La dépression au travail
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Ange Gardien10
Titix
n111
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La dépression au travail
La dépression au travail,
Une pathologie encore tabou en milieu professionnel.
Et pourtant, la conférence sociale, qui réunit gouvernement, syndicats et patronat ce jeudi, s'intéresse aux conditions de travail et notamment à la dépression.
Gouvernement, patronat et syndicat inaugurent ce jeudi la première des conférences sociales de la rentrée. Au sommaire : les conditions de travail. Seront notamment évoqués la prévention des troubles musculo-squelettiques, la présence des substances toxiques dans l'entreprise et les risques psychosociaux : stress, dépressions, suicides...
La France est ainsi le troisième pays, derrière l'Ukraine et les Etats-Unis, où les dépressions liées au travail sont les plus nombreuses, selon l'OMS. Il est difficile d'appréhender l'importance exacte du phénomène car les études et statistiques sont peu nombreuses. "La dépression est une maladie qui implique beaucoup de différents facteurs, tant personnels que professionnels", prévient le docteur Daniel Ferreira, médecin du travail dans le Val d'Oise, interrogé par LCI.fr. En conséquence, "il est difficile de faire la part des choses" entre ce qui relève de "l'environnement familial privé" et "l'environnement professionnel". Reste que depuis plusieurs années, le docteur Ferreira "constate [en entreprise] la part plus importante des problèmes de santé mentale, notamment dans les décisions d'inaptitudes".
Facteurs de stress
Grands groupes comme PME, secteurs privé et public, c'est l'ensemble du monde du travail qui est concerné par ce phénomène. Organisation, management, horaires de travail... "Tous les facteurs de stress peuvent être à l'origine de symptômes de dépression", pointe le médecin du travail. C'est particulièrement vrai "quand on demande à quelqu'un d'accomplir une tâche sans lui donner les moyens adéquats" et "quand il n'y a pas de marge de manœuvre".
"Au travail, c'est mal vu de dire qu'on est déprimé" Dr Jean-Hervé Bouleau
Lorsque la dépression pointe, beaucoup d'employés n'hésitent plus à l'évoquer à leur médecin du travail. Mais pas à leur employeur. "Au travail, c'est mal vu de dire qu'on est déprimé", acquiesce le docteur Jean-Hervé Bouleau, chef de service du pôle de psychiatrie à l'hôpital de Pontoise, dans le Val d'Oise. Aussi certains salariés préfèrent-ils taire leur souffrance : "Ils essaient de s'adapter sans se faire soigner mais ils ne tiennent pas", remarque le Dr Bouleau. "Ces dépressifs cachés finissent en arrêt de travail, parfois pour d'autres symptômes : problèmes lombaires, douleurs multiples..., ajoute-t-il. Or, il est important qu'une personne dépressive ne perde pas son travail, l'insertion sociale et professionnelle étant capitale" pour vaincre la maladie.
Détecter pour prévenir
D'où l'importance de savoir détecter les symptômes de la dépression, y compris dans ses aspects physiques. Une démarche au cœur d'un programme européen (EAAD, European alliance against depression) testé en France à l'hôpital de Pontoise. Le principe : impliquer et former les généralistes mais aussi les "populations relais" (médecin du travail, éducateurs sociaux, surveillants de prison...). En Allemagne, le programme a ainsi permis de faire baisser de 25% les gestes suicidaires.
Mieux formés, les médecins du travail peuvent alors proposer des plans d'action dans les entreprises où les cas de dépression apparaissent. "Certains employeurs se braquent tandis que d'autres sont au contraire demandeurs pour prévenir ce risque psychosocial", assure le Dr Ferreira. "La dépression n'est pas reconnue comme maladie professionnelle", pointe-t-il.
Selon lui, une telle reconnaissance, sur la base de définitions claires, "obligerait les employeurs à davantage s'impliquer dans la prévention".
Matthieu DURAND
Une pathologie encore tabou en milieu professionnel.
Et pourtant, la conférence sociale, qui réunit gouvernement, syndicats et patronat ce jeudi, s'intéresse aux conditions de travail et notamment à la dépression.
