JÉSUS-CHRIST ÉTAIT-IL ESSÉNIEN ?
JÉSUS-CHRIST ÉTAIT-IL ESSÉNIEN ?
ÉSUS-CHRIST ÉTAIT-IL ESSÉNIEN ?
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37/100 | LIRE FLAVIUS JOSÈPHE à propos des ESSÉNIENS |
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23/79 | . . |
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61/114 | . . LIRE PLINE LE JEUNE |
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- 12/54 | . . LIRE PHILON D’ALEXANDRIE |
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Pour FLAVIUS JOSÈPHE, les ESSÉNIENS sont la troisième «secte» de la société juive de PALESTINE, derrière les PHARISIENS ancêtres du judaïsme rabbinique nés à la suite de la destruction du Temple et qui deviendra le JUDAÏSME actuel, et les SADDUCÉENS. Il classe à part ce qu'il appelle la IVe philosophie, le mouvement GALILÉEN (futur mouvement ZÉLOTE) qui disparaitra rapidement.
Même s'ils se regardent de la même communion, l'inimité entre PHARISIENS et ESSÉNIENS est manifeste.
Alors que PHARISIENS, ZÉLOTES et SADDUCÉENS s'organisaient comme des partis politico-religieux au sein de la Synagogue, les ESSÉNIENS (Essênoï, chez PHILON toujours Essaïoï), tout en appartenant, par les origines ethniques de leurs membres, au peuple juif, s'en étaient radicalement séparés quant à la doctrine, au culte, au mode de vie, et, tenus pour infidèles par l'Eglise d'ISRAËL, excommuniés par elle, considérés par leurs compatriotes comme des renégats de l'âme hébraïque, menaient leur existence de quasi-Trappistes en-dehors du QAHAL.
En matière de doctrine, de vie, de moeurs, de culte, l'ESSÉNISME est même totalement étranger à la tradition juive, au pharisaïsme comme au SADDUCÉISME.
D'autre part, des Pseudépigraphes comme les LIVRES D'HÉNOCH et des Jubilés se présentent saturés d'ESSÉNISME ; on peut se demander si jadis, sous leur forme primitive, ils n'ont pas, en tout ou en partie, appartenu au trésor des ESSÉNIENS.
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MODE DE VIE DES ESSÉNIENS |
«Les «saints», les «pauvres», les «humbles», comme les ESSÉNIENS s'appelaient eux-mêmes, dispersés dans les villes et bourgades de PALESTINE, avaient pour centre religieux QUMRÂN.
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«Sur le rivage occidental du lac d’ASPHALTIE (la MER MORTE), hors de portée de l’influence nocive de ses eaux, sont établis les HESSÉNORIENS (ESSÉNIENS). Peuple solitaire et le plus extraordinaire qui soit, sans femmes, sans amour, sans argent, et vivant dans la société des palmiers. Elle se reproduit de jour en jour, grâce à l'affluence de nouveaux hôtes; et la foule ne manque pas de ceux qui, fatigués de la vie, sont amenés par le flot de la fortune à adopter ce genre de vie. Ainsi, pendant des milliers de siècles, chose incroyable, dans une nation chez laquelle il ne naît personne, tant est fécond pour elle le repentir qu'ont les autres de leur vie passée» PLINE L’ANCIEN, dans son livre «Histoire Naturelle V 17» |
Selon PLINE LE JEUNE et FLAVIUS JOSÈPHE, Les ESSÉNIENS avaient les cheveux longs et portaient des vêtements blancs. Ils menaient une vie communautaire, sans femmes, sans argent et la mise en commun des biens était de rigueur. C'était donc des sortes de moines.
Selon PHILON D’ALEXANDRIE, ils étaient apiculteur et végétariens, faisaient voeux de silence et croyaient en l'immortalité de l'âme.
