LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
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isabella
vicflame
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Forum catholique LE PEUPLE DE LA PAIX :: Les menaces à la liberté et à la Vie :: LA PUCE ELECTRONIQUE
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LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Chers amis,
Je tiens à ouvrir ici un topic, que je crois utile et absolument nécessaire, sur la révolution. :rambo:
Quand faut-il absolument se révolter ? Est-ce un devoir ? Pourquoi ? Et comment ? Le tout à la lumière des abominations répugantes qui sont commises de nos jours.
Je vais vous poster ci-après un premier message, en rapport avec les droits de l'homme et du citoyen.
Amicalement, Vic.
Je tiens à ouvrir ici un topic, que je crois utile et absolument nécessaire, sur la révolution. :rambo:
Quand faut-il absolument se révolter ? Est-ce un devoir ? Pourquoi ? Et comment ? Le tout à la lumière des abominations répugantes qui sont commises de nos jours.
Je vais vous poster ci-après un premier message, en rapport avec les droits de l'homme et du citoyen.
Amicalement, Vic.
Dernière édition par le Dim 29 Avr 2007 - 2:34, édité 1 fois
vicflame- Contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 509
Inscription : 12/07/2006
Révolution, droits divins et droits de l'homme.
LA REVOLUTION : QUAND FAUT-IL S'INSURGER ET SE REVOLTER ?
Chers amis,
De nos jours, les médias se plaisent à donner une image sanglante, criminelle et bien sûr DEFORMEE des révolutions, et ce afin que le peuple répugne à se révolter et ne s'insurge surtout pas !
(Sauf lorsqu'il s'agit de révolution industrielle, économique ou technologique, car cela SERT LES DESSEINS DU SYSTEME CAPITALISTE ULTRALIBERAL ET CONSUMERISTE qui permet au Nouvel Ordre Mondial d'asseoir sa dictature ).
Tout d'abord, il faut se poser la question : QUEL(S) FONDEMENT(S) VALABLE(S) Y A-T-IL A UNE INSURRECTION ET A UNE REVOLUTION ???
La réponse est fort simple.
Lorsqu'un système (gouvernemental, économique, religieux) s'éloigne tout à fait des enseignements de la Bible et des 11 commandements que Dieu nous a donnés (les 10 commandements de Moïse + celui de Jésus qui nous dit "aimez-vous les uns les autres") ou menace les libertés et privilèges que Dieu a donnés aux humains dès la naissance (comme le libre-arbitre, la liberté de mouvement ou la liberté de pensée, par exemple), il y a matière à s'insurger.
Durant l'histoire, il est un phénomène UNIQUE et GENIAL qui s'est produit.
Et ce phénomène, ami(e)s de France, s'est produit DANS VOTRE PAYS : c'est la Révolution de 1789 et SURTOUT ce qui en a découlé : LA DECLARATION DES DROITS DE L'HOMME ET DU CITOYEN !
LA DECLARATION DES DROITS DE L HOMME DE 1789 RECONNAISSAIT LE DROIT DE S'OPPOSER AUX TYRANS, QUITTE A LES RENVERSER.
PAR "TYRANNIE", IL Y A LIEU DE COMPRENDRE LES DECISIONS ET FAITS IMPOSES AUX PEUPLES SANS CONSULTATION.
Le fait de contraindre les peuples à devoir être contrôlé tombe absolument dans cette définition.
Et donc, les horribles technologies liberticides et tyranniques qui visent à contrôler, à surveiller, à réprimer (cartes ID électronique, passeports biométriques, puces implantables, tags RFID, caméras de vidéosurvellance, bases de données centralisées etc.) donnent droit, dans ce contexte, à nous insurger de façon tout à fait justifiée ! :idea:
Un article présent dans la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793 faisait même de l'insurrection populaire et de la révolution un DEVOIR :
Article 35 : "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs".
(source : http://fr.wikisource.org/wiki/D%C3%A9claration_des_Droits_de_l%27Homme_et_du_Citoyen_de_1793 )
Un autre article de cette déclaration de 1793 "était également extrêmement important. Il nous dit :
Article 34 : "Il y a oppression contre le corps social, lorsqu’un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé."
(Et l'insurrection ainsi que la révolution se justifient lorsque le citoyen ou le peuple sont opprimés, bien entendu).
Les déclarations des droits de l'homme de 1789 a servi de MODELE, non seulement en France, mais dans le MONDE ENTIER !
C'est tellement vrai qu'après les terribles ravages de la seconde guerre mondiale et de l'oppression nazie et fasciste, on va voir le 10 décembre 1948 l'adoption, à Paris, de la DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME.
Ces droits inaliénables deviennent donc UNIVERSELS, c'est-à-dire valables PARTOUT, sur TOUTE LA PLANETE, pour TOUT HOMME, TOUTE FEMME et TOUT ENFANT !
Dans cette déclaration universelle des droits de l'homme de Paris de 1948, on trouve une série de droits accordés aux citoyens du monde (source : http://web.amnesty.org/pages/aboutai-udhr-fra ) :
Article 3
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Notons que le puçage va à l'encontre de ces libertés.
Article 4
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits SOUS TOUTES LEURS FORMES.
OR AVEC LE PUCAGE ET LA SURVEILLANCE, LE CONTROLE ET LA REPRESSION DE TOUT MOMENT QUE LE NOUVEL ORDR MONDIAL NOUS PREPARE, C'EST BIEN DE CELA (d'esclavage) QU'IL S AGIT !!! :o
Article 5
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Or nous avons vu que des vols secrets de prisonniers ainsi que des centres "secrets" de TORTURE de la CIA ont été effectués en Europe et que les gouvernements avaient prêté la main et assisté les voyous de la CIA à torturer et à commettre des traitements dégradants !
En ce sens, tous les gouvernements européens (voir le rapport du Suisse Marty) sont DEVENUS ILLEGITIMES ET ABSOLUTISTES. :o
Article 9
Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ni exilé.
Or, nous avons vu sur les topics réservés aux puces, mais aussi au 11/09/2001, à la puce et au liberticide, qu'avec les mesures soi-disant "antiterroristes", ce sont en réalité et en bout de course tous les CONTESTATAIRES, MANIFESTANTS, OPPOSANTS, ACTIVISTES, GREVISTES, MILITANTS et DISSIDENTS qui étaient visés et qui pouvaient être ARRETES ET DETENUS, ET CE SANS QU'AUCUN PROCES NI MANDAT D'ARRET SOIT NECESSAIRE !!! :o
La Belgique, état "démocrate" (démon-crate ?) si exemplaire a donné voici un an un exemple incroyable en EXTRADANT UN DE SES NATIONAUX (Bahar Kimyongur) AFIN QU IL SOIT EXPEDIE VERS LA TURQUIE. Le procureur Hollandais, honnête homme, a compris la manoeuvre et renvoyé le Belge dans son pays. La ministre de la Justice aurait selon une note résumant l'affaire et détenue dans un coffre fort du Parlement que nul ne peut copier (même en tant que parlementaire !), mis l'affaire en Justice et la victime a été envoyée en prison "à la dure" à la suite d'un procès qui vient d' être CASSE EN CASSATION. (M. Kimyongur a été libéré).
Article 30 :
Aucune disposition de la présente déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un état, un groupement ou un individu UN DROIT QUELCONQUE DE SE LIVRER A UNE ACTIVITE OU D'ACCOMPLIR UN ACTE VISANT A LA DESTRUCTION DES DROITS ET LIBERTES QUI Y SONT ENONCES.
Par voie de conséquence, si UN ETAT SE LIVRE A LA DESTRUCTION DE LA TENEUR D'UN SEUL DES ARTICLES ENONCES DANS CETTE DECLARATION, IL EST COUPABLE DE CETTE VIOLATION ET SE MORDRA LES DOIGTS SI LES CITOYENS SE REFERENT A LA DECLARATION DES DROITS DE L'HOMME POUR RENVERSER LES TYRANS ET LA TYRANNIE !!! :rambo: :rambo: :rambo:
Vous voici donc au courant des situations dans lesquelles il est JURIDIQUEMENT JUSTIFIE DE SE REVOLTER ET DE S'INSURGER.
Bien entendu, le système puant actuel, basé sur le profit et le pouvoir, sur la mondialisation, sur le capitalisme ultralibéral et consumériste, sur les décisions iniques des instances du Nouvel Ordre Mondial (Bildeberg, Pilgrims Society, Council on Foreign Relations, Commission Trilatérale, Club de Rome etc.) et de leur application par les gouvernements félons et les autorités supranationales (UE, OMC, OCDE, OTAN, ONU, FMI, Banque mondiale etc.), bien entendu ce système puant FOULE AUX PIEDS, inévitablement, les droits universels et inaliénables des droits de l'homme.
Il faudra que LE SYSTEME CAPITALISTE ULTALIBERAL SOIT DETRUIT ET ABANDONNE et que les crapules de "l'élite" mondiale (la lie de l'humanité, en réalité) qui commettent tant de crimes contre l'humanité et contre ces droits de l'homme, soient jugés et PUNIS pour leurs actes. Il faudra que les droits de l'homme soient APPLIQUES, RESPECTES ET CONTRAIGNANTS POUR TOUS LES ETATS, et nous verrons alors une société agréable, respectable et viable émerger.
Nous DEVRONS passer par la REVOLUTION, une REVOLUTION INTERNATIONALE. C'est une étape OBLIGATOIRE si nous voulons pouvoir sortir l'humanité du trou totalitaire et de la fange liberticide dans lesquels elle s'est enfoncée.
Amicalement, Vic.
Chers amis,
De nos jours, les médias se plaisent à donner une image sanglante, criminelle et bien sûr DEFORMEE des révolutions, et ce afin que le peuple répugne à se révolter et ne s'insurge surtout pas !
(Sauf lorsqu'il s'agit de révolution industrielle, économique ou technologique, car cela SERT LES DESSEINS DU SYSTEME CAPITALISTE ULTRALIBERAL ET CONSUMERISTE qui permet au Nouvel Ordre Mondial d'asseoir sa dictature ).
Tout d'abord, il faut se poser la question : QUEL(S) FONDEMENT(S) VALABLE(S) Y A-T-IL A UNE INSURRECTION ET A UNE REVOLUTION ???
La réponse est fort simple.
Lorsqu'un système (gouvernemental, économique, religieux) s'éloigne tout à fait des enseignements de la Bible et des 11 commandements que Dieu nous a donnés (les 10 commandements de Moïse + celui de Jésus qui nous dit "aimez-vous les uns les autres") ou menace les libertés et privilèges que Dieu a donnés aux humains dès la naissance (comme le libre-arbitre, la liberté de mouvement ou la liberté de pensée, par exemple), il y a matière à s'insurger.
Durant l'histoire, il est un phénomène UNIQUE et GENIAL qui s'est produit.
Et ce phénomène, ami(e)s de France, s'est produit DANS VOTRE PAYS : c'est la Révolution de 1789 et SURTOUT ce qui en a découlé : LA DECLARATION DES DROITS DE L'HOMME ET DU CITOYEN !
LA DECLARATION DES DROITS DE L HOMME DE 1789 RECONNAISSAIT LE DROIT DE S'OPPOSER AUX TYRANS, QUITTE A LES RENVERSER.
PAR "TYRANNIE", IL Y A LIEU DE COMPRENDRE LES DECISIONS ET FAITS IMPOSES AUX PEUPLES SANS CONSULTATION.
Le fait de contraindre les peuples à devoir être contrôlé tombe absolument dans cette définition.
Et donc, les horribles technologies liberticides et tyranniques qui visent à contrôler, à surveiller, à réprimer (cartes ID électronique, passeports biométriques, puces implantables, tags RFID, caméras de vidéosurvellance, bases de données centralisées etc.) donnent droit, dans ce contexte, à nous insurger de façon tout à fait justifiée ! :idea:
Un article présent dans la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793 faisait même de l'insurrection populaire et de la révolution un DEVOIR :
Article 35 : "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs".
(source : http://fr.wikisource.org/wiki/D%C3%A9claration_des_Droits_de_l%27Homme_et_du_Citoyen_de_1793 )
Un autre article de cette déclaration de 1793 "était également extrêmement important. Il nous dit :
Article 34 : "Il y a oppression contre le corps social, lorsqu’un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé."
(Et l'insurrection ainsi que la révolution se justifient lorsque le citoyen ou le peuple sont opprimés, bien entendu).
Les déclarations des droits de l'homme de 1789 a servi de MODELE, non seulement en France, mais dans le MONDE ENTIER !
C'est tellement vrai qu'après les terribles ravages de la seconde guerre mondiale et de l'oppression nazie et fasciste, on va voir le 10 décembre 1948 l'adoption, à Paris, de la DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME.
Ces droits inaliénables deviennent donc UNIVERSELS, c'est-à-dire valables PARTOUT, sur TOUTE LA PLANETE, pour TOUT HOMME, TOUTE FEMME et TOUT ENFANT !
Dans cette déclaration universelle des droits de l'homme de Paris de 1948, on trouve une série de droits accordés aux citoyens du monde (source : http://web.amnesty.org/pages/aboutai-udhr-fra ) :
Article 3
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.
Notons que le puçage va à l'encontre de ces libertés.
Article 4
Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude; l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits SOUS TOUTES LEURS FORMES.