Gouvernement, patronat et syndicat inaugurent ce jeudi la première des conférences sociales de la rentrée. Au sommaire : les conditions de travail. Seront notamment évoqués la prévention des troubles musculo-squelettiques, la présence des substances toxiques dans l'entreprise et les risques psychosociaux : stress, dépressions, suicides...
La France est ainsi le troisième pays, derrière l'Ukraine et les Etats-Unis, où les dépressions liées au travail sont les plus nombreuses, selon l'OMS. Il est difficile d'appréhender l'importance exacte du phénomène car les études et statistiques sont peu nombreuses. "La dépression est une maladie qui implique beaucoup de différents facteurs, tant personnels que professionnels", prévient le docteur Daniel Ferreira, médecin du travail dans le Val d'Oise, interrogé par LCI.fr. En conséquence, "il est difficile de faire la part des choses" entre ce qui relève de "l'environnement familial privé" et "l'environnement professionnel". Reste que depuis plusieurs années, le docteur Ferreira "constate [en entreprise] la part plus importante des problèmes de santé mentale, notamment dans les décisions d'inaptitudes".
Facteurs de stress
Grands groupes comme PME, secteurs privé et public, c'est l'ensemble du monde du travail qui est concerné par ce phénomène. Organisation, management, horaires de travail... "Tous les facteurs de stress peuvent être à l'origine de symptômes de dépression", pointe le médecin du travail. C'est particulièrement vrai "quand on demande à quelqu'un d'accomplir une tâche sans lui donner les moyens adéquats" et "quand il n'y a pas de marge de manœuvre".
"Au travail, c'est mal vu de dire qu'on est déprimé" Dr Jean-Hervé Bouleau
Lorsque la dépression pointe, beaucoup d'employés n'hésitent plus à l'évoquer à leur médecin du travail. Mais pas à leur employeur. "Au travail, c'est mal vu de dire qu'on est déprimé", acquiesce le docteur Jean-Hervé Bouleau, chef de service du pôle de psychiatrie à l'hôpital de Pontoise, dans le Val d'Oise. Aussi certains salariés préfèrent-ils taire leur souffrance : "Ils essaient de s'adapter sans se faire soigner mais ils ne tiennent pas", remarque le Dr Bouleau. "Ces dépressifs cachés finissent en arrêt de travail, parfois pour d'autres symptômes : problèmes lombaires, douleurs multiples..., ajoute-t-il. Or, il est important qu'une personne dépressive ne perde pas son travail, l'insertion sociale et professionnelle étant capitale" pour vaincre la maladie.
Détecter pour prévenir
D'où l'importance de savoir détecter les symptômes de la dépression, y compris dans ses aspects physiques. Une démarche au cœur d'un programme européen (EAAD, European alliance against depression) testé en France à l'hôpital de Pontoise. Le principe : impliquer et former les généralistes mais aussi les "populations relais" (médecin du travail, éducateurs sociaux, surveillants de prison...). En Allemagne, le programme a ainsi permis de faire baisser de 25% les gestes suicidaires.
Mieux formés, les médecins du travail peuvent alors proposer des plans d'action dans les entreprises où les cas de dépression apparaissent. "Certains employeurs se braquent tandis que d'autres sont au contraire demandeurs pour prévenir ce risque psychosocial", assure le Dr Ferreira. "La dépression n'est pas reconnue comme maladie professionnelle", pointe-t-il.
Selon lui, une telle reconnaissance, sur la base de définitions claires, "obligerait les employeurs à davantage s'impliquer dans la prévention".
Matthieu DURAND
n111- Avec le Pape François
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Re: La dépression au travail
Dans mon travail, je subis des pressions psychologiques très forte. Pendant mes heures de repos, je suis dérangé sur mon téléphone portable. Si je ne répond pas, le lendemain, j'ai le droit à des réprimandes.
Au début, ça se passait très bien et puis progressivement, on m'a reproché de mal faire mon travail. Je prends des antidépresseurs et des somnifères. Je sais que ce n'est pas la solution car ça me fait du mal. J'en suis conscient et j'en aie même honte. Elle me fait peur.
