Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
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AnneLÉA aime ce message
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
262. Un point de vue
Lorsque nous travaillons avec d’autres personnes, lorsque nous vivons dans un groupe, dès qu’il y a des personnes autour de nous, habituellement, nous vivons de belles expériences.
Mais il peut y avoir aussi des contradictions entre les points de vue, entre les idées et les réalisations. Les relations sont riches de sens lorsque chaque personne ne pense pas seulement à elle-même, mais aussi aux autres.
Si la personne n’est pas bien écoutée, si elle est ridiculisée, si elle subit l’intimidation et la violence des autres, le mal la détruit à petit feu. Les chefs qui tiennent Jérémie en prison disent au roi Sédécias :
« Que cet homme soit mis à mort : en parlant comme il le fait, il démoralise tout ce qui reste de combattant dans la ville, et toute la population. Ce n’est pas le bonheur du peuple qu’il cherche, mais son malheur. » Jérémie, chapitre 38, verset 4
Cet officier pense détenir la vérité et il veut éliminer Jérémie qui n’a pas le même point de vue que lui. Or, Jérémie est placé en prison, dans une citerne, pour y mourir.
Jérémie, dans le malheur, aurait pu poser cette question étrange à Dieu comme elle est écrite dans le livre d’Habaquc :
« Pourquoi restes-tu silencieux quand le méchant engloutit l’homme juste ? » Habaquc, chapitre 1, verset 13
Le silence apparent de Dieu, c’est que la personne ne le connait pas encore assez. Elle doit être plus à l’écoute pour entendre Dieu. Jérémie est à l’écoute de Dieu.
Reconnaissons que toujours, les pensées méchantes, voire malines cause le mal d’une personne, de Jérémie ou de Jésus. Ce n’est pas Dieu qui cause ce mal.
Bible Liturgique, site internet : AELF 2011-2014
Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Lorsque nous travaillons avec d’autres personnes, lorsque nous vivons dans un groupe, dès qu’il y a des personnes autour de nous, habituellement, nous vivons de belles expériences.
Mais il peut y avoir aussi des contradictions entre les points de vue, entre les idées et les réalisations. Les relations sont riches de sens lorsque chaque personne ne pense pas seulement à elle-même, mais aussi aux autres.
Si la personne n’est pas bien écoutée, si elle est ridiculisée, si elle subit l’intimidation et la violence des autres, le mal la détruit à petit feu. Les chefs qui tiennent Jérémie en prison disent au roi Sédécias :
« Que cet homme soit mis à mort : en parlant comme il le fait, il démoralise tout ce qui reste de combattant dans la ville, et toute la population. Ce n’est pas le bonheur du peuple qu’il cherche, mais son malheur. » Jérémie, chapitre 38, verset 4
Cet officier pense détenir la vérité et il veut éliminer Jérémie qui n’a pas le même point de vue que lui. Or, Jérémie est placé en prison, dans une citerne, pour y mourir.
Jérémie, dans le malheur, aurait pu poser cette question étrange à Dieu comme elle est écrite dans le livre d’Habaquc :
« Pourquoi restes-tu silencieux quand le méchant engloutit l’homme juste ? » Habaquc, chapitre 1, verset 13
Le silence apparent de Dieu, c’est que la personne ne le connait pas encore assez. Elle doit être plus à l’écoute pour entendre Dieu. Jérémie est à l’écoute de Dieu.
Reconnaissons que toujours, les pensées méchantes, voire malines cause le mal d’une personne, de Jérémie ou de Jésus. Ce n’est pas Dieu qui cause ce mal.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
AnneLÉA aime ce message
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
263. Comprendre ou condamner
C’est heureux qu’il y ait d’autres personnes près du Cœur de Dieu qui savent reconnaitre la vérité. Ébed-Mélek se confie à Jérémie comme Nicodème l’a fait avec Jésus :
« Monseigneur le roi, ce que ces gens-là ont fait au prophète Jérémie, c’est mal ! » Jérémie, chapitre 38, versets 8 à 9
Puis :
Le roi donne alors cet ordre à Ébed-Mélek l’Éthiopien : « Prends trente hommes avec toi, et fais remonter de la citerne le prophète Jérémie avant qu’il ne meure. » Jérémie, chapitre 38, verset 10
Le roi accepte de ressortir Jérémie de la citerne. Cela ne prend qu’une seule personne pour changer la situation précaire d’une autre.
Ce texte nous démontre comme la ligne est mince entre condamner ou comprendre une personne. La ligne est mince entre la connaissance de ce qui est bien et de ce qui est mal. Évaluons comment une manigance, une conspiration contre une personne cause du mal, souvent irréparable.
Souhaitons que ce ne soit pas nous qui embarquons dans de telles propagandes contre les autres et contre Dieu.
Heureusement, Jérémie en sort vivant !
Mais Jésus sera… crucifié !
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
C’est heureux qu’il y ait d’autres personnes près du Cœur de Dieu qui savent reconnaitre la vérité. Ébed-Mélek se confie à Jérémie comme Nicodème l’a fait avec Jésus :
« Monseigneur le roi, ce que ces gens-là ont fait au prophète Jérémie, c’est mal ! » Jérémie, chapitre 38, versets 8 à 9
Puis :
Le roi donne alors cet ordre à Ébed-Mélek l’Éthiopien : « Prends trente hommes avec toi, et fais remonter de la citerne le prophète Jérémie avant qu’il ne meure. » Jérémie, chapitre 38, verset 10
Le roi accepte de ressortir Jérémie de la citerne. Cela ne prend qu’une seule personne pour changer la situation précaire d’une autre.
Ce texte nous démontre comme la ligne est mince entre condamner ou comprendre une personne. La ligne est mince entre la connaissance de ce qui est bien et de ce qui est mal. Évaluons comment une manigance, une conspiration contre une personne cause du mal, souvent irréparable.
Souhaitons que ce ne soit pas nous qui embarquons dans de telles propagandes contre les autres et contre Dieu.
Heureusement, Jérémie en sort vivant !
Mais Jésus sera… crucifié !
