L'esclave d'une vie
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L'esclave d'une vie
Bonsoir tout le monde voici encore un de mes histoire toujours dans le drame ^^
Je rêve souvent de liberté, tout est si magnifique dans mes rêves. Cette nuit encore j’ai rêvé d’un monde meilleur, d’une vie meilleure, j’étais dans une colline au bord d’une magnifique rivière. Celle-ci était d’un bleu clair, presque transparent où l’on pouvait apercevoir des poissons jouant entre eux. Moi j’étais très belle dans ce rêve, mes cheveux noirs s’envolaient sous chaque brise de vent, ceux-ci me chatouillaient le visage, j’étais habillée d’une longue robe blanche qui marquait joliment ma taille fine.
J’étais heureuse, reposée et comblée. Des animaux venaient me voir pour s’amuser, je courrais avec eux en riant, sautant et me roulant dans l’herbe encore fraîche de la nuit, une utopie qui ne dure pas longtemps, juste l’espace d’une nuit puis l’enfer recommence quand mes yeux s’ouvrent.
Je dois me lever avant mon Maitre pour préparer le manger ainsi que laver mes draps et les siens une fois qu’il se lève. Le soleil dort encore alors que moi je me dépêche de faire mes travaux, je commence à avoir l’habitude de ce train de vie depuis l’âge de 6 ans mon maitre m’a achetée à ma famille, cela fait déjà 8 ans que je suis à lui, à cet homme qui ne cesse de me rabaisser chaque jour. Mon quotidien est géré en fonction de ses désirs, de ses humeurs et de ses envies.
Avant je vivais dans un pays très pauvre, la famine était omniprésente et le nombre de morts augmentait de jour en jour. J’étais la dernière fille de la famille, on était trop nombreux, mes parents ne pouvaient plus subvenir à mes besoins ils ont donc décidé de me vendre pour pouvoir continuer à nourrir mes frères et mes sœurs. Mon Maitre m’a tout de suite dressée pour que je sois la plus obéissante possible, j’ai longtemps lutté contre ses ordres mais chaque ordre rejeté, une nouvelle punition s’offrait à moi.
Mes nombreuses cicatrices témoignent encore de la violence dont mon maitre fait preuve. Une de mes mains passa sur l’une d’elle, c’était la toute première. Je me souviens que c’était à mon arrivée chez le maitre, je ne comprenais aucun mot de sa langue et donc ne pouvais lui obéir mais il ne l’a pas remarqué et s’en foutait (moquait) un peu, il s’est donc empressé de me punir, il m’a attaché les bras en les écartant puis il m’a mis à genoux. Je restai ainsi pendant plusieurs jours sans manger n’y boire, je pensai ma punition finie quand le maitre revint me voir mais j’étais naïve, il s’avança vers moi et m’entailla le long du bras, je ne pus m’empêcher de crier, de pleurer, de le supplier d’arrêter mais rien n’y faisait. Pendant que la lame me cisaillait la peau, du sang fit son apparition, à cette vue le maitre eut un sourire de satisfaction. Il resta ainsi à m’admirer pendant quelques minutes puis il se retourna et prit une bougie sur l’un des bureaux qui ornait la pièce où j’étais, il plaça la bougie sur le bras qu’il avait mutilé, de la cire chaude coulait dessus ma plaie encore ouverte et fraiche et celle-ci se mêlait à mon sang, ce qui me procura une souffrance encore plus horrible .
A cette pensée, j’eus un grand frisson qui me parcourut le long du dos, puis je me remis à travailler les larmes aux yeux. Le soleil se leva en même temps que mon maître, mon ventre se serra quand je le vis apparaître dans la pièce ou je me trouvai. Je lui emmenai son déjeuner et m’occupai de ses draps en les lavant dans l’eau glacée par l’hiver. Mes mains vieillies par le travail malgré mon jeune âge, plongèrent dans cette eau qui me paralysait totalement les doigts, le temps s’arrêta l’espace d’un instant pour eux, mes doigts ne bougeaient plus et je ne ressentais plus de douleur, plus rien.
