HOLD-UP Covid de Pierre Barnerias

https://www.midilibre.fr/2020/12/17/uzes-jean-bernard-fourtillan-est-libre-et-a-quitte-lhopital-psychiatrique-9263728.php

Souhaitons lui qu'il puisse récupérer surtout dans cette période de noël.

ça va mal dans le monde de la médecine, prions beaucoup pour les médecins intègres et fidèles à leur serment d'Hippocrate, et pour que soient jugés, comme ce fut le cas lors du procès de Nuremberg, ceux qui cautionnent un pouvoir devenu criminel, qui utilise les vaccins comme alibi pour porter atteinte à l'intégrité du corps humain, don précieux de Dieu  

Lundi à 21 heures, sortie de la nouvelle version...

https://holdup-lefilm.fr

Merci pour l'info.

C'est le seul lien sur la nouvelle version, que j'ai pu trouver mais les témoignages valent la peine d'être entendus :

celui de Vincent Pavan sur les mensonges autour des chiffres qu'un mathématicien scrupuleux et rigoureux comme il l'est, n'a pas eu de mal à discerner, qui sont un énorme scandale et un détournement de la science au profit d'une narration déconnectée de la réalité, "un crime contre la science" dit-il et évidemment aussi contre l'homme ; celui de Bigard résume tout et est particulièrement percutant.

Ces témoignages confirment mon sentiment que l'humanité se divise de plus en plus en deux camps, qui se rejettent l'un l'autre par culpabilité, dont l'un, minoritaire est voué à être ostracisé.

Que le Seigneur ait pitié de notre manque de paix !

Vincent Pavan se réfère à Georgio Agamben, un des plus grands philosophes actuels, et sans doute le mieux à même par ses travaux sur la biopolitique et le totalitarisme, d'éclairer sur la situation que nous vivons. Il vaut la peine de retranscrire la demande qu'il a faite à ses concitoyens italiens le 13 avril 2020 :

"Une question

J'aimerais partager avec ceux qui en ont envie une question à laquelle je réfléchis depuis plus d'un mois maintenant. Comment se peut-il qu'un pays entier, sans s'en rendre compte, s'effondre éthiquement et politiquement face à une maladie ? Les mots que j'ai utilisés pour formuler cette question ont été soigneusement examinés un par un. La mesure de la renonciation à ses principes éthiques et politiques est en fait très simple : il s'agit de se demander quelle est la limite au-delà de laquelle on n'est pas prêt à y renoncer. Je pense que le lecteur qui se donne la peine de considérer les points suivants ne manquera pas de reconnaître - sans le remarquer ou sans faire semblant de ne pas le remarquer - que le seuil qui sépare l'humanité de la barbarie a été franchi.

Le premier point, peut-être le plus grave, concerne les cadavres des personnes décédées. Comment avons-nous pu accepter, uniquement au nom d'un risque qui ne peut être spécifié, que nos proches et les êtres humains en général non seulement meurent seuls, mais - chose qui n'était jamais arrivée auparavant dans l'histoire, d'Antigone à aujourd'hui - que leurs cadavres soient brûlés sans enterrement ?

2) Nous avons ensuite accepté sans trop de difficultés, uniquement au nom d'un risque qui ne pouvait être spécifié, de limiter dans une mesure jamais atteinte auparavant dans l'histoire du pays, même pendant les deux guerres mondiales (le couvre-feu pendant la guerre était limité à certaines heures) notre liberté de mouvement. Nous avons donc accepté, au seul nom d'un risque qu'il n'était pas possible de préciser, de suspendre de facto nos relations d'amitié et d'amour, parce que notre voisin était devenu une source possible de contagion.

