Le carême, temps de proximité avec Dieu.
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Le carême, temps de proximité avec Dieu.
Carême 2012 - 03 Mars 2012
Pas N°7
Je prends aujourd'hui à témoin contre toi le ciel et la terre :je te propose de choisir entre la vie et la mort, entre la bénédiction et la malédiction. Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance,
Livre du Deutéronome 30,1
« Alors, si mon peuple qui est appelé par mon nom s’humilie, s’il prie, cherche ma face et se détourne de ses mauvaises voies, moi, j’écouterai des cieux, je pardonnerai leurs péchés et je guérirai leur pays. »
(2 Chroniques 7,14)
Ce double choix qui est devant tout être humain, que nous avons déjà abordé l’an dernier et vu que dans le livre du Deutéronome à différentes reprises le Seigneur nous le reprécise, nous pouvons constater qu’il est très présent dans notre époque, je dirais même plus que Dieu lance à Sa créature rebelle et indocile : L’homme le même cris que dans le psaume 95, 7c-1
Ce temps de Carême doit nous permettre de considérer faire le point sur notre connaissance des attentes de Dieu à notre égard.
Bien souvent, en effet, nous agissons et exprimons que Dieu ne correspond pas à NOS attentes envers Lui !!!
L’éternel « MOI JE » de cette frêle créature qui se prend pour le nombril de l’Univers qu’elle méconnaît en raison de sa petitesse, mais que pourtant elle estime pouvoir légiférer alors qu’elle a transformée sa petite planète Terre : petit bijou au départ, en un lieu de perdition qui aurait été voué à disparaître dans un holocauste sanglant dédié à Mammon ou autre, si notre Père Céleste n’avait pas prévu de toute éternité d’intervenir quand Il l’aura décidé, en fonction de tant de paramètres inconnus de nous, pour remettre sur pied Sa Création mutilée par le péché !
Ainsi que je vous l’ai dit les pas 7/8 postés ont été perdus dans la toile.
Il ne sert à rien de pleurer le passé, mais de tendre toujours à aller de l’avant nonobstant les difficultés du chemin.
C’est ce qu’à tenu à nous montrer Notre Seigneur Jésus de façon encore plus flagrant à la fin de sa vie terrestre lors de sa montée du Calvaire.
En raison des supplices infligés précédemment son corps était dans un état plus que critique pouvant même faire craindre qu’il ne puisse atteindre le sommet, d’où la réquisition Romaine imposée à Simon de Cyrène.
Pourtant pas un instant Notre Dieu ne s’en est plaint.
Tombé et écrasé par la lourde croix, à chaque fois, Il se relève et repart vers Son Acte d’Amour Final envers ceux là même qui étaient en partie cause de Ses souffrances.
Lisez bien les passages s’y rapportant lors de vos Chemins de Croix, vous verrez aussi que jamais Il n’a lâché Sa croix, Il s’y est accroché ferme, car ce sont NOS péchés qu’Il portait pour les offrir au Père, tout comme aux moments dits de l’Offertoire et de la Consécration des Offrandes de nos Messes !
Donc nous aussi nous devons apprendre à ne pas nous laisser vaincre par l’adversité.
Et ce n’est qu’en nous tournant toujours vers notre Dieu, en veillant à ajuster nos pas aux siens, à l’appeler à l’aide car nous n’y parvenons jamais sans Lui, à reconnaître que sans Lui nous sommes perdus, car malgré notre vernis mondain, nous ne sommes RIEN sans Dieu.
Si alors nous acceptons de voir que nous nous sommes éloignés du chemin balisé, jugé trop aride, trop étroit, …trop tout ce que nous voulons… comparativement à l’autoroute sulfureuse tracée par l’autre, laquelle en plus est munies de petites haltes pleines de verdures et de jolies fleurs, de coins d’ombre, de lieux d’aisance et de restauration/rafraîchisse ment, de repos, de détente etc. ( à part qu’il faille souvent payer pour y accéder et de façon certaine en ce qui concerne celle du malin !) ; si nous acceptons de revenir à la simplicité de ce que nous propose notre Dieu afin de ne pas être surchargés pour entreprendre notre voyage de retour vers le Père qui attend impatiemment TOUS Ses fils prodigues.
Alors nous aurons fait un pas supplémentaire sur ce long et difficile chemin de croix que nous avons chacun respectivement tracé pour nous car nos stations douloureuses ne sont que les épisodes passés de notre vie que nous avons négligé de régler selon la Loi d’Amour de Dieu et qui subrepticement nous rattrapent au détour de notre chemin de vie !
Aussi c’est animé par cette paix qu’à mise en moi Notre Dieu que je puis accepter de recommencer à aller toujours de l’avant en sachant que je rechuterai probablement, mais qu’importe, comme mon « guide de cordée» Jésus (pour ceux qui s’en souviennent tel Il s’est défini à nous dans un message de 2010 via Marie des Philippines) m’encourage à le faire (malgré mes jérémiades et excuses diverses), je me relèverai avec sa grâce, car c’est beaucoup plus loin Qu’Il m’attend.
