Baptême quotidien des enfants non nés
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Baptême quotidien des enfants non nés
Baptême quotidien des enfants non nés, (à faire chez soi)
Baptême demandé par le Seigneur Lui-même à une âme avec les paroles suivantes :
Dépêchez-vous de leur porter secours avant qu’il ne soit trop tard
Prière :
L’Amour du Seigneur s’étend d’âge en âge sur ceux qui Le craignent …
... pour délivrer leur âme de la mort et les faire vivre au temps de la famine.
Récitation du Credo
Vous tous mort-nés en ce jour ou en cette nuit, vous tous qui avez été tués dans le sein de votre mère,
vous tous qui serez tués, afin que, par Jésus-Christ, vous ayez la vie éternelle,
Je vous baptise Marie, Joseph, Jean et le Saint du jour (le nommer)
[en aspergeant les quatre points cardinaux avec de l’eau bénite]
Car Dieu répand l’eau bénite sur la tête des enfants et donne à chacun un nom
Je vous baptise au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Je t'ai appelé par ton nom, tu es à Moi
Chantez au Seigneur un cantique nouveau car Il a fait des merveilles
Je veux chanter éternellement les Grâces du Seigneur,
Alléluia, Alléluia, Alléluia,
Ô Amour, Ô Amour infini de Dieu
Alléluia, Alléluia, Alléluia,
Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloria.
Baptême demandé par le Seigneur Lui-même à une âme avec les paroles suivantes :
Dépêchez-vous de leur porter secours avant qu’il ne soit trop tard
Prière :
L’Amour du Seigneur s’étend d’âge en âge sur ceux qui Le craignent …
... pour délivrer leur âme de la mort et les faire vivre au temps de la famine.
Récitation du Credo
Vous tous mort-nés en ce jour ou en cette nuit, vous tous qui avez été tués dans le sein de votre mère,
vous tous qui serez tués, afin que, par Jésus-Christ, vous ayez la vie éternelle,
Je vous baptise Marie, Joseph, Jean et le Saint du jour (le nommer)
[en aspergeant les quatre points cardinaux avec de l’eau bénite]
Car Dieu répand l’eau bénite sur la tête des enfants et donne à chacun un nom
Je vous baptise au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Je t'ai appelé par ton nom, tu es à Moi
Chantez au Seigneur un cantique nouveau car Il a fait des merveilles
Je veux chanter éternellement les Grâces du Seigneur,
Alléluia, Alléluia, Alléluia,
Ô Amour, Ô Amour infini de Dieu
Alléluia, Alléluia, Alléluia,
Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloria.
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Inscription : 28/10/2009
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
merci Carine
que ce bapteme puisse faire parvenir tous ces petits innocents au ciel, par la Miséricorde Infinie de Jésus
Violaine
que ce bapteme puisse faire parvenir tous ces petits innocents au ciel, par la Miséricorde Infinie de Jésus
Violaine
violaine- Avec les anges
- Messages : 6385
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Inscription : 10/12/2009
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Je pratique ce baptême depuis longtemps.
Des bébés quittent les limbes pour entrer au ciel dès qu'on le fait...
C'est une oeuvre de miséricorde pour eux et pour Dieu.
Ces enfants prient pour nous dès qu'on fait le baptême à leur intention et enfin....
ils peuvent voir la face de Dieu.
Bon dimanche
Des bébés quittent les limbes pour entrer au ciel dès qu'on le fait...
C'est une oeuvre de miséricorde pour eux et pour Dieu.
Ces enfants prient pour nous dès qu'on fait le baptême à leur intention et enfin....
ils peuvent voir la face de Dieu.
Bon dimanche
lacroix- Hosanna au plus haut des cieux!
- Messages : 463
Inscription : 30/01/2013
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Merci Carine
nancy.lekimeleemans- Aime le chapelet
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Inscription : 18/02/2013
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Merci Carine
sga- MEDIATEUR
- Messages : 1335
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Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Merci pour cette prière.
Liza2028- Avec Saint Joseph
- Messages : 1366
Inscription : 26/09/2013
baptême quotidien des enfants non-nés
Merci Carine pour cette prière qui redonne de l'espoir et de la consolation mais avons-nous vraiment le droit de faire nous-mêmes ce baptême?
Je croyais que seul un prêtre pouvait le faire....Je dis çà parce que la plupart des prêtres me répondent que ces enfants martyrs sont déjà au Ciel et qu'il n'y a pas lieu de prier pour eux .
Et pourrais-je savoir à qui exactement Notre Seigneur à confié cette prière de baptême?
Merci de votre réponse.
Je croyais que seul un prêtre pouvait le faire....Je dis çà parce que la plupart des prêtres me répondent que ces enfants martyrs sont déjà au Ciel et qu'il n'y a pas lieu de prier pour eux .
Et pourrais-je savoir à qui exactement Notre Seigneur à confié cette prière de baptême?
Merci de votre réponse.
lucifuge- Aime la Bible
- Messages : 13
Inscription : 18/03/2010
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
@lucifuge
Bonjour,
Nous avons le droit de faire ce baptême car tout baptisé, par son baptême est "Prêtre, Prophète et Roi" à la suite du Christ
expliquées, par exemple, sur le site suivant : http://arras.catholique.fr/page-21784.html
Pour baptiser ces enfants, nous devons avoir, avec nous, de l'eau bénite.
Mais si par exemple, vous vous trouvez sur le lieu d'un accident, que la personne blessée va mourir et qu'elle souhaite recevoir le baptême, vous pouvez, en tant que baptisé, le lui donner. Il faudrait aussi que je retrouve ça mais je l'ai lu quelque part , comme tant d'autres choses d'ailleurs
Je ne souhaite pas discuter de ce que les prêtres disent* mais je sais ce que Notre Seigneur a demandé à une mère de famille allemande :
De mémoire, lorsque j'avais lu cette histoire, cette femme était dans un bus et passait à côté d'usines dont les cheminées fumaient constamment et Notre Seigneur lui a dit, qu'il s'agissait d'incinérateurs pour les fœtus et lui a recommandé de dire ce baptême afin de sauver le plus vite possible le plus grand nombre d'âmes de ces bébés car il s'agit d'un véritable génocide.
Il y a d'ailleurs une image miraculeuse de Jésus tenant un fœtus dans la main et pleurant
http://spiritualitechretienne.blog4ever.com/l-image-du-seigneur-tenant-un-bebe-dans-sa-main
J'avais même lu quelque part, que nous devons, même une fois baptisés, penser à ces enfants, offrir à Dieu des actes, des prières de leur part, comme s'ils avaient pu les offrir durant la vie qu'on leur a ôtée.
Il y a aussi dans le chapelet des larmes de Notre Dame sur le site http://www.saintamour.org/lacdeslarmes.htm
une méditation donnée par Notre Dame, elle-même avec à la 5ème douleur de Marie - La Crucifixion , la réflexion suivante :
Sur le lien suivant, il y a aussi une belle méditation sur le chapelet des larmes de Marie, lors de la deuxième douleur, qui rappelle la fuite en Egypte et le génocide des enfants, faisant le lien avec celui de notre époque
http://trinite-sainte-et-mariemamere.over-blog.com/article-32143099.html
Bien fraternellement
* Bien trop souvent, actuellement, on peut vous dire que ce n'est pas ou plus utile de prier pour ceci ou cela. C'est faux, bien-sûr, il faut que nos prières viennent du cœur et ne soient pas récitées machinalement mais il est très important de prier, pour les toutes les âmes, pour le clergé, pour les pécheurs et les mourants, pour les âmes du purgatoire .... prier le chapelet, prier St Michel Archange, prier le Seigneur, les Anges, les Saints ...
Bonjour,
Nous avons le droit de faire ce baptême car tout baptisé, par son baptême est "Prêtre, Prophète et Roi" à la suite du Christ
Prière qui accompagne l'Onction avec le Saint Chrême à notre baptême
"Le Dieu tout-puissant, Père de Jésus, le Christ, notre Seigneur, vous a fait renaître de l'eau et de l'Esprit Saint, et vous a donné le pardon de tous vos péchés. Vous faites partie de son peuple. Il vous marque de l'huile du salut (Le célébrant fait sur la tête de chacun une onction avec le Saint-Chrême.) afin que vous demeuriez membre du Christ prêtre, prophète et roi pour la vie éternelle."
expliquées, par exemple, sur le site suivant : http://arras.catholique.fr/page-21784.html
Les trois charges à vivre à la suite du Christ: Prêtre, roi, prophète
Dans cette partie, je voudrais reprendre, au sujet de la mission confiée à Eglise, les trois mots que j'avais mis entre parenthèses en parlant du Christ : Prêtre, roi, prophète. Ces mots peuvent nous surprendre comme langage obscur venu d'un autre âge. C'est ici l'occasion de nous en expliquer. J'aurais pu prendre d'autres termes comme "témoignage, service et communion", cela ne nous avancerait guère. Ou encore :"Vivre, croire, célébrer", mais là aussi il faut s'en expliquer. Ces trois éléments sont constitutifs ensemble, de la mission confiée à Eglise. Ils peuvent nous aider à vérifier si nous vivons bien la mission dans sa totalité.
Charge prophétique, sacerdotale, royale sont des expressions de la Tradition chrétienne, des premiers siècles jusqu'aujourd'hui. Jean-Paul II les reprend, dans son encyclique :"Les fidèles laïcs du Christ" (1988), à la suite de Vatican II : "Les fidèles laïcs participent, pour leur part, à la triple fonction de Jésus-Christ : sacerdotale, prophétique et royale. C'est un aspect qui certes, n'a jamais été négligé par la tradition vivante de Eglise..." Dans le sillage du Concile Vatican II, dés le début de mon service pastoral, j'ai tenu à exalter la dignité sacerdotale, prophétique et royale de tout le peuple de Dieu".
Ceci semble évident pour Jean-Paul II. Je ne suis pas persuadé que nous ayons mesuré l'importance de cette affirmation. Il est important de reprendre ces trois points comme moyens pour comprendre Eglise aujourd'hui, sa mission, et donc la nôtre. Ces trois charges sacerdotales, prophétique et royale peuvent nous aider à analyser et vérifier notre responsabilité de la mission, dans les mouvements, et dans leur accompagnement.
Charge sacerdotale !
Le baptême inaugure pour tout chrétien la communion avec Dieu. Nous devenons membres du Corps du Christ. Par le baptême, nous avons vocation d'inviter tout homme à entrer dans la communion avec Dieu ! Ce service de la communion à Dieu s'exprime avant tout dans l'assemblée eucharistique qui célèbre Jésus-Christ, rend grâce à Dieu, porte devant lui toute la vie du monde : "ce pain et ce vin, fruit de la terre et du travail des hommes" offerts en sacrifice "pour la gloire de Dieu et le salut du monde."
