Priez pour que la guerre nucléaire puisse être évitée

039-Message de Jésus à Maria sa messagère,le 06 Février 2012

Publié le 08/02/2012 à 08:41 par petitremy

Priez pour que la guerre nucléaire qui entraînerait la disparition du tiers de l'humanité, puisse être évitée.

Je me rends compte à quel point vous priez, mais, s'il vous plaît, Je vous en supplie, invitez de nombreux groupes de prière, des amis et des familles à prier pour la paix.


Message de Jésus à Maria de la Divine Miséricorde (Europe),
Lundi 06 Février 2012 à 20 h.15


Ma fille bien-aimée, Mes disciples doivent s'unir pour ne faire qu'une seule famille et de rester forte.

Je veux permettre à tous mes bien-aimés disciples d'avoir confiance dans les grâces, afin de garder le calme pendant la tempête.

Tant que la terre continue de trembler dans tous les sens, vos prières pour Moi sont réconfortantes, pendant ce temps.

Comme Mon Coeur se brise de voir des innocents tués dans les guerres au Moyen-Orient.

Ces pauvres âmes sont châtiées et souffrent comme Moi aussi J'aie souffert.

La méchanceté que Je vois sera diluée et la main de mon Père sera de retarder,
mais n'arrêtera pas ces pays de s'entre-tuer.

Les sceaux ont été brisés, Ma fille, et les guerres apparaîtront rapidement.

Priez pour que l'atrocité d'une guerre mondiale nucléaire, qui entraînerait la disparition du tiers de l'humanité, puisse être évitée.

* J'ai besoin de plus en plus de la prière des enfants.

Je me rends compte à quel point vous priez, mais, s'il vous plaît, Je vous en supplie, invitez de nombreux groupes de prière, des amis et des familles à prier pour la paix.

Je vous donne maintenant une nouvelle prière.

La croisade de prière (27)

"La prière pour la paix dans le monde"

O. Jésus, je prie pour la miséricorde, pour ceux qui sont atteints par des guerres terribles.

S'il vous plaît, je demande pour que la paix soit inculquée dans ces nations torturées qui sont aveugles à la vérité de votre existence.

S'il vous plaît couvrez ces nations avec la puissance de l'Esprit Saint, afin qu'elles arrêtent leur poursuite du pouvoir sur les âmes innocentes.

Ayez pitié de tous ces pays qui sont impuissants contre les mauvaises atrocités qui couvrent le monde entier. Amen

Ma fille, Je vous exhorte à faire preuve de patience, car cela ne sera pas bien long avant la Confession.


Une fois que celle-ci aura lieu tout deviendra plus calme.

Allez dans la paix et l'amour.

Par-dessus tout, placez toute votre confiance en votre bien-aimé Jésus.

Votre Sauveur

Jésus-Christ

20:12 / 52:24






L'abri nucléaire du parti communiste français
























20:12 / 52:24






L'abri nucléaire du parti communiste français
























20:12 / 52:24






L'abri nucléaire du parti communiste français

Ne mettez pas votre tête dans le sable.

Bonjour,

J'ai tenté de visionner le document à plusieurs reprises. Écoutant des passages ça et là : je ne suis pas plus éclairé. Je n'ai aucune idée du sens réel de son intervention. C'est quoi le véritable objet de son exposé ? Du blabla et encore du blabla, des points de détails, des détours, une parenthèse et ... et je ne sais toujours pas ce qu'il faudrait vraiment retenir de son exposé. 

Qu'est-ce qu'il veut dire au juste ?

Que l'usage militaire du nucléaire ne serait pas chose aussi «apocalyptique» que l'on s'évertuerait à vouloir nous le faire croire ? et, donc, qu'il vaudrait mieux s'y préparer, parce que le temps de l'utilisation bien dosée de la bombe approche à grand pas ? Je ne suis pas bien certain que cela devrait être son idée. 

Si quelqu'un a plus de lumière sur son topo ? 

Je ne comprend pas non plus, pour le moment, cette association particulière qu'il fait entre le communisme et la menace nucléaire, avec cette histoire de complicité entre le PCF et Moscou, je veux dire. Pourquoi il parle de cela ? Pour nous dire quoi ?  et quoi par rapport à notre actualité de 2024 ?

Ok, je vais tout vous dévoiler ! Il dit que Georges Marchais vivait à Champigny avec Liliane.
Voilà, en substance, les choses essentielles qu'il fallait retenir.

Le cas échéant, mais ce n'est pas dévalorisant d'indiquer que tu n'aurais pas visionner toi-même le document. Desiderius. «Je ne l'ai pas encore fait». Tu me le dis. Rien de gênant. 

 Si je pose la question, mais c'est bien parce que j'aurai fait ce premier effort. Et pour l'instant je ne vois pas. Faudra excuser mes faiblesses que veux-tu. La capacité à lire directement dans les esprits me manque encore. Ai pas non plus le don de connaissance me permettant de tout savoir déjà du contexte ayant pu mener à cette décision d'éditer cette vidéo.  En postant le lien, tu voulais sûrement attirer l'attention sur «quelque chose» en rapport à l'exposé du monsieur.

