Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
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Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Mis à jour le 22/4/13 - 22 H 20
Dès 2023, une poignée d'astronautes coloniseront la planète Mars, espère un ingénieur néerlandais.| Mars One
Appel à volontaires assez fous pour prendre un aller simple pour Mars
Vous rêvez d'aller sur Mars ? Vous pouvez envoyer depuis mardi votre dossier à un site, Mars One, qui se vante de réaliser votre rêve. «La conquête de Mars est l'étape la plus importante de l'histoire de l'humanité», assure le fondateur de l'entreprise, le néerlandais Bas Lansdorp, un ingénieur en mécanique de 35 ans.
Le coût du projet ? 4,78 milliards d'euros, soit plus de deux fois celui de la mission du robot américain Curiosity qui a atterri sur Mars le 5 août pour déterminer si l'environnement martien a été propice à la vie microbienne dans le passé.
Départ en ... 2023. Mars One dit avoir déjà reçu un millier de candidatures, qu'il faudra d'abord départager. L'entreprise choisira alors quatre futurs astronautes, qui seront entraînés, embarqueront dans une navette en 2023 pour un trajet de sept mois vers la planète rouge. L'opération sera renouvelée tous les deux ans jusqu'à atteindre environ vingt terriens en 2033.
Pas de retour. Seuls les plus motivés seront sélectionnés car, précision non négligeable, le billet est un aller-simple ! Les 20 élus devront donc laisser derrière eux leur vie terrienne pour passer le restant de leurs jours sur une planète hostile, où la température est de 55 degrés en dessous de zéro en moyenne et l'atmosphère composée à 95% de dioxyde de carbone. Leur oxygène sera alors produit à partir de l'eau présente sous forme de glace dans le sous-sol. Une fois leur colonie installée, ils mèneront des recherches scientifiques, notamment sur d'éventuelles traces de vie.
La télé-réalité s'en mêle. Bas Lansdorp explique avoir eu l'idée du financement du projet en discutant avec le Néerlandais Paul Römer, un des créateurs de l'émission de télé-réalité Big Brother, diffusée pour la première fois en 1999 aux Pays-Bas. D'ailleurs, l'ingénieur souhaite que la sélection des astronautes, leur vie quotidienne sur Mars et leur voyage de sept mois fasse l'objet d'émissions de télévision. Aux manettes : Bas Lansdorp et son équipe, un physicien, un graphiste industriel et une spécialiste en communication d'entreprise, qui garderont la main sur la «coordination générale» du projet et qui ne confiront que la réalisation technique à des sociétés privées spécialisées.
Un projet soutenu par de grands scientifiques. Parmi les grands soutiens de Bas Landsdorp : le président de la Société spatiale néerlandaise Gerard Blaauw qui salue «l'idée visionnaire que celle de combiner les médias et l'aérospatial». Prix Nobel de physique 1999, le Néerlandais Gerard 't Hoofd, souligne aussi que « de tout temps il y a eu des aventuriers pour se lancer dans des voyages vers l'inconnu, pensez aux vikings qui sont allés en Amérique, à Christophe Colomb».
Des chances du survivre sur place ? «Je pense qu'il y a de nombreuses questions qu'ils n'ont pas examinées assez en profondeur», tempère Chris Welch, professeur d'ingénierie spatiale à l'Université internationale pour l'espace (ISU), basée à Strasbourg (nord-est de la France), qui doute que 6 milliards de dollars puissent être rassemblés «grâce à la télé». «Faire atterrir une personne à la surface de Mars... pourquoi pas. Mais faire atterrir quatre personnes et les garder en vie sur place, c'est beaucoup plus difficile», estime-t-il par ailleurs, ajoutant que la production d'oxygène à partir de glace est «en théorie possible» mais extrêmement incertaine. Autre élément à prendre en compte : les éruptions solaires, qui projettent dans l'espace de la matière ionisée pouvant «griller» les astronautes et endommager sérieusement leur vaisseau, met en garde Jorge Vago, expert d'un programme d'exploration de Mars de l'Agence spatiale européenne (ESA).
Dès 2023, une poignée d'astronautes coloniseront la planète Mars, espère un ingénieur néerlandais.| Mars One
Appel à volontaires assez fous pour prendre un aller simple pour Mars
Vous rêvez d'aller sur Mars ? Vous pouvez envoyer depuis mardi votre dossier à un site, Mars One, qui se vante de réaliser votre rêve. «La conquête de Mars est l'étape la plus importante de l'histoire de l'humanité», assure le fondateur de l'entreprise, le néerlandais Bas Lansdorp, un ingénieur en mécanique de 35 ans.
Le coût du projet ? 4,78 milliards d'euros, soit plus de deux fois celui de la mission du robot américain Curiosity qui a atterri sur Mars le 5 août pour déterminer si l'environnement martien a été propice à la vie microbienne dans le passé.
Départ en ... 2023. Mars One dit avoir déjà reçu un millier de candidatures, qu'il faudra d'abord départager. L'entreprise choisira alors quatre futurs astronautes, qui seront entraînés, embarqueront dans une navette en 2023 pour un trajet de sept mois vers la planète rouge. L'opération sera renouvelée tous les deux ans jusqu'à atteindre environ vingt terriens en 2033.
Pas de retour. Seuls les plus motivés seront sélectionnés car, précision non négligeable, le billet est un aller-simple ! Les 20 élus devront donc laisser derrière eux leur vie terrienne pour passer le restant de leurs jours sur une planète hostile, où la température est de 55 degrés en dessous de zéro en moyenne et l'atmosphère composée à 95% de dioxyde de carbone. Leur oxygène sera alors produit à partir de l'eau présente sous forme de glace dans le sous-sol. Une fois leur colonie installée, ils mèneront des recherches scientifiques, notamment sur d'éventuelles traces de vie.
La télé-réalité s'en mêle. Bas Lansdorp explique avoir eu l'idée du financement du projet en discutant avec le Néerlandais Paul Römer, un des créateurs de l'émission de télé-réalité Big Brother, diffusée pour la première fois en 1999 aux Pays-Bas. D'ailleurs, l'ingénieur souhaite que la sélection des astronautes, leur vie quotidienne sur Mars et leur voyage de sept mois fasse l'objet d'émissions de télévision. Aux manettes : Bas Lansdorp et son équipe, un physicien, un graphiste industriel et une spécialiste en communication d'entreprise, qui garderont la main sur la «coordination générale» du projet et qui ne confiront que la réalisation technique à des sociétés privées spécialisées.
Un projet soutenu par de grands scientifiques. Parmi les grands soutiens de Bas Landsdorp : le président de la Société spatiale néerlandaise Gerard Blaauw qui salue «l'idée visionnaire que celle de combiner les médias et l'aérospatial». Prix Nobel de physique 1999, le Néerlandais Gerard 't Hoofd, souligne aussi que « de tout temps il y a eu des aventuriers pour se lancer dans des voyages vers l'inconnu, pensez aux vikings qui sont allés en Amérique, à Christophe Colomb».
Des chances du survivre sur place ? «Je pense qu'il y a de nombreuses questions qu'ils n'ont pas examinées assez en profondeur», tempère Chris Welch, professeur d'ingénierie spatiale à l'Université internationale pour l'espace (ISU), basée à Strasbourg (nord-est de la France), qui doute que 6 milliards de dollars puissent être rassemblés «grâce à la télé». «Faire atterrir une personne à la surface de Mars... pourquoi pas. Mais faire atterrir quatre personnes et les garder en vie sur place, c'est beaucoup plus difficile», estime-t-il par ailleurs, ajoutant que la production d'oxygène à partir de glace est «en théorie possible» mais extrêmement incertaine. Autre élément à prendre en compte : les éruptions solaires, qui projettent dans l'espace de la matière ionisée pouvant «griller» les astronautes et endommager sérieusement leur vaisseau, met en garde Jorge Vago, expert d'un programme d'exploration de Mars de l'Agence spatiale européenne (ESA).
Dernière édition par Gilles le Ven 31 Jan 2014 - 19:27, édité 2 fois
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Quelqu'un aimerait-il faire ce voyage ?
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
- Axe Apollo : campagne lancée par Axe en janvier 2013
Cette campagne internationale, numérique et… spatiale va permettre à 22 consommateurs de partir dans l’espace. Les premiers sélectionnés à l’Axe Apollo Space Academy se rendront dans un des camps d’entraînement d’Axe Apollo. Selon leurs aptitudes physiques et leur capacité à travailler en équipe, seuls 22 d’entre eux pourront effectuer le voyage spatial. Pour renforcer le buzz marketing de la campagne, l’équipe d’Axe a fait participer Buzz Aldrin, deuxième homme à avoir marché sur la Lune, en lui faisant prononcer un discours se terminant par « partez en homme, revenez en héros ».
- Space KLM : campagne lancée par KLM en avril 2013
Même si la primeur revient à Axe, la campagne Space KLM ne démérite pas au plan de la créativité : le 22 avril, KLM a lancé un immense ballon muni d’une caméra et d’un GPS. À l’intérieur du ballon, un billet pour l’espace. La personne capable de deviner la hauteur à laquelle le ballon va exploser ainsi que l’endroit où la capsule atterrira sera désignée grand vainqueur.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
(Réponse à Gilles)
Merci,mais je ne crois pas que cette mission d'envoyer des hommes sur Mars soit possible actuellement.
Les experts disent que cela coûterait 100 fois plus cher qu'un retour sur la Lune et,depuis les années 60,les américains n'ont jamais voulu y retourner!
De plus,bien des anomalies dont nous avons parlé mettent un grand doute sur le voyage sur la Lune dans les années 60.(contexte de la guerre froide où il fallait montrer qu'on est le plus fort...)
Si je suis un peu crédule s'il s'agit des apparitions,je suis au contraire sceptique pour ces voyages humains.Je pense que l'avenir pour l'exploration est aux robots de plus en plus performants.
A bientôt!
Merci,mais je ne crois pas que cette mission d'envoyer des hommes sur Mars soit possible actuellement.
Les experts disent que cela coûterait 100 fois plus cher qu'un retour sur la Lune et,depuis les années 60,les américains n'ont jamais voulu y retourner!