Ce service de la communion à Dieu s'exprime aussi dans la prière personnelle, l'offrande de nos vies. Plus encore, toute notre vie peut être prière, relation à Dieu, communion avec lui. Le concile emploie des tournures un peu solennelles pour parler de cette vie des laïcs :"Toutes leurs activités, leurs détentes d'esprit et de corps, si elles sont vécues dans l'Esprit de Dieu, et même les épreuves de la vie... tout cela devient offrandes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ." Encore faut-il prendre le temps de s'en rendre compte.
Charge royale !
Cette charge commence par un regard sur le monde dans lequel je baigne, un regard sur celui que je rencontre: croire en l'homme, croire en la vie. Ce regard entraîne une manière de vivre le service de l'homme et de la vie du monde: "Je ne suis pas venu pour être servi, mais pour servir." ou "celui qui veut être le premier se fasse le serviteur de tous". Ce n'est pas un commandement, ni une méthode d'action, c'est le fondement même de la responsabilité de tout baptisé: le service de l'homme, de tout homme, à commencer par les pauvres et les exclus. (Les laïcs doivent assumer comme leur tâche propre le renouvellement de l'ordre temporel... Membres de la cité, ils ont à coopérer avec les autres suivant leur compétence particulière, en assumant leur propre responsabilité et à chercher partout et en tout la justice du Royaume de Dieu".
C'est le travail de toute Eglise de rendre les hommes capables de bien construire l'ordre temporel et de l'orienter vers Dieu. Lorsque la J.O.C. ou l'A.C.E. s'affirment mouvement d'éducation et d'évangélisation, ils se situent dans cette perspective. L'A.C.O. mettra une insistance particulière à lutter pour la paix, la justice, la fraternité. Avec les hommes de bonne volonté, elle mène un combat pour l'homme. Ces actions dépassent de beaucoup l'œuvre de bienfaisance. Jean-Paul II l'exprime ainsi :"La solidarité n'est pas un sentiment de compassion vague ou d'attendrissement superficiel pour les maux subis par tant de personnes proches ou lointaines. Au contraire, c'est la détermination ferme et persévérante de travailler pour le bien commun; c'est-à-dire pour le bien de tous et de chacun, parce que tous, nous sommes vraiment responsables de tous".
Charge prophétique
Nous sommes ici dans l'ordre de l'annonce, du témoignage, de la structuration de la foi. Il ne s'agit pas de poser des gestes extraordinaires mais, par les actes et les paroles de la vie quotidienne, rendre compte de l'Esprit qui nous anime. La catéchèse assume une part non négligeable de cette fonction. Mais il en va de même du catéchuménat, des recommençants, des homélies lors des offices. L'abonnement à un journal ou une revue qui régulièrement apporte éclairage sur la vie de l'Eglise, l'interprétation des Ecritures, est participation à la charge prophétique. Recevoir nourriture pour la route, mais aussi donner nourriture.
L'Eglise, paroisses, mouvements, services, pour leur part exercent, la mission à vivre
Paroisses, mouvements, services, exercent pour leur part la triple fonction.
Exercice à réaliser en 6X6 et dialogue avec l'animateur. Compte tenu de la présentation ci-dessus, prendre le temps de discerner dans les activités des différents groupes d'animation, ce qui est se rattache à l'une ou l'autre fonction. Sachant qu'un groupe peut très bien vivre deux ou trois fonctions.
Articuler entre elles les trois charges
Arrivés au terme de la réflexion, il nous reste maintenant à relire nos vies et nos pratiques, à vérifier comment nous sommes fidèles à la mission qui nous est confiée, et comment pour notre part, dans les responsabilités qui nous sont confiées, nous sommes attentifs à susciter un dynamisme apostolique dans toutes ses dimensions. Toute communauté croyante, tout baptisé est appelé à vivre les trois pôles définis ci-dessus. Nous avons à articuler, à tenir ensemble ces trois caractéristiques de la mission. Tous les baptisés ne les vivent pas de la même manière. Au risque de caricaturer, je signale trois tendances qui cohabitent dans l'Eglise:
* Les courants identitaires qui parcourent l'Eglise insisteront d'avantage sur l'aspect "L'affirmation de la foi".
* Les mouvements charismatiques insisteront d'avantage sur l'aspect spirituel, "union à Dieu, communion à Dieu dans l'Esprit".
* Les mouvements d'Action catholique insisteront d'avantage sur "la responsabilité dans le monde, l'action pour changer les structures" et, pour les mouvements de jeunes, leur "responsabilité d'éducation humaine".
En choisissant un pôle au détriment des deux autres, nous affaiblissons la mission. Mais en même temps, tout le monde ne fait pas tout de la même manière. En fonction des charismes et intuitions propres aux groupes, il y aura des différences qui feront la richesse de l'Eglise. Puisse cette présentation nous aider à comprendre où se situent les difficultés à vivre ensemble et différents, complémentaires au sein de l'Eglise, paroisses, mouvements, services. Nous aurons l'occasion d'y revenir (EAP). Les paroisses nouvelles seront-elles des lieux où des communautés diverses se rencontrent et entendent l'appel à la conversion afin de mieux correspondre à la triple fonction qui est celle du Christ : Roi, prêtre, prophète : les trois.
Pour baptiser ces enfants, nous devons avoir, avec nous, de l'eau bénite.
Mais si par exemple, vous vous trouvez sur le lieu d'un accident, que la personne blessée va mourir et qu'elle souhaite recevoir le baptême, vous pouvez, en tant que baptisé, le lui donner. Il faudrait aussi que je retrouve ça mais je l'ai lu quelque part , comme tant d'autres choses d'ailleurs
Je ne souhaite pas discuter de ce que les prêtres disent* mais je sais ce que Notre Seigneur a demandé à une mère de famille allemande :
http://imagessaintes.canalblog.com/archives/2008/11/15/11372075.htmlRévélation privée de Jésus à Marie, une mère de famille allemande, demandant à tous, hommes, femmes, jeunes gens et jeunes filles, de procéder au Baptême des Bébés avortés selon le rituel très précis que le Seigneur a prescrit.
De mémoire, lorsque j'avais lu cette histoire, cette femme était dans un bus et passait à côté d'usines dont les cheminées fumaient constamment et Notre Seigneur lui a dit, qu'il s'agissait d'incinérateurs pour les fœtus et lui a recommandé de dire ce baptême afin de sauver le plus vite possible le plus grand nombre d'âmes de ces bébés car il s'agit d'un véritable génocide.
Il y a d'ailleurs une image miraculeuse de Jésus tenant un fœtus dans la main et pleurant
http://spiritualitechretienne.blog4ever.com/l-image-du-seigneur-tenant-un-bebe-dans-sa-main
J'avais même lu quelque part, que nous devons, même une fois baptisés, penser à ces enfants, offrir à Dieu des actes, des prières de leur part, comme s'ils avaient pu les offrir durant la vie qu'on leur a ôtée.
Il y a aussi dans le chapelet des larmes de Notre Dame sur le site http://www.saintamour.org/lacdeslarmes.htm
une méditation donnée par Notre Dame, elle-même avec à la 5ème douleur de Marie - La Crucifixion , la réflexion suivante :
Ce site est d'ailleurs beaucoup dédié aux prières contre l'avortement."Je vous invite à méditer sur la souffrance d'un cœur de Mère à la mort de Son Fils et à la vertu du pardon que J'ai reçue par la grâce et la prière. Pensez à Ma douleur à la vue de la mort d'un enfant à naître."
Sur le lien suivant, il y a aussi une belle méditation sur le chapelet des larmes de Marie, lors de la deuxième douleur, qui rappelle la fuite en Egypte et le génocide des enfants, faisant le lien avec celui de notre époque
http://trinite-sainte-et-mariemamere.over-blog.com/article-32143099.html
Bien fraternellement
* Bien trop souvent, actuellement, on peut vous dire que ce n'est pas ou plus utile de prier pour ceci ou cela. C'est faux, bien-sûr, il faut que nos prières viennent du cœur et ne soient pas récitées machinalement mais il est très important de prier, pour les toutes les âmes, pour le clergé, pour les pécheurs et les mourants, pour les âmes du purgatoire .... prier le chapelet, prier St Michel Archange, prier le Seigneur, les Anges, les Saints ...
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4319
Localisation : France
Inscription : 28/10/2009
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Merci! que Dieu vous bénisse !
lucifuge- Aime la Bible
- Messages : 13
Inscription : 18/03/2010
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Merci beaucoup à vous carine pour ce partage de prière!carine a écrit:Baptême quotidien des enfants non nés, (à faire chez soi)
Baptême demandé par le Seigneur Lui-même à une âme avec les paroles suivantes :
Dépêchez-vous de leur porter secours avant qu’il ne soit trop tard
Prière :
L’Amour du Seigneur s’étend d’âge en âge sur ceux qui Le craignent …
... pour délivrer leur âme de la mort et les faire vivre au temps de la famine.
Récitation du Credo
Vous tous mort-nés en ce jour ou en cette nuit, vous tous qui avez été tués dans le sein de votre mère,
vous tous qui serez tués, afin que, par Jésus-Christ, vous ayez la vie éternelle,
Je vous baptise Marie, Joseph, Jean et le Saint du jour (le nommer)
[en aspergeant les quatre points cardinaux avec de l’eau bénite]
Car Dieu répand l’eau bénite sur la tête des enfants et donne à chacun un nom
Je vous baptise au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Je t'ai appelé par ton nom, tu es à Moi
Chantez au Seigneur un cantique nouveau car Il a fait des merveilles
Je veux chanter éternellement les Grâces du Seigneur,
Alléluia, Alléluia, Alléluia,
Ô Amour, Ô Amour infini de Dieu
Alléluia, Alléluia, Alléluia,
Notre Père, Je Vous Salue Marie, Gloria.
Bien à vous.
charite11- Aime la Divine Volonté
- Messages : 878
Localisation : Québec
Inscription : 09/08/2013
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Sur cette question une explication datée de ce mois de janvier 2016 à ND de Rocamadour:
http://catholiquedu.free.fr/2016/JAiUnEnfantNonNeQueDoisJeFairePourLui.pdf
Nous préparons un site pour inscrire chaque prénom d'enfant confié à une messe perpetuelle pour donner NOMMEMENT à chacun de quoi se nourrir de la messe chaque jour jusqu'à ...
http://catholiquedu.free.fr/2016/JAiUnEnfantNonNeQueDoisJeFairePourLui.pdf
Nous préparons un site pour inscrire chaque prénom d'enfant confié à une messe perpetuelle pour donner NOMMEMENT à chacun de quoi se nourrir de la messe chaque jour jusqu'à ...
