Ce que vous devriez savoir au sujet des taxes et des impôts
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Ce que vous devriez savoir au sujet des taxes et des impôts
Ce que vous devriez savoir au sujet des taxes et des impôts
La « Couronne »
Il y a deux Couronnes en opération en Angleterre, l'une étant celle de la Reine Élizabeth II. Bien qu'extrêmement riche, la Reine fonctionne principalement dans les cérémonies et elle sert surtout à dévier l'attention loin de l'autre Couronne, qui émet ses ordres de marche par son contrôle du Parlement britannique. Cette autre Couronne est composée d'un comité de douze banques dirigé par la Banque d'Angleterre (la maison des Rothschild).
Ils gouvernent le monde à partir d’un État indépendant et souverain de 677 acres, connu comme la ville de Londres, ou simplement « la Ville ». La Ville n'est pas une partie de l'Angleterre, tout comme Washington n'est pas une partie des États-Unis. La Ville est considérée comme le mille carré le plus riche de la terre et est présidé par un Lord Maire qui est nommé annuellement. Quand la Reine souhaite diriger des affaires dans la Ville, elle est rencontrée par le Lord Maire au barreau du temple (Templar) où elle demande la permission d’entrer dans cet État privé et souverain. Elle procède alors dans la Ville en marchant plusieurs pas derrière le Maire. Son entourage peut n'être vêtu par rien d’autre que des uniformes de service.
Au dix-neuvième siècle, 90% du commerce mondial était transporté par des bateaux britanniques contrôlés par la Couronne. L'autre 10% des bateaux devait payer des commissions à la Couronne simplement pour avoir le privilège d'utiliser les océans du monde. La Couronne en a récolté des milliards en profits tout en fonctionnant sous la protection de l’armée britannique. Vers 1850, l'auteur Frederick Morton a estimé que la fortune des Rothschild dépassait les 10 milliards de dollars.
Aujourd'hui, l'endettement total du monde est détenu par la Couronne. Le barreau du temple déjà mentionné plus haut est le bras jurisprudentiel de la Couronne et détient un monopole exclusif sur les fraudes globales légales par l’intermédiaire de leur Association de franchises. Le barreau du temple est composé de quatre auberges de passage. Elles sont le Temple central, le Temple intérieur, l'Auberge Lincoln et l'Auberge Gray. Le point d'entrée de ces sociétés secrètes fermées n’est trouvé seulement lorsque quelqu’un est appelé à leur barreau. Les avocats du barreau aux États-Unis doivent leur fidélité et engagent leurs serments à la Couronne. Toutes les Associations du barreau à travers le monde sont des signataires et des franchisés de l'Association internationale du barreau localisée aux auberges de passage du Temple de la Couronne. Le Temple intérieur détient le système légal de franchises par licences qui saigne le Canada et la Grande Bretagne à blanc, pendant que le Temple central a la licence pour voler l'Amérique. Afin d’obtenir que la Déclaration d'indépendance soit reconnue d’une manière internationale, le Templier central, le Roi George III, a accepté dans le Traité de Paris de 1783 d’établir une entité légale de la Couronne incorporée dans les États-Unis, considérée à l’intérieur comme le Temple des États de la Couronne (les colonies). Le mot États s’écrivant avec une lettre majuscule, le « s » indique une entité légale de la Couronne.
Au moins cinq avocats du barreau du Temple sous serment solennel à la Couronne ont signé la Déclaration d'indépendance des États-Unis. Ceci signifie que les deux partis étaient des agents de la Couronne. Les effets légaux sont nuls quand un parti signe pour les deux cotés. La Déclaration était simplement un document interne circulant parmi les membres privés de la Couronne. La plupart des Américains croient qu’ils possèdent leur propre terre, mais ils ont acheté simplement l'immobilier par contrat. À l'accomplissement du contrat, le contrôle de la terre est transféré par une action de garantie. Une action de garantie est seulement « la couleur du titre ». La couleur de titre est un semblant ou une apparence de titre, mais pas réellement un titre selon la loi. Une action de garantie ne peut pas se tenir contre les Lettres patentes de la terre. La Couronne a obtenu les Lettres patentes de la terre en Amérique du Nord par le Roi d'Angleterre. Les coloniaux se sont rebellés contre les impôts usuriers de la Couronne, et ainsi la Déclaration d'indépendance a été créée pour pacifier la population.
