Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
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Regis
Nicolas77
Michael
Maud
Emmanuel
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Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
[info]"L'Évangile tel qu'il m'a été révélé", de Maria Valtorta
Bonjour,
Cette Oeuvre de Jésus, à travers son instrument, Maria Valtorta, a fait le tour du monde, sans publicité. Diffusée en de nombreuses langues, des centaines de milliers d'exemplaires de cette oeuvre merveilleuse ont été écoulés à ce jour. "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé", nous permet de découvrir dans des détails jamais révélés jusqu'à nos jours, les années d'Évangélisation du Christ, en compagnie de Ses apôtres. Source de tant de grâces et de conversions, beaucoup d'âmes du forum ont lu cette oeuvre, qui a contribué à leur conversion et à leur désir de se rapprocher toujours plus de Dieu.
Voici la liste des tomes français de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé". Dans d'autres langues, cela est parfois divisé en quatre très gros tomes. En français, l'Oeuvre est divisée en 10 volumes:
Tome 1:
Naissance et vie cachée de Marie et de Jésus
Tome 2:
La première année de la Vie Publique
Tome 3:
La deuxième année de la Vie Publique
Tome 4:
La deuxième année de la Vie Publique
Tome 5:
La troisième année de la Vie Publique
Tome 6:
La troisième année de la Vie Publique
Tome 7:
La troisième année de la Vie Publique
Tome 8:
La préparation de la Passion
Tome 9:
La Passion
Tome 10:
La Glorification
On peut lire la Table des matières détaillée de chacun des volumes, et même, pour ceux qui n'auraient pas les moyens ou la possibilité d'acheter les livres présentement, on peut lire l'oeuvre entière, mise en ligne, en français, à cette adresse:
http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2001/index.htm
Union de prières,
Emmanuel[/info]
#Valtorta
Bonjour,
Cette Oeuvre de Jésus, à travers son instrument, Maria Valtorta, a fait le tour du monde, sans publicité. Diffusée en de nombreuses langues, des centaines de milliers d'exemplaires de cette oeuvre merveilleuse ont été écoulés à ce jour. "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé", nous permet de découvrir dans des détails jamais révélés jusqu'à nos jours, les années d'Évangélisation du Christ, en compagnie de Ses apôtres. Source de tant de grâces et de conversions, beaucoup d'âmes du forum ont lu cette oeuvre, qui a contribué à leur conversion et à leur désir de se rapprocher toujours plus de Dieu.
Voici la liste des tomes français de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé". Dans d'autres langues, cela est parfois divisé en quatre très gros tomes. En français, l'Oeuvre est divisée en 10 volumes:
Tome 1:
Naissance et vie cachée de Marie et de Jésus
Tome 2:
La première année de la Vie Publique
Tome 3:
La deuxième année de la Vie Publique
Tome 4:
La deuxième année de la Vie Publique
Tome 5:
La troisième année de la Vie Publique
Tome 6:
La troisième année de la Vie Publique
Tome 7:
La troisième année de la Vie Publique
Tome 8:
La préparation de la Passion
Tome 9:
La Passion
Tome 10:
La Glorification
On peut lire la Table des matières détaillée de chacun des volumes, et même, pour ceux qui n'auraient pas les moyens ou la possibilité d'acheter les livres présentement, on peut lire l'oeuvre entière, mise en ligne, en français, à cette adresse:
http://www.maria-valtorta.org/Publication/TOME%2001/index.htm
Union de prières,
Emmanuel[/info]
#Valtorta
Dernière édition par Emmanuel le Jeu 11 Déc 2014 - 6:09, édité 7 fois
Pathiga aime ce message
Re: Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
Merci Emmanuel pour ce confort partagé
Maud
Maud
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Re: Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
De tout ce que j'ai lu,les 10 tomes de "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé"de Maria Valtorta sont mes préférés.
Michael- Dans la prière
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Re: Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
merci Emmanuel,
j'ai lu le tome 9 - 10 et 1
c'est merveilleux.
il faut les lires
en UDP
nicolas
j'ai lu le tome 9 - 10 et 1
c'est merveilleux.
il faut les lires
en UDP
nicolas
Nicolas77- Contemplatif
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Re: Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
Il paraît en effet que c est magnifique
Regis- Aime la Bible
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Re: Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
En effet, je vous confirme la beauté de cette oeuvre et son authenticité puisque Maria Valtorta a décrit des sites que les archéologues ont trouvé récemment en se basant sur ses descriptions très complètes.
J'ai lu 6 livres sur 10. Ils décrivent des personnages d'une grande importance dans le Ministère de Jésus qui ne sont pas présentés dans la Bible. On découvre les qualités et les défauts des Apôtres.
Marie, notre Sainte Maman, nous la découvrons active. Déployant sa douceur, sa diplomatie au service de son Fils. Elle marche aussi beaucoup avec d'autres femmes. Elle est très aimée.
Maria Valtorta nous fait découvrir l'intimité de Jésus avec sa mère. Quand il rentre fatigué de ses voyages et qu'Il s'assoit aux pieds de sa mère pour se faire cajoler...
Elle décrit aussi le départ de Joseph.
Un jour, je reprendrai ma lecture et je poursuivrai la route.
Jennie
J'ai lu 6 livres sur 10. Ils décrivent des personnages d'une grande importance dans le Ministère de Jésus qui ne sont pas présentés dans la Bible. On découvre les qualités et les défauts des Apôtres.
Marie, notre Sainte Maman, nous la découvrons active. Déployant sa douceur, sa diplomatie au service de son Fils. Elle marche aussi beaucoup avec d'autres femmes. Elle est très aimée.
