Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
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Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Mission de la Maison
Accueillir avec respect, amour et compréhension, toute personne dans le besoin, quelle que soit la raison qui l'amène à frapper à notre porte.
Offrir les services qui lui permettraient de trouver une solution à sa situation et, si possible, l'aider à retrouver son autonomie.
La Maison, d'hier à aujourd'hui...
Les débuts
Le 30 décembre 1981, grâce à une mise de fond avancée par une quarantaine de communautés religieuses et par l'Archevêché de Québec, l'édifice, situé au 401 rue Saint-Paul, qui était à l'époque l'Hôtel Château Champlain, est acheté.
Le 30 janvier 1983 marque l'ouverture officielle de la Maison de Lauberivière. Les premiers bénéficiaires passent les portes le 14 février 1983.
Au début, la mission de la Maison est de fournir le gîte et le couvert. C'est ainsi que l'hébergement pour hommes, l'hébergement pour femmes et la soupe populaire sont offerts aux plus démunis.
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Monsieur Éric Boulay, coordonnateur à la Maison de Lauberivière, présente dans cette vidéo les différents services offerts par l'organisme. Depuis 1983, Lauberivière vient en aide aux sans-abri et exclus sociaux de la grande région de Québec. Annuellement, c'est plus de 5 000 personnes dans le besoin qui reçoivent l'aide de la Maison. Plus de 146 000 repas y sont servis chaque année.
Si vous souhaitez faire un don à la Maison de Lauberivière, vous pouvez le faire en ligne de façon simple et rapide au www.lauberiviere.org
Gilles. Ville de Québec - Canada [/b]
Dernière édition par Gilles le Dim 28 Avr 2013 - 22:01, édité 4 fois
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Un 24e Spectacle-bénéfice inoubliable qui aura entre autres permis à nos invités de découvrir les talents d'humoriste des deux patrons d'honneur de la Fondation, l'archevêque de Québec, Mgr Gérald Cyprien. Lacroix et le maire de Québec, M. Régis Labeaume qui ont offert, juste avant la prestation de Daniel Lemire, un discours commun teinté d'humour qui a su charmer le public. Le spectacle a eu lieu le mardi 22 novembre dernier à la salle Albert-Rousseau.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Cette charité est tellement belle que l'ont peux ressentir Dieu ça fait vivre et l'espoir est très grande la très beau, merci de nous partager cette belle maison Gilles
Luca- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
L'implication des Soeurs de la Charité de Québec dans les oeuvres sociales: la Soupe populaire de la Haute-Ville...
Historique général
Dès l'arrivée des Sœurs de la Charité dans la ville de Québec en 1849, la Congrégation a eu pour priorité de donner à manger à ceux qui souffraient de la faim. Mère Marcelle Mallet continuait ainsi le charisme de Mère Marguerite d'Youville en partageant le peu de ressources de la communauté avec les personnes démunies de Québec. Rapidement, sœur Marie-de-la-Nativité, l'une des premières novices des Sœurs de la Charité de Québec, devient préposée à «l'apostolat du dehors». Elle est connue de toute la population de Québec pour ses activités visant à recueillir des dons pour les infortunés.
L'œuvre de la soupe débute en 1900 et il s'agit d'une première pour la Congrégation, soit d'accueillir et de servir les repas aux pauvres à même la Maison Mère. Ce service offre alors de la soupe et des sandwichs, de 7h30 à 17h00 tous les jours de la semaine. L'œuvre de la soupe subit quelques changements et, en 1930, son accueil se structure davantage : elle offre désormais trois repas par jour. Les premiers repas chauds sont servis à partir de 1949.
En 1969, la communauté interrompt ce service qui sera pris en charge par d'autres organismes dans le cadre d'une restructuration par le Conseil des Œuvres et du Bien-Être de Québec. Les sœurs continuent à aider les pauvres dans d'autres domaines. Cependant, en 1981, les Sœurs de la Charité de Québec remettent sur pied "La soupe populaire" visant à offrir aux plus démunis, à l'heure du dîner, tous les jours de la semaine, un repas chaud, complet et gratuit.
En 1986, 54 000 personnes sont accueillies et en 2010, c'est 55 603 personnes qui sont reçues dans les locaux de l'œuvre à la Maison Mère-Mallet. Encore aujourd'hui, ce service est essentiel, car les problèmes sont multiples et les conditions de vie de plus en plus difficiles, que l'on pense, entre autres, au haut taux de chômage, à l'accroissement du nombre de personnes âgées, seules, pauvres, malades ou aux jeunes aux prises avec des problèmes d'alcool et de drogue. Les problèmes de santé mentale contribuent également à augmenter les difficultés pour un nombre grandissant de personnes.
Description...
L'œuvre de la Soupe populaire, située à la Maison Mère-Mallet dans le Vieux-Québec, est ouverte de 12h00 à 13h15, sept jours par semaine, à l'exception des quatre premières journées de chaque mois. Un repas santé est servi gratuitement à toute personne qui se présente.
La Soupe populaire sert en moyenne plus de 190 repas par jour. Ce repas chaud est nourrissant et offert à volonté: de la soupe, un choix de mets principaux, des légumes, de la salade, du pain, du dessert et des boisons chaudes. Une équipe de cuisiniers professionnels, des employés et une quinzaine de bénévoles travaillent quotidiennement au bon déroulement de l'heure du dîner à la Soupe populaire. De plus, l'œuvre reçoit tous les jours des groupes d’étudiants provenant d'écoles, d'organismes (maisons de jeunes, scouts, etc.) et de groupes de pastorale de la région de Québec. L'implication de ces groupes a pour but de donner une dimension sociale à la formation des jeunes.
Bien que toute personne soit accueillie à bras ouverts à la Soupe populaire, la clientèle se compose à 80% d'hommes. Toutefois, les responsables de l'œuvre constatent une diminution de la moyenne d’âge des bénéficiaires ; des personnes de plus en plus jeunes recourent à l'œuvre pour se nourrir. Les religieuses œuvrant à la Soupe populaire, ainsi que les employés et bénévoles, se font un devoir de mettre l'accent sur l'accueil des personnes. Conscientes qu'il faut énormément de courage pour se présenter à la Soupe populaire, le personnel s'emploie à respecter, à réconforter et à mettre du soleil dans la journée de chaque personne qui se présente.
Avec le temps, la Soupe populaire est devenue beaucoup plus qu'un simple dépannage alimentaire. Il s'agit d'un lieu d'accueil inconditionnel, où chacun est accepté comme il est, considéré pour sa valeur en tant que personne et traité avec déférence, respect et dignité. C'est aussi un lieu d'engagement au service d'autrui, puisqu'une quinzaine de bénévoles issus de différentes classes de la société participent au service du repas. C'est encore un lieu d'apprentissage de l'implication pastorale, grâce à la participation des jeunes qui se sensibilisent au partage et au service communautaire.