Je vous donne juste un angle : ce ne sera pas la fin du monde !

Ah ! D'accord. Merci.

Poursuivre ...

Et, alors, l'idée (si je décode) c'est puisque les Russes auront déjà envisagé d'utiliser l'arme nucléaire dans un passé assez récent ils vont donc éventuellement le faire. La preuve ? Du temps de l'Union soviétique, Moscou avait accepté de dépenser un «pognon de dingue» afin que des responsables du Parti communiste français puissent bénéficier d'un super abri nucléaire bâti exprès pour eux, presque au centre de la ville de Paris. Les chefs à Moscou trouvaient le scénario réaliste. Comment ? Que l'on puisse se servir de la super bombe contre la France. Pire ! Qu'ils aient pu le penser sérieusement serait la preuve également que l'on ne pourrait pas parler de dissuasion nucléaire. L'arsenal nucléaire dont disposerait le gouvernement français ne servirait en fin de compte qu'à donner aux gens une fausse assurance. Une fausse confiance à l'effet qu'un agresseur éventuel comme la Russie n'oserait pas aller jusqu'à tirer le premier. 

La mauvaise nouvelle c'est que les Russes (exemple) seraient très capables d'aller de l'avant, la bonne c'est que ce ne serait pas la fin du monde non plus. Il y aurait moyen de survivre. Des particuliers pourraient même envisager dès maintenant de se faire bâtir leur propre abri. Ne pas se fier au discours faussement rassurant du gouvernement («personne ne va se risquer à attaquer le sol français ...») serait le mieux, comme le fait de penser aussi qu'une attaque nucléaire ne signifierait pas nécessairement l'annihilation complète de la vie humaine sur terre, la géographie en entier du pays transformée en un unique cratère lunaire désertique.

 Ce serait son point de vue. On pourrait s'attendre tôt ou tard à ce que l'armée (russe ou autre) utilise pour vrai la puissance de destruction de l'arme atomique contre certains centres stratégiques de l'ennemi. Une simple question de temps. Et globalement le ravage causé serait moindre que dans ces illustrations de la pire catastrophe habituellement suggérée (impossibilité pour la race humaine de survivre, la radio activité terrible, l'hiver nucléaire, etc.)

Cinci a écrit: Une fausse confiance à l'effet qu'un agresseur éventuel comme la Russie n'oserait pas aller jusqu'à tirer le premier. 

La mauvaise nouvelle c'est que les Russes (exemple) seraient très capables d'aller de l'avant,

Bonjour Cinci,

La doctrine nucléaire stratégique russe est très claire : elle n'autorise que des frappes de représailles.
En revanche, la doctrine nucléaire stratégique américaine autorise les frappes préventives.

Calex a écrit:

Cinci a écrit: Une fausse confiance à l'effet qu'un agresseur éventuel comme la Russie n'oserait pas aller jusqu'à tirer le premier. 

La mauvaise nouvelle c'est que les Russes (exemple) seraient très capables d'aller de l'avant,

Bonjour Cinci,

La doctrine nucléaire stratégique russe est très claire : elle n'autorise que des frappes de représailles.
En revanche, la doctrine nucléaire stratégique américaine autorise les frappes préventives.

C'est la différence entre un pays hégémonique sur tous les plans ( politique, économique, militaire, technologique, culturel etc...) et un autre qui ne l'est pas.

Poutine a prévenu à multiple reprises qu'il n'hésiterait pas à utiliser des bombes atomique tactiques donc le discours est clair. Premier ou pas, si la Russie se sent en danger elle n'hésitera pas. Et ce sera sans doute le début de la fin pour beaucoup de peuples et de nations. Il suffira d'une erreur, d'une étincelle pour tout s'embrase.

Les occidentaux refusent la paix, Macron en tête. Face à Poutine il aurait fallu un "cercle de la raison" à la fois pour tempérer les excitations de Zélinsky mais ceux des anglais et des français. Ce "cercle" a perdu la raison à l'image d'un Biden gâteux et sénile. Seul pays capable en théorie de faire la paix, il semble que l'objectif est véritablement d'affronter la Russie.

Sauf que les Etats Unis ne peuvent plus être les gendarmes du monde dans un contexte multiple avec une europe inexistante sur la plan militaire. Ils ne pourront pas affronter plusieurs fronts en même temps : la Russie, la Chine, la Corée du Nord et l'Iran !

Pedro31 a écrit:Poutine a prévenu à multiple reprises qu'il n'hésiterait pas à utiliser des bombes atomique tactiques donc le discours est clair. Premier ou pas, si la Russie se sent en danger elle n'hésitera pas

Oui, si l'État russe voit sa propre existence menacée. Et c'est ce que le président Poutine dit. 

Les occidentaux refusent la paix, Macron en tête.

 Là-dessus, je dirais que «nos» dirigeants font cavaliers seuls. Le gros de la population préférerait de loin que les choses se règlent pacifiquement par le biais de la diplomatie. Je suis sûr que l'immense majorité des Français ne suit pas Macron quand il exprime ses idées bellicistes anti-russe. Et c'est bien le «propos du genre» (guerrier) chez Macron qui paraît surréaliste, totalement déconnecté des vrais besoins de Dupond et Dupont.  

