visions d'Anne catherinne Emmerich...! Le grand Monarque..
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visions d'Anne catherinne Emmerich...! Le grand Monarque..
L'Église de Philadelphie.
Je vis une grande fête dans l'église qui, après la victoire remportée, rayonnait comme un soleil.
Je vis un nouveau Pape très austère et très énergique.
Je vis avant le commencement de la fête, beaucoup d'évêques et de pasteurs chassés par lui parce qu'ils étaient mauvais.
Je vis alors, tout près d'être exaucée, la prière « Que Ton Règne Vienne ». (A.II.209)
Le 27 décembre, jour de la fête de saint-Jean l'Évangéliste. Elle vit l'Église romaine brillante comme un soleil. Il en partait des rayons qui se répandaient sur le monde entier : « Il me fut dit que cela se rapportait à l'Apocalypse de saint-Jean, sur laquelle diverses personnes dans l'Église doivent recevoir des lumières et cette lumière tombera tout entière sur l'Église. (A.II.202)
Pendant que le combat s'achevait sur la terre l'église et l'ange, qui disparut bientôt, étaient devenus blancs et lumineux. La croix aussi s'évanouit et à sa place se tenait debout sur l'église une grande femme brillante de lumière qui étendait au loin au-dessus d'elle son manteau d'or rayonnant. (A.II.207)
Je ressentis une profonde impression de l'approche du royaume de Dieu. Je sentis une splendeur et une vie supérieure se manifester dans toute la nature, et une sainte émotion s'emparer de tous les hommes, comme au temps où la naissance de Seigneur était proche, et je sentis tellement l'approche du royaume de Dieu que je me sentis forcée de courir à sa rencontre et de pousser des cris de joie.
J'ai eu déjà le sentiment de l'avènement de Marie dans ses premiers ancêtres. Je vis leur souche s'ennoblir à mesure qu'elle approchait du point où elle produirait cette fleur. Je vis arriver Marie ; comment cela, je ne puis l'exprimer ; c'est de la même manière que j'ai toujours le pressentiment d'un rapprochement du royaume de Dieu. Je ne puis le comparer qu'à cet autre sentiment dont je parlais. Je l'ai vu s'approcher, attiré par l'ardent désir de beaucoup de chrétiens, pleins d'humilité, d'amour et de foi ; c'était le désir qui l'attirait. (A.II.208)
Le renouveau de l'Église.
Dans l'église on vit s'opérer une réconciliation accompagnée de témoignages d'humilité. Je vis des évêques et des pasteurs s'approcher les uns des autres et échanger leurs livres : les sectes reconnaissaient l'Église à sa merveilleuse victoire et aux clartés de la révélation qu'elles avaient vues de leurs yeux rayonner sur elle. (A.II.208)
J'étais dans le jardin de la Maison des noces. La Matrone (l'Église en cet édifice temporel et hiérarchique qu'elle compose) était encore malade, mais pourtant elle mettait en ordre, nettoyait et déblayait çà et là dans le jardin.
Je vis plusieurs saints revêtus d'antiques habits sacerdotaux qui nettoyaient diverses parties de l'église et enlevaient les toiles d'araignées. La porte était ouverte, l'église devenait de plus en plus lumineuse. C'était comme si les maîtres faisaient le travail des domestiques : car ceux qui étaient dans la Maison des noces ne faisaient rien et plusieurs étaient mécontents. (A.II.361)
Il y avait pourtant là un grand mouvement. Il semblait qu'ils dussent entrer quand l'église serait tout à fait remise en état : mais quelques-uns alors devaient être chassés et mis de côté. (A.II.361)
Pendant que l'église devenait de plus en plus belle et plus lumineuse, il jaillit tout à coup dans son enceinte une belle source limpide qui répandit de tous côtés une eau pure comme du cristal, sortit à travers les murs et, coulant dans le jardin, y ranima tout. (A.II.361)
À l'effusion de cette source, tout devint lumineux et plus joyeux (le Paraclet étant le dispensateur de la joie) et je vis au-dessus d'elle un autel resplendissant comme un esprit céleste, comme une manifestation et une croissance futures. (A.II.361)
Il semblait que tout allait toujours croissant dans l'église, murs, toits, décorations, corps de l'édifice, enfin tout ; et les saints continuaient à travailler et le mouvement était de plus en plus grand dans la Maison des noces. (A.II.361)
Alors j'eus une nouvelle vision. Je vis la sainte Vierge au-dessus de l'église (il s'agit toujours ici de saint-Pierre de Rome, constant symbole de l'Église en ces visions), et autour d'elle des apôtres et des évêques. Je vis au-dessous (en ce monde-ci) de grandes processions et des cérémonies solennelles.