Finalement, la Soupe populaire des Sœurs de la Charité de Québec est un lieu de vie et d'activités très diversifiées, car plusieurs groupes et organismes s'y présentent pour apporter leur collaboration ou encore pour prendre contact avec cette œuvre.
Apprentissage et transmission
Depuis 1849, des religieuses de la Congrégation ont toujours été au service des pauvres de Québec, tentant, entre autres, de les aider à se nourrir convenablement. En 2010, trois religieuses se dévouent à l'œuvre de la Soupe populaire. Ces trois religieuses peuvent continuer ce service essentiel, grâce à une équipe stable de plus de 80 bénévoles: plusieurs jeunes professionnels retraités, des travailleurs qui donne chaque semaine des heures de disponibilités, des chômeurs, des bénéficiaires d'aide sociale qui s'impliquent régulièrement, mais surtout la Congrégation assume le financement de cette œuvre: salaire des cuisiniers professionnels et approvisionnement des denrées. C'est ainsi que l'œuvre se perpétue, une tradition débutée il y a plus de 160 ans.
Source : www.ipir.ulaval.ca
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Oui c'est la charité qui sauvera le monde.
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des NATIONS
Cordialement dans le Christ-Roi Maitre des NATIONS
l43275- Combat l'antechrist
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Merci Gilles pour ces vidéos aussi édifiantes les unes que les autres de bonté et de générosité
Le Christ est vraiment présent au milieu de ces communautés pleines d' Amour
Notre frère lacroixlys dit :
Je lui fais echo et je rajoute :
" C'est l' amour qui sauvera le Monde"
Jésus a dit :
" Ce que vous faites pour les plus petits et les plus pauvres , c'est à Moi que vous le faites "
Maud
Le Christ est vraiment présent au milieu de ces communautés pleines d' Amour
Notre frère lacroixlys dit :
Oui c'est la charité qui sauvera le monde
Je lui fais echo et je rajoute :
" C'est l' amour qui sauvera le Monde"
Jésus a dit :
" Ce que vous faites pour les plus petits et les plus pauvres , c'est à Moi que vous le faites "
Maud
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
L’Armée du Salut célèbre ses 130 ans au Canada
L’Armée du Salut entreprit son œuvre au Canada en 1882, quinze ans après la naissance de la Confédération, et se mit rapidement à l’œuvre pour venir en aide aux personnes dans le besoin.
C’est en juillet de cette année-là que l’Armée commença officiellement ses activités, lorsqu’un officier américain, le major Thomas Moore, en prit le commandement. Il y avait alors, en Ontario, onze « postes » ou congrégations de l’Armée du Salut. Un an plus tard, le Canada devenait un « territoire » indépendant, responsable de sa propre administration au sein de l’organisation salutiste mondiale.
L’Armée du Salut est une branche de l’Église évangélique chrétienne. Au Canada, elle a adopté la philosophie de William Booth, son fondateur, qui consiste à répondre aux besoins physiques, affectifs et spirituels des gens. C’est ainsi qu’est né le concept de « soupe, savon et salut » qui a donné naissance à l’immense réseau de services sociaux que gère aujourd’hui l’Armée du Salut.
À cette époque, l’Armée du Salut et ses méthodes suscitèrent beaucoup d’opposition de la part de politiciens municipaux et d’autres intérêts bien établis. Les salutistes étaient souvent battus et emprisonnés pour les activités qu’ils tenaient dans les rues des villes et des villages du Canada. Malgré cela, le mouvement fut éventuellement accepté lorsqu’il démontra les bienfaits sociaux qui découlaient de ses activités.
Le travail social auprès des hommes débuta en 1890 avec l’ouverture d’une maison de transition pour anciens détenus, le Prison Gate Home, à Toronto. La même année, un foyer pour enfants fut créé. Le premier centre d’hébergement pour femmes enceintes, précurseur des hôpitaux Grace de l’Armée du Salut, fut ouvert à Saint John, au Nouveau-Brunswick, en 1898. En 1901, l’Armée du Salut proposa au gouvernement fédéral l’adoption d’un programme de probation qui donna naissance au premier programme de libération conditionnelle du Canada.
En 1908, un service de récupération (aujourd’hui appelé service de recyclage) fut mis sur pied à Toronto, ouvrant la voie à la création des magasins d’occasions bien connus. Le statut de l’Armée du Salut fut officialisé en 1909, lorsque le Parlement canadien édicta une loi qui accorda à l’organisme une capacité juridique. Sa direction fut confiée au Conseil de direction de l’Armée du Salut au Canada, qui remplit toujours ce rôle aujourd’hui. En 1911, le premier centre de détention pour jeunes délinquants fut établi au Manitoba. Sa gestion fut confiée à l’Armée du Salut. La même année, une colonie agricole voyait le jour à Coombs, en Colombie-Britannique.
En 1914, l’Armée du Salut fut frappée par la tragédie nationale du naufrage de l’Empress of Ireland, dans le fleuve Saint-Laurent, près de Rimouski. Le navire transportait plus de 150 salutistes, en route vers Londres, où ils devaient participer à un congrès international. La plupart d’entre eux, y compris le dirigeant national et les membres de la fanfare de l’état major canadien, périrent. Ce n’est qu’en 1969 que la fanfare de l’état major canadien s’est reconstituée.
La participation du Canada à la Première Guerre mondiale donna lieu à la nomination du premier officier de l’Armée du Salut au poste d’aumônier dans les Forces canadiennes, ainsi qu’au don de cinq ambulances motorisées aux troupes en service outre mer. À la fin de la guerre, l’Armée du Salut établit des centres d’hébergement à Winnipeg, à London, à Kingston, à Toronto et dans d’autres villes, à l’intention des soldats qui revenaient du front. L’innovation en matière de services sociaux se poursuivit avec l’expansion de l’organisme. Le premier foyer pour personnes âgées (Eventide Home) fut fondé à Edmonton en 1926, tandis que des hôpitaux Grace et des centres d’hébergement pour mères célibataires ouvraient leurs portes dans les villes importantes du pays.
Au début de la Deuxième Guerre mondiale, des officiers de l’Armée du Salut accompagnèrent les Forces canadiennes outre mer, non seulement en qualité d’aumôniers, mais comme administrateurs des Maple Leaf Clubs, où les troupes pouvaient se reposer et se distraire. À la fin de la guerre, on comptait des clubs en Allemagne, en Angleterre, en Belgique, en France, en Hollande et en Inde. Le personnel de ces clubs était composé en grande partie d’Auxiliaires de l’Armée du Salut, dont certaines avaient à peine 20 ans. On s’y sentait un peu comme à la maison : on pouvait manger des plats typiquement canadiens, faire suivre son courrier, participer à des activités sociales, comme la danse, et se loger provisoirement. À la fin du conflit, dans les ports canadiens, les salutistes accueillaient les « épouses de guerre » des militaires, de retour de l’étranger. Après la guerre, d’autres services sociaux novateurs furent mis en œuvre, dont un centre de prévention du suicide ainsi que des programmes d’aide aux victimes de crimes et aux témoins, qui ont par la suite été annexés au système de justice pénale.
