" Pour l' Amour de l' Amour " Père Michel -Marie Sorkine
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" Pour l' Amour de l' Amour " Père Michel -Marie Sorkine
Regardez ce film ! Écoutez cette voix ! Laissez-vous emporter dans la beauté indépassable du christianisme...
Que de nombreuses vocations se lèvent ! Allez les garçons ! En avant !
www.delamoureneclats.fr
*
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
- Messages : 14722
Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Re: " Pour l' Amour de l' Amour " Père Michel -Marie Sorkine
Merci Maud,
Dans le sillage des exemples laissés par saint Maximilien Kolbe,
saint Jean Bosco, le bienheureux Jacques Alberione
et le père Henri-Dominique Lacordaire,
le Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine poursuit sa route sacerdotale
en appelant à
> une remise en cause des méthodes pastorales et liturgiques
aujourd’hui largement répandues en France
qui, à ses yeux, bloquent en partie l’expansion de la Foi dans les cœurs.
Son livre majeur, Homme et prêtre,
révèle ses orientations les plus foncières.
Sa conception du prêtre, telle qu’elle apparaît dans ses écrits,
est celle d’un homme libre, consacré à la Vierge Marie,
apôtre jusqu’au bout du cœur, portant soutane,
appelé à mettre en œuvre tous les ressorts de sa personnalité,
vivant immergé dans le monde,
éloigné de tout cléricalisme et de tout esprit de système,
harnaché à l’unique désir de faire aimer le Christ et sa Mère
et de baptiser la terre entière.
« Si j’enlève ma soutane, je me noie dans la foule »
déclare à La Provence le Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine,
un ancien chanteur compositeur qui, aux nuits parisiennes, a préféré, la quarantaine venue,
la rigueur des Dominicains…
Le quotidien observe que, chaque dimanche, ils sont de plus en plus nombreux à assister
à « ce théâtre divin, cette grande tragédie de la mort du Christ et de sa résurrection »
qu’est la Messe.
Ils étaient 800 pour Pâques !
Chaque jour, des dizaines de paroissiens viennent prier dans l’église Saint Vincent-de-Paul-les-Réformés, autrefois désespérément vide.
Le dynamisme de ce curé de choc n’y est pas pour rien :
une église toujours ouverte,
un bureau où il reçoit sans rendez-vous tous les jours,
un site internet que 700 personnes visitent quotidiennement,
un DVD auquel ont participé des paroissiens,
dans quelques mois un CD avec deux titres de sa composition,
un livre prochainement : « Marie mon secret »,
illustré avec 11 reproductions jusque-là inconnues de la Vierge,
venant du Vatican.
Les idées fusent, les projets se multiplient.
Toujours menés à bien ! Mais pour mieux comprendre cet étonnant personnage
autant lire « Homme et prêtre » (Ad Solem) un livre d’entretiens avec l’organiste Jean-Robert Cain.
L’amour du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine pour une liturgie digne de ce nom n’est sans doute pas pour rien dans cette réussite !
« La situation est gravissime. Mais qui s’en inquiète ? »
(Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine)
« La majorité de nos paroisses est en déshérence, la messe ne retient plus le cœur;
en bien des lieux, elle endort, elle ennuie, elle déçoit,
elle éloigne jusqu’à ceux qui ont la foi;
les baptêmes diminuent, les catéchismes se vident,
la confession agonise,
les vocations n’éclosent pas ou meurent en vol,
et pour couronner le désastre qui monte, le prêtre n’est souvent plus qu’un pion, ligoté au milieu de conseils pseudo-démocratiques,
et quand ainsi il n’est plus contemplé dans sa nécessité et dans sa beauté surnaturelle,
sur le terrain - le présent le crie déjà -, le Ciel ne descend plus sur la terre.
La preuve en est que la masse des croyants non pratiquants
s’en va grandissant patauger dans un état d’indifférence et de neutralité tranquille,
tandis que les incroyants et agnostiques de tout poil pullulent et s’engendrent allègrement.
Et n’allez pas, pour amoindrir le réel, dire que le nombre ne compte pas,
que la qualité est première, et pour vous conforter dans cette vision chiche,
sortir du chapeau les éternels signes d’espérance,
petites lumières qui brillent dans l’obscurité du monde !