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Nous préparons un site pour inscrire chaque prénom d'enfant confié à une messe perpetuelle pour donner NOMMEMENT à chacun de quoi se nourrir de la messe chaque jour jusqu'à ...
Quelle merveille !
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4319
Localisation : France
Inscription : 28/10/2009
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Pere Nathan a écrit:http://catholiquedu.free.fr/2016/JAiUnEnfantNonNeQueDoisJeFairePourLui.pdf
Nous préparons un site pour inscrire chaque prénom d'enfant confié à une messe perpetuelle pour donner NOMMEMENT à chacun de quoi se nourrir de la messe chaque jour pendant 50 ans ( durée de vie de ses cellules staminales encore vivantes dans le corps de la maman) ...
Le site des nonnés a du mal à se mettre en place... Nous y travaillons
Ici, les mères retrouveront la voie pour retrouver la grâce, la réparation chaleureuse, la vie redonnée les innocents non nés revivront dans l'allégresse des retrouvailles inespérées les prêtres apprendront et téléchargeront la liturgie pour la guérison, pour la vie , et pour la justification des enfants morts sans baptême, liturgie officielle épurée et reconnue après 17 ans de travail dans les commissions de liturgie diocésaine les cathos réveillés apprendront à adopter ces innocents crucifiés triomphants grâce à eux dans l'Innocence divine du Christ …. le site non-nes.com catholique est encore en construction : vos enfants attendent tout de ceux qui les aiment. Tout commence, une nouvelle vie, une nouvelle famille, une nouvelle vocation, un nouvel horizon, une mission de joie, de gratitude et de vie. Mon enfant est tout à moi et je connais désormais la voie pour qu’il me revienne et que partout où il ira désormais, il trouve où être ce qu’il doit être et rayonner une liberté nouvelle où son innocence blessée triomphera rayonnante de toutes les forces contraires, comme roi fraternel de l’univers et témoin d’un monde nouveau en Dieu dès cette terre…
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Belle initiative dans ces temps où le Baptême semble relegué comme une simple "option" , il est primordial pour notre Salut, car
Jésus répondit: " En vérité, en vérité, je te le dis, nul, s'il ne renaît de l'eau et de l'Esprit, ne peut entrer dans le Royaume de Dieu
Jésus répondit: " En vérité, en vérité, je te le dis, nul, s'il ne renaît de l'eau et de l'Esprit, ne peut entrer dans le Royaume de Dieu
Invité- Invité
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Je vous confie ce FIL si important et à St Michel Archange .... MERCI !
Vision générale : La question de l’Amour catholique pour les Non-Nés, du Père Patrick fj
LES ENFANTS NON-NES ?
Les Saints, la Sainte Eglise, semblent jusqu'à ces temps derniers ne pas s'être préoccupés de ce problème.
Pourquoi ?
C'est que pour l'Eglise, une chose était claire : un enfant mort sans baptême ( en particulier un enfant décédé en fausse couche, et donc aussi les enfants avortés sans que l’on se soit préoccupé de les ondoyer pour leur salut de leur vivant) n'est pas introduit à la Vision béatifique du Ciel; ils ne sont pas non plus au Purgatoire (ils n'ont pas de péché personnel à expier), ni bien sûr en Enfer; ils sont dans un état particulier d'attente... puisqu'ils ont, bien entendu, conservé leur âme immortelle créée par Dieu dès le sein maternel. Ce statut particulier d'attente, certains ont bien voulu l'appeler "les Limbes".
Ce mot réfère certes au "lieu" où, avant que la Rédemption du monde ne s'accomplisse sur le Golgotha par la Mort du CHRIST, se trouvaient toutes les âmes en attente décédées depuis Adam.
Car jusqu'à ce jour du Vendredi Saint, il n'existait encore ni Purgatoire, ni Ciel de Vision pour les "justes", ni Enfer pour les réprouvés issus d'Adam... Quand Jésus "descend aux enfers", c’est à Sa mort sur la croix, et l'expression du Credo désigne sous cette expression les fameuses limbes. Sur la croix sanglante Marie voit le cadavre de Jésus, dans la Croix glorieuse de son âme remplie de gloire, les justes et les hommes depuis les premiers jours de la création aperçoivent le rédempteur et le juge.
Alors, les justes sont introduits dans cette gloire du paradis où le Christ les introduit à l'intime de sa gloire; certains autres se rejettent loin de lui, comme ils l'ont fait leur vie durant en résistant à la volonté de Dieu, et c'est l'apparition de l'Enfer définitif; d'autres enfin qui ne sont pas assez prêts pour goûter la béatitude éternelle commencent un processus de purification au Purgatoire qui les rapprochera de plus en plus du Ciel des élus.
Depuis la mort et la résurrection de Jésus, le statut des limbes a donc disparu; du moins faut-il dire, que c'est le statut d'attente d'avant Jésus-Christ qui a disparu.
Mais voilà! Les enfants innocents non lavés de la tâche originelle et morts avant de naître se trouvent eux aussi dans un certain état d'attente. Le pape Pie VI a condamné l'hérésie janséniste qui leur refusait ce statut; c'est que les enfants non-nés ne peuvent être ni en Enfer, ni au Purgatoire, mais pas davantage au Paradis céleste puisqu'ils n'ont reçu aucune forme de Baptême:
- ni le baptême sacramentel qui ne leur a pas été administré.
- ni la justification par un acte de Foi qu'il ne leur a pas été possible de faire.
- ni par le Baptême de désir ( même si "le désir explicite de Baptême de la part des parents du vivant de l'enfant est considéré par certains théologiens comme valant Baptême pour l'enfant", ce n'est pas le cas pour l'immense majorité des enfants que nous considérons ici ).
- ni le Baptême de sang, car il faudrait pour cela que la mort ait été procurée par haine du Christ (par ex. si on tue un enfant dans le sein parce qu'on sait qu'il sera chrétien).
- ni le Baptême de grâce, dont Jean-Baptiste à la Visitation, Nicolas de Flue ou d'autres saints ont bénéficié avant même de naître.
Ces enfants sont donc après leur mort dans un état d'attente: ils sont "in via" (en pèlerinage); ils sont encore dans le temps.
On peut par là dire qu'il est encore au pouvoir de l'Eglise de les atteindre, puisque Jésus a donné à l'Eglise militante de secourir tous les hommes qui sont dans le temps.
Nombreux sont ceux pourtant qui écartent cette considération par ce qu'on appelle une ignorance affectée", disant par ex que « Dieu ne les rejette pas, puisqu'ils sont innocents », ou « qu'ils sont au ciel », ou encore « qu'on ne peut plus rien faire », et « qu'on ne respecte pas la doctrine de l'Eglise en disant qu'on peut quand même les baptiser sacramentellement » ( cette dernière affirmation est par ailleurs exacte)...
Pourtant, nous nous apercevrons que dès que l'on se préoccupe de les retrouver et les aider dans leur détresse actuelle, de les retrouver pour les réintroduire dans la famille humaine, et plus particulièrement dans la communion des saints, il y a comme un soulagement chez les parents, l'entourage, les frères survivants; du côté des chrétiens il y a comme une constante du "sensus fidei" et de l'instinct de la charité, qui de même les pousse à prier et n'avoir de cesse que toute l'Eglise adopte pour leur aide, leur soulagement et leur incorporation dans la communion une liturgie adaptée et reconnue...
Bref, il s'agit d'expliquer comment on peut secourir ces enfants dans la détresse où ils se trouvent dans un cri silencieux qui perdure en eux après la mort.
En effet, l'enfant agressé dans le sein maternel connaît au moment du meurtre une angoisse et un cri silencieux de tout son être, et ce dernier, une fois la mort consommée, se prolonge en un cri de désespoir permanent, une sorte de souffrance ténébreuse incompréhensible; c'est la plus grande torture que Satan ait inventée pour se venger de l'innocence humaine; l'enfant abandonné, rejeté par sa mère et les siens, ignoré de l'humanité toute entière, inconsidéré par les prières explicites de l'Eglise (l'unique canal pourtant des secours de la grâce sur notre terre), va crier sa souffrance, son appel, sa douleur d’être privé de tout amour effectif et de la communion de la grâce de Dieu et de l’Eglise...
Et ce cri, ce désespoir-source, cette angoisse diffusée va s'accrocher à sa mère, à celui de ses frères et sœurs de complexion psychologique plus fragile, au médecin avorteur, aux lieux de sa malédiction (clinique, maison familiale, etc....).
Bref, voilà que cette victime va devenir "source de mal". N'est-ce pas là la raison pour laquelle le démon a un avantage définitif à ce qu'il y ait des milliards d'avortements? En effet, ces enfants deviennent source, en toute justice, de révolte, de coupure avec Dieu, de misères diverses (dépressions, schizophrénies, syndromes, cancers de toutes sortes, etc... ).
Ils engendrent par exemple le syndrome de l'avorteur: le médecin la première fois est-il de bonne foi? L'angoisse rémanente que l'enfant lui rappelle par la suite sans qu'il puisse savoir d'où elle provient, le ramène à l'acte (le criminel qui revient sur le lieu de son crime), et il va ensuite avorter par besoin, par instinct, parfois dans une rage abortive incompréhensible: de plus en plus d'avortements naîtront de ce syndrome, cercle infernal, où l'on voit les âmes des enfants eux-mêmes être comme responsables (non coupables) et provoquer un malaise ténébreux.
Alors comment faire pour aider les enfants non-nés et morts sans baptême ?
Comment permettre à notre enfant, après qu'il a été chargé de la plus grande croix possible, puisse recevoir la plus grande grâce qui y correspond sûrement ?
Comment les chrétiens peuvent-ils, dans le pouvoir des clés que le Christ a confiées à l'Eglise, les atteindre pour au moins les arracher à cet état irrespirable pour lesquelles Satan organise ces sacrifices humains ?
Sans vouloir nous étendre, proposons, une approche d'amour en 7 étapes :
.Comme le bon samaritain, poser enfin son regard sur lui, voir son état, s'arrêter, sentir sa détresse.
•Commencer à le confier au Christ par une prière fervente et/ou par une Messe pour l'arracher à sa malédiction, qu'il ne puisse plus être source de mal.
•Le réintroduire dans une relation saine avec notre humanité: le réapprivoiser, en l'entourant d'une tendresse sensible qu'il n'a jamais connue, lui demander pardon, passer du temps pour que se crée entre lui et nous, progressivement, une proximité, une confiance, une intimité; le réengendrer affec-tueusement, maternellement, paternellement, et le mieux connaître, autant qu'il nous est possible
•Lui donner un prénom (qui est souvent "donné"); et le voilà réintégré dans la famille humaine...
•L'introduire à l'intérieur de notre prière, qu'à travers nous, son âme retrouve contact, je crois aussi réconciliation avec Dieu: le faire entrer dans nos actes religieux; credo, communions...
