Tekakwita
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Emmanuel
simplet
tekakwita
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Tekakwita
Bonjour,je suis très heureuse de découvrir ce forum qui m'intéresse beaucoup. Je suis catholique,j'ai 47ans et je suis célibataire par choix.Lorsque j'ai découvert la foi,j'avais sept ans. C'était à travers les écrits de "l'histoire d'une âme",de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus.Aujourd'hui,je suis affolée de la mondialisation et le peu de place que l'on donne à DIEU. Que faire pour que le monde sorte de sa torpeur? Notre monde a besoin de saints comme " ste Thérèse D'Avila ou st Dominique,ou st François D'Assise. Je trouve que les chrétiens notamment les catholiques,sommes trop isolés. C'est bien d'utiliser la technologie pour s'encourager les uns les autres,se former ou s'informer. Merci pour ce site et à bientôt! Tekakwita[img][/img][img][/img]
tekakwita- J'ai la foi
- Messages : 8
Localisation : Bretagne
Inscription : 09/07/2011
Re: Tekakwita
Bonjour et bienvenu Tekakwita !
Puis-je vous demander qui représente l'avatar que vous avez choisi ?
Merci.
Puis-je vous demander qui représente l'avatar que vous avez choisi ?
Merci.
Re: Tekakwita
Bonjour Tekakwita,
Bienvenue!
Merci pour votre présentation intéressante. Vous avez maintenant le droit d'écriture pour tout le forum.
Votre pseudonyme et votre image, seraient-ils en lien avec Kateri Tekakwitha?
Union de prières,
Emmanuel
Bienvenue!
Merci pour votre présentation intéressante. Vous avez maintenant le droit d'écriture pour tout le forum.
Votre pseudonyme et votre image, seraient-ils en lien avec Kateri Tekakwitha?
Union de prières,
Emmanuel
Bienheureuse Kateri Tekakwitha (Tekakwitha : "Celle qui avance en hésitant" en langue iroquoise) (1656 - 1680) est née à Ossernenon, sur le bord de la rivière Mohawk, aujourd'hui dans l'État de New York. Elle est la première amérindienne d'Amérique du Nord à avoir été béatifiée.
Sa mère, convertie au catholicisme, était algonquine alors que son père était agnier ; ils venaient donc de deux tribus héréditairement ennemies. Son lieu de naissance a fait le martyr d'Isaac Jogues, de René Goupil et de Jean Lalande. Surnommée le «lys des Agniers», parfois on l'appelle tout simplement Catherine. Elle est un personnage important de l'histoire ecclésiastique canadienne.
À l'âge de quatre ans, elle perd toute sa famille suite à une épidémie de petite vérole, et sa vue est affaiblie. Lorsqu'elle en a l'âge, ses parents adoptifs (oncle et tante) et le chef indien l'obligent à choisir un mari, mais d'après les historiographes catholiques, elle souhaite conserver sa virginité. Son refus de mariage la réduit quasiment en esclavage. Elle désire devenir chrétienne, être baptisée. Jacques de Lambertville, un jésuite, accède à sa demande après six mois de catéchuménat, et elle est baptisée le jour de Pâques en 1676.
Arrivée à La Prairie en 1677 après un difficile voyage, elle désire devenir religieuse et convertir la vallée iroquoise. Elle se trouve transformée dans la prière. Sa piété impressionne l'historien François-Xavier Charlevoix, en mission en Nouvelle-France sous les ordres du roi Louis XIV. Elle ne vécut que trois années sur les bords du fleuve Saint-Laurent, mais on lui attribue d'avoir sauvé la colonie de la destruction indienne, la vue de sa tombe ayant effrayé les envahisseurs.
Aujourd'hui son tombeau est exposé à ville Sainte-Catherine, sur les bords de la voie maritime du St-Laurent, face à l'église actuelle, située au 5365 boulevard Marie-Victorin.
Elle est morte le 17 avril 1680, à l'âge de vingt-trois ou vingt-quatre ans. Sa réputation se répandit grâce aux Relations des Jésuites. Kateri avait beaucoup pratiqué le jeûne. Elle a été déclarée vénérable par Pie XII le 3 janvier 1943. Monseigneur Gérard-Marie Coderre présida au transfert de ses reliques en 1972. Kateri est béatifiée par Jean-Paul II le 22 juin 1980. On la fête le 14 juillet. Un sanctuaire lui est consacré à la Mission Saint-François-Xavier, à quinze kilomètres en aval de Kahnawake. Il y a une église Katheri-Tekakwhita dans la communauté montagnaise de Mashteuiatsh, dans le Saguenay–Lac-Saint-Jean. Un camp de vacances entièrement francophone aux États-Unis, le camp Tékakwitha, a aussi été nommé en son nom.
