Partage suscité par la cédule "Confession générale"

pour la reconnaissance de notre péché devant Dieu il ne faut pas s'en faire un monde, regardes comme Jésus a fait avec Saint Pierre qui l'avait renié trois fis au pire moment pour Jésus.
Un jour dans la période après la résurrection, il l'a pris à part, il ne lui a pas dit "ce n'est pas bien ce que tu as fait" Pierre le savait bien ce qu'il avait fait pour en avoir tant pleuré. Jésus lui a seulement demandé par trois fois s'il l'aimait, précisant même "plus que ceux-ci" ils étaient près des autres apôtres. Après la troisième fois Pierre tout triste lui a dit "Seigneur tu sais tout, tu sais bien que je t'aime." Pierre n'a pas dit qu'il aimait Jésus plus que les autres mais qu'il l'aimait. Pourquoi crois tu que Jésus a insisté sur plus que les autres sinon pour montrer que l'amour n'est pas une compétition pour dominer les autres,celui qui veut être le plus haut devant être le serviteur de tous, il suffit d'aimer.
Nous nous n'avons Jésus que (si on peut dire car les mots sont limités pour dire les choses) dans l'Eucharistie et dans notre âme, mais nous avons le prêtre pour nous confesser, pour ce magnifique entretien de réconciliation tel que Pierre l'a vécu autrefois.

Ami de Saint Bernard a écrit:pour la reconnaissance de notre péché devant Dieu il ne faut pas s'en faire un monde, regardes comme Jésus a fait avec Saint Pierre qui l'avait renié trois fis au pire moment pour Jésus.
Un jour dans la période après la résurrection,  il l'a pris à part, il ne lui a pas dit "ce n'est pas bien ce que tu as fait" Pierre le savait bien ce qu'il avait fait pour en avoir tant pleuré. Jésus lui a seulement demandé par trois fois s'il l'aimait, précisant même "plus que ceux-ci" ils étaient près des autres apôtres. Après la troisième fois Pierre tout triste lui a dit "Seigneur tu sais tout, tu sais bien que je t'aime." Pierre n'a pas dit qu'il aimait Jésus plus que les autres mais qu'il l'aimait. Pourquoi crois tu que Jésus a insisté sur plus que les autres sinon pour montrer que l'amour n'est pas une compétition pour dominer les autres,celui qui veut être le plus haut devant être le serviteur de tous, il suffit d'aimer.
Nous nous n'avons Jésus que (si on peut dire car les mots sont limités pour dire les choses) dans l'Eucharistie et dans notre âme, mais nous avons le prêtre pour nous confesser, pour ce magnifique entretien de réconciliation tel que Pierre l'a vécu autrefois.

En un mot : "Il ne faut pas culpabiliser"

Pour resituer cet exercice: examen de conscience  dans son contexte,
1/: Je dois dire que la pratique chrétienne demande de tout faire pour ...
  NE PAS TOMBER DANS LE SENTIMENT DE CULPABILITE
2/  Le sentiment de culpabilité a pour premier effet d'enfermer le sujet dans le monde
   "psy" de la névrose
3/  La pratique du Mystère de Confession permet d'échapper à ce danger : elle est
    une rencontre d'amour et de réconciliation, de vérité et de pardon :en cela on  
    échappe à l'effondrement dans les remontrances psychiques de la névrose
    culpabilisante
4/ Seulement il ne faut pas non plus recouvrir d'un voile pudique le Mal qui a été fait,
    par le Déni, le refoulement, lesquels conduisent au terme à des mouvements
   compulsifs et des attitudes d'enfermement frôlant la psychose: si caractéristique du
   monde analytique d'aujourd'hui
5/ La sagesse chrétienne a donc élaboré une conduite, une voie, une pratique sûre,
    éclairée, d'ouverture et de libération amenant à l'absolution.... qui évite les deux
    écueils sus-dits
6/ Parmi icelles, l'Eglise désigne St Ignace de Loyola et St Alphonse Ligori
   Et bien sûr pour les plus simples, le fameux exercice de St Ignace que nous avons
   suivi
7/ Les retours sont inattendus: la plupart ont déterré des fautes anciennes
   refoulées,     ce qui a véritablement déclenché des invasions de paix et de liberté
   nouvelles, aptes à vivre de manière pacifiante et surnaturelle l'effort de  retrouver
   nos unités profondes perdues et restaurées, transformées, et vivantes