Après une bonne heure de lavage, j’étendis les draps blancs puis je rentai dans la maison pour attendre les ordres de mon maitre. IL était dans son bureau, il me demanda de lui préparer un café ce que je fis immédiatement. Une fois fini, je lui rapportai et lui tendis la tasse qui contenait le liquide encore chaud. IL l’a prise mais celle-ci se renversa. IL me regarda, ses yeux noirs transpercèrent mon âme, ceux-ci montraient une haine inconsidérée. Je reculai machinalement et lui demandai pardon alors que c’était lui qui avait fait exprès de la renverser. IL s’approcha de moi, me prit par les cheveux et il me cogna la tête contre son bureau en me disant que tout était de ma faute. IL répétât ce mouvement jusqu’à ce que mon arcade s’ouvre et que le sang se déverse sur son bureau ainsi que sur le sol.
IL me demanda de tout nettoyer une fois sa punition finie. Mon visage était devenu rouge écarlate et bouffi par le nombre de coups reçus. Je nettoyai comme il me l’avait demandé, ma tête me faisait horriblement mal, mon corps tremblait, je voyais flou puis je perdis connaissance.
A mon réveil, j’étais dans mon lit, cet homme était là à me regarder, j’avais peur, très peur, quelle autre punition allait-il me faire encore subir ? Je me levai d’un bond, je pus remarquer que c’était la nuit. Je m’inclinai devant lui pour lui demander pardon puis le temps que je me redresse une lame me transperça l’abdomen, cet homme voulait me tuer. Il l’enleva rapidement et transperça de nouveau ma chair.
J’étais tétanisée de peur et de souffrance, mais aucun cri ne s’échappa de moi, je le poussai pour la première fois et me sauvai de cet enfer et de ce monstre .Je m’enfonçai dans la forêt qui entourait ma prison, je courus le plus vite possible malgré mes blessures. Je me retrouvai devant une falaise, en bas de celle-ci, il y avait une rivière où les courants forts tapaient les nombreux rochers éparpillés partout .Je me retournai pour partir mais le monstre se tenait-là devant moi, me demandant de revenir et qu’il arrêterait de me faire du mal. Je n’étais pas non plus stupide, je savais qu’il n’allait jamais arrêter. Je ne voulais plus être son esclave, plus lui obéir. Je me décidai, je choisis donc la liberté ! Je courus me jeter du haut de la falaise, l’espace d’un instant, j’étais devenue libre, mon cœur s’allégeait, je ne souffrais plus, mes rêves devenaient enfin réalité !
Corriger par carine merci a elle ^^
Je rêve souvent de liberté, tout est si magnifique dans mes rêves. Cette nuit encore j’ai rêvé d’un monde meilleur, d’une vie meilleure, j’étais dans une colline au bord d’une magnifique rivière. Celle-ci était d’un bleu clair, presque transparent où l’on pouvait apercevoir des poissons jouant entre eux. Moi j’étais très belle dans ce rêve, mes cheveux noirs s’envolaient sous chaque brise de vent, ceux-ci me chatouillaient le visage, j’étais habillée d’une longue robe blanche qui marquait joliment ma taille fine.
J’étais heureuse, reposée et comblée. Des animaux venaient me voir pour s’amuser, je courrais avec eux en riant, sautant et me roulant dans l’herbe encore fraîche de la nuit, une utopie qui ne dure pas longtemps, juste l’espace d’une nuit puis l’enfer recommence quand mes yeux s’ouvrent.
Je dois me lever avant mon Maitre pour préparer le manger ainsi que laver mes draps et les siens une fois qu’il se lève. Le soleil dort encore alors que moi je me dépêche de faire mes travaux, je commence à avoir l’habitude de ce train de vie depuis l’âge de 6 ans mon maitre m’a achetée à ma famille, cela fait déjà 8 ans que je suis à lui, à cet homme qui ne cesse de me rabaisser chaque jour. Mon quotidien est géré en fonction de ses désirs, de ses humeurs et de ses envies.
Avant je vivais dans un pays très pauvre, la famine était omniprésente et le nombre de morts augmentait de jour en jour. J’étais la dernière fille de la famille, on était trop nombreux, mes parents ne pouvaient plus subvenir à mes besoins ils ont donc décidé de me vendre pour pouvoir continuer à nourrir mes frères et mes sœurs. Mon Maitre m’a tout de suite dressée pour que je sois la plus obéissante possible, j’ai longtemps lutté contre ses ordres mais chaque ordre rejeté, une nouvelle punition s’offrait à moi.