Je vis de grandes bénédictions répandues d'en haut et beaucoup de changements. Je vis aussi le Pape ordonner et régler tout cela. Je vis surgir des hommes pauvres et simples dont plusieurs étaient encore jeunes. Je vis beaucoup d'anciens dignitaires ecclésiastiques qui, s'étant mis au service des mauvais évêques, avaient laissé en oubli les intérêts de l'Église, se traîner sur des béquilles, comme boiteux et paralytiques (et, certes, l'image est symbolique) ; ils furent amenés par deux conducteurs et reçurent leur pardon.
Je vis une quantité de mauvais évêques, qui avaient cru pouvoir faire quelque chose d'eux-mêmes et qui ne recevaient pas pour leurs travaux la force du Christ par l'intermédiaire de leurs saints prédécesseurs et de l'Église, chassés et remplacés par d'autres. (A.II.492)
Les ennemis qui avaient pris la fuite dans le combat ne furent pas poursuivis ; mais ils se dispersèrent de tous côtés. (A.II.240)
Je vis le sacerdoce et les ordres religieux se relever après une longue décadence.
Il me semblait qu'une masse de gens pieux avait surgi et que tout sortait d'eux et se développait. (A.III.176)
Je vis dans l'église de saint-Pierre, à Rome, une grande fête avec beaucoup de lumières et je vis que le saint-Père, ainsi que beaucoup d'autres, a été fortifié par le Saint-Esprit.
Je vis aussi, en divers lieux du monde, la lumière descendre sur les douze hommes que je vois si souvent comme douze nouveaux apôtres ou prophètes de l'Église. (A.II.429)
Le Pape futur.
Je le vis à la fois doux et sévère. Ils savait s'attacher les bons prêtres et repousser loin de lui les mauvais.
Je vis tout se renouveler et une église qui s'élevait jusqu'au ciel. (A.III.103)
Je vis un nouveau Pape très ferme. (A.III.161)
Il y a eu dans l'église spirituelle une fête d'action de grâces ; il y avait là une gloire splendide, un trône magnifiquement orné. Saint-Paul, saint-Augustin et d'autres saints convertis figuraient là d'une manière toute spéciale. C'était une fête où l'Église triomphante remerciait Dieu d'une grande grâce qui ne doit arriver à sa maturité que dans l'avenir. C'était quelque chose comme une consécration future. Cela avait rapport au changement moral opéré dans un homme de condition, svelte et assez jeune, lequel doit un jour être Pape.
J'ai vu aussi dans cette vision beaucoup de chrétiens rentrer dans l'Église. Ils entraient à travers les murs de l'église. (A.III.177)
Je vis que ce Pape doit être sévère et qu'il éloignera de lui les évêques tièdes et froids. Mais beaucoup de temps doit encore s'écouler jusque-là. (A.III.177)
Je le vis (ce futur Pape) en bas dans l'église entouré d'autres hommes pieux : il avait été lié avec ce vieux prêtre que j'ai vu mourir à Rome, il y a quelques jours.
Le jeune homme était déjà dans les ordres et il semblait qu'il reçût aujourd'hui une dignité. Il n'est pas romain, mais italien, d'un endroit qui n'est pas très éloigné de Rome, et il appartient, je crois, à une pieuse famille princière. (A.III.178)
Je vis une grande fête dans l'église qui, après la victoire remportée, rayonnait comme un soleil.