Et de fait je constate que ce que je suis amené à écrire ne sont pas recherche de plagier ce qui avait été fait précédemment, mais me fait repartir en tenant compte de la réalité du moment, tout en ressentant au fond de moi que ce qui initialement avait été déjà écrit reviendra au fil de notre avancée puisque déjà programmée, et qui sait, sera probablement enrichi d’éléments supplémentaires.
Donc je continue comme cela vient et vous ai signalé les textes suivant devant être considérés comme partie intégrante de notre pas du jour :
Le mariage à Cana - Père Melvin – Vend 2 mars 2012 … avortements doivent cesser dans le monde
Jean, votre messager de la Lumière : Les deux Alliances - 28.02.2012 -
Et vous invite sur ce à poursuivre l’enseignement de notre Saint Père. Catéchèse qui faisait partie de l’envoi « détourné », simplement ce qui le précédait était tout autre !
Catéchèse de Benoît XVI : audience du 22 février 2012
Le carême, temps de proximité avec Dieu.
Rome, mercredi 22 février 2012 (ZENIT.org) – Le carême est une occasion de « faire une expérience profonde de Dieu » explique Benoît XVI. Le pape a consacré sa catéchèse, ce mercredi 22 février, à la signification du carême qui commence aujourd’hui, mercredi des cendres.
Chers frères et sœurs, ne faisant qu’une synthèse assez détaillée de la catéchèse du Saint Père, nous vous invitons vivement à vous reporter au texte d’origine, le lien vous ayant été fourni ci-dessus.
Le temps du carême est un itinéraire de quarante jours qui nous conduira au Triduum pascal, mémoire de la passion, de la mort et de la résurrection du Seigneur, cœur du mystère de notre salut.
D’abord par le passé, temps où, ceux qui avaient entendu et accueilli l’annonce du Christ, commençaient pas à pas leur chemin de foi et de conversion en vue de recevoir le sacrement du baptême (c’est-à-dire réservé plus à ceux qui désiraient devenir chrétiens et être incorporés au Christ et à l’Eglise) ; désormais, ce temps de Carême, itinéraire de repentir et de conversion s’adresse à tous : que nous nous préparions au baptême, que nous soyons éloignés de Dieu et de l’Église et cherchions la réconciliation, ou bien que nous ayons une vie de foi en communion avec l’Église.
Donc tous les fidèles sommes invités à vivre cet itinéraire de renouveau spirituel. Puisque ce temps de metanoia, c’est-à-dire de changement intérieur, de repentir ; temps qui identifie notre vie humaine et toute notre histoire à un processus de conversion, nous met en mouvement maintenant pour rencontrer le Seigneur à la fin des temps.
Cette période de « Quadragesima », ce qui veut dire « temps de quarante jours », par une référence claire à l’Ecriture Sainte, nous introduit dans un contexte spirituel précis.
En effet, à la suite du Peuple de Dieu, nous sommes invités à faire l’expérience de l’attente, de la purification, de l’épreuve, et aussi de la fidélité de Dieu à ses promesses.
Ce nombre ne représente pas un temps chronologique exact, rythmé par la somme des jours. Il indique plutôt une persévérance patiente, une longue épreuve, une période suffisante pour voir les œuvres de Dieu, un temps pendant lequel il faut se décider à assumer ses responsabilités sans les remettre à plus tard. C’est le temps des décisions mûres.
Le nombre quarante apparaît tout d’abord dans l’histoire de Noé. Cet homme juste, à cause du déluge, passe quarante jours et quarante nuits dans l’arche, avec toute sa famille et avec les animaux que Dieu lui avait dit d’emporter avec lui. Et il attend encore quarante jours, après le déluge, avant de toucher la terre ferme sauvée de la destruction (Gn 7, 4-12 ; 8, 6).
Puis vient l’étape suivante : Moïse reste sur le Mont Sinaï, en présence du Seigneur, quarante jours et quarante nuits, pour recevoir la Loi. Pendant tout ce temps, il jeûne (Ex 24, 18).
Quarante, ce sont aussi les années de voyage du peuple hébreu de l’Egypte vers la Terre Promise, un temps nécessaire pour expérimenter la fidélité de Dieu. « Souviens-toi de tout le chemin que le Seigneur ton Dieu t’a fait faire pendant quarante ans… Le vêtement que tu portais ne s’est pas usé et ton pied n’a pas enflé, au cours de ces quarante ans ! », dit Moïse dans le Deutéronome, à la fin de ces quarante années de migration (Dt 8, 2-4).
Les années de paix dont jouit Israël à l’époque des Juges sont au nombre de quarante (Jg 3, 11-30) mais, après cette période, commence le temps de l’oubli des dons de Dieu et le retour au péché. Il faut au prophète Elie quarante jours pour atteindre l’Horeb, la montagne sur laquelle il rencontrera Dieu (1 R 19, . Quarante, c’est le nombre de jours pendant lesquels les habitants de Ninive font pénitence pour obtenir le pardon de Dieu (Gn 3, 4).