OR AVEC LE PUCAGE ET LA SURVEILLANCE, LE CONTROLE ET LA REPRESSION DE TOUT MOMENT QUE LE NOUVEL ORDR MONDIAL NOUS PREPARE, C'EST BIEN DE CELA (d'esclavage) QU'IL S AGIT !!! :o
Article 5
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Or nous avons vu que des vols secrets de prisonniers ainsi que des centres "secrets" de TORTURE de la CIA ont été effectués en Europe et que les gouvernements avaient prêté la main et assisté les voyous de la CIA à torturer et à commettre des traitements dégradants !
En ce sens, tous les gouvernements européens (voir le rapport du Suisse Marty) sont DEVENUS ILLEGITIMES ET ABSOLUTISTES. :o
Article 9
Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ni exilé.
Or, nous avons vu sur les topics réservés aux puces, mais aussi au 11/09/2001, à la puce et au liberticide, qu'avec les mesures soi-disant "antiterroristes", ce sont en réalité et en bout de course tous les CONTESTATAIRES, MANIFESTANTS, OPPOSANTS, ACTIVISTES, GREVISTES, MILITANTS et DISSIDENTS qui étaient visés et qui pouvaient être ARRETES ET DETENUS, ET CE SANS QU'AUCUN PROCES NI MANDAT D'ARRET SOIT NECESSAIRE !!! :o
La Belgique, état "démocrate" (démon-crate ?) si exemplaire a donné voici un an un exemple incroyable en EXTRADANT UN DE SES NATIONAUX (Bahar Kimyongur) AFIN QU IL SOIT EXPEDIE VERS LA TURQUIE. Le procureur Hollandais, honnête homme, a compris la manoeuvre et renvoyé le Belge dans son pays. La ministre de la Justice aurait selon une note résumant l'affaire et détenue dans un coffre fort du Parlement que nul ne peut copier (même en tant que parlementaire !), mis l'affaire en Justice et la victime a été envoyée en prison "à la dure" à la suite d'un procès qui vient d' être CASSE EN CASSATION. (M. Kimyongur a été libéré).
Article 30 :
Aucune disposition de la présente déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un état, un groupement ou un individu UN DROIT QUELCONQUE DE SE LIVRER A UNE ACTIVITE OU D'ACCOMPLIR UN ACTE VISANT A LA DESTRUCTION DES DROITS ET LIBERTES QUI Y SONT ENONCES.
Par voie de conséquence, si UN ETAT SE LIVRE A LA DESTRUCTION DE LA TENEUR D'UN SEUL DES ARTICLES ENONCES DANS CETTE DECLARATION, IL EST COUPABLE DE CETTE VIOLATION ET SE MORDRA LES DOIGTS SI LES CITOYENS SE REFERENT A LA DECLARATION DES DROITS DE L'HOMME POUR RENVERSER LES TYRANS ET LA TYRANNIE !!! :rambo: :rambo: :rambo:
Vous voici donc au courant des situations dans lesquelles il est JURIDIQUEMENT JUSTIFIE DE SE REVOLTER ET DE S'INSURGER.
Bien entendu, le système puant actuel, basé sur le profit et le pouvoir, sur la mondialisation, sur le capitalisme ultralibéral et consumériste, sur les décisions iniques des instances du Nouvel Ordre Mondial (Bildeberg, Pilgrims Society, Council on Foreign Relations, Commission Trilatérale, Club de Rome etc.) et de leur application par les gouvernements félons et les autorités supranationales (UE, OMC, OCDE, OTAN, ONU, FMI, Banque mondiale etc.), bien entendu ce système puant FOULE AUX PIEDS, inévitablement, les droits universels et inaliénables des droits de l'homme.
Il faudra que LE SYSTEME CAPITALISTE ULTALIBERAL SOIT DETRUIT ET ABANDONNE et que les crapules de "l'élite" mondiale (la lie de l'humanité, en réalité) qui commettent tant de crimes contre l'humanité et contre ces droits de l'homme, soient jugés et PUNIS pour leurs actes. Il faudra que les droits de l'homme soient APPLIQUES, RESPECTES ET CONTRAIGNANTS POUR TOUS LES ETATS, et nous verrons alors une société agréable, respectable et viable émerger.
Nous DEVRONS passer par la REVOLUTION, une REVOLUTION INTERNATIONALE. C'est une étape OBLIGATOIRE si nous voulons pouvoir sortir l'humanité du trou totalitaire et de la fange liberticide dans lesquels elle s'est enfoncée.
Amicalement, Vic.
vicflame- Contre le nouvel ordre mondial
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MANIFESTATION CONTRE LE G8 : LA REVOLTE EN ROUTE ?
MANIFESTATION CONTRE LE G8 : LA REVOLTE SERAIT-ELLE EN ROUTE ?
Chers amis,
Depuis le temps que l’ultralibéralisme et la mondialisation répandent les catastrophes sociales et humaines ainsi que la tyrannie et l’état-policier mondial, il était temps que la grogne du peuple se fasse ENFINsentir …
Et ce week-end, à Rostock (Allemagne), le peuple, pour une fois, a grogné !
Du moins, une PARTIEdes manifestants a-t-elle laissé libre cours à sa colère.
Bien entendu, la presse putassière des mass médias et les organisateurs de cette manifestation ont représenté ces insurgés comme des « criminels », presque comme des « terroristes » (et vous savez que je n’utilise pas ce mot par hasard, car le but des gouvernements félons en ce moment est de faire passer TOUT CONTESTATAIRE véritable comme un « terroriste »).
Mais je pense que ces insurgés sont certainement les SEULS à avoir compris toute l’importance et la nécessité d’un changement en profondeur et d’une REVOLUTION contre le système capitaliste, ultralibéral, consumériste et faussement démocrate du moment.
Le véritable problème, il est bien résumé dans une phrase de l'article ci-dessous : « Des milliers de personnes sont venues aujourd’hui dire qu’elles n’attendent rien du G8. Ou pire, qu’elles n’en attendent rien de bon ».
Et en effet, comment pourrait-on attendre quoi que ce soit de bon de la part de ces ploutocrates enfarinés de « l’élite » mondiale qui se rassemblent, soi-disant de façon « démocratique » , MAIS PROTEGES EN REALITE PAR UNE BARRIERE DE 13 km. DE LONG ET DE 2,5 METRES DE HAUT AFIN DE NE PAS ETRE DERANGES PAR QUELQUE MANIFESTANT QUE CE SOIT, afin de décider entre eux du sort de nombreux pays et peuples et en IGNORANT LE PEUPLE (donc de façon TOTALITAIRE) ?
Comment pourrait-on ne fût-ce qu’espérer que quoi que ce soit de «bon » sorte d’un meeting (le G8) UNIQUEMENT basé sur le PROFIT, le POUVOIR et l’ARGENT, et MINIMISANT - voire IGNORANT superbement - les droits de l’homme, les libertés, les implications humaines et sociales ?
Il est donc tout à fait NORMAL et COMPREHENSIBLE que certains manifestants qui se rendent compte de tout ceci et qui se retrouvent ENCADRES PAR UNE MULTITUDE DE FLICS ET SURVEILLES PAR HELICOPTERE, "pètent les plombs" et fassent preuve d’agressivité, appelant à la REVOLTE contre ces ploutocrates élitistes et tyranniques !
Il convient aussi de nous poser aussi les bonnes questions :
1) Comment se fait-il que cette manifestation contre le G8 se soit déroulée PLUSIEURS JOURS AVANT ce honteux sommet financier, et non AU MOMENT DU SOMMET DU G8 ? Le pouvoir s’était arrangé, encore une fois, afin d’éviter toute interruption DURANT LE SOMMET DU G8 !
2) Est-il vraiment UTILE d’avoir une manifestation à plusieurs jours du sommet, et pacifique de surcroît ? :roll: Le but d’une véritable contestation n’est-il pas de FAIRE CHANGER LES CHOSES ??? Or, comment faire changer les choses en participant à un CORTEGE CARNAVALESQUE qui n’aura AUCUN IMPACT sur les ordures qui continuent de se rassembler, de débattre et de décider sans aucune interruption et SANS TENIR COMPTE LE MOINS DU MONDE DE L’AVIS DU PEUPLE ?
C’est pourtant TRES CLAIR : SI LE PEUPLE SOUHAITE UN CHANGEMENT, UN VERITABLE CHANGEMENT, il faut qu’il s’IMPOSE et montre sa DETERMINATION FAROUCHE, sans quoi les puissants continueront de lui marcher sur les pieds. Une certaine VIOLENCE, dans ce contexte, est donc tout à fait JUSTIFIEE !
En tout cas, une chose est CERTAINE : ce n’est pas en défilant comme des clowns et sous la surveillance des policiers (qui sont les chiens de garde de cet état-policier mondial qui est en formation, ne l’oublions jamais) que les choses changeront !
3) Cette manifestation placide et sans impact digne d’un défilé de cirque et se déroulant à plusieurs jours de l’événement clé et sous l’œil des flics était organisée par Attac, une ONG altermondialiste déjà INTERNATIONALE (un bien mauvais signe) et qui a malheureusement été récupérée par le $ystème corrupteur et pourri. Faut-il donc encore s’étonner que l’un des représentants de cette association en Allemagne ait déploré et dénoncé en tant qu’injustifiables les violences qui se sont produites et se soit distancié de ce mouvement de révolte ? Il est certes plus confortable pour lui de LEURRER LE PEUPLE, de faire défiler les gens comme des bœufs et SELON LES DESIDERATA EXIGES PAR LA POLICE ET LES PLOUTOCRATES AU POUVOIR, et de PACTISER AVEC L’ENNEMI, avec des résultats LAMENTABLES voire inexistants…
En attendant, 2.000 BRAVES et IRREDUCTIBLES CITOYENS épris de LIBERTE et de JUSTICE ont manifesté leur colère à Rostock… et quand bien même les mass médias vendus au nouvel ordre mondial en font des "criminels", ces personnes sont bien de véritables CITOYENS au sens noble du terme, avec une conscience aigue des enjeux actuels. Ils ont transformé ce défilé de carnaval en MANIFESTATION VERITABLE.
Que ceci soit un sérieux avertissement à tous ces TYRANS de l’élite mondiale qui continuent de se moquer des peuples et de tenter de les asservir.
L’article des putes des mass médias (qui criminalisent honteusement ces 2.000 acteurs révoltés du changement), ci-dessous…
BONNE REVOLUTION, OU BON ESCLAVAGE ! :wink: Vic.
Source : journal belge « 7 Dimanche » du dimanche 3 juin 2007, p.4.
VIOLENCES EN PRELUDE AU G8
Les pierres et les cocktails molotov ont fusé. 146 policiers ont été blessés, dont 25 grièvement.
Des échauffourées entre manifestants autonomes et policiers ont gâché samedi à Rostock le rassemblement contre le prochain G8.
Les échauffourées ont éclaté dans l’après-midi dans le port de Rostock à la fin d’un grand défilé anti-G8 qui avait rassemblé au moins 25.000 personnes selon la police, 80.000 selon l’organisation altermondialiste Attac.
Le défilé, qui ouvrait une semaine de protestation contre le sommet des huit pays les plus industrialisés, avait été jusqu’alors pacifique. Il était encadré par de très nombreux policiers et surveillé par des hélicoptères des forces de l’ordre.
Mais quelque 2.000 manifestants, pour la plupart encagoulés et vêtus de noir, s’étaient groupés en un carré menaçant baptisé « Schwarzer Block » (« Bloc noir ») au milieu de la foule bariolée.
Les incidents ont débuté quand des manifestants autonomes masqués ont commencé à jeter des pierres, des bouteilles, des cocktails Molotov et d’autres engins pyrotechniques sur les policiers anti-émeute. Une course poursuite entre les policiers et ces manifestants a suivi.
Une partie du quartier du port s’est trouvée en état de siège.
A intervalles réguliers, les policiers, portant casque, bouclier et matraque, chargeaient et poursuivaient dans les rues de petits groupes de manifestants. Des pierres, y compris des pavés arrachés de la chaussée, volaient ici et là. Une odeur de gaz lacrymogène empestait l’atmosphère.
Dans une ambiance tendue, certains badauds prenaient des photos et essayaient de suivre les affrontements, brusquement repoussés par les forces de l’ordre.
Une femme a été blessée à la tête. Des voitures ont été renversées. Une autre brûlait dans un épais nuage de fumée.
Une porte-parole de la police a jugé que les manifestants autonomes avaient « cherché massivement la confrontation ».
« Il s’est agi cependant d’incidents très mineurs au regard d’une telle manifestation. Dans l’ensemble, tout s’est déroulé de manière très calme », a déclaré cette porte-parole.
Les protestataires, venus par autocars ou trains spéciaux de toute l’Allemagne et de l’étranger, s’étaient rassemblés dans la matinée sur deux places de Rostock.
Puis, sous un ciel gris et par des températures très fraîches, ils étaient partis en deux cortèges, aux cris de « No G8 », en direction du port.
« Des milliers de personnes sont venues aujourd’hui dire qu’elles n’attendent rien du G8. Ou pire, qu’elles n’en attendent rien de bon », déclarait à la presse Werner Rätz, d’Attac Deutschland. Il disait alors s’attendre à « une manifestation absolument pacifique ».