De plus,bien des anomalies dont nous avons parlé mettent un grand doute sur le voyage sur la Lune dans les années 60.(contexte de la guerre froide où il fallait montrer qu'on est le plus fort...)
Si je suis un peu crédule s'il s'agit des apparitions,je suis au contraire sceptique pour ces voyages humains.Je pense que l'avenir pour l'exploration est aux robots de plus en plus performants.
A bientôt!
pax et bonum- Avec les anges
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Mais si l'homme n'y met pas les pieds,la technique réserve encore d'heureuses et surprenantes surprises!
Actuellement il faut 40 minutes pour télécommander un robot sur Mars depuis la terre:20 minutes pour le signal aller et 20 minutes pour la réponse.
C'est pourquoi les modules prennent leur temps!...
Mais on est en train d'étudier le phénomène de la téléportation des particules et il a été expérimenté avec succès sur la terre.
Le principe est que deux particules issues d'une collision sont absolument identiques et réagissent pareillement à toute stimulation.Ce que l'on fait à l'une se reproduit (peut-être à l'inverse) sur l'autre,même si elles sont très éloignées.
Avec cette propriété de la mécanique quantique,on pourra donc séparer les particules jumelles:une sur terre,l'autre sur Mars et tout stimuli de l'une sera reçu par l'autre.
Par conséquent,la communication ne se fera plus en 40 minutes mais en temps réel comme si nous y étions en direct!
A bientôt.
Actuellement il faut 40 minutes pour télécommander un robot sur Mars depuis la terre:20 minutes pour le signal aller et 20 minutes pour la réponse.
C'est pourquoi les modules prennent leur temps!...
Mais on est en train d'étudier le phénomène de la téléportation des particules et il a été expérimenté avec succès sur la terre.
Le principe est que deux particules issues d'une collision sont absolument identiques et réagissent pareillement à toute stimulation.Ce que l'on fait à l'une se reproduit (peut-être à l'inverse) sur l'autre,même si elles sont très éloignées.
Avec cette propriété de la mécanique quantique,on pourra donc séparer les particules jumelles:une sur terre,l'autre sur Mars et tout stimuli de l'une sera reçu par l'autre.
Par conséquent,la communication ne se fera plus en 40 minutes mais en temps réel comme si nous y étions en direct!
A bientôt.
pax et bonum- Avec les anges
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Le public américain paraît aussi très favorable à l'envoi d'astronautes sur Mars, …
La conquête de Mars longtemps un rêve, jugée désormais possible
Les experts à la Nasa comme dans le secteur privé s'accordent désormais à penser qu'une mission habitée vers Mars est du domaine du possible dans les 20 prochaines années même si les défis sont immenses.
Une conférence de trois jours visant à examiner la faisabilité et l'utilité d'un tel périple, co-organisée par l'Université George Washington, réunit à partir de lundi dans la capitale fédérale certains des plus grands spécialistes du sujet comme Buzz Aldrin, deuxième homme à avoir marché sur la Lune, ainsi que plusieurs hauts responsables de la Nasa y compris son directeur Charles Bolden.
Le regain d'intérêt pour la planète rouge a suscité ces derniers mois plusieurs projets d'aventuriers plus ou moins sérieux dont l'un propose même un aller simple pour réduire les coûts.
Le public américain paraît aussi très favorable à l'envoi d'astronautes sur Mars, selon un récent sondage du groupe à but non lucratif Explore Mars et le géant aérospatial Boeing.
Cette enquête auprès de 1.101 personnes montre que 75% seraient favorable à doubler l'enveloppe annuelle de la Nasa, actuellement de 17 milliards de dollars, pour financer une telle mission.
L'agence spatiale ne reçoit que 0,5% du budget fédéral comparé à 4% lors du projet Apollo de conquête de la Lune dans les années 1960.
Le patron de la Nasa, Charles Bolden, a récemment répété qu"'une mission habitée vers Mars est une priorité de la Nasa".
Le plus grand obstacle à un tel projet est la crise budgétaire des Etats-Unis, estime Scott Hubbard, professeur à l'Université Stanford en Californie et ancien responsable du programme d'exploration de Mars à la Nasa.
"Si on lançait ce projet aujourd'hui, il serait possible de poser des hommes sur Mars dans 20 ans", estime-t-il dans un entretien avec l'AFP.
"Aller sur Mars ne nécessite pas des miracles mais de l'argent et un programme pour répondre aux défis technologiques et d'ingénierie", souligne l'expert sans donner d'estimation de coût que certains chiffrent à plusieurs centaines de milliards de dollars.
Poser sur Mars une masse de 30 à 40 tonnes nécessaires pour une telle mission sera l'un des plus grands défis techniques, juge Scott Hubbard, soulignant la grande difficulté bien connue d'entrer dans l'atmosphère martienne.
Il rappelle la descente angoissante de sept minutes du robot Curiosity sur Mars en août dernier qui ne pèse pourtant qu'une tonne et est l'engin le plus lourd à s'être posé sur une autre planète.
Il faudra de ce fait des missions robotiques préalables pour démontrer que le système fonctionne.
Quant au transport, la Nasa continue à developper un lanceur lourd (SLS) et la capsule Orion en vue de mission d'exploration spatiale habitée lointaine.
Toutefois, Scott Hubbard estime qu'un moteur nucléaire, encore à développer, serait préférable en assurant une poussée constante qui réduirait de moitié la durée du périple de six à neuf mois.
La distance Terre-Mars varie de 56 à 400 millions de kilomètres selon la position des deux planètes.
Outre les obstacles technologiques, les effets néfastes sur l'organisme humain de long séjours spatiaux ne sont pas encore bien compris, dont surtout les radiations cosmiques.
"Les radiations dans l'espace avec le risque accru de cancer est un danger certain pour l'équipage que nous devons mieux comprendre", explique à l'AFP Stephen Davison, responsable à la Nasa du programme de biologie de l'espace au Centre spatial Johnson à Houston où se situe le centre d'entraînement des astronautes.
Outre ces radiations les effets de la microgravité sur la pression intra-crânienne sont apparemment responsables de problèmes de vision plus ou moins sévères observés chez des astronautes dans la Station spatiale internationale (ISS), dit-il.
La perte de masse osseuse et musculaire en apesanteur est en revanche bien contenue avec de l'exercice.
Enfin le troisième grand problème est d'ordre psychologique pour des astronautes isolés passant de longues périodes confinées dans des espaces réduits, poursuit Stephen Davison.
Selon lui "il faut étudier les effets biologiques et psychologiques des voyages spatiaux pendant encore au moins dix ans" dans l'ISS avant d'entreprendre une mission vers Mars.
Par Jean-Louis SANTINI | Agence France-Presse – il y a 15 heures
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Bonjour.
La question n'est pas seulement le poids:40 tonnes au lieu d'une,mais le fait que les êtres vivants aient besoin d'air,d'eau et de nourriture avec l'assurance d'un retour,ce qui suppose des fusées aussi puissantes que celles qu'il a fallu pour le décollage...
Autre condition,franchir une ceinture de radiations mortelles à 800km...
Le problème des accélérations n'est pas le même que pour les robots et l'homme ne peut subir qu'une accélération restreinte.
Le facteur psychologique,etc...
On peut toujours rêver d'une mission humaine mais de là à la pratique!....
A+
La question n'est pas seulement le poids:40 tonnes au lieu d'une,mais le fait que les êtres vivants aient besoin d'air,d'eau et de nourriture avec l'assurance d'un retour,ce qui suppose des fusées aussi puissantes que celles qu'il a fallu pour le décollage...
Autre condition,franchir une ceinture de radiations mortelles à 800km...
Le problème des accélérations n'est pas le même que pour les robots et l'homme ne peut subir qu'une accélération restreinte.
Le facteur psychologique,etc...
On peut toujours rêver d'une mission humaine mais de là à la pratique!....
A+
pax et bonum- Avec les anges
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Mis à jour le: 10 mai 2013 08:06
Canadiens inscrits pour un aller simple sur Mars
MONTRÉAL - Andrew Rader a toujours voulu être un astronaute, et il est prêt à tout pour aller dans l'espace — voire même passer le restant de ses jours sur Mars.
L'homme originaire d'Ottawa fait partie d'un groupe d'au moins 35 Canadiens s'étant inscrits pour une mission sur la planète rouge en 2023.
Le projet Mars One, imaginé par l'entrepreneur néerlandais Bas Landorp, envisage d'envoyer quelques volontaires sur un aller simple, sans possibilité de rentrer sur Terre. Ce projet évalué à 6 milliards $ utiliserait des technologies existantes et serait financé par des commanditaires et des investisseurs privés.
Deux semaines après l'ouverture des banques de candidatures, environ 80 000 personnes provenant de 120 pays avaient déjà répondu, dans l'espoir de devenir l'un des quatre premiers pionniers martiens.
Les candidats canadiens ont entre 18 et 47 ans, et sont majoritairement dans la vingtaine, en plus d'être pratiquement tous des hommes. En date de jeudi, quatre femmes avaient cependant soumis leur nom pour la grande aventure.
Selon le groupe Mars One, l'expédition débuterait par l'envoi de modules assemblables par des robots. Par la suite, les premiers arrivants poseraient le pied sur la planète après un voyage de sept mois.
Sur son site web, l'organisation précise que des colons supplémentaires arriveraient sur place tous les deux ans. Au début, la base serait limitée au strict minimum, y compris de la nourriture, de l'oxygène et de l'eau, mais, éventuellement, d'autres composantes seraient expédiées, comme des panneaux solaires.
Au dire de Mars One, le financement pourrait provenir d'un «événement médiatique mondial» non encore spécifié.
Pour l'expert en exploration spatiale Gordon Shepherd, prévoir un projet d'une telle ampleur en 10 ans seulement est impensable; il envisage plutôt un échéancier de 25 ans.
Aux yeux de Raye Kass, professeure en sciences humaines à l'Université Concordia et consultante pour Mars One, il est possible d'envoyer des humains sur Mars, mais le plus grand défi est celui qui les attendra une fois là-bas.