Un autre méthode utilisée pour tromper les personnes naturelles est le système de franchises. Toutes ces cartes que vous détenez et qui portent votre nom en lettres majuscules signifient que vous êtes franchisé et que vous avez le statut de société commerciale. Une « personne jurisprudentielle » a été créée, et vous êtes entré dans des accords à variantes multiples qui vous placent en une relation d'équité avec la Couronne. Ces contrats invisibles incluent les certificats de naissances, les rapports de citoyenneté, les accords d'emplois, les permis de conduire, l’assurance sociale et les comptes bancaires. Il serait peut-être utile ici de mentionner que les contrats n’ont pas maintenant et n’auront jamais besoin d’être spécifiés par écrit afin d'être applicables par les juges américains. S’il est mis par écrit, c'est simplement une déclaration écrite du contrat. Les protestataires contre les taxes et les résistances au prochain enrôlement obligatoire, essayant de renoncer aux parties de ces contrats avec lesquelles ils ne sont désormais plus en accord n’auront pas l’avantage en recourant à l’argument de la loi dommageable (impartialité) comme justification. Les juges rejetteront cette ligne de défense puisqu’ils n’ont aucune jurisprudence en ce qui concerne la loi contractuelle. Les lois dommageables gouvernent les griefs là où aucune loi contractuelle n’est effective. Ces accords/contrats privés, qui nous lient, annuleront toujours les dispositions générales de la Constitution et de la Charte des Droits. (La constitution étant essentiellement une promulgation renommée du droit commun anglais). La Charte des Droits est vue par la Couronne comme une « loi des avantages », conférée sur nous par eux en vue d’une réciprocité (les impôts). Les manifestants et les résistants perdront aussi leur cause en proclamant leur statut de citoyenneté. La citoyenneté est un autre accord d’équité que nous avons avec la Couronne.
Et c’est le contrat jurisprudentiel que les juges fédéraux utiliseront pour les incarcérer. Selon les mots exacts de l'ancien juge de la Cour Suprême, Felix Frankfurter, « l'équité est brutale, mais nous appliquons simplement les accords ». La suite du Titre 42, section 1981, du Code des Droits civils des États, « les citoyens doivent être assujettis à de telles punitions, douleurs, peines, impôts, permis, et à toutes sortes d’exactions de ce genre ». Ce que nous voyons comme la citoyenneté, la Couronne la voit comme un instrument d'enrichissement jurisprudentiel. Il ne devrait pas être oublié que même une circulation superficielle ou un usage commercial de la monnaie de la Réserve fédérale effectue un lien de responsabilité pour le paiement de la dette de la Couronne à la Réserve fédérale. Ceci est mesuré par votre revenu imposable. Et, afin de faciliter le prochain dépeçage, la fin du 14e amendement inclut un état de dette hypothécaire des États-Unis, selon lequel toute personne affranchie (c’est vous) peut être tenue personnellement responsable de la dette de la Couronne. La Couronne regarde notre participation dans ces contrats d'équité commerciale comme étant volontaire et comme si n'importe quel augmentation de gain est imposable, puisque le gain n’aurait pas été possible sans la participation de la Couronne.
Ils regardent le système bancaire entre les États comme leur propre propriété. Tout profit ou gain par quiconque résultant d’opérations avec un compte bancaire (ou un prêt, une hypothèque ou une carte de crédit) transporte, comme toute opération légale, la même force identique et le même effet, comme si la Couronne avait elle-même créé le gain. Les comptes bancaires tombent à l’extérieur du parapluie de protection du quatrième amendement parce qu'un contrat commercial est effectif et la Charte des Droits ne peut pas interférer avec l'exécution de contrats commerciaux. La Couronne regarde aussi les rapports de compte comme sa propre propriété privée, conformément aux contrats bancaires que nous avons tous signé et qu'aucun n’a jamais lu. Les rares individus qui ont effectivement lu le contrat bancaire trouveront qu'ils ont consenti à être liés par le Titre 26 et sous l’accord de la section 7202 de ne pas disséminer tout avis frauduleux de taxation. Ce contrat écrit avec la Couronne reconnaît aussi que tous les billets de banques sont des instruments imposables pour le commerce. Quand nous avons ouvert, au début, un compte de banque, une autre personne jurisprudentielle a été créée. C'est cette personne (revenu et biens) que les agents du revenu ont assujetti à la Couronne par la taxation.