3) Cela a pu se produire - et nous touchons ici à la racine du phénomène - parce que nous avons divisé l'unité de notre expérience vitale, qui est toujours inséparablement corporelle et spirituelle en même temps, en une entité purement biologique d'une part et une vie affective et culturelle d'autre part. Ivan Illich a montré, et David Cayley nous l'a rappelé récemment, les responsabilités de la médecine moderne dans cette scission, qui est considérée comme allant de soi et qui est au contraire la plus grande des abstractions. Je suis bien conscient que cette abstraction a été réalisée par la science moderne grâce à des appareils de réanimation, qui peuvent maintenir un corps dans un état de pure vie végétative.
Mais si cette condition est étendue au-delà de ses propres limites spatiales et temporelles, comme on le tente aujourd'hui, et devient une sorte de principe de comportement social, nous tombons dans des contradictions dont il n'y a pas d'issue.

Je sais que certains s'empresseront de répondre qu'il s'agit d'une condition de temps limitée, après laquelle tout reviendra comme avant. Il est vraiment étrange que l'on puisse répéter cela, sinon de mauvaise foi, puisque les mêmes autorités qui ont proclamé l'urgence ne cessent de nous rappeler que lorsque l'urgence sera passée, les mêmes directives devront continuer à être respectées et que la "distanciation sociale", comme on l'a appelée avec un euphémisme significatif, sera le nouveau principe d'organisation de la société. Et, en tout état de cause, ce que, de bonne ou de mauvaise foi, nous avons accepté de subir ne pourra être annulé.

Je ne peux pas, à ce stade, puisque j'ai chargé chacun d'entre nous de ses responsabilités, ne pas mentionner les responsabilités encore plus graves de ceux qui auraient eu pour tâche de veiller à la dignité de l'homme. Tout d'abord l'Eglise, qui, en se faisant la servante de la science, devenue la véritable religion de notre temps, a radicalement répudié ses principes les plus essentiels.

L'Église, sous un pape nommé François, a oublié que François embrassait les lépreux. Elle a oublié que l'une des œuvres de miséricorde est celle de rendre visite aux malades. Elle a oublié que les martyrs enseignent qu'il faut être prêt à sacrifier sa vie plutôt que sa foi, et que renoncer à son prochain, c'est véritablement renoncer à sa foi.

Une autre catégorie qui a failli à ses devoirs est celle des juristes. Nous sommes depuis longtemps habitués à l'utilisation inconsidérée des décrets d'urgence par lesquels le pouvoir exécutif remplace le pouvoir législatif, abolissant ainsi le principe de la séparation des pouvoirs qui définit la démocratie. Mais dans ce cas-ci, toutes les limites ont été dépassées et on a l'impression que les paroles du Premier ministre et du chef de la protection civile ont, comme celles du Führer, une force de loi immédiate. Et on ne voit pas comment, une fois la validité temporelle des décrets d'urgence épuisée, les restrictions à la liberté pourront être, comme on l'annonce, maintenues. Avec quels dispositifs juridiques ? Avec un état d'exception permanent ? Il appartient aux juristes de vérifier que les règles de la constitution sont respectées, mais les juristes se taisent. Quare silete iuristae in munere vestro ?

Je sais qu'il y aura invariablement ceux qui répondront que ce grave sacrifice a été fait au nom de principes moraux. Je voudrais leur rappeler qu'Eichmann, apparemment de bonne foi, ne se lassait jamais de répéter qu'il avait fait ce qu'il avait fait selon sa conscience, en obéissant à ce qu'il croyait être les préceptes de la morale kantienne. Une norme qui affirme que l'on doit renoncer au bien pour sauver le bien est tout aussi fausse et contradictoire que celle qui, pour protéger la liberté, exige que l'on y renonce.

13 avril 2020
Giorgio Agamben"

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

https://www.quodlibet.it/giorgio-agamben-una-domanda

Isabelle-Marie a écrit:C'est le seul lien sur la nouvelle version, que j'ai pu trouver mais les témoignages valent la peine d'être entendus :

celui de Vincent Pavan sur les mensonges autour des chiffres qu'un mathématicien scrupuleux et rigoureux comme il l'est, n'a pas eu de mal à discerner, qui sont un énorme scandale et un détournement de la science au profit d'une narration déconnectée de la réalité, "un crime contre la science" dit-il et évidemment aussi contre l'homme ; celui de Bigard résume tout et est particulièrement percutant.