Statue de Kateri Tekakwitha à la Basilique Sainte-Anne-de-Beaupré, près de la ville de Québec
Devise
Qui est-ce qui m'apprendra
ce qu'il y a de plus agréable à Dieu
afin que je le fasse?
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kateri_Tekakwitha
Re: Tekakwita
je vous souhaite la bienvenue parmi nous
au plaisir de vous lire
violaine
au plaisir de vous lire
violaine
violaine- Avec les anges
- Messages : 6385
Localisation : bretagne
Inscription : 10/12/2009
Re: Tekakwita
bonjour et bienvenue parmi nous.
j'espère que nous aurons le plaisir d'échanger et de faire connaissance.
que Dieu nous bénisse et vous garde.
en union de prière
nicolas
j'espère que nous aurons le plaisir d'échanger et de faire connaissance.
que Dieu nous bénisse et vous garde.
en union de prière
nicolas
Nicolas77- Contemplatif
- Messages : 1754
Age : 37
Localisation : Seine et Marne
Inscription : 06/05/2011
Re: Tekakwita
Bienvenue Tekakwita, et merci à toi Emmanuel de nous avoir présenter cette Sainte que nous ne connaissions pas, dans notre France profonde.
Au plaisir de pouvoir échanger, et que Dieu vous bénisse !
Françoise.
Au plaisir de pouvoir échanger, et que Dieu vous bénisse !
Françoise.
FrancoiseF- Avec Saint Joseph
- Messages : 1376
Inscription : 21/03/2010
Re: Tekakwita
Un nouveau miracle de la bienheureuse Kateri Tekakwitha ?
Jake Finkbonner aujourd'hui
« Celle qui avance en tâtonnant », c’est le sens de tekakwitha en langue iroquoise. Atteinte de la petite vérole à quatre ans elle devint quasiment aveugle, nonobstant les stigmates qu’elle porta toute sa vie sur son visage, cette fille d’une algonquine catholique et d’un agnier qui ne l’était pas, née vers 1656 à Ossemenon (aujourd’hui dans l’État de New York), catéchisée par des jésuites français, baptisée en 1676 par le Père Jacques de Lambertville, S.J., fut déclarée vénérable par Pie XII en 1943 puis béatifiée par Jean-Paul II en 1980. Pieuse vierge indienne, née au Ciel en 1680, et qui impressionna tant les missionnaires français, cette première Amérindienne a avoir été béatifiée est aujourd’hui un trésor commun que se partagent les États-Unis et le Canada.
La bienheureuse Catherine Kateri dans la prononciation iroquoise) est-elle à l’origine d’un miracle qui pourrait en faire une sainte de l’Église catholique ? Des faits nouveaux troublants pourraient le laisser espérer.
L’histoire remonte à cinq ans et a pour cadre l’État de Washington situé à l’extrême nord-ouest des États-Unis.
Le 18 février 2006, lors d’une compétition sportive scolaire à Ferndale, le jeune Jake Finkbonner, âgé de 6 ans, s’ouvre la lèvre en tombant sur le cercle d’acier d’un panier de basket-ball. Blessure apparemment anodine. Hélas ! la blessure de ce jeune garçon est contaminée par une bactérie – un streptocoque – qui provoque ce qu’en terme technique on nomme fasciite nécrosante, une pathologie rare, grave et épouvantable où les chairs et les muscles du visage sont littéralement dévorés, et qui peut entraîner la mort. Les médecins du Children’s Hospital de Seattle (Washington), un établissement catholique, sont incapables d’en venir à bout, malgré tous leurs soins pendant des années. Le pronostic est plus que réservé : les médecins estiment que Jake ne survivra pas.
Catholique, le jeune Jake reçoit les derniers sacrements. Le prêtre qui les lui administre, le P. Tim Sauer suggère aux parents de prier pour l’intercession de Kateri Tekakwitha dont toutes les marques de petite vérole disparurent miraculeusement le jour de sa mort : Jake est lui-même en partie d’origine améridienne. Un jour, une amie des Finkbonner, membre de la Society of Blessed Kateri, leur rendit visite et leur confia une relique de la bienheureuse que les parents de Jake s’empressèrent de placer sur l’oreiller du lit d’hôpital de leur infortuné fils. Ce même jour, toute l’école de Jake pria pour sa guérison. Ce même jour, cette horrible maladie cessa d’un coup...
