Enigme théologique...
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maria grazia
Nicolas77
Charles-Edouard
7 participants
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Enigme théologique...
Voici une énigme théologique trouverez-vous?
Et si vous avez trouver, sauriez vous expliquez chacune des phrases?
Il fut tout séraphique en son ardeur
Entre le Tupino et l'eau qui descend de la colline élue par le bienheureux Ubaldo, une pente fertile dévale d'une haute montagne, d’où Pérouse sent le chaud et le froid, vers la porte Sole.
D'une côte, là ou elle rompt sa penté, naquit au monde un soleil, comme du Gange fait parfois celui-ci.
Ce soleil n'était pas encore bien loin de son lever qu'il commença à faire sentir à la terre quelque réconfort de sa grande vertu, car tout jeune il courut en guerre contre son père, pour cette dame à qui, comme à la mort, nul n'ouvre volontiers la porte du plaisir; et devant sa cour spirituelle, et devant son père; il s'unit à elle; puis de jour en jour il l'aima plus fort.
Celle-ci, privée de son premier Époux, onze cents ans et plus, dédaignée et oubliée, était jusqu'à lui restée sans invitation.
Egidio se déchausse, Silvestro se déchausse après l’époux, tant l'épouse leur plaît.
Puis s'en va ce père et ce maître avec sa dame et avec cette famille que déjà liait l'humble cordon.
Jamais lâcheté du cœur ne lui fit baisser les yeux, ni d'être fils de Pietro, ni de paraître méprisable à merveille.
mais royalement il exposa sa dure intention, et il obtint le premier sceau...
Puis lorsque la pauvre gent se fut accrue, sur les pas de celui dont l'admirable vie serait mieux chantée dans la gloire du ciel, la sainte volonté de cet archimandrite fut ceinte d'une seconde couronne par Honorius qu'inspirait l'Esprit Saint.
Après que la soif du martyre, en l'orgeilleuse présence du Soudan, il eut préché le Christ et ceux qui le suivirent,
ayant trouvé cette gent trop dure à convertir, pour ne pas demeurer là-bas inutilement, il revint cueillir l'herbe de son pays.
Sur le dur rocher, il reçut le sceau suprême pendant deux ans.
Puis il recommanda sa dame la plus chère et il leur commanda de l'aimer fidèlement;
et de son sein l'âme glorieuse voulut s'envoler, retournant à son royaume, et pour son corps elle ne voulut pas d'autre bière.
Et si vous avez trouver, sauriez vous expliquez chacune des phrases?
Il fut tout séraphique en son ardeur
Entre le Tupino et l'eau qui descend de la colline élue par le bienheureux Ubaldo, une pente fertile dévale d'une haute montagne, d’où Pérouse sent le chaud et le froid, vers la porte Sole.
D'une côte, là ou elle rompt sa penté, naquit au monde un soleil, comme du Gange fait parfois celui-ci.
Ce soleil n'était pas encore bien loin de son lever qu'il commença à faire sentir à la terre quelque réconfort de sa grande vertu, car tout jeune il courut en guerre contre son père, pour cette dame à qui, comme à la mort, nul n'ouvre volontiers la porte du plaisir; et devant sa cour spirituelle, et devant son père; il s'unit à elle; puis de jour en jour il l'aima plus fort.
Celle-ci, privée de son premier Époux, onze cents ans et plus, dédaignée et oubliée, était jusqu'à lui restée sans invitation.
Egidio se déchausse, Silvestro se déchausse après l’époux, tant l'épouse leur plaît.
Puis s'en va ce père et ce maître avec sa dame et avec cette famille que déjà liait l'humble cordon.
Jamais lâcheté du cœur ne lui fit baisser les yeux, ni d'être fils de Pietro, ni de paraître méprisable à merveille.
mais royalement il exposa sa dure intention, et il obtint le premier sceau...
Puis lorsque la pauvre gent se fut accrue, sur les pas de celui dont l'admirable vie serait mieux chantée dans la gloire du ciel, la sainte volonté de cet archimandrite fut ceinte d'une seconde couronne par Honorius qu'inspirait l'Esprit Saint.
