L'Appel, bis.

2004, 22 mai au soir :

Nous sommes une vingtaine,
puis lors du témoignage d’un frère mon cœur emplit de joie, la confirmation des raisons de mon existence venait à ma compréhension, puis des cœurs joints je commençais à ressentir l’amour de Dieu…
Puis d’un coup, le ciel s’ouvre au-dessus de nous, je vous vois à présent tous vêtus de blanc, vos âmes saintes attendent, puis « l’autorité » donne l’ordre d’avancer, nous avançons, nous avançons, je vois la réalité spirituelle autant que celle du monde dans la pièce, nous avançons,
(ici) je m’agenouille, je rapproche mes bras, je souffle au travers mes mains, plusieurs fois, le Seigneur m’enseigne ; de l’amour des cœurs unis, en communion, par le souffle, ce qui sort devient blanc, prend forme d'un oiseau blanc saint, puis il vous inonde et l’oiseau grandit tel un aigle blanc au bec droit puis au cou long, il m’emmène en communion, nous ne faisons qu’un, puis le cou se raccourci et le bec est comme d'aigle ;

Il m’emmène (par le Seigneur l’Esprit) au-dessus de la France, puis en passant par l’Ouest de la France, Espagne, l’Afrique au Nord , mais la vue est aussi sur l’occident et un peu plus loin, et surtout toute l’Afrique dans laquelle je vois des colonnes, des caravanes de frères et sœurs, des oints, ils sont vus du ciel par les ministères, des milliers de milliers d'oints. Dans l’Esprit les oints sont distingués comme ceux dans le monde avec leurs tenues (ordre religieux), mais attention dans l’Esprit la teinte, la vie de leur tenue est l’onction de leur âme de leur cœur. ATTENTION On ne peut tromper Dieu, ce n’est pas l’habit terrestre qui fait passer mais plutôt l’habit, la tente céleste.

Ces milliers de milliers avancent et traversent comme des caravanes, au travers tous ceux (ville, etc..) du monde qui en restent au monde, mais ceux qui ont ouvert leur cœur à Dieu entendent l’Esprit et avancent en lumière la nuit, ils vont comme les veaux à l’engrais vers leur Seigneur et répondent à l’Appel, et l’Appel est pour les sauver ; beaucoup quittent Tout et répondent.

Le Seigneur par le Grand Aigle blanc insiste mon attention au Nord de l’Afrique, là où je dois veiller à ce que tous passent au mieux, d’autres sont en ministères ainsi…partout, et ne sont pas nécessairement vus…mais c’est jusqu’au bout qu’ils veillent et font ce qu’ils ont à faire, ils savent.

Oui, alors que la plupart des êtres humains se déchiraient entre eux, ceux qui sont réservés (ont répondu) avancent au travers les gens sur la planète et toutes les créatures, pour aller à la Sainte montagne vers le Trône de Gloire, vers le Père, et vers Jésus.

Également à l’aide du « chant », ceux qui ont ouvert leur cœur entendent et ressentent l’Esprit, mais seuls ceux qui ouvrent leur cœur passent la porte et non pas ceux qui veulent acquérir.
Mais une alliance est née et pendant ce Temps, ce Grand Jour, plus nous glorifierons le Seigneur Dieu, plus Il nous accorde que des cœurs sont convertis, pour leur acceptation, ainsi les derniers seront les premiers.

Donc de « blanc » vous avancez !

Oui, je regarde comme par le regard de l’Oiseau plusieurs endroits de la planète et je veille discrètement à votre parcours ; nous sommes plusieurs à veiller ainsi à la Préparation et à votre trajet ;

et alors qu'à l'abord de la montagne Antique vous grimpez la montagne, j'aperçois des quantités de fleurs blanches bien alignées, des milliers, se préparent au grand combat. Ses rangées de croyants sont en attente prêtes, à droite du versant de la montagne Sainte, Sion, qui vous mène vers la Lumière.

