TOUT CE QU'IL FAUT SAVOIR SUR LA FRANCE ET LE GRAND MONARQUE
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Joannes Maria- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4097
Inscription : 19/05/2010
Re: TOUT CE QU'IL FAUT SAVOIR SUR LA FRANCE ET LE GRAND MONARQUE
je viens de jeter un coup d'oeil sur le site, j'ai repéré la carte d'invasion du site de marie julie jahenny...http://www.marie-julie-jahenny.fr/les-propheties-pour-la-france.htm
comment cela se fait il ???
comment cela se fait il ???
Invité- Invité
Re: TOUT CE QU'IL FAUT SAVOIR SUR LA FRANCE ET LE GRAND MONARQUE
Oui en effet.
C'est une carte extrêmement significative, un cadeau du Ciel.
Bien cordialement en Jésus et Marie.
C'est une carte extrêmement significative, un cadeau du Ciel.
Bien cordialement en Jésus et Marie.
Joannes Maria- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4097
Inscription : 19/05/2010
Re: TOUT CE QU'IL FAUT SAVOIR SUR LA FRANCE ET LE GRAND MONARQUE
Bonsoir, est-il possible d'en savoir plus sur ce monsieur ?
merci
bonne soirée.
merci
bonne soirée.
Invité- Invité
Re: TOUT CE QU'IL FAUT SAVOIR SUR LA FRANCE ET LE GRAND MONARQUE
Il suffit de lui écrire.
S'il plaît à Dieu il vous répondra.
Dans la tendresse du Coeur unique de Jésus et de Marie.
S'il plaît à Dieu il vous répondra.
Dans la tendresse du Coeur unique de Jésus et de Marie.
Joannes Maria- Gloire à toi Seigneur Jésus-Christ
- Messages : 4097
Inscription : 19/05/2010
Re: TOUT CE QU'IL FAUT SAVOIR SUR LA FRANCE ET LE GRAND MONARQUE
Bonjour Joannes-Maria,
Beaucoup d'objets de la vie du christ ont été conservés et ramenés en France au cours des siècles...
Il existe aussi à Angers une jarre des Noces de Cana en porphyre :
Vase décoratif : urne dite de Cana à Angers (49)
Catégorie : Sculpture
Edifice de conservation : cathédrale Saint-Maurice
Matériaux : porphyre (rouge)
Description : Inv n°66.
Dimensions : h = 48 ; d = 40
Précision état : Cassée en 1666, l'urne fut encore brisée en 1793.
Siècle : Antiquité
Historique : Ce vase antique creusé au tour et décoré de deux têtes sur les côtés, est dit urne de Cana car il passait pour avoir contenu l'eau changée en vin par le Christ lors des noces de Cana. Le roi René l'acheta 200 florins à la prieure du couvent de Saint-Paul de Marseille le 15 juillet 1449 et l'envoya au chapitre d'Angers le 19 septembre 1450. Avant même son arrivée une fenêtre ou reliquaire avait été construite pour le recevoir près du tombeau de Foulques de Mathefelon dans le choeur et une inscription précisait hydria de cana galileae". Ce reliquaire fut démoli en 1699 lors de la transformation du choeur et l'urne fut placée dans la sacristie.
Date protection : 1962/06/01 : classé au titre objet
Statut juridique : propriété de l'Etat
Type d'étude : liste objets classés MH
Copyright : (c) Monuments historiques, 1993
Référence : PM49000076
Beaucoup d'objets de la vie du christ ont été conservés et ramenés en France au cours des siècles...
Il existe aussi à Angers une jarre des Noces de Cana en porphyre :
Vase décoratif : urne dite de Cana à Angers (49)
Catégorie : Sculpture
Edifice de conservation : cathédrale Saint-Maurice
Matériaux : porphyre (rouge)
Description : Inv n°66.
Dimensions : h = 48 ; d = 40
Précision état : Cassée en 1666, l'urne fut encore brisée en 1793.
Siècle : Antiquité
Historique : Ce vase antique creusé au tour et décoré de deux têtes sur les côtés, est dit urne de Cana car il passait pour avoir contenu l'eau changée en vin par le Christ lors des noces de Cana. Le roi René l'acheta 200 florins à la prieure du couvent de Saint-Paul de Marseille le 15 juillet 1449 et l'envoya au chapitre d'Angers le 19 septembre 1450. Avant même son arrivée une fenêtre ou reliquaire avait été construite pour le recevoir près du tombeau de Foulques de Mathefelon dans le choeur et une inscription précisait hydria de cana galileae". Ce reliquaire fut démoli en 1699 lors de la transformation du choeur et l'urne fut placée dans la sacristie.
Date protection : 1962/06/01 : classé au titre objet
Statut juridique : propriété de l'Etat
Type d'étude : liste objets classés MH
Copyright : (c) Monuments historiques, 1993
Référence : PM49000076
Her- En adoration
- Messages : 2751
Inscription : 10/01/2007
Re: TOUT CE QU'IL FAUT SAVOIR SUR LA FRANCE ET LE GRAND MONARQUE
Bonjour à tous,
Parce que cela semble important de diffuser, voici un excellent article relançant le sujet du Grand Monarque. Ce "copié collé" émane du très bon site "Le Nouveau Roi", dont notre ami Hercule est l'Administrateur. Je vous conseille d'aller de temps en temps sur ce site qui reprend actuellement les prophéties de Marie-Julie Jahenny.
