Miracle à Lourdes 2011
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violaine
le moine
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Miracle à Lourdes 2011
28/03/2011 00:56
LOURDES (Hautes-Pyrénées), 27 mars 2011 (AFP) - L'Eglise reconnaît un cas de guérison remarquable à Lourdes
L'Eglise catholique a reconnu dimanche la guérison inexpliquée d'un malade venu prier à Lourdes comme "remarquable" et pouvant représenter un don divin fait à cet homme par l'intercession de la Vierge, ont annoncé les Sanctuaires de la cité mariale.
Serge François souffrait depuis des années d'une hernie discale opérée deux fois, d'une paralysie presque totale de la jambe gauche et de douleurs vives quand, le 12 avril 2002, il s'est rendu à la grotte de Massabielle à Lourdes.
Là, à l'endroit où la Vierge, selon la tradition catholique, serait apparue à 18 reprises à Bernadette Soubirous le 11 février 1858, il a été pris d'une douleur si fulgurante qu'il a cru mourir, selon son propre récit.
Au bout de quelques minutes, la souffrance a fait place à une intense sensation de bien être et de chaleur. Sa jambe a cessé de le faire souffrir et s'est ensuite progressivement ranimée.
Au cours d'un nouveau pèlerinage en 2003, Serge François a signalé sa guérison au Bureau des constatations médicales de Lourdes.
Le 1er décembre 2008, après des années d'instruction de son dossier, le Comité médical international de Lourdes (CMIL), composé d'une vingtaine de médecins, a reconnu que la guérison de Serge François était remarquable parce que subite, complète, sans relation avec une quelconque thérapie, et durable.
Mgr Emmanuel Delmas, évêque de son diocèse à qui il appartenait de se prononcer sur ce caractère "remarquable" aux yeux de l'Eglise, a déclaré dimanche: "Au nom de l'Eglise, je reconnais publiquement le caractère remarquable de la guérison dont a bénéficié Monsieur Serge François à Lourdes". "Cette guérison peut être considérée comme un don personnel de Dieu pour cet homme, comme un événement de grâce, comme un signe du Christ Sauveur", dit-il.
Interrogé sur les raisons pour lesquelles l'évêque et les Sanctuaires ne parlaient pas de "miracle", Alessandro de Franciscis, médecin permanent du Bureau des constatations médicales, a souligné que Mgr Emmanuel Delmas évoquait la possibilité d'un "signe", critère du "miracle".
LOURDES (Hautes-Pyrénées), 27 mars 2011 (AFP) - L'Eglise reconnaît un cas de guérison remarquable à Lourdes
L'Eglise catholique a reconnu dimanche la guérison inexpliquée d'un malade venu prier à Lourdes comme "remarquable" et pouvant représenter un don divin fait à cet homme par l'intercession de la Vierge, ont annoncé les Sanctuaires de la cité mariale.
Serge François souffrait depuis des années d'une hernie discale opérée deux fois, d'une paralysie presque totale de la jambe gauche et de douleurs vives quand, le 12 avril 2002, il s'est rendu à la grotte de Massabielle à Lourdes.
Là, à l'endroit où la Vierge, selon la tradition catholique, serait apparue à 18 reprises à Bernadette Soubirous le 11 février 1858, il a été pris d'une douleur si fulgurante qu'il a cru mourir, selon son propre récit.
Au bout de quelques minutes, la souffrance a fait place à une intense sensation de bien être et de chaleur. Sa jambe a cessé de le faire souffrir et s'est ensuite progressivement ranimée.
Au cours d'un nouveau pèlerinage en 2003, Serge François a signalé sa guérison au Bureau des constatations médicales de Lourdes.
Le 1er décembre 2008, après des années d'instruction de son dossier, le Comité médical international de Lourdes (CMIL), composé d'une vingtaine de médecins, a reconnu que la guérison de Serge François était remarquable parce que subite, complète, sans relation avec une quelconque thérapie, et durable.
Mgr Emmanuel Delmas, évêque de son diocèse à qui il appartenait de se prononcer sur ce caractère "remarquable" aux yeux de l'Eglise, a déclaré dimanche: "Au nom de l'Eglise, je reconnais publiquement le caractère remarquable de la guérison dont a bénéficié Monsieur Serge François à Lourdes". "Cette guérison peut être considérée comme un don personnel de Dieu pour cet homme, comme un événement de grâce, comme un signe du Christ Sauveur", dit-il.
Interrogé sur les raisons pour lesquelles l'évêque et les Sanctuaires ne parlaient pas de "miracle", Alessandro de Franciscis, médecin permanent du Bureau des constatations médicales, a souligné que Mgr Emmanuel Delmas évoquait la possibilité d'un "signe", critère du "miracle".
