Témoignage Ta foi t'a sauvé !
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Témoignage Ta foi t'a sauvé !
«Ta foi t'a sauvé»
=> STELLA MARIS 412 SOMMAIRE
J'étais catholique non pratiquant en 1996, lorsque je fis la connaissance d'une femme dont je tombai éperdument amoureux. Elle dégageait une attirance d'une puissance telle qu'il m'était impossible de l'expliquer à cette époque. Du plus profond de ma conscience, je désirais exactement ce style de femme, depuis toujours, alors que je vivais déjà en concubinage avec une autre femme. Je n'aurais par contre jamais imaginé que mon pauvre cœur puisse aimer à ce point, et que, par le comportement de cette femme, je puisse souffrir autant. Elle me manipulait complètement, jouait avec mes sentiments, ma bonté, mon amour…
Je découvris, après de longs mois de souffrance, qu'elle possédait, en réalité, une pierre à la place du cœur. Cependant, à cause de l'amour que j'éprouvais et qui m'aveuglait complètement, je désirais quand même changer son cœur dur en cœur tendre. Chose délicate et très difficile, car au fil des jours, mes souffrances s'intensifiaient. A plusieurs reprises, mon cœur se serrait au point de me couper la respiration. Je me tordais en deux, suffoquais, agonisais complètement. Je ne ressentais plus aucun amour charnel au point de me demander si j'étais bien normal. Mon cœur ressentait seulement un amour pur et était près à mourir pour changer cette dureté de cœur rencontrée.
Après quelques mois, j'ai éprouvé le besoin de prier, ce que je n'avais pas fait depuis des années. Puis, au mois de juin 1997, en dernier recours, je décidai de lui écrire. Pendant 7 jours, j'écrivis une grande lettre lui expliquant, par d'innombrables exemples de la vie, que le plus important était les sentiments, l'amour. Après ce long courrier, j'étais complètement «vidé», épuisé, tant physiquement que moralement. J'avais tout donné à cette femme, tout mon courage, mon amour, ma bonté, toutes mes forces, je me sentais comme «mort».
Le 8 juin 1997, je lui fis parvenir ma grande lettre accompagnée d'un cadeau, un objet en métal, que je trouvais très beau. Le même jour, allongé sur mon lit, dans ma chambre, alors que je contemplais la statue de la Très Sainte Vierge (Notre-Dame des Roses), je vis pendant une fraction de seconde, la silhouette de cet objet en métal, se confondre à la statue. Je me mis à pleurer, à pleurer nuit et jour, pendant 3 jours. C'était totalement incontrôlable.
J'étais converti. Je suis allé me confesser le dimanche suivant, le 15 juin 1997.
Certes, cette femme avait un cœur de pierre, certainement à cause de la dure vie qu'elle avait vécue. Cependant, son comportement envers moi avait en réalité pour but de me «vider» de tout mon être, tout me prendre pour pouvoir enfin prendre mon âme. En un mot j'avais été «envoûté». J'ai su et compris cela après avoir parlé à mon grand-père de ce qui était arrivé à mon meilleur collègue de travail, qui porte le même prénom que moi, et qui, après avoir touché l'objet en question quelques jours auparavant, fut transporté d'urgence à l'hôpital, alors qu'il avait l'air en parfaite santé, afin d'y être opéré d'une perforation à l'estomac. Une demi-heure plus tard, il serait mort.
Cet objet avait la forme d'une flèche.
Je pense que mon collègue a reçu ce qui m'était, en fait, destiné. En effet, après avoir questionné des prêtres, des amis originaires de l'Ile de la Réunion, et ma famille, cela ne faisait plus aucun doute, j'avais été «envoûté».
J'ai dû être protégé par la Très Sainte Vierge grâce à cette épreuve traversée dans l'amour et le pardon, mes prières et ma conversion in extremis, et je pense que si nous étions à l'époque de la vie «temporelle» de Jésus, Il me dirait: «ta foi t'a sauvé».
Mon collègue de travail, portugais, a également dû être protégé grâce à ses pèlerinages effectués à Fatima, sinon, je pense qu'il serait mort.
Avant de savoir ce que j'avais réellement vécu, j'ai eu un dernier contact avec cette femme qui confirme cet «envoûtement»: je l'ai appelée au téléphone, elle fut très, très étonnée d'entendre ma voix, et affolée, elle a raccroché. Elle a donc probablement fait une deuxième tentative (mon accident de voiture), qui a échoué, comme la première, mais qui devait arriver car le mal avait dût être «lancé» à nouveau.