***
Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE
et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE :: ACTUALITE ET PROXIMITE DE L'AVENEMENT DU SAINT PAPE ET DU GRAND ROI
Le Grand Monarque : La Survie de Louis XVII et sa Descendance Cachée
Hercule Aujourd'hui à 8:01
.Henri Mertal "LSLF"
LE GRAND MONARQUE
LA SURVIE DE LOUIS XVII ET SA DESCENDANCE CACHÉE
Le 27 mars 1785, à 7 heures 30 du matin, naît au Palais de Versailles, Charles-Louis, deuxième fils de France, duc de Normandie. Il sera baptisé à 8 heures 30.
Comme Louis XVII, Soeur Olive, naît le 27 mars (1906) et est baptisée le lendemain 28 mars, fête de saint Gontran, premier roi de France canonisé. Or le 28 mars constitue précisément le Jour choisi par le Christ afin que les hommes viennent tous les ans se repentir à Dozulé en procession solennelle !
Messagère du Christ-Roi, Soeur Olive qui rencontrera le Grand Monarque, établit donc par delà le temps le lien mystique entre le Royaume de France, le Roi Louis XVII qui n'a pu régner et le Roi choisi par Dieu à la fin des temps.
C'est encore le le 28 mars 1923, que Notre Seigneur donna des lumières sur sa Crucifixion à Soeur Josepha Menendez, religieuse coadjutrice de la Société du Sacré-Coeur, participant en extase à cet ultime mystère douloureux.
Enfin, le 28 mars 1943, durant la dernière guerre mondiale, l'épiscopat français consacrait la France au Coeur Immaculé de Marie. Quatre reproductions de Notre Dame de Boulogne portées sur quatre chars, partaient à travers toute le pays pour visiter 600 paroisses et 88 diocèses (avant de revenir à Boulogne en 1948). L'une des quatre statues quittait Lourdes ce même 28 mars, lieu de la Consécration.
Après la mort de son frère le 4 juin 1789, Charles-Louis devient le Dauphin. Nous ne pouvons sans surcharger la matière entrer dans les péripéties de son évasion de la prison du Temple et de sa survie, thèse soutenue par de nombreux et solides historiens français. Toutefois, la matière n'étant pas ordinairement abordée par ces derniers, nous jugeons indispensable de rappeler ici les témoignages des mystiques.
Ainsi le Marquis de la Franquerie recense-t-il seize prophéties sérieuses contemporaines qui affirment que le Grand Monarque descendra de Louis XVII :
"le Père Nectou, le Paysan de Gallardon, l'abbé Souffrand en 1821, la petite Marie des Terreaux à Lyon, Soeur Marianne des Ursulines de Blois, la Soeur Trappistine de Notre Dame des Gardes en Anjou, les deux bergers de la Salette, Mélanie Calvat et Maximin Giraud, Marie-Françoise Decooterd en Suisse, Mère Saint Dominique à Paris, Marie-Joseph Lavadoux, Marie-Julie Jahenny, la stigmatisée de la Fraudais en Bretagne, une religieuse de Lyon, et trois âmes privilégiées contemporaines dont on ne peut présentement encore citer les noms. " (Marquis de la Franquerie, le Saint Pape et le Grand Monarque, d'après les prophéties, éd. de Chiré, 1980, p. 15, 21 et s.)
Il est capital de relever celle du Père Nectou, Provincial des Jésuites d'Aquitaine mort en 1777, soit près de TRENTE ANS AVANT LA RÉVOLUTION qu'il prophétisa:
"L'ENFANT DU TEMPLE ne périra pas et sa postérité assurera le TRIOMPHE DE L'EGLISE TEL QU'IL N'Y EN AURA JAMAIS EU DE SEMBLABLE !"
De même, "MAXIMIN GIRAUD, le Berger de la Salette avait reçu ORDRE DE LA SAINTE VIERGE de révéler LA SURVIVANCE DE LOUIS XVII et de sa descendance au Comte de Chambord. Il se rendit donc à Frohsdorf. A ce moment, le secrétaire du Prince était le Comte de Vanssay qui a rédigé pour sa famille - dont je tiens la copie du document - le compte rendu de l'entretien :
"Je vis que le Comte de Chambord était ému et parla longuement et avec beaucoup de bonté au jeune voyant. Quand Maximin quitta la pièce, tout ému, le Prince se tourna vers moi:
"Maintenant j'ai LA CERTITUDE que MON COUSIN LOUIS XVII EXISTE. Je ne monterai donc pas sur le trône de France. Mais Dieu veut que nous gardions LE SECRET. C'est LUI SEUL qui se réserve de RÉTABLIR LA ROYAUTÉ."
"Et le Comte de Vanssay ajoute pour ses neveux et petits-neveux:
"Surtout qu'ils gardent l'espérance qu'un jour DIEU ramènera sur le trône de France LE DESCENDANT DU LYS A LA TETE COUPÉE et que notre chère Patrie redevenue la Fille Ainée de l'Eglise retrouvera sa grandeur et sa gloire." (M. de la Franquerie, op. cit. p. 22)
En 1858, le Comte de Chambord déclara à Mme de Maleysie - qui a maintenu son témoignage au travers de toute une polémique (1906):
"Je ne reviendrai jamais en France, LOUIS XVII N'EST PAS MORT AU TEMPLE, il s'est marié et a eu des enfants; je ne suis donc qu'un cadet... La raison d'Etat, il paraît que cela prime tout. Moi, voyez-vous, j'ai une âme bourgeoise. Ma conscience avant tout, bien avant la raison d'Etat..." (R. Reicher Sgradi, la survie de Louis XVII, Paris 1967, p. 157)
En 1872, au cours d'un entretien avec le fameux Mgr Pie qui lui demandait de monter sur le trône :
"Non, non, je ne puis; ce n'est pas ma place, ELLE APPARTIENT A UN AUTRE !"