Après que la soif du martyre, en l'orgeilleuse présence du Soudan, il eut préché le Christ et ceux qui le suivirent,
ayant trouvé cette gent trop dure à convertir, pour ne pas demeurer là-bas inutilement, il revint cueillir l'herbe de son pays.
Sur le dur rocher, il reçut le sceau suprême pendant deux ans.
Puis il recommanda sa dame la plus chère et il leur commanda de l'aimer fidèlement;
et de son sein l'âme glorieuse voulut s'envoler, retournant à son royaume, et pour son corps elle ne voulut pas d'autre bière.
Re: Enigme théologique...
c'est un st qu'il faut trouver ? si oui ne serait ce pas st françois d'assise ?
Nicolas77- Contemplatif
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Re: Enigme théologique...
pour moi aussi, il s'agit de saint Francois d'Assise
maria grazia- Débutant
- Messages : 1
Inscription : 05/04/2011
Re: Enigme théologique...
Il s'agit de St François d'Assise qui épousa dame Pauvreté contre son père et qui voulut convertir le Sultan.
Cela me fait penser à ce qu'écrivait Jean de Viguerie en 1992 pour le Centre Montauriol, écrit toujours d'une brûlante actualité:
Cela me fait penser à ce qu'écrivait Jean de Viguerie en 1992 pour le Centre Montauriol, écrit toujours d'une brûlante actualité:
L’islam est actuellement et sera encore longtemps, la deuxième religion en France. Espèrons seulement qu’elle ne devienne pas un jour la première. Dans ses Actuelles III, Albert Camus écrivait : « …en Algérie, Français et Arabes sont condamnés a vivre et à mourir ensemble ». Nous dirons qu’aujourd’hui en France, Français de souche et musulmans sont condamnés — le mot est approprié — à vivre et à mourir ensemble.
C’est pourquoi — je ne crains pas de me répéter — nous sommes dans l’obligation de bien connaître cette religion, de bien prendre conscience de sa force de séduction et de l’influence qu’elle peut exercer sur nos compatriotes. Nous devons nous tenir en garde contre le prosélytisme musulman, et ne jamais oublier que « chaque musulman est un missionnaire de l’islam » (Naispaul). Nous devons savoir que certains rites superstitieux de l’islam — car si l’islam est vraiment une religion, son culte est souvent imprégné de superstition — exerçant une sorte de fascination sur un grand nombre de Français déchristianisés, ne peuvent qu’aggraver la dégradation des croyances et augmenter l’éloignement vis-à-vis de la religion du vrai Dieu. Je pense surtout aux interdits alimentaires et aux règles vestimentaires. Car la superstition est contagieuse et abaisse l’âme. Elle est le contraire de la religion. La présence islamique peut avoir également une influence néfaste sur les mœurs. Je pense ici à la polygamie, à la répudiation et au mariage pubertaire. Ces usages ne me paraissent pas de nature à favoriser une éventuelle restauration du respect de la femme. Je pense à l’enfermement des femmes, cet enfermement que l’islam, selon Jean-Claude Barreau, aurait poussé plus loin que toute autre civilisation. Je pense enfin à cet érotisme, dont tous les orientalistes ont souligné la force. L’un d’eux (Raymond Charles) écrivait en 1959 : « La pudibonderie qui proscrit les attitudes équivoques en public, et prohibe la nudité, fut-ce du seul visage, ne doit pas nous donner le change : la crudité des prescriptions sacrées, obscénité des propos tenus même devant les jeune enfants et surtout la part des mobiles dits “passionnels” dans les statistiques criminelles musulmanes, sont suffisamment édifiantes ».