Le 25 juin 1997, alors que je me trouvais sur l'autoroute au volant de mon véhicule, je ressentis une très vive brûlure au cœur. Très calmement, je me suis mis à prier Marie, puis à parler à Jésus. Je pensais ressentir sa douleur à 1/1000e et lui disais bien vouloir aider le Ciel à essayer de changer les cœurs, mais que je ne pourrais pas souffrir comme ça tout le temps. Cette douleur s'intensifiait et m'affolait, car je ne savais pas si elle allait s'arrêter. Au bout de 10 bonnes minutes, je commençais à faire ma propre confession devant Dieu et Marie: «Oh pardon, ô mon Jésus, qu'avez-vous dû ressentir!» Puis, alors que cette brûlure devenait insupportable par son intensité, et sa durée, je suppliais le Ciel d'arrêter, je n'en pouvais plus.
Je roulais toujours sur l'autoroute, sur la voie de gauche à 130 km heure, lorsque je dis à Marie: «S'il faut souffrir à ce point pour aider le Ciel, je préfère mourir sur-le-champ, je vous supplie d'arrêter ou je me suicide»! A ce moment très précis, j'ai perdu connaissance en 1/10e de seconde, le pied toujours sur l'accélérateur. Mon véhicule a continué sa route sur 3 km, évitant tous les obstacles. Je repris juste assez connaissance pour enclencher mes feux de détresse et projeter mon véhicule d'un coup de volant sur la «bande d'arrêt d'urgence» sans même regarder la route. Mon véhicule s'immobilisa enfin, avec seulement deux jantes et deux pneus éclatés. Le «Samu» et la Police sont arrivés tout de suite, prévenus par trois témoins à l'aide de téléphones portables. Je n'avais rien et ne ressentais plus cette brûlure.
Personnellement, je pense avoir été mis en face de ma propre conscience et à l'épreuve durant une année. Je crois que cette brûlure ressentie au cœur a beaucoup de ressemblance avec le message donné par la Très Sainte Vierge aux quatre enfants de Garabandal, c’est-à-dire «l'avertissement».
Beaucoup de choses se sont encore passées durant cette épreuve. Par exemple une brûlure au doigt (où je portais une chevalière), ou encore, un rêve prémonitoire le 23 juin 1997. Cependant, je pense avoir dit l'essentiel, et souhaiterais conclure ce témoignage par cette phrase de Notre-Seigneur: «Veillez et priez, vous ne connaissez, ni le jour, ni l'heure.»
Merci mon Dieu, merci Marie et merci au Ciel tout entier.
Copyright © 1999 - 2005
Conformément aux dispositions du Code de la Propriété Intellectuelle, tous les textes et illustrations sont protégés par le Droit d'Auteur.
EDITIONS DU PARVIS - STELLA MARIS - CH-1648 HAUTEVILLE / SUISSE.
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J'étais catholique non pratiquant en 1996, lorsque je fis la connaissance d'une femme dont je tombai éperdument amoureux. Elle dégageait une attirance d'une puissance telle qu'il m'était impossible de l'expliquer à cette époque. Du plus profond de ma conscience, je désirais exactement ce style de femme, depuis toujours, alors que je vivais déjà en concubinage avec une autre femme. Je n'aurais par contre jamais imaginé que mon pauvre cœur puisse aimer à ce point, et que, par le comportement de cette femme, je puisse souffrir autant. Elle me manipulait complètement, jouait avec mes sentiments, ma bonté, mon amour…
Je découvris, après de longs mois de souffrance, qu'elle possédait, en réalité, une pierre à la place du cœur. Cependant, à cause de l'amour que j'éprouvais et qui m'aveuglait complètement, je désirais quand même changer son cœur dur en cœur tendre. Chose délicate et très difficile, car au fil des jours, mes souffrances s'intensifiaient. A plusieurs reprises, mon cœur se serrait au point de me couper la respiration. Je me tordais en deux, suffoquais, agonisais complètement. Je ne ressentais plus aucun amour charnel au point de me demander si j'étais bien normal. Mon cœur ressentait seulement un amour pur et était près à mourir pour changer cette dureté de cœur rencontrée.
Après quelques mois, j'ai éprouvé le besoin de prier, ce que je n'avais pas fait depuis des années. Puis, au mois de juin 1997, en dernier recours, je décidai de lui écrire. Pendant 7 jours, j'écrivis une grande lettre lui expliquant, par d'innombrables exemples de la vie, que le plus important était les sentiments, l'amour. Après ce long courrier, j'étais complètement «vidé», épuisé, tant physiquement que moralement. J'avais tout donné à cette femme, tout mon courage, mon amour, ma bonté, toutes mes forces, je me sentais comme «mort».
Le 8 juin 1997, je lui fis parvenir ma grande lettre accompagnée d'un cadeau, un objet en métal, que je trouvais très beau. Le même jour, allongé sur mon lit, dans ma chambre, alors que je contemplais la statue de la Très Sainte Vierge (Notre-Dame des Roses), je vis pendant une fraction de seconde, la silhouette de cet objet en métal, se confondre à la statue. Je me mis à pleurer, à pleurer nuit et jour, pendant 3 jours. C'était totalement incontrôlable.