Ici s'impose la réhabilitation du Comte de Chambord présenté comme un politicien stupide et intolérant. Des pourparlers de son éventuel règne, on ne sait retenir que son intransigeance à vouloir imposer le drapeau blanc royaliste de la France (en 1783), alors que sans cette clause "futile", il eût pu accéder au trône de France. Aujourd'hui, en pleine connaissance du secret, on devine avec le recul, les nobles desseins du Comte de Chambord: "Faire apposer sur l'étendard de France, l'emblème du Sacré-Coeur, selon la demande que le Christ en avait faite à Louis XIV, et selon l'intention même de Louis XVI retrouvée dans ses papiers, s'il obtenait la liberté. On sait, du reste qu'en effet le Comte participera par 5OO.OOO francs-or au financement de la basilique du Sacré-Coeur. En plaçant, la barre très haut pour le drapeau envisagé, il cherchait à l'évidence le signe du ciel qui eût pu encourager et justifier son règne éventuel, tout en ménageant dans le cas contraire son respect vis à vis du secret.
Madame de Meylian, Fondatrice des Religieuses de l'Immaculée Conception à Rome, prophétisera de même:
"La France sera toujours en révolution tant que son ROI LÉGITIME ne la gouvernera pas... Grande erreur des légitimistes à regarder comme Roi TOUT AUTRE QUE LOUIS XVII ET SA DESCENDANCE... Le nombre des légitimistes sera tellement petit qu'ils pourraient tenir dans une chambre de 25 pieds carrés."
Ces révélations excluent tous prétendants historiques ANTÉRIEURS à Louis XVI, tous prétendants légendaires, ou illuminés. Constatations qui s'imposent face aux constructions littéraires dont la matière est aussi pittoresque qu'abondante. L'absence de foi compensée par l'ésotérisme, le clinquant et le manque de discrétion, constituent les signes révélateurs de l'imposture.
Marie-Julie Jahenny (1850-1941), la stigmatisée de Blain, nous apporte de nouvelles précisions. Il est nécessaire de savoir que cette âme privilégéiée fut, de tous les saints et mystiques, favorisée des plus substancielles révélations sur la mission de la France à la fin des temps, et tout spécialement sur le Grand Monarque. Les spécialistes de Nostradamus devraient donc avant tout méditer les messages que le Christ ou la Vierge nous ont donnés par son entremise, car ils ont le mérite évident d'être infiniment plus clairs et édifiants !
C'est aussi pour nous, une bonne nouvelle d'apprendre que S.S. Jean-Paul II a demandé aux autorités diocésaines de préparer son dossier nécessaire à la cause et à la vénérabilité des saints. Ainsi Mgr Marcus, évêque de Nantes, a-t-il donné l'ordre au chanoine Guihenneuc et aux prêtres archivistes du diocèse, de rechercher et grouper tous les écrits la concernant.
On sait maintenant combien la date du 28 mars, fête de St Gontran, premier roi de France canonisé, date de la dernière Consécration de la France au Coeur Immaculé de Marie, et demande de la procession de repentir à Dozulé, est capitale pour notre pays. Or c'est précisément le 28 MARS 1874, que Notre Dame donna à Marie-Julie les indications majeures concernant l'identité du futur Grand Monarque, éliminant ainsi bien des prétendants :
"Pourqoi ne priez-vous pas plus ? Pourquoi ne demandez-vous pas plus le salut de la France votre Patrie ? Je lui donnerai un bon Roi, pieux, qui montrera le bon exemple à la France. Le Roi fera refleurir la foi et la religion triomphera.
Le Roi, c'est un lys, c'est un héros, le monde ne le connaît pas. Il règnera jusqu'à la fin des temps dans tout l'éclat de sa beauté et de sa gloire. Son nom n'est CONNU QUE DU CIEL. Il sortira du Coeur adorable de Jésus quelques semaines avant la grande paix de la France. Elle se fera cette paix en plein trouble, en pleine révolte.
Ce n'est ni un descendant Louis-Philippe, ni un Naundorff, ni un Napoléon. Il n'est pas parmi les prétendants Bourbons.
C'est UN ROI CACHÉ qui aura les belles vertus d'un saint Louis et surtout sa belle foi." (Henri Bourcier, trois mille visites de Notre Dame de la Fraudais à Marie-Julie Jahenny, éd Hovine, 1993, p. 213)
Trois ans plus tard, le 20 avril 1877, Notre-Dame lui redit :
"Jésus a un roi caché dans son Divin Coeur, qui aura les belles vertus d'un saint Louis et surtout sa belle foi. Son nom ne sortira, dit Jésus, qu'à l'heure de ma sainte volonté. Il ne faut pas compter sur les Naundorff, ni sur les d'Orléans, pas même sur les prétendants de la famille des Bourbons. Celui que je choisis pour l'heure de ma sainte volonté, n'est PAS CONNU DES HOMMES, dit Jésus. Il n'est connu que de QUELQUES AMES que J'aime bien, mais pas plus. Il va dans la ville éternelle, sur la terre des martyrs." (op. cit. p. 32)
Observons qu'Elle élimine les prétendants Bourbons, c'est à dire ceux qui prétendent et revendiquent officiellement, mais non les Bourbons inconnus de la branche Louis XVII qui demeurent dans l'ombre. En effet Marie-Julie reçoit ce message le 24 janvier 1882 :
"Deux hommes distingués, aux habitudes de Roi ont jeté sur le Centre (Paris) un crèpe noir qui d'abord l'a enveloppé seul. L'un, Saint Louis, qui avait une couronne et un sceptre, plus beau que tous les objets de la terre. L'autre moins éclatant, est Louis XVI, TUÉ INJUSTEMENT, mais DONT L'EGLISE CHANTERA UN JOUR LA FOI ET LA GLOIRE.