Re: Miracle à Lourdes 2011
@ Le Moine
merci pour ce post, mais pourquoi ne pas appelez cela un miracle, comme si ce mot faisait peur à l'église, n'ayons pas peur de le crier haut et fort, cet homme a bien été guéri par Notre Dame de Lourdes.
les preuves sont là
Violaine
merci pour ce post, mais pourquoi ne pas appelez cela un miracle, comme si ce mot faisait peur à l'église, n'ayons pas peur de le crier haut et fort, cet homme a bien été guéri par Notre Dame de Lourdes.
les preuves sont là
Violaine
violaine- Avec les anges
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Re: Miracle à Lourdes 2011
oui PANETIER j'ai vu mais trop tard
violaine
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violaine- Avec les anges
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Re: Miracle à Lourdes 2011
L'info a été donnée hier au JT sur France2.
L'Église est toujours prudente en matière de guérison miraculeuse, je ne comprends pas trop pourquoi. C'est quand même étonnant car on a l'impression que l'on joue sur les qualificatifs.
Pourquoi ne pas appeler un chat un chat?
L'Église est toujours prudente en matière de guérison miraculeuse, je ne comprends pas trop pourquoi. C'est quand même étonnant car on a l'impression que l'on joue sur les qualificatifs.
Pourquoi ne pas appeler un chat un chat?
Brenda Lee- Combat avec l'Archange Michel
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Re: Miracle à Lourdes 2011
Nouveau miraculé à Lourdes, Serge François témoigne
La soixante-huitième guérison inexpliquée de Lourdes a été reconnue publiquement par Mgr Delmas, évêque d’Angers, dimanche 27 mars. Son bénéficiaire, Serge François, témoigne.
© JS EVRARD - SIPA
« À la suite d’une intervention chirurgicale en juin 1997, ma jambe gauche s’est retrouvée quasiment paralysée. J’ai passé six mois au lit, avec de fortes doses de morphines quotidiennes et des antalgiques. Je n’ai plus de souvenirs de cette période. J’ai préféré rentrer chez moi, malgré un traitement très fatigant. Peu à peu, j’ai remarché tant bien que mal, à l’aide de cannes anglaises dont j’avais horreur. Je suis tombé souvent. Les visites me fatiguaient. Je ne supportais pas de voir mon jardin sans entretien, de devoir abandonner mon métier que j’aimais. Je n’étais pas tendre avec mon épouse à ce moment-là.
J’ai toujours prié pour les autres malades
J’étais hospitalier à Lourdes depuis 1992. Pendant ma maladie, j’ai continué à m’y rendre, même si je n’en avais pas toujours envie. J’essayais d’être utile à l’animation et l’organisation. Cela me permettait de sortir, de changer d’air. Quand j’en revenais, j’avais l’impression d’aller mieux. Je n’ai jamais demandé d’aide à Marie. J’ai toujours prié pour les autres malades.
Tout a commencé l’après-midi du 12 avril 2002. J’étais à l’église Sainte-Bernadette, en face de la grotte, pour l’onction des malades. À la fin de la célébration, une jeune dame qui était à côté de moi est prise de sanglots. Je l’ai pris dans mes bras pour la consoler, comme je l’aurais fait pour ma propre fille : "Ça va aller, Marie est là, elle nous voit".
Un frisson, une sensation, un ascenseur qui monte tout seul
À ce moment-là, un frisson inhabituel m’a traversé tout le corps. J’avais la tête comprimée. J’ai pensé avoir pris un coup de froid. Le soir, j’ai regardé la procession aux flambeaux depuis ma chambre puis, j’ai eu envie de me rendre à la grotte. Dans le couloir, j’avais l’étrange sensationd’être suivi. Je me suis retourné à deux reprises : personne. J’ai supposé après que c’était Marie qui me suivait, mais sur le coup, je n’étais pas très rassuré. J’étais à 150 mètres des portes de l’ascenseur lorsqu’elles se sont ouvertes toutes seules. Là, j’ai pris peur. « C’est quoi ce truc ? » me suis-je dit. À l’accueil, j’en ai parlé au gardien. Il m’a répondu : "Nous sommes à Lourdes, M. François, c’est peut-être un signe de la présence de Marie". Je me suis dit qu’il se moquait de moi.
Les gestes demandés par Marie
Je suis allé à la grotte, péniblement, prier pour toutes les personnes qui me l’avaient demandé. Je me suis senti poussé à me mettre à genoux à la place où Bernadette priait. Saisi d’admiration devant la source – à la lumière du soir, elle est magnifique –, j’ai été pris dans un tourbillon. Tout défilait : l’onction, la malade de l’après-midi. J’étais transporté dans un autre monde, magnifique. Tellement beau que je voulais y rester. Quand je suis revenu à moi, j’ai touché le mince filet d’eau. J’ai tracé sur mon front une croix. Je n’avais jamais fait aucun de ces gestes, qui sont ceux demandés par Marie.
Une douleur fulgurante et… la guérison
Je suis reparti. Au bout de sept mètres, j’ai senti une douleur fulgurante dans ma jambe gauche. J’ai été littéralement jeté au sol. Des personnes m’ont aidé à me relever. D’après elles, j’aurais crié et perdu connaissance. Je me suis appuyé à un gros arbre – je viens m’y appuyer tous les ans depuis – la douleur aiguë a duré deux minutes, les plus longues de ma vie. J’ai cru qu’on m’arrachait la jambe. Puis tout est rentré de l’ordre. J’avais une sensation de confort, de bien-être, de chaleur. Ma jambe droite, habituellement froide et sclérosée, était maintenant bouillante. Je suis reparti d’un bon pas. Ce n’est qu’en haut de la cote de Saint-Joseph que j’ai réalisé le changement : d’habitude je montais en m’appuyant sur la grille ! J’étais stupéfait. Mais je me suis dit : "Oh là, Serge, c’est l’effet Lourdes, demain, tout sera comme avant". Mais le lendemain, je marchais !
