Vue...avec amour !

RumuliHa a écrit:2005, 8 juillet : Assis au fond de la salle, tous les frères et sœurs sont donc avant, sur le mur d’en face, bien loin, il y a une représentation de Jésus sur la croix ; puis (sans mes lunettes) je vois Son côté, Sa plaie du côté, large, longue, de l’eau commence à s’écouler de son côté, en même temps je ressens « la miséricorde » que le Seigneur éprouve pour nous (aujourd’hui), cette miséricorde, cette relation d’amour entre Lui et nous, et nous et Lui, et Lui et son Père, et ce don de Lui-même par amour pour nous, pour notre misère ; l’eau continue de couler et l’écoulement s’accentue, et en quantité, et puis au bas, plus bas, à un mètre, il y a une sorte de mangeoire, une pierre taillée, creusée et l’eau coulait dedans, de la plaie du Cœur de Jésus, remplissait cette pierre, comme un bac à eau bénie, mais en plus grand, à peu près 1m70/80, c’est difficile à décrire : prêt à nous servir, nous pouvions nous y abreuver tous.
La veille lors d’un chant inspiré, je vois Jésus sur la croix en vrai, encore vivant et ma vue va vers Sa main, Son bras enfin jusqu’à Sa tête, particulièrement Sa main droite toute ensanglantée par la pointe qui lui avait été mis au travers la main, donc la main ensanglantée, le sang a même été jusqu’au bras ; puis l’Esprit me montre Jésus, plutôt Son visage, puis sa couronne, la couronne d’épines ; chaque épine se transforme en étoile blanche, ensuite cette couronne d’étoiles (12) s’incline à la verticale puis à l’intérieur apparait une femme, Marie, sur une sorte de boule. La relation entre la Mère, le Père et le Fils est vivante et présente, c’est l’amour !!! (je ne peux décrire l’amour).
Puis l’Esprit me revêt à nouveau et m’emmène en vol, je vois des oiseaux, des colombes, les colombes nous accompagnent vers une autre sorte d’oiseaux, ce sont comme des oies ou des canards, puis en vol au-dessus de la mer, oui nous passerons la mer. Puis l’Esprit, là en « Grand blanc » en communion me transporte et au travers Sa vue, je vois ses ailes devant mon revêtement, sa tête devant ma tête et les yeux je vois tel un aigle mais devant c’est Lui qui me guide, et là cela va très très vite, Il me fait monter au ciel, très très vite…des mouvements comme des vagues (comme à l’intérieur d’un rouleau) et en fait ce sont des monts (spiralés), car vous savez au ciel tout n’est pas plat comme ici-bas ou vallonné comme ici, et pourtant de vague en vague, de mont en mont, de vallée en vallée, sur chaque versant, partout, des myriades de myriades de « chrétiens » sont (j’aperçois juste leur voile, oint) à genoux. Puis de myriade en myriade l’Esprit m’emmène encore plus loin devant car tout le monde est dirigé dans le même sens, puis ‘j’arrive’ à une vallée où il y a des monts, et puis une Parole est annoncée : « Le Seigneur est là ! » et dans cette vallée je commence à souffler, on m’ordonne de souffler alors je souffle, je souffle, je ‘commande à blanchir ‘ (le Seigneur enseigne) toutes les têtes, toutes les ‘personnes’ si l’on peut dire, plutôt les voiles déjà en blanc pourtant au ciel. Tout commence à blanchir, blanchir, par le souffle du Seigneur, dans le souffle de l’Esprit. Au loin ‘j’arrive’ dans cette vallée, il y a au centre de cette vallée, il y a au loin des petites montagnes comme des volcans qui fument et avec le souffle de l’Esprit elles sont rafraichies et deviennent également blanchies et l’Esprit me guide vers le centre de la vallée, vers le point où sont tous dirigés, et là, Jésus en croix, gelé, blanchi, tout est blanc, c’est le plus blanc, le plus gelé, le plus blanc, c’est par Lui avec Lui et en Lui que tout est ralenti, tout est pour l’instant en attente par ordre du Père (du fond de la vallée, en « Gloire »), et là, en attendant..(Puis il y a un temps où nous présentons notre prière, nos maux subis, à Dieu, cela fume un parfum d’agréable odeur)… Puis dans la « belle vallée », la Corne, m’est donné de prendre la forme de la corne, puis je souffle son cri, je corne en fait, j’appelle tous en prévenant, je préviens, aux confins de la Terre et du ciel (celui-là), je préviens car cela m’est ordonné, par la Corne, le bruit ne peut être émit que par la bouche qui est la corne que parce que le Seigneur me donne de le faire, sinon je ne pourrai pas, je souffle au ciel, je souffle le ciel, je préviens, amen…et puis vint la nuée de Feu puissant, puissant, puissant, le ciel est ouvert ; des flammes de feu descendent sur nous, des flammes de lumière et de feu (elles semblent couler comme des fontaines), ça brule de partout sans nous bruler, on sent la chaleur, je suis en joie, je monte mes mains (équipées) pour les incorporer dans la nuée de feu, j’en suis tombé à genoux, je ressens cette chaleur mais il faut que j’avance alors je me relève et je bénis le Seigneur, nous bénissons notre Seigneur, et puis selon la Parole j’avance et me réunis auprès d’un frère (…) et d’une sœur (…) et nous sommes à trois dans ce foyer ardent (tel au milieu des lions) le quatrième est l’Esprit de feu, qui nous protège, nous ne sentons rien et nous louons le Seigneur...Jésus  nous protégeait, puis après le souffle du Souffle sacré, le Seigneur nous donne cette « rosée du matin », cette rosée qui retombe une fois que le Souffle a tout blanchi ; cette rosée que le Seigneur nous donne, cette manne cachée que le Seigneur nous donne, quel rafraichissement, merci mon Dieu. Mes frères et sœurs présents dans cette salle participaient à tout cela, ils recevaient aussi cette rosée, cette manne cachée, cette manne si rafraichissante…
Il y a un autre temps, un moment où, Mère se montra avec son grand manteau blanc et tous les petits tout le long de son manteau, c’était impressionnant de voir tous les enfants qu’Elle protégeait dans son manteau, Elle est au milieu du Ciel comme un phare, protectrice. Et puis Elle se montre sous plusieurs formes, comment dire, elle se montre à mon regard de plusieurs états dont Elle est apparue avant à d’autres avant moi, puis son manteau se transforme pour me guider vers la « vierge de Czestochowa , Régina Polonia) ; je peux donner le nom car ensuite on m’a offert une image me donnant le nom… (après c’est de l’intime, je n’en parle pas).
Ah oui, l’Esprit me montrant lorsque passé les myriades de myriades je suis avec (je vois) les plus proches, quelques milliers, à genoux formant un amphi vers le bas (au plus bas est le Seigneur), vers le centre lumineux, alors une lumière dans le ciel du ciel apparait, perce, et tel un faisceau m’éclaire la face d’un des priants/chantant, et chose étonnante ce visage est un visage de très vieux, un vieillard sans âge, un vieillard. Car jusqu’à présent tous ceux des myriades de myriades étant dirigés vers le Christ (tout comme moi avançant) , je n’avais vu aucun visage, alors le Seigneur m’a montré cela pour vous aussi !