Tout cela ne doit pas nous empêcher de respecter dans l’islam sinon une « grande religion », du moins une religion digne de ce nom, c’est-à-dire la religion d’un Dieu unique, transcendant, éternel, incréé, créateur, maître des vies et des destins. Le culte de l’islam est parfois entaché de superstition, mais sa croyance est pure. Certes son Dieu reste lointain. Il ne vient pas comme le nôtre à la rencontre des hommes ; il n’est pas avec nous ; mais il est Dieu. Au milieu d’un monde qui oublie Dieu, les disciples de Mohammed professent publiquement leur foi par les cinq prières quotidiennes. Ils se prosternent la face contre terre et répètent que « Dieu est unique et que Mahomet est l’envoyé de Dieu ».
Nous ne devons pas pour autant renier le combat séculaire de la Croix contre le Croissant. Nous serions bien misérables de renier le zèle religieux des Croisés. Il s’agissait pour eux de légitime défense. Il s’agissait de se défendre contre le “djihad”, c’est-à-dire contre la propagande de l’islam par les armes. Il s’agissait surtout d’empêcher les blasphèmes et les sacrilèges outrageant la Croix. Les Croisés prenaient la croix,ils témoignaient de la croix. Pressant les chevaliers de son royaume de le suivre à la croisade, le roi Saint Louis les exhortait en ces termes : « Nous vous invitons tous a servir celui qui vous servit sur la croix, en répandant son sang pour votre salut ; car cette nation criminelle, outre les blasphèmes qu’elle vomissait en présence du peuple chrétien contre le Créateur, battait de verges la Croix, crachait dessus, et la foulait aux pieds en haine de la foi chrétienne. Courage donc soldats du Christ... ». Nous ne devons pas non plus renoncer à la conversion des musulmans. Je ne vois pas pourquoi nous y renoncerions et qui pourrait nous obliger à y renoncer, et au nom de quoi. D’abord, s’il est permis à l’islam de faire des adeptes parmi nous, pourquoi serait-il interdit aux chrétiens de faire des convertis parmi eux ? Ensuite respecter l’islam ne veut pas dire que l’on renonce à le convertir, à la condition bien sûr que les conversions soient parfaitement libres. Le premier droit de l’homme est d’aller à la Vérité. Ne vaut-il pas mieux convertir les musulmans à la religion du Christ, mort pour eux comme pour nous, que d’essayer — à la manière des intellectuels spécialistes de l’intégration — de remplacer leur Dieu unique et transcendant par un Dieu moderniste et accommodant, par un Dieu adapte aux « valeurs de la modernité » ?
Certains disent que l’islam est inconvertissable. Je reconnais que le christianisme a eu jusqu’ici peu de prise sur lui. J’admets que dans le passé les conversions furent peu nombreuses ou superficielles. L’Eglise doit-elle pour autant y renoncer ? Il faut se rappeler que la conversion des Infidèles a été la grande pensée de Saint François d’Assise, et qu’elle a eté la première pensée de Saint Ignace de Loyola. Sans doute, faut-il aussi se bien persuader que l’évangélisation des musulmans est un apostolat nécessairement héroïque, et que ses apôtres sont voues au martyre. Il faudrait méditer l’exemple du théologien espagnol, Raymond Lulle, martyrisé en 1315 pour avoir osé prêcher publiquement l’Evangile dans les rues d’une ville musulmane. Ce sacrifice eut lieu à Bougie, au Maghreb, ville où Lulle venait pour la deuxième fois. Lors de sa première mission, neuf ans plus tôt, il s’était mis à crier sur les places et dans les rues que la loi de Mahomet était fausse. On l’avait expulsé. Mais il voulait le martyre, il voulait selon son expression « les vêtements vermeils de l’Ami ». Il revint donc, tint les mêmes discours et cette fois fut condamné à la lapidation. Il avait 84 ans. Celui qui ferait cela aujourd’hui, serait qualifie par les chrétiens eux-mêmes de provocateur. Mais Lulle n’était pas un provocateur. C’était un apôtre. L’Eglise l’a élevé au nombre de ses saints.
Il serait temps de nous souvenir de notre devoir de charité à l’égard des musulmans qui vivent chez nous. Nous devons témoigner auprès d’eux de ce qui fait l’essentiel de notre religion, l’Amour de Dieu pour les hommes.