C’est le nombre d’années du règne de Saül(Ac 13, 21), de David (2 Sam 5, 4-5) et de Salomon (1 R 11, 41), les trois premiers rois d’Israël.
Les psaumes aussi réfléchissent sur la signification biblique de ces quarante années, comme par exemple le psaume 95, dont nous avons entendu un passage : « Aujourd’hui si vous écoutiez sa voix ! « N’endurcissez pas vos cœurs comme à Mériba, comme au jour de Massa dans le désert, où vos pères m’éprouvaient, me tentaient, alors qu’ils me voyaient agir ! Quarante ans cette génération m’a dégoûté et je dis : toujours ces cœurs errants, ces gens-là n’ont pas connu mes voies » » (Ps 95, 7c-10).
Dans le Nouveau Testament, Jésus, avant de commencer sa vie publique, se retire dans le désert pendant quarante jours sans manger ni boire (Mt 4, 2) : il se nourrit de la parole de Dieu,qu’il utilise comme une arme pour vaincre le démon. Les tentations de Jésus rappellent celles que le peuple hébreu a affrontées dans le désert, mais qu’il n’a pas su vaincre. Quarante est le nombre de jours pendant lesquels Jésus ressuscité a instruit les siens, avant de monter au Ciel et d’envoyer l’Esprit-Saint (Ac 1, 3).
La liturgie chrétienne du carême a pour but de favoriser un cheminement de renouveau spirituel,et surtout d’apprendre à imiter Jésus qui, en passant quarante jours dans le désert, nous a enseigné comment vaincre la tentation grâce à la parole de Dieu.
Les quarante années de traversée du désert par Israël présentent des comportements et de situations ambivalents.
D’une part, le désert est le lieu du choix spécial de Dieu et de l’adhésion du Peuple élu. C’est donc le lieu du premier amour avec Dieu, et entre Dieu et son peuple, quand Dieu avait établi, pour ainsi dire, sa demeure parmi Israël, il le précédait dans la nuée ou dans une colonne de feu, et pourvoyait chaque jour à sa nourriture.
Mais cette traversée de désert, c’est aussi le lieu et le temps des plus grandes tentations et des dangers accrus, du murmure contre son Dieu d’Israël qui voudrait retourner au paganisme en se construisant ses idoles, préférant un Dieu plus visible. C’est donc aussi le lieu et le temps de la rébellion contre le Dieu grand et invisible.
Nous retrouvons cette ambivalence,le temps d’une proximité particulière de Dieu – celui du premier amour – et le temps de la tentation – tentation de retourner au paganisme –, de manière surprenante, dans le chemin de Jésus sur la terre, naturellement sans aucun compromis avec le péché.
Après le baptême de pénitence dans le Jourdain, Jésus prend sur lui le destin du Serviteur de Dieu qui renonce à lui-même pour vivre pour les autres et qui s’installe parmi les pécheurs pour prendre sur lui le péché du monde. Il va au désert pour prier et passer quarante jours dans une union profonde avec le Père, répétant ainsi l’histoire d’Israël. Cette dynamique est une constante dans la vie terrestre de Jésus, qui cherche toujours des moments de solitude pour prier son Père et rester dans une solitude en communion intime avec lui, pour ensuite retourner parmi les hommes.
Mais pendant ce temps de « désert » Jésus se trouve exposé au danger et il est assailli par la tentation et la séduction du diable, qui lui propose une vie messianique autre, loin du projet de Dieu, parce qu’elle passe par le pouvoir, le succès, la domination et non à travers le don total sur la Croix. Voilà l’alternative : un messianisme de pouvoir, de succès, ou un messianisme d’amour, de don de soi.
Cette situation d’ambivalence décrit également la condition de l’Eglise qui chemine dans le « désert » du monde et de l’histoire.
Dans ce « désert », en tant que croyants, nous avons certainement l’opportunité de faire une expérience profonde de Dieu qui fortifie notre esprit, confirme notre foi, nourrit notre espérance, anime notre charité ; une expérience qui nous rend participants de la victoire du Christ sur le péché et sur la mort par le moyen de son sacrifice d’amour sur la croix.
Mais le « désert » est aussi l’aspect négatif de la réalité qui nous entoure : l’aridité, la pauvreté de paroles de vie et de valeurs, la sécularisation et la culture matérialiste, qui enferment la personne dans l’horizon mondain de l’existence, en privant celui-ci de toute référence à la transcendance. C’est aussi cette atmosphère qui obscurcit le ciel au-dessus de nous des nuages de l’égoïsme, de l’incompréhension et du mensonge.
Et pourtant, même pour l’Eglise d’aujourd’hui, le temps du désert peut se transformer en temps de grâce parce que nous avons la certitude que de la pierre la plus dure, Dieu peut faire jaillir l’eau vive qui désaltère et qui redonne force.