Je vis un nouveau Pape très austère et très énergique.
Je vis avant le commencement de la fête, beaucoup d'évêques et de pasteurs chassés par lui parce qu'ils étaient mauvais.
Je vis alors, tout près d'être exaucée, la prière « Que Ton Règne Vienne ». (A.II.209)
Le 27 décembre, jour de la fête de saint-Jean l'Évangéliste. Elle vit l'Église romaine brillante comme un soleil. Il en partait des rayons qui se répandaient sur le monde entier : « Il me fut dit que cela se rapportait à l'Apocalypse de saint-Jean, sur laquelle diverses personnes dans l'Église doivent recevoir des lumières et cette lumière tombera tout entière sur l'Église. (A.II.202)
Pendant que le combat s'achevait sur la terre l'église et l'ange, qui disparut bientôt, étaient devenus blancs et lumineux. La croix aussi s'évanouit et à sa place se tenait debout sur l'église une grande femme brillante de lumière qui étendait au loin au-dessus d'elle son manteau d'or rayonnant. (A.II.207)
Je ressentis une profonde impression de l'approche du royaume de Dieu. Je sentis une splendeur et une vie supérieure se manifester dans toute la nature, et une sainte émotion s'emparer de tous les hommes, comme au temps où la naissance de Seigneur était proche, et je sentis tellement l'approche du royaume de Dieu que je me sentis forcée de courir à sa rencontre et de pousser des cris de joie.
J'ai eu déjà le sentiment de l'avènement de Marie dans ses premiers ancêtres. Je vis leur souche s'ennoblir à mesure qu'elle approchait du point où elle produirait cette fleur. Je vis arriver Marie ; comment cela, je ne puis l'exprimer ; c'est de la même manière que j'ai toujours le pressentiment d'un rapprochement du royaume de Dieu. Je ne puis le comparer qu'à cet autre sentiment dont je parlais. Je l'ai vu s'approcher, attiré par l'ardent désir de beaucoup de chrétiens, pleins d'humilité, d'amour et de foi ; c'était le désir qui l'attirait. (A.II.208)
Le renouveau de l'Église.
Dans l'église on vit s'opérer une réconciliation accompagnée de témoignages d'humilité. Je vis des évêques et des pasteurs s'approcher les uns des autres et échanger leurs livres : les sectes reconnaissaient l'Église à sa merveilleuse victoire et aux clartés de la révélation qu'elles avaient vues de leurs yeux rayonner sur elle. (A.II.208)
J'étais dans le jardin de la Maison des noces. La Matrone (l'Église en cet édifice temporel et hiérarchique qu'elle compose) était encore malade, mais pourtant elle mettait en ordre, nettoyait et déblayait çà et là dans le jardin.
Je vis plusieurs saints revêtus d'antiques habits sacerdotaux qui nettoyaient diverses parties de l'église et enlevaient les toiles d'araignées. La porte était ouverte, l'église devenait de plus en plus lumineuse. C'était comme si les maîtres faisaient le travail des domestiques : car ceux qui étaient dans la Maison des noces ne faisaient rien et plusieurs étaient mécontents. (A.II.361)
Il y avait pourtant là un grand mouvement. Il semblait qu'ils dussent entrer quand l'église serait tout à fait remise en état : mais quelques-uns alors devaient être chassés et mis de côté. (A.II.361)
Pendant que l'église devenait de plus en plus belle et plus lumineuse, il jaillit tout à coup dans son enceinte une belle source limpide qui répandit de tous côtés une eau pure comme du cristal, sortit à travers les murs et, coulant dans le jardin, y ranima tout. (A.II.361)
À l'effusion de cette source, tout devint lumineux et plus joyeux (le Paraclet étant le dispensateur de la joie) et je vis au-dessus d'elle un autel resplendissant comme un esprit céleste, comme une manifestation et une croissance futures. (A.II.361)
Il semblait que tout allait toujours croissant dans l'église, murs, toits, décorations, corps de l'édifice, enfin tout ; et les saints continuaient à travailler et le mouvement était de plus en plus grand dans la Maison des noces. (A.II.361)
Alors j'eus une nouvelle vision. Je vis la sainte Vierge au-dessus de l'église (il s'agit toujours ici de saint-Pierre de Rome, constant symbole de l'Église en ces visions), et autour d'elle des apôtres et des évêques. Je vis au-dessous (en ce monde-ci) de grandes processions et des cérémonies solennelles.