Au début, ça se passait très bien et puis progressivement, on m'a reproché de mal faire mon travail. Je prends des antidépresseurs et des somnifères. Je sais que ce n'est pas la solution car ça me fait du mal. J'en suis conscient et j'en aie même honte. Elle me fait peur.
Titix- Contre la puce électronique
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Re: La dépression au travail
Moi j'ai subi du harcèlement psychologique à mon travail, et même si ça fait 2 ans que je n'en vit plus, je n'ai même pas fini de m'en remettre!
Ange Gardien10- Pour le roi
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: La dépression au travail
Courage Titix.
Et pourquoi pas chercher du travail ailleurs ou en changer.
Et pourquoi pas chercher du travail ailleurs ou en changer.
Liza2028- Avec Saint Joseph
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Re: La dépression au travail
Car ça fait 12 ans que je suis dans l'entreprise et je ne sais pas où aller.
J'aimerais bien partir.
J'aimerais bien partir.
Titix- Contre la puce électronique
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Re: La dépression au travail
Bonjour "titix" !
Avez-vous lu l'article que je vous ai proposé ?
Fraternellement...
Gilles.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: La dépression au travail
C'est très intéressant. C'est très souvent ce qui se passe. J'ai à peine commencé la semaine que je suis dans l'attente du week end.
J'essaie de ritualiser mon travail mais ça ne marche pas.
J'essaie de ritualiser mon travail mais ça ne marche pas.
Titix- Contre la puce électronique
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Re: La dépression au travail
Bonsoir à toutes et à tous.
Je viens d'avoir quelques jours de repos. Je reprends mon travail demain matin. Je suis angoissé depuis cette après midi.
Je viens d'avoir quelques jours de repos. Je reprends mon travail demain matin. Je suis angoissé depuis cette après midi.
Titix- Contre la puce électronique
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Re: La dépression au travail
Coucou Titix, bon courage pour demain.
Ne t'engoisse surtout pas. Pleins de belles pensées pour demain
Ne t'engoisse surtout pas. Pleins de belles pensées pour demain
Liza2028- Avec Saint Joseph
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Re: La dépression au travail
Titix, nous prions pour vous
Bon courage,j'ai connu un ami qui faisait des dépressions, il est resté en longue maladie, il ne comprenait pas la méchanceté et la pression qu'il subissait
Jésus et Marie vous accompagne
Et pourquoi pas essayer cette demande très courte avant de partir au travail
"Marie passe devant"
Bon courage,j'ai connu un ami qui faisait des dépressions, il est resté en longue maladie, il ne comprenait pas la méchanceté et la pression qu'il subissait
Jésus et Marie vous accompagne
Et pourquoi pas essayer cette demande très courte avant de partir au travail
"Marie passe devant"
Marie Rose- En adoration
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Re: La dépression au travail
Et pourquoi pas une petite prière à Sainte-Rita ou à Saint-Michel.
Je l'ai déjà fait, on se sent beaucoup mieux !
Essaye !
Je ne connaissais pas "Marie passe devant".
Je l'ai déjà fait, on se sent beaucoup mieux !
Essaye !
Je ne connaissais pas "Marie passe devant".
Liza2028- Avec Saint Joseph
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Re: La dépression au travail
Libéré(e) de la dépression
Ces dernières années, les suicides et les tentatives de suicide sont en bonne place dans les faits divers de nos journaux. Une chanteuse qui avale une trop forte dose de somnifères, un homme d'affaires qui se tire une balle dans la tête, une jeune fille qui se tue en laissant des mots pathétiques : « J'en ai marre ». Le nombre croissant de suicides parmi les jeunes ajoute un aspect tragique à ce fléau.
Ces problèmes préoccupent les psychologues du monde entier. Qu'est-ce qui amène une personne à se décourager au point de mettre fin à ses jours ? Pourquoi le taux de suicides est-il plus élevé dans les pays riches ? En toute apparence, les biens matériels et les études avancées ne sont pas la solution aux problèmes intérieurs de l'être humain. L'Encyclopaedia Britannica dit, dans son étude sur le suicide, que la foi religieuse a toujours été la grande force pour l'empêcher. Devant la croissance des problèmes mondiaux, de nombreux psychologues s'attendent à une augmentation parallèle de suicides.