Seul pays capable en théorie [les États-Unis] de faire la paix, il semble que l'objectif est véritablement d'affronter la Russie.

On dirait bien que l'objectif de ces décideurs reste et demeure la guerre. Oui, en effet. La guerre, toujours la guerre, la poursuite de la guerre. Une guerre perpétuelle (ailleurs, plus loin, chez d'autres) et dont on prétend pouvoir se jouer pour la contrôler, en fixer les paramètres, le degré d'intensité, les acteurs.

 Et tout cela sans que jamais l'opinion ou les inclinations personnelles de Pierre-Jean-Jacques puissent jamais y être aussi de quelque importance réelle dans l'équation. La chose est assez saisissante. En tout cas, moi, je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais pu constater un écart aussi grand, mais entre le vox pop et l'orientation de nos gestionnaires politiques qui semblent évoluer dans une bulle. 



Pour schématiser, une réflexion :


 Avant la guerre de 1914, le gros des populations en Allemagne ou en France inclinait du même côté que leur classe dirigeante et soit pour être en faveur de la guerre, que l'on estimait inévitable. On s'y attendait, on s'y préparait mentalement, sûr que la guerre que l'on prévoyait de peu de durée serait profitable au pays. L'enthousiasme populaire en faveur de la guerre n'était pas feint, pas dans les premiers jours.

 Avant la guerre de 39, le gros des populations en France, en Angleterre, même aux États-Unis, se trouver encore à incliner du même bord que la classe politique et soit pour être contre la guerre maintenant, contre l'idée d'une guerre en Europe. Réellement : les dirigeants anglais ou Français ne voulaient pas d'une guerre contre l'Allemagne et le vox pop au diapason avec eux. C'est facile à comprendre.

 Une exception : Le gros de la population en Allemagne pensait de la même façon que le gros de la population française, anglaise ou américaine et donc pour être contre l'idée d'une guerre suicidaire, coûteuse, ruineuse et tout.

 L'exception d'hier étant que le gros de la population allemande se trouvait désaccordé d'avec les velléités agressives pro-guerre de son propre gouvernement, celui du IIIe Reich. Ici l'agenda du pouvoir fonctionnait en complète autonomie et séparation d'avec le choix premier du vox pop. Le Führer n'avait que faire des goûts de confort, de tranquillité, de bonne entente ou de paix de Klaus, Franz, Heinrich ou Otto.  

Mais ...

Aujourd'hui, c'est le gros de la population en France, en Allemagne, en Italie, en Espagne, - peut-être même aux États-Unis également je le croirais -, qui s'en trouve désaccordé d'avec l'agenda ou l'impérieux souci à traiter (la grande priorité, etc.) de leurs boss politiques. 

Ce sont nos grandes instance institutionnelles et décisionnelles (Maison Blanche, Pentagone, le siège de l'OTAN, l'UE, partis au pouvoir à l'Assemblée nationale, à Ottawa, etc.) qui évoluent comme des somnambules, et dans une bulle d'exceptionnalité selon une dynamique agressive, destructrice (nihiliste, dirait l'autre), sans avoir de compte à rendre à monsieur Tout le monde. Assez stupéfiant. Et les autres pays dans le monde, les plus éloignés du centre décisionnel ou du vrai pouvoir, comme des observateurs, ils voient cela de loin comme une véritable folie.  

Folie : voir le petit Attal s'écrier «Slava Ukraini !» en plein dans l'hémicycle français; voir Trudeau balancer lui aussi un «Slava Ukraini !» lors de la dernière rencontre en Suisse. Le slogan des bandéristes ... Des fous, mes amis; des détraqués d'une manière, des extrémistes en tout cas et coupés réellement du sentiment des populations qu'ils seraient supposé représenter.

Cinci a écrit:En tout cas, moi, je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais pu constater un écart aussi grand, mais entre le vox pop et l'orientation de nos gestionnaires politiques qui semblent évoluer dans une bulle.

C'est ce qu'explique Emmanuel Todd dans son dernier et magistral ouvrage : La défaite de l'Occident. Il montre que les pays occidentaux ne sont plus des démocraties libérales mais des oligarchies libérales. Quant à la Russie, elle reste une démocratie autoritaire.

Emmanuel Todd parle également de l'immense mépris qu'ont les décideurs occidentaux pour leurs peuples. Décideurs qui sont tombés dans le nihilisme (déni du réel, absence de valeurs et de rationnalité),et ce, à un tel niveau, qu'ils sont capables de tout (comprendre : déclencher une guerre nucléaire).





https://www.amazon.fr/D%C3%A9faite-lOccident-Emmanuel-Todd/dp/2073041132

Comme le rappelle Emmanuel Todd dans son livre et ses interview pour souligner son impartialité : Je suis breton, anglais et juif.
En tant que démographe, historien et anthropologue, il avait prévu dans son livre ''La chute finale" publié en 1976 la fin prochaine de l'URSS (qui a eu lieu 15 ans plus tard).