ai vécu un temps
de mission en Afrique, deux années. J’étais
assez perdu et angoissé en arrivant là-bas.
Nouveau monde, disparition de tous mes
proches. Puis je me suis dis « partout où tu
pourrais aller dans le monde, Jésus est là et
tout particulièrement dans l’Eucharistie » et
je sentais bien là un roc qui pouvait m’accompagner,
me rassurer.
Je décidai alors de commencer ma journée
devant le St Sacrement que je pouvais exposer
en ouvrant simplement le tabernacle.
Je me suis levé ainsi de plus en plus tôt pour
parfois commencer le matin à 3h et passer
ainsi 3-4 heures en compagnie de mon
Dieu. Ce fut bouleversant dans ma vie,
comme un miracle, de voir tout changer dans
mon quotidien. Non pas que je devenais plus
saint ou que tous les problèmes disparaissaient,
non ce n’était pas cela, c’était une
paix, une joie immense qui se déposait dans
ces heures passées devant Lui et qui
rendaient toute ma journée belle et baignée
d’une intense présence qui perdurait.
Je ne vivais pas d’extases, j’avais plein de
distractions, mais j’étais décidé à rester là
simplement devant Lui en lui disant autant
que je pouvais que je l’aimais. J’étais persuadé
que s’Il m’aimait il craquerait de me voir
là chaque matin.
J’ai vécu quelques années comme cela avant
que le sommeil ne me rattrape ! Mais je garde
pour toujours la marque du Bien Aimé qui jamais
plus ne me quitte.
Père Jonathan
Qu'est-ce qu'un miracle ou un prodige eucharistique?
C'est un signe visible que
Jésus donne pour conduire les fidèles vers
le mystère de sa présence réelle dans
l'Eucharistie au-delà des apparences du
pain et du vin. Par ces signes, Jésus soutient
et affermit la foi de ceux à qui le signe
est donné.
Jésus accomplit le miracle de la multiplication
des pains pour préparer ses disciples à
accueillir son grand discours sur le pain vivant
descendu du ciel qu'il donnera le lendemain
à Capharnaüm.
La multiplication des pains, présentée par
saint Jean au chapitre 6, est un signe visible
qui préfigure l'Eucharistie, pain de la vie
qui sera donné en abondance pour la vie de
tous les hommes. C'est ainsi que la multiplication
des pains est le premier miracle eucharistique.
"Après cela, Jésus s'en alla de l'autre côté
de la mer de Galilée ou de Tibériade. Une
grande foule le suivait, à la vue des signes
qu'il opérait sur les malades. Jésus gravit la
montagne et là, il s'assit avec ses disciples.
Or la Pâque, la fête des Juifs, était proche.
Levant alors les yeux et voyant qu'une
grande foule venait à lui, Jésus dit à
Philippe: "Où achèterons-nous des pains
pour que mangent ces gens?" Il disait cela
pour le mettre à l'épreuve, car lui-même
savait ce qu'il allait faire. Philippe lui répondit:
"Deux deniers de pain ne suffisent pas
pour que chacun en reçoive un petit
morceau." Un de ses disciples, André, le
frère de Simon-Pierre, lui dit: "Il y a ici un enfant
qui a cinq pains d'orge et deux poissons;
mais qu'est-ce que cela pour tant de
monde?" Jésus leur dit: "Faites s'étendre les
gens." Il y avait beaucoup d'herbe en ce lieu.
Ils s'étendirent donc, au nombre d'environ
5.000 hommes. Alors, Jésus prit les pains
et, ayant rendu grâces, il les distribua aux
convives, de même aussi pour les poissons,
autant qu'ils en voulaient. Quand ils furent
repus, il dit à ses disciples: "Rassemblez les
morceaux en surplus, afin que rien ne soit
perdu." Ils les rassemblèrent donc et remplirent
douze couffins avec les morceaux
qui, des cinq pains d'orge, se trouvaient en
surplus à ceux qui avaient mangé. A la vue
des signes qu'il venait de faire, les gens disaient:
"C'est vraiment lui le prophète qui
doit venir dans le monde." Alors Jésus, se
rendant compte qu'ils allaient venir s'emparer
de lui pour le faire roi, s'enfuit à nouveau
dans la montagne, tout seul."
(Jn 6, 1-15)
Partout Jésus est là !
Avant de devenir prêtre j’ai vécu un temps
de mission en Afrique, deux années. J’étais
assez perdu et angoissé en arrivant là-bas.
Nouveau monde, disparition de tous mes
proches. Puis je me suis dis « partout où tu
pourrais aller dans le monde, Jésus est là et
tout particulièrement dans l’Eucharistie » et
je sentais bien là un roc qui pouvait m’accompagner,
me rassurer.
Je décidai alors de commencer ma journée
devant le St Sacrement que je pouvais exposer
en ouvrant simplement le tabernacle.
Je me suis levé ainsi de plus en plus tôt pour
parfois commencer le matin à 3h et passer
ainsi 3-4 heures en compagnie de mon
Dieu. Ce fut bouleversant dans ma vie,
comme un miracle, de voir tout changer dans
mon quotidien. Non pas que je devenais plus
saint ou que tous les problèmes disparaissaient,
non ce n’était pas cela, c’était une
paix, une joie immense qui se déposait dans
ces heures passées devant Lui et qui
rendaient toute ma journée belle et baignée
d’une intense présence qui perdurait.
Je ne vivais pas d’extases, j’avais plein de
distractions, mais j’étais décidé à rester là
simplement devant Lui en lui disant autant
que je pouvais que je l’aimais. J’étais persuadé
que s’Il m’aimait il craquerait de me voir
là chaque matin.
J’ai vécu quelques années comme cela avant
que le sommeil ne me rattrape ! Mais je garde
pour toujours la marque du Bien Aimé qui jamais
plus ne me quitte.
Père Jonathan
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
C’est une grâce inouïe que de communier
au Corps du Christ, d’accueillir en nous
notre Frère aîné, Jésus, notre Seigneur et
notre Dieu ! (Ro.8, 29 et Jn.20,28)
Chaque dimanche, plusieurs fois la semaine,
tous les jours, selon nos possiblités…
Comment vivre l’intensité de cette visitation ?
Comment ne pas la banaliser, la ‘routiniser’ ?
Je voudrais suggérer trois points
d’attention essentiels
D’abord me rappeler qu’il
y a du côté du Seigneur,
dans le coeur de Jésus,
un désir immense de se
communiquer à nous :
comme celui qu’il avait
d’aller chez Zachée :
« Aujourd’hui, il me faut
demeurer chez toi ! »
(Luc 19,5) ce qu’il redit le
jeudi saint :
« J’ai désiré d’un grand
désir manger cette pâque
avec vous » (Luc 22,
15)…
Voilà qui bouscule mes
tiédeurs, mes paresses,
mes lassitudes et me motive à permettre à
Jésus de m’aimer autant qu’il le veut: ma joie
c’est de lui donner la joie de me visiter !
Cette visite n’est pas une visite de politesse,
mais une rencontre de haute valeur : tel est
le deuxième point d’attention.
Oui, le désir de Jésus est de visiter ma demeure,
comme il a visité celle de Zachée :
quel bouleversement ce fut pour ce publicain
de triste réputation ! Donc, en recevant le
Seigneur, je puis en totale confiance lui offrir
de visiter toute ma maison : les pièces de
séjour certes, et aussi les greniers (ces lieux
de mon imaginaire et de mes divagations) ; et
encore les sous-sols (ces profondeurs obscures
de ma mémoire, de mon inconscient,
voire de mes pulsions ou vices cachés ) : et
qu’il y vienne dans le rayonnement de sa
manière d’être et d’aimer…
Dans le discours du Pain de Vie (Jn 6) il nous
dit bien : «qui mange ce Pain, a la Vie éternelle,
et je le ressusciterai au dernier jour».
Nous pouvons donc, quand nous communions,
nous laisser envahir par la Vie qui est
la Sienne (il vient nous la partager) ; en espérant
vivement notre transformation : par
Lui, avec Lui et en Lui ! Ce qui met en oeuvre
déjà notre future résurrection.
Enfin, troisième point : la
communion est “com
munus”, commune-union:
elle me met en profonde
unité avec tous ceux qui
communient comme moi,
ici et maintenant et
partout dans le monde !
Nous formons le Corps
du Christ, par sa
Présence aimante en
chacun et en tous …
Présence de vie qui permet
à ce Corps immense
de s’affermir et de croître
encore ; communion en
même temps avec ceux
qui en constituent la partie achevée , tous les
saints et les saintes, avec Marie, la mère du
Corps tout entier. Ma prière peut alors se faire
fraternelle et fervente pour que soient bénis,
guéris et sanctifiés ces frères et soeurs qui
participent à la Fraction du Pain, dans l’aujourd’hui
de notre histoire… Et j’applique
fortement cette prière pour tel ou telle que j’ai
particulièrement dans le coeur ! « Seigneur,
je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis
seulement une Parole et je serai guéri ! »
J’ajoute : « Guéris-le ! Guéris- les ! »
Que notre routine ou notre tiédeur ne frustre
pas Jésus de son brûlant désir de se donner
complètement à nous : pour nous guérir et
nous faire participer à sa joie divine.
Vivre intensément nos
Communions Eucharistiques
par le père Guy Lepoutre
au Corps du Christ, d’accueillir en nous
notre Frère aîné, Jésus, notre Seigneur et
notre Dieu ! (Ro.8, 29 et Jn.20,28)
Chaque dimanche, plusieurs fois la semaine,
tous les jours, selon nos possiblités…
Comment vivre l’intensité de cette visitation ?
Comment ne pas la banaliser, la ‘routiniser’ ?
Je voudrais suggérer trois points
d’attention essentiels
D’abord me rappeler qu’il
y a du côté du Seigneur,
dans le coeur de Jésus,
un désir immense de se
communiquer à nous :
comme celui qu’il avait
d’aller chez Zachée :
« Aujourd’hui, il me faut
demeurer chez toi ! »
(Luc 19,5) ce qu’il redit le
jeudi saint :
« J’ai désiré d’un grand
désir manger cette pâque
avec vous » (Luc 22,
15)…
Voilà qui bouscule mes
tiédeurs, mes paresses,
mes lassitudes et me motive à permettre à
Jésus de m’aimer autant qu’il le veut: ma joie
c’est de lui donner la joie de me visiter !
Cette visite n’est pas une visite de politesse,
mais une rencontre de haute valeur : tel est
le deuxième point d’attention.
Oui, le désir de Jésus est de visiter ma demeure,
comme il a visité celle de Zachée :
quel bouleversement ce fut pour ce publicain
de triste réputation ! Donc, en recevant le
Seigneur, je puis en totale confiance lui offrir
de visiter toute ma maison : les pièces de
séjour certes, et aussi les greniers (ces lieux
de mon imaginaire et de mes divagations) ; et
encore les sous-sols (ces profondeurs obscures
de ma mémoire, de mon inconscient,
voire de mes pulsions ou vices cachés ) : et
qu’il y vienne dans le rayonnement de sa
manière d’être et d’aimer…
Dans le discours du Pain de Vie (Jn 6) il nous
dit bien : «qui mange ce Pain, a la Vie éternelle,
et je le ressusciterai au dernier jour».
Nous pouvons donc, quand nous communions,
nous laisser envahir par la Vie qui est
la Sienne (il vient nous la partager) ; en espérant
vivement notre transformation : par
Lui, avec Lui et en Lui ! Ce qui met en oeuvre
déjà notre future résurrection.
Enfin, troisième point : la
communion est “com
munus”, commune-union:
elle me met en profonde
unité avec tous ceux qui
communient comme moi,
ici et maintenant et
partout dans le monde !
Nous formons le Corps
du Christ, par sa
Présence aimante en
chacun et en tous …
Présence de vie qui permet
à ce Corps immense
de s’affermir et de croître
encore ; communion en
même temps avec ceux
qui en constituent la partie achevée , tous les
saints et les saintes, avec Marie, la mère du
Corps tout entier. Ma prière peut alors se faire
fraternelle et fervente pour que soient bénis,
guéris et sanctifiés ces frères et soeurs qui
participent à la Fraction du Pain, dans l’aujourd’hui
de notre histoire… Et j’applique
fortement cette prière pour tel ou telle que j’ai
particulièrement dans le coeur ! « Seigneur,
je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis
seulement une Parole et je serai guéri ! »
J’ajoute : « Guéris-le ! Guéris- les ! »
Que notre routine ou notre tiédeur ne frustre
pas Jésus de son brûlant désir de se donner
complètement à nous : pour nous guérir et
nous faire participer à sa joie divine.
Vivre intensément nos
Communions Eucharistiques
par le père Guy Lepoutre
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
conversions
André Frossard, jeune athée, fils du premier
secrétaire du Parti communiste français,
nous livre l’admirable récit de sa conversion.
En visitant fortuitement une église, il vit " au
dessus du maître autel, un vaste appareil de
plantes, de candélabres et d’ornements qui
était dominé par une grande croix de métal
ouvragé, portant en son centre un disque
d’un blanc mat. Je n’avais jamais vu d’ostensoir
habité, ni même, je crois, d’Hostie et j’ignore
que je suis en face du
Saint-Sacrement. La signification de tout
cela m’échappe. Mais c’est alors que commence
l’avalanche à rebours. Je ne dis pas
que le ciel s’ouvre ; il ne s’ouvre pas, il
s’élance, il s’élève soudain, fulguration silencieuse.
