LA VIOLENCE DANS L'ISLAM ET LA FEMME...

par **Gilles** Mar 23 Juin 2009 - 20:34

Pas de paix, pas d'amour sans le Christ ! ....

Attention, images difficiles dans cette vidéo (lapidation)
"Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre !" a dit Jésus.
En voyant ces images, on aimerait bien que le Christ revienne vite... vite...
https://www.youtube.com/watch?v=yUr9SD0R4KE&NR=1

les différents types de burka.... femme soumise... une vraie prison !
https://www.youtube.com/watch?v=dNvDMcTByuc&feature=related

Conseils pour frapper sa femme sans trop "l'amocher" ni la défigurer ?
Comment peut-on "discuter" aujourd'hui (l'Eglise et l'Islam) alors que nous n'avons pas le même Dieu, que les musulmans sont contre les chrétiens et rejettent le Christ en tant que personne divine... le rejeter, c'est rejeter Son amour, Sa paix...
https://www.youtube.com/watch?v=yl8g8S6F3do&feature=related

Une femme musulmane battue témoigne... puis c'est son mari qui témoigne.... (c'est sa 3ème femme)
https://www.youtube.com/watch?v=N2Sskia7sSI&NR=1

Gilles. Ville de Québec - Canada

par **Gilles** Ven 26 Juin 2009 - 23:46

C'est vraiment HORRIBLE !

Gilles. Ville de Québec - Canada

par **seamus7** Sam 27 Juin 2009 - 3:56

Horrible oui, mais sommes-nous si bien placés pour juger ? Et avons-nous le droit d’invoquer la dignité de la femme quand nous la ravalons au rang de poupée gonflable ?
« La première pierre », sans doutes… mais aussi « la paille et la poutre ». Ci-dessous une réflexion intéressante extraite du dernier Bulletin d'André Noël (n°2148), à propos de la proposition de loi anti burqa de quelques députés imbéciles :

LA « BURQA », LE « NIQAB » ET LA DIGNITE DE LA FEMME
[…]Comment nos dirigeants ont-ils pu penser un seul instant que les nouveaux venus, d’ailleurs invités au regroupement familial par le sieur Chirac, laisseraient leur religion au vestiaire en débarquant chez nous alors que c’est le seul élément identitaire, avec leur langue, qu’ils peuvent conserver de leurs origines ? Nos politiques ont cru favoriser leur intégration en leur facilitant leurs pratiques religieuses, en leur abandonnant des espaces publics (ou privés, chez Renault et Peugeot, notamment) pour leurs prières. Puis, en construisant des mosquées, détournant des fonds publics à des fins officiellement culturelles, en octroyant des repas spécifiques dans les cantines, voire en en bannissant le porc afin d’avoir la paix, y compris pour les non-musulmans, etc. Enfin, les différents ministres de l’Intérieur, dont Sarkozy, ont créé, puis développé, un « Conseil des Français musulmans » pour les encadrer, espérant les contrôler et promouvoir ce cercle carré qu’ils appellent un islam de France ou « islam des Lumières », oubliant que la seule « lumière » qu’ils reconnaissent est celle du Coran. Loin de les intégrer, la reconnaissance de ces privilèges les a renforcés dans leur certitude de la légitimité de leurs convictions, exaltant leur identité communautaire, leur conférant un élan pour leur prosélytisme au nom d’Allah !

Le résultat que l’on constate n’est donc pas dû au hasard ni au zèle intempestif de musulmanes particulièrement motivées ; il est le fruit d’une politique de ville ouverte face à un islam conquérant. Les incendiaires de la classe politique veulent maintenant devenir pompiers, comme si un décret pouvait enrayer l’islamisation de notre société après tant d’années de laxisme ! Si, en 2004, l’on a interdit le voile à l’école au nom de la laïcité, le port de cette étoffe trahissant une volonté de prosélytisme, cela n’impliquait-il pas, a contrario, que l’on puisse arborer ce signe en tout lieu à l’exception de l’école publique ?

Mais, pour ce qui est du niqab, on n’invoque plus le prosélytisme. Ceux qui veulent l’interdire sur tout le territoire invoquent désormais la dignité de la femme, la rupture de son égalité avec l’homme, ce vêtement totalement enveloppant n’étant qu’une « prison ». Toutefois, avant enquête, les travailleurs sociaux ont constaté que, dans la plupart des cas, le port de ce vêtement était volontaire et que les plus zélées n’étaient autres que des converties françaises ( !) et non point des Maghrébines ou autres africaines passées sans transition du bled au centre commercial de Mantes-la-Jolie. Ces françaises ont parfois un bac+5 et, avant de se tourner vers l’islam, elles ont connu, jusqu’au dégoût, la « libération » de la femme telle que la conçoit notre société décadente, « libération » insultant leur pudeur, faisant d’elles un objet sexuel, les asservissant à la convoitise de l’homme.

Voilà aussi un élément de réflexion pour l’Eglise de France : n’ont-elles par cherché ailleurs ce qu’elles ne trouvaient plus dans la foi et la morale catholique traditionnelles ? Le temps n’est plus où le saint curé d’Ars fustigeait la mondanité de ses jeunes fidèles, où les évêques fulminaient, du haut de la chaire, contre les tenues impudiques des paroissiennes, propres à induire le mâle en tentation… On notera qu’à travers cette commission d’enquête et le projet de loi qui en sera peut-être issu, la représentation nationale s’autorise donc à légiférer sur la tenue vestimentaire des femmes, au nom de leur « dignité ». Mais pourquoi circonscrire cette préoccupation aux seuls habits de certaines musulmanes ? Dans les rues de nos villes, on voit, en bien plus grand nombre, des jeunes femmes laissant dépasser d’indécents « strings » de leur pantalon tandis que, côté face, elles exhibent un nombril « décoré » d’un anneau, pour ne rien dire des décolletés qui ne dissimulent plus grand-chose et des poitrines nues exhibées sur les plages sans que nul ne songe à les poursuivre pour attentat à la pudeur. Ces tenues seraient-elles plus adaptées à la dignité de la femme que le niqab et la burqa ?

Si une loi devait interdire aux musulmanes d’être ainsi vêtues dans les rues de nos villes, elles ne renonceraient pas à cette « prison ». Elles resteraient chez elles, subissant ainsi la « double peine », la prison du niqab et celle de leur trois pièces cuisine dans une HLM de banlieue : belle « libération » en vérité ! Dernière question : qu’en serait-il des religieuses catholiques qui ont conservé leur habit traditionnel ? Quand on a interdit le voile à l’école, on en a profité pour exclure également la croix et l’étoile de David quoique personne ne se fût jamais plaint (sauf dans les pays musulmans, on ne le sait que trop !) du prosélytisme chrétien ou juif. Rappelons que déjà, lors de la révolution française, pour « libérer » la femme « aliénée » dans la religieuse, les nonnes ont été contraintes par les députés de la République de remettre leur habit civil…

par **DA SILVA** Sam 27 Juin 2009 - 9:19

Bonjour

Complètement d'accord avec ces propos.

Je suis toutefois étonné que personne n'ai parlé de la possibilité d'identifié les gens dissimulés sous ces tenues. Nous traversons une période troublée par des évènements de terrorisme qui engendrent des contrôles dans les lieux publics. Quelle attitude à adopter face à ces femmes, si aucune décision n'est prise ?

Mon constat:

Deux mondes s’opposent, mais tous deux se baignent dans une mer obscur. la femme est devenue emblème et otage. Elles deviennent des esclaves.
Le mal joue sur les deux tableaux pour tenter de gagner la partie.

José

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