La Sainte Vierge me dit en soupirant que nul homme ne relèvera SON NOM HONORABLE, si ce n'est Celui qui rassemblera la terre de la France, après qu'elle aura été abreuvée de sang." (op. cit., p. 179)
Le Grand Monarque relève LE NOM HONORABLE DE LOUIS XVI. Soit il le réhabilite par son propre nom, expression qui confirme les nombreuses et concordantes prophéties des mystiques sur la descendance cachée de Louis XVII.
Remarquons aussi l'élimination des Naundorff: après la disparition du Comte de Chambord mort sans postérité, ses partisans légitimistes ont en effet reporté leur intérêt sur les descendants de Naundorff. Le Pape, Léon XIII, lui-même, au courant des messages de Marie-Julie Jahenny, dont le double parvenait au Vatican par le Père Vanutelli, donnera l'impression de ne pas désavouer la cause Naundorff. Attitude à l'évidence destinée à détourner l'attention et à protéger la véritable lignée cachée.
Marie-Julie révèlera en effet au Marquis de la Franquerie :
"Personne ne connaîtra le Roi. Il est le Roi CACHE et Dieu ne veut pas qu'on le connaisse avant l'heure de sa Providence, car s'il était connu, LES FRANCS-MACONS, les républicains ou CERTAINS PRETENDANTS essaieraient de le faire disparaître."
(M de la Franquerie op.cit. p. 16)
S’il nous a été dit plus haut que seules QUELQUES AMES aimées du Christ le connaissaient... comment le Pape Léon XIII, favorisé par une vision de la fin des temps le 13 octobre 1884, n'aurait-il pas été au nombre de ces dernières ?...
De même pour notre époque, il est bon de rappeler que Soeur Olive, en religion Soeur Marie du Christ Roi, "petite colombe messagère de la fin des temps", a eu le privilège de rencontrer le Grand Monarque durant l'un de ses deux voyages qu'elle fit en Irlande, en juillet 1946 et mai 1947. Les circonstances sont restées cachées aux deux soeurs qui l'accompagnaient. Lui demandant comme un rapport de son emploi du temps, Soeur Olive leur répondra: "JÉSUS N'A PAS DIT DE LE DIRE." Le mystère demeure entier. C'est le témoignage de Soeur Cécile qui l'accompagnait.
Or, Marie-Julie Jahenny avait prophétisé cette entrevue capitale: "Une jeune âme" bretonne envoyée par le Ciel doit lui communiquer les ordres du Ciel :
"Cette jeune âme sera chargée (...) de porter à sa Majesté, des lumières sur ce que veut le Dieu des Armées." (21 sept 1880)
Par la suite, le 14 novembre 1953, Soeur Olive rencontrera Pie XII à Castelgandolfo, avec deux de ses Soeurs. Or Pie XII, encore Cardinal, vint rencontrer Marie-Julie Jahenny, chez elle à la Fraudais, ainsi que le révèle le Père Pierre Roberdel.. (Vers l'avenir, avec Marie-Julie Jahenny, la stigmatisée de la Fraudais, éd Mambré, 1992, p. 57-61)
Cette dernière confirme aussi l'exil du Roi, dans le message reçu le 31 décembre 1874 :
"Viendra un Roi qui n'a pas terni sa couronne et qui a vécu AU LOIN DANS L'EXIL, qui a tant attendu et reçu de Marie." (H. Bourcier, op. cit. p. 168)
Au petit coeur si pur de Soeur Olive, Jésus fait part de la prédilection qu'il porte à l'Irlande pour sa fidélité et sa ferveur de sa foi. C'est d'ailleurs l'Irlande qui avec la France s'est montrée la plus généreuse pour ériger le sanctuaire demandé du Christ-Roi, Prince de la Paix et Maître des Nations, depuis son Président M. de Valera jusqu'aux fillettes de Dublin qui se cotisèrent pour l'Oeuvre. Bien entendu, chez les médias suffisants de la France, il est de bon ton de présenter l'Irlande profondément catholique comme une nation rétrograde.
Il n'y a aucune contradiction à ce que Marie-Julie Jahenny montre dans ses extases le Grand Monarque comme venant de l'EST : ces indications ne lui sont données en réalité que lorsqu'il entre EN GUERRE et arrive de ce fait en France par cette voie qui est peut-être celle de la catholique Bavière. La Révélation se fait de manière progressive dans les premiers mois de l'année 1882 :
"L'homme de foi qui a souffert et espéré AU FOND DE L'EXIL, va, avant des années, se lever comme UN ECLAIR LUMINEUX. Il attendra sur le sol français, la venue victorieuse d'ennemis atterrés, sous le firmament ténébreux.