Evidence de Dieu…
Irruption déferlante de lumière, joie du
naufragé. Tout est dominé par la présence
de Celui dont je ne pourrai plus jamais écrire
le nom sans que me vienne la crainte de
blesser sa tendresse, devant qui j’ai le bonheur
d’être un enfant pardonné : je suis
catholique. "
Freddy rencontre l’amour
C’était Vendredi soir. La mission paroissiale
battait son plein. Alain et moi, nous évangélisions
dans un café en face de église paroissiale
où le Saint-Sacrement était exposé.
Nous parlions avec deux jeunes qui nous
posaient toutes leurs questions sur Dieu.
Jésus, le mal, etc. Nous répondions de notre
mieux. Brusquement, nous avons eu une
inspiration : "Si vous avez tant de questions,
pourquoi n'allez-vous pas les poser vous-mêmes
à Jésus ? Il est là, de l'autre côté de
la rue..."
Étonnés, nos deux jeunes se sont regardés.
"Pourquoi pas ?" Nous avons traversé la rue
avec eux. Une fois dans l'église, ils n'en
'menaient pas large'. Il y avait sans doute
longtemps qu'ils n'avaient pas franchi le
seuil d'un tel édifice ! Nous les avons conduits
devant le Saint-Sacrement. Ils
n'avaient certainement jamais vu un ostensoir
de leur vie. Quelques paroissiens
étaient agenouillés devant l'Hostie.
Gauches, ils se sont mis à genoux pour faire
comme eux. " Posez-lui vos questions " leur
ai-je soufflé tout bas à l'oreille. Ils sont restés
là un long moment pendant lequel Alain et
moi avons prié pour eux de toutes nos
forces. C'était une prière simple où nous ne
"sentions" rien.
Brusquement, Freddy, le plus âgé des deux
jeunes s'est levé et est allé se confesser.
Nous n'en croyions pas nos yeux ! A la sortie
de l'église, son regard avait changé : "
Vous aviez raison : II est là et il m'aime! C'est
une expérience extraordinaire !" Freddy
avait rencontré l'amour de Jésus qui pardonne.
Le Saint-Sacrement l'avait conduit à
la Réconciliation... sans aucun discours de
notre part.
Paulo (extrait de 'Il est Vivant')
Le goût de vivre
C'était en 2007, j'étais maigre, je mangeais
peu et pleurais tout le temps. Maman m’a invitée
à venir à une session de Paray-le-Monial.
J'ai fini par accepter en lui faisant
promettre qu'une fois sur place, elle me laisserait
libre de la suivre ou non. Arrivée, làbas,
on m'a accueillie comme faisant partie
de cette grande famille où tout le monde se
saluait, se souriait, etc. La peur me fit
reculer: je voulais repartir et demandais
même où se trouvait la gare. Mais sans
aucun moyen, je n'avais pas d'autre choix
que de rester. Les premiers jours, j'ai erré
dans les rues de cette ville, fumant, pleurant,
passant tout mon temps sous la douche à
l'hôtel, ou à faire des mots croisés. Petit à
petit, sans vouloir encore le reconnaître, j'étais
cependant touchée par les personnes
que je rencontrais et par ce que j'entendais.
Maman suivait toutes les activités proposées,
priait et faisait prier pour moi en disant:
« Ma fille est dépressive, je ne sais pas
quoi faire ! »Un soir, elle me proposa de la suivre. Et alors
que jusqu'ici, j'avais tout refusé, je lui ai dit
oui. C'était une soirée de témoignages et
d'adoration du Saint-Sacrement.
Lorsque les prêtres amenèrent l'ostensoir, je
regardais les personnes autour de moi: elles
faisaient un signe de croix, se mettaient à
genoux. J'ai alors pensé: «Il doit se passer
quelque chose d'important ! » Quelques personnes
ont donné le témoignage du changement
de leur vie depuis qu'elles avaient
“rencontré” Jésus. En les entendant, j'ai décidé
de parler à Celui qu'elles disaient être
leur nouvelle source de vie et de joie: « Si tout
ce que j'entends et vois ici est vrai, tu vas me
le montrer... J'ai fait un pas, toi fais le reste »
Après être allée déposer comme nous y
étions invités un papier au pied du Saint-
Sacrement, sur lequel j'avais écrit toutes mes
souffrances, j'ai pris en échange une parole
de l'Évangile et je suis revenue à ma place. À
la lecture de cette parole, la glace qui recouvrait
mon coeur s'est mise à fondre et mes
larmes ont coulé en abondance...
Après une bonne nuit, je me suis levée,
habitée d'une joie et d'une paix nouvelles. J'ai
raconté à maman, en pointant un doigt sur
mon coeur, que quelque chose s'était passé
“là” et qu'aucun mot ne pouvait l'exprimer, si
ce n'est l'Amour ressenti alors, qui débordait
de partout: il fallait donc maintenant que je
donne ce « trop-plein » aux autres.
À partir de ce moment, ma vie n'a plus été la
même et je me suis remise aussitôt à manger.
Durant les quelques jours qu'il me restait à
vivre à Paray-le-Monial, je suis allée souvent
devant le Saint-Sacrement pour goûter et
goûter encore cet Amour que je venais de découvrir.
Et même si je m'éloigne encore trop
souvent de Jésus, je sais désormais qu'il est
toujours là à mes côtés.
CATHERINE (extrait de 'Il est Vivant')
Je vois l’Hostie, je vois Jésus
Après ma conversion, je me posais encore
beaucoup de questions sur la présence de
Jésus dans l'Eucharistie. Un jour, au cours
d'une messe, j'eus une parole intérieure : " je
ne comprends pas, mais je crois. " J'étais
saisie de joie. A partir de ce moment-là, j'ai
posé un acte de foi à chaque messe ou pendant
l'adoration. Peu à peu, sans m'en
apercevoir, je ne me suis plus posé de questions.
Maintenant, quand je vois l'hostie, je
vois Jésus. Et quand je reçois l'eucharistie, je
sais que c'est Jésus que je reçois !
Christine (extrait de 'Il est Vivant')
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
Guérison du dos
Oui j'ai vécu un vrai miracle avec
l'Eucharistie et voici un témoignage authentique
qui montre l'humour de Notre Dieu.
Un soir à l'église Ste Catherine de Honfleur
je me suis mise à genoux à l'adoration en
regrettant que les quelques personnes
présentes ne fassent pas de même.
Triste de voir si peu de monde je me souviens
avoir dit au Seigneur :
- " Seigneur si tu faisais plus de miracles,
comme lors de tes 3 années de ta vie
publique, il y aurait beaucoup plus de
monde pour t'adorer !
Puis j'ai réfléchi et j'ai ajouté :
- " c'est parce qu'on n'a plus la foi que tu ne
fais plus de miracles, n'est-ce pas
Seigneur? ... mais moi Jésus je crois ! "
Au bout de quelque temps j'ai demandé pardon
à Jésus de ne pas rester à genoux plus
longtemps car une intervention délicate à la
colonne vertébrale deux années plus tôt me
faisait souffrir et m'invalidait dans mon quotidien
.... (je ne pouvais plus me courber...)
Quelques minutes passèrent et le prêtre dit
tout haut : " Notre-Seigneur guérit une
femme qui a mal au dos!"
Bien sûr ma première réaction a été de me
dire que ce n'était pas moi !
J'ai mis deux jours avant de me rendre
compte que j'étais guérie ! Malgré la règle
de fer qui rigidifiait mes 4 vertèbres ensemble,
j'avais retrouvé ma souplesse et mon
autonomie. Quelle “espièglerie” m'a joué le
Seigneur d'autant que je n'avais jamais demandé
la grâce de la guérison.
Bien sûr je suis retournée témoigner devant
la communauté à la messe le dimanche
suivant pour inciter les chrétiens à revenir à
l'adoration et depuis lors j'ai toujours témoigné
de ce miracle. Alléluia gloire et
louange à Notre Dieu !
Isabelle
Réconciliation avec Dieu
En 2005 j'ai perdu mon premier petit fils et
j'ai crié au Seigneur "Pourquoi Tu l'a pris !
Pourquoi Tu as laissé faire cela !"
Quelques mois plus tard devant le Saint
Sacrement Jésus m'a rappelé ce cri et Il m'a
dit clairement en mon coeur: " Je ne l'ai pas
pris, Je l'ai accueilli, J'ai crié de douleur et
de peine avec vous tous mais Je l'ai accueilli
dans mes bras".
Cela a tout changé pour moi et ceux de la
famille à qui j'en ai témoigné : Jésus nous
montrait jusqu'où Il était présent dans notre
vie et comment Il vivait avec nous toutes
nos douleurs mais aussi qu'Il y apportait
Son amour et Sa douceur.
Depuis nous savons à quel point cet enfant
prie pour ses parents et grands-parents et
toute sa famille puisqu'il est dans le coeur
de Dieu.
Claude
Guérie des tentations charnelles
Je me prénomme Blanche, résidente au
Gabon. Je témoigne sur les bienfaits de
l'Eucharistie.
Il y a de cela sept ans, j'étais victime de
tentation charnelle insidieuses et répétées.
En me réveillant le matin, le seul réconfort
que j'avais c'était d'aller à la Messe en demandant
au Seigneur qu'en communiant Il
purifie tout mon être.
Un jour j'ai communié au Corps du Christ en
m'avançant devant l'autel et je suis allée
m'asseoir. J'ai été surprise de voir le Prêtre
qui officiait venir en me tendant le Calice afin
que je boive le Sang du Christ. Après avoir
bu le Sang du Christ, j’ai ressenti une
chaleur au niveau du bas ventre, alors j’ai
compris que le Seigneur par son Corps et
son Sang me purifiait. Il avait écouté et exaucé
ma prière. Depuis ce jour je suis guérie
des tentations charnelles insidieuses.
Guérie de la colère
Il y a quelques années, par un après-midi
d’été, j’étais entrée dans une “colère noire”
contre mon mari. J’avais l’impression que
j’allais exploser. Je ne pouvais ni parler, ni
lâcher prise et laisser tomber. Je me sentais
en danger physiquement. Alors, j’eus l’idée
de courir à l’église qui était à cent mètres
la maison. Je me tins au fond de l’allée centrale
et je criai intérieurement mais avec une
grande force vers le tabernacle juste en face
de moi : « Jésus, fais quelque chose, je n’en
peux plus ! » Il était mon seul secours, la
seule issue à cette souffrance physique. Je
me suis abandonnée à sa miséricorde.
Tout à coup, je sentis mon coeur se libérer
peu à peu de sa colère, avec douceur,
comme de la glace qui se met à fondre,
comme si ce bloc de pierre se désagrégeait.
Cela a duré quelques secondes, j’avais
retrouvé la paix…et la joie. J’ai crié intérieurement
un puissant merci et je suis sortie
avec une immense reconnaissance me
promener dans les vignes.
Depuis, je sais que Jésus est réellement
présent dans le tabernacle. Je n’ai plus aucun
doute. Je ressens physiquement cette métamorphose
à chaque fois que j’y pense.
Je remercie Jésus pour cette grâce reçue.
Françoise
Guérison d’un traumatisme
J’avais été à l'église jusqu'à ma confirmation,
nous allions à la messe le dimanche puis plus
rien jusqu'à l'âge d'environ 40 ans.
Je ne connaissais pas du tout l'adoration eucharistique.
La première fois que je me suis
trouvé à l'adoration, très vite les larmes se
sont mises à couler longtemps mais je ne
saurais dire combien de temps, le souvenir
d'une importante blessure de mon enfance
est revenu dans mon coeur et j'ai senti une
boule dans mon ventre, cette boule a éclaté et
je me suis senti en paix, libéré et libre. Même
si je ne connaissais rien, j'ai "su" immédiatement
que c'était le Christ lui-même qui était
venu jusqu'à moi et me guérir de ce traumatisme
psychologique.
Jean-François.
L’adoration Eucharistique a changé ma vie
Ma vie d'avant était une galère : désespérance,
violence, mensonge… bref, je subissais
ma vie, j'ai même eu envie d'y mettre fin
à un moment !
Je vivais dans un confort matériel et dans un
milieu privilégié et en urgence j'ai dû quitter le
domicile conjugal pour me protéger. Je me
suis retrouvée sans travail, sans logement…
J'aimais Jésus mais je ne savais pas combien
j'étais aimée et j'en restais à une idée (un peu
fausse) de Jésus car je ne l'avais pas encore
rencontré vraiment. J'ai appris à recevoir des
autres, connu la banque alimentaire et
n'ayant plus rien à perdre, j'attendais tout de
Jésus sans vraiment le savoir....!
Je me suis retrouvée dans un logement que
mon avocat m'a loué sans caution ni garantie
et sur une paroisse où allait se lancer l'Adoration
Eucharistique perpétuelle.
Je me suis sentie bien dans cette église et j''y
ai pleuré comme je n'avais jamais pleuré auparavant.
Je me suis engagée comme adoratrice
et là devant Jésus Eucharistie…petit à
petit, à mon rythme, Jésus m'a consolée, pardonnée.
Je me suis sentie aimée et petit à petit la vie
et la joie sont venues en moi. Ce n'est pas ma
joie mais celle de Jésus en moi.
Puis j'ai retrouvé du travail. J'ai aussi connu
des injustices, du chômage puis les CDD.