Qu’en effet, ici ou là, des paroisses soient vivantes, des communautés hissent la voile
sous le vent de l’Esprit Saint, des associations chrétiennes travaillent avec zèle,
des prêtres, des frères chrétiens, de nombreux jeunes,
véritables hérauts de la foi, se donnent et œuvrent sans compter, mais c’est évident !
Et nous nous en réjouissons, mais ce ici ou là
- que Dieu nous pardonne - est loin d’émailler l’Hexagone.
En vérité, en vérité je nous le dis : la situation est gravissime.
Mais qui s’en inquiète ?
Et qui ne dort plus à la seule pensée de la multitude roulant à tombeau ouvert en direction d’un néant badigeonné d’immédiat sans couleur,
sans contour, terne,
et réduit bien souvent à la recherche du gain ?
Et qui voit encore les visages tristes sous l’inanité de la vie ?
Au vrai, l’absurdité d’une existence sans finalité ne se règle pas en menue monnaie. (...)
Est-il possible à un seul enfant de ne pas désirer
ce que le Christ à promis :
la vie sans fin, la mort en passage, et l’amour à ras bord de l’âme pour des éternités d’éternité ?
Qu’on ne le croie, passe encore, mais qu’on s’en fiche sous la moue d’un sourire dégoûté,
c’est aussi étrange, inattendu et maladif que l’envie de ne pas vivre,
désormais aussi répandue que les pauvres allongés dans les rues.
Au fond, rien d’étonnant. De fond, d’ailleurs, il n’y en a plus. »
Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine, interrogé par Jean Sévillia.
dans le « Figaro-Magazine » des 12-13 octobre 2012.
Dans le sillage des exemples laissés par saint Maximilien Kolbe,
saint Jean Bosco, le bienheureux Jacques Alberione
et le père Henri-Dominique Lacordaire,
le Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine poursuit sa route sacerdotale
en appelant à
> une remise en cause des méthodes pastorales et liturgiques
aujourd’hui largement répandues en France
qui, à ses yeux, bloquent en partie l’expansion de la Foi dans les cœurs.
Son livre majeur, Homme et prêtre,
révèle ses orientations les plus foncières.
Sa conception du prêtre, telle qu’elle apparaît dans ses écrits,
est celle d’un homme libre, consacré à la Vierge Marie,
apôtre jusqu’au bout du cœur, portant soutane,
appelé à mettre en œuvre tous les ressorts de sa personnalité,
vivant immergé dans le monde,
éloigné de tout cléricalisme et de tout esprit de système,
harnaché à l’unique désir de faire aimer le Christ et sa Mère
et de baptiser la terre entière.
« Si j’enlève ma soutane, je me noie dans la foule »
déclare à La Provence le Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine,
un ancien chanteur compositeur qui, aux nuits parisiennes, a préféré, la quarantaine venue,
la rigueur des Dominicains…
Le quotidien observe que, chaque dimanche, ils sont de plus en plus nombreux à assister
à « ce théâtre divin, cette grande tragédie de la mort du Christ et de sa résurrection »
qu’est la Messe.
Ils étaient 800 pour Pâques !
Chaque jour, des dizaines de paroissiens viennent prier dans l’église Saint Vincent-de-Paul-les-Réformés, autrefois désespérément vide.
Le dynamisme de ce curé de choc n’y est pas pour rien :
une église toujours ouverte,
un bureau où il reçoit sans rendez-vous tous les jours,
un site internet que 700 personnes visitent quotidiennement,
un DVD auquel ont participé des paroissiens,
dans quelques mois un CD avec deux titres de sa composition,
un livre prochainement : « Marie mon secret »,
illustré avec 11 reproductions jusque-là inconnues de la Vierge,
venant du Vatican.
Les idées fusent, les projets se multiplient.
Toujours menés à bien ! Mais pour mieux comprendre cet étonnant personnage
autant lire « Homme et prêtre » (Ad Solem) un livre d’entretiens avec l’organiste Jean-Robert Cain.
L’amour du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine pour une liturgie digne de ce nom n’est sans doute pas pour rien dans cette réussite !