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«Ils se forment à la piété, à la sainteté, à la justice, à l'économie, à la politique, à la science de ce qui est réellement bon, mauvais ou indifférent, au choix de ce qu'il faut faire et à la fuite du contraire, en prenant pour triple règle et critère l'amour de DIEU, l'amour de la vertu et l'amour des hommes. . . PHILON D'ALEXANDRIE «Quod omnis probus liber sit (Tout homme vertueux est libre) 83-86» |
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Nous savons depuis les découvertes des manuscrits de la MER MORTE (QUMRÂN) comment ces ESSÉNIENS travaillaient et leur manière de vivre. Leur noyau dur est donc bien défini localement. Ils vivaient comme des moines, pratiquaient le baptême et se ressemblaient pour les rituels et les repas.
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APÔTRES ESSÉNIENS |
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«A NAZARETH demeurait un homme nommé ZEBEDIA ou SEBADIA, qui n'était pas le ZÉBÉDÉE, père de JEAN et de JACQUES. Il avait une fille mariée à un ESSÉNIEN, parent de JOACHIM : je ne me souviens plus de leurs noms. Ces époux avaient quatre fils un peu plus âgés ou un peu plus jeunes que JÉSUS. Ils s'appelaient CLÉOPHAS, JACOB, JUDA et JAPHET ; plus tard ils sont devenus disciples de JEAN BAPTISTE et après sa mort disciples de JÉSUS. CLÉOPHAS est le même auquel JÉSUS s'apparut à EMMAÜS en compagnie de LUC. Il était marié et demeurait alors à EMMAÜS. Sa femme se réunit plus tard aux femmes de la communauté chrétienne. Ces quatre disciples allèrent trouver JEAN vers le temps du baptême de JÉSUS et ils restèrent près de lui jusqu'à la fin. Lorsqu'ANDRÉ et SATURNIN allèrent rejoindre JÉSUS de l'autre côté au JOURDAIN, ils les suivirent et restèrent avec lui toute la journée. Ils étaient aussi du nombre des disciples de JEAN que JÉSUS amena avec lui aux noces de Cana». |
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ORIGINE ESSÉNIENNE DE SAINT JEAN BAPTISTE ET SAINTE ANNE, MÈRE DE LA VIERGE MARIE |
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JEAN BAPTISTE était très probablement un ESSÉNIEN. Comme eux, il vivait ascétiquement et pratiquait l'apiculture ainsi que le rituel du baptême.
On notera qu'il a baptisé JÉSUS dans le JOURDAIN dans un lieu situé à seulement 7 km de la communauté ESSÉNIENNE de QUMRÂN.
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BAPTÊME |
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Il y avait dans l'ANCIEN TESTAMENT des ablutions rituelles pour tout ce qui était devenu impur. Les ESSÉNIENS donnaient un baptême. Le novice ESSÉNIEN commençait sa deuxième année de probation par un baptême pour être incorporé parmi ses disciples
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DES MOINES |
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Les supérieurs (épimélètes) obtenaient de leurs subordonnés une obéissance absolue. Il y avait un noviciat, un premier temps d'épreuve, d'un an ; puis deux années encore de probation. A l'entrée définitive dans l'association, on prêtait serment de ne pas révéler les secrets de l'ordre et, au contraire, de n'avoir rien de caché pour les frères. |
JOSÈPHE, B. J., II, VIII, 6, 7. |
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HABITS |
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Le costume était celui de tout le monde, mais absolument blanc |
JOSÈPHE, B. J., II, VIII, 3, 7. |
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JEUNE |
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Les études de l'exégète française ANNIE JAUBERT ont jeté une lumière nouvelle sur le judaïsme ancien du temps de JEAN BAPTISTE et de JÉSUS. En 1957, elle découvrait que la coutume des premiers chrétiens de jeûner le mercredi et le Vendredi, trouvait son fondement dans la dualité de calendrier qui partageait le judaïsme du temps de JÉSUS en deux partis ennemis, les PHARISIENS et les ESSÉNIENS
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FRÈRES |