Ce témoignage peut être rendu par la Croix ou par l’Eucharistie. Saint François d’Assise avait choisi la Croix. Ayant quitte le camp, où il se trouvait alors, de la Cinquième Croisade, pour aller parler dans le camp adverse au souverain musulman Al Malik al Kamil, il avait proposé à ce prince de faire devant lui l’épreuve du feu (c’est-à-dire de mettre sa main au milieu des flammes) afin de prouver la divinité du Christ. Cette épreuve n’eut pas lieu, le prince ayant refusé. Mais de retour à l’Alverne, Saint François fut favorisé de la grâce des stigmates. Une interprétation moderne de ce phénomène veut que le saint ait ainsi accompli en vérité le voeu qui l’avait porté vers le souverain musulman, et qu’en recevant de l’Ange les marques l’assimilant au Crucifié, il ait réalisé dans sa chair ce qui manquait au témoignage rendu par le Christ vis-à-vis de l’islam.
Charles de Foucauld, lui, avait choisi l’Eucharistie. Dans ses ermitages perdus au milieu de la terre d’islam, à Beni Abbès et à Tamanrasset, il célébrait tous les jours la Messe et adorait perpétuellement le Saint Sacrement. Par sa vie très pauvre et par sa disponibilité totale aux plus humbles, il se rendait semblable au Dieu caché dans le tabernacle. Aujourd’hui, les Fraternités des Petits Frères de Jéus et des Petites Soeurs suivent l’exemple du Père de Foucauld. Dans leurs pauvres logements de fortune, une pièce est toujours consacrée à la Présence Réelle : le Saint Sacrement y est conservé et continuellement adoré. D’autres religieux, d’autres prêtres ont été témoins eucharistiques en terre d’islam. Par exemple ce missionnaire, le Père Albert Peyriguière, qui passa trente années dans l’Atlas marocain, vivant en ermite au milieu des Berbères, et qui était lui aussi un adorateur du Saint Sacrement.
Pourquoi l’apostolat auprès des musulmans de France ne prendrait- il pas cette double forme érémitique et eucharistique ? Des « marabouts chrétiens » - c’était le nom que les Touareg donnaient au Père de Foucauld - iraient au milieu des quartiers musulmans de nos villes, pour y vivre en pieux solitaires, disant la Messe, adorant nuit et jour le Saint Sacrement, servant les pauvres, silencieux et recueillis, mais toujours disponibles, « sacerdoce sans peuple pour un peuple sans sacerdoce ». Ils ne seraient pas au désert comme le Père de Foucauld, mais ils seraient seuls et leur condition serait désertique. Et la solitude de ces tabernacles perdus au milieu des médinas de France serait analogue à celle des tentes au milieu du désert. Ces ermitages seraient acceptés. On sait que si la Croix scandalise les musulmans, l’Eucharistie ne les choque pas. Ils pourraient même en être touchés. Ils comprendraient alors que Dieu s’est livre pour eux. Ils verraient ce que leur religion ne leur fait pas voir, mais à quoi ils ne peuvent pas ne pas aspirer, ayant une si haute idée de la grandeur de Dieu. « Le christianisme, a-t-on écrit, est d’autant plus intérieur à l’islam qu’il est à la fine pointe de son espérance ».