Ces témoignages confirment mon sentiment que l'humanité se divise de plus en plus en deux camps, qui se rejettent l'un l'autre par culpabilité, dont l'un, minoritaire est voué à être ostracisé.

Que le Seigneur ait pitié de notre manque de paix !

Merci pour votre lien.
Le dr fouché : un médecin exceptionnel comme on en voudrais tous.

En fait il s'agit de la "vraie" version du film, l'ancienne étant une première copie de travail qui s'était fait pirater et s'est retrouvée sur tous les réseaux sociaux!  
Cette version finale, qu’ils ont appelé Hold-up + pour la distinguer de la première, est actualisée et enrichie de nouveaux éléments, comme des informations supplémentaires sur l'origine du virus. La vidéo est divisée en deux parties sur Odysee;

https://odysee.com/@holdup_ledoc:9/holduppart1:4

https://odysee.com/@holdup_ledoc:9/holduppart2:d

les 2 dernières minutes  en chanson



jean marie Bigard  complotiste  hein !
                           jean-marie  yeee  !

En allant : ici : https://www.facebook.com/holdup.ledoc

vous apprendrez pourquoi l'ancien ministre de la santé Douste Blazy a voulu être retiré du film Hold Up de Pierre Barnérias...

(Quand on fait du commerce, on ne fait la guerre à personne, c'est un grand principe et on n'a d'opinion sur rien... en fait... si... mais on garde tout pour soi...)

Les prêtres sont en position d'autorité et ils imposent des mesures sanitaires aux fidèles.
Ils ont donc l'obligation morale de savoir

• ce que contiennent les masques
  
• ce que contiennent ces injections expérimentales.
  

En tant que personne d'autorité, ils seront jugés de leur réaction face à la vérité scientifique.

Il leur faut vraiment trouver le temps d'apprendre ce que tu imposes aux autres.

Bon visionnage :
https://holdup-lefilm.fr/visionner/
HOLD ON - Location 48H
Prix: 5.50 EUR

Nouvelles de Pierre Barnérias, après Hold up et Hold on et avant la sortie du dernier documentaire, Hold out, de la trilogie qui dénonce la corruption des médias mainstream :

"Passé par de multiples rédactions « mainstream », Pierre Barnérias dénonce un monde médiatique qui ne s’intéresse pas à la vérité. Dégoûté du travail de ses collègues et des directions imposés par les rédacteurs en chef, il choisit de produire ses documentaires : « je n’ai plus rien à prouver par mon travail [...] On n'a pas les mêmes façons de travailler, on a répondu point par point à toutes leur critique, ce sont seulement des critiques sur les personnes, ils n'attaquent pas les faits, c'est hallucinant ».

Il a participé à une nouvelle production : « Hold-on », une suite d’Hold-up qui n’a pas été attaqué, alors qu’il prend position contre la vaccination. C’est autour de son collectif Citizen Light qu’il est passé à l’action : ils ont porté plainte contre l’AFP pour diffamation. « On s’attaque à un dieu », souligne-t-il."

[...]

le journaliste prépare aussi la sortie de son nouveau documentaire : « L’empreinte ». Centré autour de la course à pied et l’importance de l’activité physique, le film suit Florian Gomet, ancien professeur de mathématiques ayant quitté son travail pour s’aventurer dans un mode de vie alternatif."



Source : https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/pierre-barnerias

Découvrez des informations exclusives qui finiront d'enterrer le narratif de cette pandémie savamment orchestrée ! Après le détonant HOLD UP, puis le révélateur HOLD ON, voici HOLD OUT, le dernier volet de la trilogie d'enquêtes réalisées par le collectif de journalistes indépendants CITIZEN LIGHT.

Location 5 EUR:

https://crowdbunker.com/v/aVMTF49ufv