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
264. Fixés sur Jésus-Christ
Le péché est la cause première de toutes les injustices, de tous les manques d’amour comme c’est mentionné par Paul :
« Ainsi donc, nous aussi, entourés de cette immense nuée de témoins, et débarrassés de tout ce qui nous alourdit — en particulier du péché qui nous entrave si bien —, courons avec endurance l’épreuve qui nous est proposée, les yeux fixés sur Jésus, qui est à l’origine et au terme de la foi.
Renonçant à la joie qui lui était proposée, il a enduré la croix en méprisant la honte de ce supplice, et il siège à la droite du trône de Dieu. » Hébreux, chapitre 12, versets 1 à 2
Débarrassons-nous du péché, « de tout ce qui nous alourdit, » de pensées qui repoussent les disciples de Jésus et gardons les yeux fixés sur Jésus-Christ.
Ne nous débarrassons pas des personnes ni de Dieu.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Le péché est la cause première de toutes les injustices, de tous les manques d’amour comme c’est mentionné par Paul :
« Ainsi donc, nous aussi, entourés de cette immense nuée de témoins, et débarrassés de tout ce qui nous alourdit — en particulier du péché qui nous entrave si bien —, courons avec endurance l’épreuve qui nous est proposée, les yeux fixés sur Jésus, qui est à l’origine et au terme de la foi.
Renonçant à la joie qui lui était proposée, il a enduré la croix en méprisant la honte de ce supplice, et il siège à la droite du trône de Dieu. » Hébreux, chapitre 12, versets 1 à 2
Débarrassons-nous du péché, « de tout ce qui nous alourdit, » de pensées qui repoussent les disciples de Jésus et gardons les yeux fixés sur Jésus-Christ.
Ne nous débarrassons pas des personnes ni de Dieu.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
265. Nous crions
Après le réponds du Psaume que voici :
« Seigneur, viens à mon aide ! Viens à mon secours ! »
nous lisons :
« D’un grand espoir j’espérais le Seigneur : il s’est penché vers moi pour entendre mon cri. » Psaume 39, verset 2
Ce cri est la réalisation que nous sommes pécheurs, puisque nous pensons que Dieu n’est pas avec nous.
Ce cri, c’est de reconnaitre que nous faisons trop d’efforts qui n’apportent rien et que nous ne nous laissons pas aimer de Dieu ni des autres.
Ce cri, c’est aussi de penser que nous pouvons tout gérer par nos propres moyens, que nous pouvons manipuler pour notre popularité, que nous pouvons aller jusqu’à blesser les autres.
N’attendons pas. Acceptons la vérité de Dieu en nous. Il va nous libérer du mal, puisqu’il entend notre cri. Mieux encore, il avait entendu notre plainte intérieure avant notre cri.
Dieu sépare en nous le mal du bien, pour nous ramener à la paix de notre Baptême :
« Il m’a tiré de l’horreur du gouffre, de la vase et de la boue ; il m’a fait reprendre pied sur le roc, il a raffermi mes pas. » Psaume 39, verset 3
Lorsque nous sommes soutirés de la boue et placés sur le roc, c’est Dieu qui nous déplace et nous replace en lieu sûr.
Avec confiance (foi), laissons Dieu nous prendre dans ses bras comme l’enfant se laisse cajoler par ses parents. Laissons la vérité de Dieu filtrer notre être pour y enlever le résidu du mal.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Après le réponds du Psaume que voici :
« Seigneur, viens à mon aide ! Viens à mon secours ! »
nous lisons :
« D’un grand espoir j’espérais le Seigneur : il s’est penché vers moi pour entendre mon cri. » Psaume 39, verset 2
Ce cri est la réalisation que nous sommes pécheurs, puisque nous pensons que Dieu n’est pas avec nous.
Ce cri, c’est de reconnaitre que nous faisons trop d’efforts qui n’apportent rien et que nous ne nous laissons pas aimer de Dieu ni des autres.
Ce cri, c’est aussi de penser que nous pouvons tout gérer par nos propres moyens, que nous pouvons manipuler pour notre popularité, que nous pouvons aller jusqu’à blesser les autres.
N’attendons pas. Acceptons la vérité de Dieu en nous. Il va nous libérer du mal, puisqu’il entend notre cri. Mieux encore, il avait entendu notre plainte intérieure avant notre cri.
Dieu sépare en nous le mal du bien, pour nous ramener à la paix de notre Baptême :
« Il m’a tiré de l’horreur du gouffre, de la vase et de la boue ; il m’a fait reprendre pied sur le roc, il a raffermi mes pas. » Psaume 39, verset 3
Lorsque nous sommes soutirés de la boue et placés sur le roc, c’est Dieu qui nous déplace et nous replace en lieu sûr.
Avec confiance (foi), laissons Dieu nous prendre dans ses bras comme l’enfant se laisse cajoler par ses parents. Laissons la vérité de Dieu filtrer notre être pour y enlever le résidu du mal.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
266. La règle de l’Amour
Dieu est Amour et son Amour contient une Loi :
« Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour vient de Dieu. Celui qui aime est né de Dieu et connait Dieu. » Jean, chapitre 4, verset 7
Une personne qui vit dans la rancune et la haine est invitée à faire un examen de conscience. Pourquoi n’aime-t-elle pas ? Est-ce parce qu’elle est comme cela ou bien elle est devenue comme cela ? Est-ce parce qu’elle-même n’a pas reçu d’amour de personnes ou n’a pas découvert l’Amour de Dieu ?
C’est très difficile de définir une faute chez quelqu’un. C’est la raison pour laquelle nous sommes invités à laisser cette personne s’observer elle-même, devant Dieu.
La personne qui a fait le mal est la seule qui peut savoir ce qui l’a conduit là. Ce mal vient soit d’elle-même ou de la blessure causée par une autre personne. Elle n’a pas reçu ce mal de Dieu.
Nous sommes invités à réaliser un examen de conscience devant Dieu. Jésus nous invite à recevoir la foi en l’invitant dans notre vie. La foi qui abondera en nous nous aidera à mieux comprendre les situations qui nous dépassent.
L’Amour de Dieu est la règle de tout amour entre les personnes. Remettons-lui les personnes, même si elles sont injustes avec nous, même si nous ne comprenons pas tout.