Maria Valtorta nous fait découvrir l'intimité de Jésus avec sa mère. Quand il rentre fatigué de ses voyages et qu'Il s'assoit aux pieds de sa mère pour se faire cajoler...
Elle décrit aussi le départ de Joseph.
Un jour, je reprendrai ma lecture et je poursuivrai la route.
Jennie
j3584- Avec l'Archange Saint Michel
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Inscription : 24/03/2011
Re: Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
J'ai lu et je relis régulièrement les dix volumes ! Je ne m'en lasse pas !
On a vraiment l'impression de vivre le quotidien et les enseignements de Jésus avec les apôtres ! C'est une mine d'or !
On a vraiment l'impression de vivre le quotidien et les enseignements de Jésus avec les apôtres ! C'est une mine d'or !
myriam85- Contre le nouvel ordre mondial
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Inscription : 20/05/2008
Re: Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
tout à fait d'accord avec vous tous, ce sont des trésors inestimables, à bien conserver et à relire de temps en temps.
D'ailleurs lorsque l'on commence à les lire on ne peut plus s'arrêter .
violaine
D'ailleurs lorsque l'on commence à les lire on ne peut plus s'arrêter .
violaine
violaine- Avec les anges
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Localisation : bretagne
Inscription : 10/12/2009
Re: Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
Pour ma part "L'Evangile" tel qu'il a été révélé à Maria Valtorta est la plus importante révélation privée du Catholicisme, toutes époques confondues.
Absolument indispensable pour qui voudrait mieux connaitre, et donc aimer, Jésus et Marie (et bien d'autres, comme Jean, Marie Madeleine...)
Pour ceux qui ont finit de lire ces 10 tomes, il y a également ces livres de Maria Valtorta, dictés par Jésus, Marie, son ange...
- Les Cahiers (en 3 tomes)
- Le livre d'Azarias
- Leçons sur l'Epitre de Saint Paul aux Romains
Les fruits de ces lectures sont incommensurables...
Absolument indispensable pour qui voudrait mieux connaitre, et donc aimer, Jésus et Marie (et bien d'autres, comme Jean, Marie Madeleine...)
Pour ceux qui ont finit de lire ces 10 tomes, il y a également ces livres de Maria Valtorta, dictés par Jésus, Marie, son ange...
- Les Cahiers (en 3 tomes)
- Le livre d'Azarias
- Leçons sur l'Epitre de Saint Paul aux Romains
Les fruits de ces lectures sont incommensurables...
Benoit- Aime le Rosaire
- Messages : 706
Inscription : 07/10/2008
Re: Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
Ils parlent de Maria Valtorta
SS. le Pape Pie XII (1876-1958)
Pontificat du 2 mars 1939 au 9.10.1958
Le 26 février 1948 le Pape Pie XII, qui avait reçu le manuscrit de Maria Valtorta des mains de son confesseur le P. Agostino Bea (futur Cardinal), accorde une audience spéciale au Père Migliorini, confesseur de Maria Valtorta, à son confrère Berti (un professeur de théologie dogmatique) et à leur supérieur, le Père Andrea M. Cecchin, o.s.m. (Servites de Marie). Son jugement était favorable. Aussi conseilla-t-il de publier l’œuvre sans rien enlever, pas même les déclarations explicites de rapporter des "visions" et des "dictées"; mais en même temps il n’approuva pas le texte d’une préface qui parlait d’un phénomène surnaturel. Selon le conseil du pape, toute interprétation devait être laissée au lecteur : "Publiez l’œuvre tel quel. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront comprendront".
Sources : Les termes ont été confirmés, y compris sous serment, par les témoins oculaires. Ces témoignages de l'imprimatur papal sont conservés par les Servites de Marie dans la Basilique de Santa Annunziata à Florence où est enterrée Maria Valtorta
SS. le Pape Paul VI (1897-1978)
Pontificat du 21.06.1963 au 6.08.1978
Le 17 janvier 1974, la Secrétairerie du Pape (la plus haute instance du Vatican), transmets au P. Roschini (voir ci-dessous) les félicitations du Saint-Père pour son ouvrage ouvertement favorable à Maria Valtorta : "Vous avez bien voulu faire parvenir au Souverain Pontife un exemplaire de votre dernier ouvrage : "La Vierge Marie dans les écrits de Maria Valtorta". Appréciant votre piété et votre zèle et le précieux résultat, le Saint-Père vous remercie chaleureusement pour votre nouveau témoignage de pieux hommage et exprime l'espoir que vos efforts recueillent des fruits spirituels abondants."
Précédemment, Mgr Pasquale Macchi, le secrétaire particulier du Pape avait confirmé, en 1963, au cours d'un long entretien au P. Berti que l'œuvre de Maria Valtorta n'était effectivement pas à l'Index (qui n'était pourtant pas aboli) et avait mentionné que le Pape alors archevêque de Milan, avait lu l'un des quatre tomes de l'œuvre de Maria Valtorta et avait donné l'œuvre complète au grand séminaire. Entretien confirmé sous serment par le P. Berti et propos rapportés par lui.
Sources : Déclaration sous serment du P. Berti – Fac-similé de la lettre de la Secrétairerie d'État.
SS. le Pape Jean-Paul II (1920-2005)
Pontificat du 13.10.1978 au 2.04.2005
Le Pape Jean-Paul II ne s'est pas prononcé sur le cas de Maria Valtorta. Seul le Cardinal Ratzinger, Préfet pour la congrégation de la Foi a déclaré, dans une lettre à l'archevêque de Gênes, qu'il n'était pas personnellement favorable à la diffusion de l'œuvre à cause de son possible impact auprès des gens "les plus naïfs". Il laissait toutefois le Cardinal Siri libre de répondre, de la manière qui lui convenait, à la demande d'un prêtre de son diocèse.