Mes nombreuses cicatrices témoignent encore de la violence dont mon maitre fait preuve. Une de mes mains passa sur l’une d’elle, c’était la toute première. Je me souviens que c’était à mon arrivée chez le maitre, je ne comprenais aucun mot de sa langue et donc ne pouvais lui obéir mais il ne l’a pas remarqué et s’en foutait (moquait) un peu, il s’est donc empressé de me punir, il m’a attaché les bras en les écartant puis il m’a mis à genoux. Je restai ainsi pendant plusieurs jours sans manger n’y boire, je pensai ma punition finie quand le maitre revint me voir mais j’étais naïve, il s’avança vers moi et m’entailla le long du bras, je ne pus m’empêcher de crier, de pleurer, de le supplier d’arrêter mais rien n’y faisait. Pendant que la lame me cisaillait la peau, du sang fit son apparition, à cette vue le maitre eut un sourire de satisfaction. Il resta ainsi à m’admirer pendant quelques minutes puis il se retourna et prit une bougie sur l’un des bureaux qui ornait la pièce où j’étais, il plaça la bougie sur le bras qu’il avait mutilé, de la cire chaude coulait dessus ma plaie encore ouverte et fraiche et celle-ci se mêlait à mon sang, ce qui me procura une souffrance encore plus horrible .
A cette pensée, j’eus un grand frisson qui me parcourut le long du dos, puis je me remis à travailler les larmes aux yeux. Le soleil se leva en même temps que mon maître, mon ventre se serra quand je le vis apparaître dans la pièce ou je me trouvai. Je lui emmenai son déjeuner et m’occupai de ses draps en les lavant dans l’eau glacée par l’hiver. Mes mains vieillies par le travail malgré mon jeune âge, plongèrent dans cette eau qui me paralysait totalement les doigts, le temps s’arrêta l’espace d’un instant pour eux, mes doigts ne bougeaient plus et je ne ressentais plus de douleur, plus rien.
Après une bonne heure de lavage, j’étendis les draps blancs puis je rentai dans la maison pour attendre les ordres de mon maitre. IL était dans son bureau, il me demanda de lui préparer un café ce que je fis immédiatement. Une fois fini, je lui rapportai et lui tendis la tasse qui contenait le liquide encore chaud. IL l’a prise mais celle-ci se renversa. IL me regarda, ses yeux noirs transpercèrent mon âme, ceux-ci montraient une haine inconsidérée. Je reculai machinalement et lui demandai pardon alors que c’était lui qui avait fait exprès de la renverser. IL s’approcha de moi, me prit par les cheveux et il me cogna la tête contre son bureau en me disant que tout était de ma faute. IL répétât ce mouvement jusqu’à ce que mon arcade s’ouvre et que le sang se déverse sur son bureau ainsi que sur le sol.
IL me demanda de tout nettoyer une fois sa punition finie. Mon visage était devenu rouge écarlate et bouffi par le nombre de coups reçus. Je nettoyai comme il me l’avait demandé, ma tête me faisait horriblement mal, mon corps tremblait, je voyais flou puis je perdis connaissance.
A mon réveil, j’étais dans mon lit, cet homme était là à me regarder, j’avais peur, très peur, quelle autre punition allait-il me faire encore subir ? Je me levai d’un bond, je pus remarquer que c’était la nuit. Je m’inclinai devant lui pour lui demander pardon puis le temps que je me redresse une lame me transperça l’abdomen, cet homme voulait me tuer. Il l’enleva rapidement et transperça de nouveau ma chair.
J’étais tétanisée de peur et de souffrance, mais aucun cri ne s’échappa de moi, je le poussai pour la première fois et me sauvai de cet enfer et de ce monstre .Je m’enfonçai dans la forêt qui entourait ma prison, je courus le plus vite possible malgré mes blessures. Je me retrouvai devant une falaise, en bas de celle-ci, il y avait une rivière où les courants forts tapaient les nombreux rochers éparpillés partout .Je me retournai pour partir mais le monstre se tenait-là devant moi, me demandant de revenir et qu’il arrêterait de me faire du mal. Je n’étais pas non plus stupide, je savais qu’il n’allait jamais arrêter. Je ne voulais plus être son esclave, plus lui obéir. Je me décidai, je choisis donc la liberté ! Je courus me jeter du haut de la falaise, l’espace d’un instant, j’étais devenue libre, mon cœur s’allégeait, je ne souffrais plus, mes rêves devenaient enfin réalité !