Voici quelques compléments :
Gagnières 2006 : Dans l’Esprit, en priant en groupe : Un pilier avec sur le dessus, de la flamme, puis de feu ardent, puis de raisin.
A un autre temps ; au milieu de camions de guerre, le sol se lève et s’ouvre, l’épée double effilée ‘courbée’ apparait, elle est très large au ¾ et finit pointue.
A un autre temps ; je vois deux cornes droites et longues face à face, les deux sons vers l’extérieur, celles qui appellent.

2006, 8 avril, à Paris, dans la prière : Il m’est montré le Christ en Croix sur la France (sa hauteur : la moitié de la France), face vers l’Ouest ; puis comme trois plaques dorées, vivantes, étincelantes, bougent au pied du Christ en Croix, comme des écritures. Puis aussi, un temps, je suis emporté en vol et là m’est montrée la France rougeoyante comme un feu ardent sans braise, puis comme des malades dans des lits, en rang d’oignon, une douzaine, puis sur la droite encore un peu de lits, le tout entouré d’une nuée.
2006, 22 aout Baye, après la communion : Je vois des canons seuls et à répétitions et le canon du dessus d’un char ; ils tirent sur une multitude de Jésus crucifiés, les chrétiens sont vivants et on leur tire dessus parce qu’ils sont chrétiens. Les croix sont alignées comme dans les cimetières anglais, sauf que là c’est comme au Golgotha et c’est Christ que je vois souffrir sur chaque croix. Les canons ont comme une barricade devant eux pour être dissimulés.

2006, fin mai, Convention Paris : « l’Echelle » m’est présentée, je la monte (dans l’Esprit) de 25 à 30 marches (je ne la prends pas du bas) puis en haut, elle est à l’horizontal et dans la lumière au milieu de la nuée, j’avance, suis ébloui, m’arrête, puis peu après j’aperçois au loin Marie couronnée et l’enfant Jésus sur son bras gauche.

2006, 11 juin, Notre Dame de Paris : à la fin de la célébration je vois, du sceptre de Jean XXIII, le grand oiseau mère incliner la tête et le cou vers la statue de Marie et l’enfant Jésus. Puis en partant je vois au fond derrière l’autel les statues des Cinq anges et Jésus sur Marie comme quand Marie porte Jésus et nous l’amène juste avant que l’on reçoive l’Eucharistie, quand Marie l’amène pour être en nous, vous savez cela,  alors nous devenons lumineux par Jésus ressuscité!