Plus tard, ce même Cardinal a fait demander à l'éditeur par l'intermédiaire de la Conférence des évêques d'Italie "comme un service rendu à la foi de l'Église" de préciser sur les futures éditions que l'œuvre de Maria Valtorta devaient être considérée comme une œuvre littéraire personnelle.
Le Pape Jean-Paul II a cependant béatifié le Fr. Gabriele Allegra, bibliste reconnu, ouvertement favorable à Maria Valtorta dont il était un fervent lecteur et sur laquelle il avait écrit une exégèse. Il y reconnaît que cette œuvre "vient de l'esprit de Jésus".
Ce même Pape a canonisé le Padre Pio et béatifié Mère Teresa, tous les deux lecteurs de Maria Valtorta, tous les deux en ayant recommandés la lecture.
Mgr Alfonso Carinci (1862-1963)
Secrétaire de la Congrégation pour les Rites sacrés (actuellement pour la cause des saints)
Il écrit, en 1946 : "À en juger d'après le bien que l'on éprouve en lisant la vie de Jésus de Maria Valtorta, à mon humble avis, cette œuvre, une foi publiée, pourrait porter beaucoup d'âmes au Seigneur: des pêcheurs à la conversion et des bons à une vie plus fervente et plus active. Tandis que la presse immorale envahit le monde et que les films corrompent les gens, il me vient tout à fait spontanément le désir de remercier le Seigneur de nous avoir donné par l'intermédiaire de cette femme qui a tant souffert, qui est clouée au lit, une œuvre littérairement sublime, doctrinalement et spirituellement si élevée, accessible et profonde, attirante à la lecture et capable d'être reproduite dans des représentations cinématographiques et de théâtre sacré. J'ai communiqué ma pensé qui est aussi celle de théologiens et d'exégètes de grande valeur tel que le révérant Père Béa (il n'était pas encore Cardinal à ce moment), tel que Monseigneur Lattanzi, professeur de théologie fondamentale au Latran, mais cela étant, je suis naturellement prêt à me corriger dans le cas où le Saint Père jugerait autrement."
Témoignage extrait de "Pro e Contro Maria Valtorta" (page 41) – CEV – ISBN 88-7987-130-7. Voir aussi, chez le même éditeur "Lettere a Mons. Carinci" (Lettres de Maria Valtorta à Mgr Carinci) – ISBN 978-88-7987-140
Mgr Édouard Gagnon (p.s.s.) (1918-2007)
président du conseil pontifical pour la Famille jusqu’en 1990
Le Cardinal Édouard Gagnon a estimé tout à fait conforme aux exigences du droit canonique "le genre d'imprimatur accordé par le Saint-Père en 1948 devant témoins".
Ce Cardinal était réputé comme spécialiste de la censure, thème pour lequel il avait écrit un ouvrage de référence en 1945 : "La censure des livres" éditions Fides, Montréal, 1945 - 222 pages.
Cardinal Augustin Bea (s.j.) (1881-1968)
Directeur de l'Institut Biblique Pontifical et confesseur de Pie XII
Le futur Cardinal Bea, écrit en 1952 : "J'ai lu plusieurs fascicules de l'ouvrage écrit par Maria Valtorta, en m'attachant plus particulièrement aux domaines exégétique, historique, archéologique et topographique. Pour ce qui est de son exégèse, je n'ai pas trouvé d'erreurs importantes dans les fascicules que j'ai examiné. En outre, j'ai été très impressionné par le fait que ses descriptions archéologiques et topographiques sont faites avec une exactitude remarquable. En ce qui concerne certains éléments exprimés moins précisément, l'auteur, interrogé par moi par le biais d'un intermédiaire, a donné des explications satisfaisantes. Ici et là, certaines scènes m'ont semblé décrites de façon trop diffuse, même avec beaucoup de couleurs vives. Mais de façon générale, la lecture de l'œuvre est non seulement intéressante et agréable, mais vraiment édifiante. Et, pour les personnes moins bien informées sur les mystères de la vie de Jésus, instructive."
Témoignage extrait de "Pro e Contro Maria Valtorta" – CEV – ISBN 88-7987-130-7.
Mère Teresa (1910-1997)
Béatifiée par Jean-Paul II
Selon ce que rapporte le Père Leo Maasburg, responsable national des missions à Vienne en Autriche et confesseur occasionnel de Mère Teresa pendant 4 ans, elle se déplaçait toujours avec trois livres : La Bible son Bréviaire et un troisième livre. À la question du P. Leo, elle lui dit qu'il s'agissait d'un livre de Maria Valtorta. À sa demande sur le contenu, elle lui dit et répéta simplement : "lisez-le".
Interrogé récemment par "Chrétiens Magazine" sur l'avis de Mère Teresa sur l'œuvre de Maria Valtorta, le P. Leo Maasburg confirme simplement : "Pour ce qui est de l'attitude de Mère Teresa à propos de Valtorta, je me souviens clairement de sa réaction positive sans me rappeler plus de détails".
Extrait de "Chrétiens Magazine" n° 218 du 15/03/2009, page 5
Padre Pio de Pietrelcina (1887-1968)
Canonisé par Jean-Paul II
À Elisa Lucchi, une pénitente, qui lui demande, un an avant sa mort, conseil pour la lecture de "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé", Padre Pio répond : "Non seulement je vous permets de le lire, mais je vous le recommande"
Les parcours de Maria Valtorta et Padre Pio étaient si proches qu'un livre a été consacré à leur proximité. Padre Pio avait été aussi condamné par le Saint-Office (en 1933) et réprimandé par le Cardinal Ottaviani, Préfet de cette Congrégation, en 1961.