Pendant le temps de notre civilisation au Maghreb, nous avons communiqué aux populations de ces pays beaucoup de nos biens. Nous leur avons apporté la paix civile, nous les avons libérés de l’esclavage, nous leur avons souvent donné le pain quotidien qui leur manquait. Enfin, nous leur avons ouvert de façon libérale ou parcimonieuse selon les cas, l’accès à notre culture, à nos savoirs. Mais du meilleur de nos biens, c’est-à-dire notre foi, nous nous sommes interdit de leur faire part. Nous nous sommes interdit — ou plutôt nos gouvernements successifs nous l’ont interdit — afin de ne pas heurter l’islam. Il y a donc eu bien peu de conversions. Ensuite, nous avons quitte ce pays. Ce fut la décolonisation. Nous pensions que ces gens-là seraient contents d’être débarrassés de nous. Mais voilà que, passant la mer par centaines de milliers, ils sont venus nous rejoindre, nous poursuivant en quelque sorte et manifestant clairement leur intention de vivre avec nous. Cela est loin de nous réjouir, mais a certainement un sens dans l’ordre providentiel. Ce sens, je l’ignore, et ne puis le décrypter n’ayant pas l’inspiration d’un Bossuet. Mais je me demande si ces maghrébins ne viennent pas nous réclamer à domicile ce que nous n’avons pas su leur apporter chez eux, c’est-à-dire le meilleur de nos biens, c’est-à-dire notre foi. Je me demande s’il n’y a pas dans ce nouveau rapprochement de nos peuples, dans ce rapprochement qui nous est imposé, dans cette cohabitation parfois si pénible et si douloureuse, comme une invitation à donner à nouveau, et a donner mieux et plus généreusement que nous ne l’avons fait autrefois.
Mais, s’il y a vraiment une telle invitation, il faut avouer qu’elle est effrayante. Car elle vient à un moment où nous sommes tragiquement démunis pour y répondre. Au temps de la colonisation, il existait encore une France et une chrétienté en France. Aujourd’hui, la France existe à peine et la déchristianisation est profonde. Comment pourrons-nous répondre à cet appel ?
Il n’empêche que ces musulmans sont devenus nos prochains. Ils le sont devenus bien malgré nous. Ils le resteront peut-être longtemps. La prudence politique la plus élémentaire veut que l’on s’attache à stopper ce flux migratoire si dangereux pour la paix civile. Mais tant qu’ils sont chez nous, tâchons de leur donner ce que nous avons de meilleur, autant qu’il dépend de nous.
Grosjean- PRETRE
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Re: Enigme théologique...
Je pense aussi à St François d'Assise....cela était assez facile ..
il faut maintenant chercher pour trouver des réponses aux phrases
Pas facile ...et il faut du temps ..que je n'ai pas spécialement cet après-midi ...donc je crois que je vais me faire" coiffer au poteau...!!"
il faut maintenant chercher pour trouver des réponses aux phrases
Pas facile ...et il faut du temps ..que je n'ai pas spécialement cet après-midi ...donc je crois que je vais me faire" coiffer au poteau...!!"
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Inscription : 16/01/2010
Re: Enigme théologique...
Et voilà !! le poteau est déjà là !
Si la réponse est bonne
Bravo mon Père .
mais ce n'est pas très juste ..car vos études vous ont permis d'avoir une longue ...longueur d'avance !
Maud
Si la réponse est bonne
Bravo mon Père .
mais ce n'est pas très juste ..car vos études vous ont permis d'avoir une longue ...longueur d'avance !
Maud
Maud- Citoyen d'honneur vers la sainteté
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Localisation : France
Inscription : 16/01/2010
Re: Enigme théologique...
bonjour a tous;
@GROSJEAN,pretre:
question:
pourquoi que l église catholique n as pas stopper cette religion mumulman,elle-meme,car elle était la dans ce temps-le?
merci
jean-gaston.
@GROSJEAN,pretre:
question:
pourquoi que l église catholique n as pas stopper cette religion mumulman,elle-meme,car elle était la dans ce temps-le?
merci
jean-gaston.
jean-gaston- Avec l'Archange Saint Michel
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Re: Enigme théologique...
La réponse immédiate est que les gens d’Église n'ont pas eu assez de sainteté pour cela mais nous pouvons aussi nous demander alors pourquoi le mal existe-t-il encore alors que Jésus est mort pour tous les hommes...
Mystère de la collaboration libre de chacun à l’œuvre de salut, collaboration à laquelle nous sommes tous conviés et selon laquelle nous serons jugés.
Ce qui est certain, comme il résulte de cette vision de la Bse Elisabeth Canori Mora, c'est qu'il n'y aura plus qu'une seule religion dans le monde renouvelée:
Mystère de la collaboration libre de chacun à l’œuvre de salut, collaboration à laquelle nous sommes tous conviés et selon laquelle nous serons jugés.