Entre deux, je m’agenouille et prie (ici), puis, là, d'un coup , « Mère/Marie très jeune » descend comme du ciel, devant moi ici-bas également, toute proche, de face, dans Sa Gloire, et des petites étoiles, des vraies étoiles toutes belles de couleurs et brillantes descendent et lui arrivent sur la tête et autour, en mouvement de sa couronne Vivante et quasi en même temps comme un voile d’épouse la recouvre en transparence, Je remercie, je suis ému, mon cœur s’emplit de joie.
C’était surprenant car Elle est descendue tout droit du ciel, mais sans le bas, Elle s’était comme adaptée à ma taille car j’étais à genou.

Puis à nouveau, nous, ceux présents dans la pièce et tous ceux présents dans la Puissance, sommes au pied de la montagne Sainte, Sion au pied du Tabernacle, la « nuée » arrive ; nous montons, vous montez, je reste au pied et vous attend, vous encourageant, « Allez, avancez !, Allez ! (le souffle, souffle continue...)
« Regardez le Trône devant au sommet, montez ! montez ! » ;
d’autres arrivent encore, "montez !", en mouvement je leur dis comme en esprit : « montez ! », je regarde à mes côtés, au sol, les morts sortent du sol ressuscitent tout en blanc, le blanc de Gloire, ils se redressent, se lèvent et montent également le pied de la montagne Sainte.

Je vais aussi pour me joindre à certains qui en attendent d'autres qui arrivent plus lents ou usés, blessés, parfois là où celui gît seul dans le moindre endroit et je retourne à ma place ;

Un instant je monte désirant enfin à mon Temps avec vers Lui, la Gloire et l'Esprit Saint Appelant tous ceux à Lui ; je me joins à quelques frères (sœurs) et là j'aperçois Jésus au loin qui vient, Lui le Chemin, la Vérité, la Vie) , venant de la Gloire et descendant vers ‘avant le bas de la montagne’, là où l’accès est étroit.
" Le chemin est étroit, allez Il vous appelle ! " criais-je en esprit avec le cœur ;

Le Seigneur descend encore presque jusqu’au pied de la montagne et remonte de quelques coudées ;

" Face à vous (nous) le Fils de Dieu notre époux vous appelle, 'Passez ! Montez ! Aimez ! Allez vers le Trône de Gloire !' " criais-je encore.
L'un passe par Sa gauche, un autre par Sa droite, mais pas plus à la fois à l'endroit étroit, là ou IL est. Tous montent et passent à l'endroit du passage étroit, tous passent par Lui, le Seigneur.

Je reste fixé sur Jésus, c'est vital, je ne peux regarder derrière les combats, les grands combats. Tout se met en place…

Je continue par " le souffle" , et aussi à les inviter à avancer ; inutile de leurs dire de ne pas regarder en arrière, leur amour pour le Seigneur les pousse en avant ; heureusement, seuls ceux en blanc (immaculés) passent ! il ne m’appartient pas de vous parler des autres.

Nous marchons tous au même pas, au pas des invités, des appelés,
" Allez ! Le Père en attend encore……… " (la quantité est déjà inscrite). Nous sommes remplis de joie, la Gloire du Père est proche..

Puis je vois à ma droite, au bas de la montagne, trois ou quatre rangées de Saints, vêtus de blanc, les Saints, gardiens, Justes, qui se tiennent à l’entrée des portes. Les rangées de ces "personnes" sont de face, à l'arrière plus hauts qu'à l'avant, comme sur des estrades. la Porte c’est l’amour/Amour, car il n’y a pas de porte visible au bas de la montagne Sainte ;
en bas sur la droite, ils attendent le cor (ou la trompette), tous vêtus de blanc, puis ils baissent leurs capuches blanches, leurs visages sont impassibles…
Pas d’amour/Amour tu ne passes pas, mais si quand tu étais au loin et que tu ouvres ton cœur juste à temps quand le Seigneur Appelle alors tu es sauvé, tu y parviendras à la montagne Sainte ;
ceux aux ministères qui vont cherchez les autres au plus loin ne laissent personne.