Le miracle et les doutes
Je suis allé voir le prêtre qui nous accompagnait. Et l’Hospitalité de l’Anjou a déclaré la guérison au Bureau des constatations médicales trois jours après. En faisant cela, je voulais juste faire savoir ce qui s’était passé. Je ne comptais pas sur une reconnaissance. C’est mon devoir d’en parler car aujourd’hui, il y a des gens qui ne savent même plus que Lourdes existe. Je dois bien ça à Marie.
Du jour au lendemain, j’ai arrêté mon traitement et je me suis remis à jardiner, tondre, tailler mes haies. En rentrant, j’ai entrepris de repeindre la façade de notre pavillon. Au début, mon épouse a cru que j’étais devenu fou. Dans ma commune, beaucoup ont eu des doutes et m’ont accusé d’avoir menti sur ma maladie et ma guérison. Comme la petite Bernadette, qu’on a traitée de menteuse… Cela a été dur.
Le passage devant une commission de douze médecins, tous les ans, à Lourdes, est un souvenir pénible. On essaie de vous faire dire le contraire de ce qui s’est passé. Je me suis même énervé : "Jamais je ne dirai le contraire de ce que j’ai vu et ressenti".
Au bout du pèlerinage de Compostelle, encore un signe
Ma guérison m’a rendu de plus en plus croyant. J’ai longtemps cherché comment remercier Marie : accompagner les malades deux fois par an ne me suffisait pas. Un soir, une de mes petites-filles nous a raconté le témoignage d’une famille partie à Compostelle. J’ai eu le déclic. Je me suis entraîné pendant dix mois. Le 26 août 2007, j’ai quitté le Puy-en-Velay, après la bénédiction des pèlerins. Tout au long du chemin, j’ai dit des centaines de chapelets, au point que je ne prenais pas le temps d’admirer le paysage. J’avais prévu d’arriver à Santiago en quatre-vingts jours. Il m’en a fallu cinquante-cinq. Et lorsque j’ai fait tamponner ma credencial, j’ai réalisé que c’était le jour des 14 ans de ma petite-fille. Ça ne pouvait pas être une coïncidence. »
- famillechretienne.fr
- 04/04/2011
La soixante-huitième guérison inexpliquée de Lourdes a été reconnue publiquement par Mgr Delmas, évêque d’Angers, dimanche 27 mars. Son bénéficiaire, Serge François, témoigne.
© JS EVRARD - SIPA
« À la suite d’une intervention chirurgicale en juin 1997, ma jambe gauche s’est retrouvée quasiment paralysée. J’ai passé six mois au lit, avec de fortes doses de morphines quotidiennes et des antalgiques. Je n’ai plus de souvenirs de cette période. J’ai préféré rentrer chez moi, malgré un traitement très fatigant. Peu à peu, j’ai remarché tant bien que mal, à l’aide de cannes anglaises dont j’avais horreur. Je suis tombé souvent. Les visites me fatiguaient. Je ne supportais pas de voir mon jardin sans entretien, de devoir abandonner mon métier que j’aimais. Je n’étais pas tendre avec mon épouse à ce moment-là.
J’ai toujours prié pour les autres malades
J’étais hospitalier à Lourdes depuis 1992. Pendant ma maladie, j’ai continué à m’y rendre, même si je n’en avais pas toujours envie. J’essayais d’être utile à l’animation et l’organisation. Cela me permettait de sortir, de changer d’air. Quand j’en revenais, j’avais l’impression d’aller mieux. Je n’ai jamais demandé d’aide à Marie. J’ai toujours prié pour les autres malades.
Tout a commencé l’après-midi du 12 avril 2002. J’étais à l’église Sainte-Bernadette, en face de la grotte, pour l’onction des malades. À la fin de la célébration, une jeune dame qui était à côté de moi est prise de sanglots. Je l’ai pris dans mes bras pour la consoler, comme je l’aurais fait pour ma propre fille : "Ça va aller, Marie est là, elle nous voit".
Un frisson, une sensation, un ascenseur qui monte tout seul
À ce moment-là, un frisson inhabituel m’a traversé tout le corps. J’avais la tête comprimée. J’ai pensé avoir pris un coup de froid. Le soir, j’ai regardé la procession aux flambeaux depuis ma chambre puis, j’ai eu envie de me rendre à la grotte. Dans le couloir, j’avais l’étrange sensationd’être suivi. Je me suis retourné à deux reprises : personne. J’ai supposé après que c’était Marie qui me suivait, mais sur le coup, je n’étais pas très rassuré. J’étais à 150 mètres des portes de l’ascenseur lorsqu’elles se sont ouvertes toutes seules. Là, j’ai pris peur. « C’est quoi ce truc ? » me suis-je dit. À l’accueil, j’en ai parlé au gardien. Il m’a répondu : "Nous sommes à Lourdes, M. François, c’est peut-être un signe de la présence de Marie". Je me suis dit qu’il se moquait de moi.