Sources : "Chrétiens Magazine", numéro spécial de mars 2009 - "Padre Pio et Maria Valtorta" - Emilio Pisani – 2000 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 8879870734 - Bollettino Valtortiano n° 39 Janvier – juin 1989
P. Gabriel M. Roschini (o.s.m.) (1900-1977)
Fondateur de l’Université pontificale de théologie "Marianum" et Conseiller au Saint-Siège
Ce philosophe, théologien, hagiographe, mariologue [1] auteur de 130 ouvrages, écrit dans la préface de son livre "La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta" :
"Qui veut connaître la Sainte Vierge en parfaite harmonie avec le Concile Vatican II, les Saintes Écritures et la Tradition de l'Église, se doit de puiser à la mariologie valtortienne […] car La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta est le plus important de mes livres... la mariologie qui se dégage des écrits publiés et inédits de Maria Valtorta a été pour moi une vraie découverte. Aucun autre écrit marial, pas même la somme de tous ceux que j'ai lus et étudiés, n'avait été en mesure de me donner sur Marie, chef-d'œuvre de Dieu, une idée aussi claire, aussi vive, aussi complète, aussi lumineuse et aussi fascinante, à la fois simple et sublime, que les écrits de Maria Valtorta".
Dans cet ouvrage, il classe Maria Valtorta dans "les dix-huit principales mystiques (mariales) des temps anciens et modernes"
"La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta" - 1973 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 2920285017. Ce livre a fait l'objet d'une lettre de félicitation de la Secrétairerie d'État - la plus haute instance du Vatican - qui mentionne explicitement le soutien du Pape Paul VI.
Mgr René Laurentin (né en 1917)
Théologien, exégète, historien, ancien conseiller de Vatican II
Mgr René Laurentin est l'auteur de 160 ouvrages notamment sur la mariologie mais aussi les apparitions mariales dans le monde, domaine dans lequel il s'est spécialisé. Il écrit à propos d'une étude à paraître sur les "vies révélées de Marie" (et de Jésus) :
"Maria Valtorta émerge et se recommande à bien des titres […] Sa vie de longue souffrance, vécue dans un abandon total à Dieu, témoigne de sa sainteté. Elle ne s'éloigne en rien de l'Evangile, ne le contredit nulle part, n'y ajoute pas des enseignements étrangers et reste conforme à l'esprit de l'Evangile. Par ailleurs, elle est celle qui ajoute aux épisodes racontés par l'évangile bien d'autres épisodes ignorés, même s'ils s'inscrivent aisément en marge de l'évangile sans contradiction ni rupture. Cela plaide aussi en sa faveur […] Elle a recueilli les plus larges ralliements au sommet dont celui de Pie XII qui l'a protégé discrètement du Saint-Office […] Reste que le récit de Maria Valtorta n'est pas un 5ème évangile".
Extrait de "Chrétiens Magazine" n° 218 du 15/03/2009, page 7
Fr. Gabriele Allegra (o.f.m) (1907-1976)
Traducteur de la Bible en chinois, béatifié par Jean-Paul II
Ce bibliste était, dès 1965, féru de Maria Valtorta sur laquelle il a écrit à Macao la première exégèse de l'œuvre de 1968 à 1970, publié en 1985 lors de l'ouverture de son procès en béatification.
Il y déclare notamment : "Produisant de bons fruits dans un nombre toujours croissant de lecteurs, je pense que "L'évangile tel qu'il m'a été révélé" de Maria Valtorta vient de l'esprit de Jésus".
Voir l'exégèse.
Medjugorje
Messages de la "Gospa" (la Vierge Marie) aux voyantes
En 1982, sur l'instigation du Frère Franjo souvent interrogé par des lecteurs de Maria Valtorta, la voyante Marija transmit à la Vierge cette question : "Quelqu'un qui le demande, peut-il lire ce livre ?". La réponse de la Gospa fut : "Vous pouvez le lire". Réponse en parfait écho à l'avis de Pie XII et avec la position que l'Église définira, dix ans plus tard, pour les révélations privées.
Ces témoignages ne sont pas négligeables car plusieurs voyantes ont reçu, de la Vierge Marie même, le récit de sa vie. Ces œuvres sont encore inédites.
Vicka (photo ci-contre), une autre voyante, s'est fait plus explicite dans un interview accordé le 27 janvier 1988 à Jan Conell, un avocat américain du Pittsburgh Center for Peace.
"Q - Il y a une révélation privée en quatre volumes par Marie d'Agreda, appelée "La Cité Mystique de Dieu". L'Église a approuvé ce traité en quatre volumes comme une révélation privée. Savez-vous quelque chose à ce sujet?
R - Oui, bien sûr. Notre-Dame m'a dit que c'est une version authentique de sa vie.
Q - Y a t-il d'autres livres sur ce sujet, dont Notre-Dame vous a parlé ?
R - Oui. "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" de Maria Valtorta, en dix volumes - Notre-Dame dit que "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" est la vérité.
Q - Que nous sommes bénis de savoir cela, Vicka !
R - Oui, Notre-Dame a dit que si une personne veut connaître Jésus, il doit lire "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" de Maria Valtorta. Ce livre est la vérité."
D'autre part, à la fin des années 90, le Centro Editoriale Valtortiano a reçut des photos d'une autre voyante, Vicka, se recueillant sur la tombe de Maria Valtorta à Florence (Chapelle de Santa Annunziata).