Beaucoup d'encre coule actuellement concernant la sécurité sociale. La possession d’un numéro de sécurité sociale (SIN = Social Insurance Number) est connu par la Couronne comme « une preuve concluante » de notre acceptation des avantages commerciaux fédéraux. C’est un autre exemple d'une relation d'équité avec la Couronne. Présenter un numéro de sécurité sociale à un employeur scelle notre statut comme contribuables, et engendre une responsabilité pour le paiement réciproque d'impôts à la Couronne. Par le numéro de sécurité sociale, nous acceptons le retrait futur de certains avantages. La sécurité sociale est un animal étrange. Si vous mourez, votre épouse n'obtient rien, mais plutôt, ce que vous auriez pu recevoir est divisé (perdu) entre les autres payeurs qui ne sont pourtant pas encore morts.
Mais la Couronne regarde l'échec de réciprocité dans n'importe quel de ces liens d'équité comme un acte de déshonneur et procédera contre nous avec tous les préjudices nécessaires. Pour qu’une personne puisse s'échapper des tentacules de la pieuvre de la Couronne, une étude approfondie de la jurisprudence américaine est nécessaire. Une personne devrait renoncer à toute possibilité d’enrichissement, ce qui serait qualifié « d'étranger pour la confiance du public », et fermer tous ses comptes de banque, entre autres choses. La citoyenneté devrait être annulé et sans effet et le statut « d'habitant » inactivé. S’il y a quelques personnes naturelles encore existantes qui ont passé à travers cette fournaise, j’apprécierais certainement avoir des nouvelles d’eux .
De: "John Dempsey " debtfreedomnow@hotmail.com
Traduit par Oscar Blais
La « Couronne »
Il y a deux Couronnes en opération en Angleterre, l'une étant celle de la Reine Élizabeth II. Bien qu'extrêmement riche, la Reine fonctionne principalement dans les cérémonies et elle sert surtout à dévier l'attention loin de l'autre Couronne, qui émet ses ordres de marche par son contrôle du Parlement britannique. Cette autre Couronne est composée d'un comité de douze banques dirigé par la Banque d'Angleterre (la maison des Rothschild).
Ils gouvernent le monde à partir d’un État indépendant et souverain de 677 acres, connu comme la ville de Londres, ou simplement « la Ville ». La Ville n'est pas une partie de l'Angleterre, tout comme Washington n'est pas une partie des États-Unis. La Ville est considérée comme le mille carré le plus riche de la terre et est présidé par un Lord Maire qui est nommé annuellement. Quand la Reine souhaite diriger des affaires dans la Ville, elle est rencontrée par le Lord Maire au barreau du temple (Templar) où elle demande la permission d’entrer dans cet État privé et souverain. Elle procède alors dans la Ville en marchant plusieurs pas derrière le Maire. Son entourage peut n'être vêtu par rien d’autre que des uniformes de service.
Au dix-neuvième siècle, 90% du commerce mondial était transporté par des bateaux britanniques contrôlés par la Couronne. L'autre 10% des bateaux devait payer des commissions à la Couronne simplement pour avoir le privilège d'utiliser les océans du monde. La Couronne en a récolté des milliards en profits tout en fonctionnant sous la protection de l’armée britannique. Vers 1850, l'auteur Frederick Morton a estimé que la fortune des Rothschild dépassait les 10 milliards de dollars.
Aujourd'hui, l'endettement total du monde est détenu par la Couronne. Le barreau du temple déjà mentionné plus haut est le bras jurisprudentiel de la Couronne et détient un monopole exclusif sur les fraudes globales légales par l’intermédiaire de leur Association de franchises. Le barreau du temple est composé de quatre auberges de passage. Elles sont le Temple central, le Temple intérieur, l'Auberge Lincoln et l'Auberge Gray. Le point d'entrée de ces sociétés secrètes fermées n’est trouvé seulement lorsque quelqu’un est appelé à leur barreau. Les avocats du barreau aux États-Unis doivent leur fidélité et engagent leurs serments à la Couronne. Toutes les Associations du barreau à travers le monde sont des signataires et des franchisés de l'Association internationale du barreau localisée aux auberges de passage du Temple de la Couronne. Le Temple intérieur détient le système légal de franchises par licences qui saigne le Canada et la Grande Bretagne à blanc, pendant que le Temple central a la licence pour voler l'Amérique. Afin d’obtenir que la Déclaration d'indépendance soit reconnue d’une manière internationale, le Templier central, le Roi George III, a accepté dans le Traité de Paris de 1783 d’établir une entité légale de la Couronne incorporée dans les États-Unis, considérée à l’intérieur comme le Temple des États de la Couronne (les colonies). Le mot États s’écrivant avec une lettre majuscule, le « s » indique une entité légale de la Couronne.