Conclusion de notre Saint Père :
Que le temps du Carême vous permette de voir combien Dieu est à l’œuvre aujourd’hui dans le monde et dans l’Église. C’est un temps privilégié pour comprendre et assumer notre responsabilité de chrétien, pour faire les bons choix en étant fidèle aux engagements de notre baptême. Bon Carême et bon séjour à tous !
Tel va s’arrêter notre pas du jour qui vous parvient un peu en retard, mais dans le désert tout peut arriver, ce qui ne doit pas nous arrêter, ni nous pousser au désespoir vers lequel aurait tendance à nous aiguillonner l’ennemi, pour vite nous tendre comme ultime moyen d’en sortir le suicide, le meurtre, ou la dérive…
Aussi n’oublions pas dans nos prières de toujours présenter nos frères qui s’y laissent prendre ainsi que nous le demande notre Rédempteur.
Par monSeigneur et monDieu Publié dans : 40 jours--->PâqueCommunauté : A Toi la Gloire mon Dieu !
Pas N°7
Je prends aujourd'hui à témoin contre toi le ciel et la terre :je te propose de choisir entre la vie et la mort, entre la bénédiction et la malédiction. Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance,
Livre du Deutéronome 30,1
« Alors, si mon peuple qui est appelé par mon nom s’humilie, s’il prie, cherche ma face et se détourne de ses mauvaises voies, moi, j’écouterai des cieux, je pardonnerai leurs péchés et je guérirai leur pays. »
(2 Chroniques 7,14)
Ce double choix qui est devant tout être humain, que nous avons déjà abordé l’an dernier et vu que dans le livre du Deutéronome à différentes reprises le Seigneur nous le reprécise, nous pouvons constater qu’il est très présent dans notre époque, je dirais même plus que Dieu lance à Sa créature rebelle et indocile : L’homme le même cris que dans le psaume 95, 7c-1
Ce temps de Carême doit nous permettre de considérer faire le point sur notre connaissance des attentes de Dieu à notre égard.
Bien souvent, en effet, nous agissons et exprimons que Dieu ne correspond pas à NOS attentes envers Lui !!!
L’éternel « MOI JE » de cette frêle créature qui se prend pour le nombril de l’Univers qu’elle méconnaît en raison de sa petitesse, mais que pourtant elle estime pouvoir légiférer alors qu’elle a transformée sa petite planète Terre : petit bijou au départ, en un lieu de perdition qui aurait été voué à disparaître dans un holocauste sanglant dédié à Mammon ou autre, si notre Père Céleste n’avait pas prévu de toute éternité d’intervenir quand Il l’aura décidé, en fonction de tant de paramètres inconnus de nous, pour remettre sur pied Sa Création mutilée par le péché !
Ainsi que je vous l’ai dit les pas 7/8 postés ont été perdus dans la toile.
Il ne sert à rien de pleurer le passé, mais de tendre toujours à aller de l’avant nonobstant les difficultés du chemin.
C’est ce qu’à tenu à nous montrer Notre Seigneur Jésus de façon encore plus flagrant à la fin de sa vie terrestre lors de sa montée du Calvaire.
En raison des supplices infligés précédemment son corps était dans un état plus que critique pouvant même faire craindre qu’il ne puisse atteindre le sommet, d’où la réquisition Romaine imposée à Simon de Cyrène.
Pourtant pas un instant Notre Dieu ne s’en est plaint.
Tombé et écrasé par la lourde croix, à chaque fois, Il se relève et repart vers Son Acte d’Amour Final envers ceux là même qui étaient en partie cause de Ses souffrances.
Lisez bien les passages s’y rapportant lors de vos Chemins de Croix, vous verrez aussi que jamais Il n’a lâché Sa croix, Il s’y est accroché ferme, car ce sont NOS péchés qu’Il portait pour les offrir au Père, tout comme aux moments dits de l’Offertoire et de la Consécration des Offrandes de nos Messes !
Donc nous aussi nous devons apprendre à ne pas nous laisser vaincre par l’adversité.
Et ce n’est qu’en nous tournant toujours vers notre Dieu, en veillant à ajuster nos pas aux siens, à l’appeler à l’aide car nous n’y parvenons jamais sans Lui, à reconnaître que sans Lui nous sommes perdus, car malgré notre vernis mondain, nous ne sommes RIEN sans Dieu.
Si alors nous acceptons de voir que nous nous sommes éloignés du chemin balisé, jugé trop aride, trop étroit, …trop tout ce que nous voulons… comparativement à l’autoroute sulfureuse tracée par l’autre, laquelle en plus est munies de petites haltes pleines de verdures et de jolies fleurs, de coins d’ombre, de lieux d’aisance et de restauration/rafraîchisse ment, de repos, de détente etc. ( à part qu’il faille souvent payer pour y accéder et de façon certaine en ce qui concerne celle du malin !) ; si nous acceptons de revenir à la simplicité de ce que nous propose notre Dieu afin de ne pas être surchargés pour entreprendre notre voyage de retour vers le Père qui attend impatiemment TOUS Ses fils prodigues.