Non, ce n'est pas "rose" parce que j'adore
Jésus, mais j'ai en moi la certitude d'être
aimée de façon unique et donc grâce à cette
paix, cette force et cet amour, je peux avancer
un jour à la fois dans la confiance. Oui, je suis
revenue à la vie grâce à l'adoration, d’ailleurs
mes enfants ne me reconnaissent pas tellement j'ai retrouvé le goût de la vie.
SD
Oui j'ai vécu un vrai miracle avec
l'Eucharistie et voici un témoignage authentique
qui montre l'humour de Notre Dieu.
Un soir à l'église Ste Catherine de Honfleur
je me suis mise à genoux à l'adoration en
regrettant que les quelques personnes
présentes ne fassent pas de même.
Triste de voir si peu de monde je me souviens
avoir dit au Seigneur :
- " Seigneur si tu faisais plus de miracles,
comme lors de tes 3 années de ta vie
publique, il y aurait beaucoup plus de
monde pour t'adorer !
Puis j'ai réfléchi et j'ai ajouté :
- " c'est parce qu'on n'a plus la foi que tu ne
fais plus de miracles, n'est-ce pas
Seigneur? ... mais moi Jésus je crois ! "
Au bout de quelque temps j'ai demandé pardon
à Jésus de ne pas rester à genoux plus
longtemps car une intervention délicate à la
colonne vertébrale deux années plus tôt me
faisait souffrir et m'invalidait dans mon quotidien
.... (je ne pouvais plus me courber...)
Quelques minutes passèrent et le prêtre dit
tout haut : " Notre-Seigneur guérit une
femme qui a mal au dos!"
Bien sûr ma première réaction a été de me
dire que ce n'était pas moi !
J'ai mis deux jours avant de me rendre
compte que j'étais guérie ! Malgré la règle
de fer qui rigidifiait mes 4 vertèbres ensemble,
j'avais retrouvé ma souplesse et mon
autonomie. Quelle “espièglerie” m'a joué le
Seigneur d'autant que je n'avais jamais demandé
la grâce de la guérison.
Bien sûr je suis retournée témoigner devant
la communauté à la messe le dimanche
suivant pour inciter les chrétiens à revenir à
l'adoration et depuis lors j'ai toujours témoigné
de ce miracle. Alléluia gloire et
louange à Notre Dieu !
Isabelle
Réconciliation avec Dieu
En 2005 j'ai perdu mon premier petit fils et
j'ai crié au Seigneur "Pourquoi Tu l'a pris !
Pourquoi Tu as laissé faire cela !"
Quelques mois plus tard devant le Saint
Sacrement Jésus m'a rappelé ce cri et Il m'a
dit clairement en mon coeur: " Je ne l'ai pas
pris, Je l'ai accueilli, J'ai crié de douleur et
de peine avec vous tous mais Je l'ai accueilli
dans mes bras".
Cela a tout changé pour moi et ceux de la
famille à qui j'en ai témoigné : Jésus nous
montrait jusqu'où Il était présent dans notre
vie et comment Il vivait avec nous toutes
nos douleurs mais aussi qu'Il y apportait
Son amour et Sa douceur.
Depuis nous savons à quel point cet enfant
prie pour ses parents et grands-parents et
toute sa famille puisqu'il est dans le coeur
de Dieu.
Claude
Guérie des tentations charnelles
Je me prénomme Blanche, résidente au
Gabon. Je témoigne sur les bienfaits de
l'Eucharistie.
Il y a de cela sept ans, j'étais victime de
tentation charnelle insidieuses et répétées.
En me réveillant le matin, le seul réconfort
que j'avais c'était d'aller à la Messe en demandant
au Seigneur qu'en communiant Il
purifie tout mon être.
Un jour j'ai communié au Corps du Christ en
m'avançant devant l'autel et je suis allée
m'asseoir. J'ai été surprise de voir le Prêtre
qui officiait venir en me tendant le Calice afin
que je boive le Sang du Christ. Après avoir
bu le Sang du Christ, j’ai ressenti une
chaleur au niveau du bas ventre, alors j’ai
compris que le Seigneur par son Corps et
son Sang me purifiait. Il avait écouté et exaucé
ma prière. Depuis ce jour je suis guérie
des tentations charnelles insidieuses.
Guérie de la colère
Il y a quelques années, par un après-midi
d’été, j’étais entrée dans une “colère noire”
contre mon mari. J’avais l’impression que
j’allais exploser. Je ne pouvais ni parler, ni
lâcher prise et laisser tomber. Je me sentais
en danger physiquement. Alors, j’eus l’idée
de courir à l’église qui était à cent mètres
la maison. Je me tins au fond de l’allée centrale
et je criai intérieurement mais avec une
grande force vers le tabernacle juste en face
de moi : « Jésus, fais quelque chose, je n’en
peux plus ! » Il était mon seul secours, la
seule issue à cette souffrance physique. Je
me suis abandonnée à sa miséricorde.
Tout à coup, je sentis mon coeur se libérer
peu à peu de sa colère, avec douceur,
comme de la glace qui se met à fondre,
comme si ce bloc de pierre se désagrégeait.
Cela a duré quelques secondes, j’avais
retrouvé la paix…et la joie. J’ai crié intérieurement
un puissant merci et je suis sortie
avec une immense reconnaissance me
promener dans les vignes.
Depuis, je sais que Jésus est réellement
présent dans le tabernacle. Je n’ai plus aucun
doute. Je ressens physiquement cette métamorphose
à chaque fois que j’y pense.
Je remercie Jésus pour cette grâce reçue.
Françoise
Guérison d’un traumatisme
J’avais été à l'église jusqu'à ma confirmation,
nous allions à la messe le dimanche puis plus
rien jusqu'à l'âge d'environ 40 ans.
Je ne connaissais pas du tout l'adoration eucharistique.
La première fois que je me suis
trouvé à l'adoration, très vite les larmes se
sont mises à couler longtemps mais je ne
saurais dire combien de temps, le souvenir
d'une importante blessure de mon enfance
est revenu dans mon coeur et j'ai senti une
boule dans mon ventre, cette boule a éclaté et
je me suis senti en paix, libéré et libre. Même
si je ne connaissais rien, j'ai "su" immédiatement
que c'était le Christ lui-même qui était
venu jusqu'à moi et me guérir de ce traumatisme
psychologique.
Jean-François.
L’adoration Eucharistique a changé ma vie
Ma vie d'avant était une galère : désespérance,
violence, mensonge… bref, je subissais
ma vie, j'ai même eu envie d'y mettre fin
à un moment !
Je vivais dans un confort matériel et dans un
milieu privilégié et en urgence j'ai dû quitter le
domicile conjugal pour me protéger. Je me
suis retrouvée sans travail, sans logement…
J'aimais Jésus mais je ne savais pas combien
j'étais aimée et j'en restais à une idée (un peu
fausse) de Jésus car je ne l'avais pas encore
rencontré vraiment. J'ai appris à recevoir des
autres, connu la banque alimentaire et
n'ayant plus rien à perdre, j'attendais tout de
Jésus sans vraiment le savoir....!
Je me suis retrouvée dans un logement que
mon avocat m'a loué sans caution ni garantie
et sur une paroisse où allait se lancer l'Adoration
Eucharistique perpétuelle.
Je me suis sentie bien dans cette église et j''y
ai pleuré comme je n'avais jamais pleuré auparavant.
Je me suis engagée comme adoratrice
et là devant Jésus Eucharistie…petit à
petit, à mon rythme, Jésus m'a consolée, pardonnée.
Je me suis sentie aimée et petit à petit la vie
et la joie sont venues en moi. Ce n'est pas ma
joie mais celle de Jésus en moi.
Puis j'ai retrouvé du travail. J'ai aussi connu
des injustices, du chômage puis les CDD.
Non, ce n'est pas "rose" parce que j'adore
Jésus, mais j'ai en moi la certitude d'être
aimée de façon unique et donc grâce à cette
paix, cette force et cet amour, je peux avancer
un jour à la fois dans la confiance. Oui, je suis
revenue à la vie grâce à l'adoration, d’ailleurs
mes enfants ne me reconnaissent pas tellement j'ai retrouvé le goût de la vie.
SD
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
Beaux témoignages,
Encourageants....
Oui je pense à ma fille qui ne croit plus.
Comment Dieu va-t-il se manifester à elle ??
Encourageants....
Oui je pense à ma fille qui ne croit plus.
Comment Dieu va-t-il se manifester à elle ??
myrdhin- Avec Saint Joseph
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Re: Grâces Eucharistiques
Myrdhin,
le seigneur saura la rejoindre sur son chemin, il faut prier pour elle, lui donner une médaille miraculeuse de la rue du bac ,ou un scapulaire vert (scapulaire de la conversion) et prier ...
moi même, j'ai mon papa qui est très âgé et qui fait de la résistance au seigneur et ça m'alarme souvent, car il est très malade ! (maladie de parkinson)
Cela fait 4ans et demi que je demande à Dieu sa conversion, j'ai fait les oraisons de Ste Brigitte (les 15) les 7 paters de Ste Brigitte aussi qui sont a faire pendant 12 ans (encore 7 ans à les dires) ce sont des prières qu'on peut dire pour les membres de sa famille et qui contienne de grandes promesses de conversions...
j'ai fait dire plusieurs messes pour lui, et il reste endurci malgré tout ...
je me dit que dans ces cas là ! Le seigneur attends le moment propice, ce n'est pas qu'il ne veuille leur conversion, car ces êtres que l'on chéris, le bon Jésus lui les aime plus encore ... Il a souffert la croix pour eux ! aussi leur conversions il la veux bien plus qu'on ne pourra jamais la désiré nous même ... mais ce sont ces personnes qui résistent qui le repousse !
Alors il faut continuer de prier ... au moins cela console Jésus, peut-être que je ne verrais pas la conversion de mon père, mais je me dit que si mes pauvres prières peuvent le faire se tournée vers Jésus rien qu'à la dernière heure de sa vie et demander pardon ...
Alors Jésus lui fera miséricorde !
courage à vous chère amie, je prierais pour votre fille !
le seigneur saura la rejoindre sur son chemin, il faut prier pour elle, lui donner une médaille miraculeuse de la rue du bac ,ou un scapulaire vert (scapulaire de la conversion) et prier ...
moi même, j'ai mon papa qui est très âgé et qui fait de la résistance au seigneur et ça m'alarme souvent, car il est très malade ! (maladie de parkinson)
Cela fait 4ans et demi que je demande à Dieu sa conversion, j'ai fait les oraisons de Ste Brigitte (les 15) les 7 paters de Ste Brigitte aussi qui sont a faire pendant 12 ans (encore 7 ans à les dires) ce sont des prières qu'on peut dire pour les membres de sa famille et qui contienne de grandes promesses de conversions...
j'ai fait dire plusieurs messes pour lui, et il reste endurci malgré tout ...
je me dit que dans ces cas là ! Le seigneur attends le moment propice, ce n'est pas qu'il ne veuille leur conversion, car ces êtres que l'on chéris, le bon Jésus lui les aime plus encore ... Il a souffert la croix pour eux ! aussi leur conversions il la veux bien plus qu'on ne pourra jamais la désiré nous même ... mais ce sont ces personnes qui résistent qui le repousse !
Alors il faut continuer de prier ... au moins cela console Jésus, peut-être que je ne verrais pas la conversion de mon père, mais je me dit que si mes pauvres prières peuvent le faire se tournée vers Jésus rien qu'à la dernière heure de sa vie et demander pardon ...
Alors Jésus lui fera miséricorde !
courage à vous chère amie, je prierais pour votre fille !
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
Merci BETTY pour vos prières.
Pouvez-vous me dire où je peux trouver les
oraisons et les 7 Paters de Saint Brigitte.
Vous m' affollez, en ajoutant qu'il faut les faire pendant
12 ans . Vivrai-je encore dans 12 ans ?. Bien oui, j' aurai
89 ans. Je serai peut-être gaga et j'oublierai de prier.
De mon côté je prierai pour votre papa. A deux nous
serons plus fortes.
Pouvez-vous me dire où je peux trouver les
oraisons et les 7 Paters de Saint Brigitte.
Vous m' affollez, en ajoutant qu'il faut les faire pendant
12 ans . Vivrai-je encore dans 12 ans ?. Bien oui, j' aurai
89 ans. Je serai peut-être gaga et j'oublierai de prier.