Pour beaucoup, la vie ne vaut plus la peine d'être vécue. Mais j'ai de bonnes nouvelles à vous apporter. Dieu ne vous a pas créés pour être une âme en peine, découragée, déprimée, complexée, cherchant en vain la paix de l'esprit et du cœur. La Bible dit : « Dans toutes ces choses, vous pouvez être vainqueurs par Celui qui vous a aimés. » (Romains 3/37) Sur l'autorité de la Parole de Dieu, je vous déclare que Jésus-Christ peut apporter la réponse à toutes les questions qui vous déconcertent. En Lui se trouvent le remède à tous les maux, le baume pour les blessures, l'enthousiasme pour effacer le découragement.
Des multitudes de gens de tous les milieux et de toutes les races ont trouvé en Jésus-Christ la réponse à leur solitude. Beaucoup d'entre vous vivent dans la dépression continuelle parce que vous êtes seuls, terriblement seuls. Le monde vous paraît inaccessible. Les barrières sociales vous ont empêchés de faire ce que vous vouliez. Vous êtes prisonniers de votre personnalité. Vous vivez dans un monde de solitude navrante, ou peut-être votre mari, votre femme, vous a été enlevé, et vous voilà seul dans une maison vide.
La solitude ne respecte personne. Elle pénètre dans les palais, dans les hôtels. Il y a quelques jours, je parlais avec l'un des hommes les plus riches du monde. Il venait de perdre sa femme, il m'a dit : « Je ne peux supporter la solitude », et il m'a confié qu'il avait même pensé au suicide. Quand ils sont déprimés, beaucoup de gens s'adonnent à l'alcool. D'autres ont l'esprit dérangé, d'autres encore se donnent la mort.
Jésus-Christ peut faire disparaître tout découragement de votre vie. Il peut vous donner une nouvelle énergie, un nouveau ressort, mettre la joie dans votre cœur et donner un sens à votre vie. La joie accompagnait toujours les relations avec Jésus, même au sein des difficultés et de la souffrance. Bien des choses, dans les journaux, ne peuvent que nous déprimer et nous abattre.
Mais plus encore, les tragédies personnelles et familiales amènent le découragement, le désespoir. Bien des ombres apparaissent sur le chemin de la vie. Personne n'est épargné. Je me sens parfois découragé devant la condition morale de nos pays occidentaux. J'éprouve sans doute les mêmes sentiments que Lot à l'égard de Sodome. Lot voulait hurler contre le mal qui se déchaînait autour de lui. Il savait qu'inévitablement, Dieu jugerait le peuple, et le peuple refusait de l'écouter. Je pense aux Etats-Unis, à l'Angleterre, à l'Europe où déferlent l'immoralité et bien d'autres vagues de décadence et de violence. Je veux crier : Attention ! le jugement viendra sur vous si vous ne vous repentez pas. Je le fais chaque fois que je le peux et quelques-uns m'écoutent. Mais la vaste majorité poursuit sa route vers la destruction.
Une grande question vous vient peut-être à l'esprit : « Y a-t-il un moyen d'échapper ? Y a-t-il un remède pour cette maladie du découragement de l'âme ? Y a-t-il une délivrance pour la dépression qui s'installe si facilement au fond de nous ? » Bien sûr ! Dieu ne peut connaître de problèmes sans y apporter de solution. Nous nous imaginons toujours être le seul ou la seule victime de la dépression. En réalité, il y a très peu de gens qui ne sont jamais touchés un jour ou l'autre et ne se retrouvent dans une vague de désespoir. La Bible nous apprend que même les plus fortes, les plus belles personnalités ont eu leurs heures de découragement.