Ce qui est certain, comme il résulte de cette vision de la Bse Elisabeth Canori Mora, c'est qu'il n'y aura plus qu'une seule religion dans le monde renouvelée:
Prophétie de la Bienheureuse Elisabeth Canori Mora
(1774-1825)
VISION DU 29 JUIN, 1820
« En 1820, le jour de la fête de saint Pierre, pendant que je priais pour les besoins de l'Église et pour la conversion des pécheurs, au nombre desquels j'occupe le premier rang, je fus ravie au ciel et placée tout près de Dieu.
Par le moyen d'une lumière inaccessible, je fus si intimement unie à lui, que je ne me reconnaissais plus moi-même, étant toute transformée dans cette lumière divine. Je reçus la douce impression de la charité de Dieu ; le contentement et la joie que j'éprouvais alors sont indéfinissables, bien qu'au milieu de ces douceurs célestes mon esprit fût parfaitement calme. Je vis le ciel s'ouvrir et en descendre, avec majesté, le prince des apôtres, accompagné d'une multitude d'esprits célestes chantant des hymnes de louange. Le glorieux apôtre était revêtu des habits pontificaux, et tenait en main une crosse avec laquelle il traça sur la terre une grande croix. Pendant qu'il traçait cette croix, il était entouré parles anges, qui chantaient en son honneur les paroles du psaume :
Constitues eos principes super omnem terram, etc.
«Vous les établirez princes sur toute la terre...»
Il appuya ensuite sa crosse aux quatre extrémités de la croix, et au même instant il en sortit quatre arbres magnifiques portant des fleurs et des fruits très précieux. Ces arbres mystérieux avaient eux-mêmes la forme d'une croix et étaient entourés d'une vive lumière. Le bienheureux apôtre alla ensuite ouvrir toutes les portes des couvents. Ces arbres devaient servir de lieu de refuge au petit troupeau de Jésus-Christ, et préserver les bons chrétiens du terrible châtiment qui bouleversera le monde entier.
Tous les fidèles qui auront gardé dans leur coeur la foi de Jésus-Christ, ainsi que les religieux et les religieuses qui auront conservé fidèlement l'esprit de leur institut, seront tous abrités sous ces arbres et délivrés de l'affreux châtiment.
Mais malheur aux religieux et religieuses qui n'observent pas leurs règles !... Malheur aussi à tous les prêtres indignes et à tous les séculiers qui s'adonnent au libertinage et suivent les fausses maximes de la philosophie moderne, condamnée par l'Église comme étant contraire aux préceptes de l'Évangile !
Par leur conduite détestable, ces misérables, niant la foi de Jésus-Christ, périront sous le poids du bras exterminateur de la justice de Dieu, à laquelle personne n'échappera.
Tous les bons chrétiens s'étant réfugiés sous les arbres mystérieux, je les vis sous la figure de jolies brebis confiées à la garde de saint Pierre, leur pasteur, et professant envers lui la plus humble soumission et la plus respectueuse obéissance.
Aussitôt que le saint apôtre eut mis en lieu de sûreté le troupeau de Jésus-Christ, il remonta au ciel accompagné des anges. A peine eurent-ils disparu, que le ciel se couvrit de nuages si sombres et si épais, qu'il était impossible de le regarder sans en être effrayé.
Tout a coup il s'éleva un vent violent et impétueux dont le sifflement ressemblait aux rugissements d'un lion en fureur.
La terreur et l'effroi se répandront parmi les hommes et jusque parmi les animaux.
Tous les hommes seront en révolte ; ils se tueront mutuellement et se massacreront sans pitié. Pendant ce combat sanglant, la main vengeresse de Dieu sera sur ces malheureux, et par sa puissance il punira leur orgueil et leur témérité.
Il se servira du pouvoir des ténèbres pour exterminer ces hommes sectaires et impies, qui voudraient renverser la Sainte-Église et la détruire jusque dans ses fondements. Par leur malice audacieuse, ces hommes iniques prétendent faire descendre Dieu de son trône suprême ; mais il se rira de leur astuce et, par un signe de sa main puissante, il punira ces perfides et ces blasphémateurs, en permettant aux puissances ténébreuses de sortir de l'enfer.