De mon côté je prierai pour votre papa. A deux nous
serons plus fortes.
myrdhin- Avec Saint Joseph
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Re: Grâces Eucharistiques
chère Myrdhin,
voici deux liens vers les oraisons et paters de Ste Brigitte en PDF afin que vous puissiez les conservés sur votre ordinateur. Elle sont magnifiques vous verrez les 15 oraisons ne se disent qu'un an et il y a de grandes promesses qui y sont rattachées pour la personne qui les récites et pour les membres de sa famille ...( quand je les ai réciter peut après ma conversion, 4 de mes 5 enfants se sont convertis puis ce fut ma tante et ma mère ...)
http://jesus.coeurs.marie.perso.neuf.fr/PDF/15%20ORAISONS.pdf
http://jesus.coeurs.marie.perso.neuf.fr/PDF/SeptPaterNoster.pdf
quant au sept paters et ave il faut les réciter durant 12 ans mais ça ne prends pas beaucoup de temps pas plus de 5 mn par jour et elles sont sublimes ! presque 5 ans que je les récites et je ne m'en lasse pas ...et pour répondre a votre inquiétude que j'ai souvent entendue d'ailleurs, et si l'on meurt avant les 12 ans accomplis jésus promets de nous accordés les grâces comme si on les avait réciter jusqu'au bout ...
de tout cœur je vous remercie pour vos prières pour mon pauvre papa ...
quelle est le prénom de votre fille ? afin que je puisse faire une prière plus personnel auprès du Seigneur
amitié
betty
voici deux liens vers les oraisons et paters de Ste Brigitte en PDF afin que vous puissiez les conservés sur votre ordinateur. Elle sont magnifiques vous verrez les 15 oraisons ne se disent qu'un an et il y a de grandes promesses qui y sont rattachées pour la personne qui les récites et pour les membres de sa famille ...( quand je les ai réciter peut après ma conversion, 4 de mes 5 enfants se sont convertis puis ce fut ma tante et ma mère ...)
http://jesus.coeurs.marie.perso.neuf.fr/PDF/15%20ORAISONS.pdf
http://jesus.coeurs.marie.perso.neuf.fr/PDF/SeptPaterNoster.pdf
quant au sept paters et ave il faut les réciter durant 12 ans mais ça ne prends pas beaucoup de temps pas plus de 5 mn par jour et elles sont sublimes ! presque 5 ans que je les récites et je ne m'en lasse pas ...et pour répondre a votre inquiétude que j'ai souvent entendue d'ailleurs, et si l'on meurt avant les 12 ans accomplis jésus promets de nous accordés les grâces comme si on les avait réciter jusqu'au bout ...
de tout cœur je vous remercie pour vos prières pour mon pauvre papa ...
quelle est le prénom de votre fille ? afin que je puisse faire une prière plus personnel auprès du Seigneur
amitié
betty
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
N'oubliez pas la grâce de la divine miséricorde : J'ai trouvé ceci sur le site des pères Pallotins en France qui se consacrent à sa dévotion :
Bienvenue sur le site de l'Apostolat de la Miséricorde Divine des Pères Pallottins en France
Jésus disait à Sr Faustine :
" Ma fille, parle au monde entier de mon inconcevable Miséricorde. Je désire que la Fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma Miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s'approcheront de la source de ma miséricorde ; toute âme qui se confessera (dans les huit jours qui précèdent ou suivent ce Dimanche de la Miséricorde) et communiera, recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur peine ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. [...] La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu'elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu'il ne se tournera pas vers la source de ma Miséricorde. " (Petit Journal, § 699)
Bienvenue sur le site de l'Apostolat de la Miséricorde Divine des Pères Pallottins en France
Jésus disait à Sr Faustine :
" Ma fille, parle au monde entier de mon inconcevable Miséricorde. Je désire que la Fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma Miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s'approcheront de la source de ma miséricorde ; toute âme qui se confessera (dans les huit jours qui précèdent ou suivent ce Dimanche de la Miséricorde) et communiera, recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur peine ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. [...] La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu'elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu'il ne se tournera pas vers la source de ma Miséricorde. " (Petit Journal, § 699)
Ami de Saint Bernard- Combat l'antechrist
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Re: Grâces Eucharistiques
oui merci lessaintbernard c'est à dire que ce sont justement des personnes qui ne veulent pas se convertir ! ni se confesser ni communier donc ...
mais la dévotion à la miséricorde divine et en particulier le chapelet de la miséricorde Divine, je le fais souvent pour mon père !
mais la dévotion à la miséricorde divine et en particulier le chapelet de la miséricorde Divine, je le fais souvent pour mon père !
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
Oh que je vous comprends Betty, c'est la même chose pour moi...
Alors même que ma mère m'a fait le catéchisme petite, que des vocations religieuses ont touché ma famille, que nous avons eu une éducation ancrée dans les valeurs chrétiennes etc...
Mes parents proches, ne vivent plus leur foi aujourd'hui....ma soeur m'a encore dit à Pâques qu'elle n'avait pas besoin de "pratiquer" pour être une bonne catholique, ni d'aller à la messe, que tout était dans son coeur.....et je pense qu'elle ne prie que trop rarement.
Je suis triste mais je ne me décourage pas, et oui! n'oublions pas La Miséricorde Divine Lesaintbernard, prions prions prions...
Les grâces de l'Eucharistie (Conférence au Sacré-Coeur de Montmartre)
http://www.sfx-paris.fr/node/475
En tout cas merci pour les témoignages et les oraisons, super!
merci à vous , pour le lien ! Moi aussi je vous comprend c'est douloureux de voir sa famille loin du seigneur , mais le seigneur avec toutes ces belles dévotions nous donne un grand pouvoir sur son Coeur , et il veut que nous le prions avec confiance et persévérance...profitez des oraisons elles sont si puissantes...
orchidz- Avec le Pape François
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Re: Grâces Eucharistiques
Merci BETTY,
j'ai enregistré les Oraisons et les 7 Pater Noster
En résumé, je dois faire :
Les 7 pater Noster chaque jour
et
Une oraison par jour ????
Soyez gentille de me le confirmer.
Le prénom de ma fille : CORINNE.
Merci pour tout.
j'ai enregistré les Oraisons et les 7 Pater Noster
En résumé, je dois faire :
Les 7 pater Noster chaque jour
et
Une oraison par jour ????
Soyez gentille de me le confirmer.
Le prénom de ma fille : CORINNE.
Merci pour tout.
myrdhin- Avec Saint Joseph
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Re: Grâces Eucharistiques
myrdhin a écrit:Merci BETTY,
j'ai enregistré les Oraisons et les 7 Pater Noster
En résumé, je dois faire :
Les 7 pater Noster chaque jour
et
Une oraison par jour ????
Soyez gentille de me le confirmer.
Le prénom de ma fille : CORINNE.
Merci pour tout.
non myrdhin il faut dire tout c'est a dire sept fois un pater et ave suivit de chaques oraisons
il y en a sept également ainsi on salut chaque effusion de sang de jesus par un notre père et un je vous salue marie
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
Vous me dites qu' il faut 5mn.
Je pense que ça doit être beaucoup plus long :
7 pater Noster à dire en totalité chaque jour
15 ORAISONS avec un Pater et un Ave
Je pense que ça doit être beaucoup plus long :
7 pater Noster à dire en totalité chaque jour
15 ORAISONS avec un Pater et un Ave
myrdhin- Avec Saint Joseph
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Re: Grâces Eucharistiques
@ Betty orchidz myrdhin
Le principal est que vous soyez là, au centre de vos familles pour les présenter au Cœur de Jésus, seriez vous les dernières à prier pour toute la maison, frères, sœurs, parents, enfants ... que vos prières seraient entendues comme si elles sortaient des lèvres des vôtres parce que c'est ainsi que vous les présentez à Dieu, enfouis dans votre cœur pour les amener au Sien, de même que Jésus nous a tous présenté au Père à Gethsémani et sur le bois de la Croix, même lorsque nous nous étions éloignés de Son Amour.
Nos plaintes : "Dieu, Miséricorde pour nous et tous les nôtres" se mêlent à Son cri : "Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font".
Dieu entend toutes nos prières et aucune ne reste sans réponse ! Nous souhaitons le salut des nôtres et combien plus encore Dieu le souhaite-t-il pour eux.
Dans le si beau fil :
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t24231p60-conversations-celestes-paroles-de-saints#233706
que Betty a ouvert, Jésus dit :
Sainte Lutgarde voyant une femme dans un grand dénuement, se prit à regretter d'être pauvre et de ne pouvoir soulager cette femme.
Notre Seigneur lui dit :
"tu n'a ni or ni argent, mais donne ce que tu as : La prière. Prie pour elle, et tu donneras ainsi ce qui t'appartient. Ta prière lui profitera plus que l'or; je donnerai pour toi.
Sainte Gertrude éprouvant un jour un désir extraordinaire pour Dieu, lui dit :
"Seigneur, puis-je maintenant vous prier ?"
"vous le pouvez, ma chère fille, parce que je satisferai en toutes choses à vos désirs, plus ponctuellement que jamais aucun serviteur ne pourra obéir à son Maitre."
"Puisque vous témoignez tant de condescendance pour moi, ô mon Dieu infiniment charitable, d'où vient que mes prières deviennent si souvent sans effet ?"
" si quelquefois je n'exauce pas vos prières, c'est pour vous préparer quelque chose de plus utile, parce que vous n'êtes pas capable, à cause de la fragilité humaine, de connaitre ce qui vous est le plus avantageux. Mais plutôt que de manquer aux promesses que j'ai faites à la prière, je bouleverserais le Ciel et la terre. Une abeille ne se précipite jamais avec plus d'avidité dans les prés verdoyants pour y butiner parmi les fleurs, que je ne suis prêts à venir secourir une âme lorsqu'elle m'appelle."
Le principal est que vous soyez là, au centre de vos familles pour les présenter au Cœur de Jésus, seriez vous les dernières à prier pour toute la maison, frères, sœurs, parents, enfants ... que vos prières seraient entendues comme si elles sortaient des lèvres des vôtres parce que c'est ainsi que vous les présentez à Dieu, enfouis dans votre cœur pour les amener au Sien, de même que Jésus nous a tous présenté au Père à Gethsémani et sur le bois de la Croix, même lorsque nous nous étions éloignés de Son Amour.
Nos plaintes : "Dieu, Miséricorde pour nous et tous les nôtres" se mêlent à Son cri : "Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font".
Dieu entend toutes nos prières et aucune ne reste sans réponse ! Nous souhaitons le salut des nôtres et combien plus encore Dieu le souhaite-t-il pour eux.
Dans le si beau fil :
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t24231p60-conversations-celestes-paroles-de-saints#233706
que Betty a ouvert, Jésus dit :
Sainte Lutgarde voyant une femme dans un grand dénuement, se prit à regretter d'être pauvre et de ne pouvoir soulager cette femme.
Notre Seigneur lui dit :
"tu n'a ni or ni argent, mais donne ce que tu as : La prière. Prie pour elle, et tu donneras ainsi ce qui t'appartient. Ta prière lui profitera plus que l'or; je donnerai pour toi.
Sainte Gertrude éprouvant un jour un désir extraordinaire pour Dieu, lui dit :
"Seigneur, puis-je maintenant vous prier ?"
"vous le pouvez, ma chère fille, parce que je satisferai en toutes choses à vos désirs, plus ponctuellement que jamais aucun serviteur ne pourra obéir à son Maitre."
"Puisque vous témoignez tant de condescendance pour moi, ô mon Dieu infiniment charitable, d'où vient que mes prières deviennent si souvent sans effet ?"
" si quelquefois je n'exauce pas vos prières, c'est pour vous préparer quelque chose de plus utile, parce que vous n'êtes pas capable, à cause de la fragilité humaine, de connaitre ce qui vous est le plus avantageux. Mais plutôt que de manquer aux promesses que j'ai faites à la prière, je bouleverserais le Ciel et la terre. Une abeille ne se précipite jamais avec plus d'avidité dans les prés verdoyants pour y butiner parmi les fleurs, que je ne suis prêts à venir secourir une âme lorsqu'elle m'appelle."
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Grâces Eucharistiques
merci Carine pour tout ton soutien, qui fait chaud au cœur ! et pour avoir pris la peine de relier les deux sujet entre eux, je n'y aurais pas penser ...
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
myrdhin a écrit:Vous me dites qu' il faut 5mn.
Je pense que ça doit être beaucoup plus long :
7 pater Noster à dire en totalité chaque jour
15 ORAISONS avec un Pater et un Ave
Myrdhin je suis désolée je crois que j'ai dû mal m'expliquer aussi je vais tacher d'être plus clair les sept paters de sainte Brigitte et les 15 oraisons sont deux dévotions différentes bien qu'elles furent enseigner par Notre Seigneur à Ste Brigitte toutes les deux ...
aussi vous pouvez choisir de dire juste les 15 oraisons de Ste Brigitte pendant un an
15 oraisons à lire intercalé de 15 pater et ave entre chaque oraisons (durée chaque jours environ 20 mn, le temps d'un chapelet environ)
ou bien les 7 paters qui eux durent 12 ans sept oraisons à lire intercalé de 7 paters et ave entre chaque oraisons ( entre 5 et 7 mn par jour)
voilà j'espère que j'aurais été plus clair ... moi j'ai fait les deux dévotions mais ce n'est pas une obligations vous pouvez très bien dire l'une ou l'autre chacune des deux dévotions contient des promesses de salut pour la famille de la personne qui les dit.
amitié et union de prière pour Corinne !
Dernière édition par Betty le Jeu 24 Avr 2014 - 21:04, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
Merci BETTY.
Je n'en ferai qu'une
Je n'en ferai qu'une
myrdhin- Avec Saint Joseph
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Re: Grâces Eucharistiques
témoignages d'Eglise
Le pape Pie XII
Si vous voulez que les fidèles prient avec
dévotion – disait Pie XII au clergé de Rome
– donnez-leur vous-même d'abord l'exemple,
à l'église, faisant oraison en leur
présence. Un prêtre agenouillé devant le
tabernacle, dans une pose digne et dans un
profond recueillement, est pour le peuple un
sujet d'édification, un avertissement et une
invitation à l'émulation dans la prière.