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Dernière édition par Boya le Lun 1 Avr 2013 - 23:08, édité 1 fois
B24572- Contre le nouvel ordre mondial
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Inscription : 20/11/2012
Re: L'esclave d'une vie
je trouve que tu écris bien et je pense, effectivement, que cela peut t'aider un peu à exorciser une part de souffrance (car il y a beaucoup de choses dans ce texte, souffrance, torture psychologique et physique, mutilation, scarification, idée morbide/libération) mais il ne faut pas que ce soit le seul moyen, comme te le conseillait Andrée sur l'autre fil.Je rêve souvent de liberté, tout est si magnifique dans mes rêves. Cette nuit encore j’ai rêvé d’un monde meilleur, d’une vie meilleure, j’étais dans une colline au bord d’une magnifique rivière. Celle-ci était d’un bleu clair, presque transparent où l’on pouvait apercevoir des poissons jouant entre eux. Moi j’étais très belle dans ce rêve, mes cheveux noirs s’envolaient sous chaque brise de vent, ceux-ci me chatouillaient le visage, j’étais habillée d’une longue robe blanche qui marquait joliment ma taille fine.
J’étais heureuse, reposée et comblée. Des animaux venaient me voir pour s’amuser, je courrais avec eux en riant, sautant et me roulant dans l’herbe encore fraîche de la nuit, une utopie qui ne dure pas longtemps, juste l’espace d’une nuit puis l’enfer recommence quand mes yeux s’ouvrent.
Je dois me lever avant mon Maitre pour préparer le manger ainsi que laver mes draps et les siens une fois qu’il se lève. Le soleil dort encore alors que moi je me dépêche de faire mes travaux, je commence à avoir l’habitude de ce train de vie depuis l’âge de 6 ans mon maitre m’a achetée à ma famille, cela fait déjà 8 ans que je suis à lui, à cet homme qui ne cesse de me rabaisser chaque jour. Mon quotidien est géré en fonction de ses désirs, de ses humeurs et de ses envies.
Avant je vivais dans un pays très pauvre, la famine était omniprésente et le nombre de morts augmentait de jour en jour. J’étais la dernière fille de la famille, on était trop nombreux, mes parents ne pouvaient plus subvenir à mes besoins ils ont donc décidé de me vendre pour pouvoir continuer à nourrir mes frères et mes sœurs. Mon Maitre m’a tout de suite dressée pour que je sois la plus obéissante possible, j’ai longtemps lutté contre ses ordres mais chaque ordre rejeté, une nouvelle punition s’offrait à moi.
Mes nombreuses cicatrices témoignent encore de la violence dont mon maitre fait preuve. Une de mes mains passa sur l’une d’elle, c’était la toute première. Je me souviens que c’était à mon arrivée chez le maitre, je ne comprenais aucun mot de sa langue et donc ne pouvais lui obéir mais il ne l’a pas remarqué et s’en foutait (moquait) un peu, il s’est donc empressé de me punir, il m’a attaché les bras en les écartant puis il m’a mis à genoux. Je restai ainsi pendant plusieurs jours sans manger n’y boire, je pensai ma punition finie quand le maitre revint me voir mais j’étais naïve, il s’avança vers moi et m’entailla le long du bras, je ne pus m’empêcher de crier, de pleurer, de le supplier d’arrêter mais rien n’y faisait. Pendant que la lame me cisaillait la peau, du sang fit son apparition, à cette vue le maitre eut un sourire de satisfaction. Il resta ainsi à m’admirer pendant quelques minutes puis il se retourna et prit une bougie sur l’un des bureaux qui ornait la pièce où j’étais, il plaça la bougie sur le bras qu’il avait mutilé, de la cire chaude coulait dessus ma plaie encore ouverte et fraiche et celle-ci se mêlait à mon sang, ce qui me procura une souffrance encore plus horrible .
A cette pensée, j’eus un grand frisson qui me parcourut le long du dos, puis je me remis à travailler les larmes aux yeux. Le soleil se leva en même temps que mon maître, mon ventre se serra quand je le vis apparaître dans la pièce ou je me trouvai. Je lui emmenai son déjeuner et m’occupai de ses draps en les lavant dans l’eau glacée par l’hiver. Mes mains vieillies par le travail malgré mon jeune âge, plongèrent dans cette eau qui me paralysait totalement les doigts, le temps s’arrêta l’espace d’un instant pour eux, mes doigts ne bougeaient plus et je ne ressentais plus de douleur, plus rien.