L’Armée du Salut au Canada a ainsi formé de nombreux dirigeants exceptionnels qui se sont illustrés, non seulement sur la scène nationale, mais aussi à l’échelle mondiale. En 1975, Clarence Wiseman a été élu général (dirigeant international) de l’Armée du Salut. Arnold Brown lui a succédé en 1977. En 1993, Bramwell Tillsley a été nommé général, mais il a dû se retirer l’année suivante, en raison de troubles de santé. En 2011, la commissaire Linda Bond est devenue la dix-neuvième dirigeante de l’Armée du Salut. L’organisation compte actuellement plus d’un million de membres et est présente dans 124 pays.
Aujourd’hui, l’Armée du Salut est le fournisseur de services sociaux non gouvernemental le plus important au Canada. Elle vient en aide à quelque 1 700 000 personnes chaque année, dans plus de 400 collectivités à travers le pays. Elle fournit une aide concrète à des milliers de familles démunies, et répond aux besoins essentiels de ceux qui ont perdu la maîtrise de leur vie en leur offrant des services de réadaptation et une place en centre d’hébergement ou refuge.
En outre, la campagne des marmites de Noël recueille des fonds depuis plus de 120 ans afin de soutenir les services qu’offre l’Armée du Salut à la population. Cette campagne est devenue l’un des événements caritatifs les plus importants et les plus reconnus au Canada. L’Armée du Salut évolue afin de s’adapter aux changements qui s’opèrent au sein de la société. Tout en conservant ses valeurs et ses objectifs, elle met en œuvre des programmes inspirés et efficaces, comme des cuisines communautaires, des programmes de formation et des services d’aide aux toxicomanes en centre de jour, qui répondent aux besoins croissants des collectivités.
www.armeedusalut.ca
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Merci Gilles de toutes ces informations fort intéressantes
Qu'elles soient ...sociales , charitables , politiques , tu remplis bien ta mission de " Responsable du Québec "
Cousinement
Maud
Qu'elles soient ...sociales , charitables , politiques , tu remplis bien ta mission de " Responsable du Québec "
Cousinement
Maud
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Comme Maud, je te remercie Gilles pour ces informations.
Amitiés,
Manuela.
Amitiés,
Manuela.
Manuela- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
HISTORIQUE :
Devant l’ampleur du phénomène de la pauvreté et l’urgence de la situation, le fondateur de la banque alimentaire régionale, monsieur André Mignault devança de 6 ans son projet de retraite. C’est donc en novembre 1987 que Moisson Québec ouvrait ses portes pour répondre à des besoins que l’on croyait temporaires. Encore aujourd’hui, Moisson Québec répond à des demandes d’aide alimentaire sans cesse croissantes.
Quatre principaux éléments ont motivé la fondation de Moisson Québec
L’ampleur et l’urgence des besoins : De plus en plus de gens souffrent d’insécurité alimentaire. Ils ont recours aux banques alimentaires pour s’assurer d’une alimentation minimale.
La sursollicitation des entreprises agroalimentaires : Moisson Québec a la capacité structurelle de récupérer tous les jours des quantités importantes de denrées dans les entreprises agroalimentaires. Ainsi, tout en évitant à celles-ci d’être sursollicitées, elle leur garantit une distribution gratuite et un partage équitable, constituant donc un guichet unique pour les organismes accrédités.
La diminution du gaspillage : Par sa récupération quotidienne, Moisson Québec évite que des tonnes de denrées propres à la consommation soient détruites. Des milliers de gens dans le besoin peuvent donc en profiter.
L’optimalisation de l’aide alimentaire : en libérant les organismes offrant des services d’aide alimentaire de la lourde tâche que représente la récupération, Moisson Québec leur permet de concentrer leur énergie pour intervenir auprès des personnes dans le besoin afin d’en maximiser les impacts positifs.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Merci cher Gilles pour cet article et excuse-moi quand je ne peut être plus présente.
Amitiés
Manuela.
Amitiés
Manuela.
Manuela- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
HISTORIQUE
Le Café-Rencontre du Centre-Ville a vu le jour à Québec en 1987 grâce à l'initiative de quelques bénévoles concernés par la pauvreté dans le quartier Saint-Roch.
Avec la collaboration du Carrefour Chrétien de la Capitale, ces braves gens ont créé un service de soupe populaire le midi en semaine, jetant ainsi les bases d'un organisme communautaire destiné à devenir un joueur important dans le réseau d'aide aux personnes démunies du centre-ville de Québec.
À la fin de 1988, Monsieur Michel Godin et son épouse Ghislaine Aubin Godin acceptèrent d'assurer la direction de l'œuvre et ce sont eux qui portent le flambeaux depuis ce temps.
En 1991, le Café Rencontre franchissait une étape importante vers l'autonomie, en procédant à la première embauche de personnel dans le cadre d'un programme de création d'emplois. L'année suivante, afin de mieux coordonner les activités du Café, on engageait à temps plein, avec un modeste salaire, le directeur qui jusque là avait été bénévole à temps partiel. Pour assurer le fonctionnement de la soupe populaire, il fallait alors multiplier les efforts de financement : sollicitation dans les centres commerciaux, campagne de porte-à-porte, dons de particuliers, etc.
Le Café est vite devenu un lieu de rencontre, comme le veut son nom, c'est-à-dire un lieu où les personnes nécessiteuses savent qu'elles trouveront un accueil chaleureux, une écoute attentive et un soutien moral significatif. Au Café Rencontre, la relation d'aide fait partie intégrante de notre mission. Avec le temps, les personnes bénéficiaires de la soupe populaire ont développé une relation de confiance inestimable avec les intervenants. C'est ainsi que nous avons été amenés à aider des centaines de personnes à sortir de leur détresse, en les écoutant et en les référant aux organismes appropriés.
Café Rencontre du Centre-ville, INC.
Devant l'augmentation dramatique des besoins, il fallait absolument revoir la structure de gestion, l'organisation des opérations et le mode de financement. C'est pourquoi en 1995 on choisissait de donner un nouvel envol au Café Rencontre en révisant sa mission et en le dotant d'une charte d'organisme sans but lucratif, indépendant du Carrefour Chrétien de la Capitale. Ce nouveau statut a permis de mieux structurer et encadrer l'intervention dans le milieu, d'en assurer la continuité et d'en favoriser le développement et le financement. Notre incorporation a ouvert la porte au soutien financier de plusieurs partenaires importants comme Centraide, la Régie régionale de la santé (rebaptisée l'Agence de la santé et des services sociaux), Emploi-Québec, Ressources humaines Canada, etc.