("Le prêtre, pasteur et guide de la communauté paroissiale",
Congrégation du Clergé 2002, n. 21)
Mgr Kébreau, archevêque du Cap-Haïtien
A la question, « Que pensez-vous de l’adoration
eucharistique ? », Mgr Kébreau,
archevêque du Cap-Haïtien, répond :
« C’est un moment de rencontre entre notre
abîme de misère et l’abîme d’amour de
Dieu. C’est là que je peux savoir que je suis
aimé par le Christ qui s’est livré pour moi.
Tout est de lui. Il saura défaire les noeuds qui
m’habitent. Là, j’apprends à faire silence au
plus profond de moi pour être transformé
par l’Esprit Saint. Les vrais problèmes se résolvent
au pied du tabernacle. Jésus disait à
Angèle de Foligno : « Occupe-toi de moi et
je m’occuperai de toi. » L’adoration nourrit la
foi, elle la forme pour éviter de tomber dans
l’incroyance ou la superstition. C’est essentiel
chez ce peuple qui croit qu’on lui fait du
mal. L’adoration n’est pas une pharmacie
mais la gratuité du don de Dieu. »
TRANSFORMATION
Cardinal Danneels (évêque de Bruxelles)
"Dieu seul sait ce qui se passe dans le coeur
de ces adorateurs en esprit et en vérité qui
expriment leur amour en veillant des nuits
entières auprès de l'Eucharistie. Au fil de
ces heures, l'homme est transformé par ce
qu'il adore; il prend part à la Pâque du
Seigneur, à sa mort et à sa résurrection.
Ainsi naît l'homme eucharistique, homme
d'émerveillement et de contemplation,
habité par la joie et la paix intérieure. Ainsi
naît l'homme marial, portant en lui son
Seigneur dans la foi, homme visité de Dieu
rayonnant de ses dons: amour, joie, paix,
patience, bonté, bienveillance, foi, douceur
et maîtrise de soi." (Cardinal Danneels)
'Il y a un moment pour tout et un temps pour
chaque chose sous le ciel’, dit l’Ecclésiaste
dans la Bible (cfr Ec 3.2).
Il y a un temps pour commencer et un temps
pour finir, un temps pour arriver et un temps
pour partir, un temps pour parler et un temps
pour se taire. Les bergers viennent et partent,
ils passent. Un seul reste : le Bon
Berger, le Christ Jésus, ‘le grand Pasteur
des brebis’ (He 13,20).
Fixez vos regards sur Jésus
C’est donc de lui qu’il faut parler : de Jésus.
En ce jour de mon départ, puis-je vous demander,
frères et soeurs : ‘Regardez Jésus,
l’apôtre et le grand prêtre de notre confession
de foi’ (He 3,1). Regardez-le. Il y a tant
de choses à regarder de nos jours: la crise
économique, notre église en pleine tempête,
son manque de personnel et de moyens,
tant d’hommes et femmes vivant dans la
pauvreté matérielle et plus encore tant
d’autres dans le désarroi spirituel, tous les
chercheurs de bonheur qui ne le trouvent
guère.
Oui, je le répète : fixez votre regard sur
Jésus. Oui, peut-être semble-t-il dormir à
l’arrière de la barque sur le coussin, au milieu
de la tempête. Et nous crions comme
les apôtres dans l’évangile : ‘Maître, cela ne
te fait rien que nous périssions ? » (cfr Mc
4,38). Et que nous répond-Il, à nous, en
pleine bourrasque : ‘Pourquoi avez-vous
une telle peur ?’ C’est le seul reproche qu’Il
nous fera. ‘Pourquoi avez-vous si peur ?’
(Mc 4,40).
Non, il ne nous reprochera pas de ne pas
travailler dur, de manquer de stratégie, d’organisation,
de management, de projets.
Le pape Pie XII
Si vous voulez que les fidèles prient avec
dévotion – disait Pie XII au clergé de Rome
– donnez-leur vous-même d'abord l'exemple,
à l'église, faisant oraison en leur
présence. Un prêtre agenouillé devant le
tabernacle, dans une pose digne et dans un
profond recueillement, est pour le peuple un
sujet d'édification, un avertissement et une
invitation à l'émulation dans la prière.
("Le prêtre, pasteur et guide de la communauté paroissiale",
Congrégation du Clergé 2002, n. 21)
Mgr Kébreau, archevêque du Cap-Haïtien
A la question, « Que pensez-vous de l’adoration
eucharistique ? », Mgr Kébreau,
archevêque du Cap-Haïtien, répond :
« C’est un moment de rencontre entre notre
abîme de misère et l’abîme d’amour de
Dieu. C’est là que je peux savoir que je suis
aimé par le Christ qui s’est livré pour moi.
Tout est de lui. Il saura défaire les noeuds qui
m’habitent. Là, j’apprends à faire silence au
plus profond de moi pour être transformé
par l’Esprit Saint. Les vrais problèmes se résolvent
au pied du tabernacle. Jésus disait à
Angèle de Foligno : « Occupe-toi de moi et
je m’occuperai de toi. » L’adoration nourrit la
foi, elle la forme pour éviter de tomber dans
l’incroyance ou la superstition. C’est essentiel
chez ce peuple qui croit qu’on lui fait du
mal. L’adoration n’est pas une pharmacie
mais la gratuité du don de Dieu. »
TRANSFORMATION
Cardinal Danneels (évêque de Bruxelles)
"Dieu seul sait ce qui se passe dans le coeur
de ces adorateurs en esprit et en vérité qui
expriment leur amour en veillant des nuits
entières auprès de l'Eucharistie. Au fil de
ces heures, l'homme est transformé par ce
qu'il adore; il prend part à la Pâque du
Seigneur, à sa mort et à sa résurrection.
Ainsi naît l'homme eucharistique, homme
d'émerveillement et de contemplation,
habité par la joie et la paix intérieure. Ainsi
naît l'homme marial, portant en lui son
Seigneur dans la foi, homme visité de Dieu
rayonnant de ses dons: amour, joie, paix,
patience, bonté, bienveillance, foi, douceur
et maîtrise de soi." (Cardinal Danneels)
'Il y a un moment pour tout et un temps pour
chaque chose sous le ciel’, dit l’Ecclésiaste
dans la Bible (cfr Ec 3.2).
Il y a un temps pour commencer et un temps
pour finir, un temps pour arriver et un temps
pour partir, un temps pour parler et un temps
pour se taire. Les bergers viennent et partent,
ils passent. Un seul reste : le Bon
Berger, le Christ Jésus, ‘le grand Pasteur
des brebis’ (He 13,20).
Fixez vos regards sur Jésus
C’est donc de lui qu’il faut parler : de Jésus.
En ce jour de mon départ, puis-je vous demander,
frères et soeurs : ‘Regardez Jésus,
l’apôtre et le grand prêtre de notre confession
de foi’ (He 3,1). Regardez-le. Il y a tant
de choses à regarder de nos jours: la crise
économique, notre église en pleine tempête,
son manque de personnel et de moyens,
tant d’hommes et femmes vivant dans la
pauvreté matérielle et plus encore tant
d’autres dans le désarroi spirituel, tous les
chercheurs de bonheur qui ne le trouvent
guère.
Oui, je le répète : fixez votre regard sur
Jésus. Oui, peut-être semble-t-il dormir à
l’arrière de la barque sur le coussin, au milieu
de la tempête. Et nous crions comme
les apôtres dans l’évangile : ‘Maître, cela ne
te fait rien que nous périssions ? » (cfr Mc
4,38). Et que nous répond-Il, à nous, en
pleine bourrasque : ‘Pourquoi avez-vous
une telle peur ?’ C’est le seul reproche qu’Il
nous fera. ‘Pourquoi avez-vous si peur ?’
(Mc 4,40).
Non, il ne nous reprochera pas de ne pas
travailler dur, de manquer de stratégie, d’organisation,
de management, de projets.
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
Je ne sais pas si je dois placer ici le sujet que je vous soumets ci-dessous,
mais répondez-moi quand même.
Connaissez-vous le Père François Brune ?
Il a écrit des livres sur la vie après la mort,
Mais ce qui m'inquiète c'est ce qu'il dit dans une video
lue au hasard de mes recherches.
" Le pape est un orgueilleux" et
" A medjugorje ce ne sont pas des apparitions
de la Vierge, mais l'oeuvre du démon"...
mais répondez-moi quand même.
Connaissez-vous le Père François Brune ?
Il a écrit des livres sur la vie après la mort,
Mais ce qui m'inquiète c'est ce qu'il dit dans une video
lue au hasard de mes recherches.
" Le pape est un orgueilleux" et
" A medjugorje ce ne sont pas des apparitions
de la Vierge, mais l'oeuvre du démon"...
myrdhin- Avec Saint Joseph
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Localisation : Bretagne et Ile de France
Inscription : 01/03/2013
Re: Grâces Eucharistiques
je ne le connais pas myrdhin ! je vais me renseigner si vous voulez mais en tout état de cause vous ne devriez pas ajouté fois à des propos critiquant le pape et cela c'est sur !
Pour medjugorje l'église ne s'étant pas prononcer sur les faits, à chacun de faire son travail de discernements ...
Pour medjugorje l'église ne s'étant pas prononcer sur les faits, à chacun de faire son travail de discernements ...
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
Bonsoir, Betty !
Je n'ai pas lu tout le fil, mais je trouve que c'est un sujet très intéressant, mais aussi important. Important pour vraiment prendre connaissance de l'importance des grâces que Dieu nous accorde part l'Eucharistie. J'aime beaucoup le fil, merci Betty. Je vais pas hésiter à le terminer.
Je n'ai pas lu tout le fil, mais je trouve que c'est un sujet très intéressant, mais aussi important. Important pour vraiment prendre connaissance de l'importance des grâces que Dieu nous accorde part l'Eucharistie. J'aime beaucoup le fil, merci Betty. Je vais pas hésiter à le terminer.
Luca- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Inscription : 21/06/2011
Re: Grâces Eucharistiques
Bonjour à tous,
Je suis profondément choquée par une information reçue par la TV ce dimanche
au sujet du sacrement de la réconciliation.
Quand Poutine se confesse à son POP il est dit que le secret de la confession n'existerait pas .
que tout ce qu'il confie à son confesseur serait transmis au KGB.
Le secret de la confession est-il exclusivement catholique ?
(je crois que les chrétiens, quels qu'ils soient, apprécieront de le savoir ;
et déjà Poutine en tant que chrétien pratiquant)
Si cela est vrai
je compte sur ce forum pour le faire savoir
- à Poutine.
- à tous les autres
Très bonne journée à tous.
Je suis profondément choquée par une information reçue par la TV ce dimanche
au sujet du sacrement de la réconciliation.
Quand Poutine se confesse à son POP il est dit que le secret de la confession n'existerait pas .
que tout ce qu'il confie à son confesseur serait transmis au KGB.
Le secret de la confession est-il exclusivement catholique ?
(je crois que les chrétiens, quels qu'ils soient, apprécieront de le savoir ;
et déjà Poutine en tant que chrétien pratiquant)
Si cela est vrai
je compte sur ce forum pour le faire savoir
- à Poutine.
- à tous les autres
Très bonne journée à tous.
françoise dumoulin- Avec Saint Thomas d'Aquin
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Age : 70
Localisation : Chabeuil
Inscription : 25/01/2012
Re: Grâces Eucharistiques
Mot d’enfant
Au printemps 1912, une mère fut admise à
l'audience privée de Pie X avec son enfant
de 4 ans. L'enfant s'approcha du pape et déposa
ses mains sur ses genoux avec confiance.
Pie X lui demanda alors :
- Quel âge as-tu ?
- Il a quatre ans, répondit aussitôt sa mère;
et dans deux ans j'espère qu'il fera sa première
communion.
Scrutant longuement les yeux limpides du
petit, Pie X lui demanda :
- Qui reçoit-on dans la sainte communion ?
- Jésus Christ !
- Et qui est Jésus-Christ ?
- Jésus-Christ, c’est Dieu !
Alors se tournant vers la mère, le pape dit :
Amenez-le-moi demain. Je lui donnerai moi-même
la sainte communion.
Olivier (et Sophie)
J’ai hurlé aux oreilles de Dieu
J’en étais à 22 ans de carrière professionnelle.
Marié, père de quatre enfants, nous
avions fait le choix, ma femme et moi,
qu’elle ne travaille pas pour s’occuper des
enfants. Malgré une évolution de carrière
nécessitant beaucoup de stress et d’heures
de travail, les conditions économiques de
notre famille se détérioraient de mois en
mois et d’année en année avec les enfants
qui grandissaient. Nous avions le sentiment,
malgré beaucoup de travail, que nous n’y arriverions
jamais, notamment à donner à nos
enfants l’éducation scolaire qui nous paraissait
bonne.
Un jour de grande lassitude ayant reçu
depuis mon enfance, un sens aigu de la
présence réelle du Christ dans l’Eucharistie,
je suis allé m’assoir devant le tabernacle, à
l’église de mon village.
Là, J’ai dit au Bon Dieu tout ce que j’avais
sur le cœur, le poids qu’il m’avait mis sur les
épaules sans me donner les moyens de l’assumer.
Je lui ai dit que si nous n’y arrivions
pas, c’est que sa Paternité n’en était pas
vraiment une... J’ai vidé mon sac et j’ai
pleuré comme un enfant qui se noie et appelle
son père à l’aide.