D'immenses légions de démons parcourront alors le monde entier et, par les grandes ruines qu'ils causeront, ils exécuteront les ordres de la justice divine.
Ils s'attaqueront à tout et nuiront aux hommes, aux familles, aux propriétés, aux substances, aux cités, aux villages, aux maisons, et rien de ce qui est sur la terre ne sera épargné, Dieu permettant que ces sycophantes soient châtiés par la cruauté des démons et punis d'une mort tragique et barbare, parce qu'ils se seront soumis volontairement au pouvoir infernal, et qu'ils se seront alliés avec lui contre l'Église catholique.
Afin que mon pauvre esprit fût bien pénétré de ce sentiment de la justice divine, on me montra l'horrible prison. Je vis alors s'ouvrir dans les profonds abîmes de la terre, une sombre et effrayante caverne pleine de feu et d'où sortaient une multitude de démons qui, ayant pris la forme d'hommes et de bêtes, venaient infester le monde, ne laissant partout que massacres et ruines.
Heureux les bons et véritables catholiques ! Ils auront pour eux la puissante protection des saints apôtres Pierre et Paul, qui veilleront sur eux afin qu'il ne leur soit fait aucun dommage, ni dans leurs personnes, ni dans leurs biens. Les mauvais esprits dévasteront tous les lieux où Dieu aura été outragé, blasphémé et traité d'une manière sacrilège. Ces lieux seront ruinés, anéantis et il n'en restera aucun vestige.
Après ce terrible châtiment, je vis tout à coup le ciel s'éclaircir. Saint Pierre descendit de nouveau, vêtu pontificalement, accompagné par des anges qui chantaient des hymnes à sa gloire, le reconnaissant ainsi comme prince de la terre. Je vis ensuite descendre du ciel l'apôtre saint Paul qui, par ordre de Dieu, parcourut l'univers, enchaîna les démons et, les ayant amenés devant saint Pierre, celui-ci leur ordonna de rentrer dans les cavernes ténébreuses d'où ils étaient sortis.
Alors parut sur la terre une belle clarté, qui annonçait la réconciliation de Dieu avec les hommes.
Les anges conduisirent, devant le trône du prince des Apôtres, le petit troupeau qui était resté fidèle à Jésus-Christ. Ces bons et fervents chrétiens lui présentèrent leurs hommages respectueux et, bénissant Dieu, remercièrent l'Apôtre de les avoir préservés de la ruine générale, et d'avoir conservé et soutenu l'Église de Jésus-Christ, en ne permettant pas qu'elle fût entraînée par les fausses maximes du monde.
Le saint choisit alors le nouveau Pontife. L'Église fut ensuite reconstituée, les ordres religieux rétablis, et les maisons des chrétiens ressemblaient aux maisons religieuses, tant étaient grands la ferveur et le zèle pour la gloire de Dieu.
Ce fut de cette manière que s'accomplit, en un moment, l'éclatant triomphe de l'Église catholique.
Elle était louée, estimée et vénérée de tous. Tous se donnèrent à elle, en reconnaissant le Souverain Pontife pour Vicaire de Jésus-Christ »
Grosjean- PRETRE
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Re: Enigme théologique...
Expliqué maintenant chacune des phrases si volontaire il y a
la réponse sera donné d'ici 1 semaine.
la réponse sera donné d'ici 1 semaine.
Re: Enigme théologique...
Merci Grosjean pour votre post, je ne connaissais pas cette mystique.
Est-ce que les bons chrétiens abrités sous les arbres seront selon vous toujours sur terre physiquement ou emmenés dans un lieu céleste comme le disent certaines prophéties ?
Est-ce que les bons chrétiens abrités sous les arbres seront selon vous toujours sur terre physiquement ou emmenés dans un lieu céleste comme le disent certaines prophéties ?
