chirac et les francs macons pas de bons rapport ...

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Samedi 11 Juin 2005
Chirac lâché par les loges franc-maçonnes
A près de 24% dans les sondages au niveau de la confiance que lui accordent les français, notre bon président Chirac est dans la situation la plus délicate de son décennat. Après un parcours politique et électoral loin d'être sans soupçons ni irrégularités, voici que l'on doit encore supporter le plus mauvais homme politique du XXème siècle pendant encore deux ans. En effet, aucune procédure légale ne nous permet de le mettre dehors. Dans un sens, c'est une bonne chose, car sinon, on tomberait dans une parfaite anarchie.
Néanmoins, la succession des erreurs, des mauvais choix, des maladresses et des gaffes, fait qu'il n'a plus aucune crédibilité dans son pays, ni même à l'échelle internationale.

Mais alors, comment un homme aussi nul a t-il pu se maintenir dans les jupes du pouvoir aussi longtemps ? Pour ceux qui ne le saurait pas encore, le monde politique est dirigé et supervisé par des associations de personnes, dont les intérêts politico-convictionnels convergent. Ces "lobbys" dominant, relèvent du domaine financiaro-religieux aux États-Unis, et du domaine économico-sectaire en Europe. Appelés "clubs" dans les pays anglo-saxons, ces groupes sont connus dans les autres pays, et tout spécialement en France sous l'appellation de "Franc-maçonnerie".
Ceux qui doutaient encore, Jacques Chirac n'est pas arrivé là ou il en est avec ses talents d'Harvardien ou d'Enarque. Après tout, ne dit-il pas lui-même qu'Alain Juppé est "le meilleur" d'entre eux ?
Le monde politique est un univers fermé, où les individus corrompus se cooptent entre eux. Dopés par les malversations et les actions en sous-mains des instances franc-maçonnes, ces hommes contrôlent les rennes de l'administration et des grands courant financiers, à travers des détournements de marchés publics, sous couverts de sociétés écrans, laissées à la charge de proches collaborateurs de l'ombre.

Théorie du complot ? Non. Car, dans la période que nous traversons, et ce à la suite des nombreuses erreurs et revers dont a fait l'objet Jacques Chirac n'a plus le soutien de ces instances officiellement légales et sans influences directes. Dans l'ombre, ce qui apparaît comme étant des clubs de réflexions, sont en réalités des instances de gouvernement parallèle.
C'est un petit peu comme les spectacles de marionnettes. Les dirigeants disent "Fait cela et nous t'offriront le pouvoir et la fortune". En échange, l'individu lambda, croyant faire le bien, et surtout le sien, exécute les volontés des "logeurs" et obtient de larges contreparties. L'homme en question est donc l'instrument visible de l'action invisible de ces clubs.

Ces mêmes clubs n'ont d'ailleurs plus aucun intérêt à soutenir Chirac, dans la mesure ou il est irrécupérable. Certains de sa non réélection en 2007, dans l'hypothèse ou il se représenterait, ce qui n'est, à l'heure actuelle pas du tout sur, il préfèrent miser dès aujourd'hui sur les talents politiques de demain, cherchant ainsi à exploiter les ressources d'un homme de charisme pour le bien de leurs intérêts.
Ainsi, on se rend compte que les plus hautes instances de l'état servent de fusible à une action qui, ne situant ni à gauche, ni à droite, ne cherchent qu'à l'enrichissement personnel de certains individus, qui, par la même occasion, prétendent servir leur courant d'idée, loin de toute religion et de toute prétention morale. Ainsi, pourquoi se soucier si l'avortement est moral, si cela permet de gagner de l'argent; et pourquoi également interdire les mariages homosexuels ou du moins leur union civile, si la communauté homo est une manne financière sans fin ?
C'est pourquoi, les principaux ennemis des francs-maçons sont les ecclésiastiques et le Vatican. Ceux-ci le leur rendent bien, car l'Église catholique a catalogué la franc-maçonnerie au rang des sectes "dangereuses et perverses".

Se servant d'un terreau anticlérical puissant en France, la Franc-maçonnerie passe pour être la digne héritière des idéaux de 1789, reprenant par là le symbolisme révolutionnaire, en opposition à l'obscurantisme prétendument catholique.
Face à tant d'insoumission et de négation de la souveraineté populaire, la Franc-maçonnerie devraient être interdite, le temps pour le pouvoir de se libérer de sa tutelle, car, pour le moment, comme le disait le dernier directeur de la loge du grand orient de France, "la vie politique française a besoin de la franc-maçonnerie".