Elie, après son triomphe auprès des prêtres de Baal au Mont Carmel, a dû fuir la colère de la reine Jézabel pour sauver sa vie. Nous le retrouvons seul dans le désert, profondément déprimé. Assis sous un arbre, il demanda à Dieu de le reprendre. Il n'avait plus la force de lutter (1 Rois 19/1-4) Jean-Baptiste, lorsqu'il a été emprisonné, s'est demandé s'il n'allait pas remettre en question tout son ministère. Aussi a-t-il envoyé un messager à Jésus pour lui demander : « Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ? » (Luc 7/19) Le Psalmiste, dans un moment de découragement, criait : « Mon âme est abattue au-dedans de moi, mais c'est à toi que je pense, depuis le pays du Jourdain... toutes les vagues et tous les flots passent sur moi... » (Psaume 42/7)
En parlant de ses déceptions devant les événements de la Révolution Française, Wordsworth a déclaré : « Mes convictions profondes se dissipèrent et les questions morales perdirent leur importance devant mon désespoir. » Elie pensait être le seul homme fidèle à Dieu sur toute la terre, mais à travers le tremblement de terre, le vent, le feu, puis enfin par une petite voix, il a appris qu'il n'était pas le seul. Il y en avait sept mille autres en Israël qui ne s'étaient pas agenouillés devant l'idole Baal, et ils attendaient un chef comme Elie pour les conduire. (I Rois 19/9-18)
Martin Luther a traversé une période de dépression à un moment où il semblait que la Réforme était une cause perdue et que tout son travail était vain. Un matin, sa femme est arrivée devant lui, habillée de deuil. Il lui a demandé ce qui se passait : « Ne sais-tu pas que Dieu est mort ? » lui a-t-elle répondu. C'était une leçon pour Martin Luther qui n'a jamais oublié le sens de ces paroles. Dès ce jour, il a repris courage, déterminé à ne pas laisser la dépression le terrasser à nouveau.
Si jamais quelqu'un a eu le droit d'être découragé, c'est bien l'apôtre Paul. Il a été battu et persécuté de bien des manières (II Cor. 11/23-25). D'autre part, il avait une écharde dans la chair qui entravait son travail. Il a demandé à Dieu de l'en délivrer, mais Dieu ne l'a pas fait (II Cor. 12/7-9) Paul avait tout lieu de se laisser aller au découragement, mais il nous a montré plutôt le chemin de la victoire. Il abordait la vie avec un cri de triomphe. Il a écrit : « Nous sommes pressés de toute manière, mais non réduits à la détresse, mais non dans le désespoir ; persécutés, mais non abandonnés ; abattus, mais non perdus. » (I Cor. 4/8-9)
« C'est pourquoi, ayant ce ministère, selon la miséricorde qui nous a été faite, nous ne perdons pas courage. » (II Cor. 4/1) Un seul exemple de courage dépasse celui de Paul : le courage du Seigneur Jésus-Christ. Il n'a désespéré de personne et pourtant, il en aurait eu toutes les raisons. Quelles déceptions, quels échecs apparents ! Mais la veille du Calvaire, Il a parlé de sa joie. (Jean 15/11-13-17)
Pour vous, chrétiens qui lisez ces lignes, je veux vous dire que rien n'est aussi destructeur que le découragement. On raconte une histoire selon laquelle le diable aurait appris un jour par un ange que Dieu allait lui enlever les tentations qu'il exerçait auprès des hommes, sauf une. « Laquelle ? » a-t-il demandé à l'ange. « Le découragement », lui a-t-il répondu. Satan s'est mis à rire et il a déclaré : « Parfait, avec cela, j'ai gagné. » L'arme la plus puissante qui puisse atteindre le chrétien est le découragement, la dépression. Le luxe du désespoir est la chose la plus vaine et en même temps la plus chère de la vie chrétienne.