MYMYSTIC- Combat avec Sainte Marie
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Re: Enigme théologique...
Il fut tout séraphique en son ardeur:
Séraphin veut dire ardent...et ce nom vient de l'ardeur de la charité, St Thomas d'Aquin somm.th.,Ia LXIII d'ou le père séraphique, St Francois, le docteur séraphique, l'ordre séraphique ,l'ordre des frêres mineurs.
Entre le Tupino et l'eau qui descend de la colline élue par le bienheureux Ubaldo, une pente fertile dévale d'une haute montagne, d’où Pérouse sent le chaud et le froid, vers la porte Sole.
le Tupino rivière qui coule au sud est d'assise.
L'eau qui descend: le Chiascio de la colline où es situé Gubbio, et où vécut de la vie érémitique saint Ubaldo.
La porte Sole: cette porte de Pérouse, qui s'ouvrait vers Assise, n'existe plus aujourd'hui.
Séraphin veut dire ardent...et ce nom vient de l'ardeur de la charité, St Thomas d'Aquin somm.th.,Ia LXIII d'ou le père séraphique, St Francois, le docteur séraphique, l'ordre séraphique ,l'ordre des frêres mineurs.
Entre le Tupino et l'eau qui descend de la colline élue par le bienheureux Ubaldo, une pente fertile dévale d'une haute montagne, d’où Pérouse sent le chaud et le froid, vers la porte Sole.
le Tupino rivière qui coule au sud est d'assise.
L'eau qui descend: le Chiascio de la colline où es situé Gubbio, et où vécut de la vie érémitique saint Ubaldo.
La porte Sole: cette porte de Pérouse, qui s'ouvrait vers Assise, n'existe plus aujourd'hui.
Re: Enigme théologique...
D'une côte, là ou elle rompt sa penté, naquit au monde un soleil, comme du Gange fait parfois celui-ci.
Naquit: Probablement en 1182 bien qu'on ne peut exclure la date de 1181.
Un soleil: Saint Bonaventure dans sa "Légende majeure"applique à St François ce verset de l'Apocalypse: VII,2 "Je vis un autre ange qui montait du côté ou le soleil se lève, tenant le sceau du Dieu vivant."
Ce soleil n'était pas encore bien loin de son lever qu'il commença à faire sentir à la terre quelque réconfort de sa grande vertu, car tout jeune il courut en guerre contre son père, pour cette dame à qui, comme à la mort, nul n'ouvre volontiers la porte du plaisir; et devant sa cour spirituelle, et devant son père; il s'unit à elle; puis de jour en jour il l'aima plus fort.
cette dame:La Pauvreté
devant sa cour spirituelle: devant l'évêque d'Assise
Il s'unit à elle: St Francois se dépouilla de ses vêtements et dit à son père:
"jusqu'ici je t'appelai mon père sur la terre, mais je puis maintenant dire avec assurance: Notre père qui êtes aux cieux..."saint Bonaventure, "légende majeure"
Naquit: Probablement en 1182 bien qu'on ne peut exclure la date de 1181.
Un soleil: Saint Bonaventure dans sa "Légende majeure"applique à St François ce verset de l'Apocalypse: VII,2 "Je vis un autre ange qui montait du côté ou le soleil se lève, tenant le sceau du Dieu vivant."
Ce soleil n'était pas encore bien loin de son lever qu'il commença à faire sentir à la terre quelque réconfort de sa grande vertu, car tout jeune il courut en guerre contre son père, pour cette dame à qui, comme à la mort, nul n'ouvre volontiers la porte du plaisir; et devant sa cour spirituelle, et devant son père; il s'unit à elle; puis de jour en jour il l'aima plus fort.
cette dame:La Pauvreté
devant sa cour spirituelle: devant l'évêque d'Assise
Il s'unit à elle: St Francois se dépouilla de ses vêtements et dit à son père:
"jusqu'ici je t'appelai mon père sur la terre, mais je puis maintenant dire avec assurance: Notre père qui êtes aux cieux..."saint Bonaventure, "légende majeure"
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