Friperie 'La Manne à Linge'
En 1997, le Café Rencontre ouvrait un magasin d'économie sociale qui allait répondre à une double mission. À quelques pas du Café, la friperie 'La Manne à Linge' procure aux personnes à faible revenu des vêtements et autres accessoires usagés à prix modique tout en fournissant à la soupe populaire un revenu d'appoint. Cela dit, il nous arrive encore fréquemment de faire des dons de vêtements aux personnes démunies qui viennent frapper à notre porte.
Dès le milieu des années 90, il apparaissait évident que les locaux exigus de la rue du Pont ne convenaient plus aux besoins grandissants de la soupe populaire. À l'automne 2003, le conseil d'administration faisait donc un pas de foi en signant une entente de location pour une période de six mois, avec garantie d'achat, pour un grand local situé à cent pas des anciens locaux. Quelques mois plus tard, le gouvernement du Canada nous accordait une subvention de 662 144 $ dans le cadre de l'initiative de partenariat en action communautaire (IPAC). Grâce à cette subvention, nous nous sommes portés acquéreurs d'un bâtiment de trois étages, situé au 796, rue St-Joseph Est. En plus de financer l'achat et les rénovations de notre édifice, la somme versée par le gouvernement fédéral a permis l'embauche de deux intervenants et d'un concierge. Avec ces nouveaux acquis, il devient de plus en plus raisonnable d'envisager de nouveaux projets dont on osait à peine rêver lors des années précédentes.
Pendant des années, plusieurs résidents de St-Roch ont exprimé leur désir de voir une assemblée chrétienne se réunir dans leur quartier le dimanche matin. Ce rêve s'est concrétisé en septembre 2005 avec l'ouverture de Mosaïque, une église communautaire passionnée, sous la direction du pasteur Christian Lachance. Par un heureux concours de circonstances, ce groupe de croyants dynamiques a décidé de louer l'auditorium du Café Rencontre pour y tenir des réunions hebdomadaires dans le même esprit d'accueil et de générosité qui a toujours animé notre oeuvre de bienfaisance.
www.caferencontre.org
Gilles. Ville de Québec - Canada
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
C'est tellement puissant cette union que l'ont peux sentir le parfum de la Joie. Tous le monde mérite l'amour et la Joie. Ces personnes la sont extraordinaire et magnifique dans ce qu'ils font. Que Dieu soit vraiment avec ces personnes chaque instant. Merci Gilles pour nous apporté toutes ces bonnes nouvelles
Luca- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Mise à jour le mardi 30 octobre 2012
Une banque alimentaire Photo : Hugo Lavoie
Le recours aux banques alimentaires au Canada est en hausse
Un nombre croissant de Canadiens a de plus en plus recours aux banques alimentaires.
Plus de 882 000 Canadiens ont fréquenté une banque alimentaire en mars 2012, une augmentation de 2,4 % par rapport à l'année précédente, selon l'étude annuelle de Banques alimentaires Canada dévoilée mardi.
Le nombre de Canadiens qui ont recours aux banques alimentaires a bondi de 31 % depuis le début de la récession en 2008.
La directrice générale de Banques alimentaires Canada, Katharine Schmidt, indique que l'organisme espérait voir le nombre d'utilisateurs se stabiliser avec le temps, mais cela n'a pas été le cas.
La faim se déplace...
Les statistiques de fréquentation des programmes de banques alimentaires laissent croire que les problèmes alimentaires se déplacent au pays. « Ces résultats suggèrent que la santé économique de communautés peut changer radicalement en très peu de temps », affirme Banques alimentaires Canada.
Le Québec, Terre-Neuve-et-Labrador, l'Alberta, la Saskatchewan et les Territoires ont connu une baisse de l'utilisation des banques alimentaires entre 2011 et 2012. La plus importante baisse est survenue en Alberta, où le recours aux banques alimentaires y est toutefois de 59 % plus élevé qu'il ne l'était avant le début de la récession de 2008.
Les plus importantes augmentations sont survenues à l'Île-du-Prince-Édouard et au Manitoba.
Banques alimentaires Canada dresse depuis 16 ans le portrait de l'utilisation de banques alimentaires et de programmes de repas au pays.
Les enfants et les jeunes représentent 38 % des utilisateurs de banques alimentaires, alors que les bénéficiaires de l'aide sociale, les membres des Premières Nations et les familles monoparentales sont également dans le besoin.
Une banque alimentaire Photo : Hugo Lavoie
Le recours aux banques alimentaires au Canada est en hausse
Un nombre croissant de Canadiens a de plus en plus recours aux banques alimentaires.
Plus de 882 000 Canadiens ont fréquenté une banque alimentaire en mars 2012, une augmentation de 2,4 % par rapport à l'année précédente, selon l'étude annuelle de Banques alimentaires Canada dévoilée mardi.
Le nombre de Canadiens qui ont recours aux banques alimentaires a bondi de 31 % depuis le début de la récession en 2008.
La directrice générale de Banques alimentaires Canada, Katharine Schmidt, indique que l'organisme espérait voir le nombre d'utilisateurs se stabiliser avec le temps, mais cela n'a pas été le cas.
La faim se déplace...
Les statistiques de fréquentation des programmes de banques alimentaires laissent croire que les problèmes alimentaires se déplacent au pays. « Ces résultats suggèrent que la santé économique de communautés peut changer radicalement en très peu de temps », affirme Banques alimentaires Canada.
Le Québec, Terre-Neuve-et-Labrador, l'Alberta, la Saskatchewan et les Territoires ont connu une baisse de l'utilisation des banques alimentaires entre 2011 et 2012. La plus importante baisse est survenue en Alberta, où le recours aux banques alimentaires y est toutefois de 59 % plus élevé qu'il ne l'était avant le début de la récession de 2008.
Les plus importantes augmentations sont survenues à l'Île-du-Prince-Édouard et au Manitoba.
Banques alimentaires Canada dresse depuis 16 ans le portrait de l'utilisation de banques alimentaires et de programmes de repas au pays.
Les enfants et les jeunes représentent 38 % des utilisateurs de banques alimentaires, alors que les bénéficiaires de l'aide sociale, les membres des Premières Nations et les familles monoparentales sont également dans le besoin.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
LA MAISON DE LAUBERIVIÈRE – L’ESPRIT ET LES BRAS OUVERTS
Trente ans après son ouverture, La Maison de Lauberivière se définit comme un refuge multiservice pour adultes en difficulté. Les mots clés de l’approche sont : accueil, confiance et accompagnement. L’organisme parvient ainsi à aider annuellement environ 5 000 personnes distinctes.