En mes desseins, le Sauveur sommeille DANS L'EXIL, penché sur le lys dont son esprit a tant rêvé. Sous un ciel éparé et étoilé, il apportera le triomphe à MON TEMPLE et se reposera sur MON COEUR." (14 févr. 1882)
"Si le monde a douté de ma puissance et de mes desseins, je vais, sans tarder, manifester mon heure: l'ETOILE qui annonce la venue de LA PAIX va se lever SUR LA TERRE ETRANGERE pour ceux qui attendent fidèlement l'objet de mon choix...." (28 février 1882)
"Il viendra DU COTE DU LEVANT. A deux lieues du Centre (Paris) se trouveront réunies les armées des gouverneurs d'aujourd'hui (ses adversaires). C'est là, dans une grande ville, que Dieu les attend pour leur donner ses grandes marques et aveugler ces barbares qui seront opposés au futur Sauveur... Le Roi aura déjà fait dix à douze lieues sur la terre de France, en direction du trône. C'est là que Dieu attend ses vrais amis pour les réjouir de son GRAND SIGNE. L'étendard blanc sera levé dans ce lieu dont le nom sera dit... (ce nom n'a pas été retrouvé)" (9 mai 1882)
A l'appui de cette réflexion, le texte d'une révélation donnée par Valéry Noble, de New-Orleans, le 12 décembre 1971, laquelle, note le Père Pierre Roberdel, ne pouvait rien connaître de Marie-Julie Jahenny, pas même peut-être son existence:
"Très bientôt la troisième guerre mondiale commencera en Europe et les forces du démon sembleront gagner. Ne vous découragez pas, mais priez... Ma Mère conduira la bataille avec un Grand Roi qui mènera ma guerre... L'Allemagne, plus précisément l'ALLEMAGNE DE L'OUEST, SERA L'ENDROIT OU MA MERE POSERA L'EPEE SUR L'EPAULE DU ROI et l'investira d'un grand pouvoir en Mon Nom. QUAND TOUT SEMBLERA PERDU, la victoire commencera et continuera jusqu'à ce que les forces des ténèbres retournent à l'enfer... Alors tous fléchiront le genou et serviront sous l'oeil satisfait de Mon Père." (Pierre Roberdel, Les prophéties de la Fraudais, éd. Résiac, mai 1991, p. 200-201.
Parce que cela semble important de diffuser, voici un excellent article relançant le sujet du Grand Monarque. Ce "copié collé" émane du très bon site "Le Nouveau Roi", dont notre ami Hercule est l'Administrateur. Je vous conseille d'aller de temps en temps sur ce site qui reprend actuellement les prophéties de Marie-Julie Jahenny.
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Le GRAND PAPE, le GRAND MONARQUE
et HENRI V de la CROIX, le NOUVEAU ROI de FRANCE :: ACTUALITE ET PROXIMITE DE L'AVENEMENT DU SAINT PAPE ET DU GRAND ROI
Le Grand Monarque : La Survie de Louis XVII et sa Descendance Cachée
Hercule Aujourd'hui à 8:01
.Henri Mertal "LSLF"
LE GRAND MONARQUE
LA SURVIE DE LOUIS XVII ET SA DESCENDANCE CACHÉE
Le 27 mars 1785, à 7 heures 30 du matin, naît au Palais de Versailles, Charles-Louis, deuxième fils de France, duc de Normandie. Il sera baptisé à 8 heures 30.
Comme Louis XVII, Soeur Olive, naît le 27 mars (1906) et est baptisée le lendemain 28 mars, fête de saint Gontran, premier roi de France canonisé. Or le 28 mars constitue précisément le Jour choisi par le Christ afin que les hommes viennent tous les ans se repentir à Dozulé en procession solennelle !
Messagère du Christ-Roi, Soeur Olive qui rencontrera le Grand Monarque, établit donc par delà le temps le lien mystique entre le Royaume de France, le Roi Louis XVII qui n'a pu régner et le Roi choisi par Dieu à la fin des temps.
C'est encore le le 28 mars 1923, que Notre Seigneur donna des lumières sur sa Crucifixion à Soeur Josepha Menendez, religieuse coadjutrice de la Société du Sacré-Coeur, participant en extase à cet ultime mystère douloureux.
Enfin, le 28 mars 1943, durant la dernière guerre mondiale, l'épiscopat français consacrait la France au Coeur Immaculé de Marie. Quatre reproductions de Notre Dame de Boulogne portées sur quatre chars, partaient à travers toute le pays pour visiter 600 paroisses et 88 diocèses (avant de revenir à Boulogne en 1948). L'une des quatre statues quittait Lourdes ce même 28 mars, lieu de la Consécration.
Après la mort de son frère le 4 juin 1789, Charles-Louis devient le Dauphin. Nous ne pouvons sans surcharger la matière entrer dans les péripéties de son évasion de la prison du Temple et de sa survie, thèse soutenue par de nombreux et solides historiens français. Toutefois, la matière n'étant pas ordinairement abordée par ces derniers, nous jugeons indispensable de rappeler ici les témoignages des mystiques.
Ainsi le Marquis de la Franquerie recense-t-il seize prophéties sérieuses contemporaines qui affirment que le Grand Monarque descendra de Louis XVII :
"le Père Nectou, le Paysan de Gallardon, l'abbé Souffrand en 1821, la petite Marie des Terreaux à Lyon, Soeur Marianne des Ursulines de Blois, la Soeur Trappistine de Notre Dame des Gardes en Anjou, les deux bergers de la Salette, Mélanie Calvat et Maximin Giraud, Marie-Françoise Decooterd en Suisse, Mère Saint Dominique à Paris, Marie-Joseph Lavadoux, Marie-Julie Jahenny, la stigmatisée de la Fraudais en Bretagne, une religieuse de Lyon, et trois âmes privilégiées contemporaines dont on ne peut présentement encore citer les noms. " (Marquis de la Franquerie, le Saint Pape et le Grand Monarque, d'après les prophéties, éd. de Chiré, 1980, p. 15, 21 et s.)