Je continue « dépêchez-vous, hâtez-vous ! » (hâter est avec l’amour, pas comme le monde). Les battements que je suis invité à effectuer, malgré la douleur aux épaules, est aussi pour que ceux au loin les voient, pour faciliter leur venue ; mais, attention, c’est le Seigneur qui Appelle les flots de toutes les extrémités (au loin) par la Puissance de son Esprit, Lui-même. Le Seigneur m’enseigne à cet instant à cela. Le Seigneur est le Maître de tout.

Et puis d’un coup en arrivent en grand nombre, alignés deux par deux côte à côte, ils chantent un chant d’Eaux, le chant de l’Agneau, ils avancent, arrivent de très loin, un encouragement dans la voix, c’est comme une louange mais c’est un chant d’eau pour la gloire de l’Agneau, ce sont les fidèles ; nous tous y participons "d’un seul cœur" ; ils ne craignent point le monde.

Puis , plus rien.


Un peu plus tard dans la nuit, je suis rentré et éveillé, en prière.
Je suis allongé,
puis apparaissent et arrivent les lumières dorées, puis cela blanchit et une sorte d’anneau, d’alliance, transparente, descend comme du ciel avec douceur sur et en moi ; autour il y avait plusieurs symboles qui se suivent et se répètent, je ne distingue que la croix de Jésus, les autres je ne pouvais les lire ; l’anneau fait à peu près un tiers de ma taille et m’arrive comme une feuille ou une plume en douceur, la descente est sans vire voltage, elle est droite.
Cet anneau semble aussi léger que le poids des étoiles. Il pénètre au travers moi.

Un an ou deux avant, j’ai vu ici-bas une alliance qui ressemble un peu…" inter-religieux".

Au Christ je suis,

Fraternellement

(Correctif)
2004, 22 mai au soir :

Nous sommes une vingtaine,
puis lors du témoignage d’un frère mon cœur emplit de joie, la confirmation des raisons de mon existence venait à ma compréhension, puis des cœurs joints je commençais à ressentir l’amour de Dieu…
Puis d’un coup, le ciel s’ouvre au-dessus de nous, je vous vois à présent tous vêtus de blanc, vos âmes saintes attendent, puis « l’autorité » donne l’ordre d’avancer, nous avançons, nous avançons, je vois la réalité spirituelle autant que celle du monde dans la pièce, nous avançons,
(ici) je m’agenouille, je rapproche mes bras, je souffle au travers mes mains, plusieurs fois, le Seigneur m’enseigne ; de l’amour des cœurs unis, en communion, par le souffle, ce qui sort devient blanc, prend forme d'un oiseau blanc saint, puis il vous inonde et l’oiseau grandit tel un aigle blanc au bec droit puis au cou long, il m’emmène en communion, nous ne faisons qu’un, puis le cou se raccourci et le bec est comme d'aigle ;

Il m’emmène (par le Seigneur l’Esprit) au-dessus de la France, puis en passant par l’Ouest de la France, Espagne, l’Afrique au Nord , mais la vue est aussi sur l’occident et un peu plus loin, et surtout toute l’Afrique dans laquelle je vois des colonnes, des caravanes de frères et sœurs, des oints, ils sont vus du ciel par les ministères, des milliers de milliers d'oints. Dans l’Esprit les oints sont distingués comme ceux dans le monde avec leurs tenues (ordre religieux), mais attention dans l’Esprit la teinte, la vie de leur tenue est l’onction de leur âme de leur cœur. ATTENTION On ne peut tromper Dieu, ce n’est pas l’habit terrestre qui fait passer mais plutôt l’habit, la tente céleste.