L'homme doit peut-être marcher dans l'obscurité pendant un temps, souffrir des déceptions profondes, mais rien n'est aussi fatal pour lui que de se laisser aller au découragement. C'est pourquoi la Bible dit : « C'est en espérance que nous sommes sauvés. » (Romains 8/24) Sainte Thérèse, qui avait connu des jours sombres, d'amères déceptions, raconte comment dans la prière, l'obscurité a disparue : « Quand le soleil s'est levé, j'ai compris combien j'avais été sotte de me laisser aller ainsi. »
L'expérience m'a appris à établir la règle de ne jamais accepter le verdict d'un moment de découragement. La dépression détruit votre capacité de voir la vie dans sa juste perspective. Elie, assis sous son arbre, Jean-Baptiste dans la prison, ne pouvaient plus juger de la valeur de leur influence, du succès, ou de l'échec de leur ministère. Les psychologues ont découvert que l'action était l'un des meilleurs remèdes pour éliminer les ombres qui obscurcissent l'âme. Vous ne sortirez jamais de votre découragement si vous commencez à vous plaindre, et à vous faire plaindre par les autres. Le moyen d'en sortir, c'est d'aller faire une bonne action pour quelqu'un. Le psalmiste disait : « Heureux celui qui s'intéresse aux pauvres, au jour du malheur, l'Eternel le délivre. » (Psaume 41/1)
Il n'existe aucun moyen plus efficace de se débarrasser de ses fardeaux que de s'activer à un service auprès des autres. Il se trouve toujours des gens moins privilégiés que vous, ceux qui ont besoin de vous, de votre aide, de votre soutien. Lorsque parfois, vous pensez que Dieu ne vous a guère favorisé dans la vie, lorsque vous êtes porté à gémir sur les circonstances dans lesquelles vous vous trouvez, arrêtez-vous et pensez au Calvaire. Ensuite, regardez en face vos difficultés avec la joie que doit avoir tout chrétien. Transformez votre croix, ce symbole de défaite, en victoire glorieuse.
Si nous le Lui demandons, Dieu nous donne un vêtement de louanges pour couvrir les sentiments de dépression qui nous assaillent. « Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu au-dedans de moi ? Espère en Dieu... » (Psaume 42/12) Nous vivons dans un monde d'espérances déçues, de rêves anéantis, de désirs frustrés. G. Chesterton a dit : « Il n'y a partout que courses folles, bruits, confusions, mais nulle part, de bonheur profond, de cœurs en paix. »
Pourtant, parmi ceux qui connaissent et qui aiment Jésus-Christ, un optimisme constant peut régner, quelles que soient les difficultés de la vie. Jésus-Christ peut ôter le découragement de votre âme. Si vous êtes en communion avec Dieu par la foi en Christ, votre cœur débordera de joie et d'optimisme. Lorsque Paul a écrit l'Epître aux Philippiens, il se trouvait dans une prison romaine.
La mort l'attendait. Et pourtant, cette lettre aux Philippiens a été appelée l'Epître de la joie. Paul fait la liste de toutes les joies qu'il connaissait : la joie dans la prière (Ph. ¼), la joie en Christ (Ph. 3/3), lorsque la Bonne Nouvelle est prêchée, la joie dans la persécution (Ph. 1/12-18), la joie dans la foi (Ph. 1/25).
Si le Seigneur Jésus-Christ ne remplit pas l'homme de joie, Il ne le remplira de rien d'autre. Il existe une certaine forme de vie chrétienne qui n'est qu'une lamentable affaire. Le psalmiste disait : « Quand on tourne vers Lui les regards, on est rayonnant de joie. » (Psaume 34/6) Lorsque Moïse est descendu de la montagne, son visage resplendissait (Exode 34/29). Le Christianisme, c'est la foi d'un cœur heureux, d'un visage radieux. Paul a toujours été rempli de joie parce qu'il vivait en communion constante avec Jésus-Christ. Pour lui, être en Jésus-Christ, c'était vivre en sa présence comme l'oiseau vit dans les airs, le poisson dans la mer, les racines des arbres dans la terre.
Lorsque nous aimons quelqu'un, nous sommes heureux d'être en sa compagnie. Et Jésus-Christ est Celui qui aime et que l'on aime. Ni le temps, ni l'éternité ne peuvent nous en séparer. Vous qui souffrez du découragement ou de la dépression, tournez-vous vers Jésus-Christ qui peut vous donner la joie et l'enthousiasme que vous n'avez jamais connus. Oui, la Bible enseigne que nous aurons des difficultés dans la vie, des épreuves et même des persécutions. Mais au milieu des larmes, percent une paix et une joie, un optimisme que Jésus-Christ apporte avec sa présence.