Remettons-nous entre les mains de Jésus, pour que son Amour nous convertisse. Et progressivement, nous aurons des lumières pour mieux comprendre, pour mieux être.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Dieu est Amour et son Amour contient une Loi :
« Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour vient de Dieu. Celui qui aime est né de Dieu et connait Dieu. » Jean, chapitre 4, verset 7
Une personne qui vit dans la rancune et la haine est invitée à faire un examen de conscience. Pourquoi n’aime-t-elle pas ? Est-ce parce qu’elle est comme cela ou bien elle est devenue comme cela ? Est-ce parce qu’elle-même n’a pas reçu d’amour de personnes ou n’a pas découvert l’Amour de Dieu ?
C’est très difficile de définir une faute chez quelqu’un. C’est la raison pour laquelle nous sommes invités à laisser cette personne s’observer elle-même, devant Dieu.
La personne qui a fait le mal est la seule qui peut savoir ce qui l’a conduit là. Ce mal vient soit d’elle-même ou de la blessure causée par une autre personne. Elle n’a pas reçu ce mal de Dieu.
Nous sommes invités à réaliser un examen de conscience devant Dieu. Jésus nous invite à recevoir la foi en l’invitant dans notre vie. La foi qui abondera en nous nous aidera à mieux comprendre les situations qui nous dépassent.
L’Amour de Dieu est la règle de tout amour entre les personnes. Remettons-lui les personnes, même si elles sont injustes avec nous, même si nous ne comprenons pas tout.
Remettons-nous entre les mains de Jésus, pour que son Amour nous convertisse. Et progressivement, nous aurons des lumières pour mieux comprendre, pour mieux être.
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Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
267. Jésus en Égypte
Nous le savons, Marie est une femme ordinaire qui s’est vue offrir par Dieu une mission exceptionnelle. Elle a été bien près de Jésus pendant sa vie, dans les moments joyeux comme dans les moments plus difficiles.
Les moments difficiles de Marie ressemblent aux moments difficiles d’autres hommes et de femmes, de parents qui voient leur fils, leur fille être affligés par toutes sortes d’épreuves, mais dont ils ne méritent pas.
Marie a vécu seule l’ultime douleur de voir son enfant crucifié. Jésus n’a fait pourtant que proposer et transmettre l’Amour.
Une première épreuve de Marie et de Joseph se situe au début de la vie de Jésus. Dès sa naissance, Jésus confronte les sages de ce monde, les grands comme Hérode. L’ange du Seigneur avertit les parents de Jésus, tout spécialement Joseph :
« Lève-toi ; prends l’enfant et sa mère, et fuis en Égypte. Reste là-bas jusqu’à ce que je t’avertisse, car Hérode va rechercher l’enfant pour le faire périr. » Matthieu, chapitre 2, verset 13
L’artisan venu apporter la paix va être un signe de contradiction. Il sera déjà repoussé et condamné à mort.
Jésus devra être protégé par l’ange du Seigneur, avec la complicité de Joseph et Marie. Sur cette recommandation, ils s’enfuiront en Égypte. Joseph et Marie devaient vraiment être à l’écoute de Dieu, pour être protégés de la sorte avec leur enfant.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Nous le savons, Marie est une femme ordinaire qui s’est vue offrir par Dieu une mission exceptionnelle. Elle a été bien près de Jésus pendant sa vie, dans les moments joyeux comme dans les moments plus difficiles.
Les moments difficiles de Marie ressemblent aux moments difficiles d’autres hommes et de femmes, de parents qui voient leur fils, leur fille être affligés par toutes sortes d’épreuves, mais dont ils ne méritent pas.
Marie a vécu seule l’ultime douleur de voir son enfant crucifié. Jésus n’a fait pourtant que proposer et transmettre l’Amour.
Une première épreuve de Marie et de Joseph se situe au début de la vie de Jésus. Dès sa naissance, Jésus confronte les sages de ce monde, les grands comme Hérode. L’ange du Seigneur avertit les parents de Jésus, tout spécialement Joseph :
« Lève-toi ; prends l’enfant et sa mère, et fuis en Égypte. Reste là-bas jusqu’à ce que je t’avertisse, car Hérode va rechercher l’enfant pour le faire périr. » Matthieu, chapitre 2, verset 13
L’artisan venu apporter la paix va être un signe de contradiction. Il sera déjà repoussé et condamné à mort.
Jésus devra être protégé par l’ange du Seigneur, avec la complicité de Joseph et Marie. Sur cette recommandation, ils s’enfuiront en Égypte. Joseph et Marie devaient vraiment être à l’écoute de Dieu, pour être protégés de la sorte avec leur enfant.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
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Dernière édition par Normandt le Sam 19 Fév 2022 - 13:21, édité 1 fois
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
268. Devenir soi
Dans le Psaume, il est écrit :
« Qui peut gravir la montagne du Seigneur et se tenir dans le lieu saint ? L’homme au cœur pur, aux mains innocentes, qui ne livre pas son âme aux idoles. » Psaume 23, versets 3 à 4
Avec ce dernier passage, nous avons une idée maitresse pour bien nous lancer sur la voie qui nous conduit au Royaume de Dieu ou plus précisément, dans le Cœur de Dieu.
Nous voulons « gravir la montagne du Seigneur » et « nous tenir dans le lieu saint ». Nous voulons entrer dans l’Amour véritable, l’Amour que Dieu nous propose et que nous pouvons recevoir gratuitement, simplement en le lui demandant.
« Gravir la montagne » peut nous faire penser à certains escaladeurs qui peinent et qui suent dans un environnement dangereux et à haut risque. Mais avec Dieu, gravir la montagne signifie de devenir davantage nous-mêmes, d’accueillir davantage les autres, de créer des liens afin de transmettre l’Amour de Dieu.
Voilà « l’homme au cœur pur » dont mentionne le texte. La personne qui se laisse transformer par Dieu devient une personne de plus en plus libre. Cette liberté permet de gravir le Cœur de Dieu et de bien guider un peuple.
Le passage termine avec une recommandation. L’homme : « qui ne livre pas son âme aux idoles. » Les idoles éloignent de Dieu.