Au moins cinq avocats du barreau du Temple sous serment solennel à la Couronne ont signé la Déclaration d'indépendance des États-Unis. Ceci signifie que les deux partis étaient des agents de la Couronne. Les effets légaux sont nuls quand un parti signe pour les deux cotés. La Déclaration était simplement un document interne circulant parmi les membres privés de la Couronne. La plupart des Américains croient qu’ils possèdent leur propre terre, mais ils ont acheté simplement l'immobilier par contrat. À l'accomplissement du contrat, le contrôle de la terre est transféré par une action de garantie. Une action de garantie est seulement « la couleur du titre ». La couleur de titre est un semblant ou une apparence de titre, mais pas réellement un titre selon la loi. Une action de garantie ne peut pas se tenir contre les Lettres patentes de la terre. La Couronne a obtenu les Lettres patentes de la terre en Amérique du Nord par le Roi d'Angleterre. Les coloniaux se sont rebellés contre les impôts usuriers de la Couronne, et ainsi la Déclaration d'indépendance a été créée pour pacifier la population.
Un autre méthode utilisée pour tromper les personnes naturelles est le système de franchises. Toutes ces cartes que vous détenez et qui portent votre nom en lettres majuscules signifient que vous êtes franchisé et que vous avez le statut de société commerciale. Une « personne jurisprudentielle » a été créée, et vous êtes entré dans des accords à variantes multiples qui vous placent en une relation d'équité avec la Couronne. Ces contrats invisibles incluent les certificats de naissances, les rapports de citoyenneté, les accords d'emplois, les permis de conduire, l’assurance sociale et les comptes bancaires. Il serait peut-être utile ici de mentionner que les contrats n’ont pas maintenant et n’auront jamais besoin d’être spécifiés par écrit afin d'être applicables par les juges américains. S’il est mis par écrit, c'est simplement une déclaration écrite du contrat. Les protestataires contre les taxes et les résistances au prochain enrôlement obligatoire, essayant de renoncer aux parties de ces contrats avec lesquelles ils ne sont désormais plus en accord n’auront pas l’avantage en recourant à l’argument de la loi dommageable (impartialité) comme justification. Les juges rejetteront cette ligne de défense puisqu’ils n’ont aucune jurisprudence en ce qui concerne la loi contractuelle. Les lois dommageables gouvernent les griefs là où aucune loi contractuelle n’est effective. Ces accords/contrats privés, qui nous lient, annuleront toujours les dispositions générales de la Constitution et de la Charte des Droits. (La constitution étant essentiellement une promulgation renommée du droit commun anglais). La Charte des Droits est vue par la Couronne comme une « loi des avantages », conférée sur nous par eux en vue d’une réciprocité (les impôts). Les manifestants et les résistants perdront aussi leur cause en proclamant leur statut de citoyenneté. La citoyenneté est un autre accord d’équité que nous avons avec la Couronne.
Et c’est le contrat jurisprudentiel que les juges fédéraux utiliseront pour les incarcérer. Selon les mots exacts de l'ancien juge de la Cour Suprême, Felix Frankfurter, « l'équité est brutale, mais nous appliquons simplement les accords ». La suite du Titre 42, section 1981, du Code des Droits civils des États, « les citoyens doivent être assujettis à de telles punitions, douleurs, peines, impôts, permis, et à toutes sortes d’exactions de ce genre ». Ce que nous voyons comme la citoyenneté, la Couronne la voit comme un instrument d'enrichissement jurisprudentiel. Il ne devrait pas être oublié que même une circulation superficielle ou un usage commercial de la monnaie de la Réserve fédérale effectue un lien de responsabilité pour le paiement de la dette de la Couronne à la Réserve fédérale. Ceci est mesuré par votre revenu imposable. Et, afin de faciliter le prochain dépeçage, la fin du 14e amendement inclut un état de dette hypothécaire des États-Unis, selon lequel toute personne affranchie (c’est vous) peut être tenue personnellement responsable de la dette de la Couronne. La Couronne regarde notre participation dans ces contrats d'équité commerciale comme étant volontaire et comme si n'importe quel augmentation de gain est imposable, puisque le gain n’aurait pas été possible sans la participation de la Couronne.