•C'est le moment de la cérémonie, où l'Eglise peut permettre que, d'exclu de la grâce, il soit admis à être plongé dans le rayonnement de la grâce eucharistique; s'il est possible, il est incorporé à la communion de l'Eglise, à la communion des saints, au Corps Mystique du Christ; il est confié explicitement au Cœur Eucharistique du Christ.
•Se réjouir de sa nouvelle mission en le consacrant à Marie, que sous l'autel, il reçoive la robe blanche et la lumière pour que son statut d'attente en quelque sorte devienne chrétien et fécond : prière, patience d'amour et pardon (Apocalypse, chap. 6, verset 11)
Certes, l'Eglise, on peut le penser, aurait dans le pouvoir des clés qui lui a été confiée l'autorité suffisante pour les proclamer officiellement martyrs, comme les saints innocents de Bethléem, du moins ceux qui sont morts par l'avortement provoqué...Il faudrait établir et définir pour cela en quoi c'est en effet par haine du Christ ou son Eglise, que ces meurtres massifs sont organisés. Cette proclamation les mettrait ipso facto au Ciel.
Mais l'Eglise a bien des hésitations. Parmi les raisons, il faut noter qu'il lui manque un préalable dans sa doctrine expresse: "à quel moment Dieu crée-t-il l'âme immortelle et spirituelle dans le processus embryonnaire ?".
Car comment généraliser des cérémonies pour des enfants dont l'Eglise est encore hésitante à définir qu'ils aient tous une âme spirituelle et immortelle, bref, pour des enfants dont certains n'existeraient peut-être pas ! ?
A Cotignac et en d’autres diocèses, l’occasion nous est offerte d'adopter ces victimes innocentes dans une demande d'expiation au cours d'une cérémonie couverte par une demande officielle de Rome et organisée par un conseil liturgique diocésain … ALLELUIA !
Vision générale : La question de l’Amour catholique pour les Non-Nés, du Père Patrick fj
LES ENFANTS NON-NES ?
Les Saints, la Sainte Eglise, semblent jusqu'à ces temps derniers ne pas s'être préoccupés de ce problème.
Pourquoi ?
C'est que pour l'Eglise, une chose était claire : un enfant mort sans baptême ( en particulier un enfant décédé en fausse couche, et donc aussi les enfants avortés sans que l’on se soit préoccupé de les ondoyer pour leur salut de leur vivant) n'est pas introduit à la Vision béatifique du Ciel; ils ne sont pas non plus au Purgatoire (ils n'ont pas de péché personnel à expier), ni bien sûr en Enfer; ils sont dans un état particulier d'attente... puisqu'ils ont, bien entendu, conservé leur âme immortelle créée par Dieu dès le sein maternel. Ce statut particulier d'attente, certains ont bien voulu l'appeler "les Limbes".
Ce mot réfère certes au "lieu" où, avant que la Rédemption du monde ne s'accomplisse sur le Golgotha par la Mort du CHRIST, se trouvaient toutes les âmes en attente décédées depuis Adam.
Car jusqu'à ce jour du Vendredi Saint, il n'existait encore ni Purgatoire, ni Ciel de Vision pour les "justes", ni Enfer pour les réprouvés issus d'Adam... Quand Jésus "descend aux enfers", c’est à Sa mort sur la croix, et l'expression du Credo désigne sous cette expression les fameuses limbes. Sur la croix sanglante Marie voit le cadavre de Jésus, dans la Croix glorieuse de son âme remplie de gloire, les justes et les hommes depuis les premiers jours de la création aperçoivent le rédempteur et le juge.
Alors, les justes sont introduits dans cette gloire du paradis où le Christ les introduit à l'intime de sa gloire; certains autres se rejettent loin de lui, comme ils l'ont fait leur vie durant en résistant à la volonté de Dieu, et c'est l'apparition de l'Enfer définitif; d'autres enfin qui ne sont pas assez prêts pour goûter la béatitude éternelle commencent un processus de purification au Purgatoire qui les rapprochera de plus en plus du Ciel des élus.
Depuis la mort et la résurrection de Jésus, le statut des limbes a donc disparu; du moins faut-il dire, que c'est le statut d'attente d'avant Jésus-Christ qui a disparu.
Mais voilà! Les enfants innocents non lavés de la tâche originelle et morts avant de naître se trouvent eux aussi dans un certain état d'attente. Le pape Pie VI a condamné l'hérésie janséniste qui leur refusait ce statut; c'est que les enfants non-nés ne peuvent être ni en Enfer, ni au Purgatoire, mais pas davantage au Paradis céleste puisqu'ils n'ont reçu aucune forme de Baptême:
- ni le baptême sacramentel qui ne leur a pas été administré.
- ni la justification par un acte de Foi qu'il ne leur a pas été possible de faire.
- ni par le Baptême de désir ( même si "le désir explicite de Baptême de la part des parents du vivant de l'enfant est considéré par certains théologiens comme valant Baptême pour l'enfant", ce n'est pas le cas pour l'immense majorité des enfants que nous considérons ici ).
- ni le Baptême de sang, car il faudrait pour cela que la mort ait été procurée par haine du Christ (par ex. si on tue un enfant dans le sein parce qu'on sait qu'il sera chrétien).
- ni le Baptême de grâce, dont Jean-Baptiste à la Visitation, Nicolas de Flue ou d'autres saints ont bénéficié avant même de naître.
Ces enfants sont donc après leur mort dans un état d'attente: ils sont "in via" (en pèlerinage); ils sont encore dans le temps.
On peut par là dire qu'il est encore au pouvoir de l'Eglise de les atteindre, puisque Jésus a donné à l'Eglise militante de secourir tous les hommes qui sont dans le temps.
Nombreux sont ceux pourtant qui écartent cette considération par ce qu'on appelle une ignorance affectée", disant par ex que « Dieu ne les rejette pas, puisqu'ils sont innocents », ou « qu'ils sont au ciel », ou encore « qu'on ne peut plus rien faire », et « qu'on ne respecte pas la doctrine de l'Eglise en disant qu'on peut quand même les baptiser sacramentellement » ( cette dernière affirmation est par ailleurs exacte)...
Pourtant, nous nous apercevrons que dès que l'on se préoccupe de les retrouver et les aider dans leur détresse actuelle, de les retrouver pour les réintroduire dans la famille humaine, et plus particulièrement dans la communion des saints, il y a comme un soulagement chez les parents, l'entourage, les frères survivants; du côté des chrétiens il y a comme une constante du "sensus fidei" et de l'instinct de la charité, qui de même les pousse à prier et n'avoir de cesse que toute l'Eglise adopte pour leur aide, leur soulagement et leur incorporation dans la communion une liturgie adaptée et reconnue...
Bref, il s'agit d'expliquer comment on peut secourir ces enfants dans la détresse où ils se trouvent dans un cri silencieux qui perdure en eux après la mort.
En effet, l'enfant agressé dans le sein maternel connaît au moment du meurtre une angoisse et un cri silencieux de tout son être, et ce dernier, une fois la mort consommée, se prolonge en un cri de désespoir permanent, une sorte de souffrance ténébreuse incompréhensible; c'est la plus grande torture que Satan ait inventée pour se venger de l'innocence humaine; l'enfant abandonné, rejeté par sa mère et les siens, ignoré de l'humanité toute entière, inconsidéré par les prières explicites de l'Eglise (l'unique canal pourtant des secours de la grâce sur notre terre), va crier sa souffrance, son appel, sa douleur d’être privé de tout amour effectif et de la communion de la grâce de Dieu et de l’Eglise...
Et ce cri, ce désespoir-source, cette angoisse diffusée va s'accrocher à sa mère, à celui de ses frères et sœurs de complexion psychologique plus fragile, au médecin avorteur, aux lieux de sa malédiction (clinique, maison familiale, etc....).
Bref, voilà que cette victime va devenir "source de mal". N'est-ce pas là la raison pour laquelle le démon a un avantage définitif à ce qu'il y ait des milliards d'avortements? En effet, ces enfants deviennent source, en toute justice, de révolte, de coupure avec Dieu, de misères diverses (dépressions, schizophrénies, syndromes, cancers de toutes sortes, etc... ).
Ils engendrent par exemple le syndrome de l'avorteur: le médecin la première fois est-il de bonne foi? L'angoisse rémanente que l'enfant lui rappelle par la suite sans qu'il puisse savoir d'où elle provient, le ramène à l'acte (le criminel qui revient sur le lieu de son crime), et il va ensuite avorter par besoin, par instinct, parfois dans une rage abortive incompréhensible: de plus en plus d'avortements naîtront de ce syndrome, cercle infernal, où l'on voit les âmes des enfants eux-mêmes être comme responsables (non coupables) et provoquer un malaise ténébreux.
Alors comment faire pour aider les enfants non-nés et morts sans baptême ?
Comment permettre à notre enfant, après qu'il a été chargé de la plus grande croix possible, puisse recevoir la plus grande grâce qui y correspond sûrement ?
Comment les chrétiens peuvent-ils, dans le pouvoir des clés que le Christ a confiées à l'Eglise, les atteindre pour au moins les arracher à cet état irrespirable pour lesquelles Satan organise ces sacrifices humains ?
Sans vouloir nous étendre, proposons, une approche d'amour en 7 étapes :
.Comme le bon samaritain, poser enfin son regard sur lui, voir son état, s'arrêter, sentir sa détresse.
•Commencer à le confier au Christ par une prière fervente et/ou par une Messe pour l'arracher à sa malédiction, qu'il ne puisse plus être source de mal.
•Le réintroduire dans une relation saine avec notre humanité: le réapprivoiser, en l'entourant d'une tendresse sensible qu'il n'a jamais connue, lui demander pardon, passer du temps pour que se crée entre lui et nous, progressivement, une proximité, une confiance, une intimité; le réengendrer affec-tueusement, maternellement, paternellement, et le mieux connaître, autant qu'il nous est possible
•Lui donner un prénom (qui est souvent "donné"); et le voilà réintégré dans la famille humaine...
•L'introduire à l'intérieur de notre prière, qu'à travers nous, son âme retrouve contact, je crois aussi réconciliation avec Dieu: le faire entrer dans nos actes religieux; credo, communions...
•C'est le moment de la cérémonie, où l'Eglise peut permettre que, d'exclu de la grâce, il soit admis à être plongé dans le rayonnement de la grâce eucharistique; s'il est possible, il est incorporé à la communion de l'Eglise, à la communion des saints, au Corps Mystique du Christ; il est confié explicitement au Cœur Eucharistique du Christ.