J'étais converti. Je suis allé me confesser le dimanche suivant, le 15 juin 1997.
Certes, cette femme avait un cœur de pierre, certainement à cause de la dure vie qu'elle avait vécue. Cependant, son comportement envers moi avait en réalité pour but de me «vider» de tout mon être, tout me prendre pour pouvoir enfin prendre mon âme. En un mot j'avais été «envoûté». J'ai su et compris cela après avoir parlé à mon grand-père de ce qui était arrivé à mon meilleur collègue de travail, qui porte le même prénom que moi, et qui, après avoir touché l'objet en question quelques jours auparavant, fut transporté d'urgence à l'hôpital, alors qu'il avait l'air en parfaite santé, afin d'y être opéré d'une perforation à l'estomac. Une demi-heure plus tard, il serait mort.
Cet objet avait la forme d'une flèche.
Je pense que mon collègue a reçu ce qui m'était, en fait, destiné. En effet, après avoir questionné des prêtres, des amis originaires de l'Ile de la Réunion, et ma famille, cela ne faisait plus aucun doute, j'avais été «envoûté».
J'ai dû être protégé par la Très Sainte Vierge grâce à cette épreuve traversée dans l'amour et le pardon, mes prières et ma conversion in extremis, et je pense que si nous étions à l'époque de la vie «temporelle» de Jésus, Il me dirait: «ta foi t'a sauvé».
Mon collègue de travail, portugais, a également dû être protégé grâce à ses pèlerinages effectués à Fatima, sinon, je pense qu'il serait mort.
Avant de savoir ce que j'avais réellement vécu, j'ai eu un dernier contact avec cette femme qui confirme cet «envoûtement»: je l'ai appelée au téléphone, elle fut très, très étonnée d'entendre ma voix, et affolée, elle a raccroché. Elle a donc probablement fait une deuxième tentative (mon accident de voiture), qui a échoué, comme la première, mais qui devait arriver car le mal avait dût être «lancé» à nouveau.
Le 25 juin 1997, alors que je me trouvais sur l'autoroute au volant de mon véhicule, je ressentis une très vive brûlure au cœur. Très calmement, je me suis mis à prier Marie, puis à parler à Jésus. Je pensais ressentir sa douleur à 1/1000e et lui disais bien vouloir aider le Ciel à essayer de changer les cœurs, mais que je ne pourrais pas souffrir comme ça tout le temps. Cette douleur s'intensifiait et m'affolait, car je ne savais pas si elle allait s'arrêter. Au bout de 10 bonnes minutes, je commençais à faire ma propre confession devant Dieu et Marie: «Oh pardon, ô mon Jésus, qu'avez-vous dû ressentir!» Puis, alors que cette brûlure devenait insupportable par son intensité, et sa durée, je suppliais le Ciel d'arrêter, je n'en pouvais plus.
Je roulais toujours sur l'autoroute, sur la voie de gauche à 130 km heure, lorsque je dis à Marie: «S'il faut souffrir à ce point pour aider le Ciel, je préfère mourir sur-le-champ, je vous supplie d'arrêter ou je me suicide»! A ce moment très précis, j'ai perdu connaissance en 1/10e de seconde, le pied toujours sur l'accélérateur. Mon véhicule a continué sa route sur 3 km, évitant tous les obstacles. Je repris juste assez connaissance pour enclencher mes feux de détresse et projeter mon véhicule d'un coup de volant sur la «bande d'arrêt d'urgence» sans même regarder la route. Mon véhicule s'immobilisa enfin, avec seulement deux jantes et deux pneus éclatés. Le «Samu» et la Police sont arrivés tout de suite, prévenus par trois témoins à l'aide de téléphones portables. Je n'avais rien et ne ressentais plus cette brûlure.
Personnellement, je pense avoir été mis en face de ma propre conscience et à l'épreuve durant une année. Je crois que cette brûlure ressentie au cœur a beaucoup de ressemblance avec le message donné par la Très Sainte Vierge aux quatre enfants de Garabandal, c’est-à-dire «l'avertissement».
Beaucoup de choses se sont encore passées durant cette épreuve. Par exemple une brûlure au doigt (où je portais une chevalière), ou encore, un rêve prémonitoire le 23 juin 1997. Cependant, je pense avoir dit l'essentiel, et souhaiterais conclure ce témoignage par cette phrase de Notre-Seigneur: «Veillez et priez, vous ne connaissez, ni le jour, ni l'heure.»
Merci mon Dieu, merci Marie et merci au Ciel tout entier.
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Danielle- Enfant de Dieu
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