Les gestes demandés par Marie
Je suis allé à la grotte, péniblement, prier pour toutes les personnes qui me l’avaient demandé. Je me suis senti poussé à me mettre à genoux à la place où Bernadette priait. Saisi d’admiration devant la source – à la lumière du soir, elle est magnifique –, j’ai été pris dans un tourbillon. Tout défilait : l’onction, la malade de l’après-midi. J’étais transporté dans un autre monde, magnifique. Tellement beau que je voulais y rester. Quand je suis revenu à moi, j’ai touché le mince filet d’eau. J’ai tracé sur mon front une croix. Je n’avais jamais fait aucun de ces gestes, qui sont ceux demandés par Marie.
Une douleur fulgurante et… la guérison
Je suis reparti. Au bout de sept mètres, j’ai senti une douleur fulgurante dans ma jambe gauche. J’ai été littéralement jeté au sol. Des personnes m’ont aidé à me relever. D’après elles, j’aurais crié et perdu connaissance. Je me suis appuyé à un gros arbre – je viens m’y appuyer tous les ans depuis – la douleur aiguë a duré deux minutes, les plus longues de ma vie. J’ai cru qu’on m’arrachait la jambe. Puis tout est rentré de l’ordre. J’avais une sensation de confort, de bien-être, de chaleur. Ma jambe droite, habituellement froide et sclérosée, était maintenant bouillante. Je suis reparti d’un bon pas. Ce n’est qu’en haut de la cote de Saint-Joseph que j’ai réalisé le changement : d’habitude je montais en m’appuyant sur la grille ! J’étais stupéfait. Mais je me suis dit : "Oh là, Serge, c’est l’effet Lourdes, demain, tout sera comme avant". Mais le lendemain, je marchais !
Le miracle et les doutes
Je suis allé voir le prêtre qui nous accompagnait. Et l’Hospitalité de l’Anjou a déclaré la guérison au Bureau des constatations médicales trois jours après. En faisant cela, je voulais juste faire savoir ce qui s’était passé. Je ne comptais pas sur une reconnaissance. C’est mon devoir d’en parler car aujourd’hui, il y a des gens qui ne savent même plus que Lourdes existe. Je dois bien ça à Marie.
Du jour au lendemain, j’ai arrêté mon traitement et je me suis remis à jardiner, tondre, tailler mes haies. En rentrant, j’ai entrepris de repeindre la façade de notre pavillon. Au début, mon épouse a cru que j’étais devenu fou. Dans ma commune, beaucoup ont eu des doutes et m’ont accusé d’avoir menti sur ma maladie et ma guérison. Comme la petite Bernadette, qu’on a traitée de menteuse… Cela a été dur.
Le passage devant une commission de douze médecins, tous les ans, à Lourdes, est un souvenir pénible. On essaie de vous faire dire le contraire de ce qui s’est passé. Je me suis même énervé : "Jamais je ne dirai le contraire de ce que j’ai vu et ressenti".
Au bout du pèlerinage de Compostelle, encore un signe
Ma guérison m’a rendu de plus en plus croyant. J’ai longtemps cherché comment remercier Marie : accompagner les malades deux fois par an ne me suffisait pas. Un soir, une de mes petites-filles nous a raconté le témoignage d’une famille partie à Compostelle. J’ai eu le déclic. Je me suis entraîné pendant dix mois. Le 26 août 2007, j’ai quitté le Puy-en-Velay, après la bénédiction des pèlerins. Tout au long du chemin, j’ai dit des centaines de chapelets, au point que je ne prenais pas le temps d’admirer le paysage. J’avais prévu d’arriver à Santiago en quatre-vingts jours. Il m’en a fallu cinquante-cinq. Et lorsque j’ai fait tamponner ma credencial, j’ai réalisé que c’était le jour des 14 ans de ma petite-fille. Ça ne pouvait pas être une coïncidence. »
P4572- Dans la prière
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Re: Miracle à Lourdes 2011
Sur quelque 7000 dossiers de guérison déposés à Lourdes depuis les apparitions, 67 cas ont à ce jour été reconnus miraculeux par l'Eglise.
PETITES STATISTIQUES SUR LES 67 MIRACULES
80% des miraculés sont des femmes.
Le plus jeune miraculé avait 2 ans.
Les pays d'origine des miraculés sont la France (55 miraculés), l'Italie (6), la Belgique (3), l'Allemagne (1), l'Autriche (1) et la Suisse (1).
6 miraculés affirment avoir été guéris par l’intercession de Notre-Dame de Lourdes alors qu’ils n’étaient pas venus à Lourdes.
La majorité des miraculés a été guérie au contact de l'eau de Lourdes (49 miraculés parmi lesquels 39 guéris aux piscines).
PETITES STATISTIQUES SUR LES 67 MIRACULES
80% des miraculés sont des femmes.