•Se réjouir de sa nouvelle mission en le consacrant à Marie, que sous l'autel, il reçoive la robe blanche et la lumière pour que son statut d'attente en quelque sorte devienne chrétien et fécond : prière, patience d'amour et pardon (Apocalypse, chap. 6, verset 11)
Certes, l'Eglise, on peut le penser, aurait dans le pouvoir des clés qui lui a été confiée l'autorité suffisante pour les proclamer officiellement martyrs, comme les saints innocents de Bethléem, du moins ceux qui sont morts par l'avortement provoqué...Il faudrait établir et définir pour cela en quoi c'est en effet par haine du Christ ou son Eglise, que ces meurtres massifs sont organisés. Cette proclamation les mettrait ipso facto au Ciel.
Mais l'Eglise a bien des hésitations. Parmi les raisons, il faut noter qu'il lui manque un préalable dans sa doctrine expresse: "à quel moment Dieu crée-t-il l'âme immortelle et spirituelle dans le processus embryonnaire ?".
Car comment généraliser des cérémonies pour des enfants dont l'Eglise est encore hésitante à définir qu'ils aient tous une âme spirituelle et immortelle, bref, pour des enfants dont certains n'existeraient peut-être pas ! ?
A Cotignac et en d’autres diocèses, l’occasion nous est offerte d'adopter ces victimes innocentes dans une demande d'expiation au cours d'une cérémonie couverte par une demande officielle de Rome et organisée par un conseil liturgique diocésain … ALLELUIA !
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Cher Père, Désolée mais je suis entièrement d'accord avec Marie-Rose concernant les dissensions destructives de ce Forum.
J'ai eu de très bons echanges avec elle, par contre; Elle est la seule qui a répondu pour la Messe des N-Nés de hier!
De Marie Rose A Hélène vie et amour, Aujourd'hui à 11:42
Bonjour
Merci hélène
Je continuerai de prier en famille et à la Messe
Par contre je ne pense pas revenir sur ce forum
Il y a trop de tensions contre le pape,car il y a une différence entre ne pas tout comprendre et essayer de discuter sur ce qu'attend notre pape,et de lui cracher dessus continuellement comme s'il était l'anti Christ en personne,c'est perturbant et ça divise énormément,ça écartèle le Corps du Christ
Je vais me contenter de partager sur un Forum qui me ressource "Vers la nouvelle Jérusalem"
Union de prières et merci infiniment que Jésus vous bénisse Kisses IHS
J'ai eu de très bons echanges avec elle, par contre; Elle est la seule qui a répondu pour la Messe des N-Nés de hier!
De Marie Rose A Hélène vie et amour, Aujourd'hui à 11:42
Bonjour
Merci hélène
Je continuerai de prier en famille et à la Messe
Par contre je ne pense pas revenir sur ce forum
Il y a trop de tensions contre le pape,car il y a une différence entre ne pas tout comprendre et essayer de discuter sur ce qu'attend notre pape,et de lui cracher dessus continuellement comme s'il était l'anti Christ en personne,c'est perturbant et ça divise énormément,ça écartèle le Corps du Christ
Je vais me contenter de partager sur un Forum qui me ressource "Vers la nouvelle Jérusalem"
Union de prières et merci infiniment que Jésus vous bénisse Kisses IHS
Hélène vie et amour- Contre la Franc Maconnerie
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Re: Baptême quotidien des enfants non nés
@Hélène vie et amour
Désolée Hélène, en lisant votre intervention ci-dessus, j'ai recherché vos messages pour trouver ce dont vous parliez et dont je ne prends connaissance que maintenant ... trop tard !!!
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t35327p90-l-ame-n-a-pas-d-age#354759
D'une part, ne l'ayant pas vu, je ne l'ai pas mis comme vous le souhaitiez bien en évidence sur le forum et par ailleurs, j'ai dû toucher à un réglage pour les notifications car elles ne s'affichent plus comme préalablement. N'hésitez pas, pour des choses si importantes, si cela ne vous dérange pas à m'adresser un mp
Désolée Hélène, en lisant votre intervention ci-dessus, j'ai recherché vos messages pour trouver ce dont vous parliez et dont je ne prends connaissance que maintenant ... trop tard !!!
https://lepeupledelapaix.forumactif.com/t35327p90-l-ame-n-a-pas-d-age#354759
D'une part, ne l'ayant pas vu, je ne l'ai pas mis comme vous le souhaitiez bien en évidence sur le forum et par ailleurs, j'ai dû toucher à un réglage pour les notifications car elles ne s'affichent plus comme préalablement. N'hésitez pas, pour des choses si importantes, si cela ne vous dérange pas à m'adresser un mp
carine- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Pere Nathan a écrit:
Vision générale : La question de l’Amour catholique pour les Non-Nés, du Père Patrick fj
MERCI MON PERE,
Merci pour l'approche d'amour que vous nous proposez
pour aider ces milliards d'enfants qui n'ont pas pu naître et leur famille
Dieu Père, Fils et Saint-Esprit vous protège et vous garde
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Répands ton FEU dans leur vie
apis- Avec les chérubins
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Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Pour nous aider à pénétrer dans cette approche d’amour vers tous les enfants non-nés
voici des notes sur ce que Père Nathan nous a donné lors d’une retraite :
« La première chose, c’est d’apprendre à les aimer, apprendre à les regarder, apprendre à les voir, apprendre à les découvrir, savoir qu’ils sont là. C’est d’autant plus facile s’ils viennent de nous.
L’enfant souffre, il est sur le bord de la route, il faut regarder ce qu’il a, où est-ce qu’il est, de quoi il a besoin.
Il faut le porter sur notre monture, sur l’âne, avec toutes nos forces, notre patience, notre durée.
Nous l’apportons jusqu’à la maison, jusqu’à ce qu’il soit en pleine santé. Nous regardons, nous ne passons pas à côté, nous ne continuons pas la route, nous nous occupons de celui qui est sur le bord de la route.
Et il y a encore quelque chose de son corps qui est vivant pendant cinquante ans environ
[dans les cellules staminales embryonnaires qui sont dans le corps de sa mère].
La mère reste la mère, c’est pour ça qu’elle souffre tant qu’elle n’a pas retrouvé son enfant et tant que l’enfant ne l’a pas retrouvée avec un flux et un reflux d’âme à âme, d’esprit à esprit, de cœur à cœur et de lumière à lumière. Elle demande de l’aide au Bon Dieu, pas forcément explicitement mais implicitement.
Le prêtre va dire : « Regardez votre enfant, laissez-le vivre, vous êtes sa mère ».
L’enfant ne peut vivre qu’avec elle. Elle va laisser liberté à l’enfant de vivre, elle va découvrir sa présence, il va y avoir une proximité, une complicité lumineuse, une complicité maternelle, une complicité filiale.
Il va naître à ce moment-là un courant d’amour.
Là où elle doit s’aider elle-même, c’est de dire : « Je vais laisser cet enfant respirer, je vais laisser cet enfant vivre, bouger, se manifester, s’exprimer, je veux que cet enfant vive et du coup je vais faire vivre aussi ma respiration maternelle vis-à-vis de lui, je vais lui redonner la Lumière, mon affection, ma tendresse, ma proximité, ma présence, ma disponibilité ».
Et il y a une réciprocité qui se fait à ce moment-là.
Du coup elle va sentir très fort la gratitude que l’enfant a vis-à-vis d’elle, sa mère.
Qu’est-ce qu’il est content qu’elle lui ait donné la vie, l’existence !
Dieu a engendré en elle à partir de son unité sponsale, Il a créé un enfant dans la gratitude universelle, et de Dieu, et de la terre, et de l’univers, et du Ciel, et du monde angélique, et du corps vivant de la mère, et donc il y a une gratitude. Cette gratitude d’exister va revenir à la mère dès lors qu’elle décide de redevenir la mère.
C’est pour ça que nous allons toujours proposer aux mères, si nous sommes dans une perspective chrétienne – mais il faut faire l’équivalent quand nous sommes dans une perspective médicale humaine métaphysique ontologique, cela peut se faire en sagesse humaine –, qu’il y ait d’abord une réconciliation spirituelle contemplative, amoureuse, tendre et incarnée avec l’enfant.
Cela se reconnaît à ce que la paix est revenue.
Je n’ai plus du tout l’intention de ne plus y penser, au contraire je veux y penser tout le temps librement. Le flux et le reflux se font et la croissance se fait dans la gratitude.
Du coup la vertu de gratitude, d’action de grâces, ne cesse d’augmenter. La vénération de l’enfant vis-à-vis de sa mère augmente. Si on est chrétien, l’Esprit de piété aussi, les Dons du Saint-Esprit aussi. Tout cela ne cesse de grandir, les vertus, l’eutrapélie, la gaieté mutuelle, la joie de vivre ensemble.
Cela devient tellement vrai, tellement vivant, la maternité est tellement revenue à elle-même, la maman s’est réconciliée avec sa maternité et cet enfant vit pleinement de cette maternité dans l’action de grâces, c’est tellement vrai que du coup cet enfant existe enfin dans une famille, il existe dans sa mère, il existe dans la famille humaine, et comme il existe dans la famille humaine il a un nom. »
voici des notes sur ce que Père Nathan nous a donné lors d’une retraite :
« La première chose, c’est d’apprendre à les aimer, apprendre à les regarder, apprendre à les voir, apprendre à les découvrir, savoir qu’ils sont là. C’est d’autant plus facile s’ils viennent de nous.
L’enfant souffre, il est sur le bord de la route, il faut regarder ce qu’il a, où est-ce qu’il est, de quoi il a besoin.
Il faut le porter sur notre monture, sur l’âne, avec toutes nos forces, notre patience, notre durée.
Nous l’apportons jusqu’à la maison, jusqu’à ce qu’il soit en pleine santé. Nous regardons, nous ne passons pas à côté, nous ne continuons pas la route, nous nous occupons de celui qui est sur le bord de la route.
Et il y a encore quelque chose de son corps qui est vivant pendant cinquante ans environ
[dans les cellules staminales embryonnaires qui sont dans le corps de sa mère].
La mère reste la mère, c’est pour ça qu’elle souffre tant qu’elle n’a pas retrouvé son enfant et tant que l’enfant ne l’a pas retrouvée avec un flux et un reflux d’âme à âme, d’esprit à esprit, de cœur à cœur et de lumière à lumière. Elle demande de l’aide au Bon Dieu, pas forcément explicitement mais implicitement.
Le prêtre va dire : « Regardez votre enfant, laissez-le vivre, vous êtes sa mère ».
L’enfant ne peut vivre qu’avec elle. Elle va laisser liberté à l’enfant de vivre, elle va découvrir sa présence, il va y avoir une proximité, une complicité lumineuse, une complicité maternelle, une complicité filiale.
Il va naître à ce moment-là un courant d’amour.