Il est capital de relever celle du Père Nectou, Provincial des Jésuites d'Aquitaine mort en 1777, soit près de TRENTE ANS AVANT LA RÉVOLUTION qu'il prophétisa:
"L'ENFANT DU TEMPLE ne périra pas et sa postérité assurera le TRIOMPHE DE L'EGLISE TEL QU'IL N'Y EN AURA JAMAIS EU DE SEMBLABLE !"
De même, "MAXIMIN GIRAUD, le Berger de la Salette avait reçu ORDRE DE LA SAINTE VIERGE de révéler LA SURVIVANCE DE LOUIS XVII et de sa descendance au Comte de Chambord. Il se rendit donc à Frohsdorf. A ce moment, le secrétaire du Prince était le Comte de Vanssay qui a rédigé pour sa famille - dont je tiens la copie du document - le compte rendu de l'entretien :
"Je vis que le Comte de Chambord était ému et parla longuement et avec beaucoup de bonté au jeune voyant. Quand Maximin quitta la pièce, tout ému, le Prince se tourna vers moi:
"Maintenant j'ai LA CERTITUDE que MON COUSIN LOUIS XVII EXISTE. Je ne monterai donc pas sur le trône de France. Mais Dieu veut que nous gardions LE SECRET. C'est LUI SEUL qui se réserve de RÉTABLIR LA ROYAUTÉ."
"Et le Comte de Vanssay ajoute pour ses neveux et petits-neveux:
"Surtout qu'ils gardent l'espérance qu'un jour DIEU ramènera sur le trône de France LE DESCENDANT DU LYS A LA TETE COUPÉE et que notre chère Patrie redevenue la Fille Ainée de l'Eglise retrouvera sa grandeur et sa gloire." (M. de la Franquerie, op. cit. p. 22)
En 1858, le Comte de Chambord déclara à Mme de Maleysie - qui a maintenu son témoignage au travers de toute une polémique (1906):
"Je ne reviendrai jamais en France, LOUIS XVII N'EST PAS MORT AU TEMPLE, il s'est marié et a eu des enfants; je ne suis donc qu'un cadet... La raison d'Etat, il paraît que cela prime tout. Moi, voyez-vous, j'ai une âme bourgeoise. Ma conscience avant tout, bien avant la raison d'Etat..." (R. Reicher Sgradi, la survie de Louis XVII, Paris 1967, p. 157)
En 1872, au cours d'un entretien avec le fameux Mgr Pie qui lui demandait de monter sur le trône :
"Non, non, je ne puis; ce n'est pas ma place, ELLE APPARTIENT A UN AUTRE !"
Ici s'impose la réhabilitation du Comte de Chambord présenté comme un politicien stupide et intolérant. Des pourparlers de son éventuel règne, on ne sait retenir que son intransigeance à vouloir imposer le drapeau blanc royaliste de la France (en 1783), alors que sans cette clause "futile", il eût pu accéder au trône de France. Aujourd'hui, en pleine connaissance du secret, on devine avec le recul, les nobles desseins du Comte de Chambord: "Faire apposer sur l'étendard de France, l'emblème du Sacré-Coeur, selon la demande que le Christ en avait faite à Louis XIV, et selon l'intention même de Louis XVI retrouvée dans ses papiers, s'il obtenait la liberté. On sait, du reste qu'en effet le Comte participera par 5OO.OOO francs-or au financement de la basilique du Sacré-Coeur. En plaçant, la barre très haut pour le drapeau envisagé, il cherchait à l'évidence le signe du ciel qui eût pu encourager et justifier son règne éventuel, tout en ménageant dans le cas contraire son respect vis à vis du secret.
Madame de Meylian, Fondatrice des Religieuses de l'Immaculée Conception à Rome, prophétisera de même:
"La France sera toujours en révolution tant que son ROI LÉGITIME ne la gouvernera pas... Grande erreur des légitimistes à regarder comme Roi TOUT AUTRE QUE LOUIS XVII ET SA DESCENDANCE... Le nombre des légitimistes sera tellement petit qu'ils pourraient tenir dans une chambre de 25 pieds carrés."
Ces révélations excluent tous prétendants historiques ANTÉRIEURS à Louis XVI, tous prétendants légendaires, ou illuminés. Constatations qui s'imposent face aux constructions littéraires dont la matière est aussi pittoresque qu'abondante. L'absence de foi compensée par l'ésotérisme, le clinquant et le manque de discrétion, constituent les signes révélateurs de l'imposture.
Marie-Julie Jahenny (1850-1941), la stigmatisée de Blain, nous apporte de nouvelles précisions. Il est nécessaire de savoir que cette âme privilégéiée fut, de tous les saints et mystiques, favorisée des plus substancielles révélations sur la mission de la France à la fin des temps, et tout spécialement sur le Grand Monarque. Les spécialistes de Nostradamus devraient donc avant tout méditer les messages que le Christ ou la Vierge nous ont donnés par son entremise, car ils ont le mérite évident d'être infiniment plus clairs et édifiants !
C'est aussi pour nous, une bonne nouvelle d'apprendre que S.S. Jean-Paul II a demandé aux autorités diocésaines de préparer son dossier nécessaire à la cause et à la vénérabilité des saints. Ainsi Mgr Marcus, évêque de Nantes, a-t-il donné l'ordre au chanoine Guihenneuc et aux prêtres archivistes du diocèse, de rechercher et grouper tous les écrits la concernant.