Le plus jeune miraculé avait 2 ans.
Les pays d'origine des miraculés sont la France (55 miraculés), l'Italie (6), la Belgique (3), l'Allemagne (1), l'Autriche (1) et la Suisse (1).
6 miraculés affirment avoir été guéris par l’intercession de Notre-Dame de Lourdes alors qu’ils n’étaient pas venus à Lourdes.
La majorité des miraculés a été guérie au contact de l'eau de Lourdes (49 miraculés parmi lesquels 39 guéris aux piscines).
P4572- Dans la prière
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Re: Miracle à Lourdes 2011
Bonjour Michel,
Merci pour ces infos, c`est merveilleux tout ces miracles, même pour ceux qui ne sont pas venus à Lourdes, des grâces extraordinaires par l`intercession de Marie.
Merci Sainte Vierge Marie.
Merci pour ces infos, c`est merveilleux tout ces miracles, même pour ceux qui ne sont pas venus à Lourdes, des grâces extraordinaires par l`intercession de Marie.
Merci Sainte Vierge Marie.
Manuela- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
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Re: Miracle à Lourdes 2011
Il va venir une pluie de guérisons miraculeuses.
Bientôt. Exactement, je ne sais pas. Mais c'est "bientôt". A la bon heur.
Ca, c'est pour mettre en appétit ;-)
Cyrille
Bientôt. Exactement, je ne sais pas. Mais c'est "bientôt". A la bon heur.
Ca, c'est pour mettre en appétit ;-)
Cyrille
PapillonBleu- J'adore l'Eucharistie
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Re: Miracle à Lourdes 2011
Un petit témoignage : Md Doroty Walko
Il se fait que je lisais sur la plage au nord de Barcelone, en vacances, et une voix m'a parlé sur le côté droit de l'oreille et m'a demandé de partir immédiatement en France. Ce que j'ai fait le lendemain, car la route était longue : Lourdes sans le savoir.
En effet, lorsque j'ai désiré m'arrêter en route pour casser la croûte, la voix m'a dit "ne perds pas ton temps ici et continue ta route", ce que j'ai fait après avoir tourné pour rien dans la ville où il était impossible de se garer à cause des travaux et parce qu'il n'y avait pas de petit restaurant/snack mais seulemenet des restos chics et chers, ce qui ne me convenait pas. J'ai continué ma route en m'arrêtant plus loin près de l'autoroute pour acheter quelques provisions lorsque j'ai appris par autoroute info que la ville que j'avais quittée une bonne heure ou deux auparavant était sous la tornade, arbres et pilones électriques arrachés, etc. Bref, dans mon rétroviseur, le ciel noir et devant moi le grand bleu plein de joie, d'une joie inexprimable et grandissante, une joie remplie de présences dans l'habitacle de ma petite voiture, des couleurs, des parfums, des hymnes, des chants, des musiques qui n'existent pas sur la terre. Indescriptible !
Lorsque j'ai voulu m'arrêter pour le logement de la nuit, vers Tarbes, un camion est soudainement apparu sur la bande droite de l'autoroute et la pluie s'est mise à tomber drue, dure, noire; ces deux barrières m'ont empêché de prendre la sortie de l'autoroute pour l'adresse où je pouvais trouver le logement sur Tarbes. J'ai donc continué ma route, et sitôt la sortie d'autoroute de Tarbes dépassée, le grand ciel bleu est revenu à la seconde ! Bref, je me dirige vers Pau et pense revenir en arrière vers ma destination Tarbes.
A ce moment-là, je me rappelle qu'à la messe du soir en catalan au village où je passais mes vacances en Espagne, j'avais rencontré deux couples, espagnols de la région, en vacances dans leur village d'origine, et qui habitaient Pau depuis plus de 40 ans. Ils m'avaient donné une adresse pour loger dans le cas où je serais dans la région de Pau. J'ai donc recherché cette adresse que j'avais mise dans ma poche, en pensant que je n'en aurais pas besoin puisque je ne devais pas aller en France. J'ai retrouvé dans la doublure de mon vêtement ce bout de confetti où l'adresse était griffonée, et je m'y suis ainsi rendue : à Lourdes.
Je passe le détail... Le lendemain matin, une femme américaine est guérie, mais on ne la comprend pas parce que personne ne parle français dans les environs. Or, cette femme vient du New Jersey, USA. Il y avait une réunion spéciale des médecins du bureau médical ce jour-là, et le responsable du Bureau Médical a convoqué une réunion l'après-midi pour l'ouverture du dossier en vue de la reconnaissance d'un miracle à étudier, la guérison de cette américaine. En passant les détails, je dis simplement que je me suis retrouvée à interpréter la situation pour la compréhension du dossier toute la journée. J'ai ensuite quitté les lieux, et j'ai repris le lendemain la route du retour de vacances.
Cette femme paralysée, plongée dans l'eau de la piscine en civière, ne marchait donc pas; à la sortie de l'eau, elle dansait de joie et esquissait quelque pas. Mon rôle a été d'aider le Bureau médical à l'interprétation de ses déclarations; j'ai vu de mes yeux une blessure résultant d'une opération, rouge, épaisse d'un centimètre et demi, avec des points de part et d'autre, disparaître en moins d'une minute et ne laisser sur le poignet droit qu'un mince fil quasi incolore.