Cherchons dans notre vie ce qui nous éloigne de Dieu et nous trouverons quelles sont les idoles que nous servons. Ils deviendront visibles et pourront être éradiqués par Jésus.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Dans le Psaume, il est écrit :
« Qui peut gravir la montagne du Seigneur et se tenir dans le lieu saint ? L’homme au cœur pur, aux mains innocentes, qui ne livre pas son âme aux idoles. » Psaume 23, versets 3 à 4
Avec ce dernier passage, nous avons une idée maitresse pour bien nous lancer sur la voie qui nous conduit au Royaume de Dieu ou plus précisément, dans le Cœur de Dieu.
Nous voulons « gravir la montagne du Seigneur » et « nous tenir dans le lieu saint ». Nous voulons entrer dans l’Amour véritable, l’Amour que Dieu nous propose et que nous pouvons recevoir gratuitement, simplement en le lui demandant.
« Gravir la montagne » peut nous faire penser à certains escaladeurs qui peinent et qui suent dans un environnement dangereux et à haut risque. Mais avec Dieu, gravir la montagne signifie de devenir davantage nous-mêmes, d’accueillir davantage les autres, de créer des liens afin de transmettre l’Amour de Dieu.
Voilà « l’homme au cœur pur » dont mentionne le texte. La personne qui se laisse transformer par Dieu devient une personne de plus en plus libre. Cette liberté permet de gravir le Cœur de Dieu et de bien guider un peuple.
Le passage termine avec une recommandation. L’homme : « qui ne livre pas son âme aux idoles. » Les idoles éloignent de Dieu.
Cherchons dans notre vie ce qui nous éloigne de Dieu et nous trouverons quelles sont les idoles que nous servons. Ils deviendront visibles et pourront être éradiqués par Jésus.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
269. Fuyons les idoles
Paul nous dit :
« Mes bien-aimés, fuyez le culte des idoles. » 1re lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 10, verset 14
Fuir les idoles est assez difficile dans un monde qui nous en offre continuellement. Les idoles sont tout ce qui nous garde centrés sur d’autres personnes ou sur d’autres objets que sur Jésus. Paul a déjà dit aux personnes qui l’accompagnaient de ne pas le suivre lui, mais de suivre Jésus :
Quand l’un de vous dit : « Moi, j’appartiens à Paul », et un autre : « Moi, j’appartiens à Apollos », n’est-ce pas une façon d’agir tout humaine ? 1re lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 3, verset 4
Nous n’appartenons à personne, mais à Dieu.
Paul parle aussi du culte. Le culte est ce qu’un groupe va vivre ensemble, dans un but commun pour vénérer ou adorer une personne ou un objet. Il y a le culte du sport, il y a le culte des films, il y a le culte des artistes, le culte du gouvernement, le culte des chats, le culte du chocolat, etc.
Parfois, nous pouvons nous intéresser à ces différentes activités pour en ressortir un bien pour nous ou pour la société, pour améliorer la santé, par exemple. Ce n’est pas un mal d’avoir toutes ces activités et professions, mais ils ne doivent pas devenir un culte qui monopolise nos énergies, nos regards et nos gestes, sans égard à notre vie de foi en Dieu. Le vrai culte à rendre, c’est à Dieu.
Puis Paul, à la suite de cette phrase, ajoute :
« Jugez vous-mêmes de ce que je dis. » 1re lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 10, verset 15
Paul veut que les personnes autour de lui prennent leur responsabilité et qu’elles vérifient si elles suivent des idoles ou si elles se tournent constamment vers Dieu. Paul suggère de « fuir le culte des idoles. »
Bible Liturgique, site internet : AELF 2011-2014
Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Paul nous dit :
« Mes bien-aimés, fuyez le culte des idoles. » 1re lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 10, verset 14
Fuir les idoles est assez difficile dans un monde qui nous en offre continuellement. Les idoles sont tout ce qui nous garde centrés sur d’autres personnes ou sur d’autres objets que sur Jésus. Paul a déjà dit aux personnes qui l’accompagnaient de ne pas le suivre lui, mais de suivre Jésus :
Quand l’un de vous dit : « Moi, j’appartiens à Paul », et un autre : « Moi, j’appartiens à Apollos », n’est-ce pas une façon d’agir tout humaine ? 1re lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 3, verset 4
Nous n’appartenons à personne, mais à Dieu.
Paul parle aussi du culte. Le culte est ce qu’un groupe va vivre ensemble, dans un but commun pour vénérer ou adorer une personne ou un objet. Il y a le culte du sport, il y a le culte des films, il y a le culte des artistes, le culte du gouvernement, le culte des chats, le culte du chocolat, etc.
Parfois, nous pouvons nous intéresser à ces différentes activités pour en ressortir un bien pour nous ou pour la société, pour améliorer la santé, par exemple. Ce n’est pas un mal d’avoir toutes ces activités et professions, mais ils ne doivent pas devenir un culte qui monopolise nos énergies, nos regards et nos gestes, sans égard à notre vie de foi en Dieu. Le vrai culte à rendre, c’est à Dieu.
Puis Paul, à la suite de cette phrase, ajoute :
« Jugez vous-mêmes de ce que je dis. » 1re lettre de Paul aux Corinthiens, chapitre 10, verset 15
Paul veut que les personnes autour de lui prennent leur responsabilité et qu’elles vérifient si elles suivent des idoles ou si elles se tournent constamment vers Dieu. Paul suggère de « fuir le culte des idoles. »
Bible Liturgique, site internet : AELF 2011-2014
Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
270. Notre vie est éclairée
En approfondissant notre relation à Jésus, les idoles vont tomber les unes après les autres. Jésus éclairera notre vie et il nous aidera à bien choisir le bien-être, le réel et la vérité.
Jésus nous dit :
« Un bon arbre ne donne pas de fruit pourri ; jamais non plus un arbre qui pourrit ne donne de bon fruit. » Luc, chapitre 6, verset 43
Tout le monde n’a pas la même connaissance de Dieu. Lorsqu’une personne vit une conversion, elle arrive avec les idoles qu’elle portait, qu’elle suivait, celles qui construisaient son environnement. Elle peut en suivre encore. Ces idoles, ces emprisonnements habituellement, nous ne pouvons pas les voir à l’œil nu. Par contre, d’autres idoles, nous les voyons bien.