Révérend Billy Graham
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: La dépression au travail
Je vous remercie pour tous ces encouragements qui me vont droit au coeur. C'est très gentil de votre part. J'aimerais demander de l'aide à Sainte Rita.
Titix- Contre la puce électronique
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Re: La dépression au travail
Oui Titix n'hésite pas !
Je te souhaite encore plein de courage pour demain.
Je te souhaite encore plein de courage pour demain.
Liza2028- Avec Saint Joseph
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Re: La dépression au travail
Merci du fond du coeur Liza.
ça me touche.
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Titix- Contre la puce électronique
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Re: La dépression au travail
Tu sais Titix j'ai plus ou moins connue le mal être au travail pendant 3 ans. Je sais ce que c'est d'attendre les wd avec impatience. J'ai même fais un petit burn out dû à la surchage de travail. J'ai pu changer de travail récemment et je me sens beaucoup mais beaucoup mieux et surtout je travaille avec des personnes sympas !! C'est vraiment important.
Prions pour Titix.
Prions pour Titix.
Liza2028- Avec Saint Joseph
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Re: La dépression au travail
Bonsoir,
Merci pour ces encouragements.
Je ne pensais pas que je finirais par ne plus aimer mon travail. Du moins l'environnement.
J'ai peur aussi de faire un burn out.
Merci pour ces encouragements.
Je ne pensais pas que je finirais par ne plus aimer mon travail. Du moins l'environnement.
J'ai peur aussi de faire un burn out.
Titix- Contre la puce électronique
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Re: La dépression au travail
Prends soin de toi Titix et fais ce que tu peux au travail.
Courage
Courage
Liza2028- Avec Saint Joseph
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Re: La dépression au travail
J'essaie mais ce n'est pas évident. Je suis rentré du travail tout à l'heure.
J'ai fait quelques prières à Marie et à Sainte Rita.
J'ai fait quelques prières à Marie et à Sainte Rita.
Titix- Contre la puce électronique
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Re: La dépression au travail
Le 20 octobre 2013 à 09h00
Dépression au travail: les signes qui doivent alerter
On reconnaît souvent une dépression trop tard, quand elle est déjà bien installée. Pourtant le repérage précoce des symptômes peut faciliter la prise en charge de cette pathologie. A l’occasion de la journée européenne de la dépression, Top Santé fait le point sur les signes annonciateurs.
On voit tout en noir
La dépression est un trouble psychique qui se décline en plusieurs symptômes dont la durée dépasse quinze jours. "Quand il se manifeste au travail, on a tendance à ne pas s’apercevoir de ces symptômes car les choses se dégradent petit à petit. Souvent les personnes en dépression vivent dans le déni", explique le Dr Jean-François Costemale Lacoste, assistant spécialiste en psychiatrie à l’hôpital Sainte Anne. Pas facile donc de mettre des mots sur ce que l’on ressent.
Pourtant ces sensations sont bien identifiables. Le Dr Lacoste, qui aide au quotidien des patients souffrant de dépression, décrit les premiers signes de cette maladie. "La dépression se manifeste par plusieurs symptômes : on ressent une impression de surmenage, une perte de plaisir. On va au travail à reculons. On se replie sur soi-même".
Ce repli sur soi s’accompagne parfois, d’un sentiment de tristesse. Au travail, exécuter les taches devient un fardeau de plus en plus lourd à porter : "On est au ralenti. On a du mal à se concentrer, détaille le psychiatre. On se dévalorise et les ruminations mentales sont constantes".
Le corps se dérègle
A cet épuisement professionnel s’ajoute aussi d’autres signes physiques. L’appétit se trouve altéré, on perd le goût des aliments et s’ensuit une perte de poids ou à l’inverse une prise de poids liée à la consommation d’aliments sucrés en excès ; on dort peu et mal (insomnies, sommeil court et non réparateur, réveil précoce). La sexualité aussi est affectée (peu ou pas de libido). Certaines douleurs peuvent apparaître telles que des maux de tête, des douleurs aux articulations, des problèmes digestifs…).