Alors nous aurons fait un pas supplémentaire sur ce long et difficile chemin de croix que nous avons chacun respectivement tracé pour nous car nos stations douloureuses ne sont que les épisodes passés de notre vie que nous avons négligé de régler selon la Loi d’Amour de Dieu et qui subrepticement nous rattrapent au détour de notre chemin de vie !
Aussi c’est animé par cette paix qu’à mise en moi Notre Dieu que je puis accepter de recommencer à aller toujours de l’avant en sachant que je rechuterai probablement, mais qu’importe, comme mon « guide de cordée» Jésus (pour ceux qui s’en souviennent tel Il s’est défini à nous dans un message de 2010 via Marie des Philippines) m’encourage à le faire (malgré mes jérémiades et excuses diverses), je me relèverai avec sa grâce, car c’est beaucoup plus loin Qu’Il m’attend.
Et de fait je constate que ce que je suis amené à écrire ne sont pas recherche de plagier ce qui avait été fait précédemment, mais me fait repartir en tenant compte de la réalité du moment, tout en ressentant au fond de moi que ce qui initialement avait été déjà écrit reviendra au fil de notre avancée puisque déjà programmée, et qui sait, sera probablement enrichi d’éléments supplémentaires.
Donc je continue comme cela vient et vous ai signalé les textes suivant devant être considérés comme partie intégrante de notre pas du jour :
Le mariage à Cana - Père Melvin – Vend 2 mars 2012 … avortements doivent cesser dans le monde
Jean, votre messager de la Lumière : Les deux Alliances - 28.02.2012 -
Et vous invite sur ce à poursuivre l’enseignement de notre Saint Père. Catéchèse qui faisait partie de l’envoi « détourné », simplement ce qui le précédait était tout autre !
Catéchèse de Benoît XVI : audience du 22 février 2012
Le carême, temps de proximité avec Dieu.
Rome, mercredi 22 février 2012 (ZENIT.org) – Le carême est une occasion de « faire une expérience profonde de Dieu » explique Benoît XVI. Le pape a consacré sa catéchèse, ce mercredi 22 février, à la signification du carême qui commence aujourd’hui, mercredi des cendres.
Chers frères et sœurs, ne faisant qu’une synthèse assez détaillée de la catéchèse du Saint Père, nous vous invitons vivement à vous reporter au texte d’origine, le lien vous ayant été fourni ci-dessus.
Le temps du carême est un itinéraire de quarante jours qui nous conduira au Triduum pascal, mémoire de la passion, de la mort et de la résurrection du Seigneur, cœur du mystère de notre salut.
D’abord par le passé, temps où, ceux qui avaient entendu et accueilli l’annonce du Christ, commençaient pas à pas leur chemin de foi et de conversion en vue de recevoir le sacrement du baptême (c’est-à-dire réservé plus à ceux qui désiraient devenir chrétiens et être incorporés au Christ et à l’Eglise) ; désormais, ce temps de Carême, itinéraire de repentir et de conversion s’adresse à tous : que nous nous préparions au baptême, que nous soyons éloignés de Dieu et de l’Église et cherchions la réconciliation, ou bien que nous ayons une vie de foi en communion avec l’Église.
Donc tous les fidèles sommes invités à vivre cet itinéraire de renouveau spirituel. Puisque ce temps de metanoia, c’est-à-dire de changement intérieur, de repentir ; temps qui identifie notre vie humaine et toute notre histoire à un processus de conversion, nous met en mouvement maintenant pour rencontrer le Seigneur à la fin des temps.
Cette période de « Quadragesima », ce qui veut dire « temps de quarante jours », par une référence claire à l’Ecriture Sainte, nous introduit dans un contexte spirituel précis.
En effet, à la suite du Peuple de Dieu, nous sommes invités à faire l’expérience de l’attente, de la purification, de l’épreuve, et aussi de la fidélité de Dieu à ses promesses.
Ce nombre ne représente pas un temps chronologique exact, rythmé par la somme des jours. Il indique plutôt une persévérance patiente, une longue épreuve, une période suffisante pour voir les œuvres de Dieu, un temps pendant lequel il faut se décider à assumer ses responsabilités sans les remettre à plus tard. C’est le temps des décisions mûres.
Le nombre quarante apparaît tout d’abord dans l’histoire de Noé. Cet homme juste, à cause du déluge, passe quarante jours et quarante nuits dans l’arche, avec toute sa famille et avec les animaux que Dieu lui avait dit d’emporter avec lui. Et il attend encore quarante jours, après le déluge, avant de toucher la terre ferme sauvée de la destruction (Gn 7, 4-12 ; 8, 6).
Puis vient l’étape suivante : Moïse reste sur le Mont Sinaï, en présence du Seigneur, quarante jours et quarante nuits, pour recevoir la Loi. Pendant tout ce temps, il jeûne (Ex 24, 18).