Sources : "Eco di Maria" n° 124, déc. 1995/janvier 1996 – "Chrétiens Magazine" n° 218 – 15 mars 2009, pages 10 à 12. – Fac-similé de l'interview de Vicka, paru dans la "Queen of Peace Newsletter" sur mariavaltortawebring
Merci à Valtortiste91 et son très beau site web, www.maria-valtorta.org
Source de cette page: http://www.maria-valtorta.org/ValtortaWeb/MariaValtorta14.htm
#Valtorta
Dernière édition par Emmanuel le Jeu 11 Déc 2014 - 6:09, édité 1 fois
Re: Les merveilleux volumes de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
Préface
de Mgr de Cazenave
Secrétaire du Synode Syro-francophone
Secrétaire du Synode Syro-francophone
Notre temps, comme jamais, foisonne de livres ! Une liste en serait vite faite des causes qu’ils défendent, les meilleures comme les pires, toujours par l’expression d’une pensée qui se communique dans la parole gravée, pour la transmettre à d’autres et convaincre que ce que l’on partage est important pour l’auteur et le lecteur. L’enjeu pour l’auteur ici est clairement apologétique : démontrer scientifiquement qu’une œuvre est inspirée de Dieu, que ce Dieu est celui de la Révélation chrétienne, et que cette Révélation chrétienne s’adresse aujourd’hui à nos contemporains pour leur délivrer un message important dont l’Église Catholique devrait tenir grand cas puisque c’est un charisme qui a maintes fois accompagné et éclairé sa propre histoire.
Ce livre à plus d’un titre est admirable car il se penche avec circonspection, scientifiquement, sur une des grandes énigmes trop méconnue de notre temps : le cas de Maria Valtorta, probablement la plus grande visionnaire de l’histoire du Christianisme ! Les conséquences en sont considérables parce que l’éclairage fondamental qu’apporte Jean-François Lavère dans cet ouvrage repose sur des faits objectifs qui sont accessibles à la science exacte liée aux plus récentes découvertes, essentiellement archéologiques. Pour le lecteur les conclusions parleront d’elles-mêmes !
Ce travail remarquable n’aurait pu se faire cinquante ans auparavant. Maria Valtorta meurt en 1961 et l’Évangile tel qu’il m’a été révélé lui est ‘inspiré’ pendant les années les plus noires de la guerre. Le pape Pie XII, Souverain Pontife régnant à l’époque émet sur cette publication un discernement positif: « Publiez l’œuvre telle quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non, ceux qui liront comprendront ». La parole d’un Pape n’est pas sans valeur et repose sur le sentiment que le Pontife fait partager à ses contemporains que ce texte est orthodoxe. Pie XII, mieux que personne, est le garant que l’œuvre ne trahit en rien les Évangiles Canoniques et le Magistère de l’Église Catholique, il conseille donc cette lecture... Pie XII toutefois, prudent comme il sied à ses fonctions, précise : « Il n’y a pas lieu de donner son opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non » Le Saint Père ne dispose pas alors de l’outil d’analyse objectif qui lui permettrait d’affirmer l’origine surnaturelle de l’œuvre, toutefois il ne ferme pas la porte pour autant à cette hypothèse et pousse même dans un sens révélateur de son sentiment intime : « ceux qui liront comprendront » !
Aujourd’hui les choses ont bien changé. La science a progressé d’une manière incroyable en un demi-siècle et l’ordinateur a bouleversé la recherche dans tous les domaines, unifiant le savoir, classifiant, coordonnant les données d’analyse, ce qui a permis d’immenses progrès notamment pour les phénomènes qui nous concernent ici : l’archéologie et l’astronomie. Depuis cinquante ans, disons depuis la fin de la dernière (sic !) guerre, l’état d’Israël a encouragé des fouilles tout- azimuts sur la plupart des sites juifs et chrétiens de son territoire, celui précisément que Jésus et ses apôtres ont foulé voici deux mille ans. Une connaissance beaucoup plus avancée qu’il y a cinquante ans en a émergé, nous donnant une multitude de lieux et de contextes nouveaux et précis du mode de vie de ce que les spécialistes appellent l’Antiquité Tardive.
C’est ce qui fait précisément la force du prodigieux et patient travail de Jean-François Lavère. Ce dernier en effet met en évidence une étonnante concordance entre les découvertes récentes de la science et les descriptions visionnaires de Maria Valtorta qui s’étendent sur des milliers de pages, sans ratures, sans contradictions et dans une unité de temps et de lieux démontrés par des recherches très rigoureuses. Tout cela il y a un demi-siècle : du fond d’un lit de souffrance, sans documentation et sans lien avec une communauté scientifique, cette femme ‘voit’ en direct et en quelque sorte en raccourci, décrivant ce que quelques savants bien plus tard déduisent laborieusement d’un donné archéologique vieux de deux mille ans ! Des noms de villages en araméen, des cités et des monuments disparus puis aujourd’hui retrouvés, une connaissance d’usages et de coutumes, des décors, des costumes….tout un contexte dont l’auteur de cet ouvrage démontre amplement que ce tour de force est impossible si on ne laisse une place à ce qui est affirmé par la ‘voyante’ elle-même : c’est Dieu qui lui montre, c’est Jésus qui lui dicte les enseignements qui accompagnent en les illustrant les Évangiles sans jamais les trahir, dans leur contexte culturel et avec souvent une émouvante poésie consacrant l’union du Vrai du Bien et du Beau qui surgit du Christ comme une eau de sa source.