Le miracle était évident. Le Président en exercice du Bureau Médical a repris ces faits dans le Lourdes Magazine no 66 (malheureusement épuisé, je pense) et dans son livre sur les miracles; il s'agit de la guérison miraculeuse alléguée de Md Dorothy Walko, à l'Ascension 1997; cette dame est décédée un an plus tard d'une toute autre maladie mais elle a continué à marcher jusqu'à la fin de sa vie d'après sa fille.
Cet événement m'a beaucoup impressionnée, encore aujourd'hui car mon miracle à moi est le voyage que j'ai fait avant d'aller à Lourdes, ceci sans connaître ma destination. Comme il n'y a qu'une seule route de Barcelone vers la France, il n'y avait pas beaucoup de choix. La voie était toute tracée. C'était un temps si merveilleux que je crois avoir passé quelques heures ou la journée au Paradis, dont je ne peux décrire l'infinie beauté et l'immense bonheur.
Voilà en gros ... l'événement .... de Lourdes.
Et j'espère !
Il se fait que je lisais sur la plage au nord de Barcelone, en vacances, et une voix m'a parlé sur le côté droit de l'oreille et m'a demandé de partir immédiatement en France. Ce que j'ai fait le lendemain, car la route était longue : Lourdes sans le savoir.
En effet, lorsque j'ai désiré m'arrêter en route pour casser la croûte, la voix m'a dit "ne perds pas ton temps ici et continue ta route", ce que j'ai fait après avoir tourné pour rien dans la ville où il était impossible de se garer à cause des travaux et parce qu'il n'y avait pas de petit restaurant/snack mais seulemenet des restos chics et chers, ce qui ne me convenait pas. J'ai continué ma route en m'arrêtant plus loin près de l'autoroute pour acheter quelques provisions lorsque j'ai appris par autoroute info que la ville que j'avais quittée une bonne heure ou deux auparavant était sous la tornade, arbres et pilones électriques arrachés, etc. Bref, dans mon rétroviseur, le ciel noir et devant moi le grand bleu plein de joie, d'une joie inexprimable et grandissante, une joie remplie de présences dans l'habitacle de ma petite voiture, des couleurs, des parfums, des hymnes, des chants, des musiques qui n'existent pas sur la terre. Indescriptible !
Lorsque j'ai voulu m'arrêter pour le logement de la nuit, vers Tarbes, un camion est soudainement apparu sur la bande droite de l'autoroute et la pluie s'est mise à tomber drue, dure, noire; ces deux barrières m'ont empêché de prendre la sortie de l'autoroute pour l'adresse où je pouvais trouver le logement sur Tarbes. J'ai donc continué ma route, et sitôt la sortie d'autoroute de Tarbes dépassée, le grand ciel bleu est revenu à la seconde ! Bref, je me dirige vers Pau et pense revenir en arrière vers ma destination Tarbes.
A ce moment-là, je me rappelle qu'à la messe du soir en catalan au village où je passais mes vacances en Espagne, j'avais rencontré deux couples, espagnols de la région, en vacances dans leur village d'origine, et qui habitaient Pau depuis plus de 40 ans. Ils m'avaient donné une adresse pour loger dans le cas où je serais dans la région de Pau. J'ai donc recherché cette adresse que j'avais mise dans ma poche, en pensant que je n'en aurais pas besoin puisque je ne devais pas aller en France. J'ai retrouvé dans la doublure de mon vêtement ce bout de confetti où l'adresse était griffonée, et je m'y suis ainsi rendue : à Lourdes.
Je passe le détail... Le lendemain matin, une femme américaine est guérie, mais on ne la comprend pas parce que personne ne parle français dans les environs. Or, cette femme vient du New Jersey, USA. Il y avait une réunion spéciale des médecins du bureau médical ce jour-là, et le responsable du Bureau Médical a convoqué une réunion l'après-midi pour l'ouverture du dossier en vue de la reconnaissance d'un miracle à étudier, la guérison de cette américaine. En passant les détails, je dis simplement que je me suis retrouvée à interpréter la situation pour la compréhension du dossier toute la journée. J'ai ensuite quitté les lieux, et j'ai repris le lendemain la route du retour de vacances.
Cette femme paralysée, plongée dans l'eau de la piscine en civière, ne marchait donc pas; à la sortie de l'eau, elle dansait de joie et esquissait quelque pas. Mon rôle a été d'aider le Bureau médical à l'interprétation de ses déclarations; j'ai vu de mes yeux une blessure résultant d'une opération, rouge, épaisse d'un centimètre et demi, avec des points de part et d'autre, disparaître en moins d'une minute et ne laisser sur le poignet droit qu'un mince fil quasi incolore.
Le miracle était évident. Le Président en exercice du Bureau Médical a repris ces faits dans le Lourdes Magazine no 66 (malheureusement épuisé, je pense) et dans son livre sur les miracles; il s'agit de la guérison miraculeuse alléguée de Md Dorothy Walko, à l'Ascension 1997; cette dame est décédée un an plus tard d'une toute autre maladie mais elle a continué à marcher jusqu'à la fin de sa vie d'après sa fille.