Avec Jésus dans notre vie, nous sommes comme les arbres qui donnent du bon fruit. Donnons notre cœur à Jésus. Jésus transformera notre manière de vivre, de voir, de parler, d’écouter, parce qu’il est la Lumière dont nous avons tant besoin. Sa lumière éclaire dans notre vie les possibles idoles. Somme toute, nous avons le choix et la responsabilité de garder ces idoles ou de nous en éloigner.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
En approfondissant notre relation à Jésus, les idoles vont tomber les unes après les autres. Jésus éclairera notre vie et il nous aidera à bien choisir le bien-être, le réel et la vérité.
Jésus nous dit :
« Un bon arbre ne donne pas de fruit pourri ; jamais non plus un arbre qui pourrit ne donne de bon fruit. » Luc, chapitre 6, verset 43
Tout le monde n’a pas la même connaissance de Dieu. Lorsqu’une personne vit une conversion, elle arrive avec les idoles qu’elle portait, qu’elle suivait, celles qui construisaient son environnement. Elle peut en suivre encore. Ces idoles, ces emprisonnements habituellement, nous ne pouvons pas les voir à l’œil nu. Par contre, d’autres idoles, nous les voyons bien.
Avec Jésus dans notre vie, nous sommes comme les arbres qui donnent du bon fruit. Donnons notre cœur à Jésus. Jésus transformera notre manière de vivre, de voir, de parler, d’écouter, parce qu’il est la Lumière dont nous avons tant besoin. Sa lumière éclaire dans notre vie les possibles idoles. Somme toute, nous avons le choix et la responsabilité de garder ces idoles ou de nous en éloigner.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
271. Détecter les idoles
Il est précieux de savoir écouter les personnes autour de nous, avec l’oreille collée sur notre cœur. Si nous entendons dans leur langage des liens qui semblent être reliés à des idoles, nous pouvons les remettre à Jésus. Par exemple, ce qui est à la mode, c’est le mot « énergie ». L’énergie est causée par le mouvement. Et le mouvement est causé par l’Amour de Dieu. Mieux vaut nous convertir à l’Amour de Dieu qu’à l’énergie. Sinon, nous demeurons dans un état de moindre importance et nous demeurons à l’écart de Dieu.
Si nous entendons une personne parler d’énergie, nous pouvons, silencieusement, dans notre cœur, remettre à Jésus ce qui la conduit à en parler. Autre exemple, si une personne a des propos souvent négatifs et inutiles, nous pouvons offrir cette négativité à Jésus. Il va venir dans son cœur y ajouter sa lumière.
Nous pouvons aider plusieurs personnes dans une journée en priant pour elles dans le silence et en offrant leurs difficultés à Jésus. Détecter ce qui est difficile chez des personnes n’est pas un jugement si nous savons quoi en faire. De plus, cela nous empêchera de les juger puisque nous réalisons une bonne action pour elles.
Cela nous permettra aussi de vérifier en nous ce que nous n’avons pas pensé de vérifier auparavant. Nous avons possiblement, nous aussi, des propos négatifs à répétition, par exemple. La même pratique est essentielle pour nous-mêmes ; celle de tout remettre à Jésus.
Jésus nous dit :
« Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent. » Matthieu, chapitre 5, verset 44
Aimons, dans le sens de découvrir les ennemis, les idoles dans notre vie, dans celle des autres et de les remettre à Jésus. Aidons les personnes à se débarrasser des ombres qu’elles portent, qui les persécutent, de leurs idoles, trop souvent sans qu’elles en soient conscientes de leur présence. Notre prière va devenir précise. Nous demandons donc la pureté de Dieu pour tous.
Et si la difficulté d’une autre personne nous dérange, nous déstabilise, c’est une occasion de laisser Jésus s’en occuper. Il va se passer quelque chose dans notre vie ou dans la vie des autres. Laissons à Jésus le soin de s’en occuper. Il s’en occupera.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Il est précieux de savoir écouter les personnes autour de nous, avec l’oreille collée sur notre cœur. Si nous entendons dans leur langage des liens qui semblent être reliés à des idoles, nous pouvons les remettre à Jésus. Par exemple, ce qui est à la mode, c’est le mot « énergie ». L’énergie est causée par le mouvement. Et le mouvement est causé par l’Amour de Dieu. Mieux vaut nous convertir à l’Amour de Dieu qu’à l’énergie. Sinon, nous demeurons dans un état de moindre importance et nous demeurons à l’écart de Dieu.
Si nous entendons une personne parler d’énergie, nous pouvons, silencieusement, dans notre cœur, remettre à Jésus ce qui la conduit à en parler. Autre exemple, si une personne a des propos souvent négatifs et inutiles, nous pouvons offrir cette négativité à Jésus. Il va venir dans son cœur y ajouter sa lumière.
Nous pouvons aider plusieurs personnes dans une journée en priant pour elles dans le silence et en offrant leurs difficultés à Jésus. Détecter ce qui est difficile chez des personnes n’est pas un jugement si nous savons quoi en faire. De plus, cela nous empêchera de les juger puisque nous réalisons une bonne action pour elles.
Cela nous permettra aussi de vérifier en nous ce que nous n’avons pas pensé de vérifier auparavant. Nous avons possiblement, nous aussi, des propos négatifs à répétition, par exemple. La même pratique est essentielle pour nous-mêmes ; celle de tout remettre à Jésus.
Jésus nous dit :
« Aimez vos ennemis, et priez pour ceux qui vous persécutent. » Matthieu, chapitre 5, verset 44
Aimons, dans le sens de découvrir les ennemis, les idoles dans notre vie, dans celle des autres et de les remettre à Jésus. Aidons les personnes à se débarrasser des ombres qu’elles portent, qui les persécutent, de leurs idoles, trop souvent sans qu’elles en soient conscientes de leur présence. Notre prière va devenir précise. Nous demandons donc la pureté de Dieu pour tous.
Et si la difficulté d’une autre personne nous dérange, nous déstabilise, c’est une occasion de laisser Jésus s’en occuper. Il va se passer quelque chose dans notre vie ou dans la vie des autres. Laissons à Jésus le soin de s’en occuper. Il s’en occupera.
Bible Liturgique, site internet : AELF 2011-2014
Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
272. Adorons Jésus
Le seul culte vrai à rendre, c’est à Jésus-Christ et à personne d’autre.
