U.S.A. : Romney prône la politique de la «paix par la force» !!!
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U.S.A. : Romney prône la politique de la «paix par la force» !!!
Mise à jour le lundi 8 octobre 2012 à 16 h 51
Mitt Romney à l'Institut militaire de Virginie
Romney prône la politique de la «paix par la force»
S'exprimant lundi devant l'Institut militaire de Virginie, Mitt Romney a affirmé que le risque de conflit au Moyen-Orient a augmenté sous la présidence du démocrate.
« Le président aime à répéter que ''la guerre recule'' et je voudrais bien le croire, comme tout le monde. Mais quand je regarde le Moyen-Orient aujourd'hui [...] il est clair que le risque de conflit dans la région est plus élevé que lorsqu'il est entré en fonctions », a lancé Mitt Romney.
Il a illustré son propos avec l'exemple de l'attaque du consulat américain le 11 septembre à Benghazi, qui a coûté la vie à l'ambassadeur des États-Unis en Libye, Christopher Stevens, et à trois autres Américains.
Le candidat républicain plaide pour un rôle accru des États-Unis en Syrie et une relance des négociations israélo-palestiniennes.
L'ancien gouverneur du Massachusetts souhaite renforcer les sanctions contre l'Iran et déployer des navires de guerre dans la région pour amener Téhéran à renoncer à son programme nucléaire.
Mitt Romney a aussi prévenu qu'il ne ferait preuve « d'aucune flexibilité » avec le président russe Vladimir Poutine sur le projet d'un bouclier antimissile en Europe.
Il fait ainsi opposition aux propos de Barack Obama. Discutant de ce bouclier avec son homologue russe au printemps dernier, le président sortant avait alors dit qu'il aurait « plus de flexibilité » à ce sujet s'il était réélu le 6 novembre prochain.
Le discours de Mitt Romney a fait bondir plusieurs démocrates, qui ont dénoncé l'inexpérience de Mitt Romney en politique étrangère et défendu le bilan du président, notamment la fin de la guerre en Irak, le retrait d'Afghanistan d'ici 2014 et la mort d'Oussama ben Laden.
L'ancienne secrétaire d'État démocrate Madeleine Albright a raillé le discours « superficiel » de Mitt Romney et noté que nombre de ses conseillers avaient collaboré avec George W. Bush.
Barack Obama a un net avantage sur son adversaire républicain en matière de politique étrangère, selon les sondages. Les prochains débats présidentiels devraient d'ailleurs permettre aux deux candidats de clarifier leurs positions sur ce sujet.
Mitt Romney à l'Institut militaire de Virginie
Romney prône la politique de la «paix par la force»
S'exprimant lundi devant l'Institut militaire de Virginie, Mitt Romney a affirmé que le risque de conflit au Moyen-Orient a augmenté sous la présidence du démocrate.
« Le président aime à répéter que ''la guerre recule'' et je voudrais bien le croire, comme tout le monde. Mais quand je regarde le Moyen-Orient aujourd'hui [...] il est clair que le risque de conflit dans la région est plus élevé que lorsqu'il est entré en fonctions », a lancé Mitt Romney.
Il a illustré son propos avec l'exemple de l'attaque du consulat américain le 11 septembre à Benghazi, qui a coûté la vie à l'ambassadeur des États-Unis en Libye, Christopher Stevens, et à trois autres Américains.
Le candidat républicain plaide pour un rôle accru des États-Unis en Syrie et une relance des négociations israélo-palestiniennes.
L'ancien gouverneur du Massachusetts souhaite renforcer les sanctions contre l'Iran et déployer des navires de guerre dans la région pour amener Téhéran à renoncer à son programme nucléaire.
Mitt Romney a aussi prévenu qu'il ne ferait preuve « d'aucune flexibilité » avec le président russe Vladimir Poutine sur le projet d'un bouclier antimissile en Europe.
Il fait ainsi opposition aux propos de Barack Obama. Discutant de ce bouclier avec son homologue russe au printemps dernier, le président sortant avait alors dit qu'il aurait « plus de flexibilité » à ce sujet s'il était réélu le 6 novembre prochain.
Le discours de Mitt Romney a fait bondir plusieurs démocrates, qui ont dénoncé l'inexpérience de Mitt Romney en politique étrangère et défendu le bilan du président, notamment la fin de la guerre en Irak, le retrait d'Afghanistan d'ici 2014 et la mort d'Oussama ben Laden.
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Barack Obama a un net avantage sur son adversaire républicain en matière de politique étrangère, selon les sondages. Les prochains débats présidentiels devraient d'ailleurs permettre aux deux candidats de clarifier leurs positions sur ce sujet.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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