«Je ne sais pas s'ils peuvent surmonter la possibilité qu'ils puissent ne jamais revoir leurs familles, dit-elle. Je crois que c'est pourquoi l'existence d'un but à atteindre, une raison pour laquelle ils accomplissent cela, commence à être extrêmement important.»
Par Peter Rakobowchuk
Canadiens inscrits pour un aller simple sur Mars
MONTRÉAL - Andrew Rader a toujours voulu être un astronaute, et il est prêt à tout pour aller dans l'espace — voire même passer le restant de ses jours sur Mars.
L'homme originaire d'Ottawa fait partie d'un groupe d'au moins 35 Canadiens s'étant inscrits pour une mission sur la planète rouge en 2023.
Le projet Mars One, imaginé par l'entrepreneur néerlandais Bas Landorp, envisage d'envoyer quelques volontaires sur un aller simple, sans possibilité de rentrer sur Terre. Ce projet évalué à 6 milliards $ utiliserait des technologies existantes et serait financé par des commanditaires et des investisseurs privés.
Deux semaines après l'ouverture des banques de candidatures, environ 80 000 personnes provenant de 120 pays avaient déjà répondu, dans l'espoir de devenir l'un des quatre premiers pionniers martiens.
Les candidats canadiens ont entre 18 et 47 ans, et sont majoritairement dans la vingtaine, en plus d'être pratiquement tous des hommes. En date de jeudi, quatre femmes avaient cependant soumis leur nom pour la grande aventure.
Selon le groupe Mars One, l'expédition débuterait par l'envoi de modules assemblables par des robots. Par la suite, les premiers arrivants poseraient le pied sur la planète après un voyage de sept mois.
Sur son site web, l'organisation précise que des colons supplémentaires arriveraient sur place tous les deux ans. Au début, la base serait limitée au strict minimum, y compris de la nourriture, de l'oxygène et de l'eau, mais, éventuellement, d'autres composantes seraient expédiées, comme des panneaux solaires.
Au dire de Mars One, le financement pourrait provenir d'un «événement médiatique mondial» non encore spécifié.
Pour l'expert en exploration spatiale Gordon Shepherd, prévoir un projet d'une telle ampleur en 10 ans seulement est impensable; il envisage plutôt un échéancier de 25 ans.
Aux yeux de Raye Kass, professeure en sciences humaines à l'Université Concordia et consultante pour Mars One, il est possible d'envoyer des humains sur Mars, mais le plus grand défi est celui qui les attendra une fois là-bas.
«Je ne sais pas s'ils peuvent surmonter la possibilité qu'ils puissent ne jamais revoir leurs familles, dit-elle. Je crois que c'est pourquoi l'existence d'un but à atteindre, une raison pour laquelle ils accomplissent cela, commence à être extrêmement important.»
Par Peter Rakobowchuk
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
14/05/2013
78 000 demandes d'immigration sur Mars !
Une ONG néerlandaise est en passe de réaliser son rêve : coloniser Mars. Nul besoin d'attendre des siècles pour cela, l'ONG a déjà reçu 78 000 demandes pour ce voyage, pour ne pas dire installation définitive, sur Mars.
Le projet a été lancé par un ingénieur néerlandais. Il s'agit d'une mission spatiale habitée vers Mars, un projet qui avait déjà été envisagé, mais régulièrement repoussé par les agences spatiales, et qui est réalisable aujourd'hui, à un coût relativement modeste, en utilisant des techniques existantes et des composants déjà développés. Une des particularités du projet est qu'il sera financé grâce à l'exploitation médiatique de l'expédition, sur le modèle de la téléréalité.
Selon le programme, en 2013, 40 candidats à l'exode commenceront un entraînement quelque part dans le désert. En octobre 2016, le premier module, sans occupant, atterrira sur Mars. En 2018, un rover se rendra sur les lieux et explorera le site. Début 2023, les quatre premiers humains quitteront définitivement la Terre pour se poser sur Mars. Ils commenceront à explorer leur planète d'accueil, mais passeront aussi beaucoup de temps à agrandir leur domaine et à peaufiner leur installation.
Les premières plantes pousseront en serres… Le deuxième groupe les rejoindra en 2025. Outre l'exploration de la planète, le projet Mars One voudrait qu'une des occupations des colons soit la fabrication de carburant et d'une fusée de retour vers la Terre…
78 000 demandes d'immigration sur Mars !
Une ONG néerlandaise est en passe de réaliser son rêve : coloniser Mars. Nul besoin d'attendre des siècles pour cela, l'ONG a déjà reçu 78 000 demandes pour ce voyage, pour ne pas dire installation définitive, sur Mars.
Le projet a été lancé par un ingénieur néerlandais. Il s'agit d'une mission spatiale habitée vers Mars, un projet qui avait déjà été envisagé, mais régulièrement repoussé par les agences spatiales, et qui est réalisable aujourd'hui, à un coût relativement modeste, en utilisant des techniques existantes et des composants déjà développés. Une des particularités du projet est qu'il sera financé grâce à l'exploitation médiatique de l'expédition, sur le modèle de la téléréalité.
Selon le programme, en 2013, 40 candidats à l'exode commenceront un entraînement quelque part dans le désert. En octobre 2016, le premier module, sans occupant, atterrira sur Mars. En 2018, un rover se rendra sur les lieux et explorera le site. Début 2023, les quatre premiers humains quitteront définitivement la Terre pour se poser sur Mars. Ils commenceront à explorer leur planète d'accueil, mais passeront aussi beaucoup de temps à agrandir leur domaine et à peaufiner leur installation.
Les premières plantes pousseront en serres… Le deuxième groupe les rejoindra en 2025. Outre l'exploration de la planète, le projet Mars One voudrait qu'une des occupations des colons soit la fabrication de carburant et d'une fusée de retour vers la Terre…
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
17 juin 2013
La Nasa sélectionne huit nouveaux candidats astronautes dont quatre femmes
La Nasa vient de sélectionner huit nouveaux candidats astronautes, dont quatre femmes, qui seront formés pour des vols en orbite basse et pour de futures missions d'exploration vers un astéroïde et Mars, a annoncé lundi l'agence spatiale américaine.
Ces aspirants astronautes sont un mélange de scientifiques et de pilotes militaires d'une moyenne d'âge de 36 ans, les plus jeunes ayant 34 ans et le plus âgé 39 ans.
Ils rejoindront, une fois leur entraînement achevé, 49 autres astronautes américains membres de ce corps d'élite basé au Centre spatial Johnson à Houston au Texas (sud).
A plus court terme, ces futurs astronautes pourraient être retenus pour des vols vers la Station spatiale internationale (ISS) à bord d'un vaisseau russe Soyouz, afin d'effectuer de longs séjours dans l'avant-poste orbital.
Ces astronautes, qui doivent commencer leur entraînement cet été, pourraient également être parmi les premiers à être de nouveau envoyés dans l'espace à partir du sol américain depuis le dernier vol d'une navette spatiale en juillet 2011.
Le premier vol privé pour le compte de la Nasa vers l'ISS pourrait se produire vers 2016.
Les membres de la classe 2013 des astronautes de la Nasa ont été choisis parmi plus de 6.000 dossiers, soit le deuxième plus grand nombre de demandes jamais reçues par l'agence spatiale américaine.
"Ces nouveaux explorateurs de l'espace ont demandé à rejoindre la Nasa parce qu'ils savent que nous faisons de grandes choses ici, comme élaborer des missions pour aller encore plus loin dans l'espace", a déclaré le patron de la Nasa, Charles Bolden, lui-même ancien astronaute, commandant de bord d'une navette spatiale.
"Ils sont emballés par les expériences scientifiques que nous menons dans l'ISS et par notre ambition d'effectuer de nouveau des lancements habités depuis le sol américain à bord de vaisseaux spatiaux construits par des firmes américaines", a-t-il ajouté dans un communiqué.
Et "ils sont aussi prêts à effectuer la première mission habitée vers un astéroïde et ensuite vers Mars", a également souligné M. Bolden.
La Nasa évoquera cette nouvelle classe d'astronautes lors d'un forum de discussion en ligne à partir de 19H00 GMT.
La Nasa sélectionne huit nouveaux candidats astronautes dont quatre femmes
La Nasa vient de sélectionner huit nouveaux candidats astronautes, dont quatre femmes, qui seront formés pour des vols en orbite basse et pour de futures missions d'exploration vers un astéroïde et Mars, a annoncé lundi l'agence spatiale américaine.
Ces aspirants astronautes sont un mélange de scientifiques et de pilotes militaires d'une moyenne d'âge de 36 ans, les plus jeunes ayant 34 ans et le plus âgé 39 ans.
Ils rejoindront, une fois leur entraînement achevé, 49 autres astronautes américains membres de ce corps d'élite basé au Centre spatial Johnson à Houston au Texas (sud).
A plus court terme, ces futurs astronautes pourraient être retenus pour des vols vers la Station spatiale internationale (ISS) à bord d'un vaisseau russe Soyouz, afin d'effectuer de longs séjours dans l'avant-poste orbital.
Ces astronautes, qui doivent commencer leur entraînement cet été, pourraient également être parmi les premiers à être de nouveau envoyés dans l'espace à partir du sol américain depuis le dernier vol d'une navette spatiale en juillet 2011.
Le premier vol privé pour le compte de la Nasa vers l'ISS pourrait se produire vers 2016.
Les membres de la classe 2013 des astronautes de la Nasa ont été choisis parmi plus de 6.000 dossiers, soit le deuxième plus grand nombre de demandes jamais reçues par l'agence spatiale américaine.
"Ces nouveaux explorateurs de l'espace ont demandé à rejoindre la Nasa parce qu'ils savent que nous faisons de grandes choses ici, comme élaborer des missions pour aller encore plus loin dans l'espace", a déclaré le patron de la Nasa, Charles Bolden, lui-même ancien astronaute, commandant de bord d'une navette spatiale.