On voit nettement que le bémol de Pie XII : « il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non » n’a plus lieu d’être cinquante ans après : cette œuvre est d’origine extraordinaire sans quoi elle est tout bonnement inexplicable et même impensable pour l’objectivité scientifique. Étonnant en effet de constater que la science puisse être si rigoureuse que pour rester logique elle se doive, si elle veut rester honnête, de poser comme hypothèse l’existence d’une origine surnaturelle à un enchaînement de phénomènes où la loi de causalité qui fonde toute science est non pas remise en cause mais prise en défaut par les faits même qu’elle analyse. Tout miracle entre dans ce genre de processus. Pour le cas Maria Valtorta, après lecture de cet ouvrage brillant, la science qui est l’outil d’autant plus performant qu’il fait surgir des faits nouveaux méconnus depuis deux mille ans se voit non pas noyée dans des subtilités épistémologiques mais confrontée à une contradiction brutale avec sa propre expérience : Comment cette femme simple a-t-elle pu connaître ce qui était enterré depuis deux mille ans et qui resurgit un demi-siècle après elle !
Cette véritable énigme rejoint dans ce domaine deux autres grandes énigmes de l’histoire chrétienne l’une relative au Christ lui-même et l’autre à la Sainte Vierge, sa Mère. Je veux parler du Saint Suaire de Turin et de ‘la Tilma’ de Notre Dame de la Guadalupe. Là encore il a fallu attendre notre époque, l’outil et la rigueur scientifiques pour buter sur des faits extrêmement résistants à la logique des phénomènes. La science s’épuise à affiner l’analyse des faits et plus elle avance, plus elle bute sur sa propre contradiction dans l’exigence de sa propre logique. Il vient un moment où pour échapper à l’absurde, il faut bien placer l’hypothèse du surnaturel et le sens du surgissement de celui-ci dans le champ de l’expérience.
Oui, notre époque est fascinante et complexe ! Le développement des sciences et des technologies nous a amené le meilleur mais aussi le pire, le bien-être mais aussi l’oubli de Dieu qu’il engendre bien souvent. On a même dit en Occident que ‘Dieu était mort’… Bien des églises se sont vidées… L’influence chrétienne a été pas à pas marginalisée par un certain humanisme coupé de ses racines évangéliques. Et pourtant demeurent les grandes énigmes du Christianisme avec toute la force d’une Providence Divine qui accompagne le peuple des croyants : Le Saint Suaire de Turin ne prouve pas la Résurrection du Christ Jésus mais il résiste toujours à l’investigation scientifique de plus en plus pointue comme un point d’interrogation permanent postulant un ‘espace’, un ‘au-delà’, qui fait de cette relique prestigieuse un témoin acceptable pour fortifier la foi chrétienne à la face du Monde. La Tilma de N.D. de Guadalupe témoigne aussi pour nous, grâce à la science contemporaine incapable d’expliquer des phénomènes qui lui résistent comme un mur infranchissable pour son analyse, que la Mère de Jésus est légitimement la Mère des Saints et des pêcheurs. Marie sera probablement un jour reconnue comme co-rédemptrice des hommes par la grâce de son Fils, elle est investie dans le cadre de la communion des Saints d’une mission particulière à la fin des temps comme l’annonce Saint Jean dans son Apocalypse.
Quant à « l’énigme », la troisième, celle de Maria Valtorta, toujours pour notre époque, cinquante ans après sa mort elle restera une énigme pour la science, témoignant du Surnaturel qui a suscité cette œuvre magistrale pour nous. Oui pour nous qui attendons le Retour du Christ dans les temps difficiles qui doivent le précéder, où « la foi du grand nombre se refroidira », où doit venir un temps de persécutions prédit par de nombreux prophètes. Ce témoignage d’une âme simple et humble nous est offert comme un voyage vingt siècles en arrière, afin de nous permettre de retrouver les racines de notre foi sur les traces de Celui qui a marché sur la terre et les eaux et qui aujourd’hui encore chemine sur nos pas, toujours Vivant, toujours là, Jésus de Nazareth, le Messie, fils de David et Sauveur des hommes.
Qu’il me soit encore permis d’évoquer en dernier le jugement de Padre Pio, lui-même de son vivant témoin miraculeux du Christ qu’il portait en lui. Ce Saint n’avait pas besoin de la science ni des avancées technologiques pour conseiller à ses dirigés à propos de l’Évangile tel qu’il m’a été révélé : « vous ne pouvez pas, vous devez le lire » ! Eclairé par l’Esprit Saint, aurait-t-il pu conseiller la lecture d’une œuvre qui ne venait pas de Dieu ? Et si elle vient de Dieu, son ‘instrument’ ne devrait-t-il pas être attentivement et rapidement examiné par l’Église comme étant un authentique témoin de Jésus ? L’Église ne devrait-t-elle pas être le relais privilégié de la Parole du Christ qui continue de s’incarner encore à notre époque inquiète, en manifestant sa sollicitude dans les charismes ? Alors que le Pape Benoît XVI demandait dernièrement aux chrétiens de retrouver l’esprit du christianisme de la Primitive Église, paraîtrait-t-il déraisonnable de le faire aussi à travers l’œuvre de Maria Valtorta quand on sait que celle-ci a été commandée par Paul VI pour la bibliothèque du Vatican et que le cardinal Stanislas Dziwisz témoigne qu’il a souvent vu un des volumes de l’Évangile tel qu’il m’a été révélé sur la table de chevet du saint Pape Jean-Paul II ?
En tout cas, grand merci à Jean François Lavère pour ce labeur considérable qui a mis en avant la fiabilité des ‘révélations’ de Maria Valtorta. Grâce à ce travail indispensable leur origine surnaturelle apparaît ici légitimement établie, faisant suite à l’analyse de grands théologiens comme Mgr Roschini qui ont manifesté leur parfaite orthodoxie. Quant aux fruits, qui selon la Sainte Écriture permettent de juger l’arbre, ils sont nombreux et de qualité, reçus par ceux qui témoignent avoir mieux compris l’Amour du Christ et bénéficié de multiples grâces au contact de cette œuvre si évidemment inspirée… qu’elle conduit vers une authentique spiritualité où resurgit - la Vraie Tradition - insufflée par le Seigneur à ses premiers disciples et qu’il nous faut absolument retrouver quand l’ivraie menace d’étouffer le bon grain ! De nombreux saints ont annoncé un renouveau à venir : retour à une Église pauvre, modeste et vertueuse manifestant une vraie unité loin des querelles navrantes issues de la nostalgie ou de la répulsion à l’église de nos grand-mères ! Le Christ s’est manifesté à Maria Valtorta non pour nous inviter à une curieuse promenade touristique mais bien pour nous montrer la voie de ce renouveau !