À l’aube de la période des fêtes, nous avons tous l’impression qu’un refuge, tel que Lauberivière, sera plus achalandé et les besoins, plus pressants. Faux, semble-t-il. Selon Éric Boulay, directeur général, « des gens qui vivent des problèmes, nous en recevons à longueur d’année et ils ne sont pas plus nombreux à Noël ou quand il fait moins vingt dehors ». Contrairement à la croyance populaire, la pénurie de logements et la période des vacances, en juillet, drainent encore plus de gens à Lauberivière. « Par contre, les fêtes c’est émotif et ceux qui sont seuls se sentent encore plus seuls, plus isolés. Il n’y a pas davantage de détresse, mais elle est plus vive et ceux qui souffrent d’une dépendance sont plus à risques. Alors nous, on redouble d’ardeur.
La veille de Noël, on reçoit 200 personnes pour le réveillon.
Des bénévoles servent le repas, les tables sont garnies de bonbons et le père Noël vient distribuer de petits cadeaux aux usagers [plus de 2 000 cadeaux sont distribués chaque année]. Le 25 décembre, c’est le brunch de Noël et le 1er janvier, celui du jour de l’An. On essaie de les entourer autant que possible », conclut-il.
En dépit de la quantité de services offerts, la mission de Lauberivière est simple : « accueillir la personne qui frappe à notre porte, peu importe la raison, et l’aider à retrouver l’autonomie, résume Éric Boulay. Ils ne viennent pas chercher de l’aide, mais par le biais de l’accueil, de l’humour et de l’écoute, on finit par créer un lien de confiance avec eux et ils comprennent comment on peut les aider. »
En fait, l’organisme est d’abord un centre d’hébergement qui offre le gîte et le couvert aux 18 ans et plus – on y sert 500 repas par jour – tout en proposant des services qui permettront aux gens de se reprendre en main et de se réinsérer dans la société.
Des services indispensables
Parmi les services offerts, celui du dégrisement sert à prévenir la criminalité. « Le principe de la réduction des méfaits liés aux problèmes de la personne, c’est un peu comme Opération Nez rouge; on accompagne ceux qui sont en état d’ébriété et qui viennent ici pour dégriser. On n’est pas là pour les juger, mais les aider », précise Éric Boulay. Ils évitent, par exemple, de se retrouver inutilement en prison en raison d’un problème de consommation. La philosophie de l’accueil prévaut également aux deux points de service du centre de jour, appelé Rendez-vous Centre-Ville, où des activités de loisirs, d’éducation et d’intervention psychosociale sont proposées et des services de base sont accessibles (douches, téléphones, laveuses, etc.)
Le service de fiducie en est un dont Éric Boulay est particulièrement fier : « C’est une curatelle volontaire. On reçoit les revenus de la personne, on l’aide à établir un budget et on administre cet argent pour elle. Cela nous permet de sécuriser les facteurs déstabilisants comme le logement et la nourriture. C’est le service qui génère le plus de résultats positifs. » Quant aux Résidences du Presbytère, qui comptent 14 logements sociaux supervisés, elles permettent à un intervenant d’accompagner des personnes en processus de guérison d’un problème de dépendance et qui ont un projet de vie personnel et concret.
Enfin, au chapitre de la réinsertion sociale, on note le programme À l’aube de l’emploi, qui permet à des adultes, hommes et femmes, de retourner sur le marché du travail ou de l’intégrer pour la première fois. « Après six ans, 95 % des gens sont encore en emploi », souligne le directeur. Par ailleurs, dans une perspective sociale et environnementale, Les jardins de Lauberivière, un potager aménagé sur le toit de l’édifice et qui fournit à la cuisine une partie des légumes et fines herbes nécessaires aux repas, permettent à certains usagers de se réaliser et de se revaloriser. En plus de contribuer à assainir l’environnement urbain. Il y a aussi la friperie, une indispensable ressource gérée par des bénévoles qui sont souvent d’anciens usagers.
L’apport du citoyen
« Noël, c’est une période où les gens sont très généreux. Oui, la nourriture et les vêtements sont très appréciés, mais nous avons surtout besoin de dons en argent, plaide Éric Boulay, notamment pour payer nos professionnels et intervenants, mais aussi pour offrir des services et aider les gens à sortir de la rue. Les citoyens peuvent donner à la Fondation de Lauberivière ou encore faire du bénévolat, sauf pour le réveillon de Noël, nous sommes complets depuis le mois de septembre! »
La différence mène souvent à l’exclusion. Pourtant sommes-nous si différents? Selon Éric Boulay, le tiers des usagers de La Maison de Lauberivière vit un problème de santé mentale, alors que cette proportion est d’un cinquième dans la population québécoise. La marge est mince. La réelle différence viendrait plutôt des facteurs de risques qui ont mené ces personnes vers une rupture, puis une démission, avec pour résultat une mauvaise estime d’eux-mêmes. D’où l’importance de les aider à se rebâtir. Quel meilleur moment que celui du partage, à Noël, pour tendre la main ?
Sylvie Lamothe
www.lauberiviere.org
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Noël est une si belle période ! C'est une de mes périodes favorites. Quand c'est Noël nous le fêtons en famille avec un grand repas de Noël nous sommes cette année une trentaine chez ma tante. Si Dieu le veut nous allons rigoler, s'amuser et s'aimé pendant c'est 2 jours de Noël. Il'y à la famille du premier degré au complet autour d'un bon repas, avec les déco de Noël pour apporté plus de chaleur et un côté charmant, je compte faire aussi les lectures du 25 quoi de plus ?
Mais quand je pense à ma situation à celle des plus démunis j'arrive à ressentir un petit moment de tristesse en sachant qu'il sont seul, abandonné, et qui n'on pas les moyen d'avoir le même Noël que moi. Et quand on vois c'est personnes qui viennent en aide à tous ces pauvres malheureux ça fait vraiment plaisir ! Et que Dieu bénisse et protège ces personnes la dans leurs missions. J'aimerais tellement le faire moi aussi travailler en tant que bénévolat pour les plus démunis, même pendant l'année. J'avais demander au resto du coeur de Belgique. Mais il ne m'on pas répondu.
Mais quand je pense à ma situation à celle des plus démunis j'arrive à ressentir un petit moment de tristesse en sachant qu'il sont seul, abandonné, et qui n'on pas les moyen d'avoir le même Noël que moi. Et quand on vois c'est personnes qui viennent en aide à tous ces pauvres malheureux ça fait vraiment plaisir ! Et que Dieu bénisse et protège ces personnes la dans leurs missions. J'aimerais tellement le faire moi aussi travailler en tant que bénévolat pour les plus démunis, même pendant l'année. J'avais demander au resto du coeur de Belgique. Mais il ne m'on pas répondu.