Pour Jake, qui vient de subir sa vingt-neuvième intervention chirurgicale, purement réparatrice celle-là, c’est un « miracle ». Les promoteurs de la cause en canonisation de Kateri ont transmis les faits à la Congrégation pour la cause des saints.
Jake tient un blogue : c’est ici.
Source: Americatho Le 25/04/11
Jake Finkbonner aujourd'hui
« Celle qui avance en tâtonnant », c’est le sens de tekakwitha en langue iroquoise. Atteinte de la petite vérole à quatre ans elle devint quasiment aveugle, nonobstant les stigmates qu’elle porta toute sa vie sur son visage, cette fille d’une algonquine catholique et d’un agnier qui ne l’était pas, née vers 1656 à Ossemenon (aujourd’hui dans l’État de New York), catéchisée par des jésuites français, baptisée en 1676 par le Père Jacques de Lambertville, S.J., fut déclarée vénérable par Pie XII en 1943 puis béatifiée par Jean-Paul II en 1980. Pieuse vierge indienne, née au Ciel en 1680, et qui impressionna tant les missionnaires français, cette première Amérindienne a avoir été béatifiée est aujourd’hui un trésor commun que se partagent les États-Unis et le Canada.
La bienheureuse Catherine Kateri dans la prononciation iroquoise) est-elle à l’origine d’un miracle qui pourrait en faire une sainte de l’Église catholique ? Des faits nouveaux troublants pourraient le laisser espérer.
L’histoire remonte à cinq ans et a pour cadre l’État de Washington situé à l’extrême nord-ouest des États-Unis.
Le 18 février 2006, lors d’une compétition sportive scolaire à Ferndale, le jeune Jake Finkbonner, âgé de 6 ans, s’ouvre la lèvre en tombant sur le cercle d’acier d’un panier de basket-ball. Blessure apparemment anodine. Hélas ! la blessure de ce jeune garçon est contaminée par une bactérie – un streptocoque – qui provoque ce qu’en terme technique on nomme fasciite nécrosante, une pathologie rare, grave et épouvantable où les chairs et les muscles du visage sont littéralement dévorés, et qui peut entraîner la mort. Les médecins du Children’s Hospital de Seattle (Washington), un établissement catholique, sont incapables d’en venir à bout, malgré tous leurs soins pendant des années. Le pronostic est plus que réservé : les médecins estiment que Jake ne survivra pas.
Catholique, le jeune Jake reçoit les derniers sacrements. Le prêtre qui les lui administre, le P. Tim Sauer suggère aux parents de prier pour l’intercession de Kateri Tekakwitha dont toutes les marques de petite vérole disparurent miraculeusement le jour de sa mort : Jake est lui-même en partie d’origine améridienne. Un jour, une amie des Finkbonner, membre de la Society of Blessed Kateri, leur rendit visite et leur confia une relique de la bienheureuse que les parents de Jake s’empressèrent de placer sur l’oreiller du lit d’hôpital de leur infortuné fils. Ce même jour, toute l’école de Jake pria pour sa guérison. Ce même jour, cette horrible maladie cessa d’un coup...
Pour Jake, qui vient de subir sa vingt-neuvième intervention chirurgicale, purement réparatrice celle-là, c’est un « miracle ». Les promoteurs de la cause en canonisation de Kateri ont transmis les faits à la Congrégation pour la cause des saints.
Jake tient un blogue : c’est ici.
Source: Americatho Le 25/04/11
Gilles- Hiérophante contre le nouvel ordre mondial
- Messages : 25726
Localisation : Québec -Canada
Inscription : 25/03/2008
Re: Tekakwita
merci beaucoup gille pour cette article.
qu'elle belle histoire qui nous prouve qu'il nous faut oser prier et demander l'intercession des Saint du Ciel.
nicolas
qu'elle belle histoire qui nous prouve qu'il nous faut oser prier et demander l'intercession des Saint du Ciel.
nicolas
Nicolas77- Contemplatif
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Age : 37
Localisation : Seine et Marne
Inscription : 06/05/2011
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