Il est difficile de se battre tout seul contre cette maladie, encore plus quand on ne connaît pas le diagnostic. Si ces symptômes apparaissent sur une durée prolongée, le premier réflexe reste de s’orienter vers un médecin généraliste qui pourra nous diriger vers un spécialiste de la santé mentale. On peut aussi se rendre directement chez un psychiatre qui prescrira des médicaments et/ou proposera une psychothérapie.
Par Emilie Cailleau
Dépression au travail: les signes qui doivent alerter
On reconnaît souvent une dépression trop tard, quand elle est déjà bien installée. Pourtant le repérage précoce des symptômes peut faciliter la prise en charge de cette pathologie. A l’occasion de la journée européenne de la dépression, Top Santé fait le point sur les signes annonciateurs.
On voit tout en noir
La dépression est un trouble psychique qui se décline en plusieurs symptômes dont la durée dépasse quinze jours. "Quand il se manifeste au travail, on a tendance à ne pas s’apercevoir de ces symptômes car les choses se dégradent petit à petit. Souvent les personnes en dépression vivent dans le déni", explique le Dr Jean-François Costemale Lacoste, assistant spécialiste en psychiatrie à l’hôpital Sainte Anne. Pas facile donc de mettre des mots sur ce que l’on ressent.
Pourtant ces sensations sont bien identifiables. Le Dr Lacoste, qui aide au quotidien des patients souffrant de dépression, décrit les premiers signes de cette maladie. "La dépression se manifeste par plusieurs symptômes : on ressent une impression de surmenage, une perte de plaisir. On va au travail à reculons. On se replie sur soi-même".
Ce repli sur soi s’accompagne parfois, d’un sentiment de tristesse. Au travail, exécuter les taches devient un fardeau de plus en plus lourd à porter : "On est au ralenti. On a du mal à se concentrer, détaille le psychiatre. On se dévalorise et les ruminations mentales sont constantes".
Le corps se dérègle
A cet épuisement professionnel s’ajoute aussi d’autres signes physiques. L’appétit se trouve altéré, on perd le goût des aliments et s’ensuit une perte de poids ou à l’inverse une prise de poids liée à la consommation d’aliments sucrés en excès ; on dort peu et mal (insomnies, sommeil court et non réparateur, réveil précoce). La sexualité aussi est affectée (peu ou pas de libido). Certaines douleurs peuvent apparaître telles que des maux de tête, des douleurs aux articulations, des problèmes digestifs…).
Il est difficile de se battre tout seul contre cette maladie, encore plus quand on ne connaît pas le diagnostic. Si ces symptômes apparaissent sur une durée prolongée, le premier réflexe reste de s’orienter vers un médecin généraliste qui pourra nous diriger vers un spécialiste de la santé mentale. On peut aussi se rendre directement chez un psychiatre qui prescrira des médicaments et/ou proposera une psychothérapie.
Par Emilie Cailleau
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: La dépression au travail
Bonsoir,
Effectivement, je ressent tous ces symptômes. Je suis en perte d'appétit ou alors, je me lève la nuit pour manger des choses sucrés.
Ce week end, je suis allé voir Gravity, j'avais du mal à me concentrer sur le film. Mon esprit partait.
Effectivement, je ressent tous ces symptômes. Je suis en perte d'appétit ou alors, je me lève la nuit pour manger des choses sucrés.
Ce week end, je suis allé voir Gravity, j'avais du mal à me concentrer sur le film. Mon esprit partait.
Titix- Contre la puce électronique
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Localisation : Meudon
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Re: La dépression au travail
Comment vas-tu aujourd'hui Titix ?
Il faudrait te déconnecter du travail le wd, essaye, ne pense plus au travail. Courage Titix.
Il faudrait te déconnecter du travail le wd, essaye, ne pense plus au travail. Courage Titix.
Liza2028- Avec Saint Joseph
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