Cet événement m'a beaucoup impressionnée, encore aujourd'hui car mon miracle à moi est le voyage que j'ai fait avant d'aller à Lourdes, ceci sans connaître ma destination. Comme il n'y a qu'une seule route de Barcelone vers la France, il n'y avait pas beaucoup de choix. La voie était toute tracée. C'était un temps si merveilleux que je crois avoir passé quelques heures ou la journée au Paradis, dont je ne peux décrire l'infinie beauté et l'immense bonheur.
Voilà en gros ... l'événement .... de Lourdes.
Et j'espère !
lardida- Combat l'antechrist
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Re: Miracle à Lourdes 2011
Un petit témoignage : Md Doroty Walko
Il se fait que je lisais sur la plage au nord de Barcelone, en vacances, et une voix m'a parlé sur le côté droit de l'oreille et m'a demandé de partir immédiatement en France. Ce que j'ai fait le lendemain, car la route était longue : Lourdes sans le savoir.
En effet, lorsque j'ai désiré m'arrêter en route pour casser la croûte, la voix m'a dit "ne perds pas ton temps ici et continue ta route", ce que j'ai fait après avoir tourné pour rien dans la ville où il était impossible de se garer à cause des travaux et parce qu'il n'y avait pas de petit restaurant/snack mais seulemenet des restos chics et chers, ce qui ne me convenait pas. J'ai continué ma route en m'arrêtant plus loin près de l'autoroute pour acheter quelques provisions lorsque j'ai appris par autoroute info que la ville que j'avais quittée une bonne heure ou deux auparavant était sous la tornade, arbres et pilones électriques arrachés, etc. Bref, dans mon rétroviseur, le ciel noir et devant moi le grand bleu plein de joie, d'une joie inexprimable et grandissante, une joie remplie de présences dans l'habitacle de ma petite voiture, des couleurs, des parfums, des hymnes, des chants, des musiques qui n'existent pas sur la terre. Indescriptible !
Lorsque j'ai voulu m'arrêter pour le logement de la nuit, vers Tarbes, un camion est soudainement apparu sur la bande droite de l'autoroute et la pluie s'est mise à tomber drue, dure, noire; ces deux barrières m'ont empêché de prendre la sortie de l'autoroute pour l'adresse où je pouvais trouver le logement sur Tarbes. J'ai donc continué ma route, et sitôt la sortie d'autoroute de Tarbes dépassée, le grand ciel bleu est revenu à la seconde ! Bref, je me dirige vers Pau et pense revenir en arrière vers ma destination Tarbes.
A ce moment-là, je me rappelle qu'à la messe du soir en catalan au village où je passais mes vacances en Espagne, j'avais rencontré deux couples, espagnols de la région, en vacances dans leur village d'origine, et qui habitaient Pau depuis plus de 40 ans. Ils m'avaient donné une adresse pour loger dans le cas où je serais dans la région de Pau. J'ai donc recherché cette adresse que j'avais mise dans ma poche, en pensant que je n'en aurais pas besoin puisque je ne devais pas aller en France. J'ai retrouvé dans la doublure de mon vêtement ce bout de confetti où l'adresse était griffonée, et je m'y suis ainsi rendue : à Lourdes.
Je passe le détail... Le lendemain matin, une femme américaine est guérie, mais on ne la comprend pas parce que personne ne parle français dans les environs. Or, cette femme vient du New Jersey, USA. Il y avait une réunion spéciale des médecins du bureau médical ce jour-là, et le responsable du Bureau Médical a convoqué une réunion l'après-midi pour l'ouverture du dossier en vue de la reconnaissance d'un miracle à étudier, la guérison de cette américaine. En passant les détails, je dis simplement que je me suis retrouvée à interpréter la situation pour la compréhension du dossier toute la journée. J'ai ensuite quitté les lieux, et j'ai repris le lendemain la route du retour de vacances.
Cette femme paralysée, plongée dans l'eau de la piscine en civière, ne marchait donc pas; à la sortie de l'eau, elle dansait de joie et esquissait quelque pas. Mon rôle a été d'aider le Bureau médical à l'interprétation de ses déclarations; j'ai vu de mes yeux une blessure résultant d'une opération, rouge, épaisse d'un centimètre et demi, avec des points de part et d'autre, disparaître en moins d'une minute et ne laisser sur le poignet droit qu'un mince fil quasi incolore.
Le miracle était évident. Le Président en exercice du Bureau Médical a repris ces faits dans le Lourdes Magazine no 66 (malheureusement épuisé, je pense) et dans son livre sur les miracles; il s'agit de la guérison miraculeuse alléguée de Md Dorothy Walko, à l'Ascension 1997; cette dame est décédée un an plus tard d'une toute autre maladie mais elle a continué à marcher jusqu'à la fin de sa vie d'après sa fille.