Trois jours après, mon directeur entrait dans
mon bureau et m’annonçait que la Direction
Générale m’offrait un poste de Directeur
d’une de nos filiales à l’étranger.
Dans la seconde même qui a suivi cette
offre, je l’ai reçue, sans la moindre hésitation
intérieure, comme une “réponse de mon
Père”. J’ai appelé mon épouse et, dans une
confiance totale et sans chercher une
réponse à toutes nos interrogations, nous
avons répondu « oui » dans les deux heures
qui ont suivi.
Cela a été le début d’un immense changement
dans notre vie et je n’ai jamais oublié
la grande fidélité et l’incroyable puissance
paternelle de Dieu. Il sait vraiment écouter
les coeurs brisés et harassés.
Cela s’est reproduit deux autres fois dans
ma vie. Ce qui m’a toujours conduit à croire
que le Père est au milieu de nous et qu’il est
bon de marcher main dans la main avec lui,
et même si nous lui marchons parfois durement
sur les pieds (avec nos péchés) il ne
faut jamais lâcher sa main. Jamais…
J’ai essayé de transmettre tout ceci à nos
quatre fils dont trois sont maintenant mariés
et parents chacun de deux enfants. Je leur
ai souvent expliqué : si la vie vous paraît
trop lourde, d’un poids disproportionné a ce
que vous pouvez faire, n’ayez pas peur
d’aller le hurler aux oreilles de Dieu, il ne se
détournera pas de vous, Lui.
Au printemps 1912, une mère fut admise à
l'audience privée de Pie X avec son enfant
de 4 ans. L'enfant s'approcha du pape et déposa
ses mains sur ses genoux avec confiance.
Pie X lui demanda alors :
- Quel âge as-tu ?
- Il a quatre ans, répondit aussitôt sa mère;
et dans deux ans j'espère qu'il fera sa première
communion.
Scrutant longuement les yeux limpides du
petit, Pie X lui demanda :
- Qui reçoit-on dans la sainte communion ?
- Jésus Christ !
- Et qui est Jésus-Christ ?
- Jésus-Christ, c’est Dieu !
Alors se tournant vers la mère, le pape dit :
Amenez-le-moi demain. Je lui donnerai moi-même
la sainte communion.
Olivier (et Sophie)
J’ai hurlé aux oreilles de Dieu
J’en étais à 22 ans de carrière professionnelle.
Marié, père de quatre enfants, nous
avions fait le choix, ma femme et moi,
qu’elle ne travaille pas pour s’occuper des
enfants. Malgré une évolution de carrière
nécessitant beaucoup de stress et d’heures
de travail, les conditions économiques de
notre famille se détérioraient de mois en
mois et d’année en année avec les enfants
qui grandissaient. Nous avions le sentiment,
malgré beaucoup de travail, que nous n’y arriverions
jamais, notamment à donner à nos
enfants l’éducation scolaire qui nous paraissait
bonne.
Un jour de grande lassitude ayant reçu
depuis mon enfance, un sens aigu de la
présence réelle du Christ dans l’Eucharistie,
je suis allé m’assoir devant le tabernacle, à
l’église de mon village.
Là, J’ai dit au Bon Dieu tout ce que j’avais
sur le cœur, le poids qu’il m’avait mis sur les
épaules sans me donner les moyens de l’assumer.
Je lui ai dit que si nous n’y arrivions
pas, c’est que sa Paternité n’en était pas
vraiment une... J’ai vidé mon sac et j’ai
pleuré comme un enfant qui se noie et appelle
son père à l’aide.
Trois jours après, mon directeur entrait dans
mon bureau et m’annonçait que la Direction
Générale m’offrait un poste de Directeur
d’une de nos filiales à l’étranger.
Dans la seconde même qui a suivi cette
offre, je l’ai reçue, sans la moindre hésitation
intérieure, comme une “réponse de mon
Père”. J’ai appelé mon épouse et, dans une
confiance totale et sans chercher une
réponse à toutes nos interrogations, nous
avons répondu « oui » dans les deux heures
qui ont suivi.
Cela a été le début d’un immense changement
dans notre vie et je n’ai jamais oublié
la grande fidélité et l’incroyable puissance
paternelle de Dieu. Il sait vraiment écouter
les coeurs brisés et harassés.
Cela s’est reproduit deux autres fois dans
ma vie. Ce qui m’a toujours conduit à croire
que le Père est au milieu de nous et qu’il est
bon de marcher main dans la main avec lui,
et même si nous lui marchons parfois durement
sur les pieds (avec nos péchés) il ne
faut jamais lâcher sa main. Jamais…
J’ai essayé de transmettre tout ceci à nos
quatre fils dont trois sont maintenant mariés
et parents chacun de deux enfants. Je leur
ai souvent expliqué : si la vie vous paraît
trop lourde, d’un poids disproportionné a ce
que vous pouvez faire, n’ayez pas peur
d’aller le hurler aux oreilles de Dieu, il ne se
détournera pas de vous, Lui.
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
Miracle de la mule et de l’Hostie
Un jour, saint Antoine de Padoue (1195-1231) fait un sermon sur l'Eucharistie. Il se trouvaità Bourges, en 1225, prêchant contre les hérésies des Albigeois. Le débat portait donc sur la Présence Réelle de Jésus dans l'Hostie consacrée.
Un juif nommé Zacharie le Gaillard l'interrompt en s'écriant :
-"Je n'y crois pas ! Je voudrais voir !"
Saint Antoine de Padoue le regarde alors calmement et lui demande la chose suivante:
-"Si ta mule se prosterne devant l'Eucharistie,
croiras-tu ?"
Zacharie lui répond : "Pour sûr !" Avec malice, il ajoute même ceci :
-"Pendant deux jours, je ne donnerai rien à manger à ma mule. Le troisième, je l'amènerai ici sur le champ de foire. On mettra d'un côté de l'avoine fraîche, et de l'autre tu lui présenteras l'Hostie. Si elle refuse son avoine et s'agenouille devant l'hostie, je croirai.”
Saint Antoine lui répond alors :
-"Marché conclu. Toutefois, que l'on sache ceci : si la mule ne s'agenouille pas, ce sera à cause de mes péchés".
Ce défit surprenant fait très vite le tour de la ville, et dès lors qu'ils sont mis au courant, les gens attendent avec beaucoup d'impatience de voir ce qui va se passer. Le jour en question, tous les magasins de la ville sont fermés et les rues sont désertes. Tout le monde s'est donné rendez-vous au champ de foire.
Zacharie apparaît alors, tirant sa mule qui a jeûné. Un valet prépare l'avoine et, tout à coup, une procession venue de l'église s'avance vers Zacharie. Saint Antoine marche à l'arrière en portant le Saint-Sacrement. Saint Antoine sort de l'église avec la sainte Eucharistie et s'exclama : « Au moins et par la vertu de ton Créateur, que, malgré mon indignité, je tiens réellement présent ici dans mes mains, je t'ordonne de venir sans tarder t'incliner humblement devant Lui».
En même temps, on présente l'avoine à l'animal affamé. Mais l'animal, devant la foule rassemblée pour l'occasion va-t-il s’incliner devant l'Hostie, pliant les jarrets comme agenouillé? Lorsque le célèbre saint arrive à la hauteur de Zacharie, ce dernier place sa mule exactement entre l'avoine et l'Hostie, et la lâche. On n'entend pas une mouche voler.Tous les regards sont braqués sur l'animal. Que va-t-il se passer ? Que va faire la mule ?
Et bien figurez-vous que la bête n'hésite pas. Sans même regarder l'avoine, elle s'avance vers l'Hostie, s'arrête à distance respectueuse, s'agenouille devant l'ostensoir et s'immobilise dans une sorte d'adoration, ses grands yeux noirs fixés sur l'Hostie !
Zacharie tombe alors à genoux auprès d'elle et se frappe à grands coups la poitrine tandis que la foule, avec une très grande ferveur, entonne le Magnificat. Signalons qu'à l'église Saint Pierre le Guillard (à Bourges), on peut voir un bloc de pierre et
un tableau du XIVème siècle qui conservent l'image d'une mule agenouillée. Située place Clamecy, cette église fut consacrée en 1230 (très peu de temps après le miracle) par l'archevêque Simon de Seuly. Une légende du 16ème siècle rapporte que cette église fut bâtie aux frais du juif Zacharie Guillard dont la mule s’était agenouillée devant Saint Antoine.
Outre une conversion, ce Zacharie fut donc particulièrement reconnaissant.
Bien entendu, la foi compte beaucoup, dans ce domaine, et on ne peut forcer personne à croire.
Toutefois, on peut remarquer que si une simple mule s’est s’inclinée devant la présence de Dieu dans le Saint-Sacrement, alors tout homme devrait pouvoir en faire autant !
Un jour, saint Antoine de Padoue (1195-1231) fait un sermon sur l'Eucharistie. Il se trouvaità Bourges, en 1225, prêchant contre les hérésies des Albigeois. Le débat portait donc sur la Présence Réelle de Jésus dans l'Hostie consacrée.
Un juif nommé Zacharie le Gaillard l'interrompt en s'écriant :
-"Je n'y crois pas ! Je voudrais voir !"
Saint Antoine de Padoue le regarde alors calmement et lui demande la chose suivante:
-"Si ta mule se prosterne devant l'Eucharistie,
croiras-tu ?"
Zacharie lui répond : "Pour sûr !" Avec malice, il ajoute même ceci :
-"Pendant deux jours, je ne donnerai rien à manger à ma mule. Le troisième, je l'amènerai ici sur le champ de foire. On mettra d'un côté de l'avoine fraîche, et de l'autre tu lui présenteras l'Hostie. Si elle refuse son avoine et s'agenouille devant l'hostie, je croirai.”
Saint Antoine lui répond alors :
-"Marché conclu. Toutefois, que l'on sache ceci : si la mule ne s'agenouille pas, ce sera à cause de mes péchés".
Ce défit surprenant fait très vite le tour de la ville, et dès lors qu'ils sont mis au courant, les gens attendent avec beaucoup d'impatience de voir ce qui va se passer. Le jour en question, tous les magasins de la ville sont fermés et les rues sont désertes. Tout le monde s'est donné rendez-vous au champ de foire.
Zacharie apparaît alors, tirant sa mule qui a jeûné. Un valet prépare l'avoine et, tout à coup, une procession venue de l'église s'avance vers Zacharie. Saint Antoine marche à l'arrière en portant le Saint-Sacrement. Saint Antoine sort de l'église avec la sainte Eucharistie et s'exclama : « Au moins et par la vertu de ton Créateur, que, malgré mon indignité, je tiens réellement présent ici dans mes mains, je t'ordonne de venir sans tarder t'incliner humblement devant Lui».
En même temps, on présente l'avoine à l'animal affamé. Mais l'animal, devant la foule rassemblée pour l'occasion va-t-il s’incliner devant l'Hostie, pliant les jarrets comme agenouillé? Lorsque le célèbre saint arrive à la hauteur de Zacharie, ce dernier place sa mule exactement entre l'avoine et l'Hostie, et la lâche. On n'entend pas une mouche voler.Tous les regards sont braqués sur l'animal. Que va-t-il se passer ? Que va faire la mule ?
Et bien figurez-vous que la bête n'hésite pas. Sans même regarder l'avoine, elle s'avance vers l'Hostie, s'arrête à distance respectueuse, s'agenouille devant l'ostensoir et s'immobilise dans une sorte d'adoration, ses grands yeux noirs fixés sur l'Hostie !
Zacharie tombe alors à genoux auprès d'elle et se frappe à grands coups la poitrine tandis que la foule, avec une très grande ferveur, entonne le Magnificat. Signalons qu'à l'église Saint Pierre le Guillard (à Bourges), on peut voir un bloc de pierre et
un tableau du XIVème siècle qui conservent l'image d'une mule agenouillée. Située place Clamecy, cette église fut consacrée en 1230 (très peu de temps après le miracle) par l'archevêque Simon de Seuly. Une légende du 16ème siècle rapporte que cette église fut bâtie aux frais du juif Zacharie Guillard dont la mule s’était agenouillée devant Saint Antoine.
Outre une conversion, ce Zacharie fut donc particulièrement reconnaissant.
Bien entendu, la foi compte beaucoup, dans ce domaine, et on ne peut forcer personne à croire.
Toutefois, on peut remarquer que si une simple mule s’est s’inclinée devant la présence de Dieu dans le Saint-Sacrement, alors tout homme devrait pouvoir en faire autant !
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
sermon Du Curé D’Ars
Le pain que je vous donnerai, c'est ma
propre chair pour la vie du monde. (Jn 6, 52)
Qui de nous, mes frères aurait jamais pu comprendre que Jésus-Christ eût porté son
amour envers ses créatures jusqu'à leur donner son Corps adorable et son Sang précieux
pour servir de nourriture à nos âmes, si ce n'était lui-même qui nous le dise ? Eh
quoi! mes frères, une âme se nourrir de son Sauveur !... et cela autant de fois qu'elle le
désire !... O abîme de bonté et d'amour d'un Dieu pour ses créatures ! ...