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les ESSÉNIENS formaient une communauté dont les membres s'appelaient «frères», selon la terminologie courante en ISRAËL (Ex 2, 11 ; 4, 18 ; Dt 1, 16. 28 et passim) mais dans un sens plus étroit. Sont «frères» ceux qui sont entrés dans l'alliance des prêtres fidèles, «les fils de SADOQ» et «les hommes de leur alliance», liés par une sorte d'engagement réciproque à observer la Loi en commun : «Ils se réprimanderont l'un l'autre dans la vérité et l'humilité et la charité affectueuse à l'égard de chacun, prescrit la règle de la communauté. que l'on ne parle point à son frère avec colère ou en grondant» |
MANUSCRITS DE QUMRÂN et JOSÈPHE, B. J., II, VIII, 3. |
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BIENS MIS EN COMMUN |
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Tous les biens étaient en commun. Ceux qui entraient dans l'ordre donnaient leur fortune à la communauté ; les confrères ne vendaient ni n'achetaient entre eux ; tout se faisait par échange ou par don gratuit |
JOSÈPHE, B. J., II, VIII, 3, 4 ; PHILON, II, 458, 632. |
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Les intérêts communs étaient confiés à des économes éprouvés |
JOSÈPHE, ANT., XVIII, I, 5 ; PHILON, II, 458, 633. |
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Les vêtements mêmes appartenaient à la communauté |
PHILON, II, 458, 633 ; JOSÈPHE, B. J., II, VIII, 4. |
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Quand un frère était malade, il était soigné aux frais de tous ; les vieillards, entourés par les jeunes gens, semblaient des pères au milieu d'excellents fils |
PHILON, II, 633. |
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Les aumônes se faisaient de la caisse commune |
JOSÈPHE, B. J., II, VIII, 6. |
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Dans chaque ville, un frère était chargé de l'hospitalité envers les frères |
JOSÈPHE, B. J., II, VIII, 4. |
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LE TEMPLE |
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Les ESSÉNIENS observaient rigoureusement la Loi, avec les idéaux de pauvreté et de charité. C'étaient des dissidents, opposés aux chefs du TEMPLE, mais se disaient le peuple élu, le vrai ISRAËL. Il est question d'un MESSIE, roi et prêtre, du «serviteur souffrant» en référence à ISAÏE :
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«tout atteste chez eux la nostalgie du TEMPLE de DIEU, le respect pour la ville sainte ; s'ils refusent de pactiser avec ceux qui actuellement y règnent, leurs espoirs sont tournés vers le TEMPLE nouveau et la JÉRUSALEM nouvelle qui demeurent le centre de leurs pensées et de leur cœur». |
PHILON, II, 457 ; JOSÈPHE, ANT., XVIII, I, 5. |
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LA CROIX |
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Symbole principal du christianisme, elle est considérée de nos jours comme l'image du gibet de la crucifixion du CHRIST, mais sa symbolique est plus ancienne. Tracer une CROIX sur le front comme symbole d'appartenance à la communauté messianique était déjà utilisé comme marque distinctive par les ESSÉNIENS. |
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LA CÈNE |
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On remarquera que la CÈNE des Evangiles canoniques est de type ESSÉNIENS :
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A QUMRÂN, un repas était pris en commun au cours duquel un prêtre bénissait le pain et le vin |
PHILON D’ALEXANDRIE) |
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L'ATTENTE DU MESSIE |
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Ces textes, véritables archives du courant le plus pur du judaïsme palestinien au temps de la naissance du CHRIST, montrent que les juifs étaient prêts, au sein de la fervente communauté ESSÉNIENNE, à recevoir la révélation que l'ange GABRIEL fit à MARIE. . La découverte des manuscrits de QUMRÂN nous révèle donc ce que furent en toute vérité les racines juive du christianisme : NON PAS LE JUDAÏSME RABBINIQUE rené à YABNÉ, 20 ans après la destruction de JÉRUSALEM, et qui exclura les chrétiens de la Synagogue, mais la religion des «pauvres d'ISRAËL». Ce judaïsme ESSÉNIEN, dans la logique de sa fidélité à l'ancienne Alliance, devint chrétien, serviteur de la nouvelle et éternelle Alliance. FRÈRE BRUNO BONNET-EYMARD |
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Re: JÉSUS-CHRIST ÉTAIT-IL ESSÉNIEN ?