Là où elle doit s’aider elle-même, c’est de dire : « Je vais laisser cet enfant respirer, je vais laisser cet enfant vivre, bouger, se manifester, s’exprimer, je veux que cet enfant vive et du coup je vais faire vivre aussi ma respiration maternelle vis-à-vis de lui, je vais lui redonner la Lumière, mon affection, ma tendresse, ma proximité, ma présence, ma disponibilité ».
Et il y a une réciprocité qui se fait à ce moment-là.
Du coup elle va sentir très fort la gratitude que l’enfant a vis-à-vis d’elle, sa mère.
Qu’est-ce qu’il est content qu’elle lui ait donné la vie, l’existence !
Dieu a engendré en elle à partir de son unité sponsale, Il a créé un enfant dans la gratitude universelle, et de Dieu, et de la terre, et de l’univers, et du Ciel, et du monde angélique, et du corps vivant de la mère, et donc il y a une gratitude. Cette gratitude d’exister va revenir à la mère dès lors qu’elle décide de redevenir la mère.
C’est pour ça que nous allons toujours proposer aux mères, si nous sommes dans une perspective chrétienne – mais il faut faire l’équivalent quand nous sommes dans une perspective médicale humaine métaphysique ontologique, cela peut se faire en sagesse humaine –, qu’il y ait d’abord une réconciliation spirituelle contemplative, amoureuse, tendre et incarnée avec l’enfant.
Cela se reconnaît à ce que la paix est revenue.
Je n’ai plus du tout l’intention de ne plus y penser, au contraire je veux y penser tout le temps librement. Le flux et le reflux se font et la croissance se fait dans la gratitude.
Du coup la vertu de gratitude, d’action de grâces, ne cesse d’augmenter. La vénération de l’enfant vis-à-vis de sa mère augmente. Si on est chrétien, l’Esprit de piété aussi, les Dons du Saint-Esprit aussi. Tout cela ne cesse de grandir, les vertus, l’eutrapélie, la gaieté mutuelle, la joie de vivre ensemble.
Cela devient tellement vrai, tellement vivant, la maternité est tellement revenue à elle-même, la maman s’est réconciliée avec sa maternité et cet enfant vit pleinement de cette maternité dans l’action de grâces, c’est tellement vrai que du coup cet enfant existe enfin dans une famille, il existe dans sa mère, il existe dans la famille humaine, et comme il existe dans la famille humaine il a un nom. »
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Baptême quotidien des enfants non nés
@pere nathan Cher Père, voilà bref et concis - impeccable!
Catherine Jouenne a écrit:Pour nous aider à pénétrer dans cette approche d’amour vers tous les enfants non-nés
voici des notes sur ce que Père Nathan nous a donné lors d’une retraite :
« La première chose, c’est d’apprendre à les aimer, apprendre à les regarder, apprendre à les voir, apprendre à les découvrir, savoir qu’ils sont là. C’est d’autant plus facile s’ils viennent de nous.
L’enfant souffre, il est sur le bord de la route, il faut regarder ce qu’il a, où est-ce qu’il est, de quoi il a besoin.
Il faut le porter sur notre monture, sur l’âne, avec toutes nos forces, notre patience, notre durée.
Nous l’apportons jusqu’à la maison, jusqu’à ce qu’il soit en pleine santé. Nous regardons, nous ne passons pas à côté, nous ne continuons pas la route, nous nous occupons de celui qui est sur le bord de la route.
Et il y a encore quelque chose de son corps qui est vivant pendant cinquante ans environ
[dans les cellules staminales embryonnaires qui sont dans le corps de sa mère].
La mère reste la mère, c’est pour ça qu’elle souffre tant qu’elle n’a pas retrouvé son enfant et tant que l’enfant ne l’a pas retrouvée avec un flux et un reflux d’âme à âme, d’esprit à esprit, de cœur à cœur et de lumière à lumière. Elle demande de l’aide au Bon Dieu, pas forcément explicitement mais implicitement.
Le prêtre va dire : « Regardez votre enfant, laissez-le vivre, vous êtes sa mère ».
L’enfant ne peut vivre qu’avec elle. Elle va laisser liberté à l’enfant de vivre, elle va découvrir sa présence, il va y avoir une proximité, une complicité lumineuse, une complicité maternelle, une complicité filiale.
Il va naître à ce moment-là un courant d’amour.
Là où elle doit s’aider elle-même, c’est de dire : « Je vais laisser cet enfant respirer, je vais laisser cet enfant vivre, bouger, se manifester, s’exprimer, je veux que cet enfant vive et du coup je vais faire vivre aussi ma respiration maternelle vis-à-vis de lui, je vais lui redonner la Lumière, mon affection, ma tendresse, ma proximité, ma présence, ma disponibilité ».
Et il y a une réciprocité qui se fait à ce moment-là.
Du coup elle va sentir très fort la gratitude que l’enfant a vis-à-vis d’elle, sa mère.
Qu’est-ce qu’il est content qu’elle lui ait donné la vie, l’existence !
Dieu a engendré en elle à partir de son unité sponsale, Il a créé un enfant dans la gratitude universelle, et de Dieu, et de la terre, et de l’univers, et du Ciel, et du monde angélique, et du corps vivant de la mère, et donc il y a une gratitude. Cette gratitude d’exister va revenir à la mère dès lors qu’elle décide de redevenir la mère.
C’est pour ça que nous allons toujours proposer aux mères, si nous sommes dans une perspective chrétienne – mais il faut faire l’équivalent quand nous sommes dans une perspective médicale humaine métaphysique ontologique, cela peut se faire en sagesse humaine –, qu’il y ait d’abord une réconciliation spirituelle contemplative, amoureuse, tendre et incarnée avec l’enfant.
Cela se reconnaît à ce que la paix est revenue.
Je n’ai plus du tout l’intention de ne plus y penser, au contraire je veux y penser tout le temps librement. Le flux et le reflux se font et la croissance se fait dans la gratitude.
Du coup la vertu de gratitude, d’action de grâces, ne cesse d’augmenter. La vénération de l’enfant vis-à-vis de sa mère augmente. Si on est chrétien, l’Esprit de piété aussi, les Dons du Saint-Esprit aussi. Tout cela ne cesse de grandir, les vertus, l’eutrapélie, la gaieté mutuelle, la joie de vivre ensemble.
Cela devient tellement vrai, tellement vivant, la maternité est tellement revenue à elle-même, la maman s’est réconciliée avec sa maternité et cet enfant vit pleinement de cette maternité dans l’action de grâces, c’est tellement vrai que du coup cet enfant existe enfin dans une famille, il existe dans sa mère, il existe dans la famille humaine, et comme il existe dans la famille humaine il a un nom. »
TRES TRES BIEN CATHERINE, MERCI! CAR CE N'EST QU'à PARTIR DU MOMENT OU LEUR AME S'EVEILLE de CE SOUVENT LONG OUBLI (leur plus grande blessure) que l'Ame peut s'éveiller et grandir dans l'Amour de Dieu. L'Ame étant libre doit accepter de "partir", de "monter" - accepter de quitter l'entourage familial, la fratrie, unique chose qu'elle connaît encore.
C'est pourquoi l'accompagnement aimante de la mère est si important! même très humainement: ex. le petit cadeau à Noël, l'anniversaire qui n'a pas eu lieu, l'invitation à la prière, et peut-être, si on a le cœur large, inviter un ou des 'orphelins qu'on a 'adopté' lors d'une Messe, de venir participer à la fête? Ils ont été crées humains, avant de devenir totalement spirituels
PARFOIS J'ECRIS des MESSAGES et juste au moment où je vais les envoyer ils DISPARAISSENT - et je n'ai pas forcément le temps de recommencer!!
Hélène vie et amour- Contre la Franc Maconnerie
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Voici la suite de nos notes au sujet des enfants non-nés et de l'approche d'amour proposée ci-dessus Samedi 16 avril par Père Nathan :
« Quand cette adoption est incarnée, frémissante comme dit le Pape Jean-Paul II, actuelle, vivante et féconde, l’enfant est présent et peut se manifester dans la réciprocité de l’accueil et du don, et il peut donner son nom.
Lorsque ces enfants ont donné leur nom à leur maman, leur papa, leur frère ou leur sœur, alors à ce moment-là oui, il y a une deuxième Messe, puisqu’ils indiquent la vérité de notre amour pour eux dans l’incarnation de notre amour spirituel.
Si nous faisons célébrer une Messe en disant : « J’ai un enfant non-né, allez, je l’appelle Charles »… vous avez bien compris le problème.
J’ai célébré une Messe pour six enfants non-nés dont je me rappelle encore les prénoms. Quand j’ai revu la maman un an après, je lui ai demandé : « Vous rappelez-vous les prénoms que vous leur avez donné ? » et la maman m’a répondu : « Non, je ne me rappelle pas ». Cela veut dire que tu n’es pas la maman, tu ne lui donnes pas la vie. Les survivants, tu t’occupes d’eux, tu pries pour eux, tu les allaites, tous les jours, tu n’oublies pas leur nom, tu n’oublies pas qu’ils sont là.
La deuxième Messe pour chacun d’entre eux est célébrée quand ces enfants-là manifestent à la mère, au père, au frère, à la sœur, que : « Ça y est, oh merci !, j’existe vraiment pour toi ».
C’est du réel. Ce n’est pas métapsychique, ce n’est pas une imagination, ce n’est pas le produit d’une espèce de déplacement-cristallisation-justification-et-on-passe-à-autre-chose (c'est-à-dire un comportement de défense face à un complexe qui fait surgir en nous tous les désastres des conséquences de la conscience de culpabilité, dont les petits exercices d’agapè-thérapie pneumato-surnaturelle que nous nous avons donnés depuis huit ans déjà nous permettent de nous débarrasser).
Il faut apprendre simplement à faire en sorte que cette adoption, cette vie, cette lumière, cet amour et l’incarnation même de notre paternité, de notre maternité, de leur filiation, de notre fratrie, soient réels, soient vivants, soient humains. Le signe, c’est que l’enfant dit son prénom. Quand l’enfant est réintroduit dans la famille, il peut donner son nom. Tant qu’il n’est pas réintroduit dans la famille humaine il ne donne pas son nom, alors on peut lui imposer un nom mais il faut faire attention, il ne faut pas faire de blague.
La première Messe c’est pour qu’il y ait une grâce, pour que cet enfant puisse venir respirer en moi petit à petit et que cela devienne de plus en plus vrai, que l’Evangile de la vie puisse se déployer, que le centre de gravité ne soit pas les séquelles négatives de la conscience de culpabilité.
C’est pour ça que la première Cérémonie aide, la Confession aide, la Miséricorde aide, l’Evangile de la vie aide. Bien sûr on peut mettre des prénoms sur l’autel, on peut donner des prénoms. Je considère que ces prénoms qu’on donne dans la première Cérémonie, sauf s’ils vous ont été donnés par eux, ce sont des surnoms, en attendant.