C’est libérateur de penser de rendre un culte à une seule personne ! Cela règle la quête de savoir qui adorer et qui ne pas adorer :
« Que Dieu vous forme en tout ce qui est bon pour accomplir sa volonté, qu’il réalise en nous ce qui est agréable à ses yeux, par Jésus Christ, à qui appartient la gloire pour les siècles des siècles. » Hébreux, chapitre 13, verset 21
« Accomplir la volonté de Dieu. » Dieu seul peut faire une telle demande parce que ce qu’il nous demande est ce qu’il y a de meilleur pour nous, pour notre salut et pour le salut du monde.
Deux expressions assez fortes sont incluses dans ce bout de texte : « accomplir la volonté de Dieu » et « qu’il réalise en nous ce qui plaît à ses yeux, par Jésus Christ ». Nous ne pouvons jamais dire cela pour une personne autre que lui.
Jésus invite les personnes à l’adorer parce qu’il est Dieu. Il dit :
« Si vous demeurez fidèles à ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; alors vous connaitrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. » Jean, chapitre 8, versets 31 à 32
Êtres fidèles à méditer la Parole de Dieu et à en ressortir le bien et la vérité dans les textes de la Bible, surtout y découvrir tout ce qui est Amour de Dieu, c’est adorer Dieu. Plus d’inquiétude. Accomplir la volonté de Dieu, c’est le laisser être Seigneur dans notre vie, le laisser nous aimer, nous transformer, nous combler de sa présence, nous sanctifier. Que Dieu : « réalise en nous ce qui plaît à ses yeux, par Jésus Christ. »
En permettant à Dieu de prendre en main notre vie, nous assurons notre salut, nous aidons au salut des autres, puisque nous nous laissons purifier pour le grand jour de notre entrée dans l’Éternité. Tout faire avec Jésus. Tout réaliser avec Jésus. Tout espérer en Jésus. Être avec Jésus !
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Le seul culte vrai à rendre, c’est à Jésus-Christ et à personne d’autre.
C’est libérateur de penser de rendre un culte à une seule personne ! Cela règle la quête de savoir qui adorer et qui ne pas adorer :
« Que Dieu vous forme en tout ce qui est bon pour accomplir sa volonté, qu’il réalise en nous ce qui est agréable à ses yeux, par Jésus Christ, à qui appartient la gloire pour les siècles des siècles. » Hébreux, chapitre 13, verset 21
« Accomplir la volonté de Dieu. » Dieu seul peut faire une telle demande parce que ce qu’il nous demande est ce qu’il y a de meilleur pour nous, pour notre salut et pour le salut du monde.
Deux expressions assez fortes sont incluses dans ce bout de texte : « accomplir la volonté de Dieu » et « qu’il réalise en nous ce qui plaît à ses yeux, par Jésus Christ ». Nous ne pouvons jamais dire cela pour une personne autre que lui.
Jésus invite les personnes à l’adorer parce qu’il est Dieu. Il dit :
« Si vous demeurez fidèles à ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; alors vous connaitrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. » Jean, chapitre 8, versets 31 à 32
Êtres fidèles à méditer la Parole de Dieu et à en ressortir le bien et la vérité dans les textes de la Bible, surtout y découvrir tout ce qui est Amour de Dieu, c’est adorer Dieu. Plus d’inquiétude. Accomplir la volonté de Dieu, c’est le laisser être Seigneur dans notre vie, le laisser nous aimer, nous transformer, nous combler de sa présence, nous sanctifier. Que Dieu : « réalise en nous ce qui plaît à ses yeux, par Jésus Christ. »
En permettant à Dieu de prendre en main notre vie, nous assurons notre salut, nous aidons au salut des autres, puisque nous nous laissons purifier pour le grand jour de notre entrée dans l’Éternité. Tout faire avec Jésus. Tout réaliser avec Jésus. Tout espérer en Jésus. Être avec Jésus !
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Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
273. Adorer Dieu
C’est inconcevable d’adorer une statue pour une statue. Adorer une statue, sans référence à Dieu, c’est tourner le dos à Dieu. La statue en soi n’a jamais sauvé personne. La statue c’est du métal, du plâtre, du ciment, du bois, du plastique, rien de plus. Notre corps est vivant, mais sans Dieu, notre corps n’est que de la chair et des os.
Lorsque Dieu demande au peuple d’Israël de se tourner vers le serpent d’airain sur le mât, c’est Dieu lui-même qui le demande. Ce n’est pas une invention humaine. Ce n’est pas par caprice humain. Dieu ne demande pas d’adorer le serpent, mais d’adorer Lui qui guérit à travers cette représentation.
Ce qui est inconcevable pour nous est réalisable pour Dieu. Nous sommes invités à reconnaitre l’extraordinaire force de guérison du Christ sur la Croix.
En conclusion, toute image qui nous conduit à Dieu, toute image qui nous aide à connaitre Dieu est acceptée et voulue de Dieu. Nous voyons la bonté de Dieu dans une image ou une statue de Marie, par exemple.
Nous comprenons la miséricorde de Dieu dans le Sacrement du pardon lorsque nous regardons le Padre Pio et le Curé d’Ars sur des photos. Nous reconnaissons l’amour de Dieu dans sa création lorsque nous observons une statue de François d’Assise.
Nous n’adorons pas nos parents sur des photos, nous n’adorons pas plus nos parents en personne, mais nous reconnaissons et admirons leur dévouement, leur amour pour nous. Nous reconnaissons la présence de Dieu en eux. Leur vie révèle des aspects de Dieu. Chaque vie de chaque personne révèle la présence de Dieu en elle. Nous dépassons la représentation, même de chair, nous observons la présence de Dieu en elle, pour être élevés vers Dieu.
Dieu accepte que nous formions des images sculptées dans des objets. L’unique but d’une statue, d’une photo, d’une image est de nous amener à penser à Dieu. Par exemple, vénérer nos parents sur une photo (représentation), n’est-ce pas vénérer Dieu en ce qu’il y a de plus divin en eux ?
Regardons au-delà de l’image. Comme nous regardons Dieu au-delà du cœur de la personne.