Son optimisme était partagé par la police. « Nous n’avons pas d’indication que des groupes violents se soient infiltrés parmi les manifestants. Nous espérons et nous nous attendons à un défilé dans le calme », déclarait une porte-parole de la police.
Plus tard, M. Rätz a condamné les agissements des autonomes. « Il n’y a aucune justification à cette violence contre les personnes et nous nous en distancions formellement. Nous avions sous-estimé le danger d’escalade et nous essayons d’y mettre fin », a-t-il dit.
Lors du défilé, les slogans dénonçaient pêle-mêle la pauvreté dans le Tiers-Monde, les guerres ou le capitalisme : « Le monde n’est pas une marchandise », « Bush à Guantanamo », « Pas de dialogue avec le capitalisme », « G8 = tueur de climat ».
Chers amis,
Depuis le temps que l’ultralibéralisme et la mondialisation répandent les catastrophes sociales et humaines ainsi que la tyrannie et l’état-policier mondial, il était temps que la grogne du peuple se fasse ENFINsentir …
Et ce week-end, à Rostock (Allemagne), le peuple, pour une fois, a grogné !
Du moins, une PARTIEdes manifestants a-t-elle laissé libre cours à sa colère.
Bien entendu, la presse putassière des mass médias et les organisateurs de cette manifestation ont représenté ces insurgés comme des « criminels », presque comme des « terroristes » (et vous savez que je n’utilise pas ce mot par hasard, car le but des gouvernements félons en ce moment est de faire passer TOUT CONTESTATAIRE véritable comme un « terroriste »).
Mais je pense que ces insurgés sont certainement les SEULS à avoir compris toute l’importance et la nécessité d’un changement en profondeur et d’une REVOLUTION contre le système capitaliste, ultralibéral, consumériste et faussement démocrate du moment.
Le véritable problème, il est bien résumé dans une phrase de l'article ci-dessous : « Des milliers de personnes sont venues aujourd’hui dire qu’elles n’attendent rien du G8. Ou pire, qu’elles n’en attendent rien de bon ».
Et en effet, comment pourrait-on attendre quoi que ce soit de bon de la part de ces ploutocrates enfarinés de « l’élite » mondiale qui se rassemblent, soi-disant de façon « démocratique » , MAIS PROTEGES EN REALITE PAR UNE BARRIERE DE 13 km. DE LONG ET DE 2,5 METRES DE HAUT AFIN DE NE PAS ETRE DERANGES PAR QUELQUE MANIFESTANT QUE CE SOIT, afin de décider entre eux du sort de nombreux pays et peuples et en IGNORANT LE PEUPLE (donc de façon TOTALITAIRE) ?
Comment pourrait-on ne fût-ce qu’espérer que quoi que ce soit de «bon » sorte d’un meeting (le G8) UNIQUEMENT basé sur le PROFIT, le POUVOIR et l’ARGENT, et MINIMISANT - voire IGNORANT superbement - les droits de l’homme, les libertés, les implications humaines et sociales ?
Il est donc tout à fait NORMAL et COMPREHENSIBLE que certains manifestants qui se rendent compte de tout ceci et qui se retrouvent ENCADRES PAR UNE MULTITUDE DE FLICS ET SURVEILLES PAR HELICOPTERE, "pètent les plombs" et fassent preuve d’agressivité, appelant à la REVOLTE contre ces ploutocrates élitistes et tyranniques !
Il convient aussi de nous poser aussi les bonnes questions :
1) Comment se fait-il que cette manifestation contre le G8 se soit déroulée PLUSIEURS JOURS AVANT ce honteux sommet financier, et non AU MOMENT DU SOMMET DU G8 ? Le pouvoir s’était arrangé, encore une fois, afin d’éviter toute interruption DURANT LE SOMMET DU G8 !
2) Est-il vraiment UTILE d’avoir une manifestation à plusieurs jours du sommet, et pacifique de surcroît ? :roll: Le but d’une véritable contestation n’est-il pas de FAIRE CHANGER LES CHOSES ??? Or, comment faire changer les choses en participant à un CORTEGE CARNAVALESQUE qui n’aura AUCUN IMPACT sur les ordures qui continuent de se rassembler, de débattre et de décider sans aucune interruption et SANS TENIR COMPTE LE MOINS DU MONDE DE L’AVIS DU PEUPLE ?
C’est pourtant TRES CLAIR : SI LE PEUPLE SOUHAITE UN CHANGEMENT, UN VERITABLE CHANGEMENT, il faut qu’il s’IMPOSE et montre sa DETERMINATION FAROUCHE, sans quoi les puissants continueront de lui marcher sur les pieds. Une certaine VIOLENCE, dans ce contexte, est donc tout à fait JUSTIFIEE !
En tout cas, une chose est CERTAINE : ce n’est pas en défilant comme des clowns et sous la surveillance des policiers (qui sont les chiens de garde de cet état-policier mondial qui est en formation, ne l’oublions jamais) que les choses changeront !
3) Cette manifestation placide et sans impact digne d’un défilé de cirque et se déroulant à plusieurs jours de l’événement clé et sous l’œil des flics était organisée par Attac, une ONG altermondialiste déjà INTERNATIONALE (un bien mauvais signe) et qui a malheureusement été récupérée par le $ystème corrupteur et pourri. Faut-il donc encore s’étonner que l’un des représentants de cette association en Allemagne ait déploré et dénoncé en tant qu’injustifiables les violences qui se sont produites et se soit distancié de ce mouvement de révolte ? Il est certes plus confortable pour lui de LEURRER LE PEUPLE, de faire défiler les gens comme des bœufs et SELON LES DESIDERATA EXIGES PAR LA POLICE ET LES PLOUTOCRATES AU POUVOIR, et de PACTISER AVEC L’ENNEMI, avec des résultats LAMENTABLES voire inexistants…
En attendant, 2.000 BRAVES et IRREDUCTIBLES CITOYENS épris de LIBERTE et de JUSTICE ont manifesté leur colère à Rostock… et quand bien même les mass médias vendus au nouvel ordre mondial en font des "criminels", ces personnes sont bien de véritables CITOYENS au sens noble du terme, avec une conscience aigue des enjeux actuels. Ils ont transformé ce défilé de carnaval en MANIFESTATION VERITABLE.
Que ceci soit un sérieux avertissement à tous ces TYRANS de l’élite mondiale qui continuent de se moquer des peuples et de tenter de les asservir.
L’article des putes des mass médias (qui criminalisent honteusement ces 2.000 acteurs révoltés du changement), ci-dessous…
BONNE REVOLUTION, OU BON ESCLAVAGE ! :wink: Vic.
Source : journal belge « 7 Dimanche » du dimanche 3 juin 2007, p.4.
VIOLENCES EN PRELUDE AU G8
Les pierres et les cocktails molotov ont fusé. 146 policiers ont été blessés, dont 25 grièvement.
Des échauffourées entre manifestants autonomes et policiers ont gâché samedi à Rostock le rassemblement contre le prochain G8.
Les échauffourées ont éclaté dans l’après-midi dans le port de Rostock à la fin d’un grand défilé anti-G8 qui avait rassemblé au moins 25.000 personnes selon la police, 80.000 selon l’organisation altermondialiste Attac.
Le défilé, qui ouvrait une semaine de protestation contre le sommet des huit pays les plus industrialisés, avait été jusqu’alors pacifique. Il était encadré par de très nombreux policiers et surveillé par des hélicoptères des forces de l’ordre.
Mais quelque 2.000 manifestants, pour la plupart encagoulés et vêtus de noir, s’étaient groupés en un carré menaçant baptisé « Schwarzer Block » (« Bloc noir ») au milieu de la foule bariolée.
Les incidents ont débuté quand des manifestants autonomes masqués ont commencé à jeter des pierres, des bouteilles, des cocktails Molotov et d’autres engins pyrotechniques sur les policiers anti-émeute. Une course poursuite entre les policiers et ces manifestants a suivi.
Une partie du quartier du port s’est trouvée en état de siège.
A intervalles réguliers, les policiers, portant casque, bouclier et matraque, chargeaient et poursuivaient dans les rues de petits groupes de manifestants. Des pierres, y compris des pavés arrachés de la chaussée, volaient ici et là. Une odeur de gaz lacrymogène empestait l’atmosphère.
Dans une ambiance tendue, certains badauds prenaient des photos et essayaient de suivre les affrontements, brusquement repoussés par les forces de l’ordre.
Une femme a été blessée à la tête. Des voitures ont été renversées. Une autre brûlait dans un épais nuage de fumée.
Une porte-parole de la police a jugé que les manifestants autonomes avaient « cherché massivement la confrontation ».
« Il s’est agi cependant d’incidents très mineurs au regard d’une telle manifestation. Dans l’ensemble, tout s’est déroulé de manière très calme », a déclaré cette porte-parole.
Les protestataires, venus par autocars ou trains spéciaux de toute l’Allemagne et de l’étranger, s’étaient rassemblés dans la matinée sur deux places de Rostock.
Puis, sous un ciel gris et par des températures très fraîches, ils étaient partis en deux cortèges, aux cris de « No G8 », en direction du port.
« Des milliers de personnes sont venues aujourd’hui dire qu’elles n’attendent rien du G8. Ou pire, qu’elles n’en attendent rien de bon », déclarait à la presse Werner Rätz, d’Attac Deutschland. Il disait alors s’attendre à « une manifestation absolument pacifique ».
Son optimisme était partagé par la police. « Nous n’avons pas d’indication que des groupes violents se soient infiltrés parmi les manifestants. Nous espérons et nous nous attendons à un défilé dans le calme », déclarait une porte-parole de la police.
Plus tard, M. Rätz a condamné les agissements des autonomes. « Il n’y a aucune justification à cette violence contre les personnes et nous nous en distancions formellement. Nous avions sous-estimé le danger d’escalade et nous essayons d’y mettre fin », a-t-il dit.
Lors du défilé, les slogans dénonçaient pêle-mêle la pauvreté dans le Tiers-Monde, les guerres ou le capitalisme : « Le monde n’est pas une marchandise », « Bush à Guantanamo », « Pas de dialogue avec le capitalisme », « G8 = tueur de climat ».
vicflame- Contre le nouvel ordre mondial
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Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Une autre bonne raison de faire la révolution : afin de ne pas en arriver au triste résultat du nazisme.
Une importante leçon d'histoire, en lien direct avec notre actualité... Posté en plusieurs morceaux pour des raisons de limite de message.
CAPITAL ! LECON D'HISTOIRE : PENSEZ-VOUS QUE VOUS ETES LIBRE ?
« Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes
Je me suis tu, je n'étais pas communiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes
Je me suis tu, je n'étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les sociaux-démocrates
Je me suis tu, je n'étais pas social-démocrate.
Lorsqu'ils sont venus chercher les juifs
Je me suis tu, je n'étais pas juif.
Puis ils sont venus me chercher
Et il ne restait plus personne pour protester ».
Pasteur Martin Niemöller
« Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche ».
Apocalypse 3.16
Chers amis,
Pensez-vous que vous êtes libres ? ATTENTION ! Avant de répondre à cette question, je vous demande de lire l’importante leçon d’histoire ci-dessous.
Vous allez voir que notre situation actuelle, et ce au niveau MONDIAL, est EXACTEMENT la MÊME que celle de l’Allemagne pré-nazie et nazie !!! Mêmes symptômes, mêmes méthodes, et tout et tout !
Les Allemands n’ont jamais su REAGIR, n’ont jamais OSE le faire. Ils ont SUIVI ce qui se passait, ils ont OBEI, tels des moutons ou des cancrelats. C'est ce qui les a menés aux horreurs les plus abominables et à la déshumanisation la plus complète.
D'ailleurs, le témoignage de l’ancien nazi ci-dessous le prouve : même longtemps après la fin de la guerre, il ne savait toujours pas que faire, ni ce qu'il aurait pu faire, ni comment réagir.
AUJOURD'HUI, IL EN VA DE MÊME : LES GENS ONT PEUR DE S'INSURGER ET DE REAGIR DE LEUR PROPRE INITIATIVE, SEUL, SANS ATTENDRE QUE LE VOISIN SE BOUGE AVANT EUX !
Aujourd’hui, TOUT COMME DURANT LA PERIODE NAZIE, les gouvernements jouent sur la PROPAGANDE honteuse (cf. les déformations, les manipulations et les désinformations perpétuelles des mass médias en ce moment) et misent sur les phénomènes de PEUR et de HAINE (peur et haine du terroriste, du criminel, de l’immigré, du délinquant, du voisin…) afin de METTRE EN PLACE LEUR NOUVEL ORDRE MONDIAL PUTRIDE, avec ses guerres incessantes, ses contrôles et sa répression permanents, ses technologies et ses mesures liberticides !
LA SEULE SOLUTION RESIDE DANS L’ACTION ET L'INSURRECTION ! ALORS, QUAND ALLEZ-VOUS VOUS DECIDER A BOUGER DE FACON INDIVIDUELLE, SEUL, COMME UNE PERSONNE DIGNE, RESPONSABLE ET NOBLE ???
OU PREFEREZ-VOUS RESTER "TIEDE" ET FINIR COMME CES PITOYABLES ALLEMANDS DES ANNEES 1930-1940 ?