Luca- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Luca a écrit: Noël est une si belle période ! C'est une de mes périodes favorites. Quand c'est Noël nous le fêtons en famille avec un grand repas de Noël nous sommes cette année une trentaine chez ma tante. Si Dieu le veut nous allons rigoler, s'amuser et s'aimé pendant c'est 2 jours de Noël. Il'y à la famille du premier degré au complet autour d'un bon repas, avec les déco de Noël pour apporté plus de chaleur et un côté charmant, je compte faire aussi les lectures du 25 quoi de plus ?
Mais quand je pense à ma situation à celle des plus démunis j'arrive à ressentir un petit moment de tristesse en sachant qu'il sont seul, abandonné, et qui n'on pas les moyen d'avoir le même Noël que moi. Et quand on vois c'est personnes qui viennent en aide à tous ces pauvres malheureux ça fait vraiment plaisir ! Et que Dieu bénisse et protège ces personnes la dans leurs missions. J'aimerais tellement le faire moi aussi travailler en tant que bénévolat pour les plus démunis, même pendant l'année. J'avais demander au resto du coeur de Belgique. Mais il ne m'on pas répondu.
Oui cher Luca... Beaucoup de gens se dévouent pour les pauvres, les itinérants (SDF), les malades et tous les exclus de la société. Prions pour ces personnes qui sont le reflet de l'Amour de Dieu dans notre monde si égoïste.
Sois heureux en famille pendant ces belles heures de festivités cher Luca. Joyeux Noël !
Amicalement...
Gilles.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Le Québéc est un pays de grande charité...En cette époque, nous devrions faire preuve de bonté, tout comme nos parents et grands parents.
Paix a vous en cette journée de Noël
Paix a vous en cette journée de Noël
Ludwik59- Contre la Franc Maconnerie
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Mise à jour le mercredi 2 janvier 2013 à 11 h 59 HNE
La Maison de Lauberivière
Augmentation de l'achalandage à la Maison de Lauberivière
La première moitié du mois de décembre a été particulièrement achalandée pour le refuge pour sans-abri la Maison de Lauberivière, à Québec. On y a noté une augmentation de 43 % de l'achalandage en comparaison avec les années précédentes. La Maison de Lauberivière a même dû ouvrir des « lits civières » à quatre reprises pour répondre à la demande.
Le directeur général de l'établissement, Éric Boulay, affirme que la situation est inquiétante. Selon ses calculs, les cinq dernières années affichent une moyenne d'environ 370 couchés pour les 15 premiers jours de décembre. Cette année, indique-t-il, « on a 530 couchés pour ces mêmes premiers 15 jours-là, ce qui est vraiment une augmentation drastique. »
Éric Boulay croit que divers facteurs peuvent expliquer cette augmentation de l'achalandage, dont l'effritement de la classe moyenne. Il craint que cette tendance soit de mauvais augure pour l'année à venir. « C'est très inquiétant étant donné que traditionnellement, c'est un mois qui connaît peu d'achalandage par rapport au reste de l'année », souligne-t-il.
Le directeur de la Maison Lauberivière rappelle que l'itinérance est de plus en plus présente à Québec. « On aide 5000 personnes en moyenne par année, des personnes différentes, et les raisons qui les amènent à frapper à notre porte sont très variées. Tout le monde peut un jour ou l'autre se retrouver à Lauberivière. »
La Maison de Lauberivière est un centre d'hébergement multiservice qui permet d'offrir le gîte et le couvert, et qui propose plusieurs services permettant aux plus démunis de se reprendre en main et de se réinsérer socialement.
La Maison de Lauberivière
Augmentation de l'achalandage à la Maison de Lauberivière
La première moitié du mois de décembre a été particulièrement achalandée pour le refuge pour sans-abri la Maison de Lauberivière, à Québec. On y a noté une augmentation de 43 % de l'achalandage en comparaison avec les années précédentes. La Maison de Lauberivière a même dû ouvrir des « lits civières » à quatre reprises pour répondre à la demande.
Le directeur général de l'établissement, Éric Boulay, affirme que la situation est inquiétante. Selon ses calculs, les cinq dernières années affichent une moyenne d'environ 370 couchés pour les 15 premiers jours de décembre. Cette année, indique-t-il, « on a 530 couchés pour ces mêmes premiers 15 jours-là, ce qui est vraiment une augmentation drastique. »
Éric Boulay croit que divers facteurs peuvent expliquer cette augmentation de l'achalandage, dont l'effritement de la classe moyenne. Il craint que cette tendance soit de mauvais augure pour l'année à venir. « C'est très inquiétant étant donné que traditionnellement, c'est un mois qui connaît peu d'achalandage par rapport au reste de l'année », souligne-t-il.
Le directeur de la Maison Lauberivière rappelle que l'itinérance est de plus en plus présente à Québec. « On aide 5000 personnes en moyenne par année, des personnes différentes, et les raisons qui les amènent à frapper à notre porte sont très variées. Tout le monde peut un jour ou l'autre se retrouver à Lauberivière. »
La Maison de Lauberivière est un centre d'hébergement multiservice qui permet d'offrir le gîte et le couvert, et qui propose plusieurs services permettant aux plus démunis de se reprendre en main et de se réinsérer socialement.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Publiée le 2012-12-27
La Maison Lauberivière de Québec - Noël 2012
Lauberivière est un refuge qui traite avec l'Itinérance, la faim, et la maladie ...
Nommé en l'honneur du 5è Évêque de Québec ... François-Louis de Pourroy de Lauberivière (1711-1740) - décédé à l'âge de 29 ans ... atteint d'une intense fièvre.
Cette courte vidéo est un aperçu des préparatifs de leur souper "populaire" de Noël offert à ceux/celles dans le besoin ...
Merci à tous les bénévoles impliqués !
La Maison Lauberivière de Québec - Noël 2012
Lauberivière est un refuge qui traite avec l'Itinérance, la faim, et la maladie ...
Nommé en l'honneur du 5è Évêque de Québec ... François-Louis de Pourroy de Lauberivière (1711-1740) - décédé à l'âge de 29 ans ... atteint d'une intense fièvre.
Cette courte vidéo est un aperçu des préparatifs de leur souper "populaire" de Noël offert à ceux/celles dans le besoin ...
Merci à tous les bénévoles impliqués !