Ordinairement c’est à la date anniversaire que les enfants donnent leur prénom.
« Moi c’est Isabelle.
- Ah, c’est une petite fille ! »
Tu te réveilles d’un seul coup dans l’oraison, ou le matin, ou en pleine nuit à deux heures du matin : « Patricia ». Je connais une mère qui s’est réveillée avec sept noms. Elle s’est rendormie et les sept à nouveau se sont présentés le matin quand elle s’est réveillée. Pourquoi ? Parce que c’était vrai.
J’ai dit à une maman que j’ai vu récemment qui a eu vingt-huit enfants non-nés :
« Vous prenez un an. Vingt-huit, ça fait presque trois par mois. Tous les soirs vous mettez dans votre lit un coussin tissé d’or, de soie, et vous dormez là : « Ah il y a le coussin, ah oui, c’est vrai ! Mes enfants, je vous aime, je suis en train de découvrir l’amour, la lumière, que je suis une mère, je suis en train de découvrir un père, je suis en train de découvrir la vie grâce à vous, nous allons prier ensemble, dites-moi comment vous vous appelez. » »
Tous les soirs tu fais comme cela et tu te rappelles cela puisqu’il y a un coussin.
La mémoire joue un certain rôle, le coussin te fait te rappeler.
Elle en avait eu vingt-huit et effectivement au bout de sept mois il y en avait vingt. Il reste quatre mois, il y aura les huit autres.
Ils donnent leur prénom un à un, souvent à la date anniversaire mais ce n’est pas systématiquement le cas, quelquefois c’est à la date anniversaire d’autre chose.
C’est l’enfant qui se manifeste et qui confirme à la mère qu’elle s’est réconciliée avec sa maternité humaine vis-à-vis de lui.
Lorsque l’enfant existe vraiment pour nous, qu’il fait notre préoccupation maternelle, paternelle ou fraternelle, au même titre que les survivants, qu’il est corporellement présent à nous avec son nom, lorsque c’est sûr que c’est vrai, alors à ce moment-là une Messe est célébrée pour sa justification, pour qu’il reçoive la grâce sanctifiante qu’il n’a pas reçue par le Baptême, qu’il soit incorporé au Corps mystique vivant de Jésus vivant et qu’il soit consacré à son ministère surnaturel de charité, d’espérance et de foi pure jusque dans le Saint des Saints de la Paternité vivante du Père. Cela, c’est la deuxième Messe.
Ces enfants peuvent, doivent même, être arrosés – je ne sais pas le mot qui est employé – de la préoccupation de l’Eglise pour qu’à travers l’Eucharistie ils puissent être incorporés à la grâce qu’ils n’ont pas parce qu’ils sont encore dans le péché originel. Il va falloir, donc, qu’il y ait une deuxième Cérémonie pour que cet enfant soit pris nommément parce qu’il y a une relation physique – attention, j’ai bien dit physique – à la mère, il y a une relation réelle comme on dit avec Saint Thomas d’Aquin, une relation réelle vivante corps âme et esprit de l’enfant à une famille de la terre et il a un nom. A ce moment-là il est présenté sur l’autel et nous le baptisons.
Nous le baptisons, je n’hésite pas à dire cela. D’accord, je baptise avec de l’eau, ce n’est pas le Baptême du Saint-Esprit mais je le baptise, je le plonge, je l’incorpore dans le Corps mystique vivant de Jésus, je l’incorpore dans une vie humaine pleinement rétablie dans la réceptivité de la grâce sanctifiante. Il est donc d’un seul coup incorporé et il rentre dans les capacités réceptives de tous les fruits des sacrements à partir de ce jour-là, et cela c’est drôlement bien.
L’enfant a besoin de la nourriture quotidienne pour la croissance de son union transformante surnaturelle.
Il doit rentrer dans les processus de la croissance de l’union transformante, la purification.
Il doit être purifié des séquelles du péché originel, première demeure.
Il doit librement rentrer dans cette union transformante, deuxième demeure.
Troisième demeure, dans l’Eglise ma Mère je suis l’amour.
Il doit rentrer dans la quiétude, la disponibilité surnaturelle à la transformation des sept Dons du Saint-Esprit dans un océan pacifique qui rayonne dans tous les Arbres de Vie de ceux qui sont comme lui assoiffés.
Il est disponible aussi pour le passage de Dieu dans sa vie embryonnaire en croissance, pour que Dieu passe par lui pour aider d’autres mères, d’autres pères dans le monde entier.
Il doit rentrer dans la croissance de la sainteté chrétienne, il a besoin pour cela d’une nourriture, il a besoin que l’Eglise, sa famille, continuent de penser à lui. »
« Quand cette adoption est incarnée, frémissante comme dit le Pape Jean-Paul II, actuelle, vivante et féconde, l’enfant est présent et peut se manifester dans la réciprocité de l’accueil et du don, et il peut donner son nom.
Lorsque ces enfants ont donné leur nom à leur maman, leur papa, leur frère ou leur sœur, alors à ce moment-là oui, il y a une deuxième Messe, puisqu’ils indiquent la vérité de notre amour pour eux dans l’incarnation de notre amour spirituel.
Si nous faisons célébrer une Messe en disant : « J’ai un enfant non-né, allez, je l’appelle Charles »… vous avez bien compris le problème.
J’ai célébré une Messe pour six enfants non-nés dont je me rappelle encore les prénoms. Quand j’ai revu la maman un an après, je lui ai demandé : « Vous rappelez-vous les prénoms que vous leur avez donné ? » et la maman m’a répondu : « Non, je ne me rappelle pas ». Cela veut dire que tu n’es pas la maman, tu ne lui donnes pas la vie. Les survivants, tu t’occupes d’eux, tu pries pour eux, tu les allaites, tous les jours, tu n’oublies pas leur nom, tu n’oublies pas qu’ils sont là.
La deuxième Messe pour chacun d’entre eux est célébrée quand ces enfants-là manifestent à la mère, au père, au frère, à la sœur, que : « Ça y est, oh merci !, j’existe vraiment pour toi ».
C’est du réel. Ce n’est pas métapsychique, ce n’est pas une imagination, ce n’est pas le produit d’une espèce de déplacement-cristallisation-justification-et-on-passe-à-autre-chose (c'est-à-dire un comportement de défense face à un complexe qui fait surgir en nous tous les désastres des conséquences de la conscience de culpabilité, dont les petits exercices d’agapè-thérapie pneumato-surnaturelle que nous nous avons donnés depuis huit ans déjà nous permettent de nous débarrasser).
Il faut apprendre simplement à faire en sorte que cette adoption, cette vie, cette lumière, cet amour et l’incarnation même de notre paternité, de notre maternité, de leur filiation, de notre fratrie, soient réels, soient vivants, soient humains. Le signe, c’est que l’enfant dit son prénom. Quand l’enfant est réintroduit dans la famille, il peut donner son nom. Tant qu’il n’est pas réintroduit dans la famille humaine il ne donne pas son nom, alors on peut lui imposer un nom mais il faut faire attention, il ne faut pas faire de blague.
La première Messe c’est pour qu’il y ait une grâce, pour que cet enfant puisse venir respirer en moi petit à petit et que cela devienne de plus en plus vrai, que l’Evangile de la vie puisse se déployer, que le centre de gravité ne soit pas les séquelles négatives de la conscience de culpabilité.
C’est pour ça que la première Cérémonie aide, la Confession aide, la Miséricorde aide, l’Evangile de la vie aide. Bien sûr on peut mettre des prénoms sur l’autel, on peut donner des prénoms. Je considère que ces prénoms qu’on donne dans la première Cérémonie, sauf s’ils vous ont été donnés par eux, ce sont des surnoms, en attendant.
Ordinairement c’est à la date anniversaire que les enfants donnent leur prénom.
« Moi c’est Isabelle.
- Ah, c’est une petite fille ! »
Tu te réveilles d’un seul coup dans l’oraison, ou le matin, ou en pleine nuit à deux heures du matin : « Patricia ». Je connais une mère qui s’est réveillée avec sept noms. Elle s’est rendormie et les sept à nouveau se sont présentés le matin quand elle s’est réveillée. Pourquoi ? Parce que c’était vrai.
J’ai dit à une maman que j’ai vu récemment qui a eu vingt-huit enfants non-nés :
« Vous prenez un an. Vingt-huit, ça fait presque trois par mois. Tous les soirs vous mettez dans votre lit un coussin tissé d’or, de soie, et vous dormez là : « Ah il y a le coussin, ah oui, c’est vrai ! Mes enfants, je vous aime, je suis en train de découvrir l’amour, la lumière, que je suis une mère, je suis en train de découvrir un père, je suis en train de découvrir la vie grâce à vous, nous allons prier ensemble, dites-moi comment vous vous appelez. » »
Tous les soirs tu fais comme cela et tu te rappelles cela puisqu’il y a un coussin.
La mémoire joue un certain rôle, le coussin te fait te rappeler.
Elle en avait eu vingt-huit et effectivement au bout de sept mois il y en avait vingt. Il reste quatre mois, il y aura les huit autres.
Ils donnent leur prénom un à un, souvent à la date anniversaire mais ce n’est pas systématiquement le cas, quelquefois c’est à la date anniversaire d’autre chose.
C’est l’enfant qui se manifeste et qui confirme à la mère qu’elle s’est réconciliée avec sa maternité humaine vis-à-vis de lui.
Lorsque l’enfant existe vraiment pour nous, qu’il fait notre préoccupation maternelle, paternelle ou fraternelle, au même titre que les survivants, qu’il est corporellement présent à nous avec son nom, lorsque c’est sûr que c’est vrai, alors à ce moment-là une Messe est célébrée pour sa justification, pour qu’il reçoive la grâce sanctifiante qu’il n’a pas reçue par le Baptême, qu’il soit incorporé au Corps mystique vivant de Jésus vivant et qu’il soit consacré à son ministère surnaturel de charité, d’espérance et de foi pure jusque dans le Saint des Saints de la Paternité vivante du Père. Cela, c’est la deuxième Messe.
Ces enfants peuvent, doivent même, être arrosés – je ne sais pas le mot qui est employé – de la préoccupation de l’Eglise pour qu’à travers l’Eucharistie ils puissent être incorporés à la grâce qu’ils n’ont pas parce qu’ils sont encore dans le péché originel. Il va falloir, donc, qu’il y ait une deuxième Cérémonie pour que cet enfant soit pris nommément parce qu’il y a une relation physique – attention, j’ai bien dit physique – à la mère, il y a une relation réelle comme on dit avec Saint Thomas d’Aquin, une relation réelle vivante corps âme et esprit de l’enfant à une famille de la terre et il a un nom. A ce moment-là il est présenté sur l’autel et nous le baptisons.