Vous n’avez plus AUCUNE excuse de ne pas réagir. VIA CE FORUM, VOUS ETES AVERTIS, ET VOUS CONNAISSEZ A PRESENT LES TENANTS ET ABOUTISSANTS DES INFAMES PROJETS MONDIAUX ET DES TRAÎTRES DE NOS GOUVERNEMENTS.
Et donc, BONNE REVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE ! Vic.
Source : http://www.planetenonviolence.org/-Ils-Pensaient-qu-ils-etaient-Libres-Les-Allemands-1933-1945-,-livre-de-Milton-Mayer_a1391.html?preaction=nl&id=5890581&idnl=27904&
Une importante leçon d'histoire, en lien direct avec notre actualité... Posté en plusieurs morceaux pour des raisons de limite de message.
CAPITAL ! LECON D'HISTOIRE : PENSEZ-VOUS QUE VOUS ETES LIBRE ?
« Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes
Je me suis tu, je n'étais pas communiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes
Je me suis tu, je n'étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les sociaux-démocrates
Je me suis tu, je n'étais pas social-démocrate.
Lorsqu'ils sont venus chercher les juifs
Je me suis tu, je n'étais pas juif.
Puis ils sont venus me chercher
Et il ne restait plus personne pour protester ».
Pasteur Martin Niemöller
« Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n'es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche ».
Apocalypse 3.16
Chers amis,
Pensez-vous que vous êtes libres ? ATTENTION ! Avant de répondre à cette question, je vous demande de lire l’importante leçon d’histoire ci-dessous.
Vous allez voir que notre situation actuelle, et ce au niveau MONDIAL, est EXACTEMENT la MÊME que celle de l’Allemagne pré-nazie et nazie !!! Mêmes symptômes, mêmes méthodes, et tout et tout !
Les Allemands n’ont jamais su REAGIR, n’ont jamais OSE le faire. Ils ont SUIVI ce qui se passait, ils ont OBEI, tels des moutons ou des cancrelats. C'est ce qui les a menés aux horreurs les plus abominables et à la déshumanisation la plus complète.
D'ailleurs, le témoignage de l’ancien nazi ci-dessous le prouve : même longtemps après la fin de la guerre, il ne savait toujours pas que faire, ni ce qu'il aurait pu faire, ni comment réagir.
AUJOURD'HUI, IL EN VA DE MÊME : LES GENS ONT PEUR DE S'INSURGER ET DE REAGIR DE LEUR PROPRE INITIATIVE, SEUL, SANS ATTENDRE QUE LE VOISIN SE BOUGE AVANT EUX !
Aujourd’hui, TOUT COMME DURANT LA PERIODE NAZIE, les gouvernements jouent sur la PROPAGANDE honteuse (cf. les déformations, les manipulations et les désinformations perpétuelles des mass médias en ce moment) et misent sur les phénomènes de PEUR et de HAINE (peur et haine du terroriste, du criminel, de l’immigré, du délinquant, du voisin…) afin de METTRE EN PLACE LEUR NOUVEL ORDRE MONDIAL PUTRIDE, avec ses guerres incessantes, ses contrôles et sa répression permanents, ses technologies et ses mesures liberticides !
LA SEULE SOLUTION RESIDE DANS L’ACTION ET L'INSURRECTION ! ALORS, QUAND ALLEZ-VOUS VOUS DECIDER A BOUGER DE FACON INDIVIDUELLE, SEUL, COMME UNE PERSONNE DIGNE, RESPONSABLE ET NOBLE ???
OU PREFEREZ-VOUS RESTER "TIEDE" ET FINIR COMME CES PITOYABLES ALLEMANDS DES ANNEES 1930-1940 ?
Vous n’avez plus AUCUNE excuse de ne pas réagir. VIA CE FORUM, VOUS ETES AVERTIS, ET VOUS CONNAISSEZ A PRESENT LES TENANTS ET ABOUTISSANTS DES INFAMES PROJETS MONDIAUX ET DES TRAÎTRES DE NOS GOUVERNEMENTS.
Et donc, BONNE REVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE ! Vic.
Source : http://www.planetenonviolence.org/-Ils-Pensaient-qu-ils-etaient-Libres-Les-Allemands-1933-1945-,-livre-de-Milton-Mayer_a1391.html?preaction=nl&id=5890581&idnl=27904&
isabella- Avec Saint Joseph
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Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Source : http://www.planetenonviolence.org/-Ils-Pensaient-qu-ils-etaient-Libres-Les-Allemands-1933-1945-,-livre-de-Milton-Mayer_a1391.html?preaction=nl&id=5890581&idnl=27904&
ILS PENSAIENT QU’ILS ETAIENT LIBRES
'Ils Pensaient qu'ils étaient Libres – Les Allemands 1933-1945', livre de Milton Mayer
Extraits d'un livre publié en 1955 sur comment le fascisme nazi s'est insinué dans le quotidien des allemands sans qu'ils ne réalisent ce qui arrivait. Cette lecture renvoie à ce qui se passe en ce moment dans des pays dits «démocratiques», où vigilance et résistance sont des nécessités au quotidien.
Extraits de la page 166 à 173 - Ils Pensaient qu'ils étaient Libres
Mais alors, c'était trop tard
«Personne ne semble s'être aperçu » a dit l'un de mes collègues, un philologue, « du fossé grandissant, après 1933, séparant le gouvernement du peuple, ici en Allemagne. Et il s'est élargi. Vous savez cela ne rapproche pas le peuple de son gouvernement qu'on leur dise que c'est le gouvernement du peuple, une vraie démocratie, ou d'être enrôlé dans la défense civile, ou même de voter. Tout ceci n'a rien à voir avec le fait de savoir qu'on gouverne.
« Ce qui est arrivé c'est que les gens se sont graduellement habitués, petit à petit, à être mis au courant de décisions prises en secret, on leur a fait croire que la situation était trop compliquée et donc que le gouvernement devait agir sur la base d'informations que les gens ne pouvaient pas comprendre, ou, tellement dangereuses que, même si les gens pouvaient les comprendre, elles ne pouvaient être rendues publiques à cause de la sécurité nationale. Et leur sentiment d'identification avec Hitler, leur confiance en lui, a permis que ce fossé s'élargisse et a rassuré ceux qui autrement se seraient inquiétés.
« Cette séparation du gouvernement d'avec le peuple, l'élargissement de ce fossé, s'est fait si graduellement et de façon si peu perceptible, chaque avancée déguisée (peut-être même pas intentionnellement) comme mesure temporaire d'urgence ou associée à une allégeance patriotique vraie ou à de vrais objectifs sociaux. Et toutes les crises et les réformes (réformes réelles aussi) occupaient tellement les gens qu'ils n'ont pas vu dessous le mouvement lent d'un processus complet de gouvernement devenant de plus en plus distant.
« Vous me comprendrez quand je dis que mon mode de vie était celui de quelqu'un appartenant à la casse moyenne supérieure allemande. C'était tout ce qui comptait pour moi. J'étais un universitaire, un spécialiste. Puis, brusquement, j'ai été plongé dans toute la nouvelle activité, alors que l'université était plongée dans la nouvelle situation ; rencontres, conférences, interviews, cérémonies, et, par-dessus tout, des papiers devant être remplis, des rapports, des bibliographies, des listes, des questionnaires. Et là-dessus, il y avait les demandes dans la communauté, les choses qu'on devait, dont « on attendait » qu'on y participe, qui n'étaient pas là avant, ou n'étaient pas importantes avant. Bien sûr c'était tout un circuit, mais cela consommait l'énergie de chacun, s'ajoutant au travail qu'on voulait vraiment accomplir. Vous pouvez voir comment c'était facile alors de ne pas penser aux choses fondamentales. On n'avait pas le temps. »
« Ceci » disais-je sont les mots de mon ami le boulanger. « On n'avait pas le temps de penser. Il se passait tellement de choses. »
« Votre ami le boulanger avait raison » a dit mon collègue. « La dictature et tout le processus de son installation et de son fonctionnement, c'était avant tout de divertir. Cela fournissait une excuse de ne pas penser pour les gens qui de toute façon ne voulaient pas penser. Je ne parle pas de vos « petites gens » votre boulanger et d'autres ; je parle de mes collègues et de moi-même, des personnes de savoir, figurez vous. La plupart d'entre nous ne voulaient pas penser à des choses fondamentales et ne l'avaient jamais fait. Il n'y en avait pas besoin. Le Nazisme nous apportait des choses fondamentales épouvantables sur lesquelles penser, - nous les gens décents, et ils nous maintenaient tellement occupés avec les changements continuels et les « crises » et si fascinés, oui, fascinés, par les machinations des « ennemis de la nation » de l'extérieur et de l'intérieur, que nous n'avions pas le temps de penser à ces choses effrayantes qui grandissaient, petit à petit, tout autour de nous. Inconsciemment, je suppose, nous étions reconnaissants. Qui veut penser ?
« Vivre ce processus c'est être absolument incapable de s'en apercevoir – s'il vous plaît, essayez de me croire – sauf si quelqu'un a une bien plus grande conscience politique, une acuité, que la plupart d'entre nous n'ont jamais eu l'occasion de développer. Chaque avancée était si petite, si inconséquente, si bien expliquée ou, parfois « regrettée », que, sauf si quelqu'un était complètement étranger à tout le processus depuis le début, sauf si quelqu'un avait compris tout ce que ceci voulait dire en principe, ce à quoi devait conduire toutes ces « petites mesures » qu'aucun « Allemand patriotique » ne pouvait dénigrer, ce processus on ne le voyait pas se développer de jour en jour, pas plus qu'un fermier dans son champ ne voit pousser son blé. Un jour, il dépasse sa tête.
« Comment ceci peut–il être évité parmi les gens ordinaires, même les gens ordinaires très éduqués ? Franchement je ne sais pas. Je ne vois pas comment, même maintenant. Souvent, souvent depuis que tout cela est arrivé j'ai pesé ces deux grandes maximes « Principiis obsta et Finem respice » - Résister aux commencements et Envisager la fin ». Mais pour résister on doit pouvoir prévoir la fin, où même voir les commencements. On doit prévoir la fin clairement et avec certitude, et comment cela se fera, par des hommes ordinaires ou même des hommes extraordinaires ? Les choses pourraient. Et tout le monde compte sur ce "pourraient".
« Vos « petites gens », vos amis nazis, n'étaient pas en principe contre le national socialisme. Des hommes comme moi, qui étaient, sont, les plus grands coupables, non pas parce que nous savions mieux (ce serait trop dire) mais parce que nous comprenions mieux. Le Pasteur Niemöller a parlé pour les milliers et milliers d'hommes comme moi quand il a parlé ( trop modestement de lui-même) et a dit que quand les Nazis ont attaqué les communistes, il était un peu inconfortable, mais après tout il n'était pas communiste, et ainsi il n'a rien fait, et puis ils ont attaqué les socialistes, et il était un peu plus inconfortable, mais là aussi il n'était pas socialiste, et il n'a rien fait, et puis les écoles, la presse, les juifs, et ainsi de suite, et il était toujours inconfortable, mais il n'a toujours rien fait. Et puis ils ont attaqué l'église, et c'était un homme d'église, et il a fait quelque chose mais c'était trop tard. »
« Oui », j'ai dit.
ILS PENSAIENT QU’ILS ETAIENT LIBRES
'Ils Pensaient qu'ils étaient Libres – Les Allemands 1933-1945', livre de Milton Mayer
Extraits d'un livre publié en 1955 sur comment le fascisme nazi s'est insinué dans le quotidien des allemands sans qu'ils ne réalisent ce qui arrivait. Cette lecture renvoie à ce qui se passe en ce moment dans des pays dits «démocratiques», où vigilance et résistance sont des nécessités au quotidien.
Extraits de la page 166 à 173 - Ils Pensaient qu'ils étaient Libres
Mais alors, c'était trop tard
«Personne ne semble s'être aperçu » a dit l'un de mes collègues, un philologue, « du fossé grandissant, après 1933, séparant le gouvernement du peuple, ici en Allemagne. Et il s'est élargi. Vous savez cela ne rapproche pas le peuple de son gouvernement qu'on leur dise que c'est le gouvernement du peuple, une vraie démocratie, ou d'être enrôlé dans la défense civile, ou même de voter. Tout ceci n'a rien à voir avec le fait de savoir qu'on gouverne.
« Ce qui est arrivé c'est que les gens se sont graduellement habitués, petit à petit, à être mis au courant de décisions prises en secret, on leur a fait croire que la situation était trop compliquée et donc que le gouvernement devait agir sur la base d'informations que les gens ne pouvaient pas comprendre, ou, tellement dangereuses que, même si les gens pouvaient les comprendre, elles ne pouvaient être rendues publiques à cause de la sécurité nationale. Et leur sentiment d'identification avec Hitler, leur confiance en lui, a permis que ce fossé s'élargisse et a rassuré ceux qui autrement se seraient inquiétés.
« Cette séparation du gouvernement d'avec le peuple, l'élargissement de ce fossé, s'est fait si graduellement et de façon si peu perceptible, chaque avancée déguisée (peut-être même pas intentionnellement) comme mesure temporaire d'urgence ou associée à une allégeance patriotique vraie ou à de vrais objectifs sociaux. Et toutes les crises et les réformes (réformes réelles aussi) occupaient tellement les gens qu'ils n'ont pas vu dessous le mouvement lent d'un processus complet de gouvernement devenant de plus en plus distant.