Ces milliers de milliers avancent et traversent comme des caravanes, au travers tous ceux (ville, etc..) du monde qui en restent au monde, mais ceux qui ont ouvert leur cœur à Dieu entendent l’Esprit et avancent en lumière, le jour , les jours sont comme de nuit ; ils vont comme les veaux à l’engrais vers leur Seigneur et répondent à l’Appel, et l’Appel est pour les sauver ; beaucoup quittent Tout et répondent.

Le Seigneur par le Grand Aigle blanc insiste mon attention au Nord de l’Afrique, là où je dois veiller à ce que tous passent au mieux, d’autres sont en ministères ainsi…partout, et ne sont pas nécessairement vus…mais c’est jusqu’au bout qu’ils veillent et font ce qu’ils ont à faire, ils savent.

Oui, alors que la plupart des êtres humains se déchiraient entre eux, ceux qui sont réservés (ont répondu) avancent au travers les gens sur la planète et toutes les créatures, pour aller à la Sainte montagne vers le Trône de Gloire, vers le Père, et vers Jésus.

Également à l’aide du « chant », ceux qui ont ouvert leur cœur entendent et ressentent l’Esprit, mais seuls ceux qui ouvrent leur cœur passent la porte et non pas ceux qui veulent acquérir.
Mais une alliance est née et pendant ce Temps, ce Grand Jour, plus nous glorifierons le Seigneur Dieu, plus Il nous accorde que des cœurs sont convertis, pour leur acceptation, ainsi les derniers seront les premiers.

Donc de « blanc » vous avancez !

Oui, je regarde comme par le regard de l’Oiseau plusieurs endroits de la planète et je veille discrètement à votre parcours ; nous sommes plusieurs à veiller ainsi à la Préparation et à votre trajet ;

et alors qu'à l'abord de la montagne Antique vous grimpez la montagne, j'aperçois des quantités de fleurs blanches bien alignées, des milliers, se préparent au grand combat. Ses rangées de croyants sont en attente prêtes, à droite du versant de la montagne Sainte, Sion, qui vous mène vers la Lumière.

Entre deux, je m’agenouille et prie (ici), puis, là, d'un coup , « Mère/Marie très jeune » descend comme du ciel, devant moi ici-bas également, toute proche, de face, dans Sa Gloire, et des petites étoiles, des vraies étoiles toutes belles de couleurs et brillantes descendent et lui arrivent sur la tête et autour, en mouvement de sa couronne Vivante et quasi en même temps comme un voile d’épouse la recouvre en transparence, Je remercie, je suis ému, mon cœur s’emplit de joie.
C’était surprenant car Elle est descendue tout droit du ciel, mais sans le bas, Elle s’était comme adaptée à ma taille car j’étais à genou.

Puis à nouveau, nous, ceux présents dans la pièce et tous ceux présents dans la Puissance, sommes au pied de la montagne Sainte, Sion au pied du Tabernacle, la « nuée » arrive ; nous montons, vous montez, je reste au pied et vous attend, vous encourageant, « Allez, avancez !, Allez ! (le souffle, souffle continue...)
« Regardez le Trône devant au sommet, montez ! montez ! » ;
d’autres arrivent encore, "montez !", en mouvement je leur dis comme en esprit : « montez ! », je regarde à mes côtés, au sol, les morts sortent du sol ressuscitent tout en blanc, le blanc de Gloire, ils se redressent, se lèvent et montent également le pied de la montagne Sainte.