"Ils sont emballés par les expériences scientifiques que nous menons dans l'ISS et par notre ambition d'effectuer de nouveau des lancements habités depuis le sol américain à bord de vaisseaux spatiaux construits par des firmes américaines", a-t-il ajouté dans un communiqué.
Et "ils sont aussi prêts à effectuer la première mission habitée vers un astéroïde et ensuite vers Mars", a également souligné M. Bolden.
La Nasa évoquera cette nouvelle classe d'astronautes lors d'un forum de discussion en ligne à partir de 19H00 GMT.
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
publié le 02/06/2013
Entrainement d'astronautes dans le désert marocain
Aller sur Mars vaut-il un cancer ?
Aller sur Mars représente environ neuf mois de voyage (253 jours) pour parcourir 560 millions de kilomètres. C’est le trajet effectué par la mission Mars Science Laboratory (MSL) de la Nasa qui a permis de poser le rover Curiosity sur la planète rouge. Outre l’ennui mortel de ces longs mois passé dans une capsule exigüe, une telle équipée présente, pour les hommes, un danger bien connu: les radiations.
En effet, dans l’espace, un objet, humain ou pas, est bombardé en permanence par les particules et les rayonnements émis essentiellement par le soleil. Ces radiations sont particulièrement importantes lors des orages solaires. Pourtant personne, malgré les nombreuses missions inhabitées déjà réalisées, n’avait eu l’idée de mesurer la dose de radiation reçue lors d’un tel voyage.
Et cet oubli a bien failli se reproduire avec la mission MSL alors même que Curiosity est équipé d’un système d’enregistrement des radiations (Radiation Assessment Detector ou RAD). Ce n’est qu’un an avant le lancement, le 26 novembre 2011, que les ingénieurs se sont rendu compte que l’instrument, prévu pour fonctionner sur Mars, pouvait également être utilisé pendant le vol.
Le résultat a été publié dans la revue Science le 31 mai 2013 par Cary Zeitlin, principal signataire, et 16 collègues. Pas de chance, l’exposition aux doses de rayonnement cosmique enregistrées par le RAD de Curiosity «pourraient excéder la limite autorisée pour l’ensemble de la carrière de d’un astronaute», comme le reconnaît la Nasa. Tout en ajoutant: «avec les systèmes de propulsion actuels».
Les données recueillies par Curiosity montrent que le vaisseau a reçu une moyenne de 1,8 millisievert de rayonnement cosmique par jour. Au total, le voyage a représenté une dose totale de 660 millisieverts. Carl Zeitlin indique que cela représente la dose que recevrait un patient soumis à un examen par tomographie à rayons X tous les cinq à six jours. On considère en général que les cancers apparaissent à partir de 100 millisieverts, la dose maximale admise pour les liquidateurs de la centrale de Fukushima. Pour le grand public, elle est limitée à 1 millisievert par an au dessus du niveau de la radioactivité naturelle.
Ainsi, la lutte contre les radiations devient un composant déterminant pour les futures missions habitées vers Mars. Avec deux parades possibles: une meilleure protection des astronautes pendant le vol ou une réduction importante de la durée du voyage. Mais, pour l’instant, il n’existe pas de solutions, ni pour l’un, ni pour l’autre.
Entrainement d'astronautes dans le désert marocain
Aller sur Mars vaut-il un cancer ?
Aller sur Mars représente environ neuf mois de voyage (253 jours) pour parcourir 560 millions de kilomètres. C’est le trajet effectué par la mission Mars Science Laboratory (MSL) de la Nasa qui a permis de poser le rover Curiosity sur la planète rouge. Outre l’ennui mortel de ces longs mois passé dans une capsule exigüe, une telle équipée présente, pour les hommes, un danger bien connu: les radiations.
En effet, dans l’espace, un objet, humain ou pas, est bombardé en permanence par les particules et les rayonnements émis essentiellement par le soleil. Ces radiations sont particulièrement importantes lors des orages solaires. Pourtant personne, malgré les nombreuses missions inhabitées déjà réalisées, n’avait eu l’idée de mesurer la dose de radiation reçue lors d’un tel voyage.
Et cet oubli a bien failli se reproduire avec la mission MSL alors même que Curiosity est équipé d’un système d’enregistrement des radiations (Radiation Assessment Detector ou RAD). Ce n’est qu’un an avant le lancement, le 26 novembre 2011, que les ingénieurs se sont rendu compte que l’instrument, prévu pour fonctionner sur Mars, pouvait également être utilisé pendant le vol.
Le résultat a été publié dans la revue Science le 31 mai 2013 par Cary Zeitlin, principal signataire, et 16 collègues. Pas de chance, l’exposition aux doses de rayonnement cosmique enregistrées par le RAD de Curiosity «pourraient excéder la limite autorisée pour l’ensemble de la carrière de d’un astronaute», comme le reconnaît la Nasa. Tout en ajoutant: «avec les systèmes de propulsion actuels».
Les données recueillies par Curiosity montrent que le vaisseau a reçu une moyenne de 1,8 millisievert de rayonnement cosmique par jour. Au total, le voyage a représenté une dose totale de 660 millisieverts. Carl Zeitlin indique que cela représente la dose que recevrait un patient soumis à un examen par tomographie à rayons X tous les cinq à six jours. On considère en général que les cancers apparaissent à partir de 100 millisieverts, la dose maximale admise pour les liquidateurs de la centrale de Fukushima. Pour le grand public, elle est limitée à 1 millisievert par an au dessus du niveau de la radioactivité naturelle.
Ainsi, la lutte contre les radiations devient un composant déterminant pour les futures missions habitées vers Mars. Avec deux parades possibles: une meilleure protection des astronautes pendant le vol ou une réduction importante de la durée du voyage. Mais, pour l’instant, il n’existe pas de solutions, ni pour l’un, ni pour l’autre.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Par AFP | Agence France-Presse – il y a 15 heures
Réunion des volontaires pour un aller simple sur Mars
Des premiers et très enthousiastes volontaires prêts à signer pour un aller simple sur Mars, se sont réunis samedi à Washington pour assister à une présentation de leur future mission : aller coloniser dans quelques années la planète rouge.
Une quarantaine de personnes, venues de partout aux Etats-Unis et du Canada, ont écouté dans un auditorium de l'université George Washington les explications de Bas Lansdorp, co-fondateur et PDG de Mars-One, une société hollandaise à but non lucratif qui a lancé en avril dernier un appel à candidatures pour un aller simple vers Mars en 2022.
"Etablir une colonie permanente sur Mars signifie pas de retour. Cela a l'air spectaculaire mais il ne faut pas oublier que dans l'histoire de notre planète, des gens sont partis en exploration en quittant leurs familles. La prochaine étape la plus logique est Mars", a expliqué à l'AFP ce responsable.
Mars-One avait fait savoir en avril dernier que les quatre premiers volontaires devraient se poser sur Mars en 2023 après un voyage de sept mois. De nouveaux équipages seraient envoyés tous les deux ans, selon le PDG.
La première mission coûtera 6 milliards de dollars. "Nous ne sommes pas encore arrivés à collecter ce montant", a indiqué M. Lansdorp, refusant de préciser le montant déjà rassemblé. "Une première entreprise est sous contrat et a commencé à travailler sur le système de maintien en vie et les combinaisons", a-t-il toutefois assuré.
Tout en reconnaissant que l'environnement de Mars était très hostile --pas d'oxygène, pas de nourriture et température moyenne de -63 degrés-- il a assuré que celui dans lequel évolue la Station Spatiale Internationale "l'est encore plus".
"On sait déjà fabriquer de l'oxygène et recycler les choses. On fera ça sur Mars", a-t-il affirmé en reconnaissant qu'une fusée assez puissante pour lancer la mission n'existait pas encore.
Quelque 78.000 volontaires se sont déjà manifestés pour l'aventure, qui donnera matière à de futures étapes de sélections, et "ça continue", dit-il.
Parmi ceux réunis samedi à Washington, Christine Rambo, bibliothécaire de 38 ans du New Jersey, a assuré que Mars était "la prochaine grande étape de l'exploration, c'est comme Christophe Colomb découvrant l'Amérique". "C'est un exploit formidable, je veux en faire partie", a ajouté cette femme mariée et mère d'un enfant, affirmant que cela lui "fait peur, oui, mais le courage est de faire ce qui doit être fait".
Jesse Lemieux, originaire du Maine, diplômé de mécanique aéronautique, s'enthousiasme déjà à l'idée de voir "des canyons qui sont plus profonds et plus larges que n'importe où sur terre. Je veux avoir la chance de voir ça, de voir s'il y a ou s'il y a eu de la vie, même si c'est une simple bactérie, ce serait incroyable de voir cela" .
Et puis "j'espère voir des Martiens", s'est amusé ce quadragénaire célibataire.
Réunion des volontaires pour un aller simple sur Mars
Des premiers et très enthousiastes volontaires prêts à signer pour un aller simple sur Mars, se sont réunis samedi à Washington pour assister à une présentation de leur future mission : aller coloniser dans quelques années la planète rouge.
Une quarantaine de personnes, venues de partout aux Etats-Unis et du Canada, ont écouté dans un auditorium de l'université George Washington les explications de Bas Lansdorp, co-fondateur et PDG de Mars-One, une société hollandaise à but non lucratif qui a lancé en avril dernier un appel à candidatures pour un aller simple vers Mars en 2022.
"Etablir une colonie permanente sur Mars signifie pas de retour. Cela a l'air spectaculaire mais il ne faut pas oublier que dans l'histoire de notre planète, des gens sont partis en exploration en quittant leurs familles. La prochaine étape la plus logique est Mars", a expliqué à l'AFP ce responsable.
Mars-One avait fait savoir en avril dernier que les quatre premiers volontaires devraient se poser sur Mars en 2023 après un voyage de sept mois. De nouveaux équipages seraient envoyés tous les deux ans, selon le PDG.
La première mission coûtera 6 milliards de dollars. "Nous ne sommes pas encore arrivés à collecter ce montant", a indiqué M. Lansdorp, refusant de préciser le montant déjà rassemblé. "Une première entreprise est sous contrat et a commencé à travailler sur le système de maintien en vie et les combinaisons", a-t-il toutefois assuré.