On sait maintenant combien la date du 28 mars, fête de St Gontran, premier roi de France canonisé, date de la dernière Consécration de la France au Coeur Immaculé de Marie, et demande de la procession de repentir à Dozulé, est capitale pour notre pays. Or c'est précisément le 28 MARS 1874, que Notre Dame donna à Marie-Julie les indications majeures concernant l'identité du futur Grand Monarque, éliminant ainsi bien des prétendants :
"Pourqoi ne priez-vous pas plus ? Pourquoi ne demandez-vous pas plus le salut de la France votre Patrie ? Je lui donnerai un bon Roi, pieux, qui montrera le bon exemple à la France. Le Roi fera refleurir la foi et la religion triomphera.
Le Roi, c'est un lys, c'est un héros, le monde ne le connaît pas. Il règnera jusqu'à la fin des temps dans tout l'éclat de sa beauté et de sa gloire. Son nom n'est CONNU QUE DU CIEL. Il sortira du Coeur adorable de Jésus quelques semaines avant la grande paix de la France. Elle se fera cette paix en plein trouble, en pleine révolte.
Ce n'est ni un descendant Louis-Philippe, ni un Naundorff, ni un Napoléon. Il n'est pas parmi les prétendants Bourbons.
C'est UN ROI CACHÉ qui aura les belles vertus d'un saint Louis et surtout sa belle foi." (Henri Bourcier, trois mille visites de Notre Dame de la Fraudais à Marie-Julie Jahenny, éd Hovine, 1993, p. 213)
Trois ans plus tard, le 20 avril 1877, Notre-Dame lui redit :
"Jésus a un roi caché dans son Divin Coeur, qui aura les belles vertus d'un saint Louis et surtout sa belle foi. Son nom ne sortira, dit Jésus, qu'à l'heure de ma sainte volonté. Il ne faut pas compter sur les Naundorff, ni sur les d'Orléans, pas même sur les prétendants de la famille des Bourbons. Celui que je choisis pour l'heure de ma sainte volonté, n'est PAS CONNU DES HOMMES, dit Jésus. Il n'est connu que de QUELQUES AMES que J'aime bien, mais pas plus. Il va dans la ville éternelle, sur la terre des martyrs." (op. cit. p. 32)
Observons qu'Elle élimine les prétendants Bourbons, c'est à dire ceux qui prétendent et revendiquent officiellement, mais non les Bourbons inconnus de la branche Louis XVII qui demeurent dans l'ombre. En effet Marie-Julie reçoit ce message le 24 janvier 1882 :
"Deux hommes distingués, aux habitudes de Roi ont jeté sur le Centre (Paris) un crèpe noir qui d'abord l'a enveloppé seul. L'un, Saint Louis, qui avait une couronne et un sceptre, plus beau que tous les objets de la terre. L'autre moins éclatant, est Louis XVI, TUÉ INJUSTEMENT, mais DONT L'EGLISE CHANTERA UN JOUR LA FOI ET LA GLOIRE.
La Sainte Vierge me dit en soupirant que nul homme ne relèvera SON NOM HONORABLE, si ce n'est Celui qui rassemblera la terre de la France, après qu'elle aura été abreuvée de sang." (op. cit., p. 179)
Le Grand Monarque relève LE NOM HONORABLE DE LOUIS XVI. Soit il le réhabilite par son propre nom, expression qui confirme les nombreuses et concordantes prophéties des mystiques sur la descendance cachée de Louis XVII.
Remarquons aussi l'élimination des Naundorff: après la disparition du Comte de Chambord mort sans postérité, ses partisans légitimistes ont en effet reporté leur intérêt sur les descendants de Naundorff. Le Pape, Léon XIII, lui-même, au courant des messages de Marie-Julie Jahenny, dont le double parvenait au Vatican par le Père Vanutelli, donnera l'impression de ne pas désavouer la cause Naundorff. Attitude à l'évidence destinée à détourner l'attention et à protéger la véritable lignée cachée.
Marie-Julie révèlera en effet au Marquis de la Franquerie :
"Personne ne connaîtra le Roi. Il est le Roi CACHE et Dieu ne veut pas qu'on le connaisse avant l'heure de sa Providence, car s'il était connu, LES FRANCS-MACONS, les républicains ou CERTAINS PRETENDANTS essaieraient de le faire disparaître."
(M de la Franquerie op.cit. p. 16)
S’il nous a été dit plus haut que seules QUELQUES AMES aimées du Christ le connaissaient... comment le Pape Léon XIII, favorisé par une vision de la fin des temps le 13 octobre 1884, n'aurait-il pas été au nombre de ces dernières ?...
De même pour notre époque, il est bon de rappeler que Soeur Olive, en religion Soeur Marie du Christ Roi, "petite colombe messagère de la fin des temps", a eu le privilège de rencontrer le Grand Monarque durant l'un de ses deux voyages qu'elle fit en Irlande, en juillet 1946 et mai 1947. Les circonstances sont restées cachées aux deux soeurs qui l'accompagnaient. Lui demandant comme un rapport de son emploi du temps, Soeur Olive leur répondra: "JÉSUS N'A PAS DIT DE LE DIRE." Le mystère demeure entier. C'est le témoignage de Soeur Cécile qui l'accompagnait.