Oh ! mes frères, voyez de quoi est capable l'amour d'un Dieu pour ses créatures !... Non,
mes frères, de tous les sacrements, il n'y en a point qui puisse être comparé à celui de
l'Eucharistie. Dans celui du Baptême nous recevons, il est vrai, la qualité d'enfants de
Dieu et, par conséquent, nous avons part à son royaume éternel ; dans celui de la Pénitence,
les plaies de notre âme sont guéries et l’amitié de notre Dieu nous est rendue ;
mais dans le sacrement adorable de l'Eucharistie, non seulement nous recevons
l'application de son Sang précieux, mais encore l'auteur de toute grâce. Saint Jean nous
dit que Jésus-Christ «ayant aimé les hommes jusqu'à la fin (Jn 13, 1)» trouva le
moyen de monter au ciel sans quitter la terre: il prit du pain entre ses mains saintes et
vénérables, le bénit et le changea en son Corps ; il prit du vin et le changea en son
Sang précieux, et donna à tous les prêtres, dans la personne de ses apôtres, le pouvoir
de faire le même miracle, toutes les fois qu'ils prononceraient les mêmes paroles ; afin que,
par ce miracle d'amour, il pût rester avec nous, nous servir de nourriture, nous consoler
et nous tenir compagnie.
Oh ! mes frères, quel bonheur pour un chrétien d'aspirer à un si grand honneur que de
se nourrir du pain des anges !... Mais, hélas! qu'il y en a peu qui le comprennent !... Ah !
mes frères, si nous comprenions la grandeur du bonheur que nous avons de recevoir
Jésus-Christ, ne travaillerions-nous pas continuellement à le mériter ?
Oh ! mes frères, quelle gloire vont avoir ceux qui auront communié souvent et dignement
pendant leur vie !...
Si vous en doutez, écoutez saint Cyrille d'Alexandrie qui nous dit que celui qui reçoit
Jésus-Christ dans la sainte communion est tellement uni à lui, qu'ils sont semblables à
deux morceaux de cire que l'on fait fondre et qui finissent par ne faire qu'un, et qui sont
tellement mêlés et confondus ensemble qu'on ne peut plus les démêler.
Oh ! mes frères, quel bonheur pour un chrétien qui comprend cela !...
Sainte Catherine de Sienne s'écriait dans ses transports d'amour : « O mon Dieu ! ô
mon Sauveur ! ah ! quel excès de charité et de bonté pour les créatures de vous donner
avec tant d'empressement ! Et, en vous donnant, vous donnez tout ce que vous avez et
tout ce que vous êtes ! Mon tendre Sauveur, lui disait-elle, je vous en conjure, arrosez ma
pauvre âme de votre sang précieux, nourrissez mon corps de votre corps adorable, afin
que mon corps et mon âme ne soient que pour vous, et n'aspirent uniquement qu'à
vous plaire et à vous posséder. »
Sainte Catherine de Gênes était si affamée de ce pain céleste, qu'elle ne pouvait le voir
entre les mains du prêtre sans se sentir mourir d'amour, tant était grand le désir
qu'elle avait de le posséder qu’elle s'écriait :
«Ah! Seigneur, venez en moi ! mon Dieu, venez à moi, je ne peux plus tenir ! Ah ! mon
Dieu, venez, s'il vous plaît, dans le fond de mon coeur ; non, mon Dieu, je ne peux plus
tenir. Vous êtes toute ma joie, tout mon bonheur et toute la nourriture de mon âme !»
Nous lisons dans l'Évangile, que lorsque Jésus-Christ institua le sacrement adorable
de l'Eucharistie, ce fut dans un appartement bien propre et bien meublé (Luc 22, 12), pour
nous montrer combien nous devons prendre soin d'embellir notre âme de toutes sortes de
vertus pour recevoir Jésus-Christ dans la sainte communion.
Saint Bernard nous dit : « Pour communier dignement, il faut faire comme le serpent,
quand il veut boire à son aise. Afin que l'eau lui profite, il quitte son venin. Pour nous, il
faut faire de même : quand nous voulons recevoir Jésus-Christ, il faut quitter notre venin
qui est le péché, qui est le poison de notre âme et de Jésus-Christ ; mais, nous dit ce
grand saint, il faut le quitter pour tout de bon.
Oh ! mes enfants, nous dit-il, n'empoisonnez pas Jésus-Christ dans votre coeur ! »
Nous avons vu que, quand Jésus-Christ voulut donner son Corps adorable et son
Sang précieux à ses apôtres, pour leur montrer combien il fallait être pur pour le recevoir,
il alla jusqu'à leur laver les pieds. Vous convenez avec moi que, malgré tant de
confessions et de communions, vous êtes toujours les mêmes, que vos confessions ne sont
pas autre chose, depuis bien des années,qu'une répétition des mêmes péchés qui,
quoique véniels, ne vous font pas moins perdre presque tout le mérite de vos communions.
L'on vous entend dire, avec raison, que vous ne valez pas plus une fois sur l'autre ;
mais qui vous empêche de vous corriger de vos fautes ?...
Si vous êtes toujours de même, c'est bien parce que vous ne voulez pas faire quelques
petits efforts pour vous corriger ;
vous ne voulez rien souffrir et n'être contredits en rien; vous voudriez que tout le monde
vous aimât etait bonne opinion de vous, ce qui est bien difficile.
Tâchons de travailler, mes frères, à détruire tout ce qui peut, tant soit peu, déplaire
à Jésus-Christ, et nous verrons combien nos communions nous feront marcher à grands
pas vers le ciel ;
et plus nous en ferons, plus nous nous sentirons détachés du péché et portés à Dieu.
Voyez sainte Thérèse qui était devenue si agréable à Dieu par la sainte communion
qu'elle faisait si souvent et si dignement qu'un jour Jésus-Christ lui apparut, et lui dit qu'elle
lui plaisait tant que, quand il n'y aurait point de ciel, il en créerait un pour elle seule. Nous
voyons dans sa vie qu'un dimanche de Pâques, après la sainte communion, elle fut si
ravie en Dieu, qu'étant revenue à elle-même, elle se sentit la bouche toute pleine du sang
adorable de Jésus-Christ qui semblait sortir de ses veines, ce qui lui communiqua tant de
douceur qu'elle crut mourir d'amour.
«Je vis, nous dit-elle, mon divin Sauveur qui me dit :
Ma fille, je veux que ce sang adorable qui te cause tant d'amour soit employé à te sauver;
ne crains jamais que ma miséricorde te manque. Lorsque j'ai répandu ce sang précieux,
je n'ai éprouvé que douleur et amertume ; mais, pour toi, en le recevant, il ne te
communiquera que douceur et amour.»
Plusieurs fois, lorsqu'elle avait le grand bonheur de communier, les anges descendaient
en foule du ciel et semblaient faire leurs délices de s'unir à elle pour louer le Sauveur
qu'elle avait le bonheur de porter dans son cœur. Bien des fois l'on a vu sainte Thérèse
prise par les anges à la Table sainte, ils la portaient sur une haute tribune.
Oh ! mes frères, si nous avions une fois bien compris combien ce bonheur est grand, nous
n'aurions pas besoin d'être sollicités à venir partager ce bonheur. Sainte Gertrude demandait
un jour à Jésus-Christ ce qu'il fallait faire pour le recevoir le plus dignement possible.
Jésus-Christ lui répondit qu'il fallait avoir autant d'amour que tous les saints ensemble,
et que son seul désir serait récompensé.
Que faut-il conclure de cela, mes frères?...Rien d’autre, sinon que tout notre bonheur
consiste à mener une vie digne de recevoir souvent Jésus-Christ, puisque c'est par là que
nous pouvons espérer le ciel que je vous souhaite...
Extrait du site http://livres-mystiques.com
Le pain que je vous donnerai, c'est ma
propre chair pour la vie du monde. (Jn 6, 52)
Qui de nous, mes frères aurait jamais pu comprendre que Jésus-Christ eût porté son
amour envers ses créatures jusqu'à leur donner son Corps adorable et son Sang précieux
pour servir de nourriture à nos âmes, si ce n'était lui-même qui nous le dise ? Eh
quoi! mes frères, une âme se nourrir de son Sauveur !... et cela autant de fois qu'elle le
désire !... O abîme de bonté et d'amour d'un Dieu pour ses créatures ! ...
Oh ! mes frères, voyez de quoi est capable l'amour d'un Dieu pour ses créatures !... Non,
mes frères, de tous les sacrements, il n'y en a point qui puisse être comparé à celui de
l'Eucharistie. Dans celui du Baptême nous recevons, il est vrai, la qualité d'enfants de
Dieu et, par conséquent, nous avons part à son royaume éternel ; dans celui de la Pénitence,
les plaies de notre âme sont guéries et l’amitié de notre Dieu nous est rendue ;
mais dans le sacrement adorable de l'Eucharistie, non seulement nous recevons
l'application de son Sang précieux, mais encore l'auteur de toute grâce. Saint Jean nous
dit que Jésus-Christ «ayant aimé les hommes jusqu'à la fin (Jn 13, 1)» trouva le
moyen de monter au ciel sans quitter la terre: il prit du pain entre ses mains saintes et
vénérables, le bénit et le changea en son Corps ; il prit du vin et le changea en son
Sang précieux, et donna à tous les prêtres, dans la personne de ses apôtres, le pouvoir
de faire le même miracle, toutes les fois qu'ils prononceraient les mêmes paroles ; afin que,
par ce miracle d'amour, il pût rester avec nous, nous servir de nourriture, nous consoler
et nous tenir compagnie.
Oh ! mes frères, quel bonheur pour un chrétien d'aspirer à un si grand honneur que de
se nourrir du pain des anges !... Mais, hélas! qu'il y en a peu qui le comprennent !... Ah !
mes frères, si nous comprenions la grandeur du bonheur que nous avons de recevoir
Jésus-Christ, ne travaillerions-nous pas continuellement à le mériter ?
Oh ! mes frères, quelle gloire vont avoir ceux qui auront communié souvent et dignement
pendant leur vie !...
Si vous en doutez, écoutez saint Cyrille d'Alexandrie qui nous dit que celui qui reçoit
Jésus-Christ dans la sainte communion est tellement uni à lui, qu'ils sont semblables à
deux morceaux de cire que l'on fait fondre et qui finissent par ne faire qu'un, et qui sont
tellement mêlés et confondus ensemble qu'on ne peut plus les démêler.
Oh ! mes frères, quel bonheur pour un chrétien qui comprend cela !...
Sainte Catherine de Sienne s'écriait dans ses transports d'amour : « O mon Dieu ! ô
mon Sauveur ! ah ! quel excès de charité et de bonté pour les créatures de vous donner
avec tant d'empressement ! Et, en vous donnant, vous donnez tout ce que vous avez et
tout ce que vous êtes ! Mon tendre Sauveur, lui disait-elle, je vous en conjure, arrosez ma
pauvre âme de votre sang précieux, nourrissez mon corps de votre corps adorable, afin
que mon corps et mon âme ne soient que pour vous, et n'aspirent uniquement qu'à
vous plaire et à vous posséder. »
Sainte Catherine de Gênes était si affamée de ce pain céleste, qu'elle ne pouvait le voir
entre les mains du prêtre sans se sentir mourir d'amour, tant était grand le désir
qu'elle avait de le posséder qu’elle s'écriait :
«Ah! Seigneur, venez en moi ! mon Dieu, venez à moi, je ne peux plus tenir ! Ah ! mon
Dieu, venez, s'il vous plaît, dans le fond de mon coeur ; non, mon Dieu, je ne peux plus
tenir. Vous êtes toute ma joie, tout mon bonheur et toute la nourriture de mon âme !»
Nous lisons dans l'Évangile, que lorsque Jésus-Christ institua le sacrement adorable
de l'Eucharistie, ce fut dans un appartement bien propre et bien meublé (Luc 22, 12), pour
nous montrer combien nous devons prendre soin d'embellir notre âme de toutes sortes de
vertus pour recevoir Jésus-Christ dans la sainte communion.
Saint Bernard nous dit : « Pour communier dignement, il faut faire comme le serpent,
quand il veut boire à son aise. Afin que l'eau lui profite, il quitte son venin. Pour nous, il
faut faire de même : quand nous voulons recevoir Jésus-Christ, il faut quitter notre venin
qui est le péché, qui est le poison de notre âme et de Jésus-Christ ; mais, nous dit ce
grand saint, il faut le quitter pour tout de bon.
Oh ! mes enfants, nous dit-il, n'empoisonnez pas Jésus-Christ dans votre coeur ! »
Nous avons vu que, quand Jésus-Christ voulut donner son Corps adorable et son
Sang précieux à ses apôtres, pour leur montrer combien il fallait être pur pour le recevoir,
il alla jusqu'à leur laver les pieds. Vous convenez avec moi que, malgré tant de
confessions et de communions, vous êtes toujours les mêmes, que vos confessions ne sont
pas autre chose, depuis bien des années,qu'une répétition des mêmes péchés qui,
quoique véniels, ne vous font pas moins perdre presque tout le mérite de vos communions.
L'on vous entend dire, avec raison, que vous ne valez pas plus une fois sur l'autre ;
mais qui vous empêche de vous corriger de vos fautes ?...
Si vous êtes toujours de même, c'est bien parce que vous ne voulez pas faire quelques
petits efforts pour vous corriger ;
vous ne voulez rien souffrir et n'être contredits en rien; vous voudriez que tout le monde
vous aimât etait bonne opinion de vous, ce qui est bien difficile.
Tâchons de travailler, mes frères, à détruire tout ce qui peut, tant soit peu, déplaire
à Jésus-Christ, et nous verrons combien nos communions nous feront marcher à grands
pas vers le ciel ;
et plus nous en ferons, plus nous nous sentirons détachés du péché et portés à Dieu.