Nous le baptisons, je n’hésite pas à dire cela. D’accord, je baptise avec de l’eau, ce n’est pas le Baptême du Saint-Esprit mais je le baptise, je le plonge, je l’incorpore dans le Corps mystique vivant de Jésus, je l’incorpore dans une vie humaine pleinement rétablie dans la réceptivité de la grâce sanctifiante. Il est donc d’un seul coup incorporé et il rentre dans les capacités réceptives de tous les fruits des sacrements à partir de ce jour-là, et cela c’est drôlement bien.
L’enfant a besoin de la nourriture quotidienne pour la croissance de son union transformante surnaturelle.
Il doit rentrer dans les processus de la croissance de l’union transformante, la purification.
Il doit être purifié des séquelles du péché originel, première demeure.
Il doit librement rentrer dans cette union transformante, deuxième demeure.
Troisième demeure, dans l’Eglise ma Mère je suis l’amour.
Il doit rentrer dans la quiétude, la disponibilité surnaturelle à la transformation des sept Dons du Saint-Esprit dans un océan pacifique qui rayonne dans tous les Arbres de Vie de ceux qui sont comme lui assoiffés.
Il est disponible aussi pour le passage de Dieu dans sa vie embryonnaire en croissance, pour que Dieu passe par lui pour aider d’autres mères, d’autres pères dans le monde entier.
Il doit rentrer dans la croissance de la sainteté chrétienne, il a besoin pour cela d’une nourriture, il a besoin que l’Eglise, sa famille, continuent de penser à lui. »
Catherine Jouenne- MEDIATRICE
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Re: Baptême quotidien des enfants non nés
[quote="Hélène vie et amour" Ma réponse qui avait 'disparu' : La voici, à nouveau!
Cette demande fut faite par Jésus à Marie, en Allemagne, décédée en 1981.
D'après notre expérience, ce 'baptême' trop ressemblant au sacrement de Baptême, (qui requiert la présence en vie du corps et l'âme) a été contré par le Vatican, à l'époque, parce que prôné par les 'Tradis'! Nous étions très nombreux à le faire.
Puis à partir de 1981, une autre messagère a reçu la demande de Notre Dame d'une cérémonie au cours de laquelle on demande la GRACE du baptême et l'offrande de ces enfants par des Eucharisties de RECONCILIATION - leur sang innocent uni au Sang précieux et Innocent de Jésus, qui Lui-même S'offre à son Père par les mains du prêtre ('in persona Christi'). N'est-il pas mort pour tous ?
(non-baptisées) de les mener à la Messe de Réconciliation pour recevoir le Baptême de Désir demandé par les parents, l'Eglise et les fidèles, afin qu'ils n'entrent pas dans l'Eternité comme des sans-noms. Une mère a-t-elle un enfant sans nom? Ce sont tous Mes enfants et Je désire qu'ils aient un prénom.>> [font=Arial Black]
Depuis lors, il y a eu plusieurs éclaircissements à des âmes privilégiées.
C'est pourquoi au début je vous ai proposé la révélation sur leur 'choix' dans l'Ame n'a pas d'Age.
Le C.E.C. (Catéchisme) confirme: 2158 l’importance du NOM. "Dieu appelle chacun par son nom.(Is.43,1 et Jn.10,3). Le nom de tout homme est sacré. Le nom est l'icône de la personne.
Il exige le respect, en signe de la dignité de celui qui le porte.
2159: Le nom reçu est un nom d'éternité. Dans le royaume, le caractère mystérieux et unique de chaque personne marquée du nom de Dieu resplendira en pleine lumière (Apoc.2 et 14)
La C.I.T sur les Limbes (2007) précise que par l'intercession de l'Eglise on peut espérer qu'il y ait un espoir de salut pour ces enfants qui n'ont pas reçu le Baptême (CEC 1260), car il n'y a pas de preuve, ayant le péché originel D'où l'importance du Baptême pour les vivants.
Il existe, depuis de nombreuses années, peu connue, une Messe d'intercession pour les enfants qui meurent sans baptême.
L'encyclique Evangelium Vitae, 99, (latin) a été mal traduit dans le vernaculaire. L'original disait: ' Vous pouvez confier votre enfant au Père éternel et à sa miséricorde avec espérance", qui a été traduit comme "votre enfant qui est dans le Seigneur". La C.I.T. sur les Limbes (2007)a rectifié ce terme ambigu note 98. Mais la rectification n'est paru en français que tardivement sur ]vatican.va ], ce qui explique peut-être pourquoi les diverses éditions contiennent encore une traduction erronée. Et tristement, c'est pourquoi tant de prêtres pensent qu'il est inutile de prier pour eux!
Une victime innocente n'est martyr que si elle meurt pour Jésus Christ. C'est le Pape qui détient les clés du Royaume - puisse-t-il ouvrir officiellement les portes! Il faut notre intercession - ce que nous faisons tous en priant pour ces petites âmes - de quelque soit la manière. Louons Dieu pour le Plan qu'Il a pour tirer le Bien du Mal! Pour notre part, les grâces et témoignages, et les libérations et guérisons de blessures par ces cérémonies ont été telles que nous ne pouvons en douter ! Alleluia!
[/quote]
Cette demande fut faite par Jésus à Marie, en Allemagne, décédée en 1981.
D'après notre expérience, ce 'baptême' trop ressemblant au sacrement de Baptême, (qui requiert la présence en vie du corps et l'âme) a été contré par le Vatican, à l'époque, parce que prôné par les 'Tradis'! Nous étions très nombreux à le faire.
Puis à partir de 1981, une autre messagère a reçu la demande de Notre Dame d'une cérémonie au cours de laquelle on demande la GRACE du baptême et l'offrande de ces enfants par des Eucharisties de RECONCILIATION - leur sang innocent uni au Sang précieux et Innocent de Jésus, qui Lui-même S'offre à son Père par les mains du prêtre ('in persona Christi'). N'est-il pas mort pour tous ?
Depuis lors, il y a eu plusieurs éclaircissements à des âmes privilégiées.
C'est pourquoi au début je vous ai proposé la révélation sur leur 'choix' dans l'Ame n'a pas d'Age.
Le C.E.C. (Catéchisme) confirme: 2158 l’importance du NOM. "Dieu appelle chacun par son nom.(Is.43,1 et Jn.10,3). Le nom de tout homme est sacré. Le nom est l'icône de la personne.
Il exige le respect, en signe de la dignité de celui qui le porte.
2159: Le nom reçu est un nom d'éternité. Dans le royaume, le caractère mystérieux et unique de chaque personne marquée du nom de Dieu resplendira en pleine lumière (Apoc.2 et 14)
La C.I.T sur les Limbes (2007) précise que par l'intercession de l'Eglise on peut espérer qu'il y ait un espoir de salut pour ces enfants qui n'ont pas reçu le Baptême (CEC 1260), car il n'y a pas de preuve, ayant le péché originel D'où l'importance du Baptême pour les vivants.
Il existe, depuis de nombreuses années, peu connue, une Messe d'intercession pour les enfants qui meurent sans baptême.
L'encyclique Evangelium Vitae, 99, (latin) a été mal traduit dans le vernaculaire. L'original disait: ' Vous pouvez confier votre enfant au Père éternel et à sa miséricorde avec espérance", qui a été traduit comme "votre enfant qui est dans le Seigneur". La C.I.T. sur les Limbes (2007)a rectifié ce terme ambigu note 98. Mais la rectification n'est paru en français que tardivement sur ]vatican.va ], ce qui explique peut-être pourquoi les diverses éditions contiennent encore une traduction erronée. Et tristement, c'est pourquoi tant de prêtres pensent qu'il est inutile de prier pour eux!
Une victime innocente n'est martyr que si elle meurt pour Jésus Christ. C'est le Pape qui détient les clés du Royaume - puisse-t-il ouvrir officiellement les portes! Il faut notre intercession - ce que nous faisons tous en priant pour ces petites âmes - de quelque soit la manière. Louons Dieu pour le Plan qu'Il a pour tirer le Bien du Mal! Pour notre part, les grâces et témoignages, et les libérations et guérisons de blessures par ces cérémonies ont été telles que nous ne pouvons en douter ! Alleluia!
[/quote]
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Donner un nom, d'accord, mais comment choisir entre masculin et féminin ?
Doolin- Avec Sainte Therese de l'Enfant Jésus
- Messages : 163
Localisation : France
Inscription : 01/12/2012
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Choisis un nom neutre, ou écoute ton cœur ?
Au renouveau Charismatique j'avais reçu la visite d'un enfant qui venait se réconcilier avec sa mère.
En fait les enfants avortés ou morts nés partent à l'école du ciel sous la conduite d'un Chérubin, car on n'entre pas dans l'éternité comme ça. Je peux même donner des détails : leur temps passe un peu plus vite que le nôtre, et un enfant de sept ans en parait douze ou treize. Ils sont mis par fratrie de quatre ou cinq et sont élevés au plus près de ce qu'ils auraient connu sur terre, mais dans une ambiance très pauvre, très simple et à la campagne.
J'ai quand même soumis mon expérience à deux théologiens : Arnaud Dumouch et le père Maisoneuve.
Au renouveau Charismatique j'avais reçu la visite d'un enfant qui venait se réconcilier avec sa mère.
En fait les enfants avortés ou morts nés partent à l'école du ciel sous la conduite d'un Chérubin, car on n'entre pas dans l'éternité comme ça. Je peux même donner des détails : leur temps passe un peu plus vite que le nôtre, et un enfant de sept ans en parait douze ou treize. Ils sont mis par fratrie de quatre ou cinq et sont élevés au plus près de ce qu'ils auraient connu sur terre, mais dans une ambiance très pauvre, très simple et à la campagne.
J'ai quand même soumis mon expérience à deux théologiens : Arnaud Dumouch et le père Maisoneuve.
Philippe Marie- Avec Saint Joseph
- Messages : 1384
Age : 76
Localisation : Maisons Laffitte
Inscription : 13/07/2010
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Doolin a écrit:Donner un nom, d'accord, mais comment choisir entre masculin et féminin ?
Dominique par exemple.
vévette- Avec Saint Joseph
- Messages : 1270
Localisation : Bretagne
Inscription : 13/11/2014
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Si le lien est rétabli avec l'enfant, on vas le sentir au fond de ton cœur et il va venir nous voir, très simplement sans rien d'extraordinaire.
Philippe Marie- Avec Saint Joseph
- Messages : 1384
Age : 76
Localisation : Maisons Laffitte
Inscription : 13/07/2010
Re: Baptême quotidien des enfants non nés
Dernière édition par Marie du 65 le Lun 12 Sep 2016 - 14:47, édité 1 fois
M1234- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Vendée (Marie du 85)
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