Tout en reconnaissant que l'environnement de Mars était très hostile --pas d'oxygène, pas de nourriture et température moyenne de -63 degrés-- il a assuré que celui dans lequel évolue la Station Spatiale Internationale "l'est encore plus".
"On sait déjà fabriquer de l'oxygène et recycler les choses. On fera ça sur Mars", a-t-il affirmé en reconnaissant qu'une fusée assez puissante pour lancer la mission n'existait pas encore.
Quelque 78.000 volontaires se sont déjà manifestés pour l'aventure, qui donnera matière à de futures étapes de sélections, et "ça continue", dit-il.
Parmi ceux réunis samedi à Washington, Christine Rambo, bibliothécaire de 38 ans du New Jersey, a assuré que Mars était "la prochaine grande étape de l'exploration, c'est comme Christophe Colomb découvrant l'Amérique". "C'est un exploit formidable, je veux en faire partie", a ajouté cette femme mariée et mère d'un enfant, affirmant que cela lui "fait peur, oui, mais le courage est de faire ce qui doit être fait".
Jesse Lemieux, originaire du Maine, diplômé de mécanique aéronautique, s'enthousiasme déjà à l'idée de voir "des canyons qui sont plus profonds et plus larges que n'importe où sur terre. Je veux avoir la chance de voir ça, de voir s'il y a ou s'il y a eu de la vie, même si c'est une simple bactérie, ce serait incroyable de voir cela" .
Et puis "j'espère voir des Martiens", s'est amusé ce quadragénaire célibataire.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Mise à jour le mercredi 14 août 2013 à 11 h 23 HAE
La simulation se déroule sur le versant nordique du volcan Mauna Loa Photo : HI-SEAS
Une cuisine spatiale à inventer
Six chercheurs ont passé les quatre derniers mois dans un dôme, sur le versant stérile d'un volcan à Hawaï, afin de déterminer ce que devraient manger des astronautes durant une mission sur Mars et ailleurs dans l'espace.
Ils en sont redescendus mardi avec leurs recettes, mais sans les combinaisons spatiales qu'ils devaient porter chaque fois qu'ils s'aventuraient hors du dôme, sur le versant nordique du volcan Mauna Loa, qui est entré en éruption pour la dernière fois en 1984.
Cinq des participants autour d'un repas « martien ». Photo : HI-SEAS
Les chercheurs ont été sélectionnés par l'Université d'Hawaï et l'Université Cornell pour mener cette étude financée par la NASA. Ils devaient préparer des repas à partir d'aliments déshydratés et en conserve. Ils ont évalué des repas préparés similaires à ceux que consomment présentement les astronautes en mission, mais ont aussi préparé eux-mêmes certains repas, afin de combattre la malnutrition et la monotonie alimentaire.
Le commandant Angelo Vermeulen a affirmé, mardi, que le problème des ingrédients non périssables, c'est qu'ils sont habituellement hautement transformés et qu'ils manquent de fibres. Il a ajouté avoir été impressionné par la similarité entre le goût des produits lyophilisés et celui des produits frais.
Des aliments utilisés lors de la simulation Photo : HI-SEAS
Mais ce qu'il sera important d'inclure dans les garde-manger des futures missions spatiales, c'est la nourriture réconfortante. Dans son équipage, les membres se sont ennuyés de la tartinade chocolatée Nutella, dont ils disposaient en quantité limitée et qu'ils devaient rationner.
Le climat tempéré d'Hawaï et les particularités géologiques de Mauna Loa constituaient un décor parfait pour l'étude, affirme la professeure associée de l'Université d'Hawaï-Manoa, Kim Binsted, qui n'a toutefois pas participé à la simulation. La région est isolée, bien qu'accessible, et ne présente aucune vie végétale ni animale. « Ça ressemble à la planète Mars », considère-t-elle.
Il faudra plusieurs mois pour traiter l'information collectée lors de la simulation.
La simulation se déroule sur le versant nordique du volcan Mauna Loa Photo : HI-SEAS
Une cuisine spatiale à inventer
Six chercheurs ont passé les quatre derniers mois dans un dôme, sur le versant stérile d'un volcan à Hawaï, afin de déterminer ce que devraient manger des astronautes durant une mission sur Mars et ailleurs dans l'espace.
Ils en sont redescendus mardi avec leurs recettes, mais sans les combinaisons spatiales qu'ils devaient porter chaque fois qu'ils s'aventuraient hors du dôme, sur le versant nordique du volcan Mauna Loa, qui est entré en éruption pour la dernière fois en 1984.
Cinq des participants autour d'un repas « martien ». Photo : HI-SEAS
Les chercheurs ont été sélectionnés par l'Université d'Hawaï et l'Université Cornell pour mener cette étude financée par la NASA. Ils devaient préparer des repas à partir d'aliments déshydratés et en conserve. Ils ont évalué des repas préparés similaires à ceux que consomment présentement les astronautes en mission, mais ont aussi préparé eux-mêmes certains repas, afin de combattre la malnutrition et la monotonie alimentaire.
Le commandant Angelo Vermeulen a affirmé, mardi, que le problème des ingrédients non périssables, c'est qu'ils sont habituellement hautement transformés et qu'ils manquent de fibres. Il a ajouté avoir été impressionné par la similarité entre le goût des produits lyophilisés et celui des produits frais.
Des aliments utilisés lors de la simulation Photo : HI-SEAS
Mais ce qu'il sera important d'inclure dans les garde-manger des futures missions spatiales, c'est la nourriture réconfortante. Dans son équipage, les membres se sont ennuyés de la tartinade chocolatée Nutella, dont ils disposaient en quantité limitée et qu'ils devaient rationner.
Le climat tempéré d'Hawaï et les particularités géologiques de Mauna Loa constituaient un décor parfait pour l'étude, affirme la professeure associée de l'Université d'Hawaï-Manoa, Kim Binsted, qui n'a toutefois pas participé à la simulation. La région est isolée, bien qu'accessible, et ne présente aucune vie végétale ni animale. « Ça ressemble à la planète Mars », considère-t-elle.
Il faudra plusieurs mois pour traiter l'information collectée lors de la simulation.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Mise à jour le lundi 9 septembre 2013 à 15 h 29 HAE
Mars est un grand désert dont l'atmosphère est surtout constituée de dioxyde de carbone et où la température moyenne est de - 63 degrés Celsius. Photo : JPL
Plus de 200 000 humains veulent coloniser Mars
Pas moins de 202 586 personnes originaires de 140 pays se sont inscrites pour faire partie d'un groupe d'éventuels premiers colons de la planète Mars, rapporte la société hollandaise Mars-One, à l'origine de ce projet.
L'appel aux colons a été lancé en avril 2013 pour une mission sans retour prévue en 2023.Le voyage Terre-Mars durera environ sept mois.
Les candidats viennent des États-Unis (24 %), d'Inde (10 %), de Chine (6 %) et du Brésil (5 %). Au moins 35 Canadiens figureraient sur cette liste.
La sélection
Mars-One explique que trois étapes de sélection seront organisées dans les deux ans. Ainsi, d'ici 2015, entre six et dix équipes de quatre personnes subiront un entraînement complet. Une de ces équipes deviendra en 2023 celle des premiers humains à atterrir sur Mars et à y établir une colonie.
Le projet, qui ne fait pas l'unanimité dans le milieu scientifique, est évalué à 6 milliards de dollars. Il a néanmoins reçu le soutien du lauréat néerlandais du Nobel de physique en 1999, Gerard't Hooft.
Les participants feront face à de nombreux obstacles dans ce milieu inhospitalier. Ils devront vivre dans de petits habitats, trouver de l'eau, produire leur oxygène et cultiver leur propre nourriture. Sans compter qu'ils devront vivre avec le fait qu'ils ne reverront jamais la Terre.
Pour l'heure, il n'existe aucune fusée ou capsule capable de transporter ces volontaires.
Jusqu'à présent il n'y a eu que des missions robotiques sur Mars, toutes menées avec succès par la NASA, qui prévoit envoyer des astronautes sur Mars d'ici une vingtaine d'années.
La mission Mars 500
L'Institut russe des problèmes médicaux biologiques (IMBP) situé près de Moscou, Mars 500, a réalisé la première simulation d'une mission habitée vers la planète voisine de la Terre.
Mars est un grand désert dont l'atmosphère est surtout constituée de dioxyde de carbone et où la température moyenne est de - 63 degrés Celsius. Photo : JPL
Plus de 200 000 humains veulent coloniser Mars
Pas moins de 202 586 personnes originaires de 140 pays se sont inscrites pour faire partie d'un groupe d'éventuels premiers colons de la planète Mars, rapporte la société hollandaise Mars-One, à l'origine de ce projet.
L'appel aux colons a été lancé en avril 2013 pour une mission sans retour prévue en 2023.Le voyage Terre-Mars durera environ sept mois.
Les candidats viennent des États-Unis (24 %), d'Inde (10 %), de Chine (6 %) et du Brésil (5 %). Au moins 35 Canadiens figureraient sur cette liste.
La sélection
Mars-One explique que trois étapes de sélection seront organisées dans les deux ans. Ainsi, d'ici 2015, entre six et dix équipes de quatre personnes subiront un entraînement complet. Une de ces équipes deviendra en 2023 celle des premiers humains à atterrir sur Mars et à y établir une colonie.
Le projet, qui ne fait pas l'unanimité dans le milieu scientifique, est évalué à 6 milliards de dollars. Il a néanmoins reçu le soutien du lauréat néerlandais du Nobel de physique en 1999, Gerard't Hooft.
Les participants feront face à de nombreux obstacles dans ce milieu inhospitalier. Ils devront vivre dans de petits habitats, trouver de l'eau, produire leur oxygène et cultiver leur propre nourriture. Sans compter qu'ils devront vivre avec le fait qu'ils ne reverront jamais la Terre.
Pour l'heure, il n'existe aucune fusée ou capsule capable de transporter ces volontaires.
Jusqu'à présent il n'y a eu que des missions robotiques sur Mars, toutes menées avec succès par la NASA, qui prévoit envoyer des astronautes sur Mars d'ici une vingtaine d'années.