« Vous me comprendrez quand je dis que mon mode de vie était celui de quelqu'un appartenant à la casse moyenne supérieure allemande. C'était tout ce qui comptait pour moi. J'étais un universitaire, un spécialiste. Puis, brusquement, j'ai été plongé dans toute la nouvelle activité, alors que l'université était plongée dans la nouvelle situation ; rencontres, conférences, interviews, cérémonies, et, par-dessus tout, des papiers devant être remplis, des rapports, des bibliographies, des listes, des questionnaires. Et là-dessus, il y avait les demandes dans la communauté, les choses qu'on devait, dont « on attendait » qu'on y participe, qui n'étaient pas là avant, ou n'étaient pas importantes avant. Bien sûr c'était tout un circuit, mais cela consommait l'énergie de chacun, s'ajoutant au travail qu'on voulait vraiment accomplir. Vous pouvez voir comment c'était facile alors de ne pas penser aux choses fondamentales. On n'avait pas le temps. »
« Ceci » disais-je sont les mots de mon ami le boulanger. « On n'avait pas le temps de penser. Il se passait tellement de choses. »
« Votre ami le boulanger avait raison » a dit mon collègue. « La dictature et tout le processus de son installation et de son fonctionnement, c'était avant tout de divertir. Cela fournissait une excuse de ne pas penser pour les gens qui de toute façon ne voulaient pas penser. Je ne parle pas de vos « petites gens » votre boulanger et d'autres ; je parle de mes collègues et de moi-même, des personnes de savoir, figurez vous. La plupart d'entre nous ne voulaient pas penser à des choses fondamentales et ne l'avaient jamais fait. Il n'y en avait pas besoin. Le Nazisme nous apportait des choses fondamentales épouvantables sur lesquelles penser, - nous les gens décents, et ils nous maintenaient tellement occupés avec les changements continuels et les « crises » et si fascinés, oui, fascinés, par les machinations des « ennemis de la nation » de l'extérieur et de l'intérieur, que nous n'avions pas le temps de penser à ces choses effrayantes qui grandissaient, petit à petit, tout autour de nous. Inconsciemment, je suppose, nous étions reconnaissants. Qui veut penser ?
« Vivre ce processus c'est être absolument incapable de s'en apercevoir – s'il vous plaît, essayez de me croire – sauf si quelqu'un a une bien plus grande conscience politique, une acuité, que la plupart d'entre nous n'ont jamais eu l'occasion de développer. Chaque avancée était si petite, si inconséquente, si bien expliquée ou, parfois « regrettée », que, sauf si quelqu'un était complètement étranger à tout le processus depuis le début, sauf si quelqu'un avait compris tout ce que ceci voulait dire en principe, ce à quoi devait conduire toutes ces « petites mesures » qu'aucun « Allemand patriotique » ne pouvait dénigrer, ce processus on ne le voyait pas se développer de jour en jour, pas plus qu'un fermier dans son champ ne voit pousser son blé. Un jour, il dépasse sa tête.
« Comment ceci peut–il être évité parmi les gens ordinaires, même les gens ordinaires très éduqués ? Franchement je ne sais pas. Je ne vois pas comment, même maintenant. Souvent, souvent depuis que tout cela est arrivé j'ai pesé ces deux grandes maximes « Principiis obsta et Finem respice » - Résister aux commencements et Envisager la fin ». Mais pour résister on doit pouvoir prévoir la fin, où même voir les commencements. On doit prévoir la fin clairement et avec certitude, et comment cela se fera, par des hommes ordinaires ou même des hommes extraordinaires ? Les choses pourraient. Et tout le monde compte sur ce "pourraient".
« Vos « petites gens », vos amis nazis, n'étaient pas en principe contre le national socialisme. Des hommes comme moi, qui étaient, sont, les plus grands coupables, non pas parce que nous savions mieux (ce serait trop dire) mais parce que nous comprenions mieux. Le Pasteur Niemöller a parlé pour les milliers et milliers d'hommes comme moi quand il a parlé ( trop modestement de lui-même) et a dit que quand les Nazis ont attaqué les communistes, il était un peu inconfortable, mais après tout il n'était pas communiste, et ainsi il n'a rien fait, et puis ils ont attaqué les socialistes, et il était un peu plus inconfortable, mais là aussi il n'était pas socialiste, et il n'a rien fait, et puis les écoles, la presse, les juifs, et ainsi de suite, et il était toujours inconfortable, mais il n'a toujours rien fait. Et puis ils ont attaqué l'église, et c'était un homme d'église, et il a fait quelque chose mais c'était trop tard. »
« Oui », j'ai dit.
isabella- Avec Saint Joseph
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Inscription : 29/08/2007
Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
« Vous voyez » mon collègue a continué, « on ne voit pas exactement où, comment bouger ». Croyez moi, c'est vrai. Chaque acte, chaque évènement est pire que le précédent, mais juste un peu plus mauvais. Vous attendez pour le suivant, puis le suivant. Vous attendez un grand évènement qui choque, pensant que les autres, quand un tel choc arrivera, vous rejoindront pour résister d'une certaine façon. Vous ne voulez pas agir, ou même parler, seul, vous ne « voulez pas sortir de votre chemin pour faire des histoires ». Pourquoi pas ? Vous n'avez pas l'habitude de le faire. Et ce n'est pas seulement la peur, la peur de se trouver seul, qui vous retient, c'est aussi une véritable incertitude.
« L'incertitude est un facteur très important, et, au lieu de diminuer alors que le temps passe, elle augmente. Dehors, dans les rues, dans la communauté générale, « tout le monde » est heureux. On n'entend aucune protestation, et on n'en voit certainement aucune. Vous savez en France ou en Italie, il y aurait des slogans contre le gouvernement peints sur les murs et les palissades, en Allemagne, en dehors des grandes villes, peut être, il n'y a même pas cela. Dans votre communauté universitaire, dans votre propre communauté, vous parlez en privé avec vos collègues, certains d'entre eux ressentant certainement ce que vous ressentez ; mais qu'est-ce qu'ils disent : « la situation n'est pas si mauvaise » ou « vous vous imaginez des choses » ou « vous êtes un alarmiste ».
« Et vous êtes un alarmiste. Vous dites que cela va conduire à ceci, mais vous ne pouvez pas le prouver. Ce sont les débuts, oui ; mais comment en êtes vous sûr quand vous ne connaissez pas la fin, et comment le savez vous, ou même vous vous perdez en conjoncture sur la fin ? D'un côté vos ennemis, la loi, le régime, le Parti vous intimident. De l'autre, vos collègues vous traitent de pessimiste ou même de névrosé. Il ne vous reste que vos plus proches amis qui naturellement ont toujours pensé comme vous.
« Mais vous avez moins d'amis maintenant. Certains se sont réorientés vers autre chose ou se sont enfouis dans leur travail. Vous n'en voyez pas autant lors de rencontres et de rassemblements. Les groupes informels diminuent en taille, la fréquentation dans les petites organisations baisse, et les organisations elles-mêmes se réduisent. Maintenant dans les petits rassemblements avec vos anciens amis, vous avez le sentiment de vous parler à vous-même, que vous êtes isolé de la réalité des choses. Ceci affaiblit votre confiance encore un peu plus et sert encore plus de déterrent pour, pour faire quoi ? C'est constamment clair que si vous allez faire quelque chose, vous devez créer l'occasion de le faire, et, alors vous êtes évidemment un agitateur. Donc vous attendez, et vous attendez.
« Mais le grand évènement qui choque, quand des dizaines, des milliers vous rejoindront, n'arrive jamais. C'est la difficulté. C'est le dernier et le pire des actes du régime était arrivé juste après le premier et le plus petit, des milliers, oui des millions, auraient été suffisamment choqués, si, disons, le gazage des juifs en 43 était arrivé juste après les auto collants « affaires allemandes » apparus sur les vitrines des boutiques non juives en 33. Mais bien sûr ce n'est pas comme cela que c'est arrivé. Entre les deux, il y a eu les centaines de petites avancées, certaines d'entre elles imperceptibles, chacune d'entre elles vous préparant à ne pas être choqué par la suivante. Le C n'est pas si pire que le B, et, si vous ne vous êtes pas opposé pour B, pourquoi le faire pour C, Et ainsi de suite jusqu'à D.
« Et un jour, trop tard, vos principes, si vous en teniez compte, tout cela vous rattrape. Le poids de votre propre duplicité est devenu trop lourd, et un incident mineur, dans mon cas mon petit garçon, à peine plus âgé qu'un nourrisson, disant « cochon de juif », fait tout chavirer, et vous voyez que tout, tout, a changé et change complètement sous votre nez.
Le monde dans lequel vous vivez – votre nation, votre peuple – n'est pas du tout le monde dans lequel vous êtes né. Les formes sont toutes là, inchangées, toutes rassurantes, les maisons, les boutiques, les emplois, le temps des repas, les visites, les concerts, le cinéma, les vacances. Mais l'esprit, auquel vous n'avez jamais prêté attention parce que vous l'identifiiez avec les formes, a changé. Maintenant vous vivez dans un monde de haine et de peur, et les gens qui haïssent et ont peur ne le savent même pas eux–mêmes quand chacun est transformé, personne ne l'est. Maintenant vous vivez dans un système qui règne sans responsabilité, même pas devant Dieu. Ce n'était pas l'intention du système lui-même au départ, mais pour se maintenir il a dû aller jusqu'au bout.
« Vous avez vous-même été presque jusqu'au bout. La vie est un processus continu, un écoulement, et non pas une succession d'actes et d'événements. Elle coule à un autre niveau, vous transportant avec elle sans aucun effort de votre part. A ce nouveau niveau, vous vivez, vous avez vécu chaque jour plus confortablement, avec des nouvelles valeurs morales, des nouveaux principes. Vous avez accepté des choses que vous n'auriez pas acceptées il y a cinq ans, il y a un an, des choses que votre père, même en Allemagne, n'aurait pu imaginer.
« Soudain, tout cela s'écroule, d'un seul coup. Vous voyez ce que vous êtes, ce que vous avez fait, ou plus précisément, ce que vous n'avez pas fait (car c'est tout ce qui nous était demandé à tous : ne rien faire). Vous vous souvenez de vos précédentes rencontres à votre département à l'université, quand si un s'était levé, les autres se seraient levés peut être, mais personne ne s'était levé. Un petit problème, celui d'engager cet homme ou celui-là, et vous avez engagé celui-ci plutôt que celui-là. Vous vous souvenez de tout maintenant, et votre cœur se brise. Trop tard. Vous être compromis bien au-delà de pouvoir réparer.
« Et puis quoi ? Vous devez vous tirer une balle. Quelques-uns l'ont fait. Ou « ajuster » vos principes. Beaucoup ont essayé, et certains, je suppose, y sont parvenu ; cependant, pas moi. Ou apprendre à vivre le reste de votre vie avec votre honte. Cette dernière solution est la plus proche qui existe, dans ces circonstances, de l'héroïsme : la honte. Beaucoup d'allemands sont devenus ce pauvre genre de héros, beaucoup plus je pense que le monde ne connaît ou prend la peine de connaître. »
Je n'ai rien dit, je ne pensais à rien pour répondre.
« Je peux vous parler », a continué mon collègue, « d'un homme à Leipzig, un juge ; il n'était pas un Nazi, sauf théoriquement, mais il n'était certainement pas anti-Nazi. C'était juste un juge. En 42, ou 43, début 43, je pense que c'est arrivé, un Juif a été jugé devant lui dans un cas impliquant, mais seulement accidentellement, des relations avec une femme « aryenne ». C'était un « tort causé à la race », quelque chose que le Parti tenait absolument à punir. Dans ce cas, à la barre, le juge avait le pouvoir de condamner l'homme pour une offense « non raciale » et l'envoyer dans une prison ordinaire pour une longue période, le sauvant ainsi du « processus » du Parti, ce qui voulait dire un camp de concentration, ou plus probablement la déportation et la mort. Mais l'homme était innocent d'une accusation « non raciale » selon l'opinion du juge, et ainsi, comme juge honnête, il l'a acquitté. Bien sûr, le Parti s'est emparé du Juif dès qu'il est sorti du tribunal. »
« Et le juge ? »
« Oui le juge. Il n'a pas pu extirper le cas de sa conscience, un cas, où, remarquez, il avait acquitté un homme innocent. Il a pensé qu'il aurait dû le condamner et le sauver du Parti, mais comment pouvait-il condamner un homme innocent ? Cela lui pesait de plus en plus et il a dû en parler, d'abord à sa famille, puis à ses amis, et puis à des relations. (C'est comme cela que j'en ai entendu parler). Apres le Putsch de 44, ils l'ont arrêté. Ensuite, je ne sais pas. »
Je n'ai rien dit.
« Une fois que la guerre a commencé », mon collègue a poursuivi, contre « la résistance, la protestation, la critique, les plaintes, les plus grandes punitions ont été amplifiées. Une absence d'enthousiasme, ou ne pas manifester d'enthousiasme en public, c'était du « défaitisme ». Vous supposez qu'il y a des listes de ceux dont on s'occupera « plus tard », après la victoire. Goebbels là-dessus était aussi très intelligent. Il promettait continuellement une « orgie de victoire » pour « s'occuper de ceux » qui pensaient que leur « attitude de trahison » avait échappé à l'attention. Et il était sérieux là-dessus, ce n'était pas juste de la propagande. Et cela suffisait à mettre un terme à toute incertitude.