En ce mercredi des Cendres 2012,
+ Mgr Johanan-Mariam
Ce livre à plus d’un titre est admirable car il se penche avec circonspection, scientifiquement, sur une des grandes énigmes trop méconnue de notre temps : le cas de Maria Valtorta, probablement la plus grande visionnaire de l’histoire du Christianisme ! Les conséquences en sont considérables parce que l’éclairage fondamental qu’apporte Jean-François Lavère dans cet ouvrage repose sur des faits objectifs qui sont accessibles à la science exacte liée aux plus récentes découvertes, essentiellement archéologiques. Pour le lecteur les conclusions parleront d’elles-mêmes !
Ce travail remarquable n’aurait pu se faire cinquante ans auparavant. Maria Valtorta meurt en 1961 et l’Évangile tel qu’il m’a été révélé lui est ‘inspiré’ pendant les années les plus noires de la guerre. Le pape Pie XII, Souverain Pontife régnant à l’époque émet sur cette publication un discernement positif: « Publiez l’œuvre telle quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non, ceux qui liront comprendront ». La parole d’un Pape n’est pas sans valeur et repose sur le sentiment que le Pontife fait partager à ses contemporains que ce texte est orthodoxe. Pie XII, mieux que personne, est le garant que l’œuvre ne trahit en rien les Évangiles Canoniques et le Magistère de l’Église Catholique, il conseille donc cette lecture... Pie XII toutefois, prudent comme il sied à ses fonctions, précise : « Il n’y a pas lieu de donner son opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non » Le Saint Père ne dispose pas alors de l’outil d’analyse objectif qui lui permettrait d’affirmer l’origine surnaturelle de l’œuvre, toutefois il ne ferme pas la porte pour autant à cette hypothèse et pousse même dans un sens révélateur de son sentiment intime : « ceux qui liront comprendront » !
Aujourd’hui les choses ont bien changé. La science a progressé d’une manière incroyable en un demi-siècle et l’ordinateur a bouleversé la recherche dans tous les domaines, unifiant le savoir, classifiant, coordonnant les données d’analyse, ce qui a permis d’immenses progrès notamment pour les phénomènes qui nous concernent ici : l’archéologie et l’astronomie. Depuis cinquante ans, disons depuis la fin de la dernière (sic !) guerre, l’état d’Israël a encouragé des fouilles tout- azimuts sur la plupart des sites juifs et chrétiens de son territoire, celui précisément que Jésus et ses apôtres ont foulé voici deux mille ans. Une connaissance beaucoup plus avancée qu’il y a cinquante ans en a émergé, nous donnant une multitude de lieux et de contextes nouveaux et précis du mode de vie de ce que les spécialistes appellent l’Antiquité Tardive.
C’est ce qui fait précisément la force du prodigieux et patient travail de Jean-François Lavère. Ce dernier en effet met en évidence une étonnante concordance entre les découvertes récentes de la science et les descriptions visionnaires de Maria Valtorta qui s’étendent sur des milliers de pages, sans ratures, sans contradictions et dans une unité de temps et de lieux démontrés par des recherches très rigoureuses. Tout cela il y a un demi-siècle : du fond d’un lit de souffrance, sans documentation et sans lien avec une communauté scientifique, cette femme ‘voit’ en direct et en quelque sorte en raccourci, décrivant ce que quelques savants bien plus tard déduisent laborieusement d’un donné archéologique vieux de deux mille ans ! Des noms de villages en araméen, des cités et des monuments disparus puis aujourd’hui retrouvés, une connaissance d’usages et de coutumes, des décors, des costumes….tout un contexte dont l’auteur de cet ouvrage démontre amplement que ce tour de force est impossible si on ne laisse une place à ce qui est affirmé par la ‘voyante’ elle-même : c’est Dieu qui lui montre, c’est Jésus qui lui dicte les enseignements qui accompagnent en les illustrant les Évangiles sans jamais les trahir, dans leur contexte culturel et avec souvent une émouvante poésie consacrant l’union du Vrai du Bien et du Beau qui surgit du Christ comme une eau de sa source.
On voit nettement que le bémol de Pie XII : « il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non » n’a plus lieu d’être cinquante ans après : cette œuvre est d’origine extraordinaire sans quoi elle est tout bonnement inexplicable et même impensable pour l’objectivité scientifique. Étonnant en effet de constater que la science puisse être si rigoureuse que pour rester logique elle se doive, si elle veut rester honnête, de poser comme hypothèse l’existence d’une origine surnaturelle à un enchaînement de phénomènes où la loi de causalité qui fonde toute science est non pas remise en cause mais prise en défaut par les faits même qu’elle analyse. Tout miracle entre dans ce genre de processus. Pour le cas Maria Valtorta, après lecture de cet ouvrage brillant, la science qui est l’outil d’autant plus performant qu’il fait surgir des faits nouveaux méconnus depuis deux mille ans se voit non pas noyée dans des subtilités épistémologiques mais confrontée à une contradiction brutale avec sa propre expérience : Comment cette femme simple a-t-elle pu connaître ce qui était enterré depuis deux mille ans et qui resurgit un demi-siècle après elle !