Cet événement m'a beaucoup impressionnée, encore aujourd'hui car mon miracle à moi est le voyage que j'ai fait avant d'aller à Lourdes, ceci sans connaître ma destination. Comme il n'y a qu'une seule route de Barcelone vers la France, il n'y avait pas beaucoup de choix. La voie était toute tracée. C'était un temps si merveilleux que je crois avoir passé quelques heures ou la journée au Paradis, dont je ne peux décrire l'infinie beauté et l'immense bonheur.
Voilà en gros ... l'événement .... de Lourdes.
Et j'espère !
Il se fait que je lisais sur la plage au nord de Barcelone, en vacances, et une voix m'a parlé sur le côté droit de l'oreille et m'a demandé de partir immédiatement en France. Ce que j'ai fait le lendemain, car la route était longue : Lourdes sans le savoir.
En effet, lorsque j'ai désiré m'arrêter en route pour casser la croûte, la voix m'a dit "ne perds pas ton temps ici et continue ta route", ce que j'ai fait après avoir tourné pour rien dans la ville où il était impossible de se garer à cause des travaux et parce qu'il n'y avait pas de petit restaurant/snack mais seulemenet des restos chics et chers, ce qui ne me convenait pas. J'ai continué ma route en m'arrêtant plus loin près de l'autoroute pour acheter quelques provisions lorsque j'ai appris par autoroute info que la ville que j'avais quittée une bonne heure ou deux auparavant était sous la tornade, arbres et pilones électriques arrachés, etc. Bref, dans mon rétroviseur, le ciel noir et devant moi le grand bleu plein de joie, d'une joie inexprimable et grandissante, une joie remplie de présences dans l'habitacle de ma petite voiture, des couleurs, des parfums, des hymnes, des chants, des musiques qui n'existent pas sur la terre. Indescriptible !
Lorsque j'ai voulu m'arrêter pour le logement de la nuit, vers Tarbes, un camion est soudainement apparu sur la bande droite de l'autoroute et la pluie s'est mise à tomber drue, dure, noire; ces deux barrières m'ont empêché de prendre la sortie de l'autoroute pour l'adresse où je pouvais trouver le logement sur Tarbes. J'ai donc continué ma route, et sitôt la sortie d'autoroute de Tarbes dépassée, le grand ciel bleu est revenu à la seconde ! Bref, je me dirige vers Pau et pense revenir en arrière vers ma destination Tarbes.
A ce moment-là, je me rappelle qu'à la messe du soir en catalan au village où je passais mes vacances en Espagne, j'avais rencontré deux couples, espagnols de la région, en vacances dans leur village d'origine, et qui habitaient Pau depuis plus de 40 ans. Ils m'avaient donné une adresse pour loger dans le cas où je serais dans la région de Pau. J'ai donc recherché cette adresse que j'avais mise dans ma poche, en pensant que je n'en aurais pas besoin puisque je ne devais pas aller en France. J'ai retrouvé dans la doublure de mon vêtement ce bout de confetti où l'adresse était griffonée, et je m'y suis ainsi rendue : à Lourdes.
Je passe le détail... Le lendemain matin, une femme américaine est guérie, mais on ne la comprend pas parce que personne ne parle français dans les environs. Or, cette femme vient du New Jersey, USA. Il y avait une réunion spéciale des médecins du bureau médical ce jour-là, et le responsable du Bureau Médical a convoqué une réunion l'après-midi pour l'ouverture du dossier en vue de la reconnaissance d'un miracle à étudier, la guérison de cette américaine. En passant les détails, je dis simplement que je me suis retrouvée à interpréter la situation pour la compréhension du dossier toute la journée. J'ai ensuite quitté les lieux, et j'ai repris le lendemain la route du retour de vacances.
Cette femme paralysée, plongée dans l'eau de la piscine en civière, ne marchait donc pas; à la sortie de l'eau, elle dansait de joie et esquissait quelque pas. Mon rôle a été d'aider le Bureau médical à l'interprétation de ses déclarations; j'ai vu de mes yeux une blessure résultant d'une opération, rouge, épaisse d'un centimètre et demi, avec des points de part et d'autre, disparaître en moins d'une minute et ne laisser sur le poignet droit qu'un mince fil quasi incolore.
Le miracle était évident. Le Président en exercice du Bureau Médical a repris ces faits dans le Lourdes Magazine no 66 (malheureusement épuisé, je pense) et dans son livre sur les miracles; il s'agit de la guérison miraculeuse alléguée de Md Dorothy Walko, à l'Ascension 1997; cette dame est décédée un an plus tard d'une toute autre maladie mais elle a continué à marcher jusqu'à la fin de sa vie d'après sa fille.
Cet événement m'a beaucoup impressionnée, encore aujourd'hui car mon miracle à moi est le voyage que j'ai fait avant d'aller à Lourdes, ceci sans connaître ma destination. Comme il n'y a qu'une seule route de Barcelone vers la France, il n'y avait pas beaucoup de choix. La voie était toute tracée. C'était un temps si merveilleux que je crois avoir passé quelques heures ou la journée au Paradis, dont je ne peux décrire l'infinie beauté et l'immense bonheur.
Voilà en gros ... l'événement .... de Lourdes.
Et j'espère !
lardida- Combat l'antechrist
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