« Une fois que la guerre a commencé, le gouvernement pouvait faire tout ce qui est « nécessaire » pour la gagner; il en a été ainsi avec la « solution finale » du problème juif, dont parlaient en permanence les Nazis mais qu'ils n ‘avaient jamais osé entreprendre jusqu'à ce que la « guerre » et ses « nécessités » leur fassent comprendre qu'ils pourraient le faire et s'en tirer à bon compte. Les gens à l'étranger qui pensaient que la guerre contre Hitler aiderait les Juifs avaient tort. Et les gens en Allemagne qui, une fois la guerre commencée, pensaient encore se plaindre, protester ou résister, pariaient sur la défaite des Allemands. C'était un pari à long terme. Peu y ont survécu. »
« L'incertitude est un facteur très important, et, au lieu de diminuer alors que le temps passe, elle augmente. Dehors, dans les rues, dans la communauté générale, « tout le monde » est heureux. On n'entend aucune protestation, et on n'en voit certainement aucune. Vous savez en France ou en Italie, il y aurait des slogans contre le gouvernement peints sur les murs et les palissades, en Allemagne, en dehors des grandes villes, peut être, il n'y a même pas cela. Dans votre communauté universitaire, dans votre propre communauté, vous parlez en privé avec vos collègues, certains d'entre eux ressentant certainement ce que vous ressentez ; mais qu'est-ce qu'ils disent : « la situation n'est pas si mauvaise » ou « vous vous imaginez des choses » ou « vous êtes un alarmiste ».
« Et vous êtes un alarmiste. Vous dites que cela va conduire à ceci, mais vous ne pouvez pas le prouver. Ce sont les débuts, oui ; mais comment en êtes vous sûr quand vous ne connaissez pas la fin, et comment le savez vous, ou même vous vous perdez en conjoncture sur la fin ? D'un côté vos ennemis, la loi, le régime, le Parti vous intimident. De l'autre, vos collègues vous traitent de pessimiste ou même de névrosé. Il ne vous reste que vos plus proches amis qui naturellement ont toujours pensé comme vous.
« Mais vous avez moins d'amis maintenant. Certains se sont réorientés vers autre chose ou se sont enfouis dans leur travail. Vous n'en voyez pas autant lors de rencontres et de rassemblements. Les groupes informels diminuent en taille, la fréquentation dans les petites organisations baisse, et les organisations elles-mêmes se réduisent. Maintenant dans les petits rassemblements avec vos anciens amis, vous avez le sentiment de vous parler à vous-même, que vous êtes isolé de la réalité des choses. Ceci affaiblit votre confiance encore un peu plus et sert encore plus de déterrent pour, pour faire quoi ? C'est constamment clair que si vous allez faire quelque chose, vous devez créer l'occasion de le faire, et, alors vous êtes évidemment un agitateur. Donc vous attendez, et vous attendez.
« Mais le grand évènement qui choque, quand des dizaines, des milliers vous rejoindront, n'arrive jamais. C'est la difficulté. C'est le dernier et le pire des actes du régime était arrivé juste après le premier et le plus petit, des milliers, oui des millions, auraient été suffisamment choqués, si, disons, le gazage des juifs en 43 était arrivé juste après les auto collants « affaires allemandes » apparus sur les vitrines des boutiques non juives en 33. Mais bien sûr ce n'est pas comme cela que c'est arrivé. Entre les deux, il y a eu les centaines de petites avancées, certaines d'entre elles imperceptibles, chacune d'entre elles vous préparant à ne pas être choqué par la suivante. Le C n'est pas si pire que le B, et, si vous ne vous êtes pas opposé pour B, pourquoi le faire pour C, Et ainsi de suite jusqu'à D.
« Et un jour, trop tard, vos principes, si vous en teniez compte, tout cela vous rattrape. Le poids de votre propre duplicité est devenu trop lourd, et un incident mineur, dans mon cas mon petit garçon, à peine plus âgé qu'un nourrisson, disant « cochon de juif », fait tout chavirer, et vous voyez que tout, tout, a changé et change complètement sous votre nez.
Le monde dans lequel vous vivez – votre nation, votre peuple – n'est pas du tout le monde dans lequel vous êtes né. Les formes sont toutes là, inchangées, toutes rassurantes, les maisons, les boutiques, les emplois, le temps des repas, les visites, les concerts, le cinéma, les vacances. Mais l'esprit, auquel vous n'avez jamais prêté attention parce que vous l'identifiiez avec les formes, a changé. Maintenant vous vivez dans un monde de haine et de peur, et les gens qui haïssent et ont peur ne le savent même pas eux–mêmes quand chacun est transformé, personne ne l'est. Maintenant vous vivez dans un système qui règne sans responsabilité, même pas devant Dieu. Ce n'était pas l'intention du système lui-même au départ, mais pour se maintenir il a dû aller jusqu'au bout.
« Vous avez vous-même été presque jusqu'au bout. La vie est un processus continu, un écoulement, et non pas une succession d'actes et d'événements. Elle coule à un autre niveau, vous transportant avec elle sans aucun effort de votre part. A ce nouveau niveau, vous vivez, vous avez vécu chaque jour plus confortablement, avec des nouvelles valeurs morales, des nouveaux principes. Vous avez accepté des choses que vous n'auriez pas acceptées il y a cinq ans, il y a un an, des choses que votre père, même en Allemagne, n'aurait pu imaginer.
« Soudain, tout cela s'écroule, d'un seul coup. Vous voyez ce que vous êtes, ce que vous avez fait, ou plus précisément, ce que vous n'avez pas fait (car c'est tout ce qui nous était demandé à tous : ne rien faire). Vous vous souvenez de vos précédentes rencontres à votre département à l'université, quand si un s'était levé, les autres se seraient levés peut être, mais personne ne s'était levé. Un petit problème, celui d'engager cet homme ou celui-là, et vous avez engagé celui-ci plutôt que celui-là. Vous vous souvenez de tout maintenant, et votre cœur se brise. Trop tard. Vous être compromis bien au-delà de pouvoir réparer.
« Et puis quoi ? Vous devez vous tirer une balle. Quelques-uns l'ont fait. Ou « ajuster » vos principes. Beaucoup ont essayé, et certains, je suppose, y sont parvenu ; cependant, pas moi. Ou apprendre à vivre le reste de votre vie avec votre honte. Cette dernière solution est la plus proche qui existe, dans ces circonstances, de l'héroïsme : la honte. Beaucoup d'allemands sont devenus ce pauvre genre de héros, beaucoup plus je pense que le monde ne connaît ou prend la peine de connaître. »
Je n'ai rien dit, je ne pensais à rien pour répondre.
« Je peux vous parler », a continué mon collègue, « d'un homme à Leipzig, un juge ; il n'était pas un Nazi, sauf théoriquement, mais il n'était certainement pas anti-Nazi. C'était juste un juge. En 42, ou 43, début 43, je pense que c'est arrivé, un Juif a été jugé devant lui dans un cas impliquant, mais seulement accidentellement, des relations avec une femme « aryenne ». C'était un « tort causé à la race », quelque chose que le Parti tenait absolument à punir. Dans ce cas, à la barre, le juge avait le pouvoir de condamner l'homme pour une offense « non raciale » et l'envoyer dans une prison ordinaire pour une longue période, le sauvant ainsi du « processus » du Parti, ce qui voulait dire un camp de concentration, ou plus probablement la déportation et la mort. Mais l'homme était innocent d'une accusation « non raciale » selon l'opinion du juge, et ainsi, comme juge honnête, il l'a acquitté. Bien sûr, le Parti s'est emparé du Juif dès qu'il est sorti du tribunal. »
« Et le juge ? »
« Oui le juge. Il n'a pas pu extirper le cas de sa conscience, un cas, où, remarquez, il avait acquitté un homme innocent. Il a pensé qu'il aurait dû le condamner et le sauver du Parti, mais comment pouvait-il condamner un homme innocent ? Cela lui pesait de plus en plus et il a dû en parler, d'abord à sa famille, puis à ses amis, et puis à des relations. (C'est comme cela que j'en ai entendu parler). Apres le Putsch de 44, ils l'ont arrêté. Ensuite, je ne sais pas. »
Je n'ai rien dit.
« Une fois que la guerre a commencé », mon collègue a poursuivi, contre « la résistance, la protestation, la critique, les plaintes, les plus grandes punitions ont été amplifiées. Une absence d'enthousiasme, ou ne pas manifester d'enthousiasme en public, c'était du « défaitisme ». Vous supposez qu'il y a des listes de ceux dont on s'occupera « plus tard », après la victoire. Goebbels là-dessus était aussi très intelligent. Il promettait continuellement une « orgie de victoire » pour « s'occuper de ceux » qui pensaient que leur « attitude de trahison » avait échappé à l'attention. Et il était sérieux là-dessus, ce n'était pas juste de la propagande. Et cela suffisait à mettre un terme à toute incertitude.
« Une fois que la guerre a commencé, le gouvernement pouvait faire tout ce qui est « nécessaire » pour la gagner; il en a été ainsi avec la « solution finale » du problème juif, dont parlaient en permanence les Nazis mais qu'ils n ‘avaient jamais osé entreprendre jusqu'à ce que la « guerre » et ses « nécessités » leur fassent comprendre qu'ils pourraient le faire et s'en tirer à bon compte. Les gens à l'étranger qui pensaient que la guerre contre Hitler aiderait les Juifs avaient tort. Et les gens en Allemagne qui, une fois la guerre commencée, pensaient encore se plaindre, protester ou résister, pariaient sur la défaite des Allemands. C'était un pari à long terme. Peu y ont survécu. »
isabella- Avec Saint Joseph
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Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Je ne vois pas pourquoi nous parlons de Révolution...
La plus grande révolution c'est intérieur qu'elle se passe, il faut prier pour être éclairer par l'Esprit Saint, et prier pour la conversion du monde !
Le chef de la Milice Céleste c'est St-Michel Archange !
La plus grande révolution c'est intérieur qu'elle se passe, il faut prier pour être éclairer par l'Esprit Saint, et prier pour la conversion du monde !
Le chef de la Milice Céleste c'est St-Michel Archange !
Danielle- Enfant de Dieu
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Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Tu "ne vois pas pourquoi nous parlons de révolution" ???
Cela me semble pourtant très clair.
Nous sommes actuellement sur le point de retomber dans le nazisme, au sens le plus littéral du terme.
Nous faisons face actuellement à la suppression progressive (mais de plus en plus rapide) des libertés dans nos pays respectifs. Tout individu est considéré comme criminel (le passager aérien, l'immigré, le délinquant, le terroriste réel ou non, le manifestant, le libre-penseur), comme une personne qui doit être surveillée à totu moment et réprimée. Nous voyons l'émergence du nouvel ordre mondial. Nous voyons que l'inactivité de chacun est ce qui permet à un système répugnant et dévastateur d'arriver au pouvoir (cf. le texte ci-dessus, très clair à ce sujet).
Seule une révolution peut faire changer les choses. Il nous fait un changement par rapport à ce qui est en train de se passer d'horrible et d'inhumain. Et vite, parce que le processus d'abrutissement et d'apathie de la population, processus vital pour le développememnt du nazisme, comme nous l'avons vu, est déjà bien entamé !
Evidemment, il y a aussi ceux qui préféreraient que les gens ne se libèrent surtout pas de leurs "chaînes" et que le nouvel ordre mondial arrive...
Sur le forum, je pense que nous avons d'autant moins de raisons de ne pas réagir que nous sommes largement avertis de tous les dangers et enjeux actuels. A moins d'être d'irrémédiables hypocrites...
Cela me semble pourtant très clair.
Nous sommes actuellement sur le point de retomber dans le nazisme, au sens le plus littéral du terme.
Nous faisons face actuellement à la suppression progressive (mais de plus en plus rapide) des libertés dans nos pays respectifs. Tout individu est considéré comme criminel (le passager aérien, l'immigré, le délinquant, le terroriste réel ou non, le manifestant, le libre-penseur), comme une personne qui doit être surveillée à totu moment et réprimée. Nous voyons l'émergence du nouvel ordre mondial. Nous voyons que l'inactivité de chacun est ce qui permet à un système répugnant et dévastateur d'arriver au pouvoir (cf. le texte ci-dessus, très clair à ce sujet).
Seule une révolution peut faire changer les choses. Il nous fait un changement par rapport à ce qui est en train de se passer d'horrible et d'inhumain. Et vite, parce que le processus d'abrutissement et d'apathie de la population, processus vital pour le développememnt du nazisme, comme nous l'avons vu, est déjà bien entamé !
Evidemment, il y a aussi ceux qui préféreraient que les gens ne se libèrent surtout pas de leurs "chaînes" et que le nouvel ordre mondial arrive...
Sur le forum, je pense que nous avons d'autant moins de raisons de ne pas réagir que nous sommes largement avertis de tous les dangers et enjeux actuels. A moins d'être d'irrémédiables hypocrites...
isabella- Avec Saint Joseph
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Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Révolution = meurtres.