Quarante, ce sont aussi les années de voyage du peuple hébreu de l’Egypte vers la Terre Promise, un temps nécessaire pour expérimenter la fidélité de Dieu. « Souviens-toi de tout le chemin que le Seigneur ton Dieu t’a fait faire pendant quarante ans… Le vêtement que tu portais ne s’est pas usé et ton pied n’a pas enflé, au cours de ces quarante ans ! », dit Moïse dans le Deutéronome, à la fin de ces quarante années de migration (Dt 8, 2-4).
Les années de paix dont jouit Israël à l’époque des Juges sont au nombre de quarante (Jg 3, 11-30) mais, après cette période, commence le temps de l’oubli des dons de Dieu et le retour au péché. Il faut au prophète Elie quarante jours pour atteindre l’Horeb, la montagne sur laquelle il rencontrera Dieu (1 R 19, . Quarante, c’est le nombre de jours pendant lesquels les habitants de Ninive font pénitence pour obtenir le pardon de Dieu (Gn 3, 4).
C’est le nombre d’années du règne de Saül(Ac 13, 21), de David (2 Sam 5, 4-5) et de Salomon (1 R 11, 41), les trois premiers rois d’Israël.
Les psaumes aussi réfléchissent sur la signification biblique de ces quarante années, comme par exemple le psaume 95, dont nous avons entendu un passage : « Aujourd’hui si vous écoutiez sa voix ! « N’endurcissez pas vos cœurs comme à Mériba, comme au jour de Massa dans le désert, où vos pères m’éprouvaient, me tentaient, alors qu’ils me voyaient agir ! Quarante ans cette génération m’a dégoûté et je dis : toujours ces cœurs errants, ces gens-là n’ont pas connu mes voies » » (Ps 95, 7c-10).
Dans le Nouveau Testament, Jésus, avant de commencer sa vie publique, se retire dans le désert pendant quarante jours sans manger ni boire (Mt 4, 2) : il se nourrit de la parole de Dieu,qu’il utilise comme une arme pour vaincre le démon. Les tentations de Jésus rappellent celles que le peuple hébreu a affrontées dans le désert, mais qu’il n’a pas su vaincre. Quarante est le nombre de jours pendant lesquels Jésus ressuscité a instruit les siens, avant de monter au Ciel et d’envoyer l’Esprit-Saint (Ac 1, 3).
La liturgie chrétienne du carême a pour but de favoriser un cheminement de renouveau spirituel,et surtout d’apprendre à imiter Jésus qui, en passant quarante jours dans le désert, nous a enseigné comment vaincre la tentation grâce à la parole de Dieu.
Les quarante années de traversée du désert par Israël présentent des comportements et de situations ambivalents.
D’une part, le désert est le lieu du choix spécial de Dieu et de l’adhésion du Peuple élu. C’est donc le lieu du premier amour avec Dieu, et entre Dieu et son peuple, quand Dieu avait établi, pour ainsi dire, sa demeure parmi Israël, il le précédait dans la nuée ou dans une colonne de feu, et pourvoyait chaque jour à sa nourriture.
Mais cette traversée de désert, c’est aussi le lieu et le temps des plus grandes tentations et des dangers accrus, du murmure contre son Dieu d’Israël qui voudrait retourner au paganisme en se construisant ses idoles, préférant un Dieu plus visible. C’est donc aussi le lieu et le temps de la rébellion contre le Dieu grand et invisible.
Nous retrouvons cette ambivalence,le temps d’une proximité particulière de Dieu – celui du premier amour – et le temps de la tentation – tentation de retourner au paganisme –, de manière surprenante, dans le chemin de Jésus sur la terre, naturellement sans aucun compromis avec le péché.
Après le baptême de pénitence dans le Jourdain, Jésus prend sur lui le destin du Serviteur de Dieu qui renonce à lui-même pour vivre pour les autres et qui s’installe parmi les pécheurs pour prendre sur lui le péché du monde. Il va au désert pour prier et passer quarante jours dans une union profonde avec le Père, répétant ainsi l’histoire d’Israël. Cette dynamique est une constante dans la vie terrestre de Jésus, qui cherche toujours des moments de solitude pour prier son Père et rester dans une solitude en communion intime avec lui, pour ensuite retourner parmi les hommes.
Mais pendant ce temps de « désert » Jésus se trouve exposé au danger et il est assailli par la tentation et la séduction du diable, qui lui propose une vie messianique autre, loin du projet de Dieu, parce qu’elle passe par le pouvoir, le succès, la domination et non à travers le don total sur la Croix. Voilà l’alternative : un messianisme de pouvoir, de succès, ou un messianisme d’amour, de don de soi.
Cette situation d’ambivalence décrit également la condition de l’Eglise qui chemine dans le « désert » du monde et de l’histoire.
Dans ce « désert », en tant que croyants, nous avons certainement l’opportunité de faire une expérience profonde de Dieu qui fortifie notre esprit, confirme notre foi, nourrit notre espérance, anime notre charité ; une expérience qui nous rend participants de la victoire du Christ sur le péché et sur la mort par le moyen de son sacrifice d’amour sur la croix.