Ils regardent le système bancaire entre les États comme leur propre propriété. Tout profit ou gain par quiconque résultant d’opérations avec un compte bancaire (ou un prêt, une hypothèque ou une carte de crédit) transporte, comme toute opération légale, la même force identique et le même effet, comme si la Couronne avait elle-même créé le gain. Les comptes bancaires tombent à l’extérieur du parapluie de protection du quatrième amendement parce qu'un contrat commercial est effectif et la Charte des Droits ne peut pas interférer avec l'exécution de contrats commerciaux. La Couronne regarde aussi les rapports de compte comme sa propre propriété privée, conformément aux contrats bancaires que nous avons tous signé et qu'aucun n’a jamais lu. Les rares individus qui ont effectivement lu le contrat bancaire trouveront qu'ils ont consenti à être liés par le Titre 26 et sous l’accord de la section 7202 de ne pas disséminer tout avis frauduleux de taxation. Ce contrat écrit avec la Couronne reconnaît aussi que tous les billets de banques sont des instruments imposables pour le commerce. Quand nous avons ouvert, au début, un compte de banque, une autre personne jurisprudentielle a été créée. C'est cette personne (revenu et biens) que les agents du revenu ont assujetti à la Couronne par la taxation.
Beaucoup d'encre coule actuellement concernant la sécurité sociale. La possession d’un numéro de sécurité sociale (SIN = Social Insurance Number) est connu par la Couronne comme « une preuve concluante » de notre acceptation des avantages commerciaux fédéraux. C’est un autre exemple d'une relation d'équité avec la Couronne. Présenter un numéro de sécurité sociale à un employeur scelle notre statut comme contribuables, et engendre une responsabilité pour le paiement réciproque d'impôts à la Couronne. Par le numéro de sécurité sociale, nous acceptons le retrait futur de certains avantages. La sécurité sociale est un animal étrange. Si vous mourez, votre épouse n'obtient rien, mais plutôt, ce que vous auriez pu recevoir est divisé (perdu) entre les autres payeurs qui ne sont pourtant pas encore morts.
Mais la Couronne regarde l'échec de réciprocité dans n'importe quel de ces liens d'équité comme un acte de déshonneur et procédera contre nous avec tous les préjudices nécessaires. Pour qu’une personne puisse s'échapper des tentacules de la pieuvre de la Couronne, une étude approfondie de la jurisprudence américaine est nécessaire. Une personne devrait renoncer à toute possibilité d’enrichissement, ce qui serait qualifié « d'étranger pour la confiance du public », et fermer tous ses comptes de banque, entre autres choses. La citoyenneté devrait être annulé et sans effet et le statut « d'habitant » inactivé. S’il y a quelques personnes naturelles encore existantes qui ont passé à travers cette fournaise, j’apprécierais certainement avoir des nouvelles d’eux .
De: "John Dempsey " debtfreedomnow@hotmail.com
Traduit par Oscar Blais
n111- Avec le Pape François
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Inscription : 18/10/2006
Re: Ce que vous devriez savoir au sujet des taxes et des impôts
Site catholique canadien intéressant qui parle de l'argent et de sa distribution équitable pour le peuple.
http://www.michaeljournal.org/ilenauf.htm
http://www.michaeljournal.org/accueil.htm
Je vous invite à naviguer sur ces deux liens !
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Danielle- Enfant de Dieu
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Inscription : 08/11/2006
Re: Ce que vous devriez savoir au sujet des taxes et des impôts
oui je connais cette histoire danielle le docteur pierre gilbert (du site pleinsfeux.com) on a deja parlé
n111- Avec le Pape François
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Re: Ce que vous devriez savoir au sujet des taxes et des impôts
celui qui contrôle le système d'argent d'une nation contrôle cette nation.
n111- Avec le Pape François
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Inscription : 18/10/2006
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