Sommes-nous des meurtriers ? Les martyrs se défendaient-ils avec les armes ou avec la Parole de Dieu et leur sang ? Et qui a gagné finalement ? Le christiannisme ne s'est pas étendu par la violence des chrétiens mais le sang des martyrs. Avez-vous lu l'histoire du prophète Daniel ? Daniel ne s'insurgea pas contre les rois mauvais de Babylone par la violence, car il savait que les mauvais dirigeants sont la punition divine de la méchanceté des peuples. D'ailleurs, si saint qu'il était, il fut 1er satrape du royaume de Babylone. La Bible dit clairement que la captivité de Babylone était punition divine. A nous de lever la punition par nos prières, selon la promesse de Jésus : demandez et vous reçevrez. Jean 18.19 Je vous dis encore que, si deux d'entre vous s'accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux. 18.20 Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d'eux.
Faisons donc la Révolution du Christ par la Charité. Aimez vos ennemis, priez pour ceux qui vous persécutent. Quand saint Pierre voulut défendre Jésus, coupant l'oreille du grand-prêtre, Matthieu 26.52 Alors Jésus lui dit: Remets ton épée à sa place; car tous ceux qui prendront l'épée périront par l'épée.
Dieu abattra lui-même ceux qui se dresse contre nous, car si Dieu est avec nous, qui sera contre nous ? N'a-t-il pas promis à l'Eglise que les portes de l'enfer ne prévaudrnt pas contre elle ? Restons ferme comme Job dans la foi, attendant avec confiance la fin de l'épreuve, propageant par nos prières la Lumière du monde qui est Jésus Lui-même.
Paix en Jésus.
Sommes-nous des meurtriers ? Les martyrs se défendaient-ils avec les armes ou avec la Parole de Dieu et leur sang ? Et qui a gagné finalement ? Le christiannisme ne s'est pas étendu par la violence des chrétiens mais le sang des martyrs. Avez-vous lu l'histoire du prophète Daniel ? Daniel ne s'insurgea pas contre les rois mauvais de Babylone par la violence, car il savait que les mauvais dirigeants sont la punition divine de la méchanceté des peuples. D'ailleurs, si saint qu'il était, il fut 1er satrape du royaume de Babylone. La Bible dit clairement que la captivité de Babylone était punition divine. A nous de lever la punition par nos prières, selon la promesse de Jésus : demandez et vous reçevrez. Jean 18.19 Je vous dis encore que, si deux d'entre vous s'accordent sur la terre pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée par mon Père qui est dans les cieux. 18.20 Car là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d'eux.
Faisons donc la Révolution du Christ par la Charité. Aimez vos ennemis, priez pour ceux qui vous persécutent. Quand saint Pierre voulut défendre Jésus, coupant l'oreille du grand-prêtre, Matthieu 26.52 Alors Jésus lui dit: Remets ton épée à sa place; car tous ceux qui prendront l'épée périront par l'épée.
Dieu abattra lui-même ceux qui se dresse contre nous, car si Dieu est avec nous, qui sera contre nous ? N'a-t-il pas promis à l'Eglise que les portes de l'enfer ne prévaudrnt pas contre elle ? Restons ferme comme Job dans la foi, attendant avec confiance la fin de l'épreuve, propageant par nos prières la Lumière du monde qui est Jésus Lui-même.
Paix en Jésus.
Dousig- Aime le Rosaire
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Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Un révolutionnaire n'est pas un terroriste, ni un vil criminel. Jésus lui-même fut révolutionnaire.
Faire un lien entre la révolution et le meurtre, cela prouve que vous n'avez rien compris, et que l'abrutissement médiatique a bien fait son oeuvre de lavage de cerveau !
Le nouvel ordre mondial et les gouvernements qui y sont subordonnés sont en effet en train de criminaliser systématiquement les révolutionnaires, en en faisant des meurtriers ou des terroristes. Dousig fait de même...
Le révolutionaire, c'est celui qui s'insurge contre un pouvoir non démocratique afin de sauvegarder ses droits, ses libertés et ceux de son prochain, ou qui se révolte parce que les vautours avides du pouvoir ne lui permettent plus de survivre de façon décente.
Cela me semble des raisons fort valables de lutter, et c'est loin d'être nécessairement lié au meurtre.
Mais bien sûr, si vous préférez la dictature du nouvel ordre mondial...
Faire un lien entre la révolution et le meurtre, cela prouve que vous n'avez rien compris, et que l'abrutissement médiatique a bien fait son oeuvre de lavage de cerveau !
Le nouvel ordre mondial et les gouvernements qui y sont subordonnés sont en effet en train de criminaliser systématiquement les révolutionnaires, en en faisant des meurtriers ou des terroristes. Dousig fait de même...
Le révolutionaire, c'est celui qui s'insurge contre un pouvoir non démocratique afin de sauvegarder ses droits, ses libertés et ceux de son prochain, ou qui se révolte parce que les vautours avides du pouvoir ne lui permettent plus de survivre de façon décente.
Cela me semble des raisons fort valables de lutter, et c'est loin d'être nécessairement lié au meurtre.
Mais bien sûr, si vous préférez la dictature du nouvel ordre mondial...
isabella- Avec Saint Joseph
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Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Je n'ai pas vu que Jésus s'est insurgé contre Ponce-Pilate ni les grands-prêtres mais qu'il s'est livré lui-même pour nous.
Jésus a demandé à saint Pierre de ranger son épée et de ne pas le défendre ainsi.
Nos armes sont plus efficaces que les épées ou les manifestations puisque la prière et la charité touchent non pas le corps mais le coeur des hommes. Ce qui ne nous empêche pas d'essayer de changer les choses avec nos moyens.
Jésus n'était pas révolutionnaire. Il était comme l'agneau pascal que l'on sacrifiait justement le jour de la Pâques juive, en prévision du moment où l'Agneau de Dieu effacera les péchés du monde.
Il disait : rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. Le prophète Daniel, lorsque l'édit du roi fit entendre qu'on ne devait plus prier sous peine d'être jeté aux lions, se contenta simplement de faire malgré tout son devoir. Il fut surpris et jeté dans la fosse aux lions et Dieu leur ferma la gueule.
Il en sera ainsi de tous les lions qui tenteront de toucher les chrétiens qui placent leur confiance en Dieu seul.
Que Dieu vous bénisse.
Jésus a demandé à saint Pierre de ranger son épée et de ne pas le défendre ainsi.
Nos armes sont plus efficaces que les épées ou les manifestations puisque la prière et la charité touchent non pas le corps mais le coeur des hommes. Ce qui ne nous empêche pas d'essayer de changer les choses avec nos moyens.
Jésus n'était pas révolutionnaire. Il était comme l'agneau pascal que l'on sacrifiait justement le jour de la Pâques juive, en prévision du moment où l'Agneau de Dieu effacera les péchés du monde.
Il disait : rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. Le prophète Daniel, lorsque l'édit du roi fit entendre qu'on ne devait plus prier sous peine d'être jeté aux lions, se contenta simplement de faire malgré tout son devoir. Il fut surpris et jeté dans la fosse aux lions et Dieu leur ferma la gueule.
Il en sera ainsi de tous les lions qui tenteront de toucher les chrétiens qui placent leur confiance en Dieu seul.
Que Dieu vous bénisse.
Dousig- Aime le Rosaire
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Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Pour rappel, Jésus s'est opposé à certaines lois stupides et totalitaires des Pharisiens (chefs religieux de ce temps), menaçant de façon indirecte leur autorité. C'est bien pour cela qu'il a été mis à mort...
Il n'hésitait pas non plus à chasser les marchands du temple (la façon n'était d'ailleurs pas très pacifique, mais néanmoins justifiée...).
Le Dieu d'amour est aussi Dieu de justice. Il ne faudrait pas l'oublier.
Et, me semble-t-il, ce n'est que justice que les dictateurs, les avides, les sans-coeur, les mauvais soient châtiés. La Bible nous rapporte même des faits bien pires que des révolutions : des guerres furent engagées par les Juifs afin de préserver leur territoire, leur culture, leurs libertés, leur patrimoine, leur héritage, leur religion, leur famille (risque de massacre)... l'Ancient Testament fourmille de cas de ce genre.
Nous sommes aujourd'hui devant un grand dilemme : nous révolter, avec les risques que cela comporte, ou attendre de façon amorphe des désastres nettement pires encore : que nos vendus de dirigeants déclenchent la troisième guerre mondiale et/ou nous réduisent en esclavage via des technologies d'asservissement et d'exploitation.
Le choix est difficile, mais je crois que la seconde solution, bien que plus facile, est surtout la plus dangereuse et la plus catastrophique.
Il n'hésitait pas non plus à chasser les marchands du temple (la façon n'était d'ailleurs pas très pacifique, mais néanmoins justifiée...).
Le Dieu d'amour est aussi Dieu de justice. Il ne faudrait pas l'oublier.
Et, me semble-t-il, ce n'est que justice que les dictateurs, les avides, les sans-coeur, les mauvais soient châtiés. La Bible nous rapporte même des faits bien pires que des révolutions : des guerres furent engagées par les Juifs afin de préserver leur territoire, leur culture, leurs libertés, leur patrimoine, leur héritage, leur religion, leur famille (risque de massacre)... l'Ancient Testament fourmille de cas de ce genre.
Nous sommes aujourd'hui devant un grand dilemme : nous révolter, avec les risques que cela comporte, ou attendre de façon amorphe des désastres nettement pires encore : que nos vendus de dirigeants déclenchent la troisième guerre mondiale et/ou nous réduisent en esclavage via des technologies d'asservissement et d'exploitation.
Le choix est difficile, mais je crois que la seconde solution, bien que plus facile, est surtout la plus dangereuse et la plus catastrophique.
isabella- Avec Saint Joseph
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Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Première lettre de Pierre
Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute institution humaine : soit au roi, comme souverain, soit aux gouverneurs, comme envoyés par lui pour punir ceux qui font le mal et féliciter ceux qui font le bien. Car c’est la volonté de Dieu qu’en faisant le bien vous fermiez la bouche à l’ignorance des insensés. Agissez en hommes libres, non pas en hommes qui font de la liberté un voile sur leur malice, mais en serviteurs de Dieu. Honorez tout le monde, aimez vos frères, craignez Dieu, honorez le roi. Vous les domestiques, soyez soumis à vos maîtres, avec une profonde crainte, non seulement aux bons et aux bienveillants, mais aussi aux difficiles. Car c’est une grâce que de supporter, par égard pour Dieu, des peines que l’on souffre injustement. Quelle gloire, en effet, à supporter les coups si vous avez commis une faute? Mais si, faisant le bien, vous supportez la souffrance, c’est une grâce Première lettre de Pierre
Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute institution humaine : soit au roi, comme souverain, soit aux gouverneurs, comme envoyés par lui pour punir ceux qui font le mal et féliciter ceux qui font le bien. Car c’est la volonté de Dieu qu’en faisant le bien vous fermiez la bouche à l’ignorance des insensés. Agissez en hommes libres, non pas en hommes qui font de la liberté un voile sur leur malice, mais en serviteurs de Dieu. Honorez tout le monde, aimez vos frères, craignez Dieu, honorez le roi. Vous les domestiques, soyez soumis à vos maîtres, avec une profonde crainte, non seulement aux bons et aux bienveillants, mais aussi aux difficiles. Car c’est une grâce que de supporter, par égard pour Dieu, des peines que l’on souffre injustement. Quelle gloire, en effet, à supporter les coups si vous avez commis une faute? Mais si, faisant le bien, vous supportez la souffrance, c’est une grâce auprès de Dieu.
Jean 18:36
« Mon royaume n'est pas de ce monde »
Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute institution humaine : soit au roi, comme souverain, soit aux gouverneurs, comme envoyés par lui pour punir ceux qui font le mal et féliciter ceux qui font le bien. Car c’est la volonté de Dieu qu’en faisant le bien vous fermiez la bouche à l’ignorance des insensés. Agissez en hommes libres, non pas en hommes qui font de la liberté un voile sur leur malice, mais en serviteurs de Dieu. Honorez tout le monde, aimez vos frères, craignez Dieu, honorez le roi. Vous les domestiques, soyez soumis à vos maîtres, avec une profonde crainte, non seulement aux bons et aux bienveillants, mais aussi aux difficiles. Car c’est une grâce que de supporter, par égard pour Dieu, des peines que l’on souffre injustement. Quelle gloire, en effet, à supporter les coups si vous avez commis une faute? Mais si, faisant le bien, vous supportez la souffrance, c’est une grâce Première lettre de Pierre
Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute institution humaine : soit au roi, comme souverain, soit aux gouverneurs, comme envoyés par lui pour punir ceux qui font le mal et féliciter ceux qui font le bien. Car c’est la volonté de Dieu qu’en faisant le bien vous fermiez la bouche à l’ignorance des insensés. Agissez en hommes libres, non pas en hommes qui font de la liberté un voile sur leur malice, mais en serviteurs de Dieu. Honorez tout le monde, aimez vos frères, craignez Dieu, honorez le roi. Vous les domestiques, soyez soumis à vos maîtres, avec une profonde crainte, non seulement aux bons et aux bienveillants, mais aussi aux difficiles. Car c’est une grâce que de supporter, par égard pour Dieu, des peines que l’on souffre injustement. Quelle gloire, en effet, à supporter les coups si vous avez commis une faute? Mais si, faisant le bien, vous supportez la souffrance, c’est une grâce auprès de Dieu.
