La Folie de Hommes - Conférence JP Petit - Message subliminal

J’aimerais attirer votre attention sur cette belle vidéo, La Folie Des Hommes, qui comprend dans son dernier tiers un extrait d’une conférence de Jean Pierre Petit, physicien français à la retraite. Ce qui est dit est absolument merveilleux, lisez plutôt ou regardez la vidéo à partir de 13:10 :



(Que faire pour que la vidéo soit intégrée correctement...)

"[…] Si après je voulais avoir une étiquette ce serait citoyen du monde,
C’est un mot qu’on avait lancé dans le temps,
C’était une belle idée,
Je crois que cette idée maintenant il faut que cela devienne une réalité,
Il faut que les gens se sentent réellement citoyens du monde,
Parce que les nationalités cela n’a plus de sens,
Les guerres ça n’a plus de sens,
Les rivalités ça n’a plus de sens,
L’armement ça n’a plus de sens,
Et je pense que les choses vont mal sur terre,
Puisqu’on était en train de parler des colères de la terre,
Il m’aurait fallu plus d’une heure pour vous expliquer un peu tout ça,
Si je vous balance à travers la figure que les américains ont commencé à développer des bombes qui ont des puissances absolument inimaginables,
C’est à peine croyable quoi
Et ça veut dire quoi ?
Ça veut dire que nos hommes politiques, nos leaders, ont entre les mains des joujoux extrêmement dangereux,
C’est pas la peine d’espérer qu’ils devenir raisonnables,
Même si l’Amérique s’affirme comme un leader absolu,
Vous commencez à peine à entendre parler des armes électromagnétiques capables de faire ci de faire ça,
Mais ça va beaucoup plus loin que vous ne l’imaginez,
Donc face à une situation comme celle-là on se dit qu’est-ce que l’on peut foutre,
Alors première réaction complètement idiote, on va faire pareil,
Cocorico, pour pouvoir enfin résister à l’hégémonie américaine, non c’est pas ça,
Je crois qu’il faut que les terriens commencent à réagir un petit peu,
Il faut qu’ils cessent de se considérer comme Irakiens, comme Français, comme Indiens, comme Papous,
Il faut qu’on se considère comme des Terriens, qu’on prenne conscience qu’on forme une ethnie unique,
On ne peut pas se payer le luxe de frayer avec les militaires, c’est pas possible, ce sont des cinglés quoi, c’est tout,
Il faut qu’on apprenne à désarmer ces arsenaux,
Il n’y a pas de bons, il n’y a pas de mauvais, il n’y a pas d’ennemi héréditaire,
Il faut que les fanatismes religieux s’atténuent un petit peu,
Il faut sortir absolument de tout ça,
Qu’est-ce qu’on peut faire pour sauver cette foutue planète,
Qu’est-ce qu’on peut faire essayer de prendre contact,
Pour arrêter ce manichéisme en disant est-ce que vous êtes pro-américain, ou pro-ceci, pro-cela,
Il ne s’agit pas de mettre du côté des uns ou du côté des autres,
Il faut que les terriens se rendent compte qu’ils existent,
Il faut qu’on vire nos ayatollahs […]"

Maintenant, peut-être qu’un grand nombre d’entre vous a déjà compris de quoi il s’agissait dans ce sujet en remarquant ce qui cloche autour de MONSIEUR Jean Pierre Petit lors de son allocution. Si ce n’est pas le cas, soyez attentifs aux captures qui suivent. C’est à peine croyable ! Le destin de l’humanité et de cette planète semblent tracés, scellés, confisqués, à tout jamais…









Vous ne voyez toujours rien ? Peut-être que cela sera plus clair pour vous avez les annotations qui suivent :








Nous avons donc un bon gros crâne de démon formé par des perturbations sur la planète agrémenté de flammes (fausses) qui se trouvent apparemment tout autour de la scène.

Nous avons là une belle moquerie en direct, murement réfléchie et travaillée à l'avance, de la part de celui (ou ce ?) qui agit en toute conscience pour mettre la planète à feu et à sang.

Comment est-ce que cela peut passer totalement inaperçu ?! Comment est-ce que cela peut exister tout court ?! Les forces du mal se paient notre tête et nous ne voyons rien ? Ou peut-être ne disons-nous rien… J’ai du mal à en revenir. Et MONSIEUR Petit lui-même, s’est-il rendu compte de ce décor tout à fait particulier et en total désaccord avec ses paroles ? J'ai comme souvent de plus en plus de questions mais que peu de réponses.

Je suis atterré. Pauvre de nous.