Je vais aussi pour me joindre à certains qui en attendent d'autres qui arrivent plus lents ou usés, blessés, parfois là où celui gît seul dans le moindre endroit et je retourne à ma place ;

Un instant je monte désirant enfin à mon Temps avec vers Lui, la Gloire et l'Esprit Saint Appelant tous ceux à Lui ; je me joins à quelques frères (sœurs) et là j'aperçois Jésus au loin qui vient, Lui le Chemin, la Vérité, la Vie) , venant de la Gloire et descendant vers ‘avant le bas de la montagne’, là où l’accès est étroit.
" Le chemin est étroit, allez Il vous appelle ! " criais-je en esprit avec le cœur ;

Le Seigneur descend encore presque jusqu’au pied de la montagne et remonte de quelques coudées ;

" Face à vous (nous) le Fils de Dieu notre époux vous appelle, 'Passez ! Montez ! Aimez ! Allez vers le Trône de Gloire !' " criais-je encore.
L'un passe par Sa gauche, un autre par Sa droite, mais pas plus à la fois à l'endroit étroit, là ou IL est. Tous montent et passent à l'endroit du passage étroit, tous passent par Lui, le Seigneur.

Je reste fixé sur Jésus, c'est vital, je ne peux regarder derrière les combats, les grands combats. Tout se met en place…

Je continue par " le souffle" , et aussi à les inviter à avancer ; inutile de leurs dire de ne pas regarder en arrière, leur amour pour le Seigneur les pousse en avant ; heureusement, seuls ceux en blanc (immaculés) passent ! il ne m’appartient pas de vous parler des autres.

Nous marchons tous au même pas, au pas des invités, des appelés,
" Allez ! Le Père en attend encore……… " (la quantité est déjà inscrite). Nous sommes remplis de joie, la Gloire du Père est proche..

Puis je vois à ma droite, au bas de la montagne, trois ou quatre rangées de Saints, vêtus de blanc, les Saints, gardiens, Justes, qui se tiennent à l’entrée des portes. Les rangées de ces "personnes" sont de face, à l'arrière plus hauts qu'à l'avant, comme sur des estrades. la Porte c’est l’amour/Amour, car il n’y a pas de porte visible au bas de la montagne Sainte ;
en bas sur la droite, ils attendent le cor (ou la trompette), tous vêtus de blanc, puis ils baissent leurs capuches blanches, leurs visages sont impassibles…
Pas d’amour/Amour tu ne passes pas, mais si quand tu étais au loin et que tu ouvres ton cœur juste à temps quand le Seigneur Appelle alors tu es sauvé, tu y parviendras à la montagne Sainte ;
ceux aux ministères qui vont cherchez les autres au plus loin ne laissent personne.

Je continue « dépêchez-vous, hâtez-vous ! » (hâter est avec l’amour, pas comme le monde). Les battements que je suis invité à effectuer, malgré la douleur aux épaules, est aussi pour que ceux au loin les voient, pour faciliter leur venue ; mais, attention, c’est le Seigneur qui Appelle les flots de toutes les extrémités (au loin) par la Puissance de son Esprit, Lui-même. Le Seigneur m’enseigne à cet instant à cela. Le Seigneur est le Maître de tout.

Et puis d’un coup en arrivent en grand nombre, alignés deux par deux côte à côte, ils chantent un chant d’Eaux, le chant de l’Agneau, ils avancent, arrivent de très loin, un encouragement dans la voix, c’est comme une louange mais c’est un chant d’eau pour la gloire de l’Agneau, ce sont les fidèles ; nous tous y participons "d’un seul cœur" ; ils ne craignent point le monde.

Puis , plus rien.
Un peu plus tard dans la nuit, je suis rentré et éveillé, en prière.
Je suis allongé,
puis apparaissent et arrivent les lumières dorées, puis cela blanchit et une sorte d’anneau, d’alliance, transparente, descend comme du ciel avec douceur sur et en moi ; autour il y avait plusieurs symboles qui se suivent et se répètent, je ne distingue que la croix de Jésus, les autres je ne pouvais les lire ; l’anneau fait à peu près un tiers de ma taille et m’arrive comme une feuille ou une plume en douceur, la descente est sans vire voltage, elle est droite.
Cet anneau semble aussi léger que le poids des étoiles. Il pénètre au travers moi.

Un an ou deux avant, j’ai vu ici-bas une alliance qui ressemble un peu…" inter-religieux".

Au Christ je suis,

Fraternellement