Jean 18:36
« Mon royaume n'est pas de ce monde »
Dousig- Aime le Rosaire
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Inscription : 12/10/2007
Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Mais oui, c'est cela, Dousig : SOYEZ SOUMIS AUX AUTORITES DE CE MONDE, SEULEMENT !
Vous recevrez dans la main ou le front la marque de la Bête en cadeau (puce sous-cutanée ou dans le cerveau), avec, en bonus, la colère de Dieu et la damnation éternelle !!!
En vous soumettant aux autorités qui dirigent ce monde, vous vous soumettez aussi au "prince de ce monde" !
Il me faut donc constater que sur ce forum, il y a des agents qui sont soumis et qui travaillent pour les autorités et pour le "prince de ce monde" (Satan) et qui tentent par tous les moyens d'empêcher la lutte pour les libertés, pour les dignités humaines, contre les dictatures et le nouvel ordre mondial.
Je pense que certains sur ce forum sont déjà prêts à faire le salut hitlérien (ou tout autre salut que les autorités du nouvel ordre mondial mettront en place), à accepter le nouvel ordre tyrannique du monde, ainsi que la Marque (puce implantable) que celui-ci a préparé afin de mettre en place un système sans argent cash universel, électronique et virtuel sans lequel personne ne pourra acheter ni vendre. Oui, certains sont ndéjà prêts à tout accepter, fût-ce se jeter tout droit dans le puits de la Géhenne...
Ils sont prêts à accepter joyeusement ou comme une "fatalité" la dictature, les guerres et toutes les souffrances et malheurs qui en découlent. Certains font de la douleur et de la souffrance une vertu. Ceux-là vont sans doute bientôt se réjouir, car les souffrances qui nous arrivent s'annoncent inégalées. Mais tout à la fin, ceux-là PAYERONT POUR LEURS CRIMES ET LEURS INIQUITES.
Vous recevrez dans la main ou le front la marque de la Bête en cadeau (puce sous-cutanée ou dans le cerveau), avec, en bonus, la colère de Dieu et la damnation éternelle !!!
En vous soumettant aux autorités qui dirigent ce monde, vous vous soumettez aussi au "prince de ce monde" !
Il me faut donc constater que sur ce forum, il y a des agents qui sont soumis et qui travaillent pour les autorités et pour le "prince de ce monde" (Satan) et qui tentent par tous les moyens d'empêcher la lutte pour les libertés, pour les dignités humaines, contre les dictatures et le nouvel ordre mondial.
Je pense que certains sur ce forum sont déjà prêts à faire le salut hitlérien (ou tout autre salut que les autorités du nouvel ordre mondial mettront en place), à accepter le nouvel ordre tyrannique du monde, ainsi que la Marque (puce implantable) que celui-ci a préparé afin de mettre en place un système sans argent cash universel, électronique et virtuel sans lequel personne ne pourra acheter ni vendre. Oui, certains sont ndéjà prêts à tout accepter, fût-ce se jeter tout droit dans le puits de la Géhenne...
Ils sont prêts à accepter joyeusement ou comme une "fatalité" la dictature, les guerres et toutes les souffrances et malheurs qui en découlent. Certains font de la douleur et de la souffrance une vertu. Ceux-là vont sans doute bientôt se réjouir, car les souffrances qui nous arrivent s'annoncent inégalées. Mais tout à la fin, ceux-là PAYERONT POUR LEURS CRIMES ET LEURS INIQUITES.
isabella- Avec Saint Joseph
- Messages : 1455
Inscription : 29/08/2007
Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
isabelle que propeserait tu et excuse moi de poser la question mais marche tu avec le seigneur.
Si c le cas je te donne raison sur ce que tu annonce plus haut
Bien que la puce electronique sera imposer comme le seigneur la annoncer.
Nous pouvons nous preparer mais pour ce qui s'en vient afin d'aider un maximum de personne a revenir vers Dieu avant que la boucherie ne commence.
Si c le cas je te donne raison sur ce que tu annonce plus haut
Bien que la puce electronique sera imposer comme le seigneur la annoncer.
Nous pouvons nous preparer mais pour ce qui s'en vient afin d'aider un maximum de personne a revenir vers Dieu avant que la boucherie ne commence.
mikee- Combat avec Sainte Marie
- Messages : 1665
Inscription : 15/02/2006
Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Mikee,
BIen sûr, que je "mrache avec le Seigneur". Sinon, que ferais-je ici ?
Mais au fond, je comprends ta réaction : ce forum est infiltré de partout.
Quant à ta question "que proposes-tu", elle ne vaut rien : vous savez ce qu'il y a à faire, et ta question a déjà été posée je ne sais combien de fois. Et on y a répondu. Le thème même de ce topic vous donne une réponse.
J'ai la nausée quand j'entends les positions amorphes, égoïstes, couardes et fatalistes qui sont proposées par certaines personnes sur ce forum.
Certains ici sont déjà enfoncés jusqu'au cou dans cet immbobilisme et ce fatalisme qui ont conduit au nazisme et à ses horreurs. Ces gens sont incapables de se bouger, ni pour leur propre bien, ni pour celui de leur prochain !
Evidemment, il y a pire, car il y a ceux qui travaillent pour les élites que nous dénonçons et qui arrivent ici déguisés en agneaux pour corrompre un peu plus encore l'esprit déjà confus de certaines personnes.
Je pense avoir compris : en réalité, vous ATTENDEZ impatiemment la puce et le mal qui l'accompagne, parce que cela signifie que le retour du Seigneur est proche ! Vous rendez-vous compte qu'en réalité, vous attendez sans bouger la damnation de tous ceux qui prendront cette puce ? Que votre immobilisme condamne chaque jour un peu plus de personnes face aux abominations actuelles ? C'est absolument horrible et indigne de chrétiens qui sont censés supposés lutter contre ce qui est mal et aimer leur prochain !
BIen sûr, que je "mrache avec le Seigneur". Sinon, que ferais-je ici ?
Mais au fond, je comprends ta réaction : ce forum est infiltré de partout.
Quant à ta question "que proposes-tu", elle ne vaut rien : vous savez ce qu'il y a à faire, et ta question a déjà été posée je ne sais combien de fois. Et on y a répondu. Le thème même de ce topic vous donne une réponse.
J'ai la nausée quand j'entends les positions amorphes, égoïstes, couardes et fatalistes qui sont proposées par certaines personnes sur ce forum.
Certains ici sont déjà enfoncés jusqu'au cou dans cet immbobilisme et ce fatalisme qui ont conduit au nazisme et à ses horreurs. Ces gens sont incapables de se bouger, ni pour leur propre bien, ni pour celui de leur prochain !
Evidemment, il y a pire, car il y a ceux qui travaillent pour les élites que nous dénonçons et qui arrivent ici déguisés en agneaux pour corrompre un peu plus encore l'esprit déjà confus de certaines personnes.
Je pense avoir compris : en réalité, vous ATTENDEZ impatiemment la puce et le mal qui l'accompagne, parce que cela signifie que le retour du Seigneur est proche ! Vous rendez-vous compte qu'en réalité, vous attendez sans bouger la damnation de tous ceux qui prendront cette puce ? Que votre immobilisme condamne chaque jour un peu plus de personnes face aux abominations actuelles ? C'est absolument horrible et indigne de chrétiens qui sont censés supposés lutter contre ce qui est mal et aimer leur prochain !
isabella- Avec Saint Joseph
- Messages : 1455
Inscription : 29/08/2007
Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Que la paix soit avec toi
Mon pauvre Vicflamme
tu dis que Dieu a donné les 10 commandements + 1 alors que ce sont les dix commandements qui decoulent du premier.
Je te l'ai deja dit Jésus et contre toute forme de revolution.
Les revolutions ne menent qu'au chaos et à la mort.
C'est Olivier Besancenot qui reve de revolution.
Est ce que tu es communiste comme lui ?
Un bon chretien obéit à notre mere Marie quand elle demande de prier le chapelet.
Le chapelet et le rosaire sont les armes les plus puissantes contre la mort.
Cela ne sert a rien de s'exiter.
Si tu ne eux pas m'ecouter ,ecoutes Danielle :
"Je ne vois pas pourquoi nous parlons de Révolution...
La plus grande révolution c'est intérieur qu'elle se passe, il faut prier pour être éclairer par l'Esprit Saint, et prier pour la conversion du monde !
Le chef de la Milice Céleste c'est St-Michel Archange !"
Daniel
Béni soit le sacré coeur de Jésus
Mon pauvre Vicflamme
tu dis que Dieu a donné les 10 commandements + 1 alors que ce sont les dix commandements qui decoulent du premier.
Je te l'ai deja dit Jésus et contre toute forme de revolution.
Les revolutions ne menent qu'au chaos et à la mort.
C'est Olivier Besancenot qui reve de revolution.
Est ce que tu es communiste comme lui ?
Un bon chretien obéit à notre mere Marie quand elle demande de prier le chapelet.
Le chapelet et le rosaire sont les armes les plus puissantes contre la mort.
Cela ne sert a rien de s'exiter.
Si tu ne eux pas m'ecouter ,ecoutes Danielle :
"Je ne vois pas pourquoi nous parlons de Révolution...
La plus grande révolution c'est intérieur qu'elle se passe, il faut prier pour être éclairer par l'Esprit Saint, et prier pour la conversion du monde !
Le chef de la Milice Céleste c'est St-Michel Archange !"
Daniel
Béni soit le sacré coeur de Jésus
Daniel la Montagne- Avec l'Archange Saint Michel
- Messages : 198
Inscription : 31/07/2006
Re: LA REVOLUTION : POURQUOI ? COMMENT ? QUAND ?
Je suis d'accord que nous n'avons pas à obéir aux hommes quand ils ordonnent des choses contre Dieu. Si on me demande de reçevoir la marque de la bète, avec la grâce de Dieu, je dirais "non". Je n'obéis que dans la mesure où on ne va pas contre les commandements de Dieu. Exemple, si on ordonne de livrer des juifs ou n'importe qui injustement, je n'obéirai pas et je cacherai les personnes, et je les défendrais du mieux que je pourrais. Si on me demande de marcher sur une croix ou adorer des idôles ou me taire quand le salut de personnes dépend de mon silence ou non, je n'obéirai pas. Si je peux, je sauverais même les bébés avortés de la mort et j'irais enterrer les morts, quitte à faire de la prison. Autant que possible, je défendrais qu'on profane les personnes, lieux et objets sacrés, comme Jésus a chassé les marchands du temple, qui osaient voler dans l'enceinte du temple. Que Dieu me vienne en aide.
Mais si on m'ordonne de respecter le code de la route et les limitations de vitesse, les lois justes, j'y obéirais. C'est de cette manière que je comprends obéir au gouvernement. Tant que le gouvernement donne des lois qui sont applicables par un catholique, je pense que l'on doit y obéir. Si les lois sont partiellement injustes, je pense qu'on doit y obéir autant que c'est possible. Dès qu'une loi empiète sur les commandements de Dieu et de l'Eglise, il n'est pas question pour moi, avec l'aide de Dieu, que j'obéisse aux lois mauvaises.
Jésus n'a pas gardé le silence parce qu'il était en son devoir de parler. Saint Jean-Baptiste a payé avec de la prison et avec sa tête d'avoir dit à Hérode et Hérodiade ses quatre vérités. Mais Jésus a dit aussi à ceux qui lui demandait s'il fallait payer l'impôt à César, lequel demandait qu'on l'adore comme une idôle, et qui n'hésitait pas à faire exporter autant que possible les faux dieux de l'empire : Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu.
Voilà en quoi je ne suis pas d'acord avec la Révolution. Je ne prône pas l'immobilisme non plus puisque nous devons tenter par charité de faire connaître et aimer Jésus, autant que la douceur de la colombe et la prudence du serpent nous le permettent.
Dousig.
Mais si on m'ordonne de respecter le code de la route et les limitations de vitesse, les lois justes, j'y obéirais. C'est de cette manière que je comprends obéir au gouvernement. Tant que le gouvernement donne des lois qui sont applicables par un catholique, je pense que l'on doit y obéir. Si les lois sont partiellement injustes, je pense qu'on doit y obéir autant que c'est possible. Dès qu'une loi empiète sur les commandements de Dieu et de l'Eglise, il n'est pas question pour moi, avec l'aide de Dieu, que j'obéisse aux lois mauvaises.
Jésus n'a pas gardé le silence parce qu'il était en son devoir de parler. Saint Jean-Baptiste a payé avec de la prison et avec sa tête d'avoir dit à Hérode et Hérodiade ses quatre vérités. Mais Jésus a dit aussi à ceux qui lui demandait s'il fallait payer l'impôt à César, lequel demandait qu'on l'adore comme une idôle, et qui n'hésitait pas à faire exporter autant que possible les faux dieux de l'empire : Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu.
Voilà en quoi je ne suis pas d'acord avec la Révolution. Je ne prône pas l'immobilisme non plus puisque nous devons tenter par charité de faire connaître et aimer Jésus, autant que la douceur de la colombe et la prudence du serpent nous le permettent.
Dousig.
Dousig- Aime le Rosaire
- Messages : 760
Inscription : 12/10/2007
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