Après une bonne heure de lavage, j’étendis les draps blancs puis je rentai dans la maison pour attendre les ordres de mon maitre. IL était dans son bureau, il me demanda de lui préparer un café ce que je fis immédiatement. Une fois fini, je lui rapportai et lui tendis la tasse qui contenait le liquide encore chaud. IL l’a prise mais celle-ci se renversa. IL me regarda, ses yeux noirs transpercèrent mon âme, ceux-ci montraient une haine inconsidérée. Je reculai machinalement et lui demandai pardon alors que c’était lui qui avait fait exprès de la renverser. IL s’approcha de moi, me prit par les cheveux et il me cogna la tête contre son bureau en me disant que tout était de ma faute. IL répétât ce mouvement jusqu’à ce que mon arcade s’ouvre et que le sang se déverse sur son bureau ainsi que sur le sol.
IL me demanda de tout nettoyer une fois sa punition finie. Mon visage était devenu rouge écarlate et bouffi par le nombre de coups reçus. Je nettoyai comme il me l’avait demandé, ma tête me faisait horriblement mal, mon corps tremblait, je voyais flou puis je perdis connaissance.
A mon réveil, j’étais dans mon lit, cet homme était là à me regarder, j’avais peur, très peur, quelle autre punition allait-il me faire encore subir ? Je me levai d’un bond, je pus remarquer que c’était la nuit. Je m’inclinai devant lui pour lui demander pardon puis le temps que je me redresse une lame me transperça l’abdomen, cet homme voulait me tuer. Il l’enleva rapidement et transperça de nouveau ma chair.
J’étais tétanisée de peur et de souffrance, mais aucun cri ne s’échappa de moi, je le poussai pour la première fois et me sauvai de cet enfer et de ce monstre .Je m’enfonçai dans la forêt qui entourait ma prison, je courus le plus vite possible malgré mes blessures. Je me retrouvai devant une falaise, en bas de celle-ci, il y avait une rivière où les courants forts tapaient les nombreux rochers éparpillés partout .Je me retournai pour partir mais le monstre se tenait-là devant moi, me demandant de revenir et qu’il arrêterait de me faire du mal. Je n’étais pas non plus stupide, je savais qu’il n’allait jamais arrêter. Je ne voulais plus être son esclave, plus lui obéir. Je me décidai, je choisis donc la liberté ! Je courus me jeter du haut de la falaise, l’espace d’un instant, j’étais devenue libre, mon cœur s’allégeait, je ne souffrais plus, mes rêves devenaient enfin réalité !
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: L'esclave d'une vie
Voila jai corriger ^^ le texte en disant que tu as corriger merci a toi ^^ , et oui faire du sport aussi me permet d'exterioriser tout sa ^^
B24572- Contre le nouvel ordre mondial
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Re: L'esclave d'une vie
Bonjour Boya!!!
À qui ce site?
L'âge,n'est pas le même.Sous ton avatar,tu as 23 ans et sur ce site 18 ans.
Qui est Gackt Camui?
http://mangas-impacte.monempire.net/t121-l-esclave-d-une-vie-drame
À qui ce site?
L'âge,n'est pas le même.Sous ton avatar,tu as 23 ans et sur ce site 18 ans.
Qui est Gackt Camui?
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Michael- Dans la prière
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Inscription : 08/03/2009
Re: L'esclave d'une vie
C'est moi aussi un ancien forum ^^
B24572- Contre le nouvel ordre mondial
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Re: L'esclave d'une vie
Ok!!!tu aurais +ou- 20 ans.
Pourquoi au féminin?J’étais heureuse, reposée et comblée.
Michael- Dans la prière
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Re: L'esclave d'une vie
Car sa depend des histoires ^^ cest la premiere fois que j'ai mis une fille dans une histoire , au debut javais mis un homme puis jai changer
B24572- Contre le nouvel ordre mondial
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Re: L'esclave d'une vie
Es-tu un homme ou une femme?
Sous ton avatar,tu te présentes comme une homme.
Sous ton avatar,tu te présentes comme une homme.
Michael- Dans la prière
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Re: L'esclave d'une vie
Je suis un homme ^^
B24572- Contre le nouvel ordre mondial
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Inscription : 20/11/2012
Re: L'esclave d'une vie
Merci pour tes réponses.Boya a écrit:Je suis un homme ^^
Content de voir, que tu vas mieux.
Bonne journée.
Michael- Dans la prière
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