Mais le « désert » est aussi l’aspect négatif de la réalité qui nous entoure : l’aridité, la pauvreté de paroles de vie et de valeurs, la sécularisation et la culture matérialiste, qui enferment la personne dans l’horizon mondain de l’existence, en privant celui-ci de toute référence à la transcendance. C’est aussi cette atmosphère qui obscurcit le ciel au-dessus de nous des nuages de l’égoïsme, de l’incompréhension et du mensonge.
Et pourtant, même pour l’Eglise d’aujourd’hui, le temps du désert peut se transformer en temps de grâce parce que nous avons la certitude que de la pierre la plus dure, Dieu peut faire jaillir l’eau vive qui désaltère et qui redonne force.
Conclusion de notre Saint Père :
Que le temps du Carême vous permette de voir combien Dieu est à l’œuvre aujourd’hui dans le monde et dans l’Église. C’est un temps privilégié pour comprendre et assumer notre responsabilité de chrétien, pour faire les bons choix en étant fidèle aux engagements de notre baptême. Bon Carême et bon séjour à tous !
Tel va s’arrêter notre pas du jour qui vous parvient un peu en retard, mais dans le désert tout peut arriver, ce qui ne doit pas nous arrêter, ni nous pousser au désespoir vers lequel aurait tendance à nous aiguillonner l’ennemi, pour vite nous tendre comme ultime moyen d’en sortir le suicide, le meurtre, ou la dérive…
Aussi n’oublions pas dans nos prières de toujours présenter nos frères qui s’y laissent prendre ainsi que nous le demande notre Rédempteur.
Par monSeigneur et monDieu Publié dans : 40 jours--->PâqueCommunauté : A Toi la Gloire mon Dieu !
sylvia- Avec les anges
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Carême 2012 - 04 Mars 2012
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Pas N°8
Je prends aujourd'hui à témoin contre toi le ciel et la terre :je te propose de choisir entre la vie et la mort, entre la bénédiction et la malédiction. Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance,
Livre du Deutéronome 30,19
« Alors, si mon peuple qui est appelé par mon nom s’humilie, s’il prie, cherche ma face et se détourne de ses mauvaises voies, moi, j’écouterai des cieux, je pardonnerai leurs péchés et je guérirai leur pays. »
(2 Chroniques 7,14)
Hier matin à la Messe, il y avait les lectures suivantes
Livre du Deutéronome 26,16-19.
Moïse disait au peuple d'Israël : « Aujourd'hui, le Seigneur ton Dieu te commande de mettre en pratique ces commandements et ces décrets. Tu les garderas et observeras de tout ton cœur et de toute ton âme.
Aujourd'hui, tu as obtenu du Seigneur cette déclaration : qu'il sera ton Dieu, et que tu suivras ses chemins, que tu garderas ses commandements, ses ordres et ses décrets, et que tu écouteras sa voix.
Aujourd'hui, le Seigneur a obtenu de toi cette déclaration : que tu seras son peuple particulier, comme il te l'a promis, et que tu devras garder tous ses commandements.
Il te donnera prestige, renommée et gloire, plus qu'à toutes les nations qu'il a faites, et tu seras un peuple consacré au Seigneur ton Dieu, comme il te l'a promis.
Là j’étais déjà interpellé et intérieurement je disais : Je me dis Chrétien, faisant partie du peuple de Dieu, donc pour cela j’ai adhéré et Lui ai donné cette déclaration par laquelle je me suis engagé, pour pouvoir bénéficier de tous les prérogatives attachées à cette qualité de « peuple de Dieu » c.à.d « prestige, renommée et gloire », à « devoir garder tous ses commandements »
Oui mais, Seigneur en ai-je eu conscience ?
Et combien somme nous, comme moi, à prétendre (là je suis modeste car je me demande si parfois nous ne sommes pas plutôt à exiger) recevoir de Toi Amour, protection, grâces et toutes la panoplies célestes, sans même nous rendre compte qu’il y a un préalable à cela, que « Seigneur a obtenu de toi cette déclaration » et qu’Il est donc en droit d’attendre beaucoup de nous, notamment que nous agissions en tant que « peuple consacré au Seigneur ton Dieu »
Quand l’avons-nous fait Seigneur ?
Suivait le psaume :
Psaume 119(118),1-2.4-5.7-8.
Heureux les hommes intègres dans leurs voies
qui marchent suivant la loi du Seigneur !
Heureux ceux qui gardent ses exigences,
ils le cherchent de tout cœur !
Toi, tu promulgues des préceptes
à observer entièrement.
Puissent mes voies s'affermir
à observer tes commandements !
D'un cœur droit, je pourrai te rendre grâce,
instruit de tes justes décisions.
Tes commandements, je les observe :
ne m'abandonne pas entièrement.
A vous de lire, comme moi nombreux sommes nous à l’avoir entendu, mais combien peuvent en vérité certifier avoir mis en application ce qui y est écrit et lu fréquemment ?