« La situation est gravissime. Mais qui s’en inquiète ? »
(Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine)
« La majorité de nos paroisses est en déshérence, la messe ne retient plus le cœur;
en bien des lieux, elle endort, elle ennuie, elle déçoit,
elle éloigne jusqu’à ceux qui ont la foi;
les baptêmes diminuent, les catéchismes se vident,
la confession agonise,
les vocations n’éclosent pas ou meurent en vol,
et pour couronner le désastre qui monte, le prêtre n’est souvent plus qu’un pion, ligoté au milieu de conseils pseudo-démocratiques,
et quand ainsi il n’est plus contemplé dans sa nécessité et dans sa beauté surnaturelle,
sur le terrain - le présent le crie déjà -, le Ciel ne descend plus sur la terre.
La preuve en est que la masse des croyants non pratiquants
s’en va grandissant patauger dans un état d’indifférence et de neutralité tranquille,
tandis que les incroyants et agnostiques de tout poil pullulent et s’engendrent allègrement.
Et n’allez pas, pour amoindrir le réel, dire que le nombre ne compte pas,
que la qualité est première, et pour vous conforter dans cette vision chiche,
sortir du chapeau les éternels signes d’espérance,
petites lumières qui brillent dans l’obscurité du monde !
Qu’en effet, ici ou là, des paroisses soient vivantes, des communautés hissent la voile
sous le vent de l’Esprit Saint, des associations chrétiennes travaillent avec zèle,
des prêtres, des frères chrétiens, de nombreux jeunes,
véritables hérauts de la foi, se donnent et œuvrent sans compter, mais c’est évident !
Et nous nous en réjouissons, mais ce ici ou là
- que Dieu nous pardonne - est loin d’émailler l’Hexagone.
En vérité, en vérité je nous le dis : la situation est gravissime.
Mais qui s’en inquiète ?
Et qui ne dort plus à la seule pensée de la multitude roulant à tombeau ouvert en direction d’un néant badigeonné d’immédiat sans couleur,
sans contour, terne,
et réduit bien souvent à la recherche du gain ?
Et qui voit encore les visages tristes sous l’inanité de la vie ?
Au vrai, l’absurdité d’une existence sans finalité ne se règle pas en menue monnaie. (...)
Est-il possible à un seul enfant de ne pas désirer
ce que le Christ à promis :
la vie sans fin, la mort en passage, et l’amour à ras bord de l’âme pour des éternités d’éternité ?
Qu’on ne le croie, passe encore, mais qu’on s’en fiche sous la moue d’un sourire dégoûté,
c’est aussi étrange, inattendu et maladif que l’envie de ne pas vivre,
désormais aussi répandue que les pauvres allongés dans les rues.
Au fond, rien d’étonnant. De fond, d’ailleurs, il n’y en a plus. »
Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine, interrogé par Jean Sévillia.
dans le « Figaro-Magazine » des 12-13 octobre 2012.
Michel5- Pour le roi
- Messages : 620
Inscription : 28/09/2007
Re: " Pour l' Amour de l' Amour " Père Michel -Marie Sorkine
Merci Michel
ah, si nous avions beaucoup de pretres comme celui-là, la France redeviendrait la fille ainée de l'église !
violaine
ah, si nous avions beaucoup de pretres comme celui-là, la France redeviendrait la fille ainée de l'église !
violaine
violaine- Avec les anges
- Messages : 6385
Localisation : bretagne
Inscription : 10/12/2009
Re: " Pour l' Amour de l' Amour " Père Michel -Marie Sorkine
Eh oui Violaine !
Comme quoi les gens ne s'y trompent pas,
si on leur offre la Messe de saint Pie V, ils aiment et en redemandent !
C'est en portant fièrement la Parole et les valeurs Catholiques que l'Eglise
se fera respecter.
C'est Notre Reine et Maman Marie qui guide ce prêtre modèle.
Michel.
Comme quoi les gens ne s'y trompent pas,
si on leur offre la Messe de saint Pie V, ils aiment et en redemandent !
C'est en portant fièrement la Parole et les valeurs Catholiques que l'Eglise
se fera respecter.
C'est Notre Reine et Maman Marie qui guide ce prêtre modèle.
Michel.
Michel5- Pour le roi
- Messages : 620
Inscription : 28/09/2007
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