Voyez sainte Thérèse qui était devenue si agréable à Dieu par la sainte communion
qu'elle faisait si souvent et si dignement qu'un jour Jésus-Christ lui apparut, et lui dit qu'elle
lui plaisait tant que, quand il n'y aurait point de ciel, il en créerait un pour elle seule. Nous
voyons dans sa vie qu'un dimanche de Pâques, après la sainte communion, elle fut si
ravie en Dieu, qu'étant revenue à elle-même, elle se sentit la bouche toute pleine du sang
adorable de Jésus-Christ qui semblait sortir de ses veines, ce qui lui communiqua tant de
douceur qu'elle crut mourir d'amour.
«Je vis, nous dit-elle, mon divin Sauveur qui me dit :
Ma fille, je veux que ce sang adorable qui te cause tant d'amour soit employé à te sauver;
ne crains jamais que ma miséricorde te manque. Lorsque j'ai répandu ce sang précieux,
je n'ai éprouvé que douleur et amertume ; mais, pour toi, en le recevant, il ne te
communiquera que douceur et amour.»
Plusieurs fois, lorsqu'elle avait le grand bonheur de communier, les anges descendaient
en foule du ciel et semblaient faire leurs délices de s'unir à elle pour louer le Sauveur
qu'elle avait le bonheur de porter dans son cœur. Bien des fois l'on a vu sainte Thérèse
prise par les anges à la Table sainte, ils la portaient sur une haute tribune.
Oh ! mes frères, si nous avions une fois bien compris combien ce bonheur est grand, nous
n'aurions pas besoin d'être sollicités à venir partager ce bonheur. Sainte Gertrude demandait
un jour à Jésus-Christ ce qu'il fallait faire pour le recevoir le plus dignement possible.
Jésus-Christ lui répondit qu'il fallait avoir autant d'amour que tous les saints ensemble,
et que son seul désir serait récompensé.
Que faut-il conclure de cela, mes frères?...Rien d’autre, sinon que tout notre bonheur
consiste à mener une vie digne de recevoir souvent Jésus-Christ, puisque c'est par là que
nous pouvons espérer le ciel que je vous souhaite...
Extrait du site http://livres-mystiques.com
Invité- Invité
bienfaits de l'adoration eucharistique
Je rends grâce à Dieu, je remercie Jésus, car j'ai reçu des grâces de paix suite à l'adoration eucharistique de ce jeudi soir. Jésus est venu à mon secours. Je subis depuis quelques temps des attaques de l'ennemi ; les prières, et les psaumes me font beaucoup de bien. En arrivant ce jeudi soir, je souffrais beaucoup intérieurement. J'ai tout confié à Jésus dans ce temps d'adoration eucharistique. Pendant ce temps et pendant tout le voyage de retour à la maison, progressivement j'ai ressenti de la paix et de la joie de la part du Seigneur et le sentiment de frayeur s'est dissipé.
Jésus est venu à mon secours. Je rends grâce à DIEU ! Merci Jésus pour ton amour et pour ta paix !
C'est un vrai temps de grâce ! Si les gens savaient à quel point Jésus les aime, ils viendraient en courant l'adorer dans l'eucharistie !
Jésus est venu à mon secours. Je rends grâce à DIEU ! Merci Jésus pour ton amour et pour ta paix !
C'est un vrai temps de grâce ! Si les gens savaient à quel point Jésus les aime, ils viendraient en courant l'adorer dans l'eucharistie !
Grenouillette- Aime la Bible
- Messages : 10
Inscription : 01/03/2014
Re: Grâces Eucharistiques
merci grenouillette de nous partager cette belle grâce, je rends grâce à Dieu avec vous !
le seigneur est si proche de nous dans le saint sacrements, que si l'on prends la peine de le visiter lors des adorations collectives ou même simplement dans le tabernacle. On reçoit beaucoup de ces belles grâces d'amour et de paix !
oui grenouillette, et si les gens savait combien le seigneur les attends, combien il réclame qu'on lui confie (comme vous l'avez fait) chacun de nos petits soucis pour qu'il s'en charge. combien chaque église est une merveille parce qu'elle renferme la présence de notre Seigneur si bon, dans le tabernacle qui attends jour et nuit chaque âme qui le cherche ou a besoin de lui...
alors peu etre que les églises serait remplies même en dehors des offices ... et il y aurait moins de désespoir sur notre pauvre terre...
mais voilà il y a beaucoup de personne et même de catholique qui ne croit plus à la présence réelle de Jésus dans l'hostie !
le seigneur est si proche de nous dans le saint sacrements, que si l'on prends la peine de le visiter lors des adorations collectives ou même simplement dans le tabernacle. On reçoit beaucoup de ces belles grâces d'amour et de paix !
grenouillette a écrit:
Si les gens savaient à quel point Jésus les aime, ils viendraient en courant l'adorer dans l'eucharistie !
oui grenouillette, et si les gens savait combien le seigneur les attends, combien il réclame qu'on lui confie (comme vous l'avez fait) chacun de nos petits soucis pour qu'il s'en charge. combien chaque église est une merveille parce qu'elle renferme la présence de notre Seigneur si bon, dans le tabernacle qui attends jour et nuit chaque âme qui le cherche ou a besoin de lui...
alors peu etre que les églises serait remplies même en dehors des offices ... et il y aurait moins de désespoir sur notre pauvre terre...
mais voilà il y a beaucoup de personne et même de catholique qui ne croit plus à la présence réelle de Jésus dans l'hostie !
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
« Loué et remercié soit à chaque instant le Très Saint et Divin Sacrement ! ».
C’est avec cette prière de louange que je souhaite bénir notre Seigneur Jésus, vraiment présent dans le sacrement de son Amour. L’Eucharistie est notre vrai trésor sur terre. Rien n’est plus beau, rien n’est plus grand, rien n’est plus admirable que cette présence du Ressuscité, qui sans quitter le ciel, vient dresser sa tente parmi nous, pour nous enrichir de sa grâce et nous revêtir de sa gloire. Combien de paroisses, en se prosternant devant le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs, ont non seulement expérimenté son amour qui donne sens à notre existence, mais plus encore ont fait descendre sur l’Église et le monde quelques rayons de la lumière du Christ ressuscité.
Le Saint-Père Benoît XVI, dans une catéchèse sur sainte Julienne de Cornillon a affirmé sa joie de constater « dans l'Eglise un « printemps eucharistique » : combien de personnes demeurent en silence devant le Tabernacle, pour s'entretenir dans une conversation d'amour avec Jésus ! Il est réconfortant de savoir que beaucoup de groupes de jeunes ont redécouvert la beauté de prier en adoration devant le Très-Saint-Sacrement (…). Je prie afin que ce « printemps » eucharistique se répande toujours davantage dans toutes les paroisses » (Audience générale de Benoit XVI sur sainte Julienne de Cornillon, 17 novembre 2010).
D’une part, un nombre grandissant de paroisses enracine la vie pastorale dans l’Eucharistie célébrée, puis continuellement adorée. L’adoration devient ainsi une source inépuisable de sainteté pour les fidèles. D’autre part, comme le rappelait le bienheureux Jean-Paul II, « malheureusement, à côté de ces lumières, les ombres ne manquent pas. Il y a en effet des lieux où l'on note un abandon presque complet du culte de l'adoration eucharistique. À cela s'ajoutent, dans tel ou tel contexte ecclésial, des abus qui contribuent à obscurcir la foi droite et la doctrine catholique concernant cet admirable Sacrement. Parfois se fait jour une compréhension très réductrice du Mystère eucharistique. Privé de sa valeur sacrificielle, il est vécu comme s'il n'allait pas au-delà du sens et de la valeur d'une rencontre conviviale et fraternelle »(Jean Paul II, Lettre encyclique, ‘Ecclesia de Eucharistia’, n. 10, 2003).
Si l’adoration du Saint-Sacrement est tombée en désuétude pendant quelques décennies, c’est en partie parce que celle-ci était considérée, principalement, comme intimiste, personnelle, privée. Aujourd’hui, grâce à la contribution pastorale de Jean-Paul II et l’apport théologique de Benoît XVI, l’Eglise ne cesse de rappeler que l’adoration n’est ni une piété personnelle ni une dévotion privée, mais une prière qui élargit le cœur aux dimensions du monde. En touchant le Cœur du Christ, Dieu touche tous les cœurs des hommes. En adorant la sainte Eucharistie, « nous entrons dans ce mouvement de l’amour d’où découlent tout progrès intérieur et toute fécondité apostolique » (Jean-Paul II, Homélie à Montmartre, 1 juin 1980).
Développons quelques unes des grâces perceptibles qui découlent de cette prière contemplative. Toutefois, n’oublions pas que nous « cheminons dans la foi et non dans la vision claire » (2 Co 5, 7). Ainsi les grâces visibles découlant de l’Eucharistie sont comme la pointe de l’iceberg en comparaison des bienfaits spirituels invisibles que le Seigneur prodigue à son Église et au monde. Puisque l’Eucharistie est le mémorial de la Passion du Christ, les fruits de l’Eucharistie découlent directement de la Croix : tout en bouleversant le monde de l’intérieur, le monde visible n’a pas radicalement changé, car nous attendons « un ciel nouveau et une terre nouvelle » (Ap 21, 1).
Mais avant de parler des fruits découlant de l’adoration, rappelons l’essentiel : Le Seigneur est digne d’être adoré pour lui-même, car il est notre Créateur, notre Rédempteur, notre Sanctificateur. Paul VI écrivait : « C’est pour nous un devoir très doux d’honorer et d’adorer dans la sainte hostie, que nos yeux voient, le Verbe incarné qu’ils ne peuvent pas voir et qui, sans quitter le ciel, s’est rendu présent devant nous »(Paul VI, lettre apostolique, ‘Profession de Foi Catholique’, 1968). Adorer Dieu est donc un « doux devoir ». D’abord un « devoir », car c’est le premier commandement : « Tu adoreras ton Dieu, de tout ton cœur, de tout ton esprit, de toute ton âme, voilà le premier commandement » (Mt 22, 36). Toutefois, ce devoir est « doux », car les bienfaits pour l’âme et pour le monde sont innombrables : « Quiconque aborde le vénérable Sacrement avec une dévotion particulière et tâche d’aimer d’un cœur généreux le Christ qui nous aime infiniment, éprouve et comprend à fond, non sans joie intime ni sans fruit, le prix de la vie cachée avec le Christ en Dieu ; il sait d’expérience combien cela vaut la peine de s’entretenir avec le Christ ; rien de plus doux sur terre, rien de plus apte pour avancer dans les voies de la sainteté...» (Paul VI, Lettre encyclique, ‘Mysterium Fidei’, 1965).
Même si l’adoration du Saint-Sacrement représentait une démarche pénible, ou même si aucun fruit concret n’en découlait, le Seigneur serait tout de même digne d’être adoré pour lui-même. Ce qui doit motiver notre démarche d’adoration n’est pas d’abord les bienfaits spirituels que nous allons recevoir. Adorer est un acte de justice où l’on reconnaît que Dieu est l’être premier qui donne la vie. Il est l’Alpha et l’Omega. Tout provient de lui, tout subsiste en lui et tout doit retourner à lui. Avant d’envoyer ses disciples en mission, le Christ ressuscité « leur montra ses mains et ses pieds » (Lc 24, 40) avec ses plaies glorieuses, sources de grâce pour l’humanité. Car « ce sont nos souffrances qu’il a portées, ce sont nos douleurs qu’il a supportées et dans ses blessures, nous trouvons la guérison » (Is 53 4-5). Des plaies glorieuses du Christ découlent des fruits spirituels pour l’adorateur, pour l’église et pour le monde. Cet exposé tentera de présenter quelques-unes de ces grâces reçues lorsqu’une communauté paroissiale se mobilise pour adorer le Saint-Sacrement. Les témoignages des curés illustreront cette présentation. Les trois parties aborderont les principaux fruits constatés, d’abord dans la vie des adorateurs, ensuite dans la communauté paroissiale, enfin dans l’Église et le monde. Tous ces fruits découlent du Sacrifice de Jésus sur la Croix, rendu présent dans l’Eucharistie. Ces fruits sont tous profondément liés : en renouvelant le cœur des fidèles, le Seigneur édifie la communauté. Par là, il donne à l’Église des vocations et au monde des apôtres. Chaque vie changée renouvelle l’Église et transforme le monde...
Invité- Invité
Re: Grâces Eucharistiques
Bonjour je fais les oraisons de Saint Brigitte,c'est mon prètre qui m'a offert le livret de prières,beaucoup de Gràce sont promises mais ce que j'ai retenu c'est que depuis que je les fais,un an maintenant celà m'a beaucoup apporté,je me sens plus proche toujours du Seigneur,et ce sont de beaux oraisons.myrdhin a écrit:Merci BETTY pour vos prières.
Pouvez-vous me dire où je peux trouver les
oraisons et les 7 Paters de Saint Brigitte.
Vous m' affollez, en ajoutant qu'il faut les faire pendant
12 ans . Vivrai-je encore dans 12 ans ?. Bien oui, j' aurai
89 ans. Je serai peut-être gaga et j'oublierai de prier.
De mon côté je prierai pour votre papa. A deux nous
serons plus fortes.
carolemystique- Avec l'Archange Saint Michel
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