La mission Mars 500
L'Institut russe des problèmes médicaux biologiques (IMBP) situé près de Moscou, Mars 500, a réalisé la première simulation d'une mission habitée vers la planète voisine de la Terre.
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
12 septembre 2013
Les futurs colons sur Mars feront face à des problèmes psychologiques
Les colons de la mission Mars One seront confrontés à des épreuves physiques, mais également psychologiques.
L’objectif ambitieux de la mission est d’installer une colonie humaine permanente sur la planète mars d’ici 2023. Les 200 000 personnes qui ont postulé pour participer à cette aventure sont sans doute conscientes qu’elles seront confrontées à un environnement extrêmement dangereux et mortel, et ce à plusieurs égards. Toutefois, ce qu’elles ne réalisent peut-être pas, c’est qu’elles seront également confrontées à elles-mêmes.
En plus de survivre à leur programme d’entraînement, aux difficultés du voyage de même qu’aux dangers les entourant, ces premiers colons pourraient être confrontés à des problèmes mentaux, puisque le stress de cette aventure pourrait avoir des répercussions sur leur santé mentale.
The Gardian a publié un article expliquant très bien tout cela.
Les colons souffriront vraisemblablement d’isolement social, puisqu’ils ne seront accompagnés que de trois autres personnes. Toutefois, ce nombre augmentera progressivement, puisque des groupes de quatre personnes s’ajouteront à la colonie tous les deux ans. Ils souffriront également de l’absence de conversation en temps réel avec la Terre, puisque les communications aller-retour entre notre planète et Mars prennent de 8 à 48 minutes selon l’emplacement des deux planètes. Comme le souligne l’auteur Chris Chambers: «des décennies de recherche révèlent que l’isolement social prolongé chez les astronautes peut mener à la dépression, l’insomnie, l’anxiété, la fatigue, l’ennui et l’instabilité émotive».
Nous avons probablement déjà tous souffert d’être confinés à l’intérieur, mais les colons sur Mars ne pourront plus jamais toucher à l’environnement naturel. Ils seront confinés à l’habitat de la colonie et chaque fois qu’ils en sortiront, ils devront porter de grosses combinaisons de sécurité nécessaires. Cela ne fera qu’aggraver les problèmes liés à l’isolement.
En plus de ces deux problèmes importants, la vie des colons sera sous vidéosurveillance 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Une partie du financement de la mission Mars One sera assurée par des annonceurs, puisque la colonie fera l’objet d’une émission de télé-réalité. Comment cette haute surveillance affectera-t-elle les colons? Que se produira-t-il s’ils en ont assez et qu’ils ferment les caméras? Il serait difficile pour la mission d’envoyer les producteurs ou le réalisateur pour rallumer les caméras.
Certes, le site web de Mars One n’aborde pas vraiment ces sujets, mais le lancement de la navette n’est pas prévu avant longtemps. Les colons éventuels ont approximativement huit ans pour se préparer à la mission. Leur entraînement touchera tous les aspects techniques, les difficultés physiques et les dangers de la mission.
Difficile alors d’imaginer que l’équipe de Mars One exclurait l’entraînement psychologique de la préparation des astronautes. Voir une personne faire une crise pendant une émission de télé-réalité peut être divertissant pour certains, mais compte tenu des investissements massifs et des dangers réels de la mission, il est dans leur intérêt de s’assurer que les participants à la mission pourront y faire face.
L’entraînement de l’équipage débutera en 2015, en utilisant un habitacle simulant l’environnement exact des colons sur Mars. Si l’un d’eux perd la boule, ouvre un hublot et se met à courir en sous-vêtements à l’extérieur, ce sera un signe clair qu’il n’est pas prêt pour un voyage sur une autre planète. Ne disposant que de neuf années pour tester 200 000 candidats, nous espérons qu’ils seront capables de trouver au moins 24 astronautes qui seront non seulement capables d’endurer cette mission, mais également même de s’y plaire.
Source: Geekquinoxe
Les futurs colons sur Mars feront face à des problèmes psychologiques
Les colons de la mission Mars One seront confrontés à des épreuves physiques, mais également psychologiques.
L’objectif ambitieux de la mission est d’installer une colonie humaine permanente sur la planète mars d’ici 2023. Les 200 000 personnes qui ont postulé pour participer à cette aventure sont sans doute conscientes qu’elles seront confrontées à un environnement extrêmement dangereux et mortel, et ce à plusieurs égards. Toutefois, ce qu’elles ne réalisent peut-être pas, c’est qu’elles seront également confrontées à elles-mêmes.
En plus de survivre à leur programme d’entraînement, aux difficultés du voyage de même qu’aux dangers les entourant, ces premiers colons pourraient être confrontés à des problèmes mentaux, puisque le stress de cette aventure pourrait avoir des répercussions sur leur santé mentale.
The Gardian a publié un article expliquant très bien tout cela.
Les colons souffriront vraisemblablement d’isolement social, puisqu’ils ne seront accompagnés que de trois autres personnes. Toutefois, ce nombre augmentera progressivement, puisque des groupes de quatre personnes s’ajouteront à la colonie tous les deux ans. Ils souffriront également de l’absence de conversation en temps réel avec la Terre, puisque les communications aller-retour entre notre planète et Mars prennent de 8 à 48 minutes selon l’emplacement des deux planètes. Comme le souligne l’auteur Chris Chambers: «des décennies de recherche révèlent que l’isolement social prolongé chez les astronautes peut mener à la dépression, l’insomnie, l’anxiété, la fatigue, l’ennui et l’instabilité émotive».
Nous avons probablement déjà tous souffert d’être confinés à l’intérieur, mais les colons sur Mars ne pourront plus jamais toucher à l’environnement naturel. Ils seront confinés à l’habitat de la colonie et chaque fois qu’ils en sortiront, ils devront porter de grosses combinaisons de sécurité nécessaires. Cela ne fera qu’aggraver les problèmes liés à l’isolement.
En plus de ces deux problèmes importants, la vie des colons sera sous vidéosurveillance 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Une partie du financement de la mission Mars One sera assurée par des annonceurs, puisque la colonie fera l’objet d’une émission de télé-réalité. Comment cette haute surveillance affectera-t-elle les colons? Que se produira-t-il s’ils en ont assez et qu’ils ferment les caméras? Il serait difficile pour la mission d’envoyer les producteurs ou le réalisateur pour rallumer les caméras.
Certes, le site web de Mars One n’aborde pas vraiment ces sujets, mais le lancement de la navette n’est pas prévu avant longtemps. Les colons éventuels ont approximativement huit ans pour se préparer à la mission. Leur entraînement touchera tous les aspects techniques, les difficultés physiques et les dangers de la mission.
Difficile alors d’imaginer que l’équipe de Mars One exclurait l’entraînement psychologique de la préparation des astronautes. Voir une personne faire une crise pendant une émission de télé-réalité peut être divertissant pour certains, mais compte tenu des investissements massifs et des dangers réels de la mission, il est dans leur intérêt de s’assurer que les participants à la mission pourront y faire face.
L’entraînement de l’équipage débutera en 2015, en utilisant un habitacle simulant l’environnement exact des colons sur Mars. Si l’un d’eux perd la boule, ouvre un hublot et se met à courir en sous-vêtements à l’extérieur, ce sera un signe clair qu’il n’est pas prêt pour un voyage sur une autre planète. Ne disposant que de neuf années pour tester 200 000 candidats, nous espérons qu’ils seront capables de trouver au moins 24 astronautes qui seront non seulement capables d’endurer cette mission, mais également même de s’y plaire.
Source: Geekquinoxe
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Bien sûr, ce genre de projet fait toujours grandement rêver en lui-même. Les défis technologiques sont passionnants, l'aventure, exhaltante.
Mais il me semble que nous devons nous interroger serieusement sur certains points essentiels :
- est-il bon de se détourner de notre terre sans en avoir d abord réglé tous les problèmes et sans en avoir contemplé toutes les beautés ?
- Est-il chretien de dépenser des milliards de dollars, qui plus est avec un gros risque d'échec et avec un risque de produire une oeuvre inutile, alors que nos freres et soeurs meurent de faim dans des misères et maladies atroces partout dans le monde ? Que ferait le Christ ?
- ne vaudrait-il pas mieux depenser ces sommes à produire des energies non polluantes, à mettre au point des anti-douleurs dans le soin des animaux, à investir dans des entreprises donnant un travail aux humains, etc etc etc ?
- est-il raisonnable de jouer avec la vie des astronautes qui prennent là un risque énorme ?
- ne vaudrait-il pas mieux attendre 80, 100 ans ou plus, que les hommes soient capables de téléporter la matiere, en reduisant ainsi grandement les risques humains et les couts ?
- vouloir trop se precipiter, tres prematurement, n est il pas le signe que les hommes sont trop tournés vers la matiere et non vers Dieu ?
- accepter de prendre des risques inconsidérés avec la vie des astronautes, est-ce chrétien ou est-ce typique de la désinvolture des laïcs athées qui jouent froidement avec la vie en permanence ? (avortements, manipulations genetiques, sports tres dangereux, etc)
Voila, ce sont des questions qu il faut se poser, je crois, meme si le sujet est passionnant, bien sur.
Bonne journée.
Mais il me semble que nous devons nous interroger serieusement sur certains points essentiels :
- est-il bon de se détourner de notre terre sans en avoir d abord réglé tous les problèmes et sans en avoir contemplé toutes les beautés ?
- Est-il chretien de dépenser des milliards de dollars, qui plus est avec un gros risque d'échec et avec un risque de produire une oeuvre inutile, alors que nos freres et soeurs meurent de faim dans des misères et maladies atroces partout dans le monde ? Que ferait le Christ ?
- ne vaudrait-il pas mieux depenser ces sommes à produire des energies non polluantes, à mettre au point des anti-douleurs dans le soin des animaux, à investir dans des entreprises donnant un travail aux humains, etc etc etc ?
- est-il raisonnable de jouer avec la vie des astronautes qui prennent là un risque énorme ?