Or, Marie-Julie Jahenny avait prophétisé cette entrevue capitale: "Une jeune âme" bretonne envoyée par le Ciel doit lui communiquer les ordres du Ciel :
"Cette jeune âme sera chargée (...) de porter à sa Majesté, des lumières sur ce que veut le Dieu des Armées." (21 sept 1880)
Par la suite, le 14 novembre 1953, Soeur Olive rencontrera Pie XII à Castelgandolfo, avec deux de ses Soeurs. Or Pie XII, encore Cardinal, vint rencontrer Marie-Julie Jahenny, chez elle à la Fraudais, ainsi que le révèle le Père Pierre Roberdel.. (Vers l'avenir, avec Marie-Julie Jahenny, la stigmatisée de la Fraudais, éd Mambré, 1992, p. 57-61)
Cette dernière confirme aussi l'exil du Roi, dans le message reçu le 31 décembre 1874 :
"Viendra un Roi qui n'a pas terni sa couronne et qui a vécu AU LOIN DANS L'EXIL, qui a tant attendu et reçu de Marie." (H. Bourcier, op. cit. p. 168)
Au petit coeur si pur de Soeur Olive, Jésus fait part de la prédilection qu'il porte à l'Irlande pour sa fidélité et sa ferveur de sa foi. C'est d'ailleurs l'Irlande qui avec la France s'est montrée la plus généreuse pour ériger le sanctuaire demandé du Christ-Roi, Prince de la Paix et Maître des Nations, depuis son Président M. de Valera jusqu'aux fillettes de Dublin qui se cotisèrent pour l'Oeuvre. Bien entendu, chez les médias suffisants de la France, il est de bon ton de présenter l'Irlande profondément catholique comme une nation rétrograde.
Il n'y a aucune contradiction à ce que Marie-Julie Jahenny montre dans ses extases le Grand Monarque comme venant de l'EST : ces indications ne lui sont données en réalité que lorsqu'il entre EN GUERRE et arrive de ce fait en France par cette voie qui est peut-être celle de la catholique Bavière. La Révélation se fait de manière progressive dans les premiers mois de l'année 1882 :
"L'homme de foi qui a souffert et espéré AU FOND DE L'EXIL, va, avant des années, se lever comme UN ECLAIR LUMINEUX. Il attendra sur le sol français, la venue victorieuse d'ennemis atterrés, sous le firmament ténébreux.
En mes desseins, le Sauveur sommeille DANS L'EXIL, penché sur le lys dont son esprit a tant rêvé. Sous un ciel éparé et étoilé, il apportera le triomphe à MON TEMPLE et se reposera sur MON COEUR." (14 févr. 1882)
"Si le monde a douté de ma puissance et de mes desseins, je vais, sans tarder, manifester mon heure: l'ETOILE qui annonce la venue de LA PAIX va se lever SUR LA TERRE ETRANGERE pour ceux qui attendent fidèlement l'objet de mon choix...." (28 février 1882)
"Il viendra DU COTE DU LEVANT. A deux lieues du Centre (Paris) se trouveront réunies les armées des gouverneurs d'aujourd'hui (ses adversaires). C'est là, dans une grande ville, que Dieu les attend pour leur donner ses grandes marques et aveugler ces barbares qui seront opposés au futur Sauveur... Le Roi aura déjà fait dix à douze lieues sur la terre de France, en direction du trône. C'est là que Dieu attend ses vrais amis pour les réjouir de son GRAND SIGNE. L'étendard blanc sera levé dans ce lieu dont le nom sera dit... (ce nom n'a pas été retrouvé)" (9 mai 1882)
A l'appui de cette réflexion, le texte d'une révélation donnée par Valéry Noble, de New-Orleans, le 12 décembre 1971, laquelle, note le Père Pierre Roberdel, ne pouvait rien connaître de Marie-Julie Jahenny, pas même peut-être son existence:
"Très bientôt la troisième guerre mondiale commencera en Europe et les forces du démon sembleront gagner. Ne vous découragez pas, mais priez... Ma Mère conduira la bataille avec un Grand Roi qui mènera ma guerre... L'Allemagne, plus précisément l'ALLEMAGNE DE L'OUEST, SERA L'ENDROIT OU MA MERE POSERA L'EPEE SUR L'EPAULE DU ROI et l'investira d'un grand pouvoir en Mon Nom. QUAND TOUT SEMBLERA PERDU, la victoire commencera et continuera jusqu'à ce que les forces des ténèbres retournent à l'enfer... Alors tous fléchiront le genou et serviront sous l'oeil satisfait de Mon Père." (Pierre Roberdel, Les prophéties de la Fraudais, éd. Résiac, mai 1991, p. 200-201.
FrancoiseF- Avec Saint Joseph
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Inscription : 21/03/2010
Re: TOUT CE QU'IL FAUT SAVOIR SUR LA FRANCE ET LE GRAND MONARQUE
Merci pour ce texte très instructif.
Je me permets de mettre en relief le passage suivant :
Je me permets de mettre en relief le passage suivant :
On sait maintenant combien la date du 28 mars, fête de St Gontran, premier roi de France canonisé, date de la dernière Consécration de la France au Coeur Immaculé de Marie, et demande de la procession de repentir à Dozulé, est capitale pour notre pays. Or c'est précisément le 28 MARS 1874, que Notre Dame donna à Marie-Julie les indications majeures concernant l'identité du futur Grand Monarque, éliminant ainsi bien des prétendants :
"Pourqoi ne priez-vous pas plus ? Pourquoi ne demandez-vous pas plus le salut de la France votre Patrie ? Je lui donnerai un bon Roi, pieux, qui montrera le bon exemple à la France. Le Roi fera refleurir la foi et la religion triomphera.
Le Roi, c'est un lys, c'est un héros, le monde ne le connaît pas. Il règnera jusqu'à la fin des temps dans tout l'éclat de sa beauté et de sa gloire. Son nom n'est CONNU QUE DU CIEL. Il sortira du Coeur adorable de Jésus quelques semaines avant la grande paix de la France. Elle se fera cette paix en plein trouble, en pleine révolte.
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Garabandal- En adoration
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