Dernière édition par Gilles le Lun 21 Jan 2013 - 4:02, édité 1 fois
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Ewan Sauves et Ève Lévesque / Agence QMI
Publié le: dimanche 20 janvier 2013, 16H41 | Mise à jour: dimanche 20 janvier 2013, 17H02
Vague de froid
Les refuges pour sans-abri se préparent
La vague de froid intense qui frappera le Québec dans les prochains jours donnera du fil à retordre aux refuges pour sans-abri du centre-ville de Montréal. Devant une augmentation considérable de leur achalandage, ceux-ci prendront tous les moyens nécessaires pour éviter le pire.
Déjà, ce dimanche, la Mission Old Brewery, le plus grand refuge pour hommes au Québec, a servi une centaine de personnes supplémentaires lors du repas du midi.
En effet, durant les tempêtes, il n’est pas étonnant de voir plus de monde sur les lieux, a expliqué Audrey Vernet, intervenante à la Mission Old Brewery. «Tout le monde est bienvenu, on ne refuse personne», a-t-elle dit.
Les deux refuges de la Mission Old Brewery, sur la rue Clark pour les hommes et sur le boulevard De Maisonneuve Est pour les femmes, risquent fort probablement d’afficher complet dès lundi soir.
Mme Vernet a indiqué que des «lits d’urgence» sont aussi disponibles si le besoin se fait sentir. «Ce soir (dimanche), des dizaines de personnes de plus que d’habitude sont attendues», a-t-elle indiqué.
S’il manque de la place, pas question de renvoyer un sans-abri dans la rue. Une navette spéciale transporte exclusivement les personnes sans lits vers des ressources où il y en a.
«On est là pour accommoder les gens, a dit Audrey Vernet. On a même des centres de répits pour les personnes qui seraient suspendus dans des centres.»
Le centre de jour de l’Accueil Bonneau, situé sur la rue Saint-Paul, ouvre généralement ses portes plus tôt les jours où la température extérieure est très froide. «Évidemment, il n’y a pas de file d’attente à l’extérieur du bâtiment, a mentionné Marielle Choquette, porte-parole de l’Accueil Bonneau. On sert du café et on permet aux itinérants de se réchauffer.»
Des intervenants sociaux disponibles
Des intervenants sociaux sont disponibles pour aider les visiteurs. «Il y a beaucoup d’intervenants sur place et les services sont là quand la personne se laisse approcher», a dit Mme Choquette.
Une vague de froid intense devait s’abattre dimanche soir sur la métropole et sur le centre du Québec, selon le bulletin météorologique spécial d’Environnement Canada.
S’ajoutant aux vents et aux rafales allant jusqu’à 90 km/h qui soufflaient dimanche matin sur la métropole, le refroidissement prévu devait atteindre les moins 40 degrés Celsius.
Malgré le soleil prévu jusqu’à jeudi, les températures minimum devaient être au-dessous les moins 20 degrés dès mardi. Des averses de neige et le retour d’un temps moins polaire, avec des températures oscillant entre – 18 et – 10, étaient par ailleurs prévus pour vendredi.
Environnement Canada a conseillé d’éviter les activités extérieures, de s’habiller chaudement et de demeurer au sec, afin de prévenir les engelures et l’hypothermie. Il est aussi recommandé de vérifier le bon fonctionnement de son système de chauffage.
Publié le: dimanche 20 janvier 2013, 16H41 | Mise à jour: dimanche 20 janvier 2013, 17H02
Vague de froid
Les refuges pour sans-abri se préparent
La vague de froid intense qui frappera le Québec dans les prochains jours donnera du fil à retordre aux refuges pour sans-abri du centre-ville de Montréal. Devant une augmentation considérable de leur achalandage, ceux-ci prendront tous les moyens nécessaires pour éviter le pire.
Déjà, ce dimanche, la Mission Old Brewery, le plus grand refuge pour hommes au Québec, a servi une centaine de personnes supplémentaires lors du repas du midi.
En effet, durant les tempêtes, il n’est pas étonnant de voir plus de monde sur les lieux, a expliqué Audrey Vernet, intervenante à la Mission Old Brewery. «Tout le monde est bienvenu, on ne refuse personne», a-t-elle dit.
Les deux refuges de la Mission Old Brewery, sur la rue Clark pour les hommes et sur le boulevard De Maisonneuve Est pour les femmes, risquent fort probablement d’afficher complet dès lundi soir.
Mme Vernet a indiqué que des «lits d’urgence» sont aussi disponibles si le besoin se fait sentir. «Ce soir (dimanche), des dizaines de personnes de plus que d’habitude sont attendues», a-t-elle indiqué.
S’il manque de la place, pas question de renvoyer un sans-abri dans la rue. Une navette spéciale transporte exclusivement les personnes sans lits vers des ressources où il y en a.
«On est là pour accommoder les gens, a dit Audrey Vernet. On a même des centres de répits pour les personnes qui seraient suspendus dans des centres.»
Le centre de jour de l’Accueil Bonneau, situé sur la rue Saint-Paul, ouvre généralement ses portes plus tôt les jours où la température extérieure est très froide. «Évidemment, il n’y a pas de file d’attente à l’extérieur du bâtiment, a mentionné Marielle Choquette, porte-parole de l’Accueil Bonneau. On sert du café et on permet aux itinérants de se réchauffer.»
Des intervenants sociaux disponibles
Des intervenants sociaux sont disponibles pour aider les visiteurs. «Il y a beaucoup d’intervenants sur place et les services sont là quand la personne se laisse approcher», a dit Mme Choquette.
Une vague de froid intense devait s’abattre dimanche soir sur la métropole et sur le centre du Québec, selon le bulletin météorologique spécial d’Environnement Canada.
S’ajoutant aux vents et aux rafales allant jusqu’à 90 km/h qui soufflaient dimanche matin sur la métropole, le refroidissement prévu devait atteindre les moins 40 degrés Celsius.
Malgré le soleil prévu jusqu’à jeudi, les températures minimum devaient être au-dessous les moins 20 degrés dès mardi. Des averses de neige et le retour d’un temps moins polaire, avec des températures oscillant entre – 18 et – 10, étaient par ailleurs prévus pour vendredi.
Environnement Canada a conseillé d’éviter les activités extérieures, de s’habiller chaudement et de demeurer au sec, afin de prévenir les engelures et l’hypothermie. Il est aussi recommandé de vérifier le bon fonctionnement de son système de chauffage.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Mise à jour le dimanche 20 janvier 2013 à 22 h 11 HNE
Itinérants plus nombreux, mais pas les ressources
La vague de froid glacial prévue cette semaine à Montréal devrait amener les itinérants à s'abriter massivement dans les refuges de la ville. Or, les organismes commencent à manquer de ressources.
La Maison du Père pourrait offrir 202 lits, mais elle ne peut en maintenir que 170 pour le moment.
« On n'a pas les moyens d'ajouter des ressources humaines pour assurer la sécurité des hommes et des employés en ajoutant 30 autres lits. Avec les 170 lits, pour l'instant, ça répond à la demande, et il y a un suivi serré qui est fait par les trois refuges », explique la porte-parole de l'organisme, Manon Dubois.