- ne vaudrait-il pas mieux attendre 80, 100 ans ou plus, que les hommes soient capables de téléporter la matiere, en reduisant ainsi grandement les risques humains et les couts ?
- vouloir trop se precipiter, tres prematurement, n est il pas le signe que les hommes sont trop tournés vers la matiere et non vers Dieu ?
- accepter de prendre des risques inconsidérés avec la vie des astronautes, est-ce chrétien ou est-ce typique de la désinvolture des laïcs athées qui jouent froidement avec la vie en permanence ? (avortements, manipulations genetiques, sports tres dangereux, etc)
Voila, ce sont des questions qu il faut se poser, je crois, meme si le sujet est passionnant, bien sur.
Bonne journée.
Samaritain- Pour le roi
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
j' ai du faire une analyse de la mission Apollo durant mes études, et bien, mon impression après avoir présenté l' alunissage de la lune et toutes les missions Apollo, c' est qu' il est impossible que des hommes aient pu alunir sur la lune d' après ce qu' ils disent dans leurs rapports, encore un méga mensonge, pour vous en convaincre regarder ce site qui explique comment selon eux ils auraient été sur la lune vivant et encore pire en seraient revenus
http://kopernic.webastro.net/
http://kopernic.webastro.net/
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Merci pour le lien "Saint Louis" ! C'est un très beau site.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Mise à jour le jeudi 2 janvier 2014 à 17 h 49 HNE
1000 candidats sélectionnés pour le projet Mars One
Plus d'un millier de personnes ont été sélectionnées en vue de devenir les premiers colons de la planète Mars en 2025.
La société Mars One, à l'origine du projet, a indiqué qu'elle avait choisi ces candidats sur les quelque 200 000 inscrits au projet.
« Le défi avec 200 000 inscrits est de séparer ceux que nous pensons être capables, mentalement et physiquement, de devenir les ambassadeurs humains sur Mars, de ceux qui prennent la mission moins au sérieux », a assuré Bas Lansdorp, cofondateur et PDG de Mars One.
Cette étape sera suivie d'autres phases pour choisir 24 colons potentiels répartis en six groupes de quatre personnes. Ils devront passer plusieurs séries de tests, comme participer à des simulations de leur vie éventuelle sur la planète rouge.
La société avait annoncé en décembre la signature d'un contrat avec Lockheed Martin Space Systems, la division Espace du groupe de défense américain, pour étudier le « concept » d'un engin d'atterrissage.
Le coût de la réalisation du projet Mars One est estimé à 6 milliards de dollars.
1000 candidats sélectionnés pour le projet Mars One
Plus d'un millier de personnes ont été sélectionnées en vue de devenir les premiers colons de la planète Mars en 2025.
La société Mars One, à l'origine du projet, a indiqué qu'elle avait choisi ces candidats sur les quelque 200 000 inscrits au projet.
« Le défi avec 200 000 inscrits est de séparer ceux que nous pensons être capables, mentalement et physiquement, de devenir les ambassadeurs humains sur Mars, de ceux qui prennent la mission moins au sérieux », a assuré Bas Lansdorp, cofondateur et PDG de Mars One.
Cette étape sera suivie d'autres phases pour choisir 24 colons potentiels répartis en six groupes de quatre personnes. Ils devront passer plusieurs séries de tests, comme participer à des simulations de leur vie éventuelle sur la planète rouge.
La société avait annoncé en décembre la signature d'un contrat avec Lockheed Martin Space Systems, la division Espace du groupe de défense américain, pour étudier le « concept » d'un engin d'atterrissage.
Le coût de la réalisation du projet Mars One est estimé à 6 milliards de dollars.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Le coût de la réalisation du projet Mars One est estimé à 6 milliards de dollars.
belle somme!!!
a vomir quand on pense à ceux qui crèvent de faim!!!
quelle bande d'enfoirés et d'hypocrites!
Marie Rose- En adoration
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
bonheur a écrit:Le coût de la réalisation du projet Mars One est estimé à 6 milliards de dollars.
belle somme!!!
a vomir quand on pense à ceux qui crèvent de faim!!!
quelle bande d'enfoirés et d'hypocrites!
Bonsoir,
Je vous rejoins, Bonheur,
La question de savoir si l'homme a effectivement traversé la terrible ceinture de Van Allen (cf ce lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ceinture_de_Van_Allen) est toujours d’actualité dans certaines discussions sujettes aux missions Apollo.
Cette théorie aussi incroyable que elle puisse paraître en ce qui est donc de une probable supercherie des missions lunaires yankee.
Il faut comprendre certaines données issues de l'Astrophysique, je cite la source donnée plus haut :
Une exposition, même de courte durée, aux parties les plus intenses de ces ceintures de radiations étant fatale, la protection des astronautes par un blindage adéquat et la sélection de trajectoires minimisant l'exposition est nécessaire. Seuls les astronautes d'Apollo qui se sont rendus en orbite lunaire ont traversé la ceinture de Van Allen. Leur exposition à la radiation avait été calculée, et ils n'ont pas passé plus d'une heure dans la partie la plus dommageable. Ainsi, la dose de radiation reçue par ces astronautes était de 300 fois inférieure à une dose considérée comme mortelle.
Il faut donc croire sur parole les rapports de la NASA à ce sujet ainsi que les films et autres données rapportées comme preuves effectives de ces missions,
D'autre part, la Terre et son voisinage sont protégés du Vent solaire (cf ce lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vent_solaire) ainsi que des rayonnements cosmiques par ce qui est appelé la magnétosphère :
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Magn%C3%A9tosph%C3%A8re
Et puis l’atmosphère terrestre (rappel : la Lune peut quasiment toujours être considérée comme entourée par le vide) nous protège aussi des terribles rayonnements solaires :
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Atmosph%C3%A8re_terrestre#Structure
La zone de la couche atmosphérique terrestre où se baladent les astronautes en orbite terrestre s'appelle La thermosphère.
Les rayonnements solaires ne sont pas seulement composés de UV mortels (c'est la couche de Ozone qui nous protège des radiations mortelles de UV au sol), il existe d'autres rayonnements électromagnétiques nocifs issus du Soleil que les simples UV.
Toutes ces données amènent à se poser la question suivante :
La structure chimique des combinaisons actuelles (le scaphandre spatial), permet-elle vraiment à un être humain d'être totalement protégé de ces influences nocives solaires (voir des rayonnements cosmiques) dans le cadre de sorties extra-véhiculaires au-delà de l'exosphère ?
Une seule expérience faite (et à croire sur parole et/ou par rapport aux données audiovisuelles historiques bien connues) que sont les missions Apollo à ce jour.
Les combinaisons spatiales des cosmonautes c'est pas la même densité que les machines (robots au sol et autres satellites en orbite Martienne) qui ont été envoyées sur Mars, et dont l'impact des rayonnements solaires et cosmiques ne sont pas les mêmes non plus que au sol ou au voisinage de la Terre.
Invité- Invité
Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
merci Raphaël pour ces informations
Marie Rose- En adoration
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Gilles a écrit: : un millier de candidats présélectionnés pour un aller simple vers Mars
Cher Gilles,
Comme expliqué plus haut sujet ne serait-ce que à la Lune, il n'est pas encore possible de affirmer à 100% que des hommes en combinaison spatiale puissent se balader sur Mars en toute sécurité vis-à-vis des radiations mortelles du Soleil, en ayant de plus traversé la terrible ceinture de Van Allen vue plus haut aussi.
Par conséquent, cette affaire de « candidature Martienne » n'est pas sérieuse sur le plan scientifique le plus strict, et semble être plus une affaire de marketing voir une escroquerie que autre chose.
Bien amicalement,
Invité- Invité
Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
Mise à jour le vendredi 10 janvier 2014 à 15 h 30 HNE
Mars One : 75 Canadiens dans la courte liste des candidats
Plusieurs dizaines de Canadiens fascinés par l'espace sont surpris, excités et confiants après avoir atteint la deuxième ronde de sélection pour un aller simple vers la planète Mars.
Ces 75 Canadiens, 43 femmes et 32 hommes, se rapprochent ainsi de la possibilité de faire partie des premiers humains à poser le pied sur la planète rouge.
Mars One, une organisation à but non lucratif établie à Amersfoort, aux Pays-Bas, projette d'envoyer un équipage de quatre personnes tous les deux ans, le premier groupe devant arriver en 2025.
L'organisme a indiqué avoir un bassin mondial de candidats de plus de 200 000 personnes, dont 8243 Canadiens. La moyenne d'âge se situe à environ 35 ans.
Le 30 décembre, ce bassin a été réduit de 99,5 %, laissant seulement 1058 candidats pour la deuxième ronde de sélections. Cinq résidents du Québec figurent dans cette deuxième liste.
Certains parents qui pourraient ne plus jamais voir leur proche semblent avoir des sentiments mitigés quant à la possibilité de voir un être cher participer à une première colonie en sol martien.
La Québécoise Audrey Roy, étudiante en génie civil âgée de 19 ans, a ainsi sauté sur l'occasion, affirmant qu'elle rêve depuis toujours de voyager dans l'espace.
Résidente de Saint-Éphrem-de-Beauce, dans la région de Chaudière-Appalaches, Mme Roy a affirmé que la nouvelle avait été accueillie avec joie et tristesse par ses parents et amis, qui se réjouissent pour elle, mais appréhendent le fait de ne plus jamais la revoir.
La jeune femme dit avoir aussi le « coeur brisé » à l'idée de s'exiler ainsi, tout en soulignant qu'elle aurait accès à Internet sur Mars, et serait en mesure d'envoyer des vidéos et des messages textes.
Mme Roy figure sur une liste de 40 Canadiens en lice qui ont accepté que leur identité soit rendue publique, les 35 autres candidats ayant refusé que leur nom soit publié.
Mars One : 75 Canadiens dans la courte liste des candidats
Plusieurs dizaines de Canadiens fascinés par l'espace sont surpris, excités et confiants après avoir atteint la deuxième ronde de sélection pour un aller simple vers la planète Mars.