Dieu aime que nous aimions nos parents, que nous nous rappelions de nos parents, même par le moyen des photos. Même si nos parents n’étaient pas parfaits comme Dieu, ils nous ont donné leur vie pour nous aider à vivre. Ils ont donné le meilleur qu’ils avaient. La photo qui les représente nous rappelle les grâces que Dieu leur a offertes. Nous apprenons de cela que Dieu nous offre aussi ses grâces, qu’elles sont là pour nous aussi.
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C’est inconcevable d’adorer une statue pour une statue. Adorer une statue, sans référence à Dieu, c’est tourner le dos à Dieu. La statue en soi n’a jamais sauvé personne. La statue c’est du métal, du plâtre, du ciment, du bois, du plastique, rien de plus. Notre corps est vivant, mais sans Dieu, notre corps n’est que de la chair et des os.
Lorsque Dieu demande au peuple d’Israël de se tourner vers le serpent d’airain sur le mât, c’est Dieu lui-même qui le demande. Ce n’est pas une invention humaine. Ce n’est pas par caprice humain. Dieu ne demande pas d’adorer le serpent, mais d’adorer Lui qui guérit à travers cette représentation.
Ce qui est inconcevable pour nous est réalisable pour Dieu. Nous sommes invités à reconnaitre l’extraordinaire force de guérison du Christ sur la Croix.
En conclusion, toute image qui nous conduit à Dieu, toute image qui nous aide à connaitre Dieu est acceptée et voulue de Dieu. Nous voyons la bonté de Dieu dans une image ou une statue de Marie, par exemple.
Nous comprenons la miséricorde de Dieu dans le Sacrement du pardon lorsque nous regardons le Padre Pio et le Curé d’Ars sur des photos. Nous reconnaissons l’amour de Dieu dans sa création lorsque nous observons une statue de François d’Assise.
Nous n’adorons pas nos parents sur des photos, nous n’adorons pas plus nos parents en personne, mais nous reconnaissons et admirons leur dévouement, leur amour pour nous. Nous reconnaissons la présence de Dieu en eux. Leur vie révèle des aspects de Dieu. Chaque vie de chaque personne révèle la présence de Dieu en elle. Nous dépassons la représentation, même de chair, nous observons la présence de Dieu en elle, pour être élevés vers Dieu.
Dieu accepte que nous formions des images sculptées dans des objets. L’unique but d’une statue, d’une photo, d’une image est de nous amener à penser à Dieu. Par exemple, vénérer nos parents sur une photo (représentation), n’est-ce pas vénérer Dieu en ce qu’il y a de plus divin en eux ?
Regardons au-delà de l’image. Comme nous regardons Dieu au-delà du cœur de la personne.
Dieu aime que nous aimions nos parents, que nous nous rappelions de nos parents, même par le moyen des photos. Même si nos parents n’étaient pas parfaits comme Dieu, ils nous ont donné leur vie pour nous aider à vivre. Ils ont donné le meilleur qu’ils avaient. La photo qui les représente nous rappelle les grâces que Dieu leur a offertes. Nous apprenons de cela que Dieu nous offre aussi ses grâces, qu’elles sont là pour nous aussi.
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Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
il est en effet vrai qu'adorer des statues semble enfantin. Cependant, personnellement en regardant des chefs d’œuvres, je pense toujours au merveilleux don que Dieu peut avoir donné aux personnes qui ont fait de si belles réalisations.
parmi toutes les réalisations, il faut avant tout songer que le génie des hommes n'est là que parce que Dieu en a donné la possibilité.
parmi toutes les réalisations, il faut avant tout songer que le génie des hommes n'est là que parce que Dieu en a donné la possibilité.
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Isabelle-Marie aime ce message
Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
274. L’Amour
Lorsque nous regardons Jésus sur la Croix, nous ne faisons pas seulement regarder le métal, le bois, le plâtre ou le plastique sans aucune méditation ou prière. Lorsque nous regardons la Croix de Jésus, nous savons que nous regardons, au-delà de cette représentation, le Cœur transpercé de Dieu, l’Amour de Dieu qui est allé jusque-là pour que nous soyons sauvés. La représentation de la Croix de Jésus est le sommet de l’Amour pour nous, à cause de Jésus. Notre âme s’abreuve au souvenir de notre Dieu.
Regardons, comprenons, aimons ce que fait Jésus sur la Croix, pour nous. Quel Amour l’a conduit sur la Croix !
Nous avons avantage à redécouvrir la Croix avec Jésus cloué dessus, dans nos églises, dans nos maisons et ailleurs. Dieu veut que nous regardions la Croix avec le Corps de Jésus dessus, pour que nous soyons sauvés. Elle est le soutien des veuves, des opprimés, des malades, des persécutés, des souffrants, des malades, des mourants, etc. La Croix est le soutien des pauvres, des laissés pour compte, des personnes seules, etc.
Jésus sur la Croix est celui qui comprend notre douleur. Il veut que nous lui remettions toutes les douleurs que nous avons, ainsi que les personnes qui sont dans la douleur partout dans le monde. Unissons leur douleur à la Croix de Jésus.
Prenons le temps, à la maison, de commencer ou de recommencer à regarder la Croix. Méditons-la. Prions et laissons Jésus parler à notre cœur. Loin d’être un objet désagréable pour les yeux, Jésus sur la Croix est la voie de la compréhension de la douleur, un chemin de guérison et un rappel que le mal tue la personne. Laissons Jésus sur la Croix parler à notre cœur. Plaçons-le sous notre oreiller et écoutons-le ou déposons-le sur l’oreiller et regardons Jésus. Qu’elle soit aussi placée au milieu des époux.
La Croix est pour nous signe de joie, de libération, de rédemption. La Croix est le signe et la réalité de la Victoire de la guérison sur la maladie, de l’Amour sur le mal, la victoire du Christ sur la mort.
Jésus nous dit :
« Afin que quiconque croit en lui [Jésus] ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. » Jean, chapitre 3, verset 16
Prions :
« Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons, parce que tu as racheté le monde par les mérites de ta Sainte Croix. »
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Lorsque nous regardons Jésus sur la Croix, nous ne faisons pas seulement regarder le métal, le bois, le plâtre ou le plastique sans aucune méditation ou prière. Lorsque nous regardons la Croix de Jésus, nous savons que nous regardons, au-delà de cette représentation, le Cœur transpercé de Dieu, l’Amour de Dieu qui est allé jusque-là pour que nous soyons sauvés. La représentation de la Croix de Jésus est le sommet de l’Amour pour nous, à cause de Jésus. Notre âme s’abreuve au souvenir de notre Dieu.