Les esséniens ne croyaient pas dans le libre-arbitre, mais dans une prédestination à chaque âme à être damnée ou sauvée.
Les esséniens ne croyaient pas non plus à la Résurrection de la Chair.
Jésus n'était pas essénien. Il n'appartenait à aucune secte ou caste.
Il était le Verbe de Dieu fait chair, le Fils de Dieu descendu du Ciel pour racheter les hommes, et leur ouvrir les portes du Ciel.
Re: JÉSUS-CHRIST ÉTAIT-IL ESSÉNIEN ?
Jésus "était le Verbe de Dieu fait chair, le Fils de Dieu descendu du Ciel pour racheter les hommes, et leur ouvrir les portes du Ciel". Mais il a choisi de naitre dans une communauté d'hommes et il se trouve quelle était probablement pas juive pharisienne, pas juive zélote, pas juive sadducéenne... mais juive essenienne ce qui explique beaucoup de choses abordées plus haut (baptême-Croix, etc..) ainsi que bien d'autres non décrites ici :
- crucifixion
- les marchands du temple
-le bon samaritain
- le peuple de la seconde alliance
etc..
Re: JÉSUS-CHRIST ÉTAIT-IL ESSÉNIEN ?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Ess%C3%A9nienJésus était-il essénien ?
Les origines du mouvement essénien furent bien antérieures à l'ère chrétienne, et dans les écrits de Qumrân on ne trouve aucune allusion au christianisme.
Il existe certaines analogies entre les deux mouvements (messianisme, pratiques baptismales, renoncement aux biens matériels), ce qui a fait dire à Ernest Renan que le christianisme était « un essénisme qui a réussi », mais les esséniens, qui nous sont maintenant mieux connus depuis la découverte des Manuscrits de la mer Morte, se distinguaient de Jésus de Nazareth par leur rigorisme ritualiste, leur souci de pureté extérieure, leur manière de vivre dans des communautés retirées, leur pensée (doctrine des deux esprits, espérance eschatologique cataclysmique [réf. souhaitée], et non pas avènement messianique dans la douceur, etc...). Ni les textes néotestamentaires ni les autres (Flavius Josèphe, Pères de l'Église, apocryphes) ne font mention des esséniens à propos de Jésus ou des chrétiens. Des rapprochements peuvent cependant être faits entre le Nouveau Testament et les textes esséniens concernant certains thèmes (lignée davidique du Messie, résurrection des morts) ou expressions, comme celle de « pauvres en esprit », présente à la fois dans les Béatitudes et dans certains fragments retrouvés à Qumrân où elle désigne les fidèles observateurs de la loi.
Certains chercheurs ont proposé d’identifier les fragments 7Q5 et 7Q4 comme étant des extraits de l'évangile de Marc et de la lettre à Timothée. Toutefois ceux-ci ne comportent que moins de cinq morceaux de mots non significatifs. Il a été démontré que l'on pouvait retrouver cet agencement de mots dans de multiples écrits antiques, dont par exemple l'Illiade.
Comme nous avons affaire à des conjectures purement spéculatives et humaines, qui ne tirent pas leur source dans la Bible ni dans la Tradition de l'Église, et comme on essaie ici d'associer Jésus à une secte hérétique, nous allons en rester là.
» '' Car je n'ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ c
» Et si Jésus était bien né le 25 décembre de l’an I…
» Maintenant, Je laisserai faire l’ennemi: Un cataclysme général..(JNSR)
» Loué soit Jésus Christ , Laudate Jesus Christe !