Cette véritable énigme rejoint dans ce domaine deux autres grandes énigmes de l’histoire chrétienne l’une relative au Christ lui-même et l’autre à la Sainte Vierge, sa Mère. Je veux parler du Saint Suaire de Turin et de ‘la Tilma’ de Notre Dame de la Guadalupe. Là encore il a fallu attendre notre époque, l’outil et la rigueur scientifiques pour buter sur des faits extrêmement résistants à la logique des phénomènes. La science s’épuise à affiner l’analyse des faits et plus elle avance, plus elle bute sur sa propre contradiction dans l’exigence de sa propre logique. Il vient un moment où pour échapper à l’absurde, il faut bien placer l’hypothèse du surnaturel et le sens du surgissement de celui-ci dans le champ de l’expérience.
Oui, notre époque est fascinante et complexe ! Le développement des sciences et des technologies nous a amené le meilleur mais aussi le pire, le bien-être mais aussi l’oubli de Dieu qu’il engendre bien souvent. On a même dit en Occident que ‘Dieu était mort’… Bien des églises se sont vidées… L’influence chrétienne a été pas à pas marginalisée par un certain humanisme coupé de ses racines évangéliques. Et pourtant demeurent les grandes énigmes du Christianisme avec toute la force d’une Providence Divine qui accompagne le peuple des croyants : Le Saint Suaire de Turin ne prouve pas la Résurrection du Christ Jésus mais il résiste toujours à l’investigation scientifique de plus en plus pointue comme un point d’interrogation permanent postulant un ‘espace’, un ‘au-delà’, qui fait de cette relique prestigieuse un témoin acceptable pour fortifier la foi chrétienne à la face du Monde. La Tilma de N.D. de Guadalupe témoigne aussi pour nous, grâce à la science contemporaine incapable d’expliquer des phénomènes qui lui résistent comme un mur infranchissable pour son analyse, que la Mère de Jésus est légitimement la Mère des Saints et des pêcheurs. Marie sera probablement un jour reconnue comme co-rédemptrice des hommes par la grâce de son Fils, elle est investie dans le cadre de la communion des Saints d’une mission particulière à la fin des temps comme l’annonce Saint Jean dans son Apocalypse.
Quant à « l’énigme », la troisième, celle de Maria Valtorta, toujours pour notre époque, cinquante ans après sa mort elle restera une énigme pour la science, témoignant du Surnaturel qui a suscité cette œuvre magistrale pour nous. Oui pour nous qui attendons le Retour du Christ dans les temps difficiles qui doivent le précéder, où « la foi du grand nombre se refroidira », où doit venir un temps de persécutions prédit par de nombreux prophètes. Ce témoignage d’une âme simple et humble nous est offert comme un voyage vingt siècles en arrière, afin de nous permettre de retrouver les racines de notre foi sur les traces de Celui qui a marché sur la terre et les eaux et qui aujourd’hui encore chemine sur nos pas, toujours Vivant, toujours là, Jésus de Nazareth, le Messie, fils de David et Sauveur des hommes.
Qu’il me soit encore permis d’évoquer en dernier le jugement de Padre Pio, lui-même de son vivant témoin miraculeux du Christ qu’il portait en lui. Ce Saint n’avait pas besoin de la science ni des avancées technologiques pour conseiller à ses dirigés à propos de l’Évangile tel qu’il m’a été révélé : « vous ne pouvez pas, vous devez le lire » ! Eclairé par l’Esprit Saint, aurait-t-il pu conseiller la lecture d’une œuvre qui ne venait pas de Dieu ? Et si elle vient de Dieu, son ‘instrument’ ne devrait-t-il pas être attentivement et rapidement examiné par l’Église comme étant un authentique témoin de Jésus ? L’Église ne devrait-t-elle pas être le relais privilégié de la Parole du Christ qui continue de s’incarner encore à notre époque inquiète, en manifestant sa sollicitude dans les charismes ? Alors que le Pape Benoît XVI demandait dernièrement aux chrétiens de retrouver l’esprit du christianisme de la Primitive Église, paraîtrait-t-il déraisonnable de le faire aussi à travers l’œuvre de Maria Valtorta quand on sait que celle-ci a été commandée par Paul VI pour la bibliothèque du Vatican et que le cardinal Stanislas Dziwisz témoigne qu’il a souvent vu un des volumes de l’Évangile tel qu’il m’a été révélé sur la table de chevet du saint Pape Jean-Paul II ?
En tout cas, grand merci à Jean François Lavère pour ce labeur considérable qui a mis en avant la fiabilité des ‘révélations’ de Maria Valtorta. Grâce à ce travail indispensable leur origine surnaturelle apparaît ici légitimement établie, faisant suite à l’analyse de grands théologiens comme Mgr Roschini qui ont manifesté leur parfaite orthodoxie. Quant aux fruits, qui selon la Sainte Écriture permettent de juger l’arbre, ils sont nombreux et de qualité, reçus par ceux qui témoignent avoir mieux compris l’Amour du Christ et bénéficié de multiples grâces au contact de cette œuvre si évidemment inspirée… qu’elle conduit vers une authentique spiritualité où resurgit - la Vraie Tradition - insufflée par le Seigneur à ses premiers disciples et qu’il nous faut absolument retrouver quand l’ivraie menace d’étouffer le bon grain ! De nombreux saints ont annoncé un renouveau à venir : retour à une Église pauvre, modeste et vertueuse manifestant une vraie unité loin des querelles navrantes issues de la nostalgie ou de la répulsion à l’église de nos grand-mères ! Le Christ s’est manifesté à Maria Valtorta non pour nous inviter à une curieuse promenade touristique mais bien pour nous montrer la voie de ce renouveau !
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