Je vis de grandes bénédictions répandues d'en haut et beaucoup de changements. Je vis aussi le Pape ordonner et régler tout cela. Je vis surgir des hommes pauvres et simples dont plusieurs étaient encore jeunes. Je vis beaucoup d'anciens dignitaires ecclésiastiques qui, s'étant mis au service des mauvais évêques, avaient laissé en oubli les intérêts de l'Église, se traîner sur des béquilles, comme boiteux et paralytiques (et, certes, l'image est symbolique) ; ils furent amenés par deux conducteurs et reçurent leur pardon.
Je vis une quantité de mauvais évêques, qui avaient cru pouvoir faire quelque chose d'eux-mêmes et qui ne recevaient pas pour leurs travaux la force du Christ par l'intermédiaire de leurs saints prédécesseurs et de l'Église, chassés et remplacés par d'autres. (A.II.492)
Les ennemis qui avaient pris la fuite dans le combat ne furent pas poursuivis ; mais ils se dispersèrent de tous côtés. (A.II.240)
Je vis le sacerdoce et les ordres religieux se relever après une longue décadence.
Il me semblait qu'une masse de gens pieux avait surgi et que tout sortait d'eux et se développait. (A.III.176)
Je vis dans l'église de saint-Pierre, à Rome, une grande fête avec beaucoup de lumières et je vis que le saint-Père, ainsi que beaucoup d'autres, a été fortifié par le Saint-Esprit.
Je vis aussi, en divers lieux du monde, la lumière descendre sur les douze hommes que je vois si souvent comme douze nouveaux apôtres ou prophètes de l'Église. (A.II.429)
Le Pape futur.
Je le vis à la fois doux et sévère. Ils savait s'attacher les bons prêtres et repousser loin de lui les mauvais.
Je vis tout se renouveler et une église qui s'élevait jusqu'au ciel. (A.III.103)
Je vis un nouveau Pape très ferme. (A.III.161)
Il y a eu dans l'église spirituelle une fête d'action de grâces ; il y avait là une gloire splendide, un trône magnifiquement orné. Saint-Paul, saint-Augustin et d'autres saints convertis figuraient là d'une manière toute spéciale. C'était une fête où l'Église triomphante remerciait Dieu d'une grande grâce qui ne doit arriver à sa maturité que dans l'avenir. C'était quelque chose comme une consécration future. Cela avait rapport au changement moral opéré dans un homme de condition, svelte et assez jeune, lequel doit un jour être Pape.
J'ai vu aussi dans cette vision beaucoup de chrétiens rentrer dans l'Église. Ils entraient à travers les murs de l'église. (A.III.177)
Je vis que ce Pape doit être sévère et qu'il éloignera de lui les évêques tièdes et froids. Mais beaucoup de temps doit encore s'écouler jusque-là. (A.III.177)
Je le vis (ce futur Pape) en bas dans l'église entouré d'autres hommes pieux : il avait été lié avec ce vieux prêtre que j'ai vu mourir à Rome, il y a quelques jours.
Le jeune homme était déjà dans les ordres et il semblait qu'il reçût aujourd'hui une dignité. Il n'est pas romain, mais italien, d'un endroit qui n'est pas très éloigné de Rome, et il appartient, je crois, à une pieuse famille princière. (A.III.178)
turttle- Aime le chapelet
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