Pourtant combien sommes nous, tout comme le peuple juif dans le désert à « murmurer » contre Dieu, à nous fabriquer des idoles diverses pour combler son « absence » dans notre vie car en dépit de nos prières disons nous, Il paraît très lointain !
Je n’insisterai pas davantage à chacun de nous d’y réfléchir et de nettoyez les fils de « l’araignée » qui polluent notre entendement et une fois parvenus à faire la part des choses, à voir ce que nous devons faire dans ce désert pour qu’à notre sortie nous soyons victorieux de toutes les tentations que l’araignée voudra nous tendre de nouveau.
Et nous poursuivons nos lectures du jour (samedi, 02 Mars)
Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 5,43-48.
Comme les disciples s'étaient rassemblés autour de Jésus, sur la montagne, il leur disait : « Vous avez appris qu'il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi.
Eh bien moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent, afin d'être vraiment les fils de votre Père qui est dans les cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et tomber la pluie sur les justes et sur les injustes.
Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense aurez-vous ? Les publicains eux-mêmes n'en font-ils pas autant ?
Et si vous ne saluez que vos frères, que faites-vous d'extraordinaire ? Les païens eux-mêmes n'en font-ils pas autant ?
Vous donc, soyez parfaits comme votre Père céleste est parfai
Je ne m’arrêterai pas plus car mon objectif c’est de nous montrer que tout est dit dans la Parole, et que nous ne pouvons nous en vouloir que d’une chose : Notre manque de constance à vouloir La connaître, et donc à la mettre en application, afin que notre quotidien en soit amélioré. Par exemple : « Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent, afin d'être vraiment les fils de votre Père qui est dans les cieux »
Et fort souvent nous en voulons à Dieu de ne pas « punir » les méchants en ce bas monde, comme s’Il nous en avait donné cette garantie expresse, alors que je vois écrit ici : « car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et tomber la pluie sur les justes et sur les injustes. »
En quoi Dieu est-Il coupable de ne pas agir comme nous l’entendons et quand nous le désirons ?
Qui est comme Dieu ?
Qui doit être à l’écoute et au service : Dieu ou nous ?
N’aurions nous pas eu tendance à prier Dieu en Lui disant,
non pas :
Parle Seigneur, ton serviteur indocile écoute !
Mais plutôt :
Écoute seigneur ton Serviteur te parle !
Dans notre traversée du désert, il devient impératif pour nous de revoir notre fonctionnement de « peuple » de Dieu désireux de retourner à Son Royaume et pour cela revendiquons notre qualité de fils en Jésus Christ.
Nous avions vu précédemment aussi en :
Carême 2012 - 28-29 Février 2012
Pas N°5 et 6
Qu’est-ce donc qui permet d’acquérir le Royaume : Donc la Vie ?
Tu aimeras Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme... : Dt 6,4.
Or l’amour véritable procède de la connaissance de Dieu (cf. les références données)
Et connaître Dieu, c’est reconnaître sa façon d’agir dans les événements : (cf. les références données), et écouter ses prophètes : (cf. les références données). Lesquels par les temps passés nous transmettent la Parole de Dieu qui sera et est consignée dans l’Ancien et Nouveau Testament.
Et que : La Parole de Dieu est plus tranchante qu'une épée. Elle juge les sentiments et les pensées du cœur (Hébreux 4:12)
Puisque la Parole de Dieu nous révèle notre état de servitude et d'asservissement au péché.
Et que : Qui se laisse sonder et juger par l'épée tranchante de la Parole de Dieu sera gardé de l'erreur. Revivifié et purifié. En lui Dieu pourra établir sa demeure et y graver Lui-Même Sa Loi.
En effet ainsi que Dieu l’a promis : (Hébreux 8:10)
Plus besoin de table, la Nouvelle Alliance étant établie à partir de Notre Seigneur Jésus Christ, le Verbe de Dieu, Fils du Père et Dieu Lui-Même
Aussi nulle créature n'est cachée devant Dieu et personne ne peut se soustraire au jugement de sa Parole : (Jean 12:48-49)
Qui est Jésus et Qui nous dit : « La Parole que j'ai prononcée, c'est elle qui jugera au dernier jour (Jean 12:48) …le Père, qui m'a envoyé, m'a commandé lui-même ce que je dois dire et ce dont je dois parler. » (Jean 12:…49)
D’où l’impératif pour nous de poursuivre notre connaissance de Dieu à travers Sa Parole. Ce que nous ne manquerons pas de faire dans nos pas suivants, ce retour était nécessaire pour mieux nous retrouver. Mais pour l’heure nous devrions faire une petite halte oasis, afin de chacun faire personnellement le point avec le Seigneur ; C’est d’ailleurs ce que je ressens fortement dans mon cœur et m’en vais prier, nous nous retrouverons au pas suivant sur ce même chemin de Vie en compagnie du Seigneur. Shalom !
Par monSeigneur et monDieu Publié dans : 40 jours--->PâqueCommunauté : A Toi la Gloire mon Dieu
sylvia- Avec les anges
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