Regardons, comprenons, aimons ce que fait Jésus sur la Croix, pour nous. Quel Amour l’a conduit sur la Croix !
Nous avons avantage à redécouvrir la Croix avec Jésus cloué dessus, dans nos églises, dans nos maisons et ailleurs. Dieu veut que nous regardions la Croix avec le Corps de Jésus dessus, pour que nous soyons sauvés. Elle est le soutien des veuves, des opprimés, des malades, des persécutés, des souffrants, des malades, des mourants, etc. La Croix est le soutien des pauvres, des laissés pour compte, des personnes seules, etc.
Jésus sur la Croix est celui qui comprend notre douleur. Il veut que nous lui remettions toutes les douleurs que nous avons, ainsi que les personnes qui sont dans la douleur partout dans le monde. Unissons leur douleur à la Croix de Jésus.
Prenons le temps, à la maison, de commencer ou de recommencer à regarder la Croix. Méditons-la. Prions et laissons Jésus parler à notre cœur. Loin d’être un objet désagréable pour les yeux, Jésus sur la Croix est la voie de la compréhension de la douleur, un chemin de guérison et un rappel que le mal tue la personne. Laissons Jésus sur la Croix parler à notre cœur. Plaçons-le sous notre oreiller et écoutons-le ou déposons-le sur l’oreiller et regardons Jésus. Qu’elle soit aussi placée au milieu des époux.
La Croix est pour nous signe de joie, de libération, de rédemption. La Croix est le signe et la réalité de la Victoire de la guérison sur la maladie, de l’Amour sur le mal, la victoire du Christ sur la mort.
Jésus nous dit :
« Afin que quiconque croit en lui [Jésus] ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. » Jean, chapitre 3, verset 16
Prions :
« Nous t’adorons, ô Christ, et nous te bénissons, parce que tu as racheté le monde par les mérites de ta Sainte Croix. »
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Re: Méditations Bibliques de Normandt, prêtre du Québec
275. Prions avec Marie
Marie a un seul but. Elle nous conduit toujours à la même réalité ; celle de suivre Jésus, notre Seigneur et Sauveur. Marie nous implore à répétition de suivre constamment Jésus.
Jamais l’Église Catholique ne voit en Marie une déesse ou Dieu. Ce n’est jamais enseigné par l’Église. Elle est une simple femme avec un vécu de foi extraordinaire, par grâce de Dieu. Et nous la vénérons pour qui elle est et pour son « oui ».
Une statue de Marie représente la grâce de Dieu dans une femme. Le souvenir de cette femme devient un exemple de foi réelle pour nous. Plus nous méditons sur ce que Dieu a réalisé en Marie, plus nous avons de raisons d’adorer Dieu.
Lorsque nous nous plaçons à genoux devant elle, nous lui demandons de prier avec nous et pour nous. Lorsque nous sommes à genoux devant Marie, elle porte notre cœur à Jésus. Lorsque nous prions Marie, elle offre nos prières à Jésus. Lorsque nous parlons à Marie, elle en parle à Jésus. Nous demandons à Marie de nous montrer le chemin vers Jésus.
Nous aimons demander à une autre personne de prier pour nous. Et nous prions pour d’autres personnes. Ce n’est pas parce que nous intercédons dans la prière pour une autre personne que nous nous plaçons entre la personne et Dieu et que cela l’empêcherait de rejoindre le cœur de cette personne. Lorsque nous prions pour les autres, nous ne nous prenons pas pour Dieu. Prier pour une personne, c’est laisser passer Dieu par notre cœur pour aimer notre prochain. Dieu aime que nous priions les uns pour les autres.
Marie ne se tient pas entre Jésus et nous. Elle nous aide à approcher son fils. Notre pensée va plus loin qu’une statue comme notre repas en famille nous permet plus de profondeur humaine que la simple nourriture. Le corps d’une personne nous permet d’aller plus loin que simplement son corps, par exemple. Il nous permet de rejoindre la création de Dieu.
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Livre : Refusons le péché, Normand Thomas
Marie a un seul but. Elle nous conduit toujours à la même réalité ; celle de suivre Jésus, notre Seigneur et Sauveur. Marie nous implore à répétition de suivre constamment Jésus.
Jamais l’Église Catholique ne voit en Marie une déesse ou Dieu. Ce n’est jamais enseigné par l’Église. Elle est une simple femme avec un vécu de foi extraordinaire, par grâce de Dieu. Et nous la vénérons pour qui elle est et pour son « oui ».
Une statue de Marie représente la grâce de Dieu dans une femme. Le souvenir de cette femme devient un exemple de foi réelle pour nous. Plus nous méditons sur ce que Dieu a réalisé en Marie, plus nous avons de raisons d’adorer Dieu.
Lorsque nous nous plaçons à genoux devant elle, nous lui demandons de prier avec nous et pour nous. Lorsque nous sommes à genoux devant Marie, elle porte notre cœur à Jésus. Lorsque nous prions Marie, elle offre nos prières à Jésus. Lorsque nous parlons à Marie, elle en parle à Jésus. Nous demandons à Marie de nous montrer le chemin vers Jésus.
Nous aimons demander à une autre personne de prier pour nous. Et nous prions pour d’autres personnes. Ce n’est pas parce que nous intercédons dans la prière pour une autre personne que nous nous plaçons entre la personne et Dieu et que cela l’empêcherait de rejoindre le cœur de cette personne. Lorsque nous prions pour les autres, nous ne nous prenons pas pour Dieu. Prier pour une personne, c’est laisser passer Dieu par notre cœur pour aimer notre prochain. Dieu aime que nous priions les uns pour les autres.
Marie ne se tient pas entre Jésus et nous. Elle nous aide à approcher son fils. Notre pensée va plus loin qu’une statue comme notre repas en famille nous permet plus de profondeur humaine que la simple nourriture. Le corps d’une personne nous permet d’aller plus loin que simplement son corps, par exemple. Il nous permet de rejoindre la création de Dieu.
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