Ces 75 Canadiens, 43 femmes et 32 hommes, se rapprochent ainsi de la possibilité de faire partie des premiers humains à poser le pied sur la planète rouge.
Mars One, une organisation à but non lucratif établie à Amersfoort, aux Pays-Bas, projette d'envoyer un équipage de quatre personnes tous les deux ans, le premier groupe devant arriver en 2025.
L'organisme a indiqué avoir un bassin mondial de candidats de plus de 200 000 personnes, dont 8243 Canadiens. La moyenne d'âge se situe à environ 35 ans.
Le 30 décembre, ce bassin a été réduit de 99,5 %, laissant seulement 1058 candidats pour la deuxième ronde de sélections. Cinq résidents du Québec figurent dans cette deuxième liste.
Certains parents qui pourraient ne plus jamais voir leur proche semblent avoir des sentiments mitigés quant à la possibilité de voir un être cher participer à une première colonie en sol martien.
La Québécoise Audrey Roy, étudiante en génie civil âgée de 19 ans, a ainsi sauté sur l'occasion, affirmant qu'elle rêve depuis toujours de voyager dans l'espace.
Résidente de Saint-Éphrem-de-Beauce, dans la région de Chaudière-Appalaches, Mme Roy a affirmé que la nouvelle avait été accueillie avec joie et tristesse par ses parents et amis, qui se réjouissent pour elle, mais appréhendent le fait de ne plus jamais la revoir.
La jeune femme dit avoir aussi le « coeur brisé » à l'idée de s'exiler ainsi, tout en soulignant qu'elle aurait accès à Internet sur Mars, et serait en mesure d'envoyer des vidéos et des messages textes.
Mme Roy figure sur une liste de 40 Canadiens en lice qui ont accepté que leur identité soit rendue publique, les 35 autres candidats ayant refusé que leur nom soit publié.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
30 janv. 2014
La NASA cache-t-elle ses contacts avec E.T. ?
Un «scientifique» poursuit la NASA en justice, car l'agence n'enquêterait pas suffisamment sur l'existence d'extra-terrestres sur Mars.
Récemment, la NASA avait annoncé qu'un caillou mystérieux était «apparu» devant de la sonde Mars Opportunity.
Selon la NASA, la présence de l’objet pourrait être le résultat d'un impact qui a eu lieu pas très loin du robot, mais l’explication la plus probable était que la sonde Opportunity avait tout simplement sorti la roche du sol en avançant.
Mais selon l'auteur Rhawn Joseph, qui se décrit comme un scientifique, il n’en est rien. L'objet est bel et bien une créature vivante. Et il traîne la NASA devant les tribunaux afin que l'agence l'examine de plus près.
La mise en demeure de M. Joseph, déposée dans une cour de la Californie, vise la NASA et son administrateur Charles Bolden.
Son but est de forcer l'agence spatiale à analyser l'objet comme s'il s'agissait d'un organisme biologique. La «roche», affirme-t-on dans la plainte, était là depuis le début, elle aurait juste poussé — tel un champignon, au point de devenir visible. Les multiples tentatives de M. Joseph de convaincre l'administration de la NASA de ce fait n'ayant pas porté ses fruits, il se voyait dans l'obligation de prendre des mesures légales.
Pour satisfaire M. Joseph, la NASA et l'équipe de Opportunity doivent :
La NASA se défend en affirmant avoir vraiment identifié l'objet comme étant une pierre martienne. Il est fort probable que la mise en demeure soit rejetée…
Or, voilà qu'un autre robot de la NASA, Curiosity, donnerait peut-être raison à Rhawn Joseph. Dans cette image, le robot aurait capté l'image d'un OVNI dans le ciel martien…
Selon certains, il s'agirait d'un vaisseau d'extra-terrestre. Dans l'image, on aperçoit un objet lumineux laissant une trace derrière lui dans l'atmosphère de la planète rouge.
Cette image a été trouvée par un chasseur d'ovni connu sous le nom de Streetcap1, à partir des serveurs de la NASA.
Sur le site Bublews, on affirme sans hésitation qu'il s'agit d'un vaisseau dont la masse centrale est un moteur qui semble éjecter une forme de carburant.
En mai dernier, sur un blogue scientifique japonais, on dit avoir aperçu un «lézard» sur le sol martien. On a également dénoncé à ce moment-là que la NASA n'ait pas pris le temps de placer l'«animal» dans le laboratoire de Curiosity afin de mener une batterie de tests…
Selon vous, est-ce que ces «preuves» suffisent à vous convaincre que l'agence spatiale cache le fait que nous ne sommes pas seuls dans le système solaire ?
Par Paul Therrien | Sur le radar - Yahoo
La NASA cache-t-elle ses contacts avec E.T. ?
Un «scientifique» poursuit la NASA en justice, car l'agence n'enquêterait pas suffisamment sur l'existence d'extra-terrestres sur Mars.
Récemment, la NASA avait annoncé qu'un caillou mystérieux était «apparu» devant de la sonde Mars Opportunity.
Selon la NASA, la présence de l’objet pourrait être le résultat d'un impact qui a eu lieu pas très loin du robot, mais l’explication la plus probable était que la sonde Opportunity avait tout simplement sorti la roche du sol en avançant.
Mais selon l'auteur Rhawn Joseph, qui se décrit comme un scientifique, il n’en est rien. L'objet est bel et bien une créature vivante. Et il traîne la NASA devant les tribunaux afin que l'agence l'examine de plus près.
La mise en demeure de M. Joseph, déposée dans une cour de la Californie, vise la NASA et son administrateur Charles Bolden.
Son but est de forcer l'agence spatiale à analyser l'objet comme s'il s'agissait d'un organisme biologique. La «roche», affirme-t-on dans la plainte, était là depuis le début, elle aurait juste poussé — tel un champignon, au point de devenir visible. Les multiples tentatives de M. Joseph de convaincre l'administration de la NASA de ce fait n'ayant pas porté ses fruits, il se voyait dans l'obligation de prendre des mesures légales.
Pour satisfaire M. Joseph, la NASA et l'équipe de Opportunity doivent :
A) prendre 100 photos de très près, en haute résolution, et sous tous les angles du spécimen;
B) capter au minimum 24 images microscopiques du spécimen sous une luminosité appropriée;
C) présenter à M. Joseph et au public toutes les photos et images exigées dans A et B.
La NASA se défend en affirmant avoir vraiment identifié l'objet comme étant une pierre martienne. Il est fort probable que la mise en demeure soit rejetée…
Or, voilà qu'un autre robot de la NASA, Curiosity, donnerait peut-être raison à Rhawn Joseph. Dans cette image, le robot aurait capté l'image d'un OVNI dans le ciel martien…
Selon certains, il s'agirait d'un vaisseau d'extra-terrestre. Dans l'image, on aperçoit un objet lumineux laissant une trace derrière lui dans l'atmosphère de la planète rouge.
Cette image a été trouvée par un chasseur d'ovni connu sous le nom de Streetcap1, à partir des serveurs de la NASA.
Sur le site Bublews, on affirme sans hésitation qu'il s'agit d'un vaisseau dont la masse centrale est un moteur qui semble éjecter une forme de carburant.
En mai dernier, sur un blogue scientifique japonais, on dit avoir aperçu un «lézard» sur le sol martien. On a également dénoncé à ce moment-là que la NASA n'ait pas pris le temps de placer l'«animal» dans le laboratoire de Curiosity afin de mener une batterie de tests…
Selon vous, est-ce que ces «preuves» suffisent à vous convaincre que l'agence spatiale cache le fait que nous ne sommes pas seuls dans le système solaire ?
Par Paul Therrien | Sur le radar - Yahoo
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Re: Mars One : Une mission aller seulement sans possibilité de retour !
ven. 28 févr. 2014
Pas de voyage sur Mars pour les musulmans
Aux Émirats arabes unis, une fatwa a été émise par des représentants religieux interdisant la participation aux missions spatiales vers la planète Mars.
Pourquoi? C'est qu'un voyage vers la planète rouge serait sans-retour! Bref, cela équivaudrait à mettre fin volontairement à ses jours… Le suicide est contraire aux principes de l'islamisme.
D'autant plus que, selon le Coran, risquer sa vie pour des «raisons non vertueuses» serait passible de châtiment dans l'au-delà.
La fatwa interdit de participer au projet Mars One de l'entrepreneur néerlandais Bas Lansdorp, car «il est possible qu'un individu qui fait le voyage jusqu'à la planète Mars ne soit pas capable d'y survivre», selon l'explication du comité des chefs religieux.
Parmi les 1058 derniers candidats souhaitant coloniser la planète Mars, le nombre de musulmans n'a pas été dévoilé.
Ce n'est pas la première tentative des autorités islamiques à adapter leur culture au monde cosmique. En 2006, on a précisé les règles dictant comment un astronaute musulman est censé faire ses prières au quotidien à bord de la Station spatiale internationale où une journée ne dure que 90 minutes.
Source : CNN
Pas de voyage sur Mars pour les musulmans
Aux Émirats arabes unis, une fatwa a été émise par des représentants religieux interdisant la participation aux missions spatiales vers la planète Mars.
Pourquoi? C'est qu'un voyage vers la planète rouge serait sans-retour! Bref, cela équivaudrait à mettre fin volontairement à ses jours… Le suicide est contraire aux principes de l'islamisme.
D'autant plus que, selon le Coran, risquer sa vie pour des «raisons non vertueuses» serait passible de châtiment dans l'au-delà.
La fatwa interdit de participer au projet Mars One de l'entrepreneur néerlandais Bas Lansdorp, car «il est possible qu'un individu qui fait le voyage jusqu'à la planète Mars ne soit pas capable d'y survivre», selon l'explication du comité des chefs religieux.
Parmi les 1058 derniers candidats souhaitant coloniser la planète Mars, le nombre de musulmans n'a pas été dévoilé.
Ce n'est pas la première tentative des autorités islamiques à adapter leur culture au monde cosmique. En 2006, on a précisé les règles dictant comment un astronaute musulman est censé faire ses prières au quotidien à bord de la Station spatiale internationale où une journée ne dure que 90 minutes.
Source : CNN
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