Selon le Réseau de solidarité itinérance du Québec (RSIQ), la Maison du Père n'est pas un cas unique dans la métropole. Le soutien financier du gouvernement fédéral est resté inchangé depuis 12 ans, alors que le nombre d'itinérants a sensiblement augmenté. L'année dernière à Montréal, les demandes de refuges pour hommes ont grimpé de 8 %.
Les organismes d'aide à l'itinérance espèrent beaucoup de la politique annoncée cet automne par le gouvernement québécois, mais rien de concret n'a encore été mis de l'avant.
Avec les informations de David Savoie
Itinérants plus nombreux, mais pas les ressources
La vague de froid glacial prévue cette semaine à Montréal devrait amener les itinérants à s'abriter massivement dans les refuges de la ville. Or, les organismes commencent à manquer de ressources.
La Maison du Père pourrait offrir 202 lits, mais elle ne peut en maintenir que 170 pour le moment.
« On n'a pas les moyens d'ajouter des ressources humaines pour assurer la sécurité des hommes et des employés en ajoutant 30 autres lits. Avec les 170 lits, pour l'instant, ça répond à la demande, et il y a un suivi serré qui est fait par les trois refuges », explique la porte-parole de l'organisme, Manon Dubois.
Selon le Réseau de solidarité itinérance du Québec (RSIQ), la Maison du Père n'est pas un cas unique dans la métropole. Le soutien financier du gouvernement fédéral est resté inchangé depuis 12 ans, alors que le nombre d'itinérants a sensiblement augmenté. L'année dernière à Montréal, les demandes de refuges pour hommes ont grimpé de 8 %.
Les organismes d'aide à l'itinérance espèrent beaucoup de la politique annoncée cet automne par le gouvernement québécois, mais rien de concret n'a encore été mis de l'avant.
Avec les informations de David Savoie
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
http://www.MaisonRevivre.ca Depuis plus de 30 ans, la maison revivre est un organisme benevole d'aide humanitaire a Quebec qui apporte de l'aide aux pauvres, fait des dons de vetements,est une banque alimentaire, une soupe populaire, aide a la reinsertion sociale, aide aux demunis, aide aux sans abris en fournissant de l'hebergement, fais des dons de nourriture, fait de l'aide humanitaire a Quebec.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Publié le 28 avril 2013 à 11h43
Crédit photo : Archives des Sœurs grises de Montréal
Depuis 1877, l’Accueil Bonneau aide des milliers de personnes en situation d’itinérance ou d’extrême pauvreté économique, psychologique et sociale. Chacune de ces personnes arrive avec son histoire et son lot de difficultés. Le nombre de personnes en situation ou à risque d’itinérance ne cesse de croître et les problématiques se complexifient. Plus que jamais, ils ont besoin de notre accompagnement.
L'Accueil Bonneau souligne ses 135 ans
C'est par un rassemblement à la Basilique Notre-Dame de Montréal que l'Accueil Bonneau met fin dimanche à ses célébrations entourant son 135e anniversaire.
L'Accueil Bonneau est le plus vieil organisme qui s'occupe des itinérants au Québec.
Bénévoles, donateurs, bénéficiaires et amis de l'Accueil ont été invités à une messe et à un goûter sur le parvis de la cathédrale, en présence de l'Archevêque de Montréal, Mgr Christian Lépine.
L'Accueil offre des repas à plus de 800 personnes démunies, quotidiennement. Une cinquantaine de bénévoles s'y affairent.
Son budget annuel s'élève à trois millions $, dont seulement 250 000$ qui proviennent des gouvernements. Le directeur général Aubin Boudreau sollicite donc la population afin d'obtenir des dons. Les contributions peuvent s'effectuer par internet.
Rappelons qu'une explosion causée par une fuite de gaz avait détruit l'Accueil le 9 juin 1998. Une religieuse et deux bénévoles avaient été tuées. Une vingtaine de personnes avaient été blessées.
Crédit photo : Archives des Sœurs grises de Montréal
Depuis 1877, l’Accueil Bonneau aide des milliers de personnes en situation d’itinérance ou d’extrême pauvreté économique, psychologique et sociale. Chacune de ces personnes arrive avec son histoire et son lot de difficultés. Le nombre de personnes en situation ou à risque d’itinérance ne cesse de croître et les problématiques se complexifient. Plus que jamais, ils ont besoin de notre accompagnement.
L'Accueil Bonneau souligne ses 135 ans
C'est par un rassemblement à la Basilique Notre-Dame de Montréal que l'Accueil Bonneau met fin dimanche à ses célébrations entourant son 135e anniversaire.
L'Accueil Bonneau est le plus vieil organisme qui s'occupe des itinérants au Québec.
Bénévoles, donateurs, bénéficiaires et amis de l'Accueil ont été invités à une messe et à un goûter sur le parvis de la cathédrale, en présence de l'Archevêque de Montréal, Mgr Christian Lépine.
L'Accueil offre des repas à plus de 800 personnes démunies, quotidiennement. Une cinquantaine de bénévoles s'y affairent.
Son budget annuel s'élève à trois millions $, dont seulement 250 000$ qui proviennent des gouvernements. Le directeur général Aubin Boudreau sollicite donc la population afin d'obtenir des dons. Les contributions peuvent s'effectuer par internet.
Rappelons qu'une explosion causée par une fuite de gaz avait détruit l'Accueil le 9 juin 1998. Une religieuse et deux bénévoles avaient été tuées. Une vingtaine de personnes avaient été blessées.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Merci Gilles, c'est intéressant!
Merci pour ce merveilleux post, Québec est une ville remplie d'amor et de charité, on peut vraiment dire que cette ville est à l'image de Dieu!
Ange Gardien10- Pour le roi
- Messages : 699
Inscription : 27/10/2011
Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Depuis 30 ans, l’oeuvre de la Maison Lauberivière est devenue un centre multi-service. Grâce à sa fondation par les communautés religieuses, une grande équipe de laïcs et de bénévoles prennent en main ce projet pour lutter contre la pauvreté.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Merci Gilles de nous fare connaitre la présence bienfaitrice de cette " Maison " l'action de tous ces bénévoles mettant en relief les paroles de Jésus pour expliquer leur action envers chaque démuni
" Tu comptes pour moi , tu as du prix à mes yeux "
Que tous soient bénis
Maud
" Tu comptes pour moi , tu as du prix à mes yeux "
Que tous soient bénis
Maud
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Inscription : 16/01/2010
Re: Au Québec : Des maisons qui viennent en aide aux sans-abri et démunis
Vidéo relatant l'histoire de la Maison Revivre à Québec après 30 ans d'existence.
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
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